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8 décembre 2020 2 08 /12 /décembre /2020 22:05

 La MACSF pose dans son dernier éditorial la question des conséquences de l'exercice médical hors des clous, c'est-à-dire "hors spécialité".

===>> En France, il n'y en a pas de fâcheuses, du moins  pour les praticiens.

Il en va pas de même même pour les patients.

L'article qui suit traite de ce problème. Mais il est si mal écrit qu'il est préférable de ne pas le lire tout de suite. Il va me falloir exposer plus clairement la savante embrouille judiciaire qui a suivie la confusion des genres.

En attendant sa correction on peut se reporter aux articles précédents, tant au sujet de l'emploi erroné des neuroleptiques dans les délires causés par l'avitaminose B12 qu'à quelques autres articles, qui dans ce blog, s'y rapportent.

http://complications psychiatriques des carences cobalaminiques

http://des petits pots pour bebes pour sauver la vie des vieux

http://medecine de catastrophe et medecines catastrophiques

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===>> En France, il n'y en a aucune, du moins pour les praticiens quand l'un tel exercice est assorti de violences, et tout particulièrement de violences sexuelles, auxquels cas l'Ordre des médecins et la Justice préfèrent botter en touche.

La preuve par la décision prise par le TGI de Créteil et par l'expertise bidonnée du docteur François Chedru  au sujet du traitement chirurgical d'une urgence médicale réalisé à la Clinique Léon Elmelik.  Une Clinique dans laquelle les médecins pouvaient "tout se permettre", selon de nombreuses sources, dont le docteur Andrès Souche, en 1990 sous directeur de la DRPS du Val-de-Marne, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, et par la suite nos avocat-e-s quand ils-elles ont été voir ce qu'il en était de cette Clinique au Bureau d'ordre pénal du TGI de Créteil.

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Cf. sur le blog de leon l' article 34640255 html Chap II  § 5 les déclarations du Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, et article-complications-psychiatriques-des-carences-cobalaminiques-69970222.html, un article qui, tout comme celui du "traitement chirurgical d'une urgence médicale", aurait aussi pu être intitulé "complications neurologiques et psychiatriques de l'antisémitisme", puisque, selon la direction de l'hôpital Bicêtre et le professeur Gérard Saïd, l'étiologie essentielle du syndrome neuropsychiatrique NDB12PP et sa mise en évidence en septembre 1990 par l'auteur de cet article relèvent l'antisémitisme !

De fait, bien que, selon les Internistes des hôpitaux de Strasbourg E. Andrès & al. le syndrome NDB12PP ait été découvert "au milieu des années 1990", il a certainement fait des victimes dans les camps de concentration nazis bien avant sa découverte. 

Autrement dit la haine de lui-même de l'auteur du présent article est telle qu'il a été jusqu'à "fabriquer"sciemment chez son père une Non Dissociation de la vitamine B12 de ses Protéines Porteuses pour que les médecins de la Clinique Léon Elmelik, le professeur Gérard Saïd et les neurologues de l'hôpital Bicêtre, et ensuite le docteur Jean-Yves Beinis et Mlle Sitruc, son Assistante, se plantent devant le cas de son père.

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François Chedru, neurologue parisien, n'a rien trouvé à redire au fait qu'un rhumatologue de 68 ans qui se prenait et se faisait passer pour chirurgien orthopédiste se soit permis d'infliger à la sauvette à un patient de 79 ans qui avait mal aux pieds et à la hanche, en un seul temps, une opération orthopédique bilatérale qui lui avait préalablement été interdite par le cardiologue du patient qu'il avait opéré et par le fils du patient, lui même médecin,  pour ne pas parler des principes fondamentaux édictés par le Code de la déontologie.

A la sauvette, c'est-à-dire sans prévenir, sans préparation et sans attendre les résultats des examens préalables à toute opération.

Le docteur Antoine Denis, rhumatologue à la Clinique Léon Elmelik, avait profité du fait que son patient avait perdu les pédales parce qu'il souffrait d'un état démentiel flou – une démence de type Alzheimer qui fut après-coups et blessures vaguement étiquetée “ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX” - pour lui refaire les pieds.

Le texte qui suit renvoie aux précédents textes du « blog de leon » qui ont trait à la simulation de soins appropriés à l’encontre de certains malades, notamment ceux qui avaient été transfusés dans la première des années 1980 (jusqu’en mai 1985).
Il renvoie aussi à la lettre que j’ai à ce sujet adressé à Olivier Véran le jour de sa nomination au Ministère de la Santé et des Solidarités pour succéder à madame Agnès Buzyn, un remplacement  a priori bienvenu.

Pas seulement  parce que le malade était précédemment passé par les mains des médecins de la Clinique Léon Elmelik, une Clinique dans laquelle les médecins se permettaient de faire ce qu’ils voulaient de leurs patients sans craindre les conséquences judiciaires de leurs actes, y compris d’y violer les parturientes. Certes cette Clinique était « protégée en haut-s lieu-x », mais elle n’était pas la seule à l’être dans le département du Val-de-Marne. Il y en avait au moins une autre à servir de solution finale.

Ses médecins étaient « intouchables », à ce que m’en a dit en septembre 1990 le docteur André Souche. Il était alors un sous-directeur de la DRPS à la CPAM du Val-de-Marne Cf. sur Google le site n° 34640255 html chapitre I – Mes 43 sources d’informations A – les 28 sources directes (liste chronologique) § 1 – Le Dr. André Souche, ancien sous-Directeur à la D.R.P.S. de la C.P.A.M. du Val-de-Marne. Il avait été le premier à nous avertir de ce que la Clinique de La-Haÿ-les-Roses était intouchable, sans préciser pourquoi, la C.P.A.M. « interdisant toute information » à ce sujet (sic).

Il me faut ici rectifier l’erreur de date précédemment faite lorsque j’ai fait part de ces faits au nouveau Ministre de la Santé et des Solidarités Olivier Véran, une erreur malencontreuse parce qu’elle rend illogique l’interprétation que j’ai donné au simulacre de traitement et aux incroyables manquements mortifères qu’avaient sciemment commis à l’encontre de mon père les médecins du Service de neurologie de l’hôpital Bicêtre.

Ils avaient reçu mon père dans leur Service le 2 août 1990 après qu’il est passé par les mains des médecins de la Clinique Léon Elmelik: mon père avait été transfusé en avril 1984, non pas en avril 1986, et donc bien à l’époque où quasiment toutes les transfusions véhiculaient un VIH non encore inactivé par la technique du chauffage. Autour de 25.000 patients furent alors contaminés.

Les informations sur les manquements mortifères délibérément commis en 1990 par les neurologues qui avaient mon père en charge à l’hôpital Bicêtre devraient aussi être adressées au Garde des Sceaux, mais compte tenu de la façon dont a précédemment fonctionné la Justice dans cette affaire, qu’elle a fait semblant d’instruire, je n’en vois pas la nécessité, parce qu’elle en a été informée, notamment via la très longue contre-expertise du docteur Yves Dano, qui non seulement confirmait mes informations, mais révélait aussi des manquements gravissimes que j’ignorais, tel que l’intervention de chirurgie orthopédique inattendue perpétrée subrepticement sous anesthésie générale par le rhumatologue de la Clinique Léon Elmelik durant un WE de Pentecôtes l'Ascension avant d’attendre les résultats des examens préopératoires alors même qu’il avait été averti par une lettre de son cardiologue traitant, le docteur Joseph Heller, et par moi-même verbalement un mois auparavant, que son patient était très fragile sur le plan cardiovasculaire, et que ledit rhumatologue, avant l’opération, n’avait pas facturé ses consultations alors même qu’il trouvait son patient « grincheux », d’un abord difficile et peu sympathique, et alors que son patient n’était venu le trouver que pour la cure d’un cor douloureux sur quatrième orteil du pied gauche. Un acte qu’il avait coté K20 pour que je le lui permette après que j’ai été le trouver pour lui dire de s’y limiter.

Le petit acte prévu était une IPP (résection interphalango-phalangienne) qu’il avait coté K20 sur le Bon d'hospitalisation qu’il avait demandé à mon père de me soumettre pour que je donne mon accord. C’est un acte qui se fait sous anesthésie locale et qui ne nécessite qu’un petit garrot d’orteil. Cet un acte qui n’est guère plus stressant que la pose d’un amalgame sur une carie dentaire, contrairement à ce qu’il s’est permis de réaliser le mois suivant, qui a nécessité la vidange du sang des membres inférieurs au moyen de bandes élastiques compressives, c’est-à-dire de deux bandes d’Esmach clampées au niveau des cuisses, puisque l’opération se fit sur les deux pieds en une seule séance, ce qui aurait été déjà une ineptie pour un patient marchant normalement, a fortiori pour une personne de 79 ans souffrant alors d’une marche manifestement hésitante, à petits pas, signant l’existence d’un petit syndrome parkisonien, cause de déséquilibres et de chutes à répétitions.

Le faux chirurgien Antoine Denis ne s’est donc pas limité à ce qui avait été prévu et accepté.

Il réalisa subrepticement un alignement généralisé des orteils sous anesthésie générale, qui fut facturé K90 + 90/2 + 75% + 50, sans même tenir compte de ce que la tension artérielle de son patient avait été mesurée à 24/13 le matin même de son intervention, ainsi que l’a noté l’anesthésiste (dont le nom n’est pas mentionné), ni même de ce que le patient avait à plusieurs reprises été victime d’épistaxis à répétition dans les semaines qui avaient précédé l’intervention, des épistaxis qui avaient nécessité l’intervention d’un ORL dans cette même Clinique, en l’occurrence celle du docteur Dominique Semette.

Antoine Denis s’était permis toutes ces inepties parce qu’il savait la Clinique Elmelik « protégée en haut-s-lieu-x », c’est-à-dire tant par le parquet de Créteil, c’est à dire en fait autant par le ministère de la Santé, que par celui de la Justice, par l’administration de l’AP – HP et par le Conseil de l’Ordre des médecins (par le Conseil de l’Ordre pour des raisons différentes, n’étant sûrement au courant de ce quelle servait de solution finale à l’hôpital Bicêre).

Ce sont le principal du Commissariat de l’Haÿ-les-Roses, le Commandant Christian Raeckelboom, le sous-directeur de la DRPS de la CPAM du Val-de-Marne le docteur André Souche, l’ex directeur du SAMU 94 le professeur Pierre Huguenard, et des médecins exerçant à l’Haÿ-les-Roses et alentour qui m’ont fait savoir les réalités de cette Clinique QUAND et APRÈS que mon père a porté plainte contre X en décembre 1990 pour ce qui lui était arrivé dans les mois précédents, qui l’avait laissé gravement invalide après avoir failli lui coûter la vie.

Après l’opération du docteur Denis mon père avait été placé sous un puissant anticoagulant (sous héparinothérapie) ainsi que l’exigeait le type d’intervention qui avait été faite. C’est évidemment pourquoi cette opération n’aurait jamais dû être réalisée, comme me l’a lui-même déclaré François Chedru le 4 juillet 1996 lorsque je l’ai rencontré. Il m’avoua alors « qu’aucun chirurgien n’aurait entrepris une telle opération dans de telles conditions ». Ce qu’il s’était gardé de mentionner dans son expertise. Il l’avait conclue en déclarant qu’en s’adressant au docteur Denis mon père « s’était adressé au spécialiste plus compétent qui soit » (sic).

L’administration des anticoagulants avait, comme il était prévisible, infailliblement déclenché la reprise des hémorragies, qui, sous anticoagulants, furent alors impossibles à juguler sans que l’on soit obligé de contrer l’action de l’héparine par des antihépariniques, et donc de faire courir au patient un grand risque de contracter une embolie pulmonaire, c’est-à-dire de mourir subitement, ou de l’exposer à un risque d’embolie cérébrale, et donc à des paralysies extrêmement invalidantes.
Après que mon père est passé par les mains des médecins de la Clinique Leon Elmelik les neurologues du Service du professeur Gérard Saïd s’étaient autorisés – ou sentis autorisés – sinon obligés, à soutenir devant moi, contre toute évidence, après qu’ils l’ont admis dans leur Service, que leur malade ne souffrait pas de ce qui avait été le diagnostic de probabilité porté en ma présence aux Lits-Portes de l’hôpital Bicêtre par les Urgentistes (dont Antoine Moulonguet), à savoir un diagnostic de syndrome neuro-anémique lié à une avitaminose B 12, c’est-à-dire en fait à la maladie de Biermer, mais d’un syndrome démentiel en rapport avec encéphalopathie vasculaire et la maladie d’Alzheimer, comme il est stipulé dans les CR d’hospitalisation, et sans doute aussi, m’avait-on dit pour faire bon poids, en rapport avec une tumeur cérébro-spinale. Le tout fut étiqueté de façon floue dans le CR d’hospitalisation « ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX ».

Le Dr. Pascal Masnou, le Chef de Clinique m’avait prévenu. Selon lui mon père « était de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation, qu’il valait donc mieux, pour moi, (sic) qu’il ne survive pas trop longtemps à sa maladie ». Mais comme le disait la grand-mère de Martine Aubry, « quand c’est flou, c’est qu’il y a un loup ». C’est-à-dire entourloupe.

Pour me faire adhérer à ses stupéfiants propos, Pascal Masnou me fit croire que le test de Schilling était normal, et aussi la vitaminémie B12, faisant comme s’il ignorait qu’il était depuis longtemps connu que ni un test de Schilling normal ni même une vitaminémie B12 normale ne suffisaient à exclure le diagnostic de maladie de Biermer.

En effet « Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin deficiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin » (1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 – 792) .

La cobalamine est l’autre nom de la vitamine B12.

Lorsque le 22 août 1990 les neurologues de l’hôpital Bicêtre firent transférer leur malade à l’hôpital Charles-Foix dans l’Unité de Soins Normalisés (sic) du docteur Jean-Yves Beinis, ils chargèrent l’Interne, Olivier Ille d’accompagner en sus de son compte-rendu d’hospitalisation de l’ordre (verbal) ne pas tenir compte de ce que je ne manquerai pas de lui dire, à savoir de lui faire les mêmes remarques qu’à Pascal Masnou, auquel j’avais fait remarquer que mon père ne souffrait pas du tout de la maladie d’Alzheimer, mais d’un syndrome neuropsychiatrique manifestement en rapport avec la maladie de Biermer, et sinon avec cette maladie parce que le test de Schilling était normal (soi-disant normal) avec un syndrome que j’avais appelé un « syndrome para-biermerien », c’est-à-dire d’un syndrome manifestement en rapport avec une carence vitaminique B12.

Pour s’assurer que le docteur Beinis ne puisse tenir aucun compte de mes remarques – ils le savaient aussi obéissant que très peu regardant – ils lui firent savoir que je n’étais en fait qu’un psychiatre déjanté, qu’il allait par conséquent falloir ne faire que semblant devant celui-ci d’administrer le traitement de la maladie de Biermer, parce qu’il ne faut surtout pas contrarier les fous. Je le sais parce que c'est le docteur Beinis qui me l’a lui-même avoué … en mars 2011, peu avant de prendre sa retraite. Ce médecin a été jusqu’à me dire qu’il ne lui avait pas été possible d'aller contre des ordres venus d’un Service de neurologie !

La remarque que m’avait fait le Dr. Pascal Masnou à la mi-août 1990, que mon père était « de toute façon inéluctablement voué à une plus grande aggravation » a été reprise telle quelle dans l’expertise que s’est chargé de rédiger en janvier-février 1996 le docteur François Chedru, neurologue Chef de Service au CHU de Meaux, alors qu’il avait en main les données du MMSE réalisé le 22 août 1990 dans le Service du Dr Beinis, qui était à 22/30, qui témoignait effectivement d’un état démentiel, et celui qui fut réalisé à la mi février 1991, qui était remonté à 30/30, qui témoignait du retour à la normalité des capacités cérébrales du malade sous l’effet du traitement de la maladie de Biermer.  Ce qui ne l’a pas empêché d’intégrer telle quelle la remarque que m’avait fait le docteur Masnou en août 1990 dans les conclusions de son expertise, démontrant lui-même que son expertise bidon.

Il m’a d'ailleurs lui-même avoué que son expertise était bidonnée quand je l’ai rencontré le 4 juillet 1996. Il m'a alors cyniquement dit que je « ferais mieux de laisser tomber cette affaire parce que j’allais m’y épuiser pour rien ».

Les conclusions lénifiantes de son expertise visaient manifestement à dédouaner les responsables de ces impostures. Elles ne faisaient que d’y ajouter une autre.

Le milieu hospitaliers est un « panier de crabes » où tout est répété et où tout finit par se savoir. C’est pourquoi le professeur Olivier Lyon-Caen, animateur de l’émission « Avec ou sans rendez-vous », que diffusait France-Culture au début des années 2010, a choisi d’inviter François Chedru à discuter de l’objectivité des expertises médicales (www.franceculture.fr › Émissions › Avec ou sans rendez-vous | 11-12 13 sept. 2011 – Avec ou sans rendez-vous est consacré aujourd’hui à l’expertise … François Chedru est expert près la cour d’appel de Paris et la cour …)

A la même époque Olivier Lyon-Caen co-signait avec André Grimaldi le « Manifeste pour une santé égalitaire et solidaire » (chez Odile Jacob)
Olivier Lyon-Caen est officier de la Légion d’honneur.

Last but not least : Le « syndrome para-biermerien » sorti en 1990 du cerveau déjanté du docteur Pierre Cretien existe bel et bien.

Il a successivement été appelé « syndrome d’avitaminose B12 avec test de Schilling normal », et, en 2003, après l’abandon de la commercialisation du test de Schilling « syndrome NDB12PP ». Il relève du même traitement que la maladie de Biermer.

Tout ça n’a pas empêché la direction de l’hôpital Bicêtre et le très éthique professeur Gérard Saïd (il a en 1995 introduit le philosophe Emmanuel Hirsch au CHU de Bicêtre pour y occuper la Chaire d’enseignement de l’éthique médicale, baptisée Espace Ethique de l’AP – HP , Chaire bientôt transposée à l’hôpital Saint-Louis) avant de m’accuser très « éthiquement » d’avoir moi-même « sciemment fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme » (sic), et me menacer d’en référer à la Justice, comme lui en faisaient effectivement obligation l’article 40 du CPP.

Mais il n’en fit très éthiquement rien.

De René Chiche, lire, paru en 2013 aux EDITIONS DU MOMENT,

« Enquête sur les mandarins de la médecine ».

Le livre porte en sous-titre « Protections, affaires et gaspillages », avec un bandeau rouge citant feu la promesse de François Mitterrand avant son élection à la présidence de la République en 1981
« L’Ordre des médecins sera supprimé ».
Mais, trop iconoclaste, ce livre n’est paraît-il plus disponible.
C’est heureux que l’Ordre des médecins n’ait pas été supprimé, du moins pour le professeur Gérard Saïd, les médecins de la Clinique Léon Elmelik et le CNTS. Il n’a pu que s’en féliciter, puisqu’il s’est empressé de faire éthiquement allianve avec ses hauts représentants, en l’occurrence les docteurs Patrick Bodenan et Jean Pouillard pour que me soit appliqué, sans pourtant l’obtenir, l’article 460 du CSP, applicable aux médecins cérébralement perturbés.

CQFD.

A suivre sur

http://genocides.over-blog.com/article-dr-patrice-bodenan-a-monsieur-le-dr-jean-penneau-71859487.html
http://genocides.over-blog.com/article-complications-psychiatriques-des-carences-cobalaminiques-69970222.html
http://genocides.over-blog.com/article-théorie-du-complot-mythe-et-réalité
http://genocides.over-blog.com/article-abus-de-faiblesse-sur-un -malade-atteint-du-syndrome NDB12PP (108281777 html)
http://genocides.over-blog.com/2016/09/petits-pots-pour-bebes-pour-sauver-la-vie-des-vieux.html
http://genocides.over-blog.com/2016/12/panique-a-l-ap-hp-le-mourant-a-porte-plainte.html

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