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30 mars 2013 6 30 /03 /mars /2013 17:15

Le Dr. Pierrre Cretien a eu l’outrecuidance de sauver la vie de son père en septembre 1990, au mépris des prescriptions mortelles des neurologues du Service du Professeur Gérard Saïd.  Il a de ce fait été vécu par l’Assistance Publique et l'Institution Ordinale non pas comme un confrère  à féliciter, mais comme un adversaire, à discréditer par tous les moyens  (affaire n° 2).

 

S'en étaient  chargé pour une autre raison que celle-là   (affaire n° 1), les Conseillers ordinaux Jean Pouillard et Patrick Bodenan °°° (voir sur Internet l’ahurissant Mémoire de ce dernier à  "Problèmes éthiques posés par les Commissions de conciliations hospitalières" et au site n°  73331815 l'exposition chronologique de l'affaire n° 1. Ces deux affaires sont en fait étroitement liées).

 

Ses avocats et lui-même furent menacés de représailles ordinales parce qu'il ne fallait surtout pas que ces 2 affaires, a priori indépendantes "ne s'ébruitent", dixit Me Annick Dorsner d'Olivet  me rapportant les conseils du parquet pour que celui  accepte  - non sans réticences - de poursuivre l'instruction de l'affaire n°1 (Cf.site Google 73331815 Chap. I § 13 et 15 Chap. II § 20 et site 108281777 html).

 

En obéissant aux directives mortelles d'Olivier Ille, alors Interne dans le Service du Pr. Gérard Saïd, le Dr. Jean-Yves Beinis, Chef de Service à l'hôpital Charles-Foix, obéissait aux directives qui avaient été discutées en staff par les neurologues de Bicêtre, dont Olivier Ille ( Cf  blog de léon 3 décembre 2011  :  Non-lieu Judiciaire et  raison d'Etat  n°   91 06 57 52 html )

 

De deux choses l'une : soit les neurologues du Service de neurologie de Bicêtre  s'étaient vraiment trompés, donc auraient été incompétents, ce qui est invraisemblable, soit  ils avaient programmées leurs mortelles directives thérapeutiques en toute connaissance de cause, sachant bien que, par tempéramment,  le Dr. Beinis n'oserait jamais les remettre en question et leur obéirait aveuglément (n'est-ce pas au même "führer Princip", qu'obéissait Eichmann dans les années 1940 ? ).

 

De fait, quand le malade intégra le Service du Dr. Beinis, au lieu d'examiner  lui-même le malade et se faire une opinion personnelle,  le Dr. Beinis suivit aveuglémnent les directives des neurologues de Bicêtre (ce qu'il m'a avoué le 3 mars 2011). Il continua de faire semblant d'adminstrer le traitement de la maladie de Biermer à son malade en administarnt le semblant de traitement prescrit par  Olivier Ille.  Le Dr. Beinis avait été activement incité à ne sutout pas suivre l'avis du fils du malade, donc à ne pas administrer réellement le traitement de la maladie de Biermer. Dans une lettre manuscrite l'Interne de Bicêtre Olivier ILLE  lui avait fait habillement croire à d'autres pathologies que celle primitivement diagnostiquée aux Urgences de cet hôpital.  Il lui avait été recommandé de faire croire au fils que son père recevait bien le traitement de la maladie de Biermer, ainsi que l'indique en conclusion sa lettre manuscrite d'Olivier (datée du 22 août 1990 et récupérée par le fils en décembre 1995 sur l'injonction de l'hôpital Charles-Foix  à la lui remettre).

 

Visitant son père alors que celui-ci était hospitalisé depuis plus de deux semaines à l'hôpital Charles Foix, le fils fit remarquer à Mme Pondu, la Surveillante,  que son père avait développé une glossite de Hunter, un des symptômes caractéristiques des états neuro-anémiques. Ce symptôme n’aurait pas dû pouvoir apparaître, le malade étant censé recevoir le traitement de la maladie de Biermer !

.

Mme Pondu, délégua le lendemain une jeune élève infirmière pour  montrer au fils du malade que ce qu’elle avait à lui injecter n’était pas susceptible  de remédier à sa maladie. L’apparition de la glossite lui avait en effet permis de se rendre compte que le malade était réellement victime d’un syndrome neuro-anémique. Les infirmières refusèrent dès lors de cautionner ce qu’elles savaient n'être qu'une prescription  mortelle. Elle s’arrangèrent pour que le fils s’en rende compte.  A lui de faire  le nécessaire. Ce qu’il fit.

 

Les recommandations faites au Dr. Beinis signait l’intentionnalité des "erreurs", car même prévenu, le Dr. Beinis ne changea rien au traitement qu'il avait prescrit à l'entrée du malade dans son Service. C’était donc bien à un assassinat que correspondaient ces prescriptions "erronées", puisqu'un diagnostic correct avait été fait dès l’admission du malade aux Urgences, six semaines plus tôt, celui-ci étant par ailleurs tout à fait évident. 

 

Être témoin d’un assassinat n’est pas rassurant, surtout si les assassins se savent soutenus par l'institution au sein de laquelle ils exercent (en l'occurrence l'Assistance Publique) et craignent que vous découvriez ce que cachait leur fausse "erreur" de diagnostic. 

 

De même pour ce qui est des experts médicaux et des avocats dans cette affaire 

 

En s'en  chargeant, les avocats devenaient des témoins par procuration.  Maîtres Jean-Yves Le Bouillonnec, Catherine Scotto-Derouet, Sylvie Ferval, Annick Dorner-Dolivet,se montrèrent  terrifiés, pour ne pas parler des autres avocats pressentis: après avoir étudié l’affaire.  Ils l’avaient trouvé inquiétante, dangereuse pour eux, et s’étaient désistés. Me Régine de la Morinerie quant à elle torpilla carrément la cause qu'elle avait à défendre !  

 

M’avaient informé de ce qu’il en était réellement de la Clinique de l’Haÿ-les-Roses le Commandant Christian Raeckelboom, certains experts, comme le Dr. Jules Fineltain. Ainsi que le créateur des SAMU feu le Pr. Pierre Huguenard. Celui-ci entra dans une violente colère rien qu’à entendre le nom des propriétaires de cetet Clinique. Il m’avait dit ce qu’il en était d’Edith Elmelik, de la fine équipe des Debeyre-Denis-Elmelik, et du Dr. Patrice Bodenan, auquel il avait refusé le titre de réanimateur (Bodenan le fit retirer de sa Carte de Visite après qu'il s'est mêlé de cette affaire) .

 

Les raisons de l’occultation de leurs pratiques par la justice m’étaient longtemps restées impensables : l’explication qu’il fallait ne pas ternir « l’image » de la médecine, comme me l’avait dit en aparté un des experts (le Pr. René-Claude Touzard) chargés d’éclairer la justice, me semble beaucoup trop courte, même si ce fut ce qui l’a déterminé à faire rédiger un rapport d’expertise bidonné au Dr. François Chedru (un neurologue alors Chef de Service au C.H.U de Meaux, donc dépendant de l'A.P. ).

  

Il faudrait que des enquêteurs, sans aucun lien avec les responsables de ces bavures, fassent la lumière sur les dessous de ces occultations médico-judiciaires  J’avais déjà demandé à Madame Bachelot-Narquin une enquête parlementaire en 2008 . Que des Politiques, Ministres et Parlementaires, n’aient pas peur de se mesurer à la haute délinquance médicale, qui, nous le savons, existe et ruine la santé des patients et le budget de de l'Asssurance Maladie tout autant que le narcotrafique.

 

En vous remerciant de votre attention, je vous prie d’agréer, Chers Canards, l’expression de mon invitation à vous documenter  sur cette affaire, et à vous indigner ….

 

CQFD

 

sur www. Rechercher / Archives of Neurology - Hôpital Bicêtre / …/ Saïd - Elmelik / Christian Hervé - Patrice Bodenan / Rapport Canard - Patrice Bodenan /…..

 

 Bibliographie  scientifique :

 

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78

"Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".

3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.

4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"

5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 metabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).

6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".

7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"

8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"

9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"

10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".

11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".

12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"

13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"

14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"

15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"

16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".

17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)

18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).

19 - Revue Neurogique 2006;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)

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