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20 février 2019 3 20 /02 /février /2019 23:34

Dans l'après-midi du 31 juillet 1990, revenant de Dinard sur la route de Paris j'avais emprunté la nationale 12.

Arrivé à Verneuil-sur-Arve, pris dans les embouteillages, j'avais bifurqué et suivi la route de Bison-Futé.

Sur cette déviation, arrivé à Brezolles, je fis une pause pour satisfaire un besoin naturel contre un arbre, et, fatigué, j'en avais profité pour faire un petit somme dans la voiture.

C'est alors que des extra-terrestres à l'aspect tout à fait humain frappèrent sur le pare-brise et m'invitèrent à venir voir leur machine volante. Je n'avais pas remarqué qu'elle s’était posée en contre-bas dans la clairière derrière les arbres quand j'avais satisfait mon besoin. Je ne sais pourquoi les ET tenaient absolument à me montrer le fonctionnement de leur machine.

Avant d'y pénétrer, je remarquai que l'engin, en forme de gros champignon, était immatriculé à sa base. De façon surprenante, il l’était avec des chiffres arabes et des lettres de l’alphabet romain.

Il était immatriculé FAKE A K A 6 E HIP HIP 2 BOU

J'étais perplexe. A quoi pouvait bien correspondre cette immatriculation arc-en-ciel et scatologique ? 

Je l'ai noté après avoir pris la peine de le mémoriser, ce qui ne m'avait pas posé de problème. C'était plus facile à retenir que de mémoriser le numéro de téléphone du Père Noël, ce que je n'avais jamais réussi à faire malgré l'intérêt qu'il y avait à le savoir par cœur.

Ce n'est que des années plus tard, c'est-à-dire maintenant, que j'ai compris: c'était m'avertir que des emmerdements m'attendaient et que j'allais en voir de toutes les couleurs !

Les ET me firent savoir que leur champignon volant tirait son énergie des fluctuations énergétiques d'une composition "musicale" créée par une machinerie placée en son centre, une machinerie qui ressemblait à un grand orgue de forme conique placé sur un socle en rotation, chaque rangée instrumentale inclinée vers l’extérieur tournait en sens inverse les unes par rapport aux autres et avec une vitesse différente. Cette solution technique me parut immédiatement logique.

Après avoir regagné ma voiture où je m'étais assoupi une vingtaine de minutes, reprenant mes esprits, j’ai redémarré et continué ma route pour retomber dans les embouteillages peu avant d’arriver à Dreux.

Je ne tardai pas à vérifier le soir même que cette rencontre me porterait la poisse pour des années (Cf. ce qui m'est ensuite arrivé aux précédents articles de ce blog, à commencer par celui daté d'août 2009, qui est immatriculé 34640255html. Il a trait à la maltraitance des personnes âgées et vulnérables.  Je l'avais mis en ligne avant de savoir que j'avais, en 1990, quelques semaines après ma rencontre avec des ETen fait été l'initiateur de la redécouverte du syndrome NDB12PP, un syndrome neurologique jusqu'alors ignoré de la plupart des cliniciens.

Des recherches réalisés par internistes des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg (Emmanuel Andrès & al.) en ont attribué la découverte à Doscherholmen, un gastroentérologue des États-Unis  qui, dans les années 1970, n'avait pas réussi à le faire connaître de ses contemporains bien qu'il en ait fait publication.

Emmanuel Andrès & al. l'avaient en 2003, depuis l'abandon du test de Schilling, qui servait jusque-là à le définir, rebaptisé "syndrome NDB12PP" (en remplacement de leur appellation précédente  "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal ").

Le docteur Michel Serdaru, de la FFN, dans "La maladie d'Alzheimer et autres démences" un ouvrage collectif publié chez Flammarion Médecine-Sciences, avait attiré l'attention des lecteurs sur le fait que ni un test de Schilling normal ni même une vitaminémie B12 normale ne suffisait à éliminer le diagnostic de maladie de Biermer. Aussi avait-il été très intéressé lorsque je lui ai présenté mon père en 1992, qui avait réussi, en quelques semaines après la mise en route du traitement de la maladie de Biermer, à regagner 30/30 au MMSE (contre 22/30 le 22 août 1990 sur un diagnostic d' "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX" (sic), une atteinte contre laquellle en guise de traitement du Prozac* avait été ordonné, assortie d'une interdiction, signifiée au docteur Jean-Yves Beinis, de suivre mon avis, qui était de traiter l'atteinte du malade comme si elle était liée à la maladie de Biermer, et donc de la même façon que celle-ci, son traitement étant très simple et peu coûteux, parce que j'avais remarqué que le test de Schilling, bien qu'il ait été déclaré être à 35 %, et donc normal, avait l'espace de quelques jours, apporté un léger mieux à l'état neurologique du malade, alors que ce test se termine obligatoirement par l'administration d'un milligramme de Vitamine B12, une dose relativement conséquente sur le plan clinique pour normaliser l'anémie inhérente à la maladie de Biermer et tout en étant capable d'apporter une légère amélioration au syndrome neurologique, et non pas de l'aggraver, comme cela aurait été le cas s'il s'était agi d'un syndrome neurologique en rapport avec un myélome cérébro-spinal

Le 12 septembre 1990 il m'avait fallu, alors que je n'en avais pas du tout connaissance, puisqu'il n'a été redécouvert que "dans le milieu des années 1990" (dixit E. Andrès & al.dans leurs publications sur le sdujet), en faire moi-même l'hypothèse pour tenter de sauver, à la demande de ma sœur - c'était dans la soirée du 12 septembre 1990 - la vie de mon père, qui, au terme d'une hospitalisation de six semaines, avait fini par sombrer dans un coma carus faute d'avoir reçu de ses médecins, les neurologues de l'hôpital Bicêtre épaulés par le docteur Jean-Yves Beinis, gériatre à l'hôpital Charles-Foix, le traitement approprié à son état, . Cf. sur la Toile l'article n° 108281777 html intitulé "Théorie du complot, mythe ou réalité ?", un article qui renvoie à celui que l'on peut trouver au numéro 34640255html consacré à la maltraitance des personnes âgées dans certaines Cliniques et certains Services de l'AP - HP, telle la Clinique Léon Elmelik à l'Haÿ-les-Roses, le Service de neurologie du Pr. Gérard Saïd à Bicêtre et le Service de pneumo-neurologie du Dr.Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie, où un grand nombre de malades ont été "euthanasiés" par l'infirmière Christine Malèvre (en août 1990 Olivier Ille était Interne dans le Service du Pr. Gérard Saïd. C'est lui qui s'était alors occupé de transmettre au Dr. Jean-Yves Beinis la consigne de ne faire que semblant d'administrer au malade qu'il lui adressait, à savoir à mon père, le traitement de la maladie de Biermer, en oubliant de tenir compte de ce qu'en gériatrie les infirmières pouvaient être capables de reconnaître la maladie de Biermer cette maladie affectant très souvent les personnes âgées, et donc capables de ne pas vouloir suivre des consignes qu'elles savent mortifères, cf. article 108281777html déjà cité)        

Revenons-en à l'après-midi du 31 juillet 1990, alors que revenais en voiture de quelques jours passés à Dinard.

J'avais emprunté la nationale 12 pour aller à Paris avec l'intention de passer par l'Haÿ-les-Roses pour rendre visite à mes parents, qui a l'époque avaient de sérieux problèmes de santé. Ma mère perdait la mémoire et ne se rendait même plus compte qu'elle perdait aussi la vue et mon père souffrait depuis plusieurs mois d'un syndrome neurologique et psychiatrique (ledit syndrome, à la fois neurologique et psychiatrique, était resté jusque-là méconnu  des cliniviens). Les médicastres de la Clinique Léon Elmelik, la Clinique de sa Commune, avaient profité de ce qu'il perdait la tête pour l'opérer, soi-disant pour remédier à ses difficultés à marcher. En réalité pour booster le chiffre d'affaire de leur Clinique, qui était alors à vendre. 

La maladie qui en empêchait mon père de marcher sans tomber est maintenant reconnue, en France, depuis2003, sous le nom de syndrome NDB12PP.

L' état psychique de mon père rendait depuis des mois les relations avec lui très difficiles: victime du délire d'illusion de Capgras, il avait la conviction que je n'étais pas son véritable fils  et me prenait pour imposteur qui cherchait à le dépouiller de ses biens.  Il m'avait été impossible de le décider à aller consulter un psychiatre. Je n'avais pu que le décider à aller consulter un pneumologue, car il faisait souvent des fausses routes alimentaires, qui provoquaient des quintes de toux incoercibles. Des fausses routes que j'attribuais au petit syndrome parkinsonien qu'il présentait alors;  

Il était aussi en proie à des douleurs. Il les attribuait à un cancer des os.  Il croyait qu'elles étaient la conséquence d'une opération orthopédique que je lui avais conseillé de faire-faire à l'hôpital Saint-Louis, et il n'avait maintenant plus du tout confiance en moi quand je lui expliquai que ce qu'il croyait voir sur les images radiologiques n'était pas un cancer mais l'image des crampons de sa prothèse. Il avait pour son malheur préféré aller prendre l'avis d'un médecin de la Clinique Léon Elmelik, une Clinique qui travaillait en intelligence avec le maire Marc Méchain

L'Haÿ-les-Roses était depuis 1989, depuis la mort inopinée de PierreTabanou,  administré par son premier adjoint, Marc Méchain.

Pierre Tabanou était mort à la Clinique Léon Elmelik, où il avait été transporte, victime d'infarctus du myocarde. Ce n'avait pas été une bonne idée, me confiera plus tard Patick Sève, en 1993 devenu  le successeur de Marc Méchain.

Je ne sais pourquoi Méchain a été démis de ses fonctions en 1993. A la médiathèque de l'Haÿ-les-Roses les numéros de "L'Haÿ-les-Roses notre Ville" relatifs à sa mandature ont curieusement tous été soustraits à la curiosité des lecteurs.  

Sans que je le sache encore, le nouveau maire, sous l'étiquette du "socialisme", était en 1990 en train de chercher à me plumer.

Marc Méchain  savait pouvoir tirer profit de son intimité avec les riches médecins actionnaires de la Clinique Léon Elmelik, une Clinique qui savait elle-même pouvoir tirer profit de ce qu'elle se savait "protégée en hauts-lieux" par l'Ordre des médecins, par la direction de l'AP - HP et par Michel Barrau, c'est-à-dire par la Justice, c'est-à-dire par l’État (de non-droit) usuel de l'Establishment français.

Cf. < genocides.over-blog.com/2016/03/a-ne-pas-l-ebruiter.html. >  et < autour-de-l'incendie-de-la-mairie-l'haÿ-les-roses/clinique-leon-elmelik > 

Quoi qu'il en soit dès mon réveil je ne crus plus comme je l'avais fait au principe de fonctionnement du dispositif que les ET m'avaient montré, ce en vertu les lois élémentaires de la physique, dans un système clos autant que dans un système ouvert, même si dans ce cas il peut à première vue sembler plausible. 

Comme le procédé pouvait paraître "logique" pour un profane, j'en ai parlé à un étudiant (l'ami d'une cousine) qui préparait polytechnique. Il n'y avait pas vu de contradiction (ou fait semblant de ne pas voir), si bien que le m'étais lancé,  à partir de la mécanique d'un aspirateur,  dans la fabrication d'un modèle fonctionnant sur le principe (fallacieux) du dispositif que des ET m'avaient fait visiter en rêve.

Après l'avoir construit, j'ai placé l'engin sur une balance en guise de dynamomètre, pour constater que, évidemment, le dispositif ne générait aucune force de lévitation.

Un autre effet observé était cependant intéressant dans la mesure où il pourrait être exploitable sur le plan ferroviaire ... pour concurrencer à moindre coût le Maglev des Japonais et des Chinois.  

En attendant j'ai d'autres chats à fouetter: faire connaître un procédé qui permet de récupérer bien plus massivement et économiquement (et écologiquement) l'énergie des marées que ne le font les barrages actuels, tel celui de l'usine marémotrice construit dans les années 1960 dans la baie de la Rance (celui-ci génèrent 240 mégawatts quand son fonctionnement n'est pas interrompu par l'ensablement ou d'autres empêchements).

Il s'agit d'un procédé séquentiel indirect et à mémoire (le STSMi), qui ne nécessite quasiment aucun entretien parce qu'il est naturellement insensible à la corrosion marine, à l'ensablement comme à l'abri des tempêtes.

Il peut fonctionner très discrètement au sein des mers sur des milliers de kilomètres tout au long de la côte de l'océan atlantique. Il fonctionne à l'instar du muscle cardiaque au sein de la cage thoracique, (je suis médecin), à la différence près qu'il est possible d'en multiplier le nombre, de Dunkerque à Biarritz, parce qu'il est peu coûteux et modulable à souhait.

Il permettrait à la France, si Elle voulait bien l'exploiter, d'économiser chaque année des dizaines de milliards de dollars inutilement dépensés à importer du pétrole, et au monde de moins polluer la planète.

Mais sa mise en exploitation ne ferait évidemment pas les affaires des lobbies pétroliers et des tenants du nucléaire.

Son seul défaut, s'il est mis en service à l'échelle planétaire, sera d'augmenter sensiblement l'éloignement de l'orbite de la lune autour de la terre, de plus d'un mètre par an au lieu de 3,8 cm, comme actuellement, puisque l'énergie prélevée se fera au dépens de l'énergie cinétique de la lune.

Ce sera la rançon de son efficacité.   

CQFD  

NB : le fonctionnement du TGV maglevien n'aura pas grand chose à voir avec celui-ci si ce n'est qu'il fonctionnera avec le courant électrique que pourra lui fournir le STSMi.    

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