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23 mars 2019 6 23 /03 /mars /2019 17:27

La direction du CHU de Bicêtre a, en 2004, fini par découvrir qu'en 1990 un médecin psychiatre avait, par antisémitisme, intentionnellement fabriqué une dangereuse maladie, qui n'est  heureusement pas contagieuse, contrairement à ce qu’énonce le titre provoquant de cet article, mais en oubliant de dénoncer les faits aux autorités judiciaires, allez savoir pourquoi ? C'est ce qui est ci-après révélé alors que l'article 40 du CPP l'y obligeait !

L'article paru sous le titre "Des pratiques aussi bizarres qu'effrayantes" mis en ligne le 30 juin 2023 tente de préciser en les expliquant les motivations secrètes et a priori incroyables des mystifications à visées mortifères, mais ratées du fait d'un imprévu, opérées par les neurologues de l'hôpital Bicêtre en août 1990. S'agissant d'une embrouille faite à dessein pour égarer la Justice, l'affaire est compliquée à exposer alors qu'en fait la Justice était partie prenante, comme l'a montré sept ans plus tard, en 1997, ce qui s'est passé au CHU de Mantes la Jolie avec Christine Malèvre jouant le même rôle qu'avait joué en 1990 le Dr. Jean-Yves Beinis sous les directives du même Olivier Ille, devenu entretemps un Chef de Service aussi intouchable pour les mêmes raisons que le Pr. Gérard Saïd.  Le ton ironique de cet article n'est sans doute pas le mieux adapter pour traiter d'une affaire aussi lourde dans ses implications. Mais bon ! Cf. aussi l'article "Si c'est la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, c'est inutile, laissez tomber. Gloup".

A l'instigation du Pr. Gérard Saïd, neurologue et premier témoin de cette fabrication , l'AP - HP a en 1995 nommé le Pr. de philosophie Emmanuel Hirsch pour enseigner l'éthique médicale à l'hôpital Bicêtre.

Cette initiative a quelque temps plus tard donné lieu à l'ouverture non pas d'une enquête mais à l'hôpital Saint-Louis d'un "Espace Ethique de l'AP -HP"spécialement dédié à l'enseignement de l'éthique médicale dans le prolongement de celle enseignée par l'Institut de Formation er de Recherche en Éthique Médicale juive (l'IFREM) qui sous la direction du professeur de philosophie Emmanuel Hirsch  éditait la Revue Médica Judaïca, aujourd'hui disparue.

Bien que E. Hirsch ne soit pas médecin, il connaissait par cœur l'histoire du cobaye qui avait été la première victime de cette fabrication antisémite. Il peut par conséquent témoigner des faits sans être tenu par le Secret Médical puisqu'il s'agit d'une affaire criminelle.

Un Secret derrière lequel les autres témoins de cette fabrication pourraient se retrancher pour s'éviter d'avoir à répondre aux questions que des journalistes  pourraient leur poser sur cette affaire, qui n'est pas sans rapport avec les assassinats de malades qui ont eu lieu par la suite au CHU de Mantes la Jolie, pour lesquels seule Christine Malèvre a eu à répondre et a fait l'objet d'une condamnation pénale de 12 ans pour s'être vantée de l'assassinat de 30 malades, ramenés à 6 assassinats par le TGI de Versailles et une condamnation ramenée à 4 ans avec les remises de peine.

Philippe Pignarre, chargé d'enseignement à Paris VIII, avait en 2001 dans son livre "Comment la dépression est devenue une épidémie" (aux éditions "La découverte") montré comment les grands laboratoires pharmaceutiques cherchaient à amener les médecins à prescrire de plus en plus les médicaments qu'ils fabriquent en décrivant et en inventant de nouvelles formes de dépressions dites "masquées" à partir de symptômes suffisamment vagues et non vraiment spécifiques mais présentés comme tels. Des "dépressions" par conséquent fabriquées et plus ou moins fictives, donc inventées non pas pour le bien des personnes mais pour pousser à la consommation des produits qu'ils mettent sur le marché.   

Le CHU de Bicêtre s'est aperçu en 2004 qu'en 1990 un médecin, le Dr. C., avait fabriqué une maladie, celle-ci non pas fictive et faite pour enrichir des laboratoires pharmaceutiques, mais bien réelle, pour provoquer chez les personnes âgées une mort affreuse par une atteinte diffuse de leur système nerveux sans que l'on sache les secourir faute d'en connaître le traitement, qu'il était alors le seul à connaître.

Le nom de ce sinistre médecin aura cependant été révélé par le Dr. Patrice Bodenan, un Conseiller du CDOM du Val-de-Marne, qui est courageusement intervenu auprès du Conseil disciplinaire de l'Ordre pour empêcher ce criminel de nuire à l'excellente réputation des médecins de la Clinique Léon Elmelik et du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre (Cf. infra sa demande circonstanciée auprès du Pr. Jean Penneau). 

Le Dr. François Chedru, commis en expertise en décembre 1995 pour éclairer la Justice, se montrera assez magnanime pour dire du Dr. C. qu'il n'était qu'un "méchant". Non pas dans son expertise, mais en privé, aux Confrères qui désiraient savoir ce qu’il en avait été de son intervention auprès de madame Scelle dans l'instruction de cette affaire. Il s'y était malheureusement dérogé, car son expertise reposait essentiellement sur les dires du Pr. René-Claude Touzard, une relation des actionnaires de la Clinique Elmelik, et du Pr. André Lienhart, comme le Dr. Edith Elmelik, anesthésiste des hôpitaux, et non pas sur les documents factuels qui lui avaient été communiqués.   

 

Le Dr. Chedru a par la suite été l’invité du Pr. Olivier Lyon-Caen, qui l’avait invité à s'exprimer sur France-Culture le 13 septembre 2011 à l'émission "avec ou sans rendez-vous".  Le Pr. Lyon-Caen était, comme tous les membres de la Fédération Française de Neurologie, très au courant de cette affaire, sinon depuis le début, au moins depuis 1997.

 

www.franceculture.fr/emissions/avec-ou-sans-rendez-vous )

Le Dr. Patrice Bodenan était heureusement très "influent au Palais", selon Me Annick Dorsner-Dolivet et Me Catherine Scotto-Derouet, qui s'étaient aventurées à essayer de défendre le Dr. C. avant d'en apprendre la perversité et la grande dangerosité via l'Ordre des médecins, intervenu  à temps pour les en avertir (dès le 28 avril 1992). On sait en effet combien l'Ordre des Médecins se préoccupe de faire respecter l'éthique de la déontologie médicale à ses affiliés, l'essentiel étant d'n préserver l'image. Mais le Dr. C. avait été formé en Suède, un pays qui, contrairement au nôtre, cultive très dangereusement la transparence.

Sa dangerosité est en effet ce dont le Pr. Gérard Saïd et la direction de l'hôpital Bicêtre ont fini par découvrir en juillet 2004 quand la CADA leur a demandé de rechercher le dossier d'un malade qu'ils disaient avoir perdu. 

En 2004, c'est-à-dire un an après la condamnation de l'infirmière Christine Malèvre à une peine d'emprisonnement pour l'assassinat compassionnel de malades dans le Service de neurologie du Dr. Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie, et donc quatorze ans après que ledit Dr. C., (il se disait psychiatre) a eu la scélératesse de fabriquer cette effroyable entité, on ne sait pas comment, mais le Pr. Gérard Saïd et la direction de l'hôpital ont fini par comprendre pourquoi: ce n'était évidemment pas comme avec Christine Malèvre par compassion, puisque cette affection devait faire énormément souffrir ses victimes avant de les achever, mais par antisémitisme !  

Inédite et donc sans traitement connu, l'affection était à sa création potentiellement mortelle. C'est ainsi qu'elle avait failli être fatale au patient de 79 ans qui avait servi de cobaye à ce sinistre médecin. Ses souffrances ont été exposées au site intitulé "Théorie du complot, mythes et réalités", mis en ligne le 18 juillet 2012, à une époque où le débat autour de l'euthanasie faisait l'actualité des journaux. Il porte le n° 108281777 html.       

Le pire est que sa fabrication s'est, dans les années suivantes, montrée non seulement dévastatrice, mais contagieuse et épidémique, jusqu'à affecter des milliers de malades (selon les estimations des nutritionnistes entre 20 et 30 % des personnes âgées de plus d'une soixantaine d'années).

Mais heureusement pour celles-ci, un traitement simple et efficace a fini par être découvert vers le milieu des années 1990, qui permet de juguler l'épidémie, pourvu que l' ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX que provoque cette affection soit rapportée à sa véritable cause, et non pas attribuée à la maladie d'Alzheimer où à une encéphalopathie vasculaire irréversible, et donc laissée sans traitement efficace, comme ce fut le cas avec le premier malade.

Paranoïaque, ledit médecin l'avait fabriqué par antisémitisme. Non que le malade qui avait servi de cobaye pour la diffuser ait été juif, arabe ou israélite, mais il était alors hospitalisé en neurologie dans le Service du professeur Gérard Saïd après qu'il a subi une opération orthopédique à la Clinique Léon Elmelik pour remédier à ses troubles neurologiques, ce qui suggère qu'elle aurait été fabriquée avant même son hospitalisation à Bicêtre, mais cela est nullement incompatible avec l’intentionnalité antisémite de sa fabrication.

La Clinique Léon Elmelik était en effet bien connue des neurologues de l'hôpital Bicêtre, puisque ceux-ci pouvaient, le cas échéant, y adresser en "soins de suite" des malades en phase terminale ou devenus encombrants, aussi bien sinon mieux qu'à l'hôpital Charles-Foix, un hôpital gériatrique et une Clinique où terminer ses jours pouvait paraître plus dans l'ordre des choses que dans un Service de pointe tel qu'était celui du Pr. Gérard Saïd, un Service dont l'excellence fera qu'il sera en 1992 labellisé Inserm pour ses recherches sur l'intérêt des vitaminothérapies dans le traitement et la prévention des affections neurologiques, et particulièrement celle dudit malade.  

Créés en 1992, les Centres d'Investigation Clinique de l’Inserm offrent aux cliniciens les ressources nécessaires pour transférer au profit des malades les résultats de la recherche fondamentale.

Témoigne de ce que l'intérêt des malades était la priorité du Pr. Saïd le fait qu'il cherchait à imposer à madame Jeannine Yvart, Cheffe du Service de médecine nucléaire de l'hôpital Bicêtre, qui s'y refusait, le test Dicopac*, en remplacement du test de Schilling, pour gagner 24 heures dans le diagnostic de la maladie de Biermer, cette maladie faisant partie des urgences médicales, tout retard au diagnostic étant préjudiciable à réversibilité des troubles neurologiques voire pouvant se solder par la mort des malades qu'elle affecte.  

Ledit médecin est ou était paranoïaque, ainsi que l'avait très courageusement pointé le Dr. Patrice Bodenan dans sa lettre du 10 janvier 1994, par laquelle il avait demandé au président du Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins que lui soit appliqué l'article  L 460 du CSP  : cf. le fac-similé de la lettre manuscrite signée BOD. Médecin anesthésiste se réclamant à tort de la réanimation, sa signature y surplombe un grand triangle isocèle aplati, soulignant ainsi son appartenance à la franc-maçonnerie, et donc la grande pertinence de sa demande. Le Dr. Patrice Bodenan était très "influent au Palais", selon Me Annick Dorsner-Dolivet et Me Catherine Scotto-Derouet.

<<Monsieur le Secrétaire Général,
J'ai été chargé d'instruire initialement une plainte du Docteur Pierre CHRETIEN contre le Docteur Denis chirurgien exerçant au centre chirurgical de La Haÿ les Roses 94 -
J'ai donc reçu le Docteur CRETIEN Pierre et son père à l'hôpital Saint-Camille
J'ai aussi contacté et reçu et Docteur DENIS et la responsable de la Clinique (Mme le Docteur ELMELIK ) ainsi que le Professeur Debeyre.
A l'évidence notre confrère le Docteur Pierre Cretien n'est pas fondé à  poursuivre le Docteur DENIS professionnel réputé et parfaitement
irréprochable pour les faits invoqués par lui. Le Docteur Pierre CRETIEN est atteint d'un délire de persécution plaintes multiples auprès des différentes     structures TGI Creteil CPAM etc _ )                                        
J'ai donc rendu un avis auprès du Conseil de l'ordre des Médecins du Val de Marne conseillant un rejet pur et simple de la plainte du Docteur Crétien , et la mise en examen de ce dernier pour évaluer son aptitude à l'exercice de la médecine - 
J'appris par la suite que Pierre CRETIEN avait déposée à mon encontre une plainte pour partialité, collusion avec la partie adverse, pressions,  auprès du Conseil départemental de l'Ordre du Val-de-Marne
J'ai été très étonné de la démarche de Monsieur Pierre CRETIEN qui ne repose sur aucune base réelle et que je trouve diffamatoire
Cette démarche rapportée à toutes les démarches de Monsieur le Docteur Pierre CRETIEN justifie à mon avis l'application de l'article L 460 du CSP
Je vous prie d' agréer monsieur le secrétaire Général mes salutations   respectueuses et distinguées >>.       

                    lettre signée BOD trônant sur un large triangle isocèle   

 

Se méfiant de la dangerosité des paranoïaques, le président du Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins n'a malheureusement pas osé donner suite à sa demande.

Lors de son application sur le cobaye cette fabrication n'était par définition  qu'une maladie orpheline, mais des années plus tard elle s'est étendue à un nombre considérable de malades, jusqu'à affecter 20 à 40 % de la population dite du troisième âge, ainsi que l'ont découvert, vers le milieu des années 1990, les Drs. Emmanuel Andrès & al., Internistes des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg. Ils l'ont alors nommée, conformément à leurs constatations, "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal", et quelques années plus tard, en 2003, quand la commercialisation du test de Schilling a été abandonnée, syndrome NDB12PP.

Mais en 1990, déroutés par cette nouvelle entité nosologique, les neurologues de l'hôpital Bicêtre n'avaient pas su la traiter de façon adéquate, bien qu'ils auraient pu, si seulement ils avaient bien voulu tenir compte du diagnostic de présomption de maladie de Biermer qu'avaient formulé les Urgentistes à l'admission du malade aux Lits-Portes de leur hôpital. Ils avaient refusé de prendre ce diagnostic en considération, arguant que la vitaminémie B12 et le test de Schilling étaient dans les normes cependant qu'il était depuis 12 ans connu qu'une telle normalité ne l'excluait pas nécessairement (1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med.  299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".)

Dans sa paranoïa, le psychiatre l'avait fabriquée à la seule fin de mettre les neurologues en échec, c'est-à-dire afin de les ridiculiser, autrement dit par antisémitisme, car le Pr. Saïd était un membre éminent de l'IFREM, l'Institut de Formation et de Recherche d' Éthique Médicale juive, un Institut qui éditait Médica Judaïca, une revue d'Éthique médicale dirigée par le philosophe Emmanuel Hirsch, l'actuel titulaire de la Chaire d'enseignement d'éthique médicale de l'AP - HP, une Chaire fondée en 1995 au CHU de Bicêtre à l'initiative du Professeur Gérard Saïd, une relation proche dudit philosophe (voir en note*).

Avant son changement de main en 1995, la Clinique Elmelik pouvait servir  à ce à quoi allait servir en 1997 le Service de neuro-pneumologie du CHU de Mantes la Jolie quand le Dr. Olivier Ille y est devenu Chef de Service.

En 1990, Olivier Ille n'était encore qu'un Interne dans le Service du Pr. Saïd. Il avait alors été chargé de transmettre au docteur Jean-Yves Beinis, gériatre et Chef de Service à l'hôpital Charles-Foix, le meilleur moyen de traiter l'énigmatique atteinte diffuse qui affectait le système nerveux dudit malade: il lui avait recommandé de se méfier de l'avis du Dr. C. et de ne faire que semblant de lui administrer le traitement de la maladie de Biermer, un traitement a priori inutile voire toxique pour le malade.

Comme il a été précisé par E. Andrès & al., on ne s'est rendu compte que "dans le milieu des années 1990" que l'atteinte diffuse du système nerveux de ces malades était causée par une non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses. En 2003, la commercialisation du test de Schilling a été abandonnée, et le nom de "syndrome ce carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" qui avait été donné à cette nouvelle entité nosologique a changé pour prendre celui de syndrome NDB12PP)

Les neurologues de Bicêtre avaient vraiment cru devoir attribuer l'atteinte diffuse du système nerveux de leur malade à la maladie Alzheimer compliquant une encéphalopathie vasculaire, deux pathologies contre lesquelles on ne pouvait pas faire grand chose. Ils n'avaient de ce fait pas su lui opposer un autre traitement que le Prozac *, et ils pensaient que leur malade était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation", ainsi que l'a en 1996 très objectivement rapporté le neurologue François Chedru dans son expertise. De fait le malade était décédé  le 2 octobre 1994 à l'hôpital Charles-Foix.  Dans ces conditions, les neurologues n'avaient pas jugé utile que lui soit prescrit un traitement contre son hypertension, bien que l'encéphalopathie vasculaire qu'ils avaient pu détecter en 1990 à la scanographie ne pouvait en principe qu'en être la conséquence..    

La dénomination atteinte diffuse du système nerveux faisait que l'on pouvait en 1990  aussi bien ranger cette atteinte comme relevant de l'effroyable mais très rare LEMP, (Leuco-Encéphalie Multifocale Progressive), une maladie contre laquelle il n'y a rien à faire.  

Les LEMP sont en effet des affections démyélinisantes du système nerveux dues à un polyomavirus, un virus qui s'installe le plus souvent consécutivement à une immunodépression provoquée par le VIH où par des traitements immunosuppresseurs. Et les LEMP  ne connaissent pas de traitement efficace. Les malades de LEMP finissent habituellement leur vie dans un état de marasme épouvantable. Il est exclu qu'une LEMP ait été volontairement provoquée en 1990 par le natalizumab, le mavenclad ou le Tecfidera* puisque ces médicaments n'avaient pas cours à cette époque, mais possiblement par bien d'autres immunosuppresseurs, il n'en manquait pas, ou par le VIH, puisque le malade avait été transfusé en avril 1984 lors du placement d'une prothèse de hanche réalisée à l'hôpital Saint-Louis, c'est-à-dire à une époque où quasiment toutes les transfusions de sang transmettaient le VIH. Mais puisque c'était sur les conseils de son fils  que le malade avait été opéré, on est en droit de se demander si ce n'était pas dans l'intention de provoquer une LEMP qu'il l'avait été ? 

La vitaminothérapie B12 aurait permis quelques fois d'enrayer le cours des LEMP, mais cela a été fortement contesté en 2006 par le docteur Antoine Moulignier, du Service de Neurologie de la Fondation Adolphe Rotschild, cf. Revue Neurologique 2006;162 (1):22-42."Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH". 

L'atteinte du système nerveux de la victime avait été d'une extrême gravité. En l'absence d'un traitement plus effectif que le Prozac*, la maladie avait manqué d'emporter le patient,  les neurologues n'ayant pas su quoi faire d'autre devant un cas si dramatiquement déroutant, cf. leur compte-rendu  d'hospitalisation, signé de l'Interne (Olivier Ille) 

(Son CRH ne préconise pour tout traitement que du Prozac* et un traitement antispastique !

CONCLUSION  << TROUBLES DE LA MARCHE EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX
UN TRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT ÊTRE BÉNÉFIQUE
PAS D' INDICATION OPÉRATOIRE
SYNDROME DÉPRESSIF TRAITE PAR PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR
RÉÉVALUATION DES FONCTIONS SUPÉRIEURES APRES TRAITEMENT
PATIENT TRANSFÉRÉ DANS LE SERVICE DE MÉDECINE DU  Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX .>> (voir ce CRH dans son intégralité en fin d'article)

Le CRH porte comme motif d'hospitalisation "Troubles de la marche", alors que le malade avait été hospitalisé d'urgence pour des troubles d'ordre neuro-psychiatriques, une attaque de panique qui avait inquiété les voisins du malade, qui avaient fait appel à Police-Secours, qui avait fait  au SAMU 94, qui avait conduit le malade aux Urgences du CHU de Bicêtre.

Les conclusions du CRH sont signées de l'Interne,  Olivier Ille, qui deviendra quelques années plus tard au CHU de Mantes la Jolie  le Chef du Service dans lequel bien des malades seront envoyés ad patres (une trentaine selon les premiers dires de  Christine Malèvre, avant qu'elle ne s'aperçoive qu'il ne fallait surtout pas s'en vanter et n'avoue que quatre "euthanasies".)

Celui qui avait fabriqué cette maladie devait évidemment  savoir quel autre traitement que du Prozac* il fallait administrer au malade pour qu'il puisse se rétablir. Or il ne l'a administré qu'au dernier moment, au moment où le malade sombra dans un coma carus. Il était alors en passe de mourir. Le traitement qu'il lui administra fit qu'il put rapidement se rétablir alors qu'il paraissait être inéluctablement voué à une plus grande aggravation, et donc à une fin prochaine, ce pourquoi d'ailleurs les neurologues de l'hôpital Bicêtre  l'avait fait transférer en gériatrie à l'hôpital Charles-Foix. Sa résurrection y fut évidemment mal très vécue par les neurologues de Bicêtre, par le docteur Jean-Yves Beinis, par la direction de l'hôpital Bicêtre  et celle de l'AP - HP, qui à l'initiative du Pr. Saïd mit en place en 1995 à l'hôpital Bicêtre, et un peu plus tard à l'hôpital Saint-Louis, un Espace dédié l'enseignement de l’Éthique Médicale, un enseignement que l'AP -HP,  suivant les conseils du Pr. Saïd, confia à un professeur de philosophie, Emmanuel Hirsch, le Rédacteur en Chef de Médica Judaïca. 

La mystification était à l'évidence antisémite : pour preuve, comme Michel Onfrey, son auteur avait aussi beaucoup cherché à démolir l’œuvre et la réputation du grand savant plein de bonté et d'abnégation qu'avait été le professeur Sigmund Freud. Après qu'il en a été averti, le docteur Patrice Bodenan, un ami du Dr. Edith Elmelik, franc-maçon et responsable du Bureau de Presse du Conseil de l'Ordre départemental du Val-de-Marne, s'est, à juste titre, entendu avec le Pr. Saïd pour réclamer contre lui au Conseil Disciplinaire, alors présidé par le Dr. Jean Penneau, l'application de l'article L 460 du CSP et sa radiation du tableau de l'Ordre des Médecins www.lettre du docteur bodenan au docteur penneau       

Heureusement pour ces malades, on sait maintenant comment les traiter. Le professeur Emmanuel Andrès, médecin nutritionniste des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a fini par trouver la cause de la maladie, et donc le remède adéquat, en l'occurrence très simple, puisque c'est celui de la maladie de Biermer, à savoir la vitamine B12 à forte dose. Il suffit maintenant de le savoir pour éviter aux malades qu'ils développent une atteinte diffuse du système nerveux et finissent leur vie de façon épouvantablement atroce.  

Traitée par cet antidote au moment où son père était en passe de mourir dans un état épouvantable, celui-ci put se rétablir. La maladie ne l'avait pas tué mais administré trop tardivement l'antidote n'avait pu éviter qu'il s'en sorte sans rester lourdement handicapé sur le plan moteur.

Heureusement pour le malade, avant de s'aggraver très sévèrement, il avait,été transféré à l'hôpital Charles-Foix dans l'Unité de Soins Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis, où la Surveillante, madame Pondu, s'aperçut en essayant de le faire manger qu'il avait développé une glossite de Hunter, que son état de dégradation très avancée était donc dû à une profonde carence vitaminique B12, ce qui permit ou plutôt obligea le criminel qui avait  fabriqué la maladie d'en enrayer le cours, six semaines après son hospitalisation à Bicêtre, ce qui lui valut de s'attirer beaucoup plus la sympathie des infirmières du Service que le Dr. docteur Beinis.  

Les neurologues de l'hôpital Bicêtre ont ainsi été en 1990 avec le docteur Jean-Yves Beinis  les premiers témoins de cette fabrication, mais ils ont eu le tort de ne pas oser la porter devant les autorités judiciaires, puisque cette omission s'est traduite par d'autres tentatives, qui furent celles-là malheureusement fatales à une flopée de malades, une trentaine selon les premières déclarations d'une infirmière répondant au nom de Christine Malèvre

Celle-ci a accepté d'en faire les frais en purgeant quatre ans d'emprisonnement en lieu et place du médecin responsable de ces exitus provoqués, déguisés en euthanasies.

Le docteur Laurence Kouyoumdjian, l'associée du docteur Olivier Ille, avait réussi à faire cesser en les signalant, alors que le docteur Olivier Ille ne s'était aperçu de rien. Il avait pourtant déjà été témoin, en août 1990, lorsqu'il était Interne dans le Service du professeur Saïd, de ce que son malade, le père du susdit criminel, avait par miracle de peu pu échapper à la mort grâce au signalement de madame Pondu.      

Victime de cette mystification antisémite, le professeur Gérard Saïd, Chef du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, n'en a découvert le caractère criminel qu'après-coup, en 2004, lorsque le criminel, un psychiatre manifestement déjanté, a eu le toupet de demander à la CADA la communication du dossier de son père; un dossier auquel le Pr. Saïd et l'hôpital Bicêtre lui avaient interdit l'accès. Ils le disaient perdu. On peut les comprendre. 

Mais pourquoi le Professeur Gérard Saïd, Olivier Ille  et l'hôpital Bicêtre n'ont-ils pas signaler aux autorités judiciaires cette fabrication cependant que l'article 40 du CPP leur imposait de la dénoncer ?

Était-ce parce que, en tant que victimes d'une escroquerie, ils ont eu honte de s'être laissé berner, où était-ce parce ce qu'en 2004 il y avait prescription ?

* Après avoir organisé un Grand Débat sur "l'avancée en âge, une chance pour la société", E. Hirsch. organise pour la journée du 11 mars 2019, à l'Espace Éthique d'Île-de-France un Colloque où sera abordé le problème  "des manquements à l'intégrité scientifique", et à nouveau à la mairie du IVe arrondissement, pour la soirée 14 mars prochain, de 18h30 à 21h, un Grand Débat sur "les droits des personnes en situation de vulnérabilité".

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