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20 septembre 2016 2 20 /09 /septembre /2016 16:34

Invité à s'exprimer sur la Justice sur France Culture  en 2011 Denis Salas, Magistrat, ancien Juge d'Instruction, Directeur scientifique des Cahiers de la Justice et Secrétaire général de l’Association française pour l’histoire de la Justice avait exprimé l'avis que la fonction  de la Justice n'est pas essentiellement d'administrer  la Justice,  mais de maintenir l'Ordre public, c'est-à-dire social.

Dans ces conditions, pourquoi conserver hypocitement son nom au Garde des Sceaux, et ne pas l'appeler "Ministre de l'Ordre public" (ou de l'Ordre social) et le rattacher soit au ministère de l'Interieur, soit au Ministère des affaires sociales, au lieu d'induire les justiciables en erreur en l'appelant "Ministre de la Justice" puisque maintenir l'Ordre public est considéré dans les pays de "basse intensité démocratique" comme l'est hélas la France, implique d'appliquer trop souvent des non-lieux aussi iniques que révoltants?   

Illustre parfaitement cette évidence le non-lieu réclamé par le parquet de Créteil quand il était présidé par Michel Barrau dans une affaire ou ne serait-ce que le centième des fautes commises (certaines d'entre, celles dui furent commises au sein de l'AP - HP dans le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd sous la "direction (?)" de son Interne Olivier Ille) ne pouvaient que l'avoir été sciemment, mais même celles qui n'avaient pas été intentionnellement mortelles mais avaient failli l'être précédemment dans la Clinique des docteurs Elmelik, et avaient été le motif de la plainte Contre X attenté par le rescapé, auraient mérité un procès pénal, ainsi que me l'avait exprimé dans sa colère le docteur Michel Serdaru quand en 1992 je lui ai confié le soin de parfaire le traitement que j'avais été obligé de mettre de toute urgence moi-même en route pour sauver la vie du malade après que ses infirmières m'ont averti qu'elle avaient eu l'ordre de n'administrer qu'un  simulacre de ce traitement ! (pour plus de précisions se reporter aux sites 34640255 et 108281777  html ainsi qu'à ceux que  Google affiche quand on associe le nom des docteurs Elmelik à celui du docteur François Chedru, à celui du professeur Gérard Saïd, à celui du docteurs Jean-Yves-Beinis, qui avait exécuté les ordres d'Olivier Ille, ou encore celui des Conseillers de l'Ordre les Pierre Brassart et Patrice Bodenan, diligentés par le CNOM pour faire pression sur le plaignant et ses avocats et lui faire retirer sa plainte)

Le docteur François Chedru, bien qu'il ait été une relation du docteur Michel Serdaru (ils avaient publié en commun sur la maladie de Marchiafava Bignami et le syndrome de Gayet Wernicke  s'était "sacrifié" piur rendre une expertise bidon niant l'extrême gravité des fautes qui avaient été commises par le docteur Antoine Denis à la Clinique Léon Elmelik alors qu'il avait en main les éléments qui avaient provoqué la colère du docteur Michel Serdaru et lui avait fait dire que ne serait-ce que le centième des fautes qui avaient été commises méritait un procès !

Le suicide du professeur Jean-Louis Mégnien a pusb récemment révélé des pratiques de harcèlement moral qui règnent au sein des hôpitaux de l'AP - HP,  en dépit de "Espace Ethique" que l'AP - HP avait hypocritement mis enplace en 1995.

Cet "Espace" (lapsus d'Ecart ethique ?)  soi-disant éthique avait tout d'abord été installé   à l'hôpital Bicêtre avant d'être ransféré à l'hôpital Saint-Louis pour plus de discrétion, eu égard à ce qui s'était passé à Bicêtre dans le Service du professeur Gérard Saïd,  dans lequel un malade avait failli être astucieusement exécuté au prétexte qu'il était de toute façon rapidement "voué à une plus grande aggravation".

Il avait été mis en place non par pour promouvoir l'éthique, mais, en s'inspirant du système de défense de la pieuvre, pour échapper aux poursuites judiciaires que ledit malade, qui avait réussi à sortir vivant de son exécution programmée. 

Des années plus tard, docteur Olivier Ille, qui ne s'était pas du tout inquiété de ce que son infirmère très dévouée sème la mort dans son Service, suivant l'exemple du professeur Gérard Saïd, membre rédacteur de la Revue d'éthique médicale Médica Judaïca, aime à se parer ange dans des conférences « éthiques », notamment dans celles qu'il donne à Paray le Monial au sein de La Communauté de l'Emmanuel, dont une conférence intitulée "Prends soin de lui" (sic, cf. les 15 et 16 mars 2013)Bizarre autant qu'étrange, le professeur Gérard Saïd, Chef du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre et en 1990 rédacteur de la Revue Médica Judaïca en tant que membre de l'IFREMj (l'Institut de Formation et de Recherche en Ethique Médicale juive édite - éditait - cette Revue, dont Emmanuel Hirsch était le Rédacteur en Chef et dont il est maintenant impossible - ou difficile - de retrouver trace sur le Web et de savoir qui en sont ou en étaient membres alors que c'était encore possible en 2006) m'avait menacé de plainte en diffamation parce que je m'étais seulement étonné de ce qu'il m'avait tout de suite refusé l'accès au dossier de mon père, hospitalisé dans son Service, au prétexte qu'il avait été perdu *.

* Le dossier d'hospitalisation, mais le malade aussi avait été déclaré perdu par les Internistes de son Service, voué qu'il était soi-disant à une "inéluctable aggravation" (sic), un dossier dont il avait pourtant laissé libre accès aux médecins ** contre qui mon père avait à juste titre porté plainte contre X pour escroquerie, coups et blessures volontaires et non assistance à personne en péril.

** Ignorant à l'époque qu'il avait en fait été victime d'une tentative d'assassinat de la part des Internistes du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, sa plainte visait essentiellement le rhumatologue de l'ex Clinique Léon Elmelik, sise à L'Haÿ-les-Roses et ses complices, connus dans le milieu médical sous le nom de "de la fine équipe des pieds nickelés " en raison de leur spécificité, cf. sur la Toile le site n° 34640255 html).

Le professeur GERARD SAïD a été par la suite, en 2004, lorsque je me suis adressé à la CADA pour accéder à ma demande, puisque j'avais de bonne source appris que le dossier n'était pas "perdu", été jusqu'à me faire accuser par

la DIRECTION DE L'HÔPITAL BICÊTRE d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) PAR ANTISEMITISME (sic) la maladie dont mon père avait failli mourir, non pas dans son Service, mais à l' HÔPITAL CHARLES-FOIX, dans l'Unité de Soins Normalisés (sic) du docteur Jean-Yves Beinis, c'est-à-dire avant qu'il ne vienne à décéder à Bicêtre dans son Service.

Son Service de neurologie y avait en conséquence fait transférer mon père en le faisant accompagner de directives verbales émanant de son Chef de Clinique le docteur Pascal Masnou, des directives précisément rappelées pour l'enfumer dans une lettre manuscrite rédigée par Olivier Ille, qui était alors Interne dans le Service du professeur Gérard Saïd.

Les directives qui accompagnaient le malade non seulement étaient erronées mais elles l'étaient volontairement et mortellement.

Les directives rédigées par l'Interne ne pouvaient que l'avoir été volontairement parce qu'elles allaient très précisément à l'encontre du diagnostic de l'affection qui avait motivé l'admission urgente de mon père dans son Service, s'agissant d'un syndrome neuro-anémique caractérisé, un syndrome causé par une profonde carence vitaminiqueB12, une carence rapidement mortelle sans son traitement spécifique, très codifié, qui consiste à administrer par voie parentérale et sans perdre de temps, ne serait-ce que 24 heures, de la vitamine B12 pendant un mois à doses intensives et prolongées, et par la suite ad vitam à doses d'entretien.

Afin que le docteur Jean-Yves Beinis ne s'inquiète pas de l'état à venir de son malade les Intetnistes du Service du professeur Saïd l'avaient prévenu qu'il s'agissait d'un malade atteint d'une "encéphalopathie vasculaire" (sic) et d'une maladie d'Alzheimer se traduisant par "atteinte diffuse du système nerveux" vouant le mqalde à "UNE INELUCTABLE PLUS GRANDE AGGRAVATION " (sic, cf le compte-rendu d'hospitaluation signé Olivier Ille, CR qui qui me fut remis en décembre 1990 par le docteur Pascal Manou à la place du dossier d'hospitalisation).

Olivier Ille et le docteur Masnou avaient conseillé au docteur Beinis de trouver le moyen de tenir le fils du malade (moi en l'occurrence, qui suis médecin) à qui ils avaient fait croire que le traitement du syndrome neuro-anémique qui avait motivé l'hospitalisation de mon père dans leur Service avait été et continuait d'être normalement administré) éloigné durant une quizaine de jours au pretexte qu'il interférait (sic) avec les traitements !

Une quinzaine de jours, c'est-à-dire le temps que leur faux traitement ait produit son effet mortel.

La prédiction qui m'avait été donnée comme au docteur Beinis avait été que le malade était "de toute façon voué à une inéluctable aggravation".

Cette formulation s'est retrouvée telle quelle dans le rapport d'expertise rédigé (rédigée) six ans plus tard (en févtier 1996) par ledocteur François Chedru à la demande de madame Bénedicte Scelle, alors Juge d'Instruction au TGI de Créteil.

Quinze ans plus tard le professeur Olivier Lyon-Caen, bien évdemment au courant des faits,invitera le docteur François Chedru à l'émisson "Avec ou sans rendez-vous" (sur France-Culture "Avec ou sans rendez-vous" du 13 septembre 2011, consacré au monde de l’expertise médicale)

POURQUOI LE PROFESSEUR GERARD SAÏD N'A-T-IL PAS, COMME IL ME L'AVAIS PROMIS DEVANT TEMOINS (devant le docteur Patrick Hardy et devant madame Isabelle Pilot) PORTER CETTE GRAVE ACCUSATION DEVANT LES AUTORITES JUDICIAIRES ALORS QU'IL SAIT TRES BIENQUE SI C'ETAIT VRAI n que IL S'AGIRAIT DE MA PART D'UN CRIME QUE L'ARTICLE 40 DU CPP REND PASSIBLE D'UNE LOURDE CONDAMNATION PENALE ?

NB : Christne Malèvre, en 1997 infirmière dans le Servce du docteur Olivier Ille a été condamnée en 20030 à douze ans d'emrisonnement (elle n'en accomplira que quatre) après qu'elle s'est vantée d'avoir tué - pardon "euthanasié" une trentaine de malades.

Pourquoi ? ---> Les innovations du CNTS (Centre National de Transfusion Sanguine) visaient à rationaliser les transfusions.

Elles n'ont finalement fait que participer très largement à la diffusion du SIDA

Des dispositions judiciaires ad hoc ont par la suite visé innocenter non seulement les responsables mais aussi les exécutants de directives gouvernementales qui avaient favorisé la commercialisation et l'écoulement des lots de sangs alors même qu'ils les savaient contaminés par le virus du SIDA non désactivé par le chauffage (non-lieu général sur les affaires touchant de près ou de loin à l'affaire du sang contaminé, loi Fauchon), et tant pis pour les victimes, qui n'en ont été pas moins affectés que les victimes des attentats perpétrés par DAECH.

Les sites n° 34640255 et 108281777 html exposent comment les malades qui avaient été transfusés avec ces lots ont été traités et comment ces affaires ont "démocratiquement" et astucieusement été étouffées, avec la complicité du Conseil de l'Ordre des médecins, de la Justice et de certains Services de l'AP - HP qui s'y sont par la suite prétés, déjà parées ou se parant de toutes les vertus "éthiques" imaginables en guise de rideau de fumées (L'Espace Ethique de l'AP - HP, créé à Bicêtre en 1995 et confié non pas à un médecin mais à Emmanudel Hirsch, comme par hasard proche du professeur Gérard Saïd et frère de Martin Hirsch.

("Dans cette affaire on n'a rien à craindre", pouvait-on entendre dire à l'hôpital Saint-Louis avant le procès de Christine Malèvre "on tient la Médecine, la Presse et la Justice "

De fait, la Justice ne s'est guère et même pas du tout intéressée au docteur Olivier Ille, qu'elle s'est bien gardée d'interroger sur ses antécédents en vertu de ce qu'elle en savait, qu'il ne fallait pas mettre sur la table.

​Le besoin de se concilier les bonnes grâces du Conseil de l'Ordre des médecins explique aussi pourquoi le gouvernement de l'époque s'est bien gardé de mettre à exécution ses promesses pré-électorales, qui était de le supprimer.

Les décisionnaires en charge de la Santé ont été jugés responsables "mais non coupables" de la mise en circulation et de la commercialisation de ces lots.

Les exécutants ont ainsi pour la plupart pu échapper à leur part de responsabilité, la commauté homosexuelle ayant été rendue le plus largement possible responsable de l'épidémie.

Les directives qui ont suivies ont visé à faire-faire des économies à l'Assurance Maladie.

Elles ont en fin de compte coûté très cher au pays, en sus d'avoir été ruineuses pour les patients qui avaient fait l'objet de transfusions de sangs dans la première moitié des années 1980, et au delà des patients transfusés, à leur famille, mais beucoup moins et même pas du tout aux responsables politiues aux laboratoires pharmaceutiques qui fabriquent les remèdes et les tests destinés à contrer le SIDA, sauf pour les médecins et les soignants qui ont professionnellement contracté ladite maladie - encore qu'il est des cas où ils ont réussi à se faire largement dédommager, sans même qu'il ait été prouvé qu'ils avaient été contaminés dans l'exercice de leur profession.

Il avait paru intelligent aux ministères impliqués de pas laisser les patients qui ignoraient qu'il avaient été contaminés lors de transfusions de sang le temps de développer un Sida maladie puisque cela permettait ne pas avoir à les dédommager !

Les laisser mourir plutôt que de les soigner lorsqu'ils étaient hospitalisés pour une affection spontanément mortelle, voire de les expédier directement ad patres sous prétexte d'euthanazies euthansies lorsque les circonstances s'y prêtaient (cas p. ex. des malades âgés du docteur Olivier Ille exécutés par sa très zélée Christine Malèvre au CHU de Mantes la Jolie en 1997, pour ce qui est des cas qu'il n'a pas été possible de masquer, le docteure Laurence Kouyoumdjian les ayant fait cesser en les signalant, à la différence de son collègue Olivier Ille, qui s'en était gardé, et qui put ainsi conserver son poste de Chef de Service jusqu'à maintenant cependant que Laurence Kouyoumdjian fut, en guise de remerciements, priée de déguerpir comme une malpropre pour avoir osé faire son devoir en faisant cesser ses assassinats et avoir ainsi failli dévoiler une politique génocidaire et ternir l'image de la médecine hexagonale.

Selon le docteure Anne-Marie Casteret ("L'affaire du sang", 1992, aux éditions La découverte, toujours disponible chez votre libraire) durant deux ans et demi environ 200 personnes ont été chaque semaine contaminées. Ce qui fait autour de 26.800 personnes, c'est-à-dire bien plus que ne l'indique le WSWS (le World Socialist Wide Site), quinne comptabilise que les hémophiles).

Les éventuelles causes de fragilités des malades comme le grand âge et la nature de leur maladie étaient mises à profit pour donner le change et faire croire à un processus irrémédiable.

Le cas d'un malade illustre cet état de chose, trop épouvantable pour avoir pu faire l'objet d'un jugement et d'une condamnation pénale.

Il a été étouffé mais a fait l'objet d'un exposé chronologique sur le site 34640255 html .

"En France, de toute façon, il n'y a pas de justice", m'avaient d'emblée prévenu maîtres Catherine Scotto-Derouet et Annick Dorsner-Dolivet lorsque je les avais contactées pour leur confier la défense de ce patient qui avait, à cause de la sagacité d'une infirmière* de l'hôpital gériatrique Charles-Foix réussi à échapper à la fin prochaine qui lui avait été savamment concoctée

*Madame Pondu, était la Surveillante de l'Unité de Soins dits Normalisés, USN alors dirigée par le docteur Jean-Yves Beinis, qui avait aveuglément suivi les directives, subtilement mortifères, que lui avait dans une lettre manuscrite très lisible, datée du 22 août 1990, dicté Olivier Ille depuis le Service de neurologie du CHU Bicêtre, alors dirigé par le professeur Gérard Saïd.

(voir sur ce blog l'article 34640255 html, et en annexe à la Bibliographie relative au syndrome NDB12PP pourquoi le professeur Saïd a en novembre 1997 donné l'ordre de faire disparaître la Revue de référence qu'est "Archives of Neurology" à la bibliothèque universitaire du son CHU).

C'est que la découverte de ce genre de "bavures" qualifiées le 27 avril de "petites erreurs d'interprétation" par le docteur Patrice Bodenan est tellement épouvantable qu'elle a affolé la direction de l'AP - HP et donc le ministère de la Santé avant d'affoler ce qui s'appelle la Justice et l'Ordre des médecins.

Le Dr. Patrice Bodenan s'était dévoué en prenant sans grands risques sur lui d'étouffer dans l'oeuf la plainte du rescapé en le menaçant de représailles ordinales, des représailles à valoir sur son fils au cas où il maintiendrait sa plainte et se porterait Partie Civile.

Médecin anesthésiste formé par Edith Elmelik dans le Service du professeur Pierre Huguenard, il est l'auteur en 1999 d'un Mémoire sur les "Problèmes Éthiques posés par les Commissions de Conciliation hospitalières", alors mis en ligne avant d'être retiré l'an dernier après qu'il a lu les critiques que l'on pouvait lui adresser.

Bodenan était bien placé pour savoir et écrire que "force est de constater que le dispositif opérationnel" risque beaucoup d'être inopérant

Référence de l'affaire communiquée à la Présidence de la République sous l'égide de Nicolas Sarkozy : SCP/Cdo/A117429

Contrairement à de nombreux patients mon père, Pierre-André Cretien, avait, à l'âge de 79 ans, réussi à échapper à une "euthanasie" dont il n'aurait en aucun cas acceptée.

L' "euthanasie" qui lui avait été concoctée a bien failli "réussir" après l'avoir mis dans un état de très grandes souffrances physiques et morales (voir site n°108281777 html et "Une nuit viaminée" sur le blog de leon)

Le Président Nicolas Sarkozy m'avait fait rappeler par son Chef de Cabinet Monsieur Cédric Goubet les dispositions régissant "le droit des malades arrivés en fin de vie"

Mais la question sur laquelle j'avais voulu attirer l'attention du Ministère de la Santé comme celle de la Justice, et plus récemment celles de la Présidence de la République est d'un autre ordre. Elle porte sur l'assassinat des malades qui, quoique vieillissants, sont encore loin d'être "en fin de vie". Elle rejoint les préoccupations du Professeur Jacques Soubeyrand (Cf. "On tue les vieux" et "Douze gériatres en colère", aux éditions Fayard ).

Ces assassinats sont depuis une vingtaine d'années secrètement programmés par les (ou des) autorités sanitaires, sous le regard complaisamment aveugle de l'Ordre des médecins.

En août-septembre 1990, alors qu'il était un patient du docteur Pascal Masnou et de son Interne Olivier Ille, mon père, Pierre-André Cretien et moi-même par la suite par ricochet - en firent lourdement les frais, comme après lui la trentaine de malades qui ont "bénéficié" des soins de Christine Malèvre, qui les exécutait sous l'égide du docteur Olivier Ille, à l'instar du docteur Jean-Yves Beinis, qui les avait exécuté sur la personne de mon père.

Mon père n'était alors pas plus "en fin de vie" qu' "irrécupérable",dixit le docteur Beinis sous la dictée d'Olivier Ille, dont il exécuta les ordres mortifères, qui consistaient à simuler devant moi, pour me faire croire qu'il le recevaitn l'administration du traitement de la maladie de Biermer, une maladie diagnostiquée lors de son admission aux Urgences de Bicêtre le 31 juillet 1990 ... et rapidement mortelle au stade où mon père en était arrivé si cette maladie n'en bénéficie pas ...

Asuivre sur l'article précédent et sur www.genocides.over-blog.com (blog de leon)

 

Bibliographie relative à la découverte du NDB12PP

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".
2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".
3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.
4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"
5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).
6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".
7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"
8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"
9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"
10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".
11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".
12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"
13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"
14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"
15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"
16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".
17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)
18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
.....................................................................................................
NB : En novembre 1997 le Professeur Gérard Saïd fit disparaître tous le numéros de la Revue Archives of Neurology des rayons de la Bibliothèque universitaire du CHU Bicêtre et cesser son abonnement à cette Revue au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (sic) cependant qu'il fit des pieds et des mains pour pouvoir six ans plus tard y cosigner un article au côté des Drs. Hélène Ogier de Baulny et Jacqueline Zittoun.

Le "Magazine de la Santé", qu’animent sur Fr. 5 les Drs Marina Carrère d'Encausse et Michel Cymès, n'a bizarrement jamais fait état de la découverte du syndrome NDB12PP alors que son enseignement figure au programme de la médecine à la faculté de médecine, aonsi que me l'a rapporté une jeune Interne, stagiaire auprès d'un médecin généraliste, qui l'ignorait totalement, comme l'ignore la presque totalité des praticiens plus ou moins proches de la retraite, et même certains jeunes médecins.

Ne veulent-ils pas en parler par craintes de représailles ordinales ?

Ou pour raisons, dont probablement celles en rapport avec la Clinique Léon Elmelik et les assassinats délibérés de malades abusivement déclarés « en fin de vie » après qu’ils ont été contaminés par le VIH lors de transfusions de sang au cours de la première moitié des années 1980, années au cours desquelles près 25.000 patients ont été ainsi contaminés, dont probablement les 30 malades que Christine Malèvres s’était un peu trop vite vantée d’avoir éliminés en 1997 sous prétexte d’euthanasie dans le Service de pneumo-neurologie du docteur Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie, avant de s’apercevoir que ce n’était pas chose à crier sur les toits et de se rétracter.

Christine Malèvre n’avait en réalité été, en tant qu’exécutante, que la cinquième roue du carrosse.

Elle fit office de fusible, faisant l'objet d'une condamnation pénale cependant le docteure Laurence Kouyoumdjian, qui fit courageusement cesser ces assassinats en les dénonçant, fut sans ménagement débarquée de ce Service et invitée à aller se faire voir ailleurs, et que son collègue le patron de Christine Malèvre, le docteur Olivier Ille, qui déjà en 1990, quand il exerçait au CHU de Bicêtre, avait faillit expédier au moins un de ses malades dans l'au-delà ,en particulier celui dont j'ai alors sauvé la vie en contrecarrant son diagnostic d'Alzheimer et d'encéphalopathie vasculaire (sic) pour poser celui dudit syndrome, que j’avais alors appelé, qu'elle outrecuidance, « syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal et vitaminémie B12 normale), a conservé son poste de Chef de Service au CHU de Mantes la Jolie.

Olivier Ille joue maintenant à l'ange salvateur dans des conférences « éthiques » qu'il donne à Paray-le-Monial au sein de La Communauté de l'Emmanuel, dont une conférence intitulée "Prends soin de lui" (sic, cf. les 15 et 16 mars 2013)

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