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24 décembre 2020 4 24 /12 /décembre /2020 04:14

Le magazine "Le Point" communique l'article suivant :

<< Miss Provence insultée, ou le signe d'un antisémitisme banalisé >>

Pourquoi ne me plaindrais-je pas, moi aussi, de l'accusation, aussi abjecte que stupide, dont j'ai été l'objet de la part de la direction de l'hôpital Bicêtre, autrement dit de la part du professeur Gérard Saïd, "d'avoir moi-même sciemment 'fabriqué' la maladie de mon père par antisémitisme" (sic, dixit madame Isabelle Pilot)

Que veut dire cette accusation  ?

Que j'ai 'fabriqué'  (sic) la maladie mortelle de mon père parce que qu'il était juif, et moi antisémite ?

Ma mère certes l'était, mais à ma connaissance pas mon père, bien qu'il ait présenté une petite ressemblance avec Pierre Mendès-France, à ses dires et selon les remarques que lui faisaient ses clients, alors qu'il me faisait plutôt penser à Jack Palance, un acteur américain d'origine ukrainienne, que j'avais vu jouer dans les années 1950 dans je ne sais plus quel film. Mais Jack Palance ressemblait peu à Mandès-France.  

Et effectivement, en me rendant sur Wikipédia pour retrouver de quel film il s'agissait, sur la photo illustrant le film The Godchild, il lui ressemble bien mais ce n'est pas dans ce film de 1974 que j'avais trouvé une ressemblance.

  1. Dans son délire maladif, un type de délire associé à la carence vitaminique B12, mon père croyait que je n'étais pas son "vrai fils", et que j'en voulais à sa vie. Il se pourrait qu'il en ait exprimé l'idée au cours de son hospitalisation dans le Service du professeur Saïd. J'avais d'ailleurs en vain demandé à ce qu'il soit examiné en psychiatrie pendant son hospitalisation, et dans les mois précédents à Villejuif à l'hôpital Paul Brousse (9400) 
Sur ce genre de délire, cf. L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 – 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).

Mais le pourquoi de l'accusation, aussi erronée que malveillante d'antisémitisme ne se trouve pas là.

Elle se trouve dans le fait que les neurologues qui avaient mon père en charge à l'hôpital Bicêtre avaient manqué de le tuer en ne faisant que semblant de lui administrer le traitement de l'avitaminose B12 relative à l'anémie de Biermer alors que c'était sur le diagnostic de cette maladie, inéluctablement mortelle sans son traitement spécifique, que mon père avait été admis dans le Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre après son passage aux Lits-Portes de cet hôpital, un diagnostic posé par les Urgentistes, dont Antoine Moulonguet, actuellement Chef d'un Service de neurologie à La Pitié-Salpétrière.

Les neurologues du Service du professeur Saïd avaient mal calculé leur coup. La Surveillante du Service du docteur Jean-Yves Beinis, chez qui ils l'avaient fait transférer, m'avait fait savoir la supercherie. Ce qui m'avait permis d'intervenir avant que mon père ne décède du traitement simulé ordonné par le docteur Beinis, qui s'était conformé aux consignes qui lui avaient transmises depuis l'hôpital Bicêtre par Olivier Ille et par madame Weill

Mais ce n'était certainement pas, comme Christine Malèvre, pour plaire au bel Olivier, ni pour les très beaux yeux de madame Weill, que le docteur Beinis avait suivies ces consignes, mais pour se conformer aux ordres de la hiérarchie hospitalière, autrement dit conformément au Führerprinzip de l'AP - HP

=====>> L'AP - HP n'avait-elle pas intérêt à ce que les malades qui comme lui avaient été transfusés dans la première moitié des années 1980 avec du sang véhiculant VIH ne survivent pas, pour éviter qu'ils aient le temps de développer un Sida maladie ?

Et avec l 'AP - HP  les ministres et ministères concernés, "responsables mais non coupables" ?

N'est-ce pas ce qui s'est aussi passé dans le Service de neuro-pneumologie au CHU de Mantes la Jolie quand, sous l'égide du même Olivier Ille, Christine Malèvre s'est ensuite livrée, de ses propres aveux, à l'assassinat d'une trentaine de malades sans que son bel Olivier ne s'en aperçoive ? 

Dans son commentaire sur ces assassinats, notre consœur Anne-Marie Casteret,l'auteure de "L'affaire du sang", parue en 1992 aux éditions La découverte, ne semble pas avoir perçu les motivations inavouables, et par conséquent secrètes, de Christine Malèvre.  

https://www.lexpress.fr/culture/livre/mes-aveux_796812.html

Pourquoi, au lieu d'être félicitée, la collègue d'Olivier Ille, Laurence Kouyoumdjian,qui avait fait arrêter les assassinats en les signalant, a-t'elle été priée d'aller exercer ses talents ailleurs alors qu'Olivier Ille, qui n'avait rien vu, est toujours en place ?  

On peut sur le "blog de leon" lire les articles relatifs à la Clinique Léon Elmelik, à la même époque "protégée en haut-s lieu-x" pour des raisons invrai-semblables. 

<< En ce samedi 19 décembre 2020, April Benayoum – alias Miss Provence – aurait dû demeurer dans l'histoire anecdotique des concours de beauté. C'est cependant pour des raisons autrement plus tristes que son nom devint pour une nuit le symbole effervescent d'une incurable engelure française : l'antisémitisme. Sa constance est marmoréenne et il n'est jamais las de ses arguments : « les Juifs dominent le monde », « les Juifs sont intéressés », et de conclure après ces anathèmes, sans lien sinon la haine, qu'Hitler aurait dû en finir ou que la nature a fait du Juif et de la corruption une seule et même déviance. Ce samedi, donc, un simple concours de beauté voyait ressurgir, en raison des origines israéliennes d'une candidate, le brûlot d'hostilités envers les Juifs via une litanie de tweets nauséabonds.>>

Selon les auteurs de ce texte, la haine des juifs prospère du fait de la complaisance de la gauche, voire de son implication active.

Que les journalistes fassent leur travail, c'est-à-dire enquêtent sérieusement sur le scandaleux problème des assassinats, sur commande gouvernementale, de malades anciennement transfusés, au lieu de faire semblant de ne pas en comprendre le pourquoi, avec le pourquoi de la mise en place en 1995 de ce machin pompeusement appelé l'Espace Étathique de l'AP HP.

Ne serait-ce afin que les présidents russes ne puissent plus envoyer les présidents français sur les roses quand ils leur parlent des Droits de l'Homme. Ce que Vladimir Poutine n'avait pas manqué de faire face à Nicolas Sarkozy en 2007; Et "Le Point" de pointer.

https://www.lepoint.fr/politique/quand-poutine-mettait-nicolas-sarkozy...

Quand Poutine mettait Nicolas Sarkozy "K.-O. debout"

<< Rappelez-vous, en 2007, durant un sommet du G8, Nicolas Sarkozy avait promis qu'il discuterait des dossiers difficiles avec Vladimir Poutine. Mais lors de la conférence de presse qui a suivi leur face à face, le comportement du président français avait laissé croire qu'il était ivre. En réalité, Nicolas Sarkozy était sorti littéralement KO de son entretien avec Vladimir Poutine.

D'après Nicolas Henin, journaliste au Point, et visiblement bien informé, la rencontre s'était révélée assez brutale. "Avec moi, on va parler des sujets qui fâchent", aurait lancé Nicolas Sarkozy, abordant ensuite les morts en Tchétchénie, le meurtre d'une journaliste russe... dans un long monologue. Après un silence, Vladimir Poutine aurait répliqué avec force. "C’est bon tu as fini là ? Bon, je vais t’expliquer. Tu vois ton pays il est comme ça. Le mien, il est comme ça. Alors maintenant, de deux choses l’une, ou bien tu continues sur ce ton et je t’écrase, ou alors tu arrêtes de parler comme ça, et tu verras…", aurait rétorqué Poutine, remettant Sarkozy "à sa place". "Tu viens juste de devenir président de la France, mais je peux faire de toi le roi de l'Europe", aurait ajouté le président russe. .. .>>

Explications dans les articles précédents, en Prinzip lisibles après les encarts publicitaires. 

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