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16 mars 2017 4 16 /03 /mars /2017 17:52

Mieux vaut un travail parlementaire fictif qu'un "travail" sciemment destructeur. En voici la preuve. 

Le  12 septembre 1990, j'avais obéi à la loi qui fait obligation à quiconque est en mesure de porter secours à personne en danger sans exposer la sienne : l'article 223-6 du Code Pénal stipule que   Quiconque peut empêcher par son action immédiate, sans risque pour lui ou pour les tiers, soit un crime, soit un délit contre l'intégrité corporelle de la personne s'abstient volontairement de le faire est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.

Mais ce n'est-là qu'un beau principe, sur lequel il est possible de s'asseoir quand on est médecin et dès lors que des intérêts particulièrement puissants sont en jeu, tels par exemple ceux de l'AP - HP et de feu le CNTS (rebaptisé "l'Etablissement Français du Sang" après qu'il a été jugé responsable mais "non coupable" de milliers de cas de contaminations au VIH)

Les hauts responsables de ces organismes ont en effet été jugés en 1999 par la Justice responsables - mais non coupables - d'avoir fourni à l'AP - HP et à bien d'autres hôpitaux des lots de sang contaminés par le VIH durant la première moitié des années 1980, soit quinze ans après. Autour de 25.000 patients furent contaminés au cours de cette période, selon les recherches du docteur Anne-Marie Casteret, publiées en 1992 aux éditions La découverte.

Le livre est toujours disponible chez les libraires.  

Les médecins-journalistes, en particulier le docteur Yves Nau, journaliste médical "maison" du quotidien Le Monde et les très populaires docteurs Michel Cymès et Marina Carrère d'Encausse, qui officient sur Fr.5 au "Magazine de la santé" pour faire connaître  ce qui cloche ou ce qui va bien en médecine n'ont à ma connaissance pas beaucoup posé de questions à ce sujet, et si jamais ils se sont intimement posé la question, se sont bien gardé de l'évoquer. Ils faut les en excuser, les représailles du milieu médical sont féroces. Le docteur Bruno Halioua, qui participe régulièrement au Magazine de la Santé en sait, qui n'aurait jamais osé porter le manuscrit de "Blouses blanches, étoiles jaunes" chez un éditeur s'il n'y avait pas été poussé, de son propre aveux, par Bernard Weber, et exceptionnellement par le  CNOM  (l'Ordre des médecins) pour sceller une "Alliance" (en fait une collusion) contre-nature, celle de l'AMIF  (l'Association des Médecins Israélites de France)  et du CNOM pour étouffer l'épouvantable scandale des vieux malades laissés sans traitement ou carrément assassinés dans certains Services hospitaliers parce qu'ils avaient commis la faute (ou le crime, car comme l'a bien montré Freud avec Emma Eckstein, les victimes, et non les auteurs d'actes malfaisants, sont toujours responsables, et donc coupables, de ce qui leur a été fait. Ainsi des enfants violés et battus, comme il l'avait fort bien expliqué en 1919 dans un texte célèbre intitulé "Un enfant est battu", et comme l'a plus récemment  rappelé dans Le Monde le docteur  professeur Samuel Lepastier à propos des enfants d'Outreau) d'avoir été contaminés par le VIH dans la première moitié des années 1990 lors de transfusions faites avec les flacons de sang fournis par le CNTS aux Cliniques et aux Hôpitaux.

 Valérie Auslender en sait-elle quelque chose ?

J'étais, en tant que médecin, intervenu pour rattraper le mauvais bon-mauvais travail des neurologues du Service du professeur Gérard Saïd, à l'hôpital Bicêtre, afin de contrecarrer le leur, parce qu'il conduisait directement un de leur patient concerné par le problème des transfusions contaminées au tombeau.

Le hic, c'est que l'imbécile que je suis n'y avait pas assez pris garde. Ce n'était pas vraiment par incompétence ni par inadvertance qu'ils avaient travaillé à l'envers, c'est-à-dire fait en sorte que leur malade ne survive pas à sa maladie.

Si bien qu'en "rattrapant" in extemis leurs "erreurs" - leur malade avait plongé dans le coma et en passe de mourir quand je suis intervenu - je m'exposais en réalité à de sévères représailles, qui n'ont pas manquées (Cf. site n° 71859487 html  la demande faite au président du Conseil disciplinaire de l'Ordre par un rapporteur responsable du Bureau de Presse du Conseil de l'Ordre du Val-de-Marne, le docteur Patrice Bodenan (voir sa carte de visite site n° 34640255 html). Il réclamait  que l'article L460 du CSP (Code de la Santé Publique) me soit appliqué (le Secrétaire Général de l'Ordre Régional préside le Conseil disciplinaire) 

Monsieur le Secrétaire Général

J'ai été chargé d'instruire initialement une plainte du Docteur Pierre CHRETIEN contre le Docteur Denis chirurgien excerçant au centre chirurgical de La Haÿ les Roses 94 -

J'ai donc reçu le Docteur CRETIEN Pierre et son père à l'hôpital SAINT Camille

J'ai aussi contacté et reçu et Docteur DENIS et la responsable de la Clinique (Mme le Docteur ELMELIK ) ainsi que le Professeur Debeyre.

A l'évidence notre confrère le Docteur Pierre Cretien n'est pas fondé à poursuivre le Docteur DENIS professionnel réputé et parfaitement irréprochable pour les faits invoqués par lui Le Docteur Pierre CRETIEN est atteint d'un délire de persécution plaintes multiples auprès des différentes streuctures TGI Creteil CPAM etc _ )

J'ai donc rendu un avis auprès du Conseil de l'ordre des Medecins du Val de Marne conseillant un rejet pur et simple de la plainte du Docteur Crétien , et la mise en examen de ce dernier pour évaluer son aptitudeà l'exercice de la médecine -

J'appris par la suite la plainte que Pierre cRETIEN avait déposée, à mon encontre une plainte pour partialité, collusion avec la partie adverse , pressions , auprès du Conseil départemental deu Val de Marne

J'ai été très étonné de la démarche du de Monsieur Pierre CRETIEN qui ne repose sur aucune base réelle et que je trouve diffamatoire

Cette démarche rapportée à toutes les démarches de Monsieur le Docteur Pierre CRETIEN Justifie à mon avis l'application d e l ' article L 460 -

Je vous prie d' agréer monsieur le secrétaire Général mes salutations respectueuse et distinguées

Bodenan s'était présenté à faux comme rapporteur  de l'affaire et s'était fait remettre le dossier (soi-disant perdu) du patient hospitalisé à l'AP - HP à la suite des épouvantables exactions qu'il avait subi à la Clinique des docteurs Elmelik, dont il était un ami proche, et auxquels il en remit copie, alors que le malade avait porté plainte contre eux. Sa lettre est signée Bod surmontant un grand triangle isocèle pour qu'il soit reconnu comme un Frère trois points par le docteur Jean Penneau. Cela lui vaudra d'ailleurs de lui succéder à ce poste après qu'un autre Frère °°°  (le professeur Christian Hervé) aura validé son DEA d'éthique médicale. Son  Mémoire .pour l'obtention de son  DEA était intitulé "Problèmes éthiques posés par les Commissions de Conciliation hospitalières" Il est resté en ligne jusqu'en 2015, tellement son auteur  en était fier, jusqu'à ce qu'il se rende compte ou qu'on lui signale (Bodenan malus) qu'il allait à l'encontre du bon sens pour ne pas dire à l'encontre de la morale.    

Le 22 août 1990, 7 ans avant que Olivier Ille  ne prenne, avec le Dr. Laurence Kouyoumdjian, la direction du Service de pneumo-neurologie du centre hospitalier de Mantes la Jolie, il écrivit au Dr. Jean-Yves Beinis la bafouille suivante au sujet du malade qu'il lui adressait (il n'était alors qu'Interne dans le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd. Christine Malèvre n'était pas encore sous ses ordres à exécuter le sale boulot ses ordres malades.

Les neurologues de l'hôpital Bicêtre ne pouvaient pas, comme ils en auraient eu la possibilité s'il s'était agit d'un autre malade à éliminer, s'adresser à leurs Confrères de la Clinique Elmelik pour débarrasser l'Assistance Publique de celui qu'ils n'avaient fait que semblant de soigner (voir pourquoi site n° 34640255 html). 

Ils chargèrent leur Interne, Olivier Ille, de l'adresser à un Chef de Service gériatrique, le Dr. Jean-Yves Beinis, qu'ils savaient très peu regardant, sauf sur les qualités esthétiques de ses collaboratrices, afin que celui-ci se charge de ce "travail".  Parce qu'il est banal, c'est-à-dire "normal", de trouver la mort dans le Service gériatrique d'un hôpital gériatrique, alors que le laisser mourir d'inanition dans le leur risquait d'être très  mauvais pour l'image et donc le classement de leur Service et de leur hôpital. 

On commence à savoir, depuis que le docteure Valerie Auslender en a fait un livre (publié chez Michalon), que les Internes sont généralement chargé d'exécuter les sales boulots ... de façon à les formater au métier de médecin, et les neurologues du Service du professeur Saïd savaient que le docteur Beinis avait été formaté, qu'il ne serait donc pas trop regardant par rapport à ce que l'on allait exiger de lui.  

 << Cher Confrère,

Comme convenu nous vous adressons Mr Chrétien 79 ans hospitalisé pour troubles de la marche 

premier mensonge  significatif de embrouille mortelle tramée à l'encontre de son malade : ce n'était pas pour des "troubles de la marche", mais sur le diagnostic de syndrome neuro-anémique, porté aux "Lits-Porte" de l'hôpital Bicêtre, que son malade avait été admis en neurologie

d’apparition rapide sur quelques semaines mais stable depuis avril - mai 90.

deuxième mensonge dans le prolongement de cette embrouille : l'état du malade s'était au contraire dégradé jusqu'à provoquer un état d'angoisse panique chez le malade, cause de son admission aux "Lits-Porte" de Bicêtre, un état qui commandait l'avis d'un psychiatre, ainsi que je l'avais demandé, avant comme au cours son hospitalisation en neurologie.

L’étiologie n’est pas univoque; troubles vasculaires cérébraux (affirmés sans preuve) chez un patient hypertendu, possible participation d’une anomalie de la charnière cervico-occipitale avec impression basilaire, enfin myélopathie cervicarthrosique  (une affirmation "gratuite" ) / ... / Au plan thérapeutique ADALATE Lp un cp X 3 Vitamine B 12 une Ampoule IM / semaine ( prescription du fils ! ) PROZAC un cp / J >>.

troisième embrouille visant à le convaincre de la stupidité de la demande que j'avais faite, que le malade soit traité conformément au diagnostic le plus probable et fort pertinemment porté devant moi aux "Lits-Porte" par le docteur Moulonguet, demande qui avait été soi-disant satisfaite La vitamine B12 n'a ainsi été administrée qu'à la dose d'1/2 mg par semaine au lieu d'un mg par jour !

Olivier Ille ajoute au dos de cette lettre :

<< ... Enfin en cours d’ hospitalisation se sont démasqué des troubles légers des fonctions supérieures avec humeur dépressive, critique insatisfaisante des histoires absurdes, lesdites "histoires absurdes" demandaient, ainsi que je l'avais instamment demandé, à être examinées par un psychiatre  difficulté d’abstraction /... / TDM Cérébrale atrophie cortico-sous corticale. Une rééducation motrice nous semble la solution thérapeutique la plus souhaitable pour ce malade (associé à de faibles doses d’antispastiques si besoin) Merci de ce vous ferez pour lui. Bien Confraternellement. O. IIle >>.

Olivier Ille  se garde bien de mentionner le diagnostic porté aux Lits-Porte par les Urgentistes au terme de leur examen neurologique comme au vu de l'hémogramme réalisé en urgence. 

Le docteur Beinis se conformera comme prévu sans état d'âme aux ordres que lui avait transmis  Olivier Ille : il ne fit que semblant de suivre mon avis et n'administra donc pas réellement le traitement de la maladie de Biermer à son malade, alors même qu'il en présentait les symptômes.

Le mois suivant, le 5 septembre 1990, madame Pondu, la Surveillante du Service du docteur Beinis, se rendit compte que suivre les ordres qui lui avaient été donnés - de n'administrer  qu'un simulacre de traitement de la maladie de Biermer - conduisait inéluctablement le malade à la mort. Elle  s'arrangea de me le faire savoir en délégant une jeune  (une élève) infirmière  (voir sites n° 69972429 html "Une nuit viatminée" et 69970222 html) 

Sept ans plus tard Olivier Ille prendra avec le Dre. Laurence Kouyoumdjian la direction du Service de pneumo-neurologie du CHU de Mantes la Jolie. 

Christine Malèvre  sera sous ses ordres et exécutera sans qu'il ne s'en offusque beaucoup trop de malades. Il ne s'en était pas aperçu !   Ce sera sa collègue Laurence Kouyoumdjian qui s'en apercevra à sa place pour les faire cesser, ... ce qu'il lui vaudra non pas d'en être félicitée mais de perdre sa place, alors qu'Ille  est toujours en place à Mantes la Jolie  à faire le joli coeur au sien de la Communauté de l'Emmanuel, où il va faire de beaux discours sur le thème  "Prends soin de lui" par Amour & Vérité

ça ne s'invente pas !

www.paris.catholique.fr/Prends-soin-de-lui.html  15 au 17 mars 2013.

Le Dr. Laurence Kouyoundjian s'était ouvertement inquiétée de ce que des décès survenaient en nombre inhabituel depuis que Christine Malèvre était en fonction.
Dès lors qu'elle les a signalés, il a fallu circonscrire le scandale pour sauver "l'image" de l'institution. Le nombre des assassinats a été minimisé, et ils ont été présentés comme des "euthanasies" compassionnelles avant d'être finalement mis sur le compte du dérangement psycho-affectif de cette infirmière un peu trop zélée dans son désir de bien faire.
Le nombre des "euthanasies" de malades commis aux sein de l'Assistance Publique dans les années 1990 est en fait trop grand pour être publiquement dévoilé.  

Avait en effet précédé de ces pseudo euthanasies le cas du malade des neurologues de l'hôpital Bicêtre.

Ce patient avait de justesse pu échapper à la mort, et il en était resté lourdement invalide. Il porta plainte "pour coups et blessures volontaires et non asssistance à personne en péril de mort" mais la justice a fait tout ce qu'elle pouvait pour l'étouffer en avalisant les conclusions d'expertise formulées en dernière page que le patient était "consentant", conclusions qui étaient complètement démenties par les informations contenues dans les 43 pages précédentes !

A l'Unité de Soins Normalisés (USN ) de l'hôpital Charles-Foix, devant son état devenu alarmant, une infirmière avait tenu à me montrer le cahier de prescription. Sur celui-ci, j'avais eu la surprise de constater qu'un faux traitement était prescrit, qui était à brève échéance mortel pour son patient.

L'affection de ce malade, un syndrome neuro-anémique, avait été parfaitement identifiée lorsqu'il avait été admis en neurologie à l'hôpital Bicêtre cinq semaines plus tôt. Son traitement nécessitait immédiatement une vitaminothérapie B12 intensive et prolongée. Le patient était censé le poursuivre dans l'Unité de Soins "Normalisés" de l'hôpital Charles-Foix après son transfert dans cette Unité, effectué sous le contrôle d'Olivier Ille, alors Interne à Bicêtre dans le Service de Neurologie du Pr. Gérard Saïd.

Un faux traitement avait été substitué à celui qu'il fallait faire. Pour autant que cet Interne ait procédé de sa seule initiative - ce qui est plus que douteux - c'est lui qui s'était chargé de le faire prescrire au Dr. Jean-Yves Beinis.

Le Dr. Beinis le répercuta sans chercher à voir qu'il était manifestement inadéquat. Il avait été invité, c'est-à-dire conditionné, à ne pas sortir, quoiqu'il arrive, du cadre thérapeutique qui lui avait été assigné par les neurologues de Bicêtre. Le "hic", c'est que le ou les prescripteurs n'avaient pas prévu que les infirmières de l' USN de Charles-Foix s'inquiéteraient de cette inadéquation, ni qu'elles me demanderaient de venir contrôler leurs prescriptions (voir sur Internet : 73331815 html, "maltraitance des personnes âgées", chapitre IV ou "blog de léon - Une nuit vitaminée ").

Comme j'ai eu l'occasion de n'en rendu-compte, une pluralité d'intérêts avait motivé cette mystification. Mais il est impossible d'entrer succinctement dans ses modalités sans être taxé de paranoïa antisémite. Ne s'en était pas privée madame Isabelle Pilot, la "chargée des relations de l'hôpital Bicêtre avec la clientèle" lorsque je lui ai demandé pourquoi le dossier du malade avait tout de suite été déclaré "égaré". Je savais par le Dr. François Chedru qu'il ne l'avait jamais été.

Je ne peux dire ici tout ce que j'ai découvert à travers cette affaire, où c'est moi qui a été accusé par cette "chargée de relation", d'avoir "fabriqué" la maladie de ce patient. Elle ne faisait évidemment que répéter ce que les vrais responsables lui avait conseillé de me répondre. Ce genre de pathologie induite s'appelle un "Münchhausen". Or c'est pénalement condamnable. Alors pourquoi le responsable du Service qui lui avait soufflé cette accusation, le Pr. Saïd, qui savait si bien me menacer des tribuneaux, n'a pas donné suite à cette accusation.

Le fait que le premier des experts nommés par l'instruction m'ait fait discrètement valoir qu'il fallait préserver "l'image" des médecins en ne révélant pas la réalité participe de la corruption des esprits.

Si, pour prendre un exemple un peu différent, l'entourage de Tristane Banon ne l'avait pas tout de suite dissuadé de porter plainte afin de préserver "l'image" de son agresseur, cette image et celui du parti socialiste seraient moins dégradées qu'elles ne l'ont été au final. C'est peut-être là le sens métaphorique et la raison profonde, mais mal comprise, de l'interdit religieux d'idolâtrie.

La Justice et les médecins responsables de cette mascarade se sont beaucoup dépensés pour préserver leur "image". C'est pourquoi, pour avoir été "invité" - par des menaces ordinales de réprésailles non moins ordinales (Cf. sur Internet la lettre que le Dr. Patrice Biodenan a adressé au Dr. Jean Penneau) - à respecter "l'image" de la médecine avec celle de la Clinique Elmelik, j'ai commencé par divulguer ce qui tournait autour de cet assassinat manqué (Cf. 73331815 html "maltraitances des personnes âgées), convaincu que je suis que la corruption par la terreur visant à préserver l'image des oligarchies au pouvoir se fait au dépens du plus grand nombre. Sa généralisation "culturelle" est au final responsable d' impasses sociales.

Chaque chapitre et chaque paragraphe nécessiteraient de longs développements pour être bien compris, à commencé de moi-même, car l'écrire me fait découvrir mon propre aveuglement devant la perversité et l'opacité du "système" en place, qui, comme dans cette affaire, autorise - en les tolérant - les faux témoignages manifestes.

Je n'avais pas encore assez réalisé - ni appris - qu'elle était pas circonscrite au cas de mon père par rapport à la Clinique Elmelik, que ce n'était pas seulement cette Cliunique qui était "protégée en hauts lieux", mais au delà de celle-ci tout un ensemble, jusqu'à la Mairie de l'Haÿ-les-Roses, qui "opprtunément" a brûlée avec ses archives et été reconstruite à grands frais. Les impôts locaux s'en ressentent. Les Haÿssiens assument sans le savoir le prix de la corruption.

Faire une relation exhaustive de ce qui s'est passé nécessiterait un gros volume, encore faudrait-il trouver un éditeur.

 

 

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