Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
9 août 2013 5 09 /08 /août /2013 16:35

Cet article sera plus facile à comprendre pour les lecteurs informés de ce qu'est la maladie de Biermer, aussi dénommée  neuro-anémie pernicieuse, qui est la plus fréquente cause des syndromes neuro-anémiques. 

   

Affectant le fonctionnement des cellules cérébrales, ces affections dysmétaboliques se compliquent  très souvent de troubles anxieux et neuropsychiatriques, troubles qui peuvent être les premières manifestations cliniques.

  

Les troubles psychiatriques cèdent non pas avec l'administration d'antidélirants mais sous vitaminothérapie B 12 intensive et prolongée. Une bibliographie est rapportée en fin d'article. Cf. en particulier l'article n° 18, qui se rapporte au délire de Capgras (aussi appelé délire des sosies), qui a été dans le cas rapporté une des premières manifestation de ces affections. 

                                                           -/- 

 

L'AFIS (Association Française pour l'Information Scientifique) s'est donné pour but de promouvoir la science contre ceux qui usent de son nom pour couvrir des oeuvres malfaisantes.  

 

Or dans son numéro de juillet 2013 (n° 305) Science & pseudo-sciences fustige les pseudo-médecines, et avec celles-ci Anne-Sophie Michat, une journaliste de "Marianne" coupable d'un article intitulé "Comment soigner autrement" (page 58, article de Jean-Paul Krivine). 

 

C'est pourquoi Jean-Paul Krivine et l'AFIS feraient bien de se pencher scientifiquement, c'est-à-dire objectivement et impartialement, non seulement sur les pratiques des médecins homéopathes, des acupuncteurs et de ceux qui se veulent "psychanalystes", mais aussi sur les pratiques de médecins dits ''allopathes",  et d'experts judiciaires assermentés quand ils discréditent la médecine en produisant des expertises de pure complaisance pour voler au secours de délinquants.

   

Sous couvert de l'Inserm et de l' "éthique médicale", ces "allopathes"  détournent sciemment les données de la médecine scientifique pour masquer les exactions des susdits, des exactions qu'ils savent délibérément mortelles, que celles-ci soient commises dans les hôpitaux de l'A.P. - H.P. ou dans des Cliniques privées. Telles celles qui ont été commises dans les années 1990 pour échapper à ce qui relevait de la responsabilité de ses Services dans les contaminations nosocomiales au VIH.  

 

Celle, mortelle,  qui fut commise au CHU de Bicêtre, fut ainsi  mise sur le compte d'une erreur de diagnostic alors que l'erreur était absolument impossible à commettre (Cf. cette  l'affaire rapportée sous les n° 73331815 & 108281777  html) 

 

Les mêmes types d'exactions ensuite commises au CHU de Mantes la Jolie furent mises sur le compte de la prétendue immaturité affective d'une infirmière. Celle qui les exécutait s'était vanté d'avoir expédié ad patres une trentaine de malades. Un si grand nombre  était inavouable.  Six seulement furent contre elle,  et elle seule, retenues. L'immaturité dont on l'accusa aurait dû la conduire non pas en prison, mais à l'hôpital psychiatrique.

 

Cette infirmière  n'avait fait que jouer le rôle qu'avait avant elle joué à l'insu de son plein gré  le Dr. Jean-Yves Beinis quand il exécutait aveuglément et  "consciencieusement" les ordres que lui avaient transmis les neurologues du CHU de Bicêtre via leur Interne Olivier Ille. Entre 1990 et 1996,  l'Interne en question était devenu le Chef du Service où Christine Malèvre exécutait ses malades - une trentaine, selon ses premières triomphantes déclarations. Un triomphe qui témoignait de ce qu'elle pensait alors n'avoir accompli que ce qui lui avait été  demandé. Alors pourquoi ne lui en avoir attribué que 6 et l'avoir libérée de prison après qu'elle n'a accompli que le 1/3 de sa peine ?   

 

J'invite donc l'AFIS, qui est parrainée par le Professeur Jean de Kervasdoué (celui-ci, directeur général des hôpitaux dans les années 1980 et directeur  de cabinet d'Edmond Hervé, aurait selon le professeur Phillippe EVEN - dit que "si l'AP - HP n'existait pas il faudra l'inventer"), à analyser ou faire attentivement analyser par des médecins moins impliqués dans des défenses corporatistes les CRHs publiés ci-après à propos de la soi-disant erreur diagnostique commise au sujet de mon père. 

 

Savamment préméditée, l' "erreur" avait en septembre 1990 faillit faire mourir mon père dans des conditions atroces  de prescriptions que l'on savait  inefficaces. Le  Dr. Jean-Yves Beinis exécutait sans se poser de questions (à l'insu de son plein gré)les prescriptions  des neurologues de Bicêtre cependant  que ceux-ci savaient très bien, pour avoir falsifié le  test de Schilling de façon à pouvoir le déclarer négatif alors qu'ils le savaient positif, que leur malade relevait du vrai traitement de la maladie de Biermer, et non de son administration à doses quasi "homéopathiques" (S'agissant d'un demi milligramme par semaine au lieu d'un milligramme par jour pendant au moins un mois, "doses homéopathiques" est ici employé dans son sens métaphorique) .

 

Le diagnostic de maladie de Biermer avait été immédiatemment porté par les Urgentistes de Bicêtre au vu de l'hemogramme de leur malade. De fait, la suite a montré que le test de Schilling était à 5%, et non à 35 %, et preuve avait été faite de l'inefficatité absolue des "antispastiques" sur le - délibérément et évidemment faux - disagnostic "d'encéphalopathie vasculaire" (sic, cf. ci-après les fausses conclusions du  CRH portées après coup par le Dr. Pascal Masnou au nom des neurologues de Bicêtre malgré l'évidente preuve qu'il s'était bien agi d'un syndrome neuro-anémique après que le malade a cessé de ne recevoir qu'un simulacre de traitement vitaminique B12.

 

L'efficacité spectaculaire du traitement spécifique de la maladie de Biermer avait été la preuve manifeste qu'il souffrait d'une avitminose B12, qu'elle qu'en ait été l'origine.

 

La vitaminothérapie  B12 a depuis fait l'objet d'études en tant que possible traitement des terribles  LEMP !  (Cf. bibliographie en fin d'article). La resurrection du malade a curieusement donné lieu à la disparition du dossier du malade au profit des médecins d'une Clinique privée, qui servait les intérêts du CNTS, comme je l'ai ensuite appris de bonne source.  Le besoin d'empêcher le malade de porter plainte contre les médecins de cette Clinique, qui bénéficiait de "hautes protections" en tant qu'elle servait à débarrasser l'A.P. - H.P. des malades qui avaient été transfusés dans mes années à risques de contaminations par des lots de sang, était-il en cause ?  

VIH +.

 

Les exécutions ultérieures de malades du CHU de Mantes la Jolie sous l'égide du même prescripteur + l'immixtion et les menaces de l'Ordre des médecins pour empêcher la malade de porter plainte contre X , + les informations venant de la police et des secrétaires de l'Ordre sur les protections spéciales dont bénéficiaient les médecins de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, alors qu'elle était la propriété d'une très riche famille liée aux pouvoirs politiques, venaient confirmer qu'il s'était agi d'une erreur intentionnellement mortelle commise par les neurologues du CHU Bicêtre (Cf. pour un suivi circonstancié de cette affaire, entre autres les articles n° 73331815 et 108281777 html).

 

Ci-après la lettre fallacieuse de l'Interne Olivier ILLE  (lettre manuscrite) adressée au Dr. Jean-Yves Beinis, Chef de l'USN du CHU Charles-Foix, qui suivra ses instructions mortifères sans se poser de questions après qu'il a été prévenu qu'il aurait à prévenir le fils du malade que l'état de son père ne pouvait qu'aller s'aggravant.

 

                                                  

                         <<                                                                       Le 22 août 90

       

  

Cher Confrère

 

Comme convenu nous vous adressons Mr Chrétien 7 9 ans hospitalisé pour troubles de la marche d'apparition rapide sur quelques semaines mais stable depuis avril mai 90.  L'étiologie n'est pas univoque ; troubles vasculaires cérébraux chez un patient hypertendu, possible participation d' une anomalie de la charnière cervico-occipitale avec impression basilaire , enfin myélopathie cervicarthrosique

Cliniquement on note une marche spastique, un syndrome tetrapyramidal réflexe, un syndrome cérébelleux cinétique, des roubles de la sensibilité proprioceptive aux membres inférieurs . Peu de déficit moteur sauf les muscles des deux mains (4) Enfin des troubles sphinctériens à type d 'incontinence d'  effort .

 

                                       Au plan thérapeutique ADALATE Lp 1 CP X 3 .

                                          Vitamine B 12 -  1 Ampoule IM / semaine

                                                 ( prescription du fils ! )

                                                           PROZAC 1 cp / J

 

.

 

 NDLR :  Notons  qu'un point d'exclamation  ponctue la "prescription du fils", ce qui veut dire  qu'il s'agit d'une prescription non nécessaire,  comme s'il s'agissait d'un prescrption aberrante alors que c'était la seule solution.  

Au verso de cette lettre, l 'Interne  Olivier Ille  poursuit:       

 

 

L'exploration de la moelle cervicale en IRM n'a pas pu être réalisée. Refus du malade pour claustrophobie / un RV de TMD du rachis cervical est pris . Enfin encours d' hospitalisation se sont démasqué des troubles légers des fonctions supérieures avec humeur dépressive , critique insatisfaisante des histoires absurdes, difficulté d'abstraction. Traitement antidépresseur d'épreuve : de suite / TDM Cérébrale atrophie cortico- sous corticale . Une rééducation motrice nous semble la solution thérapeutique la plus souhaitable pour ce malade  ( associé à de faibles doses d'antispastiques si besoin)

 

                                                               Merci de ce vous ferez pour lui

                                                                   bien Confraternellement

                                                                    O Ille interne             >>

 

 

Remarques

 

L'interne Olivier Ille, ne mentionne curieusement pas le diagnostic de syndrome neuro-anémique porté aux Urgences de Bicêtre, diagnostic qui avait motivé l'admission du malade en neuologie. Il avait pourtant ordonné au Dr. Jean-Yves Beinis de ne prescrire au malade qu'un simulacre de traitement ette maladie, mais à des  doses quasi homéopathiques, c'est-à-dire tout juste capables de retarder de quelques jours ou semaines sa fatale échéance !     

Le CR. dactylographié a lui été établi le 20 septembre 1990, donc après qu'il a été connu le malade se rétablissait spectaculairement  avec le véritable traitement des syndromes neuro-anémiques  (Cf. infra). Dans le CRH officiel, il est ni fait état du diagnostic de syndrome neuro-anémique ni du  traitement vitamine B12 administré a minima mentionné (avec un point d'esclamation)  dans la lettre du 22 août 1990, mais de ce que le patient "se plaint de difficultés à la marche d'installation rapidement progressive au décours d'une intervention orthopédique". Difficultés  déclarée "stable depuis deux mois" . A la date,du 20 septembre1990 les neurologues savaient que le malade n'avait pas succombé au faux semblant de traitement auquel ils l'avaient soumis par l'entremise du Dr. Beinis. Les tenants et les aboutissants de cette ''savante'' embrouille ?  Une tentative d'assassinat par procurations étagées, à dessein rendues difficile à cerner et à démonter.

 

Il était  illogique de confier à un Interne un cas qui par la suite a été déclaré avoir été une  "erreur"  de diagnostic.  Le diagnostic de syndrome neuro-anémique, avait été récusé alors qu'il était évident !  C'était en fait le Chef de Clinique Pascal Masnou qui s'était occupé du malade. Le fils du patient n'a jamais eu affaire à l'Interne Olivier Ille, mais toujours au Chef de Clinique, avec qui il discuta longuement du test de Schilling, qui s'était montré cliniquement positif, donc du bon diagnostic fait à l'admission du malade. Dans cette affaire, l'interne a surtout servi d'intermédiaire pour endosser la responsabilité d'ordres criminels venus de sa hiérarchie. Le compte-rendu relatif à la ré-hospitalisation du malade entre le 19 et 26 février 1991 a d'ailleurs été fait par le Dr. Pascal Masnou, qui l'a signé, et rédigé de façon à escamoter encore et toujours les faits montrant qu'il s'était bien agi d'un syndrome neuro-anémique, tels le Schilling à 5% et un MMSE remonté à 3O/30 sous l'effet du vrai traitement cobalaminique. Il l'a rédigé sous la responsabilité présente et active du Pr. Saîd de façon à pouvoir nier la réalité en prétendant que le malade souffrait d' ''encépahalopathie vasculaire '' (sic), c'est à dire d'une affection due à la fatalité et contre laquelle la médecine ne peut pas grand chose. . Ayant été à ''bonne école'', c'est à dire à celle de l'hypocrisie et du mensonge, lorsqu'il sera lui même devenu Chef de Service au CHU de Mantes-la-Jolie., le Dr. Olivier Ille reproduira le procédé de la mise à mort des malades à éliminer en usant des services de sa toute dévouée Christine Malèvre.

 

Quant à cette histoire d' IRM refusée pour cause de claustrophobie, elle ne fut en réalité pas refusée parce que le malade était claustrophobe (il ne l'a jamais été) , mais parce que, pris dans son délire et son angoisse, le malade fantasmait que cette machine était destinée à le faire discrètement disparaître.

Dans sa lettre du 22 septembre 1990, l'Interne Olivier Ille écrit : << troubles de la marche d 'apparition rapide sur quelques semaines mais stable depuis avril mai 90 >>.

En réalité, les'' troubles de la marche '' étaient apparus progressivement plus d'une année avant l'intervention du podologue. Ces '' troubles '' n'étaient pas du tout ''stables'',. ils avaient augmenté graduellement, puis s'étaient rapidement aggravés au décours de la double l'opération à prétention ''orthopédique'' du Dr. Antoine Denis. Très imbu de luI-même, celui-ci avait subrepticement et même très brutalement infligée imposé cette opération à son patient après qui lui a proposé un acte mineur : la cure d'un cor, une petite intervention cotée K20, qui se fait sous garrot d'orteil et anesthésie locale. Elle ne devait porter que sur un orteil, et non pas sur les deux pieds pour soi-disant remédier à la mauvaise «morphostatique» de ceux-ci , péremptoirement accusée par l'opérateur d'être responsable des ''troubles de la marche'' de son client. Les opérateurs (le Dr. Antoine Denis et l'anesthésiste, dont on ne sait toujours pas si ce fut madame Parent-Decourtieux ou mademoiselle Edith Elmelik ) étaient motivés par le chiffre d'affaire de la Clinique Elmelik, alors à vendre. Leur vraie motivation, entre autres (Cf. infra) - augmenter au maximum le chiffre d'affaire de la Clinique pour pouvoir tirer le meilleur prix de sa vente - fut déclaré licite par le Dr. Pierre Brassart, alors Conseiller de l'Ordre des médecins de l'Île de France. Le Dr.Brassaert avait été nommé Conseiller-Rapporteur du Conseil disciplinaire au sujet de cette affaire en remplacement du Dr. Patrice Bodenan, disqualifié pour avoir été illégitimement nommé par le Président Jean Pouillard.

L'intervention qualifiée d' «orthopédique» dans le CR fut faite le 25 mai 1990 au cour du long Week-End de l'Ascension. L'opérateur avait ainsi réussi à échapper aux multiples interdictions qui frappaient l'accomplissement de ses intentions : celles du Code de déontologie, du Code Pénal, la nôtre, et celle du cardiologue  du patient , le Dr. Joseph Heller; Non seulement c'était en elle-même une faute grossière que d'opérer sans prévenir et sans nécessité aucune un patient, et de surcroît des deux pieds à la fois, mais un crime assimilable à un viol, ce que les médecins du Service de neurologie n'ont surtout pas voulu pointer.

 

Le fils du patient, c'est-à-dire l'auteur de ces lignes,  finira bien après par comprendra pourquoi les médecins de la Clinique Elmelik pouvaient se permettre de faire n'importe quoi sans s'inquiéter des conséquences..

...............................................................................................

 

Ci-après les CRHs de Bicêtre daté du 20 septembre 1990 et du 19 février 1991 alors qu'il était alors bien connu du Service de neurologie que le malade avait échappé à la mort et se rétablissait sous l'effet d'un authentique traitement vitaminique B12 mis en route par le fils du patient

 

                                     HÔPITAUX  -   ASSISTANCE

                                         PUBLIQUE DE PARIS

 

 

 

COMPTE RENDU D'HOSPITALISATION

 

                                                                                                                    1/2

 

Concernant M. C. hôpital BICETRE

 

 

Fait le : 20 9 90                                                                          Service NEUROLOGIE

 

 

 

Par le dr : O. Ille. IHP                                                                                      Hospitalisation du 03 au 22/08/9F

.

 

 

 

SIGNATURE

:

 

DESTIINATAIRE

Dispensaire Municipal - Rue des Tournelles - 94 L'HAY LES ROSES

Service Médecine du Dr KERNEIS - Hôpital Ch FOIX - Case 42

Dr El -LRODT - Sce des Urgences - Hôpital BICÊTRE

 

 

 

MOTIF DE L’HOSPITALISATION

 

Troubles de la marche

 

ANTECEDENTS

 

HTA essentielle, ancienneté inconnue.

Intervention orthopédique pour orteils en marteau en Avril-Mai 90

Prothèse totale de hanche gauche opérée en 84 pour coxarthrose

HISTOIRE DE LA MALADIE

Se plaint de difficultés à la marche d’installation rapidement progressive au décors de l’intervention orthopédique,

Stable depuis deux mois, la marche est hésitante, la montée des escaliers n’est plus possible, tendance à la rétropulsion et à la chute, le patient étant obligé de se déplacer avec un déambulateur;

EXAMEN CLINIQUE

 

Etat général conservé. Apyrexie. Tension fluctuante à l’entrée entre 18/12 et 20/12

La station debout et la marche sont très difficiles petits pas.

Membres inférieurs en hyper-extension. Polygone de sustentation légèrement élargi. Tendance au piétinement et

à la rétropulsion.

L’occlusion aggrave l’équilibre

Au plan neurologique on objective un déficit moteur discret prédominant sur les raccourcisseurs aux membres

inférieurs et coté à 4 +. Aux membres supérieurs les petits muscles des mains interosseux et lombricaux sont

discrètement déficitaires à 4. Le tonus est spastique. Les réflexes pyramidaux aux quatre membres, jusqu’en C 4 :

Babinski bilatéral

   

Au plan de la sensibilité, pas d'astéréognosie. Les troubles prédominent aux membres inférieurs sur la sensibilité

proprioceptive. La sensibilité extéroceptive semble normale, bien que fluctuante d'un examen à l'autre et avec une hypo-esthésie au chaud et au froid et à la douleur en chaussette. Il existe une discrète incoordination motrice bien nette aux membres supérieurs avec hypermétrie. L'examen des paires crâniennes est normal en dehors des réflexes du voile abolis. Enfin, il existe depuis deux à trois mois une incontinence sphinctérienne avec mictions impérieuses. EXAMEN CARDIO-VASCULAIRE: Pouls régulier, pas de souffle cardio-vasculaire. Le reste de l'examen clinique est sans particularité en dehors une tendance dépressive de l'humeur, une critique insuffisante des histoires absurdes chez cet ancien opticien et des capacités d'abstraction qui semblent altérées.

Le mini mental est évalué à 25/30.

DISCUSSION

Myélopathie cervicale, affection dégénérative, encéphalopathie vasculaire.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES

EXAMENS COMPLEMENTAIRES

Biologie usuelle normale. . Hémogramme, hémostase, vitesse de sédimentation, ionogramme, glycémie, fonctions hépatomégalies, fonctions phosphocalciques, électrophorèse des protéines sériques, vitamine B12, pholates sériques, test de SCHILLING normaux . Sérologie syphilitique négative. . Infection urinaire à acinectobacter traitée et stérilisée par NOROXINE … … Radiographie rachis cervical et charnière cervico-occipitale : impression basilaire, arthrose cervicale modérée … Scanner cérébral : atrophie cortico-sous-corticale. Aspect de leuco-araiose mais le scanner est de mauvaise qualité, l’analyse de la substance blanche est difficile. … Une IRM du rachis cervical avait été proposée pour étayer l

e diagnostic d'une myélopathie cervicale mais non réalisée devant une peur panique du patient deux jours avant l'examen.

CONCLUSION

TROUBLES DE LA MARCHE EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX

UNT RAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT ETRE BENEFIQUE

PAS D’INDICATION OPERATOIRE

SYNDROME DEPRESSIF TRAITE PAR PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR

REVALUATION DES FONCTIONS SUPERIEURES APRES TRAITEMENT

PATIENT TRANSFERE DANS LE SERVICE DE MEDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX

.......................

 

A comparer au CH établi six mois plus tard en février 1991 par le Chef de Clinique  Pascal Masnou

 

 

                                              HÔPITAUX  ASSISTANCE

 

                                                     PUBLIQUE DE PARIS

 

 

 

Neurologie de l'Hôpital Bicêtre.

 

 

Patient de 80 ans ré-hospitalisé pour reprise des explorations d'un trouble de la marche évoluant depuis plusieurs mois.

 

ANTECEDENTS : CF. CRN (D'AOÛT 90)

Depuis sa sortie, le patient garde des troubles de la marche qui semblent être stabilisés.

 

EXAMEN CLINIQUE

Marche à petits pas hésitante.

Pas de signe de Romberg.

Possible petit déficit moteur de l'hémicorps gauche.

Syndome tétra pyramidal réflexe.

Incontinence urinaire d'effort.

Difficultés mnésiques, sans trouble des fonctions supérieures majeures.

 

EXAMEN COMPLEMENTAIRES

 

Scanner cérébral : aspect inchangé : atrophie cortico sous corticale, hypodensité de la substance blanche diffuse.

Electroencéphalogramme : pas d'anomalie significative.

EMG : pas de signe de neuropathie périphérique franc.

Test de Schilling : interprétation délicate du fait de l'absence de recueil complet des urines.

Noter que le test de Schilling effectué quelque mois précédents, était normal.

 

AU TOTAL

 

Encéphalopathie vasculaire  (?! ndlr)

 

 

BIBLIOGRAPHIE

 

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78

"Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".

3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.

4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"

5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).

6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".

7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"

8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"

9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"

10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".

11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".

12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"

13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"

14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"

15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"

16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".

17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)

18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).

19 - Revue Neurogique 2006;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0

commentaires

E
J'apprécie votre blog , je me permet donc de poser un lien vers le mien .. n'hésitez pas à le visiter. <br /> Cordialement
Répondre