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3 octobre 2015 6 03 /10 /octobre /2015 13:21

Le concept de "résonance morphique", est à raison réputé n'être pas très scientifique, et même pas du tout scientifique.  

Mais fin octobre 1981 j'avais dans la nuit d'un samedi au dimanche fait rêve qui s'esr vérifé prémonitoire, un rêve qui s'est concrétisé trois jours plus tard. 

Ne s'agit-il pas là d'une expérience qui pourrait répondre au concept de "résonance morphique" défendu par le biologiste et "parapsychologue"  Rupert Sheldrake, un concept que je viens de découvrir. Il n'avait jusqu'à maintenant pas beaucoup retenu mon attention, même si je me suis parfois posé la question de son existence à propos d'autres "expériences", celles-là beaucoup plus fréquentes et partagées : celle des noms que l'on a "sur le bout de la langue".J'en parlerai plus loin. 

L'expérience relatée ci-après est une expérience subjective; Elle n'est évidemment  pas reproductible, mais d'autres que moi certainement en ont fait et en feront de semblables.   

Sauf sur un point le rêve que j'avais fait différait de l'expérience que j'allais vivre trois jours plus tard dans la réalité :  la compagnie aérienne que j'avais dû emprunter pour me rendre de façon imprévue à New-York n'était pas, comme dans mon rêve Air-France parce qu' aucune place n'était dans l'immédiat disponible sur cette Compagnie. J'avais dû faire levoyage sur la Pan American, une Compagnie sur laquelle celui qui était le motif de ce voyage imprévu m'avait conseillé de ne pas emprunter, au prétexte que le personnel navigant y était généralement peu accueillant.

A part cette différence, et la constatation de ce que le personnel navigant de la Panam avait été au contraire très accueillant, tout était à l'identique de ce qu'avais vécu en rêve.

C'était un rêve dont je me souviens d'autant mieux que je l'avais à mon réveil le dimanche matin raconté à mon épouse : comme dans mon rêve, je me suis retrouvé trois jours plus tard à bord d'un Boeing 747 allant à New-York.

Dans la réalité comme dans mon rêve j'y avais pris place près de l'allée centrale, à gauche, dans le fauteuil numéroté 36, un fauteuil situé au niveau du bord de fuite de l'aile gauche de l'appareil. 

Tout au long de mon installation dans l'avion, j'avais l'étrange sentiment d'un déjà-vécu, un déjà-vu qui ne dura pas quelques quelques secondes, comme il m'était arrivé d'en avoir plusieurs fois fait la brève expérience sans pouvoir les rattacher au souvenir d'un rêve, mais à un sentiment de déjà-vécu qui a duré plusieurs longues minutes; un déjà-vécu dans lequel j'anticipais au fur et à mesure ce qui allait se produire et qui se réalisait effectivement. 

Par exemple, lorsque l'hôtesse m'a distribué le ticket indiquant le numéro du fauteil qui m'était dévolu, non seulement je lus qu'il s'agissait du numéro 36, mais celui-ci se trouvait effectivement là où je l'avais occupé en rêve.

Lors de mon embarquement dans l'appareil, quand l'hôtesse m'a distribué l'endroit de mon fauteuil, je me suis fait cette réflexion : << Il ne manquerait plus que le fauteuil n° 36 se trouve là où il se trouvait dans mon rêve >>. Je l'ai dabord cherché le long de l'allée droite de l'appareil pour finalement le trouver à l'emplacement du rêve !

Vérification faite a posteriori, dix-huit ans plus tard, lorsque j'ai raconté le rêve à mon analyste, j'ai eu l'idée d'aller vérifier sur plan la place du siège numéroté 36 sur les Boeing 747. Celle-ci se trouve effectivement située au niveau du bord de fuite de l'aile gauche de l'appareil et au bord de l'allée gauche.

Depuis, je suis persuadé que le sentiment de "déjà-vécu" correspond non pas à un phénomène épileptique, ainsi que le prétendent certains médecins neurologues, mais à des rêves oubliés revécus dans la réalité. Mon analyste prétendit que Freud avait avancé la même explication du phénomène. Je ne sais pas où elle a pu le lire.

Je n'avais pas oublié le mien lorsque j'ai, en toute conscience, revécu en vrai l'épisode que je viens de décrire.

Autre phénomène troublant apparemment en rapport avec ce qui peut être en ralation avec ce rêve : deux jours avant mon embarquement pour New-York, soit le lendemain de mon rêve, à 19 h 30 exactement, j'avais dû me précipiter dans la salle de bain pour vomir alors qu'aucun malaise digestif  n'en avait précédé ni suivi la nécessité. Cette heure correspondait précisément à l'heure à laquelle le médecin légiste avait estimé l'heure de la mort de mon cousin new-yorkais, survenue dans la nuit, à New-York à 1 heure 30 du matin.

C'étais un cousin avec qui j'étais resté très proche. Il avait fait les études que j'étais - selon mes parents - censé devoir faire alors que j'avais fait celles que lui était censé - selon son père - devoir faire (des études médicales). Il venait d'entrer "en analyse", et j'ai quelques raisons de craindre que les interprétations de son analyste après qu'il lui a raconté les difficultés que lui avait causé son père ont été pour quelque chose dans sa mort !

J'aurais dû l'avertir de ce que je savais d'expérience : que la doctrine freudienne est par essence perverse et iatrogène (criminelle). Freud se réjouissait du grand nombre de suicvidés chez ses adeptes, et la remarque vaut pour les analysands de Jacques Lacan, au point qu'il avait été question de l'interdire. 

Coïncidences ou relation de cause effet ? Les révélations de Jeffrey Moussaëff Masson sur Freud et sa fallacieuse doctrine (cf. "Assault on truth" paru en 1984 ) ont été divulguées début octobre 1981 par lNew-York Times. Un journal que mon cousin lisait tous les jours !  

- / -

L'expérience vécue relatée ci-après est contrairement à la précédente tout à fait objectivable parce que vérifiable, documentée, mais celle-ci est bien plus "dérangeante" que la précédente dans la mesure où elle s'est statistiquement vérifiée : ainsi dans l'étiologie des syndromes de carences vitaminiques B12 la prévalence de la maladie de Biermer est passée de 80 % à 30%, la première place revenant au syndrome NDB12PP, en cause dans 60 % des cas.  

Peut-être est-ce parce qu'elle est dérangeante que, malgré son grand intérêt clinique et thérapeutique, jamais, à ma connaissance, les Drs. Marina Carrère d'Encausse et Michel Cimès n'ont fait état de cette découverte dans "Le magazine de la santé - allo docteurs"  bien que je leur en aie fait part.

La redécouverte du syndrome NDB12PP n'aurait été faite que dans "le milieu des années 1990" (sic, Emmanuel Andrès et al. écrivent en 2008  dans "La Presse médicale" : << Le syndrome  NDB12PP est une entité nouvellement décrite qui occupe actuellement une place importante parmi les étiologies des carences en cobalamine notamment chez la personne âgée. Malgré sa fréquence, la NDB12PP reste un diagnostic d’exclusion qui nécessite un raisonnement bien codifié afin de pouvoir éliminer au préalable l’ensemble des autres causes de carence en cobalamine,  notamment la maladie de Biermer. Les causes de la NDB12PP sont diverses et multiples, dont en premier lieu les pathologies gastriques et les médicaments (biguanides et inhibiteurs de la pompe à protons). Le traitement repose sur la prise en charge de la cause et la substitution orale avec des doses qui semblent être moindres que celles requises au cours de la maladie de Biermer. Les études actuelles et les projets futurs tendent à encore mieux caractériser ce syndrome de NDB12PP et à confirmer l’efficacité du traitement par vitamine B12 administrée par la voie orale >> 

Dans les années qui suivirent ce rêve prémonitoire, en août-septembre 1990, je me suis vu, en tant que médecin, dans la nécessité de formuler une hypothèse clinique qui fut tout de suite reçue comme insensée et déclarée telle par les neurologues qui, à l'hôpital Bicêtreavaient mon père en charge.

Ceux-ci avaient non seulement refusé de la mettre en application, mais avaient fait semblant de l'appliquer, jusqu'à ce qu'une infirmière de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix (Service du Dr. Jean-Yves Beinis) où mon père avait été transféré vienne m'en avertir (voir "Une nuit vitaminée" sur le "blog de leon") 

Le fait qu'elle m'ait fait connaître la supercherie en me montrant le cahier des prescriptions médicamenteuses alors qu'il était encore temps non seulement sauva la vie du malade et lui permit de se relever du coma et de se rétablir intellectuellement, mais, selon un parcours imprévu, initia la découverte du "syndrome NDB12PP" (voir ce terme et les sites 69970222 et 10828777 html), parce que, pris de panique, et le Conseil de l'Ordre des médecins et l'AP - HP, agissant tous les deux en protecteurs de la Clinique Léon Elmelik voulurent me soumettre à l'article  L 460 du CSP pour dérangement mental et escroquerie criminelle (je fus accusé - verbalement - d'avoir pour des raisons ignominieuses - par antisémitisme (sic) - intentionnellement "fabriqué" (sic)  la maladie de mon père, autrement dit d'être l'auteur d'un "Münchhausen" c'est-à-dire d'un crime passible d'une condamnation pénale. 

La Clinique Léon Elmelik était "protégée en hauts lieux" parce qu'elle servait à ce à quoi servira,  après son changement de propriétaires en 1995, le Service du Dr. Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie.  

Mon hypothèse s'est donc vérifiée dans les années qui suivirent.  Elle n'était pas insensée, mais au contraire très pertinente puisqu'elle permet désormais de ne plus confondre la maladie d'Alzheimer, qui reste incurable, avec le syndrome depuis 2003 dénommé "syndrome NDB12PP", un syndrome apparenté à la maladie de Biermer et de ce fait éminemment curable avec le traitement dévolu à cette dernière, pourvu qu'il soit administré avant que les dommages neurologiques qu'il occasionne ne deviennent irréversibles et fassent effectivement classer à tort les malades comme atteint une démence due à la maladie d'Alzheimer !

Cela avait été le cas de mon père avant qu'il ne récupère ses fonctions intellectuelles à 30/30 sous l'effet du traitement simple et économique qu'est celui de la maladie de Biermer.

Mon père avait ainsi éété en mesure de récupérer ses facultés mentales pour le prix de deux paquets de cigarettes alors qu'il était hospitalisé en neurologie, avec du Prozac* pour tout traitement, nonobstant l'administration de 1/2 mg/IM: (Cf. 69970222 html)

Son rétablissement me valut les persécutions du Conseil de l'Ordre et du parquet (Cf. "omerta médicale" sur le "blog de léon").

La seconde découverte est plus récente, faite en 2012. Elle  a trait à deux procédés techniques (le STSMC et sa version simplifiée STSMI) qui permettent de récupérer "les pieds sur terre" beaucoup plus écologiquement économiquement et massivement l'énorme potentiel énergétique des marnages que le procédé consistant à construire des barrages.

Validés sur maquettes, ils ne demandent qu'à faire leurs preuves in situ, leur bon fonctionnement ne dépendant aucunement de leur taille. Ils présentes en plus l'avantage de pouvoir s'intégrer au paysage et de pouvoir résister sans problème et par construction aux pires conditions météorologiques.

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