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19 décembre 2013 4 19 /12 /décembre /2013 17:24

Il est rapporté en 2008  dans un article de  "Médecine thérapeutique" que la description princeps d'un syndrome pernicieux cliniquement le sosie de la maladie de Biermer a été publié en 1973 dans un article de "Gastroenterology". Cette description serait selon cet article "restée sans suite"  (Cf. Andrès E. et al.  Médecine thérapeutique,  mai-juin 2008  vol. 14 n°3  p. 156-61,  "Une nouvelle cause de carence en vitamibne B12 chez l'adulte : le syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses ou maldigestion des cobalamines alimentaires "  et  Doscherholmen et WR. Swain,   Gastroenterology 1973 : 64 : 913-9  "Impaired assimilation of egg Co vitamin B12 in patients with hypochlorhydria and after gastric resection").


Ce syndrome, qui a désormais reçu en France l'appellation siglée syndrome NDB12PP est présenté par Andrès et al. comme entité une nosologique nouvelle deux  fois plus répandue que la maladie de Biermer serait donc très paradoxalement resté ignoré des médecins les plus directement concernés, à savoir des gériatres, des hématologues, des neurologues, des nutritionnistes, des psychiatres et a fortiori des généralistes jusqu'au milieu des années 1990  alors qu'il provoque des désordres neurologiques, psychiatriques et biologiques sensiblement similiaires à ceux que détermine la maladie de Biermer et que son traitement spécifique est celui dévolu à la maladie de Biermer.


Il y a dans ce qui est présenté comme une entité clinique nouvelle très répandue (elle  touche selon les auteurs qui ont publié à son propos 20 à 30% des sujets âgés de plus de 65 ans) quelque chose de paradoxal et même d'incompréhensible : on a assez vite compris que des états neuro-anémiques étaient  causés par la bothriocéphalose ( ), une causalité assez rare, et l'on a mis beaucoup plus longtemps à comprendre que des états analogues très fréquemment rencontrés n'étaient pas diagnostiqués ni reliés à leur cause alors qu'ils sont plus banalement dus à une non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses. Ils pouvaient et étaient être dans  leur symptomatologie confondus avec la maladie d'Azheimer ou avec une encéphalopathie vasculaire, comme cela s'est vu  dans le cas rapporté ci-après, pour autant qu'il se soit agi d'une NDB12PP et non d'une LEMP  (voir sur ce site-blog articles précédents).


Alors que ce si fréquent syndrome se manifeste par  une sympomatologie similaire parce que commune aux carences vitaminiques B12, malgré l'importance qu'il y a à le connaître et à savoir le diagnostiquer à cause de sa fréquence Il reste malgré les nombreux articles qui lui ont été consacrés depuis sa redécouverte  encore largement méconnu des praticiens des anciennes générations. Mais moins des nouvelles, ainsi que j'ai eu l'occasion de m'apercevoir lorsque j'en ai parlé à des confrères puisqu'enseigné au cours du cursus universitaire


C'est pourquoi, confronté que j'ai été en 1990 à ses manifestations et à la méconnaissance et donc à la non reconnaissance de ce qui ressemblait fortement à une forme très sévère de maladie de Biermer comme à une LEMP et à  syndrome NDB12 PP chez un malade de 79 ans - il en était si fortement affecté qu'il a été tout près d'en mourir - voir sur ce site-blog "Une nuit vitaminée), à l'imitation du Dr. Irène Frachon exposant sa découverte des effets cardiotoxiques du Médiator, j'ai  titré d'un de mes précédents articles "La méconnaissance du NDB123PP combien de morts ? "
Preuve est que cette méconnaissance restée actuelle le "Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux" des Prs. Philippe Even et Bernard Debré (Ed. Le cherche midi).


Les auteurs y précisent en effet dans une note au bas de la page 690 : "Les vitamines sont des thérapeuthiques de premier ordre lorsqu'elles sont indiquées par une carence démontrée ou prévisible, béribéri, Biermer, etc. Dans l'immense majorité des cas, hormis la vitamine D, elles sont totalement inutiles en occident, sauf les vitamines B12 et K dans de rares circonstances". On les circonstances dans lesquelles la vitamine B12 est non seulement utile mais absolument nécessaire ne sont pas rares si  12 à 20 % des individus de plus de 65 ans sont concernés par le syndrome NDB12PP.  Certains auteurs, dont Emmanuel Andrès, avancent jusqu'à 40 % des individus vivant en institution 


On en a dit autant des antibiotiquess alors qu'on leur doit la quasi disparition des complications cardiaques du R.A.A. (du rhumatisme articulaire aiguê)


C - Je n'étais pas d'accord avec leur raisonnement pour plusieurs raisons

1° La passation du test avait démontré que si on ne pouvait affirmer que les symptômes du malades (voir lesquels sur le site web n° 69970222 html) ne relevaient pas forcément de la maladie de Biermer, du moins relevaient-ils d'une sévère carence vitaminique B12. Les désordres neurologiques avaient très significativement régressés durant les quelques jours qui avaient suivi la passation du test. Sachant que sa pratique se fait en administrant au moins 1 mg de vitamine B12 en IM, c'est-à-dire une dose en elle-même déjà thérapeutique, il n'était pas difficile d'en conclure que même si le diagnostic de maladie de Biermer pouvait à la rigueur être réfuté à cause de la normalité des données chiffrées du test de Schilling fait le 7/08/90, il n'y avait aucun inconvénient à administrer cette vitamine comme s'il s'agissait d'une maladie de Biermer,

2° C'était sur le diagnostic de probalité de maladie de Biermer aux Urgences de l'hôpital que le malade avait été admis en neurologie. Ce diagnostic avait tout de suite été évoqué par les urgentistes au terme de leur examen neurologique et à la lecture de l'hémogramme revenu du laboratoire. Le diagnostic de syndrome neuro-anémique et de maladie de Biermer probable avait été la raison du transfert du malade en neurologie, quoiqu'il ne figure pas dans le CRH de première admission ... pas plus qu'il ne figure sur celui de sa réhospitalisation six mois plus tard au cours de laquelle un nouveau test a été réalisé, qui à 5% était en faveur de l'affirmation du diagnostic de maladie de Biermer.

3° Le malade avait depuis quelques mois développé un délire hypochondriaque sur lequel s’était greffé un délire de Capgras.

C- Le malade qui faisait problème était mon père. Compte tenu de ce que les symptômes qu'il présentait, tant physiques que psychiatriques et hématologiques plaidaient en faveur d'une carrence vitaminique B12, j'avais instamment demandé à ce que le malade soit traité comme s'agissant d'un malade victime d'une maladie de Biermer

Devant mon insistance à ce que cette vitamine lui administrer malgré l’apparente et la prétendue normalité de ce test; Pour faire taire ma demande et ne pas administrer la vitamine B12 au malade il la contournèrent en ne lui faisant administrer qu’un faux-semblant du traitement. Les circonstances qui avaient motivé ce simulacre d’administration de traitement a été mis en ligne de façon détaillée sur les sites web 34640255, 68870222, 73331815 et 108281777 html.

La découverte attribuée à Doscherholmen et Swain a été exposée bien des années plus tard par Emmanuel Andrès avec d’autres auteurs dans une série d’articles de diverses revues médicales françaises, européennes et américaines, les premières à partir de 1994 en ce qui concerne E. Carmel. En 2001 dans Am. J. Med en ce qui concerne Emmanuel Andrès (selon la bibliographie de la Revue "Médecine thérapeutique" ci-dessus citée)

D - En janvier 1994, dans leur CR d’hospitalisation, l’Interne du Service de neurologie du CHU de Bicêtre résume ainsi le cas du patient de 82 ans ½ qui vient de passer 3 jours dans le Service pour cause de violente céphalalgie :

 

(ndlr : les CRH précédents concernant ses hospitalisations en août 1990 et février 1991 sont rapportés au n° 69970222 html, ils sont importants à connaître à titre de comparaison avec ce qui est rapporté dans ce CRH daté du 7 au 10 janvier 1994) :

<< Patient de 82 ans, hospitalisé pour céphalée aiguë.

ANTECEDENTS ET HISTOIRE DE LA MALADIE

- cf CRH précédents (
Pour mémoire : syndrome démentiel mal étiqueté évoluant depuis 3 ans. Il vit actuellement à domicile avec une garde-malade 24h/24; son épouse est atteinte d’une maladie d’Alzheimer.
Histoire récente : la veille de l’hospitalisation, le patient se plaignait toute la journée de céphalées assez intenses , pas de vomissements.

EXAMEN CLINIQUE


Vigilance normale. Somnolence constatée dans la journée habituelle. Apyrexie. TA 15-9, pouls 80.
L’examen est difficile (patient peu coopérant) mais ne montre pas de déficit moteur ou sensitif; pas de syndrome méningé; pas d’HLH; mobilité oculmaire normle; auscultation pulmonaire normale; abdomen souple.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES
- Bilan biologique normal

EVOLUTION
Il ne se plaint plus de céphalées

AU TOTAL : Syndrome démentiel évoluant depuis 3 ans
Céphalées traitées par Dafalgan 2 gélules x 3/J si besoin
Traitement habituel à la sortie + ordonnance pour aide
soignante à domicile une fois par jour + certificat pour aide ménagère.

……………………………………….......

NDLR :

1 - On note que la TA est à 15/9 en janvier 1994 au lieu des 24/13 qu’elle était au matin du 25 en mai 1990 avant que le patient ne subisse la double opération orthopédique que lui a alors subrepticement infligé de sa propre autorité et sans crier gare le rhumatologue de la Clinique Elmelik, à l’Haÿ-les-Roses. Ce rhumatologue se faisait passer et se prenait pour un chirurgien orthopédiste. Il avait transgressé les interdits qui lui avaient été signifiés et par le cardiologue du patient, le très consciencieux Dr. Joseph Heller, par moi-même. Il prétexta après-coup que son intervention était justifiée par la mauvaise morphostatique des pieds de son patient. Il l‘avait corrigée - avec succès affirma-t-il au Conseil disciplinaire de l’Ordre, - sans tenir compte de l’avis du cardiologue ni celui du fils du patient parce que lui seul était compétent pour savoir ce qu’il y avait à faire qui avalisa son raisonnement, pour remédier aux difficultés qu’à l’époque son patient éprouvait de plus en plus à marcher.

2 - Dans la quizaine de jours qui a suivi cette quatrième hospitalisation à Bicêtre (la quatrième avait eu lieu en juin 1991 en chirurgie, motivée par l'obligation où on s'était trouvé de changer un prothèse de hanche déscellée) mon père a été victime d'un petit ictus, qu'il a réussi à surmonter. Il est subitement décédé à l'hôpital Charles-Foix le 2 octobre 1994 à l'issue d'une hospitalisation pour un épisode bronchitique alors qu'il était porté sortant pour le lendemain. Aucune recherche sur lacause de sa mort ne fut faite malgré ma demande et malgré (ou à cause ?) de l'intérêt qu'il y avait à la connaître étant donné ce qui s'était passé en août-septembre 1990 (Cf. "blog de leon - une nuit vitaminée")


3- "It was at 1990 since several decades well known that an aetiology to neuro-psychiatric disturbances in elderly patients may consist in cobalamin (vitamin B12) deficiency, mainly by ileum malabsorption, as in Biermers' disease, but not only in the elderly and because Biermers' disease : gastrectomy, ileum resections, Zollinger-Ellison syndroma, pancreatitis, bothriocephalosis, intestin bacterial massive pullulement, vegetarianism, drugs metabolic interferencies, E.D.T.A., P.A.S, N²O, colchicine, éthanol, neomycine, where known as less common causes to B12 vitamin defiency. Very rarely an inborn abnormal B12 cell metabolism is involved in aduld. Sever cobalamin desprive is rapidly lethal in the absence of diagnosis and cobalamin supplies" .

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 17:44

J'ai dû intervenir en septembre 1990 pour sauver la vie de mon père alors qu'il était hospitalisé en neurologie dans un Service de l'Assistance Publique.

Il avait été laissé pour compte, c'est-à-dire sans recevoir le remède simple et sans danger qui s'imposait et qui aurait pu immédiatement le rétablir dans ses fonctions, à savoir le traitement normalement dévolu à la maladie de Biermer. Il en présentait en effet les symptômes cliniques, si ce n'est biologiques biologiques, le principe fondamental étant en médecine que "la clinique prime le laboratoire". Je l'avais rappelé au Dr. Masnou afin qu'il le mette en application  malgré la  "normalité"  - réelle ou prétendue ? la question est restée pendante - du test de Schilling (successivement  évalué à 35% puis à 5%  !? ).

Prétextant  la normalité de ce test, censé être spécifique de la maladie de Biermer, le Dr. Pascal Masnou m'avait décrit le cas de mon père non pas comme celui lié à la maladie de Biermer,  mais le cas  d'un malade atteint d'une "encéphalopathie vasculaire" (sic) probablement compliquée d'une maladie d'Alzheimer, c'est-à-dire d'un type de démence qui à cette époque était habituellement dénommé une "DTA" (Démence de Type Alzheimer).

 

Cette vague terminologie a depuis été légitimement abandonnée au profit de celle de "syndrome NDB12PP"  (syndrome de  non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses),  une entité nosologique beaucoup moins péjorative puisqu'elle permet aux malades de bénéficier d'un traitement simple et salvateur, celui de la maladie de Biermer,  alors qu'à la  DTA  était attaché le pronostic  d' "une inéluctable dégradation". Une dégradation qui  effectivement se produisait alors que les malades atteints de NDB12PP auraient pu bénéficier d'un traitement salvateur.  

Si ce n'est à cause de la surprenante résurrection de mon père sous l'effet de ce traitement, le fait est que l'individualisation de cette entite a été reconnue et acceptée après que j'ai mis en application le traitement de la maladie de Biermer  ce qui concernait une soi-disant DTA .

 

J'étais avec ce traitement  parvenu à faire mentir le pronostic des Drs. Pascal Masnou et Jean-Yves Beinis  alors que mon père venait de  plonger dans le coma. Il se trouvait alors dans un état absolument épouvantable (décrit sur le site Web n°  108281777 html). Le Dr. Beinis ne s'en émouvait nullement, prévenu qu'il avait été par les neurologues qui l'avaient fait transférer dans son Service que tel allait être l'évolution du malade qu'ils lui avaient adressé : une inéluctable dégradation.  Dixit la déclaration péremptoire du Dr. Jean-Yves-Beinis dans l'après midi du 22 août 1990,  alors qu'il venait de le recevoir dans son Unité de Soins Normalisés  de hôpital Charles-Foix.  

Trois semaines plus tard, je dus intervenir in extremis. Mon intervenir consista tout simplement à administrer réellement le traitement de la maladie de Biermer, c'est-à-dire un traitement vitaminique B12 drastique et prolongé, traitement que ses médecins n'avaient jusque-là fait que simuler pour me faire taire.

Sa resurrection démontra l'inanité du concept de DTA au profit de syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal,  une entité depuis  publiée sous l'appellation DNB12PP ( "syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses").

CONCLUSION : La normalité du test de Schilling  avait en 1990 fait rejeter le diagnostic de maladie de Biermer alors que celui-ci  s'imposait cliniquement 

 

(voir Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients").   

J'avais vainement essayé de faire valoir que son état n'était pas si désespéré qu'il avait été dit par les neurologues de Bicêtre en demandant que le malade soit traité comme si son cas relevait de la  maladie de Biermer malgré la normalié du test de Schilling.

La resurrection du malade via le traitement de la maladie de Biermer ne fit curieusement pas du tout plaisir aux neurologues de Bicêtre.

 

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17 octobre 2013 4 17 /10 /octobre /2013 17:25

J’ai payé très cher  le fait de m’être opposé en août-septembre 1990 à l’avis d’une savante équipe de neurologues d’un CHU de l’AP - HP.

 

J'avais prétendu qu'un test de Schilling négatif n'éliminait forcément pas le diagnostic de maladie de Biermer. C'était comme si j'avais blasphémé, mais cela m'avait permis de sauver la vie du malade qui avait été sur ce diagnostic hospitalisé dans ce Service (le test de Schilling était en réalité positif, ce que l'on avait pris soin de me cacher).  

 

Il s’agissait de mon père, alors âgé de 79 ans.  Il était alors à l’évidence atteint d’un syndrome neuro-anémique sévère. Sa maladie avait commencé à se manifester en début d'année par des douleurs profondes et une fatigabilité à la marche de plus en plus grande, douleurs sur lesquelles étaient venus se greffer un délire hypochondriaque et  délire de Capgras (un train peu en cacher un autre : voir son cas détaillé sur les sites n° 69970222 "complications psychiatrique de la maldie de Biermer";  73331815;  et 120497260 html et "complications MJ du délire de Capgras".   

 

Le diagnostic de syndrome neuro-anémique fut immédiatement évoqué à son admission aux Urgences du CHU de Bicêtre au vu des résultats de hémogramme et du tableau neurologique. C'était rassurant dans la mesure où ces états sont accessibles à un traitement efficace : la vitamine B12 est dans ces cas  à administrer le plus vite possible, de façon intensive et prolongée. 

 

Le diagnostic de syndrome neuro-anémique ne faisant aucun doute, je crus que mon père était sauvé. C'était oublier que le malade  avait été transfusé en 1984 et qu'il venait de subir une double opération orthopédique de la part d'un médecin (non pas d'un chirurgien). Celui-ci prétendit avoir voulu  corriger ses troubles de la marche soi-disant dus à une mauvaise morphostatique" (sic).

 

L'opération, qui était illicite, avait malheureusement eu lieu à la Clinique Elmelik, sise à l'Haÿ-les-Roses, dans la Commune où habitait le patient. 

 

J'ai appris le 23 janvier 1991 de la police que c'était  une Clinique dans laquelle les médecins pouvaient se permettre de faire n'importe quoi. Elle était en effet  était "protégée en haut lieu" (par le parquet et l'Ordre des médecins). Les plaintes étaient si nombreuses que le Commissariat en avait par dessus la tête de les enregistrer. Toutes étaitent systématiquement "bloquées au parquet". La police aurait bien voulu savoir pourquoi. L'explication  de la police était que ses propiétaires étaient "milliardaires" (en fait les héritiers d'une grande banque française, selon le  Dr. Jules Fineltain, qui semblait les connaître).         

Quoi qu'il en soit, le Service de neurologie qui recueillit le malade après l'opération se réclamait de l’Inserm. La maladie de mon père s’intégrait complètement à ce qui était le domaine de recherche de ce Service, qui proclamait l'importance des traitements vitaminiques dans les affections neurologiques.  Des affiches placardées dans les couloirs dudit Service allait jusqu'à solliciter la participation financière des familles de malades à ses  recherches.

Patatras : au prétexte que le test de Schilling était négatif, les neurologues décidèrent de que leur malade était au dessus de tout recours thérapeutique. Il en oublièrent au passage l'adage, fondamental en médecine,  que ‘‘la clinique prime le laboratoire’’. Ce principe est enseigné à tous les étiudiants lors de la leçon inaugurale des études médicales. C’était  le professeur Henri Péquignot qui s'était chargé d'inculquer ce sage principe aux étudiants de première année. J'avais rappelé ce principe au Dr. Pascal Masnou, qui s’occupait de mon père à l'hôpital Bicêtre, mais il s'empressa de ne pas suivre mon avis. Il ne fit que semblant de faire administrer le traitement de la maldie de Biermer.   

Cinq semaines après son hospitalisation, mon père présenta une glossite de Hunter, très significative des états neuro-anémiques. Quelques jours plus plus tard, il plongeait dans le coma. Il était alors dans un état épouvantable. Cela ne suscita que l’indifférence du Chef de Service, le Dr. Jean-Yves Beinis, prévenu qu’il avait été par les neurologues de Bicêtre que ce serait le "cours normal de sa maladie". Les infirmières de l'Unité de Soins Normalisés où  mon père avait été transféré ne l’entendirent pas ainsi : l’une d’entre elle me fit savoir que le traitement cobalaminique que le  Chef de Service de cette USN lui avait demandé d’administrer ostensiblement devant moi était fictif.

Je compris dès lors tout de suite que l’effroyable dégradation de l’état du malade n’était pas l’expression d’une  ‘‘encéphalopathie vasculaire’’, ni celle d’une prétendue  maladie d’Alzheimer,  pas plus que celle d’une tumeur cérébro-spinale, comme le Chef de Clinique  me l’avaient lourdement fait entendre à Bicêtre, mais celle du simulacre de traitement de la neuro-anémie de Biermer diagnostiquée à l’admission du malade à Bicêtre. Je fus dès lors contraint, alors que mon père venait de sombrer dans le coma et était tout près de mourir, d'instituer par moi-même le traitement protocolaire des états neuro-anémiques.  Ce qui eut pour effet faire émerger le malade de son coma et de le rétablir dans ses fonction intellectuelles, mais aussi de rendre étrangement furieux les responsables de ce simulacre,. Ils s’empressèrent dès lors  de déclarer perdu le dossier du malade, et de fabriquer  un compte-rendu d’hospitalisation savamment travaillé pour brouiller les cartes.

Mon intervention fit grand bruit. Après que j’ai été l’objet de railleries et de persécutions ordinales, tout s’est passé  dans les années qui suivirent comme si elle avait été à l’origine d’une découverte importante, à savoir qu’il existait de très nombreux syndromes neuro-neuro-anémiques dus à un trouble métabolique de la vitamine B12 non assimilable à la maladie de Biermer, ainsi que l’a rapporté en 2003 un article de la Revue de Médecine Interne  intitulé  ‘‘Carences en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non-dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Étude de 60 patients’’, un article  qu'il est possible de consulter sur Internet. 

Je viens cette semaine d’en faire part à madame Marisol Touraine, ministre de la Santé, ainsi qu’à madame Michèle Delaunay, en tant que médecin et ministre en charge des personnes âgées.

Après que mon père a porté plainte contre les médecins de la Clinique Elmelik, sachant cette Clinique était protégée par l’Ordre, les neurologues du CHU de Bicêtre se sont solidarisés avec les médecins de cette Clinique et se sont entendus avec l’Ordre des médecins. L’Ordre fit dès lors tout son possible pour décrédibiliser mon témoignage. C’est ainsi que le neurologue François Chedru rédigea une expertise mensongère pour absoudre les médecins de la Clinique Elmelik. Il la fit co-signer par les Prs. André Lienart  et René-Claude Touzart alors qu’il savait pertinemment  que les fautes qui avaient été commises étaient de la plus grande gravité; tellement lourdes que son excellent confrère Michel Serdaru de la Fédération Française de Neurologie  avait dit de celles-ci que ne serait-ce que le centième de celles-ci méritait un procès. Le Dr. Chedru  m’avoua cyniquement  l’avoir sciemment  ''bidonnée" cinq mois après l'avoir délivrée au juge qui l'avait chargé d'expertiser l'affaire. Un nom lieu s'en suivi, malgré une contre-expertise accablante (Cf. "un non-lieu abusif" site n° 116448271 html. Cet article est suivi d'une bibliographie indicative)

 

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9 août 2013 5 09 /08 /août /2013 16:35

Cet article sera plus facile à comprendre pour les lecteurs informés de ce qu'est la maladie de Biermer, aussi dénommée  neuro-anémie pernicieuse, qui est la plus fréquente cause des syndromes neuro-anémiques. 

   

Affectant le fonctionnement des cellules cérébrales, ces affections dysmétaboliques se compliquent  très souvent de troubles anxieux et neuropsychiatriques, troubles qui peuvent être les premières manifestations cliniques.

  

Les troubles psychiatriques cèdent non pas avec l'administration d'antidélirants mais sous vitaminothérapie B 12 intensive et prolongée. Une bibliographie est rapportée en fin d'article. Cf. en particulier l'article n° 18, qui se rapporte au délire de Capgras (aussi appelé délire des sosies), qui a été dans le cas rapporté une des premières manifestation de ces affections. 

                                                           -/- 

 

L'AFIS (Association Française pour l'Information Scientifique) s'est donné pour but de promouvoir la science contre ceux qui usent de son nom pour couvrir des oeuvres malfaisantes.  

 

Or dans son numéro de juillet 2013 (n° 305) Science & pseudo-sciences fustige les pseudo-médecines, et avec celles-ci Anne-Sophie Michat, une journaliste de "Marianne" coupable d'un article intitulé "Comment soigner autrement" (page 58, article de Jean-Paul Krivine). 

 

C'est pourquoi Jean-Paul Krivine et l'AFIS feraient bien de se pencher scientifiquement, c'est-à-dire objectivement et impartialement, non seulement sur les pratiques des médecins homéopathes, des acupuncteurs et de ceux qui se veulent "psychanalystes", mais aussi sur les pratiques de médecins dits ''allopathes",  et d'experts judiciaires assermentés quand ils discréditent la médecine en produisant des expertises de pure complaisance pour voler au secours de délinquants.

   

Sous couvert de l'Inserm et de l' "éthique médicale", ces "allopathes"  détournent sciemment les données de la médecine scientifique pour masquer les exactions des susdits, des exactions qu'ils savent délibérément mortelles, que celles-ci soient commises dans les hôpitaux de l'A.P. - H.P. ou dans des Cliniques privées. Telles celles qui ont été commises dans les années 1990 pour échapper à ce qui relevait de la responsabilité de ses Services dans les contaminations nosocomiales au VIH.  

 

Celle, mortelle,  qui fut commise au CHU de Bicêtre, fut ainsi  mise sur le compte d'une erreur de diagnostic alors que l'erreur était absolument impossible à commettre (Cf. cette  l'affaire rapportée sous les n° 73331815 & 108281777  html) 

 

Les mêmes types d'exactions ensuite commises au CHU de Mantes la Jolie furent mises sur le compte de la prétendue immaturité affective d'une infirmière. Celle qui les exécutait s'était vanté d'avoir expédié ad patres une trentaine de malades. Un si grand nombre  était inavouable.  Six seulement furent contre elle,  et elle seule, retenues. L'immaturité dont on l'accusa aurait dû la conduire non pas en prison, mais à l'hôpital psychiatrique.

 

Cette infirmière  n'avait fait que jouer le rôle qu'avait avant elle joué à l'insu de son plein gré  le Dr. Jean-Yves Beinis quand il exécutait aveuglément et  "consciencieusement" les ordres que lui avaient transmis les neurologues du CHU de Bicêtre via leur Interne Olivier Ille. Entre 1990 et 1996,  l'Interne en question était devenu le Chef du Service où Christine Malèvre exécutait ses malades - une trentaine, selon ses premières triomphantes déclarations. Un triomphe qui témoignait de ce qu'elle pensait alors n'avoir accompli que ce qui lui avait été  demandé. Alors pourquoi ne lui en avoir attribué que 6 et l'avoir libérée de prison après qu'elle n'a accompli que le 1/3 de sa peine ?   

 

J'invite donc l'AFIS, qui est parrainée par le Professeur Jean de Kervasdoué (celui-ci, directeur général des hôpitaux dans les années 1980 et directeur  de cabinet d'Edmond Hervé, aurait selon le professeur Phillippe EVEN - dit que "si l'AP - HP n'existait pas il faudra l'inventer"), à analyser ou faire attentivement analyser par des médecins moins impliqués dans des défenses corporatistes les CRHs publiés ci-après à propos de la soi-disant erreur diagnostique commise au sujet de mon père. 

 

Savamment préméditée, l' "erreur" avait en septembre 1990 faillit faire mourir mon père dans des conditions atroces  de prescriptions que l'on savait  inefficaces. Le  Dr. Jean-Yves Beinis exécutait sans se poser de questions (à l'insu de son plein gré)les prescriptions  des neurologues de Bicêtre cependant  que ceux-ci savaient très bien, pour avoir falsifié le  test de Schilling de façon à pouvoir le déclarer négatif alors qu'ils le savaient positif, que leur malade relevait du vrai traitement de la maladie de Biermer, et non de son administration à doses quasi "homéopathiques" (S'agissant d'un demi milligramme par semaine au lieu d'un milligramme par jour pendant au moins un mois, "doses homéopathiques" est ici employé dans son sens métaphorique) .

 

Le diagnostic de maladie de Biermer avait été immédiatemment porté par les Urgentistes de Bicêtre au vu de l'hemogramme de leur malade. De fait, la suite a montré que le test de Schilling était à 5%, et non à 35 %, et preuve avait été faite de l'inefficatité absolue des "antispastiques" sur le - délibérément et évidemment faux - disagnostic "d'encéphalopathie vasculaire" (sic, cf. ci-après les fausses conclusions du  CRH portées après coup par le Dr. Pascal Masnou au nom des neurologues de Bicêtre malgré l'évidente preuve qu'il s'était bien agi d'un syndrome neuro-anémique après que le malade a cessé de ne recevoir qu'un simulacre de traitement vitaminique B12.

 

L'efficacité spectaculaire du traitement spécifique de la maladie de Biermer avait été la preuve manifeste qu'il souffrait d'une avitminose B12, qu'elle qu'en ait été l'origine.

 

La vitaminothérapie  B12 a depuis fait l'objet d'études en tant que possible traitement des terribles  LEMP !  (Cf. bibliographie en fin d'article). La resurrection du malade a curieusement donné lieu à la disparition du dossier du malade au profit des médecins d'une Clinique privée, qui servait les intérêts du CNTS, comme je l'ai ensuite appris de bonne source.  Le besoin d'empêcher le malade de porter plainte contre les médecins de cette Clinique, qui bénéficiait de "hautes protections" en tant qu'elle servait à débarrasser l'A.P. - H.P. des malades qui avaient été transfusés dans mes années à risques de contaminations par des lots de sang, était-il en cause ?  

VIH +.

 

Les exécutions ultérieures de malades du CHU de Mantes la Jolie sous l'égide du même prescripteur + l'immixtion et les menaces de l'Ordre des médecins pour empêcher la malade de porter plainte contre X , + les informations venant de la police et des secrétaires de l'Ordre sur les protections spéciales dont bénéficiaient les médecins de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, alors qu'elle était la propriété d'une très riche famille liée aux pouvoirs politiques, venaient confirmer qu'il s'était agi d'une erreur intentionnellement mortelle commise par les neurologues du CHU Bicêtre (Cf. pour un suivi circonstancié de cette affaire, entre autres les articles n° 73331815 et 108281777 html).

 

Ci-après la lettre fallacieuse de l'Interne Olivier ILLE  (lettre manuscrite) adressée au Dr. Jean-Yves Beinis, Chef de l'USN du CHU Charles-Foix, qui suivra ses instructions mortifères sans se poser de questions après qu'il a été prévenu qu'il aurait à prévenir le fils du malade que l'état de son père ne pouvait qu'aller s'aggravant.

 

                                                  

                         <<                                                                       Le 22 août 90

       

  

Cher Confrère

 

Comme convenu nous vous adressons Mr Chrétien 7 9 ans hospitalisé pour troubles de la marche d'apparition rapide sur quelques semaines mais stable depuis avril mai 90.  L'étiologie n'est pas univoque ; troubles vasculaires cérébraux chez un patient hypertendu, possible participation d' une anomalie de la charnière cervico-occipitale avec impression basilaire , enfin myélopathie cervicarthrosique

Cliniquement on note une marche spastique, un syndrome tetrapyramidal réflexe, un syndrome cérébelleux cinétique, des roubles de la sensibilité proprioceptive aux membres inférieurs . Peu de déficit moteur sauf les muscles des deux mains (4) Enfin des troubles sphinctériens à type d 'incontinence d'  effort .

 

                                       Au plan thérapeutique ADALATE Lp 1 CP X 3 .

                                          Vitamine B 12 -  1 Ampoule IM / semaine

                                                 ( prescription du fils ! )

                                                           PROZAC 1 cp / J

 

.

 

 NDLR :  Notons  qu'un point d'exclamation  ponctue la "prescription du fils", ce qui veut dire  qu'il s'agit d'une prescription non nécessaire,  comme s'il s'agissait d'un prescrption aberrante alors que c'était la seule solution.  

Au verso de cette lettre, l 'Interne  Olivier Ille  poursuit:       

 

 

L'exploration de la moelle cervicale en IRM n'a pas pu être réalisée. Refus du malade pour claustrophobie / un RV de TMD du rachis cervical est pris . Enfin encours d' hospitalisation se sont démasqué des troubles légers des fonctions supérieures avec humeur dépressive , critique insatisfaisante des histoires absurdes, difficulté d'abstraction. Traitement antidépresseur d'épreuve : de suite / TDM Cérébrale atrophie cortico- sous corticale . Une rééducation motrice nous semble la solution thérapeutique la plus souhaitable pour ce malade  ( associé à de faibles doses d'antispastiques si besoin)

 

                                                               Merci de ce vous ferez pour lui

                                                                   bien Confraternellement

                                                                    O Ille interne             >>

 

 

Remarques

 

L'interne Olivier Ille, ne mentionne curieusement pas le diagnostic de syndrome neuro-anémique porté aux Urgences de Bicêtre, diagnostic qui avait motivé l'admission du malade en neuologie. Il avait pourtant ordonné au Dr. Jean-Yves Beinis de ne prescrire au malade qu'un simulacre de traitement ette maladie, mais à des  doses quasi homéopathiques, c'est-à-dire tout juste capables de retarder de quelques jours ou semaines sa fatale échéance !     

Le CR. dactylographié a lui été établi le 20 septembre 1990, donc après qu'il a été connu le malade se rétablissait spectaculairement  avec le véritable traitement des syndromes neuro-anémiques  (Cf. infra). Dans le CRH officiel, il est ni fait état du diagnostic de syndrome neuro-anémique ni du  traitement vitamine B12 administré a minima mentionné (avec un point d'esclamation)  dans la lettre du 22 août 1990, mais de ce que le patient "se plaint de difficultés à la marche d'installation rapidement progressive au décours d'une intervention orthopédique". Difficultés  déclarée "stable depuis deux mois" . A la date,du 20 septembre1990 les neurologues savaient que le malade n'avait pas succombé au faux semblant de traitement auquel ils l'avaient soumis par l'entremise du Dr. Beinis. Les tenants et les aboutissants de cette ''savante'' embrouille ?  Une tentative d'assassinat par procurations étagées, à dessein rendues difficile à cerner et à démonter.

 

Il était  illogique de confier à un Interne un cas qui par la suite a été déclaré avoir été une  "erreur"  de diagnostic.  Le diagnostic de syndrome neuro-anémique, avait été récusé alors qu'il était évident !  C'était en fait le Chef de Clinique Pascal Masnou qui s'était occupé du malade. Le fils du patient n'a jamais eu affaire à l'Interne Olivier Ille, mais toujours au Chef de Clinique, avec qui il discuta longuement du test de Schilling, qui s'était montré cliniquement positif, donc du bon diagnostic fait à l'admission du malade. Dans cette affaire, l'interne a surtout servi d'intermédiaire pour endosser la responsabilité d'ordres criminels venus de sa hiérarchie. Le compte-rendu relatif à la ré-hospitalisation du malade entre le 19 et 26 février 1991 a d'ailleurs été fait par le Dr. Pascal Masnou, qui l'a signé, et rédigé de façon à escamoter encore et toujours les faits montrant qu'il s'était bien agi d'un syndrome neuro-anémique, tels le Schilling à 5% et un MMSE remonté à 3O/30 sous l'effet du vrai traitement cobalaminique. Il l'a rédigé sous la responsabilité présente et active du Pr. Saîd de façon à pouvoir nier la réalité en prétendant que le malade souffrait d' ''encépahalopathie vasculaire '' (sic), c'est à dire d'une affection due à la fatalité et contre laquelle la médecine ne peut pas grand chose. . Ayant été à ''bonne école'', c'est à dire à celle de l'hypocrisie et du mensonge, lorsqu'il sera lui même devenu Chef de Service au CHU de Mantes-la-Jolie., le Dr. Olivier Ille reproduira le procédé de la mise à mort des malades à éliminer en usant des services de sa toute dévouée Christine Malèvre.

 

Quant à cette histoire d' IRM refusée pour cause de claustrophobie, elle ne fut en réalité pas refusée parce que le malade était claustrophobe (il ne l'a jamais été) , mais parce que, pris dans son délire et son angoisse, le malade fantasmait que cette machine était destinée à le faire discrètement disparaître.

Dans sa lettre du 22 septembre 1990, l'Interne Olivier Ille écrit : << troubles de la marche d 'apparition rapide sur quelques semaines mais stable depuis avril mai 90 >>.

En réalité, les'' troubles de la marche '' étaient apparus progressivement plus d'une année avant l'intervention du podologue. Ces '' troubles '' n'étaient pas du tout ''stables'',. ils avaient augmenté graduellement, puis s'étaient rapidement aggravés au décours de la double l'opération à prétention ''orthopédique'' du Dr. Antoine Denis. Très imbu de luI-même, celui-ci avait subrepticement et même très brutalement infligée imposé cette opération à son patient après qui lui a proposé un acte mineur : la cure d'un cor, une petite intervention cotée K20, qui se fait sous garrot d'orteil et anesthésie locale. Elle ne devait porter que sur un orteil, et non pas sur les deux pieds pour soi-disant remédier à la mauvaise «morphostatique» de ceux-ci , péremptoirement accusée par l'opérateur d'être responsable des ''troubles de la marche'' de son client. Les opérateurs (le Dr. Antoine Denis et l'anesthésiste, dont on ne sait toujours pas si ce fut madame Parent-Decourtieux ou mademoiselle Edith Elmelik ) étaient motivés par le chiffre d'affaire de la Clinique Elmelik, alors à vendre. Leur vraie motivation, entre autres (Cf. infra) - augmenter au maximum le chiffre d'affaire de la Clinique pour pouvoir tirer le meilleur prix de sa vente - fut déclaré licite par le Dr. Pierre Brassart, alors Conseiller de l'Ordre des médecins de l'Île de France. Le Dr.Brassaert avait été nommé Conseiller-Rapporteur du Conseil disciplinaire au sujet de cette affaire en remplacement du Dr. Patrice Bodenan, disqualifié pour avoir été illégitimement nommé par le Président Jean Pouillard.

L'intervention qualifiée d' «orthopédique» dans le CR fut faite le 25 mai 1990 au cour du long Week-End de l'Ascension. L'opérateur avait ainsi réussi à échapper aux multiples interdictions qui frappaient l'accomplissement de ses intentions : celles du Code de déontologie, du Code Pénal, la nôtre, et celle du cardiologue  du patient , le Dr. Joseph Heller; Non seulement c'était en elle-même une faute grossière que d'opérer sans prévenir et sans nécessité aucune un patient, et de surcroît des deux pieds à la fois, mais un crime assimilable à un viol, ce que les médecins du Service de neurologie n'ont surtout pas voulu pointer.

 

Le fils du patient, c'est-à-dire l'auteur de ces lignes,  finira bien après par comprendra pourquoi les médecins de la Clinique Elmelik pouvaient se permettre de faire n'importe quoi sans s'inquiéter des conséquences..

...............................................................................................

 

Ci-après les CRHs de Bicêtre daté du 20 septembre 1990 et du 19 février 1991 alors qu'il était alors bien connu du Service de neurologie que le malade avait échappé à la mort et se rétablissait sous l'effet d'un authentique traitement vitaminique B12 mis en route par le fils du patient

 

                                     HÔPITAUX  -   ASSISTANCE

                                         PUBLIQUE DE PARIS

 

 

 

COMPTE RENDU D'HOSPITALISATION

 

                                                                                                                    1/2

 

Concernant M. C. hôpital BICETRE

 

 

Fait le : 20 9 90                                                                          Service NEUROLOGIE

 

 

 

Par le dr : O. Ille. IHP                                                                                      Hospitalisation du 03 au 22/08/9F

.

 

 

 

SIGNATURE

:

 

DESTIINATAIRE

Dispensaire Municipal - Rue des Tournelles - 94 L'HAY LES ROSES

Service Médecine du Dr KERNEIS - Hôpital Ch FOIX - Case 42

Dr El -LRODT - Sce des Urgences - Hôpital BICÊTRE

 

 

 

MOTIF DE L’HOSPITALISATION

 

Troubles de la marche

 

ANTECEDENTS

 

HTA essentielle, ancienneté inconnue.

Intervention orthopédique pour orteils en marteau en Avril-Mai 90

Prothèse totale de hanche gauche opérée en 84 pour coxarthrose

HISTOIRE DE LA MALADIE

Se plaint de difficultés à la marche d’installation rapidement progressive au décors de l’intervention orthopédique,

Stable depuis deux mois, la marche est hésitante, la montée des escaliers n’est plus possible, tendance à la rétropulsion et à la chute, le patient étant obligé de se déplacer avec un déambulateur;

EXAMEN CLINIQUE

 

Etat général conservé. Apyrexie. Tension fluctuante à l’entrée entre 18/12 et 20/12

La station debout et la marche sont très difficiles petits pas.

Membres inférieurs en hyper-extension. Polygone de sustentation légèrement élargi. Tendance au piétinement et

à la rétropulsion.

L’occlusion aggrave l’équilibre

Au plan neurologique on objective un déficit moteur discret prédominant sur les raccourcisseurs aux membres

inférieurs et coté à 4 +. Aux membres supérieurs les petits muscles des mains interosseux et lombricaux sont

discrètement déficitaires à 4. Le tonus est spastique. Les réflexes pyramidaux aux quatre membres, jusqu’en C 4 :

Babinski bilatéral

   

Au plan de la sensibilité, pas d'astéréognosie. Les troubles prédominent aux membres inférieurs sur la sensibilité

proprioceptive. La sensibilité extéroceptive semble normale, bien que fluctuante d'un examen à l'autre et avec une hypo-esthésie au chaud et au froid et à la douleur en chaussette. Il existe une discrète incoordination motrice bien nette aux membres supérieurs avec hypermétrie. L'examen des paires crâniennes est normal en dehors des réflexes du voile abolis. Enfin, il existe depuis deux à trois mois une incontinence sphinctérienne avec mictions impérieuses. EXAMEN CARDIO-VASCULAIRE: Pouls régulier, pas de souffle cardio-vasculaire. Le reste de l'examen clinique est sans particularité en dehors une tendance dépressive de l'humeur, une critique insuffisante des histoires absurdes chez cet ancien opticien et des capacités d'abstraction qui semblent altérées.

Le mini mental est évalué à 25/30.

DISCUSSION

Myélopathie cervicale, affection dégénérative, encéphalopathie vasculaire.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES

EXAMENS COMPLEMENTAIRES

Biologie usuelle normale. . Hémogramme, hémostase, vitesse de sédimentation, ionogramme, glycémie, fonctions hépatomégalies, fonctions phosphocalciques, électrophorèse des protéines sériques, vitamine B12, pholates sériques, test de SCHILLING normaux . Sérologie syphilitique négative. . Infection urinaire à acinectobacter traitée et stérilisée par NOROXINE … … Radiographie rachis cervical et charnière cervico-occipitale : impression basilaire, arthrose cervicale modérée … Scanner cérébral : atrophie cortico-sous-corticale. Aspect de leuco-araiose mais le scanner est de mauvaise qualité, l’analyse de la substance blanche est difficile. … Une IRM du rachis cervical avait été proposée pour étayer l

e diagnostic d'une myélopathie cervicale mais non réalisée devant une peur panique du patient deux jours avant l'examen.

CONCLUSION

TROUBLES DE LA MARCHE EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX

UNT RAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT ETRE BENEFIQUE

PAS D’INDICATION OPERATOIRE

SYNDROME DEPRESSIF TRAITE PAR PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR

REVALUATION DES FONCTIONS SUPERIEURES APRES TRAITEMENT

PATIENT TRANSFERE DANS LE SERVICE DE MEDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX

.......................

 

A comparer au CH établi six mois plus tard en février 1991 par le Chef de Clinique  Pascal Masnou

 

 

                                              HÔPITAUX  ASSISTANCE

 

                                                     PUBLIQUE DE PARIS

 

 

 

Neurologie de l'Hôpital Bicêtre.

 

 

Patient de 80 ans ré-hospitalisé pour reprise des explorations d'un trouble de la marche évoluant depuis plusieurs mois.

 

ANTECEDENTS : CF. CRN (D'AOÛT 90)

Depuis sa sortie, le patient garde des troubles de la marche qui semblent être stabilisés.

 

EXAMEN CLINIQUE

Marche à petits pas hésitante.

Pas de signe de Romberg.

Possible petit déficit moteur de l'hémicorps gauche.

Syndome tétra pyramidal réflexe.

Incontinence urinaire d'effort.

Difficultés mnésiques, sans trouble des fonctions supérieures majeures.

 

EXAMEN COMPLEMENTAIRES

 

Scanner cérébral : aspect inchangé : atrophie cortico sous corticale, hypodensité de la substance blanche diffuse.

Electroencéphalogramme : pas d'anomalie significative.

EMG : pas de signe de neuropathie périphérique franc.

Test de Schilling : interprétation délicate du fait de l'absence de recueil complet des urines.

Noter que le test de Schilling effectué quelque mois précédents, était normal.

 

AU TOTAL

 

Encéphalopathie vasculaire  (?! ndlr)

 

 

BIBLIOGRAPHIE

 

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78

"Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".

3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.

4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"

5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).

6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".

7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"

8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"

9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"

10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".

11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".

12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"

13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"

14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"

15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"

16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".

17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)

18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).

19 - Revue Neurogique 2006;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)

 

 

 

 

 

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8 août 2013 4 08 /08 /août /2013 16:23

Dans un article signé David Perrotin, le journal Métro daté du 4 juin 2013 titre "Des viols d'enfants enflamment le Web" :   << Plus de deux fillettes sont victimes de violences sexuelles chaque jour dans la seule province chinoise du Guangdong (sud). Cette moyenne édidifiante révélée par une agence officielle du pays ne risque pas de calmer la colère qui envahit le Web chinois depuis quelques semaines. Les révélations de viols de mineurs de moins de 14 ans par des professeurs d'écoles primaires ou des officiels du gouvernement ne cessent de s'accumuler.>>



Citant "Libération", David Perrotin poursuit << L'un des derniers scandales révélé par la presse concerne un directeur d'école et un un officiel du parti de Hainan qui violaient de manière régulière six écolières de 10 et 11ans dans des chambres d'hôtel. /.../ Les officiels estiment avoir une sorte de droit de cuissage sur nos enfants /... / Face à ce "gros problème chinois" et à l’absence de réaction politique, artistes, activistes et étudiants ont décidé de se mobiliser. "Aux directeurs d’écoles : si vous voulez coucher, couchez avec moi, mais laissez nos enfants tranquilles", exigent certains parents qui ont publié des photos d’eux nus sur internet. Pour faire taire ces révélations et les polémiques qu’elles suscitent, la presse du pays a été en partie censurée et une militante a été rouée de coups à son domicile par cinq personnes (sans doute des policiers) devant sa fille. Pire, la victime risque plusieurs années de prison. >>

  

Sur le même sujet, un internaute qui se dit Candide, dans son commentaire d'un de mes articles écrit à propos de l'attitude de l'Ordre des médecins lorque des médecins sont en cause : << Un témoignage délirant incohérent et diffamatoire, en particulier contre le conseil de l'ordre des médecins censé défendre les violeurs !!! Juste du pur fantasme de Troll anti-médecins >>.

  

 J'invite "Candide" à lire dans Le Monde les commentaires "candides" du psychiatre-psychanalyste freudien Samuel Lepastier sur les faits de pédophilie qui avaient eu lieu  à Outreau dans le quartier de la Tour du Renard.

Madame Gryson-Dejensart en fait état dans "Outreau, la vérité abusée",  ainsi qu'un livre sorti cette année chez Dunod sous le titre  "Enfants violés  et violentés  Le scandale oublié",  du médecin psychiatre. Gérard Lopez.  "Candide"  y trouvera une blibliographie instructive, dont les livres d' A. Sturz "Les oubliés. Enfant maltraités en France et par la France"  Le Seuil 2010; et de J.-P. Mugnier "Les stratégies de l'indifférence", paru en 1998 aux éditions ESF, ainsi qe le livre de madame Gryson-Dejensart;

 

J'aurais pour ma part titré son excellente mise à jour "Le scandale activement refoulé .   L'auteur omet de citer  "Quand l'Ordre règne", paru en 2001 chez Mango documents.

 

 

...................... 

 

 

 

 

 

 

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 16:34

La Grande Loge Féminine de France devrait se préoccuper de faire accéder le Dr. Laurence Kouyoumdjian à la Légion d'Honneur

 

J'ai entendu dire hier matin 8 juillet à Culture-Matin (une émission de France-Culture) que Transparency International avait classé la France au vingt-deuxième rang des pays en matière de corruption, le Danemark étant le mieux noté, juste avant la Finlande et la Suède, pays de mon enfance (1°)

  

La paupérisation de la France n'est en effet pas étrangère à la corruption qui règne dans les hautes sphères du milieu médical.   

 

L'État à commis l'erreur de confier à des Ordres professionnels, par définition corporatistes, mission de Service public. L’Ordre des médecins peut ainsi user et abuser de ses pouvoirs discrétionnaires en maniant une arme qui ne lui coûte pas cher pour faire taire les victimes de la haute délinquance médicale en faisant régner la terreur. Il sait comment susciter et cultiver la peur de représailles ordinales.

  

L’Ordre n’a pas manqué de se servir de cette arme à l'encontre de nos avocats et du docteur Catherine Bonnet en 1998 en se saissant d'un prétexte après qu'elle a tenté de nous aider (note 2°).  

 

L'un des Conseillers de la section disciplinaire de l'Ordre, le Dr. Pierre Brassart, m'avait fait savoir que les actes chirurgicaux incongrus, de surcroît dangereusement aventureux (ils avaient failli être mortels), qui avaient été commis en 1990 à l'encontre de mon père dans la Clinique des Elmelik par un pseudo-chirurgien orthopédiste étaient légitimes parce qu'il  "faillait bien qu'il gagne sa vie" (sic).

  

La lettre des plats  remerciements de l'opérateur indélicat au Dr. Pierre Brassart pour son intervention à son "bénéfice " (sic 3°) est en ligne sur ce blog (site 106212950 html).

  

Le Conseiller responsable du Bureau de Presse de l'Ordre du Val-de-Marne, le Dr. Patrice Bodenan, maintenant titulaire d'un DEA d'éthique médicale, s'était déjà employé à le couvrir en usant de ces moyens à notre encontre come a l'encontre de notre Conseilen 1992  (voir 73331815 html,  Chap. 1 § 13 et 15).  Il  a pour ses services rendus à la haute délinquance été promu président du Conseil disciplinaire de l'Ordre régional d' Île-de-France.

  

Pour ce qui est de la tentative d‘assassinat dont mon père fut à la suite de cette opération crapuleuse victime, il faut se reporter à "L'affaire du Sang" (4) pour en avoir une possible explication

 

En 1992, l'affaire des assassinats de malades commis au CHU de Mantes la Jolie n'avait pas encore éclatée, ni l'Espace Éthique de l'AP - HP été inventé. La Clinique Elmelik et d’autres dans son genre servaient discrètement les intérêts du CNTS, ce pourquoi elles étaient "protégées en hauts lieux", c'est-à-dire par les parquets.

 

A titre d’exemple d’une corruption,  lourde de conséquences,  inspirée par la peur, citons le cas du docteur Sigmund Freud. Il n'avait pas été long à s'apercevoir qu'il était dangereux pour son avenir professionnel de dénoncer les prédateurs sexuels ciblant les enfants et les adolescents. Il s'employa dès lors à nier une réalité qu'il avait commencé par dénoncer. Il s'ingénia dès lors à inventer une théorie à même de faire taire les victimes de la pédophilocratie (5°), ce qui permit à cette dernière d’étendre son emprise sociale.

 

Les médecins délinquants sexuels et financiers - ces deux types de perversions vont souvent de pair - peuvent compter sur l'Ordre des médecins << pouvoir administratif glacial et sans visage >> (6°) qui dispose de pouvoirs discrétionnaires pour les couvrir, menacer et faire taire leurs victimes. L'Ordre ne veut surtout pas savoir que les viols que commettent ces prédateurs sur des enfants ont des conséquences désastreuses sur des générations, étant très souvent à l'origine de suicides et/ou de violences paradigmatiques, des violences qui, l'historiquement, ont pu aller jusqu'au génocide : le jeune Aloïs Schicklegrüber, alias Hübbler, le père d'Adolf Hitler, aurait été violé alors qu'il serait lui-même né d'une relation plus ou moins consentante, si ce n'est carrément d'un viol, à en croire l'historien François Delpla (1999) et le journaliste américain Ron Rosenbaum (1996).

  

Les professeurs Robert Debré et Henri Baruk tenaient la mystique freudienne pour une imposture morale autant qu'intellectuelle. Pour une "culture de névrose", disait Henri Baruk, qui n'avait pas comme Jacques Lacan compris que l'invention du complexe d'Oedipe relevait et d'un délire paradigmatique (symbolique) et d'une politique d'étouffement. Jacques Lacan répétait à qui savait le décoder que Freud était né d'un viol incestueux. C'est pourquoi le Dr. Lacan avait tenu à savoir ce que la psychanalyste Marie Balmary en savait elle-même après qu'elle a publié sa thèse sur Freud en 1979 ("L'Homme aux statues", Grasset, réédité en 1997 et traduite ... en Japonais. L'invention du "complexe d'oedipe" était une invention politique autant que diabolique (7°) et paradigmatique. Son invocation a à maintes reprises servi et sert encore aux violeurs et aux pédophilocrates d'alibi. << Le ver est dans le fruit >> , m'avait dit en 1994 l'ex Secrétaire Général du Conseil de l'Ordre du Val-de-Marne à propos de son président en tant qu'il le savait protéger les médecins délinquants en général et les Elmelik en particulier.

 

L'invention et la mise place de l’Espace Éthique de l’AP - HP en 1995 relève de la fabrication d’un alibi. Elle n'est pas l’arbre qui cache la forêt, mais l’arbre planté par Alain Cordier pour la cacher. Quand Alain Cordier, ancien responsable de la prévision des comptes de l' Assurance Maladie, a été appelé à prendre la direction de l'AP - HP, il s’agissait pour celle-ci et son ministère de tutelle de parer aux conséquences financières des transfusions faites à partir des lots de sangs contaminés.

 

L' Espace Éthique a été créé pour couvrir les Écarts Éthiques de l'A.P.. De fait, après la tentative d’assassinat dont mon père a été victime en 1990, qui avait fait de lui un grand invalide moteur après qu'elle a ratée, une invalidité qu'il m'est revenue de gérer, les assassinats ciblés n'ont pas manqué de se reproduire dans les années qui suivirent, comme par hasard aussi commis sous l'égide du même Olivier Ille, mais cette fois avec Christine Malèvre dans l'exécution de ses directives. Par décence, de trente, le nombre des assassinats revendiqués par Christine Malèvre sera ramené  à quatre tandis que six lui seront concédés.

 

Si le Dr. Laurence Kouyomdjian, qui n'était pas la mieux placée pour se rendre compte de l'hécatombe, n'avait rien signalé, le tableau de chasse de cette équipe aurait été plus important. Laurence Kouyoumdjian a donc mis fin au massacre. Ceux qui voient l'envers du décor sont prié de ne pas le montrer.  Pour avaoir en  1997 révélé ces assassinats le Dr. Laurence Kouyoumdjian fut sans ménagement priée d'aller se faire voir ailleurs alors qu'elle aurait mérité d'être citée à la Légion d'Honneur. Ce qui jusqu'à plus ample informé n' a pas été le cas. Laurence Kouyoumdjian avait par son signalement arrêté les assassinats. Ce n’était surtout pas ce que l’on aurait voulu. Alain Cordier la recevra à sa place.

 

Lorsqu'il a accepté de jouer la pantalonnade que l'Ordre et l'AMIF lui ont fait jouer cette année-là, l’idée que le jeu était truqué avait effleuré le Dr. Bruno Halioua, tout étonné qu’il était de s’être vu autorisé à transgresser l'omerta institutionnelle. Contre toute attente, il avait été poussé à publier « Blouses blanches, étoiles jaunes » (Liana Lévi, décembre 1999 - Cf. à ce sujet sur ce blog "le bien, au mal et à la sérendipité" et autres articles du blog relatifs à l'affaire).

-/-

Il est beaucoup plus facile de parler du temps qu'il fait. Il faisait beau quand par un jour de grand marnage au Cap Fréhel, en juin 2012, l'idée du procédé qui permettra de récupérer l'énergie des marnages autrement qu’à travers la construction de lourds et coûteux barrages s'est concrètisée. L'énorme potentiel énergétique des marnages étant quasi inépuisable, comprenant qu’il pouvait rendre la France indépendante sur le plan énergétique des carburants fossiles et du nucléaire, je l’avais sans tarder signalée au ministère de l’Énergie, c'est-à-dire à madame Delphine Batho. Il est possible de prendre connaissance du procédé par la lettre que le 20 juin dernier je lui ai adressée. Cette lettre est en ligne sur le "blog de leon - pierre cretien" sous le titre « Comment sauver le climat, lettre ouverte à madame Delphine Batho, ministre de l’Énergie » .

 

.................................................

1° - Les Danois avaient prédit en 1986 que la France, compte tenu de ses atouts, allait être la première puissance économique en Europe à l'an 2000. Elle devrait effectivement l'être ...  

  

  Le Dr. Catherine Bonnet avait été condamnée à 9 ans d'interdition d'exercice au prétexte qu'elle avait indûment fourni des certificats médicaux, interdiction rapidement levée après que cette interdiction a fait impression sur sa collaboratrice à "Enfance Majuscule" (fondation Danan), qui était alors notre Conseil juridique. 

 

Catherine Bonnet avait tenté de nous aider. L’Ordre eut comme précédemment avec Me Catherine Scotto-Drouet (en avril 1992) recours à ses accointances au barreau pour l’en dissuader. En 1998, il trouva un prétexte pour l'interdire d’exercice, ce qui servit d’avertissement à sa collaboratrice. Celle-ci lâcha prise. La sanction ayant fait son effet, elle fut levée et Catherine Bonnet citée à la Légion d’Honneur (?) . En mars 1993,

notre excellent Confrère Michel Serdaru, de la FFN,  scandalisé par ce qui s'était passé, trouvait que le centième des fautes qui avaient été commises méritaient un procès. Il avait été jusqu’à se demander si mon père avait été aux mains de véritables médecins. Il m’avait dit vouloir avertir la presse, mais quand il apprit que des médecins de la Clinique Elmelik étaient en cause, sa courageuse intention retomba d’un coup parce ceux-là « avaient des relations ».  Voir aussi Barth et Vargas "Quand l'Ordre règne" Mango documents, avril 2001

 

3° -  << Soyez donc remercié, cher Confrère. La décision qu'avec vos Confrères vous avez prise à mon bénéfice me soulage d'un grand poids; je ne vous cache pas que depuis le début de cette malheureuse affaire, mon soucis, mon inquiétude, mes craintes étaient grandes.

  En vous redisant mon admiration pour le rôle bien difficfile que vous avez accepté dejouer au Conseil Régional je vous renouvelle ma gratitude et vous adresse l'expression de mes sentiments Confraternels les plus cordiaux. >>   Dr. A. Denis                                              

4° - Marie-Thérèse Casteret, La Découverte, 1992.

 - Néologisme qui souligne le fait qu’il s’agit d’un problème moral et politique.

6° - Définition qu’en donne le Dr. Bruno Halioua  dans ''Blouses blanches, étoiles jaunes", page 12, Liana Lévi 1999)  

 - "diabolique" selon Marie Balmary, qui a préfacé "Le sang des mots", d’Eva Thomas, fondatrice de SOS inceste, réédité en 2002 chez DDB

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13 juin 2013 4 13 /06 /juin /2013 14:31

Une enquête pour "tromperie aggravée, homicides et blessures involontaires, mise en danger de la vie et administration de substances nuisible" a été diligentée par l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament dans l'affaire du Furosémide soi-disant remplacé par le Zopiclone ( Eric Favereau, "Libération" du 15 -16 juin 2013) . 

 

On pouvait se poser la question de savoir s'il ne s'était pas agi  de discréditer les médicaments génériques en général ou les laboratoires TEVA en particulier.  

 

Ni l'un ni l'autre, d'après ce que rapporte à juste titre la presse (Cf. "Le Parisien" du 14 juin et "Libération" du 15 juin).

 

Il s'est en fait agi d'un emballement médiatique reposant sur une réalité inexistante, l'interprétation erronée d'un décès non lié à la prise de ce diurétique hypotenseur. Rien de comparable avec ce qui s'est passé en 1990 quand un malade a reçu un traitement antidépresseur au lieu de la cobalamine pour le traitement d'une neuro-anémie de Biermer, maladie à tout coup mortelle sans son traitement spécifique (la cobalamine, c'est-à-dire la vitamine B12)   

 

En août 1990 des neurologues de l'Assistance Publique avaient remplacé chez un malade la cobalamine, traitement salvateur de la mortelle maladie de Biermer par de la Fluoxétine, un anti-dépresseur mieux connu sous le nom de Prozac* . La substitution n'avait pu être réalisée qu'en connaissance de cause parce que le diagnostic était  évident. Il avait été immédiatement posé dès l'admission du malade à l'hôpital.  

 

L'affaire avait été communiquée à la presse comme au parquet.  

 

Le scandale était cette fois trop énorme. Il renvoyait au sang contaminé. Le Conseil de l'Ordre des médecins, les parquets et l'admnistration de l'Assistance Publique avaient paniqués.

 

Ces institutions  s'étaient concertées et arrangées pour étouffer l'affaire. Elle mettait le CNTS  en cause dans la distribution de lots de sangs contaminés par le VIH, ainsi que certains Services de l'Assistance Publique dans l'utilisation qu'ils en avaient fait dans la première moitié des années 1980.  De très nombreuses personnes avaient été transfusées.  Autrement dit, le mot d'ordre était qu'il valait mieux que les malades contaminés présentant dans les années suivantes une maladie mortelle meurent apparemment "naturellement" de leur maladie, alors déclarée incurable, plutôt que de les voir développer un sida maladie afin qu'ils ne puissent mettre en cause le CNTS ou l'Assistance Publique.

 

L'embrouille a souvent bien fonctionnée, sauf dans le cas du susdit malade, une infirmière, qui avait compris de qu' il s'agissait d'une maladie curable avait refusé de marcher dans cette mortifère embrouille.  

 

Plus plus de détails sur cette scandaleuse et ténébreuse affaire, qui vit plus tard intervenir Christine Malèvre dans le rôle de l'ange exterminiateur,  cf. les sites Google 69970222 html, 73331815 html et 108281777 html, entre autres nombreux articles publiés à ce sujet sur le  blog de leon - pierre cretien   (articles assez techniques pour certains d'entre eux).


Les médecins de l'Assistance Publique et les médecins experts désignés par le juge d'instruction n'avaient pas hésité à fausser les résultats du test de Schilling et tout fait pour discréter mon témoignage et faire menacer des avocats dans l'affaire du faux traitement de la neuro-anémie de Biermer ?

 

That is as things are att the Ethic Space des Hôpitaux Paris (l'Espace Ethique des Hôpitaux de Paris)  dont la chaire a été confiée non pas à un médecin, mais à un philosophe, comme par hasard  relation du Chef de Service responsable ...

 

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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 11:19

A propos d'un cas, miraculeusement rescapé grâce au signalement d'une infirmière, les conséquences la corruption administrative en médecine ont été pour nous catastrophiques.

- Le cas rapporté ci-après a préfiguré la série des exécutions commises les années suivantes par Christine Malèvre alors qu'elle était  placée sous les ordres du même médecin, devenu entre-temps Chef de Service au CHU de Mantes la Jolie.

- Ces exécutions sont des crimes contre l'humanité. Ils ont fait l'objet d'une prescription spéciale en 2003, après que le parquet de Verrailles a par moi avec ce cas été averti de ce que les  pseudo euthanasies commises au CHU de Mantes la Jolie relevaient du même prescripteur et des mêmes mobiles : faire autant que possible discrètement disparaître  les malades qui avaient fait l'objet de contaminations VIH dans les hôpitaux de l'A.P. - H.P.   lors de transfusions faites avec des lots de sangs non sécurisés.

- Les médecins qui avaient mon père en charge avaient savamment  maquillé leur forfait en falsifiant les données du test de Schilling, déclarées à faux négatives.  La plainte de mon père fut ainsi classée non-lieu, malgré la communication au parquet de preuves matérielles aussi nombreuses qu' irréfutables de la forfaiture des médecins responsables et des experts.

 - Pour se couvrir et donner le change, le CHU responsable  (Bicêtre) avait entre-temps été  invité par la direction de l'A.P., sous  l'impulsion d'Alain Cordier,  de Claude Evin, dont le conseiller était  Jérôme Cahuzac, à ouvrir un parapluie en créant  une Chaire d'éthique médicale. Baptisée "Espace éthique  de L'AP - HP", cette Chaire a comme par hasard été confiée au philospohe Emmanuel Hirsch, péché  à l'IFREM, un Institut de droit privé éditeur de Médica Judaïca  et relation "éthique" du Pr Gérard Saïd,  le Chef du Service responsable de la tentative d'assassinat dont  mon père failli périr.


La  tentative avait ratée du fait qu'à l'hôpital Charles-Foix, madame Pondu, la
Surveillante de l'U.S.N. du  Dr. Jean-Yves Beinis , où mon père avait été depuis Bicêtre transféré pour y  finir "ineluctablement" ses jours, ainsi qu'il avait été annoncé au Dr. Beinis en lui mentant sur la nature en réalité curable de la maladie du patient qu'ils lui adressaient. Il lui avaient fait croire à une "encéphalopathie vasculaire"  avant d'opter a posteriori pour le pseudo diagnostic plus flou mais compatible avec celui de "LEMP" d'ATTEINTE DIFFUSE DU  SYSTEME NERVEUX Cf. sur  ce blog le  site 108281777 html "théorie du complot, mythe ou réalité").


- Pour parfaire cette forfaiture, la justice prit soin de déclarer forclose toute plainte relative aux contaminations VIH transfusionnelles après 2003,  et ce comme par hasard  après que le parquet de Versailles  a été averti par moi de ce que les assassinats commis au CHU de Mantes la Jolie  l'avaient été sous la responsabilité du médecin qui avait prescrit un traitement mortellement indéquat à mon père en aoüt 1990.      
 
- Quatorze ans après les faits,  les responsables de cette forfaiture  m'accusèrent  oralement d'avoir fabriqué la maladie mortelle de leur victime, et d'avoir été en cela motivé par des arrières-pensées "antisémites" (sic).

- De telles accusations auraient ipso facto dû les conduire à porter l'affaire devant la justice, comme ils m'en ont menacé. Ce qu'ils n'ont pas fait  alors que la loi,  via l'article  40 du CPP, leur en faisait obligation.


Or ils avaient fait le diagnostic d'une LEMP, une maladie effroyable qu'il est tout à fait impossible de provoquer sciemment alors qu'il étaient sciemment passé à côté de la neuro-anémie de Biermer qui avait motivé l'admission du patient dans leur Service , une  maladie  également mortelle et tout aussi  effroyable mais parfaitement curable sous traitement vitaminique B12  correctement  administré, c'est-à-dire le plus précocément possible, intensément et de façon prolongée. 

Cette année, l’Indice de Perception de la Corruption (IPC) de Transparency International vient rappeler le retard français en matière de lutte contre la corruption. Avec une note de 71 sur 100, la France se situe seulement au 22 ème rang mondial et au 9ème rang européen des Etats perçus comme les moins corrompus. Notre pays est ainsi moins bien noté que les pays scandinaves, les Pays-Bas, l’Allemagne, la Belgique ou encore le Royaume-Uni.


 Transparency International a comparé l’efficacité des mécanismes anti-corruption de 25 pays européens, dont la France.


Si aucun des 25 pays évalués ne dispose d’un système de lutte contre la corruption totalement efficace, certains se distinguent par des garanties plus solides : les pays scandinaves d’abord, suivis par l’Allemagne, la Finlande, la Suisse et le Royaume-Uni. En bas du classement, la Bulgarie et la Roumanie sont considérées comme les pays dont les institutions sont les moins efficaces dans leur action contre la corruption.
La France ne fait pas partie des deux groupes d’Etats les plus performants. Son système national d’intégrité est situé sur le même plan que celui des Pays-Bas et de la Belgique. Bien que relativement solide, il présente certaines faiblesses notamment au niveau du Parlement et en matière protection des déclencheurs d’alerte. La France est notamment l’un des rares pays européens à ne pas rendre publiques les déclarations de patrimoine des élus.
En matière d’intégrité de la vie publique,la France se caracterise aussi par l’écart entre les annonces et les actes. Trop souvent, les déclarations d’intention et les lois votées sous la pression internationale ou celle de l’opinion, n’ont débouché dans la réalité que sur des mesures inadaptées ou inappliquées.
La place de la France dans l’IPC (Indice de Perception de la Corruption ) par rapport aux autres membres de l’Union Européenne : neuvième rang.
Pour avoir négligé d'en tenir compte, les Danois avaient en 1986 prévu que la France serait en 2000 la première puissance économique en Europe. Sans doute l'aurait-elle été si la corruption y était moins culturelle qu'elle ne l'est.


Les conséquences la corruption administrative en médecine sont des plus  catastrophiques.

 

Le Nouvel Observateur  cite  le philosophe Pierre  Zaoui  : <<  Ce qui est terrible, c'est que Cahuzac a menti non pour  la raison d'Etat mais pour un motif privé  ...>>
Autrement dit  Pierre  Zaoui  trouverait  beaucoup moins "terrible" voire  licite ou recommandable  de mentir pour  raison d'Etat, comme p. ex. cela s'est produit avec les mensonges des experts  à propos de  la tentative d'assassinat  dont mon père faillit  mourrir  dans un établissement  de l'Assistance publique du fait des prescriptions thérapeutiques mortelles d' Olivier Ille.


Médiapart  écrit  << Sang contaminé, hormone de croissance, Médiator, prothèses PIP...  Pourquoi le système de santé publique produit-il des catastrophes à répétition ? Mensonges d'Etat, confits d'intérêts, confusion entre intérêts privés et santé publique, absence de culture de santé publique mais surtout déresponsabilisation  de l'administration, tous les ingrédients du scandale sanitaire français >>.


L'anémie de Biermer est une maladie neurologique mortelle. Fréquente chez les séniors,  elle est curable sous vitamino-thérapie B12, son traitement spécifique. La réversibilité des déficits neurologiques et intellectuels qu'elle déterrmine dépend de la précocité du traitement. La réversibilité des troubles en fait une urgence médicale absolue d'autant plus que la mort peut survenir à tout moment de son évolution. Le diagnostic est souvent fait à la lecture de l'hemogramme, qui montre une anémie caractéristique. Mon père avait sur un hémogramme pratiqué aux Urgences de Bicêtre été transferé dans le Service de neurologie de ce CHU. L'équipe du service de neurologie de Bicêtre non seulement ne lui adminstra pas la thérapie B12 requise, mais fit semblant de la lui faire administrer. L'état du malade s'aggrava. L'équipe prit prétexte de la non réponse au traitement pour déclarer qu'il s'agissait d'une encéphalopathie vasculaire au dessus de tout recours thérapeutique pour le faire transférer au bout de 20 jours à l'hôpital Charles-Foix. Une lettre manuscrite de l'Interne du Service, en l'occurrence Olivier Ille, sur la foi de données cliniques allure objective recommanda au médecin-Chef de l'Unité qui le reçut de continuer à ne faire que semblant de lui adminstrer la thérapie B12 . Jusqu'à ce que la Surveillante de cette Unité s'aperçoive que mon père souffrait à l'évidence d'une maladie de Biermer et me fasse savoir qu'il ne recevait en fait qu'un faux-semblant de traitement. Olivier Ille s'est retrouvé six ans plus tard le mentor de Christine Malèvre au CHU de Mantes la Jolie, qui fit périr une trentaine de malades (révélés par  le signalement du Dr. Laurence Kouyoumdjian).. Ces assassinats ont été déguisés en erreurs de diagnostic et en "euthanasies compassionnelles", des crimes au bénéfice du CNTS, donc "tabou", c'est-à-dire classés secret d'Etat Cf. Google htt://www.genocides.over-blog.com articles n° 73331815, 108281777, 1171031408, 117182412, 117138210 html et  "Un non-lieu abusif"

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30 mars 2013 6 30 /03 /mars /2013 17:15

Le Dr. Pierrre Cretien a eu l’outrecuidance de sauver la vie de son père en septembre 1990, au mépris des prescriptions mortelles des neurologues du Service du Professeur Gérard Saïd.  Il a de ce fait été vécu par l’Assistance Publique et l'Institution Ordinale non pas comme un confrère  à féliciter, mais comme un adversaire, à discréditer par tous les moyens  (affaire n° 2).

 

S'en étaient  chargé pour une autre raison que celle-là   (affaire n° 1), les Conseillers ordinaux Jean Pouillard et Patrick Bodenan °°° (voir sur Internet l’ahurissant Mémoire de ce dernier à  "Problèmes éthiques posés par les Commissions de conciliations hospitalières" et au site n°  73331815 l'exposition chronologique de l'affaire n° 1. Ces deux affaires sont en fait étroitement liées).

 

Ses avocats et lui-même furent menacés de représailles ordinales parce qu'il ne fallait surtout pas que ces 2 affaires, a priori indépendantes "ne s'ébruitent", dixit Me Annick Dorsner d'Olivet  me rapportant les conseils du parquet pour que celui  accepte  - non sans réticences - de poursuivre l'instruction de l'affaire n°1 (Cf.site Google 73331815 Chap. I § 13 et 15 Chap. II § 20 et site 108281777 html).

 

En obéissant aux directives mortelles d'Olivier Ille, alors Interne dans le Service du Pr. Gérard Saïd, le Dr. Jean-Yves Beinis, Chef de Service à l'hôpital Charles-Foix, obéissait aux directives qui avaient été discutées en staff par les neurologues de Bicêtre, dont Olivier Ille ( Cf  blog de léon 3 décembre 2011  :  Non-lieu Judiciaire et  raison d'Etat  n°   91 06 57 52 html )

 

De deux choses l'une : soit les neurologues du Service de neurologie de Bicêtre  s'étaient vraiment trompés, donc auraient été incompétents, ce qui est invraisemblable, soit  ils avaient programmées leurs mortelles directives thérapeutiques en toute connaissance de cause, sachant bien que, par tempéramment,  le Dr. Beinis n'oserait jamais les remettre en question et leur obéirait aveuglément (n'est-ce pas au même "führer Princip", qu'obéissait Eichmann dans les années 1940 ? ).

 

De fait, quand le malade intégra le Service du Dr. Beinis, au lieu d'examiner  lui-même le malade et se faire une opinion personnelle,  le Dr. Beinis suivit aveuglémnent les directives des neurologues de Bicêtre (ce qu'il m'a avoué le 3 mars 2011). Il continua de faire semblant d'adminstrer le traitement de la maladie de Biermer à son malade en administarnt le semblant de traitement prescrit par  Olivier Ille.  Le Dr. Beinis avait été activement incité à ne sutout pas suivre l'avis du fils du malade, donc à ne pas administrer réellement le traitement de la maladie de Biermer. Dans une lettre manuscrite l'Interne de Bicêtre Olivier ILLE  lui avait fait habillement croire à d'autres pathologies que celle primitivement diagnostiquée aux Urgences de cet hôpital.  Il lui avait été recommandé de faire croire au fils que son père recevait bien le traitement de la maladie de Biermer, ainsi que l'indique en conclusion sa lettre manuscrite d'Olivier (datée du 22 août 1990 et récupérée par le fils en décembre 1995 sur l'injonction de l'hôpital Charles-Foix  à la lui remettre).

 

Visitant son père alors que celui-ci était hospitalisé depuis plus de deux semaines à l'hôpital Charles Foix, le fils fit remarquer à Mme Pondu, la Surveillante,  que son père avait développé une glossite de Hunter, un des symptômes caractéristiques des états neuro-anémiques. Ce symptôme n’aurait pas dû pouvoir apparaître, le malade étant censé recevoir le traitement de la maladie de Biermer !

.

Mme Pondu, délégua le lendemain une jeune élève infirmière pour  montrer au fils du malade que ce qu’elle avait à lui injecter n’était pas susceptible  de remédier à sa maladie. L’apparition de la glossite lui avait en effet permis de se rendre compte que le malade était réellement victime d’un syndrome neuro-anémique. Les infirmières refusèrent dès lors de cautionner ce qu’elles savaient n'être qu'une prescription  mortelle. Elle s’arrangèrent pour que le fils s’en rende compte.  A lui de faire  le nécessaire. Ce qu’il fit.

 

Les recommandations faites au Dr. Beinis signait l’intentionnalité des "erreurs", car même prévenu, le Dr. Beinis ne changea rien au traitement qu'il avait prescrit à l'entrée du malade dans son Service. C’était donc bien à un assassinat que correspondaient ces prescriptions "erronées", puisqu'un diagnostic correct avait été fait dès l’admission du malade aux Urgences, six semaines plus tôt, celui-ci étant par ailleurs tout à fait évident. 

 

Être témoin d’un assassinat n’est pas rassurant, surtout si les assassins se savent soutenus par l'institution au sein de laquelle ils exercent (en l'occurrence l'Assistance Publique) et craignent que vous découvriez ce que cachait leur fausse "erreur" de diagnostic. 

 

De même pour ce qui est des experts médicaux et des avocats dans cette affaire 

 

En s'en  chargeant, les avocats devenaient des témoins par procuration.  Maîtres Jean-Yves Le Bouillonnec, Catherine Scotto-Derouet, Sylvie Ferval, Annick Dorner-Dolivet,se montrèrent  terrifiés, pour ne pas parler des autres avocats pressentis: après avoir étudié l’affaire.  Ils l’avaient trouvé inquiétante, dangereuse pour eux, et s’étaient désistés. Me Régine de la Morinerie quant à elle torpilla carrément la cause qu'elle avait à défendre !  

 

M’avaient informé de ce qu’il en était réellement de la Clinique de l’Haÿ-les-Roses le Commandant Christian Raeckelboom, certains experts, comme le Dr. Jules Fineltain. Ainsi que le créateur des SAMU feu le Pr. Pierre Huguenard. Celui-ci entra dans une violente colère rien qu’à entendre le nom des propriétaires de cetet Clinique. Il m’avait dit ce qu’il en était d’Edith Elmelik, de la fine équipe des Debeyre-Denis-Elmelik, et du Dr. Patrice Bodenan, auquel il avait refusé le titre de réanimateur (Bodenan le fit retirer de sa Carte de Visite après qu'il s'est mêlé de cette affaire) .

 

Les raisons de l’occultation de leurs pratiques par la justice m’étaient longtemps restées impensables : l’explication qu’il fallait ne pas ternir « l’image » de la médecine, comme me l’avait dit en aparté un des experts (le Pr. René-Claude Touzard) chargés d’éclairer la justice, me semble beaucoup trop courte, même si ce fut ce qui l’a déterminé à faire rédiger un rapport d’expertise bidonné au Dr. François Chedru (un neurologue alors Chef de Service au C.H.U de Meaux, donc dépendant de l'A.P. ).

  

Il faudrait que des enquêteurs, sans aucun lien avec les responsables de ces bavures, fassent la lumière sur les dessous de ces occultations médico-judiciaires  J’avais déjà demandé à Madame Bachelot-Narquin une enquête parlementaire en 2008 . Que des Politiques, Ministres et Parlementaires, n’aient pas peur de se mesurer à la haute délinquance médicale, qui, nous le savons, existe et ruine la santé des patients et le budget de de l'Asssurance Maladie tout autant que le narcotrafique.

 

En vous remerciant de votre attention, je vous prie d’agréer, Chers Canards, l’expression de mon invitation à vous documenter  sur cette affaire, et à vous indigner ….

 

CQFD

 

sur www. Rechercher / Archives of Neurology - Hôpital Bicêtre / …/ Saïd - Elmelik / Christian Hervé - Patrice Bodenan / Rapport Canard - Patrice Bodenan /…..

 

 Bibliographie  scientifique :

 

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78

"Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".

3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.

4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"

5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 metabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).

6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".

7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"

8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"

9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"

10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".

11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".

12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"

13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"

14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"

15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"

16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".

17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)

18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).

19 - Revue Neurogique 2006;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)

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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 15:39

Chacun connaît l'adage de John Fitzgerald Kennedy  : << Ne vous demandez pas ce que le pays peut faire pour vous, mais demandez-vous plutôt ce que vous pouvez faire pour votre pays >>. 

 

Certes, mais si l'adage vaut pour les Etats-Unis, il est inapplicable en France, où les sonneurs d'alertes non seulement ne sont pas protégés, mais sont au contraire assimilés à des traitres et font l'objet de persécutions institutionnelles.

 

Nos excellentes  Consoeurs Catherine Bonnet et Irène Frachon en ont fait l'amère expérience,  la première pour avoir pointé les tricheries freudiennes au bénéfice des pédoclastes et des violeurs d'enfants (cf. l'article précédent) , et la seconde pour avoir comme on le sait grâce à la Revue "Prescrire",  rapporté les méfaits des prescriptions du Médiator  au bénéfice des actionnaires des laboratoires Servier.  

Comme monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir, j'ai,  sans l'avoir expréssément cherché, à plusieurs reprises oeuvré à l'avancement des sciences et des techniques, 1° en innovant dans les années 1980  un traitement du pityriasis versiclore, 2° en rendant possible dès 1990 le traitement des  Leuco-encéphalopathies Multifocales Progressives, jusqu'alors  considérées comme intraitables (cf.infra § 1 ),  3° en trouvant en 1992 un traitement extemporané de l' invagination intestinale aiguë du nourrisson, et enfin 4° , ce qui serait le plus important, en avançant en 2012  une technique qui permettra à de nombreux pays, dont la France, d'exploiter à vaste échelle l'énergie des marnages (cf. infra § 2 ). Reste à espérer que celle-ci au moins ne me vaudra pas, comme une des précédentes, d'être persécuté par ceux à qui elle bénéficiera.   

1 - Le 12 septembre 1990 je suis intervenu pour sauver la vie de mon père en lui administrant  véritablement  le traitement de la maladie de Biermer. Ses médecins n'avaient jusqu'alors et durant plus de cinq semaines fait que semblant de le lui administrer (Cf. sur la Toile l'article 108281777 html écrit le 18 juillet 2012 et expédié le jour même depuis l'Haÿ-les-Roses par courrier postal au Président  François Hollande, au Professeur Didier Sicard et à la rédaction du Figaro, lettres restées sans réponses ).


Je n'avais pas voulu croire, c'était impensable malgré l'évidence, que mon père ait pu être  victime d'erreurs intentionnelles. J'avais agi dans l'urgence absolue, en catastrophe, en faisant seulement promettre à ma soeur Danièle, de deux ans mon aînée, qu'elle m'aiderait par la suite à le retablir dans l'autonomie qui était la sienne avant ses hospitalisations à la Clinique Elmelik et dans les Services de l'A.P. Il était jusque-là autonome, ce qui lui avait permis de subvenir aux besoins de notre mère, devenue depuis 1988 de plus en plus handicapée par une double cataracte sévère compliquée d'une maladie d'Azheimer de plus en plus invalidante. Mais ce qui s'est passé après que mon père a pu se rétablir grâce au vrai traitement de la maladie de Biermer dépasse l'imagination : non seulement je ne fus pas soutenu par ma soeur, mais celle-ci s'acharna au contraire contre moi. Comme certains hauts Conseillers de l'Ordre des médecins (les Drs Patrice Bodenan°°° et Jean Pouillard), elle chercha à me faire payer très cher d'avoir laissé mon père porter plainte au prétexte que ses adversaires étaient "trop puissants" (Cf. sur l'article 73331815 html ). Les fautifs, l'Ordre des médecins et même la Justice en profitèrent pour se liguer contre moi, m'accusant de façon ignoble et tout à fait à faux, d'avoir, par antisémitisme (sic), moi-même sciemment provoqué la maladie de mon père afin qu'il puisse porter plainte contre ses médecins, qui manifestement ignoraient mes origines  (Cf. le site 69970222 html) !  Au point que le docteur Michel Serdaru, neurologue émérite de la FFN, qui s'était spontanément proposé de dénoncer cette affaire à la presse, scandalisé par ce qui s'était passé, prit peur pour lui-même quand il apprit que le docteur Antoine Denis et la Clinique Elmelik étaient de la partie  (ma  soeur habite à Paris l'ancien appartement des mes parents, au 24 de la rue du Commandeur, un appartement qu'elle a réussi à se faire attribuer après la mort de mes parents). 

2 - Chère cousine,

Tu n'aurais pas bien compris le fonctionnement de la technique d'exploitation des marnages que je préconise, qui consiste à récupérer plus rationnellement qu'il n'a été fait jusqu'à présent l'énorme potentiel énergétique qu'ils présentent.

Cette technique est rationnelle non seulement parce qu'elle permet de se dispenser de la construction d'un barrage, mais parce qu'elle  est applicable partout où les marnages sont conséquents, donc non  seulement limitéé à quelques sites propices comme la baie de Funday ou la  baie de la Rance.

Le principe du système, que j'appelle  Système Transfert-Séquentiel à Mémoire de Charge, ou  STSMC, histoire de lui donner un nom, est en fait pas très compliqué, et sa concrétisation  sera certainement moins problématique que ne l'a été la construction  de l'usine marémotrice de la Rance. Il devrait intéresser tous les pays disposant de côtes exposées à d'importants marnages. La France est particulièrement bien pouvue en la matière. De nombreux  pays devraient grâce à cette technique  pouvoir renoncer au nucléaire, notamment les pays a forte sismicité, tels le Japon, la Chine et la Corée, sans parler des Etats-Unis et des pays de l'Amérique latine.

Au niveau de la baie de Funday, les marnages sont encore plus importants que sur les côtes françaises et anglaises.
Le Québec n'est pas sismique mais entend  faire reposer sa stratégie énergétique sur une relance et une accélération du développement de son "patrimoine hydroélectrique". Le Ministère de l'énergie fait savoir sur la Toile  que  << La démarche retenue pour les grands projets hydroélectriques est marquée au sceau de l’innovation et de l’audace. Elle conduira à bâtir un important « portefeuille »  de projets (sic) , en réduisant globalement les délais de réalisation sans compromettre d’aucune façon la rigueur des analyses nécessaires ou la solidité des négociations préalables /....../ La stratégie de relance et d’accélération du développement de notre patrimoine hydroélectrique contribuera par ailleurs directement à la lutte contre les changements climatiques et en particulier au développement durable du nord-est américain >> . Il n'y est pas encore question du STSMC, mais celui-ci, qui est effectivement en  forme de "portefeuille" ou de "porte-monnaie",  devrait pouvoir rapidement intéresser le Québec à partir du moment où le pays aura pleinement pris la mesure de ses nombreux avantages. 

Les données bien connues de la physique sont suffisantes pour préjuger de la légitimité et de la faisabilité du concept. Le "projet"  STSMC est de ce fait et jusqu'à preuve du contraire  à coup sûr une  solution d'avenir. Je suis seulement étonné de ce qu'un système si simple n'ait pas encore fait l'objet d'une exploitation. Je crois que cela ne saurait tarder maintenant qu'il a été découvert. 

Celui-ci fait intervenir des structures cavitaires off shore  à mémoire de forme, celles-ci étant  destinés à faire tourner on shore des groupes électogènes. A la différence de ce qui se passe dans les  barrage, ce n'est pas l'eau qui dans sa chute fait tourner des turbines, mais la pression des gaz emprisonnés dans des structures cavitaires immergées en profondeur à proximité des côtes.  Donc nul besoin d'un estuaire. Là où les marnages restent suffisamment importants la méthodologie est applicable, compte-tenu toutefois de ce que les marnages vont diminuant avec l'éloignement des côtes.    

Dans le STSMC, des structures cavitaires immergées off-shore  restent en ommunication avec l'air atmosphérique gvia des conduites.  Imaginons des structure cavitaires étanches et pliables capables de retrouver  leur volume initial sous l'eau à des profondeurs déterminées,  à des profondeurs de l'ordre de 10, 20, 30, 40 mètres ... ou plus, selon les sites) grâce à leur résilience, un mécanisme à ressorts leur confèrant une "mémoire de forme". On peut se les imaginer à la ressemblance d'immenses  portefeuilles ou de porte-monnaies à charnière dont l'ouverture a été rendue possible, quoique étanche, grâce à des flancs  souples, de type accordéon  (voir dessin). On peut aussi  les imaginer à la ressemblace d'immenses coquilles saint-jacques à coquilles symétriques s'ouvrant de même sans laisser l'eau les pénétrer sur leurs flancs.

Imaginons que ces structures aient été calulées pour être juste capables de rester ouvertes à marée basse. Comme elles n'en sont pas moins restées en communication avec l'air atmosphérique, elles en restent remplies.  A marée montante, ces cellules  vont être incapables de resister à leur fermeture puisque  la pression externe augmente. Elle se refermeront et l'air qu'elles contiennent va en être expulsé par les conduites. Mais si nous prenons  la précaution de fermer on shore la conduite qui relie leur contenu à l'air ambiant, l'air va y rester ermprisonné.  Sa pression va atteindre à marée haute une valeur supplémentaire corresponadant à la hauteur du marnage local, qui est en Bretagne et en Normandie en moyenne de l'ordre de 10 mètres, soit mille millibars. En ouvrant à marée haute les vannes des conduites qui relient les cellules à l'air atmosphérique, l'air enfermé sous pression est très fortement expulsé et apte à faire tourner un groupe électogène durant l'étale. Lorsque la marée redescendra, les vannes restées ouvertes permettrons à l'air atmosphérique de remplir les cellules, celles-ci reprenant grâce à leur résilience leur voume initial, et l'on pourra recommencer l'exploitation des gaz sous pression à marée haute et ainis de suite.   Il faudra évidemment que ces cellules soient très  lourdement lestées pour contrer les forces d'Archimède. Voilà pour le principe. Il serait certainement plus  évident si je pouvais l'exposer de vive voix face à un tableau noir.

 

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