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21 mai 2022 6 21 /05 /mai /2022 23:13

Sans apport drastique en vitamine B12 les causes de profondes carences en cette vitamine sont rapidement mortelles 

Il est par conséquent criminel de la part de neurologues exerçant au sein d'un grand CHU de AP-HP alors qu'ils savent pertinemment que la sévère ATTEINTE  DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX (sic, cf. infra) du malade qu'ils ont en charge est due à l'anémie de Biermer, c'est-à-dire un profond déficit en cobalamine, de lui administrer de la fluoxétine (Prozac*) à la place d'une supplémentation drastique en vitamine B12,  et qui plus est de donner au gériatre dans le Service duquel ils le font transférer (sachant que le Dr. Jean-Yves Beinis est très peu regardant et obéira) au prétexte éhonté qu'il ne s'est pas rétabli sous Prozac*) la consigne de ne surtout pas administrer au malade le traitement de la maladie de Biermer, traitement réclamé par son fils, médecin psychiatre déjanté incapable d'admettre que son père avait la maladie d'Alzheimer, et qu'il vaudrait mieux par conséquent, pour lui comme pour son père, que l'état où il se trouvait ne s'éternise pas trop (dixit le Chef de clinique Pascal Masnou)

DISCUSSION  (CR d'hospitalisation signé sinon établi par l'interne Olivier Ille)

 Myélopathie cervicale, affection dégénérative, encéphalopathie vasculaire
 
CONCLUSION  

TROUBLES DE LA MARCHE  EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX
UN TRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT  ETRE B
ENEFIQUE
PAS D’INDICATION OPERATOIRE
SYNDROME DEPRESSIF TRAITE PAR PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR
REVALUATION DES FONCTIONS SUPERIEURES APRES TRAITEMENT
PATIENT TRANSFERE DANS LE SERVICE DE MEDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX

Mon père ayant été transfusé en avril 1984, l'affaire s'inscrivait dans "l'affaire du sang empoisonné"?  qui dans la première moitié des années 1980 (et même bien après) avait contaminé autour de 35.000 patients par le VIH du fait de l'introduction d'une méthode à l'américaine de transfusions sanguines, celles-ci n'étant alors plus faites de façon artisanale d'un donneur à un receveur, mais beaucoup plus économiquement à partir du mélange de sang de plusieurs donneurs, un seul donneur, s'il était porteur du VIH pouvant ainsi contaminer plusieurs centaines voir plusieurs milliers de malades.

Mais "Aux origines de la pandémie du SIDA" , qui aurait fait 36 million de mort, selon le journaliste québequois Alain Labelle vous en trouverez difficilement la véritable explication de la cause de l'explosion de la pandémie à partir des années 1980 ailleurs que dans le livre de feu le Dr. Anne-Marie Casteret "L'affaire du sang" paru en 1992 aux éditions "La découverte" ou celui Sophie Cheauveau, paru en mai 2011 car elle est trop dérangeante 

Une solution au problème consistait à faire secrètement mourir les patients contaminés qui ne présentaient pas (ou pas encore) la maladie quand ils étaient hospitalisés afin qu'ils ne puissent pas la développer dans les années suivantes.

Mon père avait en août septembre1990 fait l'objet de ce mauvais procédé, dont il a pu réchapper grâce à la conscience professionnelles des infirmières de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix (ex hospice des incurables) où les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd à l'hôpital Bicêtre l'avaient fait transférer pour qu'il aille mourir ailleurs que dans leur propre Service. Ils avaient au préalable essayé de me faire avaler qu'il souffrait d'une démence Alzheimer et qu'il était préférable pour lui comme pour moi, son fils, qu'il ne s'éternise pas trop dans cet état parce qu'il était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" (dixit le Chef de Clinique Pascal Masnou).

Il a ainsi pu recevoir de mes mains (je suis médecin) le traitement de la maladie qui l'avait conduit à être hospitalisé dans un état catastrophique dû non pas à la maladie d'Alzheimer mais à des actes chirurgicaux illicites et interdits réalisés dans des conditions absolument ubuesques  alors qu'il souffrait sans que le diagnostic ait été déjà posé de désordres neurologiques dus à la maladie de Biermer, qui se traite très facilement par une vitaminothérapie B12 intensive, mais sa plainte a fait l'objet d'un non-lieu inique le 3 juin 1998 , un déni de justice requis en toute connaissance de cause alors que, à l'instar de ce qui avait été ordonné (bidonné) en août 1990 par le Service Service de neurologie du très "éthique" Pr. Gérard Saïd ("éthique" en tant qu'affilié à l'Institut de Formation et de Recherche en Éthique Médicale  et rédacteur à la revue Médica-Judaïca éditée par l'IFREM) à l'hôpital Bicêtre au très obéissant gériatre Jean-Yves Beinis à l'hôpital Charles-Foix à l'encontre de mon père pour qu'il finisse rapidement de vivre dans son Unité de Soins dits "Normalisés" mais avait raté, premièrement parce que les infirmières de l'USN s'étaient rendu compte du caractère hautement criminel de ce qu'il leur avait été commandé de faire, qui était de ne faire que semblant devant moi d'administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer cependant qu'il leur était paru évident que c'était de cette maladie qu'il était atteint, et deuxièmement parce que, me sachant médecin, elle avaient refusé de marcher dans la combine en m'en faisant part à temps afin que je puisse intervenir avant l'issue inéluctablement fatale des ordres qui leur avaient été donnés, ...

... en 1997, au CHU de Mantes la Jolie dans le Service de pneumo-neurologie des Drs. Laurence Kouyoumdjian (pneumologue) et Olivier Ille (neurologue) les trente assassinats de malades offerts par Christine Malèvre au Dr. Olivier Ille, son beau Chef de Service admiré, avaient été malencontreusement révélés par sa Collège Laurence Koyoumdjian, ont été délibérément ignorés par un parquet alors sous la houlette d'un procureur manifestement aux ordres de l’État.

Hospitalisé d'urgence depuis six semaines sur le diagnostic clinique de sclérose combinée de la moelle, l'état de mon père s'était dégradé à tel point que, le soir du lundi 10 septembre 1990, il était mourant.

Une plainte manuscrite avait été adressée par courrier postal par mon père au procureur du TGI Créteil le 17 décembre 1990 en raison d’actes chirurgicaux présentés après-coup tantôt comme à visée orthopédique tantôt comme à visée esthétique mais en réalité complètement déplacés, illicites, dangereux et rigoureusement interdits qui furent réalisés sans aucune nécessité par surprise à son encontre lors d’un WE de Pentecôte alors qu’il avait 79 ans par un rhumatologue de 68 ans qui se faisait passer pour un chirurgien orthopédiste à la Clinique de l’Haÿ-les-Roses, la Clinique Léon Elmelik, dont il était actionnaire, des actes chirurgicaux  donc réalisés sans autre motif que son propre intérêt et celui du cash-flow de cette Clinique, qui en 1990 était à vendre (elle a finalement réussi à l'être en 1995 malgré sa sinistre réputation.)

En réalité depuis le début de 1990 mon père avait de plus en plus à se plaindre de douleurs non pas liées à une « mauvaise morphostatique » de ses pieds, pour employer les termes dudit rhumatologue, mais de maux d’origine neurologique et compliqués de troubles psychiatriques de type délirant dont il restait à définir plus précisément la nature et la causalité.

Ce que j’avais d’ailleurs commencé à tenter de faire en allant consulter des Confrères, dont le Pr. Jean Garrabé, pour résoudre les problèmes très compliqués que me posait son délire, puisque c’était un délire dans lequel  il m'impliquait, se croyant atteint d’un cancer des os de la hanche du côté gauche et dans lequel il me voyait comme un complice du Pr. Jacques Witvoët, un chirurgien orthopédiste qui en avril 1984 lui avait placé une prothèse totale à la hanche gauche pour remédier à une coxarthrose invalidante, et c’était moi qui l’avait adressé à ce chirurgie, d’une part parce que son rhumatologue, le Dr. Charles Funk lui avait je ne sais pour quelle raison catégoriquement refusé cette opération – j’aurais dû la lui demander parce que la mise en place d’une prothèse était justifiée à en juger par les radiographies - et d’autre part parce que je savais que le Pr. Witvoët réalisait l’opération sous anesthésie régionale (rachidienne), mon père refusant l'anesthésie générale.

En octobre 1961, dans le Grand Amphithéâtre de la Faculté de Médecine de Paris au 45, rue des Saints-Pères, lors de la leçon inaugurale aux étudiants en médecine de première année, le professeur Henri Péquignot nous avait fait savoir que : "le plus difficile n'est pas de faire un diagnostic, mais de faire un pronostic", et nous demanda de toujours se rappeler “que la clinique prime le laboratoire”.

Et 29 ans plus tôt, en 1990, il s'était trouvé que mon père avait été transféré le 22 août à l'hôpital Charles Foix depuis le Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre.

Il y occupait, m'avait-on expliqué, depuis 3 semaines sans profit et donc inutilement un coûteux Service de spécialité.

En 1990, au milieu du mois d'août, j'avais en vain rappeler au Chef de clinique, le docteur Pascal Masnou, ce que nous avait enseigné le professeur Péquignot face au pronostic péjoratif qu'il m'annonçait, que mon père était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" et "qu'il valait mieux, pour lui comme pour moi, qu'il ne survive pas très longtemps à l'état où il se trouvait" (définit sur le CR d'hospitalisation qui m'a été remis plus tard à la place du dossier d'hospitalisation (au prétexte mensonger qu'il avait été perdu) comme une “ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX” sic, un diagnostic flou ni faux ni vrai, mais comme disait la grand-mère de Martine Aubry, "quand c'est flou, c'est qu'il y a un loup"), mon père est sorti un mois plus tard vivant d'un coma carus, un coma qui avait effectivement failli justifier le pronostic du docteur Masnou: il s'en était fallu de quelques secondes et d'une chance inouïe pour que ce coma n'ait été terminal, et donne ainsi raison au docteur Masnou (voir comment et pourquoi dans les articles cités infra )

Mon père s'est remis debout et a pu refaire tout seul son lit trois semaines après et regagner rapidement 30/30 au MMSE grâce à une vitaminothérapie B12 intensive administrée en urgence bien que celle-ci ait été très et trop tardivement mise en route par moi dans la soirée du 10 septembre (voir comment-pourquoi et dans quelles circonstances dans les derniers articles du blog de leon sur le Web  articles "Le mourant a porté plainte" - "Une affaire à ne pas ébruiter" etc...

Pourquoi "à ne pas ébruiter" ? 

Pour que les fautifs n'en profitent pour faire disparaître les preuves, pardi, alors même qu'elles sont déjà entre les mains du parquet ! 

La France est vraiment au top de la meilleure façon d'enterrer les affaires dites "sensibles".

CQFD dans les derniers articles cités du "blog de leon" et dans les précédents.

Le "non-lieu" inique auquel elle avait donné lieu avait été rédigé de façon méprisante, pour ne pas dire cynique, après qu'une juge d'instruction, qui a nom qui s'y prête (Bénédicte Scelle) a fait semblant d'ouvrir une instruction digne de son nom dans ce qui avait été une tentative d'assassinat, certes ratée, malgré la savante subtilité avec laquelle elle avait été préparée, alors qu'elle avait bel et bien eu lieu, pour la "bonne" mauvaise raison que l’État était, sous le règne de François Mitterrand et après, de façon inavouable, par ses ministères, partie prenante, ainsi que l'a démontré en 1997 les trente assassinats de malades réalisés au CHU de Mantes la Jolie, pour les mêmes "raisons", ces fois-là avec Christine Malèvre dans le rôle que son (cher) bel Olivier Ille avait en 1990 réussi à faire jouer au docteur Jean-Yves Beinis à l'encontre de mon père, préalablement transféré à l'hôpital gériatrique Charles-Foix, où il pouvait paraître plus naturel de mourir.

Il s'en était d'ailleurs faillit de très peu que le malade (mon père) en sorte les pieds devant après que l'Interne (Olivier Ille) a accepter de passer au docteur Beinis la consigne criminelle de ne faire que semblant d'administrer au malade qu'il lui avait adressé le traitement de la maladie de Biermer, au prétexte à l'évidence mensonger qu'il souffrait "en réalité" d'une "DTA"  (Démence de Type  Alzheimer).

Le mois précédent les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient laissé dire (ou fait dire ?) au Chef de clinique Pascal Masnou que mon père était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" (sic)

Mon père, malgré le pronostic péjoratif du docteur Masnou, est sorti vivant le 12 septembre 1990 d'un coma carus, un coma qui avait effectivement failli justifier ledit pronostic: il s'en était fallu de quelques secondes et d'une chance inouïe pour que ce coma n'ait été terminal, et donne ainsi raison au docteur Masnou (voir infra comment et pourquoi.)

Il s'est remis debout et a pu refaire tout seul son lit trois semaines après et regagner rapidement 30/30 au MMSE grâce à une vitaminothérapie B12 intensive administrée en urgence bien que celle-ci ait été très et trop tardivement mise en route (par moi le soir du 11 septembre, lire dans quelles circonstances dans l'article précédent "Le mourant a porté plainte".) 

Hospitalisé d'urgence depuis six semaines sur le diagnostic clinique de sclérose combinée de la moelle, qui est le plus souvent le fait de la maladie de Biermer, l'état de mon père s'était dégradé; le soir lundi 10 septembre, il était mourant.

Le malade était pourtant censé avoir reçu depuis plus d'un mois un traitement vitaminique B12 à fortes doses, qui est le traitement spécifique de la maladie de Biermer. Ce traitement ne l'avait pourtant pas amélioré, tout simplement parce qu'il n'avait en réalité pas été administré alors qu'il était censé l'avoir été.

C'est dans ces circonstances que les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient fait transporter leur malade à l'hôpital gériatrique Charles-Foix dans l'Unité de Soins dits Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis, où, m'avait-on dit, le traitement de la maladie de Biermer pourrait être continué pour que le malade ne continue pas à occuper inutilement à Bicêtre un coûteux lit de spécialité.

C'est ce qui m'avait été expliqué avant de le faire transporter à l'hôpital gériatrique Charles-Foix dans l'USN du Dr. Jean-Yves Beinis, non sans qu'il m'ait été au préalable gentiment demandé mon accord.

Trois semaines après son transfert, l'état de mon père était devenu critique.

Le soir du lundi 10 septembre 1990 dans la première chambre de l'allée des Glycines je trouvais mon père allongé sur le lit, gisant squelettique presque nu dans ses émonctoires.

A force d'être tombé du lit dans les jours précédents, son corps était, des pieds à la tête, couvert d'ecchymoses. ll avait deux côtes cassées, ce que je n'ai appris que trois ans plus tard en me rendant au CROM de l'Île-de-France, y trouvant le cahier des observations cliniques que le Dr. Antoine Denis, contre qui mon père avait porté plainte, avait récupéré grâce à l'intervention illicite du Dr. Patrice Bodenan en sa faveur. 

Après s'être un instant agité comme s'il avait cherché à s'agripper à un objet imaginaire - ces mouvements sont dits "carphologiques" et précèdent de peu la mort - le malade a sombré dans le coma.

Ma sœur était là, arrivée bien avant moi, qui n'était arrivé qu'à 19 h. Elle a eu le temps de me rapporter ce qu'il venait de dire, semble-t-il dans un état hallucinatoire,  que "la Paulette" était venue le voir.

D'après ce que ma sœur avait compris, Paulette était une jeune fille qu'il avait connu au pays (le Jura) dans sa jeunesse.

Sur ce, elle me dit : " Toi qui est médecin, tu ne peux vraiment rien faire pour ton père ?".

J'étais alors certain que mon père ne souffrait pas, comme ses médecins avaient voulu me faire croire, d'une "DTA" (démence de type Alzheimer) ayant évolué vers  "une atteinte diffuse du système nerveux", le vrai-faux diagnostic qui a été officiellement porté dans le CR d'hospitalisation qui m'a été remis à la place du dossier d'hospitalisation quand j'ai demandé à le voir, au prétexte, mensonger, que celui-ci avait été perdu !), ni même  d'une "encéphalopathie vasculaire" (sur la foi de l'imagerie scanographique montrant des plages de leucoaraïose), des diagnostics fourre-tout.

Et encore moins d'une tumeur cérébro-spinale de type gliale, ne serait-ce que parce que le test de Schilling, qui se pratique en recourant à une dose déjà assez forte et thérapeutique de vitamine B12, avait non pas aggravé l'état du malade mais l'avait l'espace de quelques jours au contraire amélioré.

Je ne savais pas encore que les neurologues de Bicêtre  avaient falsifié les données du test de Schilling, déclaré être à 35 %, donc tout à fait normales, alors qu'elles étaient en réalité à 5%, donc franchement anormales et en faveur de la maladie suspectée cliniquement par les Urgentistes aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre.

J'ai dit à ma sœur: << Cette histoire "d'hydrome sous-tentoriel" (sic) pour lequel un rendez-vous d'I.R.M. a été pris pour le 24 septembre ne tient pas debout, et il n'a certainement pas la maladie de la vache folle. Il y a tout simplement qu'il ne reçoit pas le traitement qu'il lui faudrait. Au lieu de lui administrer le traitement de la maladie de Biermer, seulement un faux semblant, afin me faire croire que l'aggravation de son état est bien dû à la maladie d'Alzheimer et à une encéphalopathie vasculaire, voire à une tumeur cérébro-spinale, et c'est pour ça qu' au lieu d'aller mieux, il va de plus en plus mal. Je suis sûr de ce que je dis, j'ai été invité par une infirmière à vérifier sur le cahier de prescription le traitement qu'il reçoit ! On n'a jusqu'ici fait que lui administrer un faux-semblant de traitement de la maladie de Biermer, et on essaie aussi de me faire croire qu'il a une tumeur cérébrale. Il ne souffre pas plus d'une  tumeur cérébro-spinale  que de la maladie d'Alzheimer ou de Creutzfeld-Jakob ! >>

Je fis un rapide examen neurologique et dis à ma sœur :

<< Il  ne voit plus clair. Regarde ses yeux, les pupilles sont complètement dilatées. Elles ne réagissent plus du tout à la lumière quand je les éclaire. Il reste une toute petite chance de le sauver. Si on ne fait rien, là maintenant, tout de suite, demain il sera mort. Il n'est plus temps d'attendre jusqu'au 24 septembre le rendez-vous d 'I.R.M. cérébrale à faire à l'hôpital Broca, ni même quelques heures de plus. Je veux bien faire le nécessaire, mais il ne faudra rien  me reprocher si ça ne réussit pas. S'il meurt cette nuit, comme c'est malheureusement à craindre, je n'y serai pour rien. J'ai tout juste le temps de courir à la pharmacie chercher ce qu'il lui faut avant qu'elle ne ferme et le lui administrer.

- Je te promets de ne jamais t'accuser de l'avoir tué  s'il meurt cette nuit.

- Il faut aussi me promettre de m'aider après, parce que même si j' arrive à redresser la situation, ça va être très dur ! Il faudra après que tu m'aides !

- Je te le promets ….  Je t'aiderai.>>

 Il était 19 heures 15. Il n'était plus temps de discuter. J'ai dû courir au plus vite à la pharmacie la plus proche, sise place Gabriel Péri à Vitry/Seine. Elle était en train de fermer. Je m'y suis procuré, pour 9 francs et 39 ou 36 centimes, une boite de 6 ampoules de cyanocobalamine Labaz *, et 3 seringues …

Vers 19 h 45 j'ai administré à mon père la moitié du coffret, soit 3 mg de cyanocobalamine, un mg per os glissé entre les lèvres, et 2 mg en intramusculaire.

Epilogue: Craignant le pire, je suis resté une longue partie de la nuit auprès du malade à lui appliquer des compresses de sérum physiologique sur les yeux. Je suis parti dormir un peu et suis repassé le lendemain matin vers six heures.

Mon père était encore en vie. Il y avait même un léger mieux: la mydriase n'était plus aussi totale. Un soupçon d'iris était perceptible à l'orée de la pupille.

Le lendemain soir, j'ai administré les 3 ampoules restantes.

Le surlendemain il était réveillé et se mit à avoir très faim. Un mois plus tard, après avoir reçu en intramusculaire 20 mg de ce traitement étiologique, mon père pouvait se tenir debout sans tomber, et même refaire tout seul son lit, à la satisfaction des infirmières, mais visiblement pas à celle du Chef de Service.

Bien que le malade n'ait pas récupéré le contrôle de ses sphincters - il ne les récupérera, et cela une fois pour toutes, que le 17 octobre 1990 - il fut sans ménagement renvoyé chez lui le 12 octobre, avec une provision de couches mis à ma disposition par les infirmières.

Pour comble, dans les jours qui suivirent, l'hôpital Charles-Foix fit parvenir une note d'hospitalisation salée au domicile de son ex-patient (de son ex "client", selon la terminologie de l'époque). Il n'avait même pas été tenu compte de la prise en charge à 100 % à laquelle le malade avait automatiquement droit.

Il me fallu faire rectifier la facture.

Deux mois après sa sortie d'hôpital, mon père avait regagné la quasi totalité de ses capacités intellectuelles. Elles furent d'ailleurs évaluées dans le Service du Pr. Saïd à 30/30 au MMSE en février 1991, ce que j'ai pu savoir grâce à l'obligeance de la secrétaire du Service, qui en 1993 me glissa discrètement une lettre datée du 8 mars du Dr. Martine Dési destinée à Dominique Roubineau, alors psychiatre dans le Service du Pr. André Féline.

Fortement handicapé, diminué dans son autonomie en raison de parésies résiduelles au niveau des mains et des jambes, le 17 décembre 1990 mon père porta plainte auprès du procureur du TGI de Créteil pour escroquerie, mise en danger de la vie et non assistance à personne en péril, non contre les neurologues, puisqu'il était alors persuadé que c'était non à moi, mais aux neurologues de l'hôpital Bicêtre qu'il devait d'être resté en vie, mais contre les médecins de la Clinique Leon Elmelik qui l'avaient abusé deux mois avant son hospitalisation à Bicêtre.

Aux neurologues il avait voulu faire une donation en récompense de ce qu'ils l'avaient, croyait-il "sauvé", raison pour laquelle j'avais pour lui demandé un rendez-vous en psychiatrie début mars 1993 avec le Dr. Dominique Roubineau, et celui-ci avait demandé à madame Desi, l'Assistante du Pr. Saïd, de le renseigner sur le cas de mon père.

Dans la réponse qu'elle lui fit, réponse dont m'a discrètement donné plus tard copie la secrétaire du Pr. Saïd, j'ai appris qu'en février 1991 le MMSE de mon père était remonté à 30/30, et non plus à 22/30 comme au 22 août 1990.

Une "loi" tacite et effrayante permet à l'Ordre des Médecins d'imposer, sous peine d'exclusion, le silence sur les abus pédophilocratiques  commis par des médecins.

En témoigne encore récemment l'affaire du chirurgien de Jonzac, Joël Le Scouarnec, qui n'avait en 2006 pas fait l'objet d'une interdiction professionnelle a quand même fini par défrayer la Presse nationale (et mondiale) à partir de 2017 et de ce fait a fini par faire l'objet d'une condamnation. Cette "loi" interne autorise tous les débordements, y compris les viols commis sur les enfants, parfois même sur des nourrissons.

Selon ce que m'avait rapporté maître Annick Dorsner-Dolivet à propos de l'affaire qui nous opposait à des médecins de la Clinique Léon Elmelik, madame Toxé, juge d'instruction au TGI de Créteil prétendit "que les prisons étaient déjà suffisamment pleines et qu'elle ne voulait pas aller pour rien embêter de vieilles personnes " pour refuser d'instruire l'affaire scabreuse que le doyen Serge Portelli lui avait communiquée.

Sollicitée par Me Dorsner-Dolivet, Madame Bénedicte Scelle accepta d'ouvrir une instruction ... à condition qu'il soit fait attention "à ce que l'affaire ne soit pas ébruitée" (sic), m'a rapporté Me Annick Dorsner-Dolivet au début de l'année 1995.

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Fr. 5  après d'autres plus explicites, a reçu le SMS suivant :

"J'ai dû me substituer aux médecins de mon père qui durant 6 semaines avaient fait semblant de lui administrer le traitement de la maladie de Biermer, non pas parce qu'ils s'étaient trompés, mais pour obéir des raisons gouvernementales. Voir pourquoi sur le blog de leon." 

Le Magazine de la Santé (Fr. 5) et bien d'autres journaux et magazines papiers ou en ligne ont de même été mais de façon circonstanciées été tenus informés de ce "non-lieu" inique sans prendre la peine d'en savoir plus ou de répercuter l'information, comme si c'était du "fake".  

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Ci-après copie parties du CR de l'hospitalisation de mon père en neurologie du 2 au 22 août 1990

CR d'hospitalisation sciemment fallacieux daté du 20 septembre 1990

(officiellement établi par Olivier Ille)
 

Page 1

MOTIF DE L’HOSPITALISATION        
       Troubles de la marche


ANTECEDENTS
       HTA essentielle, ancienneté inconnue.
       Intervention orthopédique pour orteils en marteau en Avril-Mai 90
       Prothèse totale de hanche gauche opérée en 84 pour coxarthrose

HISTOIRE DE LA  MALADIE
      Se plaint de difficultés à la marche d’installation rapidement progressive au décors de l’intervention orthopédique,
      Stable depuis deux mois, la marche est hésitante, la montée des escaliers n’est plus possible, tendance à la rétropulsion et à la chute, le patient étant obligé de
      se déplacer avec un déambulateur.

 

/ ... / page 2

 

EXAMENS  COMPLEMENTAIRES                                                                                                                                  
Biologie usuelle normale. Hémogramme, hémostase, vitesse de sédimentation, ionogramme, glycémie,  fonctions hépatorénales, fonctions phosphocalciques, électrophorèse des protéines sériques, vitamine B12, folates sériques, test de SCHILLING normaux. Sérologie syphilitique  négative.

Radiographie rachis cervical et charnière cervico-occipitale : impression basilaire, arthrose cervicale modérée. Scanner cérébral : atrophie cortico-sous-corticale. Aspect de leuco-araïose mais le scanner est de mauvaise qualité, l’analyse de la substance blanche est difficile. Une IRM du rachis cervical avait été proposée pour étayer le diagnostic d'une myélopathie cervicale mais non réalisée devant une peur panique du patient deux jours avant l'examen

DISCUSSION

 Myélopathie cervicale, affection dégénérative, encéphalopathie vasculaire
 
CONCLUSION  

TROUBLES DE LA MARCHE  EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX
UN TRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT  ETRE B
ENEFIQUE
PAS D’INDICATION OPERATOIRE
SYNDROME DEPRESSIF TRAITE PAR PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR
REVALUATION DES FONCTIONS SUPERIEURES APRES TRAITEMENT
PATIENT TRANSFERE DANS LE SERVICE DE MEDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX


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Commentaire :

Le patient avait été hospitalisé parce qu'il  avait été pris d'une telle panique que ses voisins avaient dû faire appel à Police Secours, et Police Secours au SAMU 94, ce qui est nullement  rapporté dans ce CR.

Les circonstances de son admission aux Urgences de Bicêtre et la cause de son hpspitalisation en neurologie ne sont pas mentionnées : le malade avait été admis en neuro sur le diagnostic de syndrome neuro-anémique porté aux urgences de l'hôpital. Or aucune prescription de vitamine B12 ne figure en conclusion de ce CR, seulement du Prozac*.

Il est non seulement très étonnant mais tout à fait illogique qu'à aucun moment les diagnostics de maladie de Biermer, de syndrome neuroanémique ou de carence vitaminique B12 ne soient mentionnés dans ce CRH. Pas même à titre de diagnostic de présomption alors que c'est à la lecture se l'hémogramme et sur la constatation d'un tableau clinique de Sclérose Combinée de la Moelle que le diagnostic d'anémie de Biermer a tout de suite été prononcé par l'un des deux Urgentistes qui avaient procédé devant moi à l'examen neurologique de mon père dans la soirée du 31Juillet 1990 vers 21 h 30 aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre.

L'un d'eux était Antoine Moulonguet, qui est  par la suite devenu Chef de Clinique dans un Service de neurologie à La Pitie-Salpétrière et à partir de 2004 un écrivain remarqué et primé (Prix Jean Bernard pour "La grande garde" signant ses livres Antoine Sénanque).

Ce CR d'hospitalisation a donc été "bidonné" de façon à ce que le diagnostic de maladie de Biermer ou de syndrome neuroanémique par carence vitaminose B12 profonde n'apparaisse pas alors qu'une dizaine de jours avant le transfert de mon père à l'hôpital Charles-Foix dans le Service gériatrique du Dr. Jean-Yves Beinis, dans la discussion que j'ai eu avec Pascal Masnou, sans même savoir ce que Kolhouse & al. avaient publié en 1978 sur ce sujet, j'avais réfuté le diagnostic de DTA (démence de type Alzheimer) que Pascal Masnou cherchait à me faire avaler en me disant que mon père était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" et "qu'il était donc préférable, pour lui comme pour moi, qu'il ne s'éternise pas trop longtemps dans cette aggravation".

Les Urgentistes n'étaient apparemment pas au courant de l'entente qu'avait passée le patron du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre avec les autorités gouvernementales lorsqu'ils ont demandé que le malade soit admis en neurologie dans le Service du Pr. Gérard Saïd.
 
Autrement dit ce CR relève d'une mystification destinée à couvrir les médecins qui avaient accepté de couvrir des erreurs gouvernementales. Ils avaient ainsi droits à de hautes protections étatiques pour les services qu'ils rendaient au CNTS qui avait fourni à l'AP-HP du sang contaminé par le VIH non inactivé par chauffage et de ce fait responsable de l'augmentation de la prévalence des "ATTEINTES DIFFUSES DU SYSTEME NERVEUX", une appellation qui sert à désigner
en interne les effroyables LEMP (Leuco-Encéphalites Multifocales Progressives) consécutives aux transfusions contaminées par le VIH avant l'ère des trithérapies, aucun traitement ne pouvant alors être opposé à l'éclosion d'un SIDA maladie (si ce n'est une vitaminothérapie B12 intensive, c'est-à-dire le traitement de la maladie de Biermer, ainsi que le signalera la Revue Achirves of Neurology dans les années 1990, une Revue que le Pr. Gérard Saïd s'est empressé de faire disparaître et interdire la parution à la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre en novembre 1997 lorsque je lui en ai parlé, au prétexte, m'a-t-il dit, que c'était "une très mauvaise Revue" (sic) cependant qu'il y co-signera six années plus tard un article:

Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)

N'est-ce pas pourquoi les neurologues inféodés à des intérêts étatiques avaient fait en sorte que leur malade ne soit pas en mesure d'en recevoir le traitement ? 

Le montre la supercherie soigneusement calculée pour que le malade ne puisse se rétablir et être en mesure de porter plainte contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik

le fait que seulement' un faux-semblant de traitement de la maladie de Biermer lui avait été ostensiblement administré devant moi pour me faire croire qu'il le recevait vraiment. Ainsi ordre avait été donné aux infirmières de l'Unité de Soins Normalisés du Dr. Jean-Yves Beinis, dans lequel le malade avait été transféré pour y finir ses Jours plutôt qu'à l'hôpital Bicêtre, de ne faire que semblant devant moi, qui suis médecin, de l'administrer de façon à ce que je ne puisse prétendre que ce traitement ne lui avait pas été administré
 2° aussi ce qui s'est passé en 1997 au CHU de Mantes la Jolie  où la Justice s'est bien gardée de cuisiner le Dr. Olivier Ille au sujet de son aveuglement devant les très nombreux assassinats de malades que commettait sous on égide et pour ses beaux yeux Christine Malèvre, qui n'avait pas compris que seuls les malades qui avaient été transfusés dans les années à risque étaient à éliminer.    
Dès lors l'urgente nécessité pour la Direction de l'AP-HP, de  l'hôpital Bicêtre et du Pr. Gérard Saïd, membre éminent de l'IFREM et par conséquent de l'AMIF, de faire alliance avec le CNOM, comme le révèlera le Dr. Bruno Halioua dans son livre "Blouses blanches, étoiles jaune"', publié en décembre 1999 chez Liana-Lévi sans avoir alors compris le pourquoi du comment l'AMIF en était arrivé à devoir passer par là.  Cf la Préface du Pr. Glorion, la page 12 et la postface, où Bruno Halioua avoue que  sans Bernard  Weber, n'aurait jamais osé porter son manuscrit  chez un éditeur.
Force est de constate qu'à partir de là le CNOM, fondé en 1940, consent à ne plus fermer la porte de la présidence de l'Ordre à des non-aryens.
Comme quoi le CNOM n'est pas aussi rétrograde que son péché originaire laisse à médire de lui.

Le démontre aussi le Mémoire de DEA d'éthique médicale du Dr. Patrice Bodenan sur les "Problèmes éthiques posés par par les Commissions de Conciliation Hospitalières".

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1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med.  299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin deficiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".
2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78  "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".
3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson  "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.
4 -  1988  J. Lindebaum &  al. N. Engl. J. of Med.  "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"
5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 metabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5, 1990).
6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".
7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"
8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"
9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"
10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".  
11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".
12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"
13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"
14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"
15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"
16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".
17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)
18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
It was at 1990 since several decades well known that an aetiology to neuro-psychiatric disturbances in elderly patients may consist in vitamin B12 deficiency, mainly by ileum malabsorption, as in Biermers' disease, but not only in the elderly and because Biermers' disease: gastrectomy, ileum resections, Zollinger-Ellison syndroma, pancreatitis, bothriocephalosis, intestin bacterial massive pullulement, vegetarianism, drugs metabolic interferencies, E.D.T.A., P.A.S, N²O, colchicine, éthanol, neomycine, where known as less common causes to B12 vitamin defiency. Very rarely an inborn abnormal B12 cell metabolism is involved in aduld.

 

Commentaires.

C'était le 31 juillet 1990. Je venais de passer trois jours en Ille-et-Vilaine chez la sœur de ma mère, et j'avais annoncé que je passerai par l'Haÿ-les-Roses vers18 h voir mes parents avant de regagner mon domicile à Villejuif. Mais c'était sans compter qu'il allait y avoir d'importants bouchons sur la route du retour. Il était 20 h 45 quand je suis arrivé. A peine garé devant le numéro 7 de l'Avenue du Parc les voisins m'ont fait savoir qu'ils avaient dû faire appel à Police secours. ce qui est nullement rapporté dans ce CR.

Mon père avait été pris de panique de ne pas me voir revenu à l'heure dite.
Mon père paniquait facilement depuis quelques mois. Souffrant de douleurs sourdes au niveau de la hanche, il était persuadé qu'il était atteint d'un cancer des os. Il pensait de façon délirante que moi et le professeur Wietvoët nous-nous étions entendus pour le lui cacher. N'arrivant pas à le lui sortir de la tête j'avais été demander conseil à Paul Brousse, puis en allant voir mon Confrère le Dr. Garrabé.

Police Secours avait fait appel SAMU 94, qui avait conduit mon père aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre. Je n'avais pas pu arriver à 18 h, l'heure que j'avais prévu pour mon retour à cause des encombrements routiers, Ses voisins de pallier avaient fait appel à Police Secours, qui avait appelé le SAMU 94, qui avait conduit mon père aux Urgences de Bicêtre,

La cause réelle et les circonstances de son hospitalisation ne sont pas mentionnées: le malade avait été admis en neurologie sur le diagnostic de syndrome neuro-anémique porté aux urgences de l'hôpital, mais aucune prescription de vitamine B12 ne figure en conclusion de ce CR, remplacée par du Prozac*.
 

CONCLUSION  

TROUBLES DE LA MARCHE  EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX
UN TRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT  ETRE B
ENEFIQUE
PAS D’INDICATION OPERATOIRE
SYNDROME DEPRESSIF TRAITE PAR
PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR
REVALUATION DES FONCTIONS SUPERIEURES APRES TRAITEMENT
PATIENT TRANSFERE DANS LE SERVICE DE MEDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX

 

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