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22 septembre 2016 4 22 /09 /septembre /2016 12:18

Les expertises médicales qui concernent les "bavures" médicales notamment quand ces "bavures"  susceptibles de ternir "l'image" des médecins et de la médecine ne sont quasiment jamais rapportées de façon impartiales par experts médicaux, qui tendent à rendre les patients d'une façon ou d'une autre responsables des fautes et même des exactions caractérisés dont ils ont été victimes.

Cela s'explique en grande partie non seulement du fait que les experts médicaux exercent eux-mêmes au sein des hôpitaux et ne sont donc pas indépendants, mais aussi sinon surtout parce que l'Ordre des médecins veille à sanctionner sévèrement les manquements à l'omerta corporatisteq;

Le problème a été explicitement évoqué par le docteur Bruno Halioua à la page 12 et dans la post-face de "Blouses blanches, étoiles jaunes", un ouvrage paru aux éditions Liana Lévi en décembre 1999 .. avec, chose aussi étrange que paradoxale, non seulement l'autorisation du CNOM, mais sur son injonction pressante, une injonction survenue le 11 octobre 1997 coincidant comme par hasard averc le moment où le professeur Gérard Saïd et la direction de l'hôpital Bicêtre firent interrompre l'abonnement et la parution de la revue "Archives of Neurology" à la bibliothèque universitaire de Bicêtre au prétexte que c'était "une très mauvaise revue" (sic, dixit le professeur Gérard Saïd, qui m'avait aussi précédemment expliqué qu'aucune recherche électro-myographique n'avait été pratiquée sur un de ses malades parce que "cela ne servait à rien" (sic, alors qu'elle avait bel et bien été faite, tant en aoüt 1990 que six mois plus tard en février 1991 lors de sa réhospitalisation), ledit malade ayant failli mourir en septembre 1990 du fait que son Service avait expressément  interdit de lui appliquer le traitement spécifique impérieux et urgent dont relevait son état, en l'occurrence un très sévère syndrome neuro-anémique relevant par conséquent de l'administration urgente et intensive de vitamine B12, c'est-à-dire le traitement spécifique de la maladie de Biermer et des carences vitaminiques B12 profondes, dont le "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" dont il n'avait et ne voulait pas reconnaître l'existence !

Le docteur Bruno Halioua, dermatologue et franc-maçon, ne s'expliquait pourquoi il avait si soudainement non seulement été autorisé à publier son manuscrit, mais y avait été fortement "invité".

Pris dans une situation quelque peu schizophrénique, pour y échapper, il a en post-face, éprouvé le besoin de justifier son obéissance à des ordres contradictoires en incluant cette "justification" dans ses remerciements pour en attribuer la responsabilité à un tiers, en l'ocurrence Bernard Weber, déclarant que sans lui "il n'aurait jamais eu le courage de porter son manuscrit chez son éditeur".

Reste à savoir de quel Bernard Weber il s'agit. Celui des fourmis ? 

Ce qui n'avait pas été dit au docteur Bruno Halioua, et qui le rendait presque schizophrène, c'est que l'Ordre des médecins, sous la présidence de Bernard Glorion, avait intérêt à se concilier les bonnes grâces de l'AMIF (Association des Médecins Israélites de France), depuis toujours la bête noire du Conseil de l'Ordre, pour contrer la plainte d'un rescapé de mégas bavures médicales commises par les médecins de la Clinique Léon Elmelik, bavures majorées si ce n'est sciemment relayées par les neurologues du Service de neurologie du professeur Gérard Saïd, qui avaient rendu ledit malade dans l'incapacité de poursuivre les médecins de la Clinique Léon Elmelik alors même qu'il aurait été très facile de le rétablir en quelques jours dans ses fonctions cognitives par un traitement extrêment simple, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer, qui s'imposait de lui-même devant le tableau clinique présenté, celui d'une très sévère carence vitaminique B12 (syndrome tétrapyramidal et cordonal postérieur réalisant tableau de sclérose combinée + glossite de Hunter caractériistiques d' une profonde carence vitaminique B12, un tableau qui impose d'administrer en urgence une vitaminothérapie B12 intensive, un traitement qui non seulement n'avait pas été fait, mais que les neurologues de Bicêtre avaient simulé l'administration et invité le docteur Jean-Yves Beinis, chez qui il l'avaient fait transférer pour qu'il ne vienne pas à décéder dans leur propre Service, à faire de même après qu'ils lui ont adressé le malade en le lui présentant comme "de toutes les façons voué à une inéluctable plus grande aggravation" en prétendant qu'il souffrait d'une "atteinte diffuse du système nerveux" (sic) consécutive à une "encéphalopathie vasculaire" (resic) compliquant une démence sénile de type Alzheimer (une "DTA" dans le jargon médical de l'époque. Pour "preuves" un test de Schilling et une vitaminémie B12 soi-disant normaux et un MMSE rapidement tombé à 22/30).


Les médecins de la Clinique Elmelik étaient bien connus de la police pour être "protégés en hauts lieux", ainsi que le déplorait le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, qui en avait "par-dessus la tête" d'avoir à enregistrer vainement des plaintes (pour viols), qui toutes étaient "systématiquement bloquées au parquet", le médecin-propriétaire de ladite Clinique s'y livrant à tire-larigot depuis des lustres sans aucune retenue, démontrant par là  que la France est un pays de "basse intensité démocratique"

 Cf. www. clinique elmelik - olivier Ille et www. olivier ille - amour et vérité.

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