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22 juillet 2009 3 22 /07 /juillet /2009 22:47

Non assistance délibérée à malade en danger de mort. 

Abus de faiblesse.

Violation du Secret médical.

Falsifications et Interventions illicites du Conseil de l'Ordre  en faveur de délinquants-escrocs.

Menaces de représailles par un de ses représentants sur la Partie Civile et sa Défense.

Rapport avec les assassinats de malades au CHU de Mantes-la-Jolie sous l'égide  du Dr; Olivier Ille et l'affaire du sang contaminé. 

A propos d'un cas.

 << EN FRANCE, IL N'Y A PAS DE JUSTICE>> m'avaient d'emblée prévenu maîtres Catherine Scotto-Derouet et Annick Dorsner-Dolivet.

Analyse comparée avec les suites judiciaires réservées à d'autres affaires (Youssouff Fofana et Patrick Sudre).

Lettre ouverte au Garde des Sceaux et au président du CRIF.

  
L'affaire est si grave qu'elle a manifestement affolé l'Ordre et la justice.

Le Dr. Patrice Bodenan s'était ainsi chargé d'étouffer dans l'oeuf la plainte de la victime en agitant des menaces de réprésailles.

L'affaire est détaillée  sur http;//genocides.over-blog.com  site n° 23640255. 

Voir aussi  à "Patrice Bodenan - Ordre des médecin".

Sous la direction de Christian Hervé, Bodenan,  médecin-anesthésiste formé par Edith Elmelik,  est l'auteur en 1999  d'un indigeste Mémoire  sur les "Problèmes Ethiques posés par les Commissions de Conciliation hospitalières" (alors  mis en ligne et retiré l'an dernier après qu'il a lu la critique que l'on pouvait lui adresser). 

Il était bien placé pour savoir et dire que "force est de constater que le dispositif opérationnel" risque beaucoup d'être inopérant.

 

Plan du de l'article  "maltraitances"

I - Les sources 
II - Les faits    
III - Lettres  au médiateur-conciliateur 
IV - Dans la nuit du 12 septembre 1990 

V - 24 août 2007 : lettre au procureur 

VI - CONCLUSION

                                            

                  Mardi  21 juillet   2009 

 

à Madame Michèle Alliot-Marie   Garde des Sceaux    13, Place Vendôme, 75 001 PARIS

 

Référence de l'affaire à la Présidence de la République : SCP/Cdo/A117429

 

Madame,

 

Veuillez trouver ci-après une relation plus précise que celle que je vous avais adressée vendredi dernier au sujet des agressions dont mon père et moi avons dû  lourdement faire les frais.

 

Par sa lettre datée du 01 Juillet, en réponse à mes informations sur le cas de mon père, Pierre-André Cretien,  rescapé d'une  "euthanasie" forcée,  le  Président Nicolas Sarkozy m'a fait rappeler  par son Chef de Cabinet  Monsieur Cédric Goubet les dispositions régissant le droit des malades arrivés "en fin de vie".

Mais la question sur laquelle j'avais voulu attirer l'attention du Ministère de la Santé comme  celle de la Justice, et  plus récemment  celles de la Présidence de la République et de la Nation, est d'un autre ordre. Elle porte sur  l'assassinat des malades qui, quoique vieillissants, sont encore loin d'être  "en fin de vie". Elle  rejoint donc les préoccupations du Professeur Jacques Soubeyrand (Cf. "On tue les vieux" et "Douze gériatres en colère", aux éditions Fayard ). 

Ces assassinats sont depuis une vingtaine d'années secrètement programmés par les  (ou des) autorités sanitaires, sous le regard complaisant de l'Ordre des médecins.

Dans les années 1990, comme après lui les malades de Christine Malèvre, alors qu'il était un patient du Dr. Olivier Ille,  mon père , monsieur Pierre-André Cretien - et moi-même par ricochet - en firent lourdement les frais. Mon père  n'était alors pas plus "en fin de vie" qu' "irrécupérable" (sic), hormis  financièrement, si bien que les médecins-propriétaires de la Clinique Elmelik, conjointement avec le  Maire  "socialiste" de La-Haÿ-les-Roses Marc Méchain (de longue date ami intime de la famille Elmelik)  avait  essayer de  le spolier en profitant d'informations confidentielles que j'ignorais, des informations, que, par définition, le Maire et ses amis de la Clinique  me savaient  ignorer  (cf. mon mémoire chapitre I - A § 28 sur le site n° 34640255).

 

Mon père se sentait en 1990 très malade, raison pour laquelle, très angoissé,  il s'en était aller trouver et  le Maire de sa commune et les médecins de la Clinique Elmelik, pensant qu'ils l'aideraient à mettre ses affaires en ordre. Il n'en était pas pour autant désireux d'en finir avec la vie, bien au contraire.

Après avoir presque miraculeusement survécu à leur agression (décrite dans mon mémoire et ci-après évoquées en notes), les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd décidèrent de le faire secrètement  mourir de mort soi-disant "naturelle"  au profit de la Clinique Elmelik : pour les neurologues de ce Service,  à qui les médecins du Service du Pr. Passeron l'avaient confié, il s'agissait surtout d'éliminer un malade qui voulait porter plainte à l'encontre des médecins de ladite  Clinique, une Clinique aux stupéfiantes caractéristiques : pas plus que le Maire de La-Haÿ  et les Chefs de Services des hôpitaux environnants, ils ne pouvaient ignorer que celle-ci était "protégée en hauts lieux", c'est à dire par le parquet de Créteil (selon les dires de la P.J.), et que cette protection autorisait la Clinique, outre à assouvir sur les parturientes anesthésiées les pulsions érotico-sexuelles de son  médecin propriétaire, à débarrasser  les Services hospitaliers de leurs malades encombrants, c'ezst-à-dire plus ou moins  considérés comme arrivés "en fin de vie" (alzheimeriens et autres déments dits "vasculaires").

Cette  Clinique rendait ce singulier service d'élimination aux établissements qui préféraient voir leurs malades mourir ailleurs que dans leurs propres Services, une  façon d'alléger leurs statistiques de mortalité, donc de les bien placer dans les classements par établissements. 

La réputation de la Clinique de La-Haÿ-les-Roses n'était depuis longtemps pour celle-ci  plus un problème  (pour plus de détails, cf. 34640255 html)

A la suite des exactions criminelles commises à l'encontre de mon père, au seul profit du "cash flow" de la Clinique, les neurologues du Service du Pr. Saïd avaient trouvé préférable de ne pas lui laisser la  possibilité de porter plainte à l'encontre d'un établissement si commode (* 2) . Il fallait le faire mourir, mais si possible discrètement et ailleurs que dans leur propre Service.  La Clinique Elmelik étant évidemment  devenue impraticable en tant que solution finale, les neurologues de Bicêtre eurent recours à l'Unité de Soins Normalisés du Dr. Jean-Yves Beinis. Moyennant préparation, son U.S.N. pouvait  constituer une solution de rechange. Il leur fallait toutefois passer sous silence le diagnostic d'entrée porté par les médecins du Service des urgences  et  amener le Dr. Beinis à croire que le malade qu'on lui adressait était réellement  en fin de vie,  donc à lui faire croire qu'il souffrait de tout autre chose que de la maladie facilement curable diagnostiquée aux urgences. Il leur avait fallu auparavant me décrédibiliser afin qu'il ne tienne aucun compte de mon avis, falsifier les données d'examens, notamment celles du test de Schilling prétendument mesurées à 35 % , alors que celles-ci étaient aux alentours de 5%, validant tout à fait le diagnostic de syndrome neuro-anémique porté aux urgences, un syndrome  curable à très peu de frais, mais mortel et torturant lorsqu'il est laissé à lui-même, .... ainsi qu'il le fut  six semaines durant .....  jusqu'à ce que la surveillante de l'U.S.N. (madame Pondu), s'apercevant que j'étais médecin au fait que je lui signalait que le malade présentait une "GLOSSITE DE HUNTER", le dise au Dr. Beinis (cette "glossite" est une des caractéristiques du syndrome  N-A). La Surveillante dut en faire aussi part à ses infirmières, car elles s'entendirent quelques jours plus tard pour que l'une d'elles attire mon attention sur le faux  traitement que le Dr. Beinis et son Assistante Mlle Sitruk continuaient, malgré ce signalement, d'administrer au malade (à Bicêtre j'avais déjà fait remarquer au Dr. Pascal Masnou que le test de Schilling, qui nécessite l'injection d'une quantité non négligeable de cobalamine, avait eu un effet bénéfique, qu'il n'était donc pas si négatif qu'il le disait et qu'il fallait considérer et traiter le malade comme relevant d'un syndrome N.A.).

Il ne s'agit donc pas d'un  problème "d'euthanasie" ou de "fin de vie",  mais de l' exact contraire, puisque ne pas traiter  le malade comme il fallait revenait à le faire mourir dans d'atroces souffrances, tant  morales que  physiques : non traité, le syndrome N-A, en sa phase neurologique, est en effet une affection à tout coup mortelle et torturante, générant, outre de grandes angoisses, de sévères douleurs paralysantes et généralisées, de type sciatique, alors qu'administrer la cobalamine selon un protocole depuis longtemps connu  assure dans presque tous les cas la guérison ad integrum et la résolution des souffrances. Au lieu d'appeler l'état neurologique de mon père par son véritable nom, qui déterminait ipso facto le traitement  à suivre - l'administration prolongée et régulière de fortes doses de cobalamine,  ils l'avaient, dans leur rapport de transmission "astucieusement" baptisé "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic, cf. le compte-rendu d'hospitalisation, dans lequel  les neurologues ont sciemment omis de mentionner le diagnostic d'entrée porté  aux urgences. Ils avaient fait croire au Dr. Beinis que le test de Schilling, considéré comme spécifique, et la cobalaminémie (le taux sanguin de vitamine B12) étaient à des taux normaux, alors qu'ils ne l'étaient pas. Ils savaient pourtant pertinemment, comme tous les neurologues qui se respectent,  que même des taux normaux n'éliminent pas nécessairement le diagnostic de syndrome neuro-anémique. Les Revues médicales les plus sérieuses le rappelaient depuis déjà des années, dont le  "New England Journal of Medicin" et le "Medicin of Baltimore", et même les précis hexagonaux. En comptant sur mon ignorance présumée du fait comme  sur celle du Dr. Beinis, et sur la subordination de ce dernier (à l'époque, le Service du  Pr. Saïd se réclamait en effet de l'INSERM  par des affiches placardées en salle d'attente pour solliciter des fonds auprès des familles), les neurologues de Bicêtre avaient réussi à obtenir de cet obéissant Chef de Service qu'il ne tienne aucun compte de mon avis et qu'il accepte de ne faire que semblant d'administrer de la cobalamine (alors que, sans encore avoir eu l'occasion de lire ces Revues, au vu de l'amélioration de l'état de mon père durant quelques jours juste après la passation du test de Schilling, j'avais devant le Dr. Pascal Masnou  émis l'hypothèse qu'en clinique il pouvait exister de tels cas, ce pourquoi j'avais insisté pour que de la cobalamine soit quand même normalement - et non pas faussement - administrée à mon père  (cf. les conclusions du C.R. d'hospitalisation de l'Interne du Service du Dr. Beinis). L'absence  d'amélioration qui allait suivre celle fausse administration était censée démontrer à mes yeux  que mon père  souffrait de toute autre chose que ce que je disais être un évident syndrome neuro-anémique ...jusqu'à ce qu'une  jeune infirmière me fasse  voir qu'il lui avait été demandé de ne faire que semblant de l'administrer au malade. Ce qui me permit d'intervenir et de rétablir, quoique  tardivement (vraiment in extremis), en l'administrant moi-même, ses capacités intellectuelles à 30/30, mais non à lui éviter des séquelles motrices invalidantes (Cf. le C.R. du Pr. François Piette, communiqué, au parquet  par Maître Annick Dorsner-Dolivet dans sa demande d'expertise), des séquelles qui grevèrent lourdement son autonomie  (comme les infarctus et les accidents vasculaires cérébraux, le syndrome N.A. est avant tout une urgence  médicale, et est classée comme telle, tout retard au traitement exposant  le malade à la mort et faisant le lit de séquelles neurologiques irréversibles).

C'est donc à raison que mon père,  preuves à l'appui,  porta plainte, pour  abus de confiance, coups et blessures volontaires et non assistance à personne en péril (il aurait pu et dû y ajouter pour "escroquerie en bande organisée") et en déni de  justice absolu que le parquet réclama un "NON LIEU" 

(le Commandant  Christian Raeckelboom, qui prit sa déposition le 23 janvier 199,  l'avait prédit, qui, d'expérience, savait la Clinique Leon Elmelik protégée  par le parquet malgré - ou à cause -  des viols qui s'y commettaient).

Un non lieu d'autant plus inique et traumatisante qu'il fut prononcé de façon très méprisante à notre encontre (Cf. le libellé du non lieu sur le site "omerta médicale - viols - clinique elmelik), comme s'il avait été malséant  d'avoir permis à un malade  de se rétablir et de l'avoir aidé à réunir, pour qu'elles soient remises à la justice, les preuves matérielles et documentées  irréfutables de ce que ses médecins lui avaient indûment fait subir : tracés électriques, photographies, résultats d'examens, C.-R. d'observation, lettres adressées par la partie adverse au Conseil de l'Ordre (l'une d'elle, manuscrite, adressée au Conseiller ordinal Pierre Brassart, est datée du 29 mars 1994.  Elle émanait du Dr Antoine Denistoutes prouvant l'intervention et la connivence du Conseil régional de l'Ordre des médecins avec la partie adverse).

Ignorant qu'il avait des affinités avec la Mairie de La-Haÿ-les-Roses,  et  donc avec la Clinique des Elmelik, mon père s'était premièrement adressé à maître Le Bouillonnec (le futur député-maire de Cachan et futur membre de la commission d'enquête parlementaire sur les dysfonctionnement de la justice à Outreau), qui, au lieu de prendre sa défense, le découragea évidemment d'entreprendre quoi que ce soit contre ses agresseurs.

Dans les mois suivants  (en avril 1991), mon père, encore convalescent, fit une chute en se levant de son lit, ce qui descella  sa prothèse de hanche et nécessita son remplacement, mon père ne pouvant plus du tout se lever. L'opération fut  décidée après mure réflexion, en plein accord avec le Professeur François Mazas. C'est le Dr. D. Thévenin qui s'acquitta de cette  redoutable tâche. L'opération fut bien supportée parce que  l'état neuro-anémique de mon père avait depuis pu être traité et corrigé, comme il a été indiqué plus haut, mais cette nouvelle hospitalisation retarda ses démarches judiciaires. Maître Catherine Scotto-Derouet,  reprenant son affaire en main, insista pour que je porte  l'affaire devant le Conseil de l'Ordre << sans quoi la justice vous demandera pourquoi vous ne l'avez pas fait>>. Ce que je fis, mais  lorsque j'ai en mars 1992 rencontré  le Dr. Jean Pouillard, qui présidait alors le Conseil de l'Ordre du Val-de-Marne, celui-ci me reçut très vertement. Avant de m'éconduire vers la sortie, joignant le geste à la parole, il me dit, l'air furieux  : << Ce sera leur parole contre la vôtre, et la  vôtre,  pfitt ! >>. J'étais prévenu.

Après bien des tribulations, dont dès 1992 des menaces téléphoniques de représailles ordinales à mon encontre  au cas où mon père ne se déciderait pas à abandonner toute poursuite,  mon père décéda  inopinément le 2 octobre 1994 lors d'une nouvelle hospitalisation à Charles-Foix, dans le Service du Pr. Bouchon, alors qu'il était porté sortant, guéri d'un épisode bronchitique.

Dans l'énoncé du non lieu daté du 3 juin 1998, le parquet, alors sous la responsabilité de Michel Barrau, fut tout aussi méprisant à mon encontre  que l'avaient été le Dr. Pouillard et le Pr. Saïd, m'accusant  d'avoir impulsé  (sic)  la plainte que mon père avait portée, transformant au passage la qualification initiale  d' "Atteintes volontaires  à l'intégrité physique" retenue  par la juge d'instruction  dans son ordre de mission  en "Atteinte involontaires  à l'intégrité physique", vidant ainsi presque totalement la plainte de sa consistance ! (*1).

Qui plus est la notification de non lieu stipule que la plainte n'avait été portée que le 21 avril 1994, soit << quarante sept mois après >> les faits incriminés, quoique <<< dans les délais >>, alors qu'elle fut adressée par mon père au procureur  dès le 17 décembre 1990 (Cf. documents), c.-à-d. à partir du moment où mon père récupéra ses facultés et fut capable d'en prendre lui-même et la décision et la direction (je me serais bien sûr substitué à lui au cas où il n'aurait pas pu le faire).

En vous priant de bien vouloir transmettre  ces informations au Président de la République et aux Ministères concernés, je vous prie d'agréer, Madame la Ministre, avec l'expression de  ma très haute Considération, celle mon attachement aux valeurs inscrites au fronton de la République française.

 

  Dr. Pierre Cretien

 

*  1 - Par  rapport  à l'affaire Youssouff  Fofana,  qu'aurait pensé madame R. Halimi de la justice française, si, plutôt que de le condamner comme elle l'a fait, celle-ci avait prononcé un "non lieu" railleur, si on l'avait menacé de plainte en diffamation, et si les médias n'avaient soufflé mot de l'affaire ?

La différence est qu'en ce qui concerne mon père,  les agresseurs sont des médecins qui se réclament de l' "éthique" et de la déontologie. Le Pr. Gérard Saïd présidait le "Comité scientifique" de "Médica Judaïca", une Revue d'éthique médicale juive. De leur coté, les signataires du rapport d'expertise négationniste (qui fut rédigé par le Dr. François Chedru sous la houlette des Prs André Lienhart  et René-Claude Touzart) étaient assermentés. Ils étaient, ainsi que je l'avais signalé au juge d'instruction, des relations des médecins mis en cause. Le Dr. Chedru m'expliquera par la suite (le 4 juillet 1996) que s'il avait accepté de rédiger une expertise mensongère, c'était à cause de la personnalité de mon père, qui lui avait été décrite (par qui ?) comme "méchante" et "pas sympathique". Cette qualification était, à peu de chose près, celle du Dr. Antoine Denis dans sa correspondance avec le Dr. Pouillard (communiquée avec la plainte au parquet). Mon père est aussi décrit dans l'expertise du Dr. Y. Dano comme un "grincheux" (sic) à qui, (dans sa grande bonté ?), le faux chirurgien Dr. Antoine Denis avait donné des consultations gratuites avant de le faire descendre au bloc pour lui faire subrepticement subir, "en  accord avec l'anesthésiste" (sic) une opération esthétique (dixit maître C. Scotto-Derouet)  "d'alignemen généralisét"(des plus massacrantes, mais plus rémunératrice pour lui et ses mentors que le K 20 programmé  et stipulé sur le bon d'hospitalisation destiné à la caisse d'assurance maladie). C'était manifestement dans un guet-apens que mon père était tombé.  Or l'expertise du Dr. Dano se réclamait ouvertement de celle du "Professeur"  Chedru , qui, à l'instigation des deux autres désignés, avait été tenu éloigné de notre témoignage direct,  alors qu'en tant que contre-expert,  le Dr. Dano était censé ignorer celle rédigée par le Dr. Chedru, qui s'était lui-même conformé à ce que les Prs. Lienhart et Touzard attendaient de lui  (le blanchiment de tous leurs confrères). 

 

 2 -  On n'est jamais si bien servi que par soi-même : par mesure de précaution, c'est au Professeur Gérard Saïd et à son acolyte le philosophe  Emmanuel Hirsch  que  dans ces années l'Assistance Publique Hôpitaux de Paris confia la charge  d'enseigner l'éthique médicale, pour instituer, d'abord à Bicêtre, ensuite à Saint-Louis, un "Espace Ethique" (sic)  de l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris. Un bien beau, mais bien coûteux, rideau de fumées. C'est ce que dans son ouvrage le Pr. Didier Sicard, qui semble un peu savoir cette histoire, appelle un "alibi éthique" (cf. le contenu de son livre éponyme).

 

Pour comble, Madame Isabelle Pilot, alors qu'elle était chargée des relations de l'hôpital Bicêtre avec la Clientèle, me taxa ignoblement d'antisémitisme  (sic) lorsque j'ai eu l'impudence de m'adresser à la C.A.D.A. afin que le dossier soi-disant "perdu" de mon père me soit communiqué (Cf. l'avis de la C.A.D.A., datée du 24 juillet 2004, favorable à ma requête, depuis 1991 jamais satisfaite).

Le parquet aurait aussi invoqué ce prétexte (d'après Maître François Leleu,  l'éphémère associé de Maître Dorsner-Dolivet,  que cette affreuse accusation effraya au point de le détourner de ses devoirs, et de me planter  tout en me demandant des honoraires faramineux). Certes, je suis de ceux qui dénoncent  la pseudo pertinence et la nocivité de la rhétorique freudienne, mais à ce compte, il faudrait également  accuser d'antisémitisme Marie Balmary, le Pr. Jean-Pierre Vernant et le Pr. Henri Baruk (scandalisé par ce qui s'était passé), J. Moussaïeff  Masson,  Isabelle Stengers , Tobie Nathan,  Jacques Bénesteau  et "La Recherche", pour  l'éloge que cette Revue fit  en décembre 2002 du livre de  Jacques Bénesteau   sur Freud  ("Mensonges freudiens", paru chez Mardaga, en octobre 2002, déclaré le livre du mois).

 

Scandalisé par l'assassinat d'Ilan Halimi, Adrien Barrot, un homonyme du procureur responsable du non lieu à notre encontre a fait paraître (aux éditions Michalon) ses réflexions sur les motivations racistes du "gang des barbares". Sur  celles de "la fine équipe des pieds nickelés" et sur celles des neurologues de Bicêtre dans leurs œuvres assassines à l'encontre de mon père, à ma connaissance RIEN dans la presse, à part un article paru  dans "Le Penthièvre" du 20 mars 2008 (auquel j'adresse copie de cette lettre). Ce n'est pourtant pas faute d'avoir  été mise au courant de ce que, en 1990, des semaines durant, mon père fut  atrocement  "euthanasié" et qu'il n'en réchappa que grâce à la sagacité de ses infirmières.  Subitement décédé quatre ans plus tard  à l'hôpital Charles-Foix (le 2 octobre 1994 dans le Service du Pr. Jean-Pierre Bouchon) de cause inconnue,  alors qu'il était sortant, guéri d'un épisode bronchitique, aucune recherche sur la cause de sa mort inopinée ne fut effectuée, malgré ma demande, et l'intérêt médico-légal que cela présentait. Ma mère, décédée le mois précédent dans le même Service d'une affection connue fut, sans que je ne l'ai réclamé, autopsiée, et le compte-rendu à moi communiqué, alors qu'il aurait dû l'être au Dr. Michel Serdaru, très au courant de ce qui s'était passé  (il me le réclama). Outré, le Dr. Serdaru  avait voulu saisir la presse de cette affaire, mais s'était  ravisé en prenant connaissance de qui était derrière tout cela,  parce que, me dit-il, celui-là  << a des relations >>, sans plus  vouloir les préciser.  Selon mon confrère le Dr. Jean-Paul Preziosi, ex conseiller municipal à La-Haÿ-les-Roses, qui me donna son accord  pour  communiquer l'information  à la presse -  à l'époque "L' évenement du Jeudi" - il s'agissait de l'Evêché de Créteil, alors que pour son ex associé le Dr. B. Ortolan, il s'agirait du Pr. Jean Debeyre. Mais l'un n'exclut pas l'autre.

Ci-après le fac-similé  de la carte de visite que le faux rééaanimateur  Patrice Bodenan me tendit  le 27 avril 1992 en proférrant des menaces de représsailles ordinales à  mon encontre pour avoir laissé  mon pèrre  porter plainte contre la Clinique de son amie Edith Elmelik "spécialiste des hôpitaux ".

 

Docteur Patrice BODENAN

Anesthésiste  Réanimateur

Chef de service adjoint à l'Hôpital Saint-Camille

Pneumologue attaché à l'Hôtel Dieu de Paris

Expert près des Cours d'Appel  de Paris

Membre du Conseil de l'Ordre des Médecins du Val de Marne

Responsable du bureau de Presse

Administrateur du Syndicat des Médecins du Val de Marne 

Hôtel  Dieu de Paris  Tel : 42.34.82.34 (poste 2506)

 Hôpital  Saint-Camille   Tel : 49.83.10.10. (Bip 34)  

 

19, route des Gardes -    92 190 Meudon  Tel : 46.26.02.73                   

En 1992, le Dr. Bodenan n'était pas encore inscrit  en tant qu'expert près du tribunal administratif de Paris, ainsi qu'il le sera (par mesure de précaution ?) en 1994 

Le  Point du 16 juillet 2009  (n° 1922)  publie un commentaire du Dr. Jérôme Vincent  sur un jugement du  tribunal de grande instance de Toulon, qui a condamné le Dr. Patrick Sudre à payer 120.000 euros de dommages à la famille de monsieur Danièl Lévy, décédé le 12 mars 2000 d'un infarctus pour  la perte de chances de survie occasionnée du fait qu'il n'avait pas su faire le bon diagnostic. Il avait ainsi fait renvoyer le véhicule sanitaire commandé par l'hôpital de Toulon. De plus, il n'avait pas gardé l'enregistrement électrocardiographique fait avec le matériel des pompiers.

Le tribunal administratif de Marseille  condamna aussi  l'hôpital  de Toulon-La-Seyne-sur-Mer  pour  avoir détruit les enregistrements des conversations téléphoniques entre le Dr. Patrick Sudre, le médecin régulateur et la famille de monsieur  Lévy. Et ce serait-là une "première"

(Le Point du 16 juillet 2009  : le tribunal de grande instance de Toulon a trouvé que l'hôpital de Toulon avait détruit les preuves  que le docteur Sudre avait fait perdre à Daniel Lévy une chance de survie).  

Ce même journal, qui a été plus d'une fois averti de ce qui s'est passé à propos de mon père, n'en a jamais soufflé mot  (du moins à ma connaissance).

Force est donc de constater  une différence  dans le traitement des affaires. Ce sont des journalistes et des confrères collaborant à cette Revue qui ont fait paraître "Le livre noir des hôpitaux" (chez Calman-Lévy), lesquels se sont gardé de parler ce qui se passait  à la Clinique Léon Elmelik, et à  Bicêtre dans le Service du Pr.  Saïd.

Ce n'est  pourtant pas faute de le savoir,  mais selon que l'on est bien ou mal né (les Elmelik seraient "milliardaires" - petits enfants de banquiers - d'après ce que m'en ont dit l'Inspecteur Christian Raeckelboom et le Dr. Jules Fineltain,  ce que ne nia pas le Dr. Patrice Bodenan) la presse, de gauche comme de droite, passe ou ne passe pas sous silence les affaires criminelles liées au racisme de classe.  On me dira que Le Point est un journal de droite. Mais que je sache, Marianne, qui se réclame de la gauche, n'en a pas plus soufflé mot. On (je) comprend(s) maintenant mieux pourquoi  un Joseph-Macé Scaron, dans son éditorial du Marianne de cette semaine, soit fâché de ce que "les organisation juives" aient  bêtement fait pression et obtenues du gouvernement une révision du jugement populaire prononcé à l'encontre du "gang des barbares". Espérons au moins que cette révision ne débouchera pas sur un "non lieu", car mon père était lui aussi tombé dans un  savant guet-apens: avant de l'estropier par surprise, les médecins de la Clinique Elmelik l'avaient attiré en lui offrant des consultations gratuites ! C'est écrit en toute lettre dans le très long et très fastidieux rapports d'expertise du Dr. Dano   (44 pages dactylographiées serrées avant d'en venir à la conclusion, entérinée par Michel Barrau, que mon père avait été "consentant" (sic), qu'il n'avait donc pas lieu de poursuivre l'affaire, du moins au plan pénal, sauf  en cas "d'éléments nouveaux". Les assassinats de malades commis par Christine Malèvre sous la responsabilité  du même  Dr. Olivier Ille en étaient, qui n'ont pas modifié sa sentence. 

 

Faut-il  être en Bretagne pour trouver un journal  qui  ne censure pas des informations aussi essentielles. Je dis bien essentielles, puisque ces faits renvoient au  "péché originel"  comme  au  complexe d'Oedipe parce qu'elles touchent à l'endogamie  médico-judiciaire  en tant que  paradigme de l'inceste -  l'abus sexuel comme violence absolue - négation de l'Autre,  négation source de violences  générationnelles.

C'était la thèse que Norman Mailer appliqua au cas d'Hitler dans "Châteaux en forêt", un livre dont Le Point publia quelques bonnes feuilles, en oubliant de préciser  que c'était aussi le cas de Freud, le rival  mime-éthique d'Adolf.

Freud  n'aimait pas les malades, surtout de ceux dont il s'occupait (les "névrosés") disant d'eux  en privé qu'ils << ne méritaient pas même le temps qu'il  leur consacraient // qu'ils ne servaient qu'à le faire vivre et à ses recherches // que le mieux serait d'en faire des cargaisons pour s'en débarrasser : En allemand "Die Patienten sind ein Gesindel" (les patients sont de la racaille) >>.

 

L'A.M.I.F.  (Association des Médecins Israëlites de France)  s'étant porté au secours de l'Ordre et du Pr. Saïd  (cf. Bruno Halioua "Blouses blanches, Etoiles jaunes", page 12, chez Liana Lévi) et  le Dr. Chedru présidant un syndicat d'expert, il n'est  pas impossible que le Pr. Bernard Kanovicht, qui  professe que le communautarisme << est inéluctablement source de violence >> (cf. "Itinéraire d'un juif  français"), ait eu  connaissance de cette affaire, car le Pr. Kanovitch  est aussi expert près de la Cour d'Appel, et les experts échangent et communiquent  beaucoup d'informations *.  Or, pour ne pas faire de peine au très redouté  Pr. René-Claude Touzart, qui ne voulait pas que la vérité soit dite, prétendument parce qu'il ne fallait pas donner des médecins une "mauvaise image" << celle-ci n'a vraiment pas besoin de ça, qui est  déjà suffisamment attaquée >>, en réalité parce qu'il était une relation du Pr. Jean Debeyre et de son poulain le Dr. Antoine Denis "de réputation internationale"(dixit  Mlle E. Elmelik). Aussi  le Dr. Chedru ne trouva-t-il quasiment rien à redire dans son expertise à ce qui avait eu lieu, alors même que son ex-collaborateur le Dr. Serdaru trouvait que seulement le un centième de ce qui s'était commis méritait un procès. Le Dr. Serdaru  en avait été tellement scandalisé qu'il avait eu l'intention d'avertir la presse. C'est cette source de violence, pointée et dénoncée, par le Pr. Kanovitch, que le cinéaste Robert Bresson avait  voulu illustrer dans son film "L'argent", à Cannes incompris du public, mais non d'Andreï Tarkowski. Je le recommande au  Pr. Kanovitch.

 

 * 22/07/09  addendum   :  l 'avaient fait en ma direction le Professeur Pierre Huguenard et le Dr. Jules Fineltain, pour ne pas citer sur un autre plan  le Commandant  Christian Raeckelboom. Cf. les  44 sources d'informations colligées dans mon mémoire, site  n° 34640255.

Addendum                                                                         Mercredi  22 juillet   2009

  

Suite à mes informations d'hier.

 

Je viens de recevoir une lettre de la part de la Direction des Affaires Juridiques et du Droit des Patients de l'Assistance Publique - Hôpitaux de Paris.

 

Elle est signée du Directeur Adjoint de cet organisme (l'affaire n'est sans doute pas jugée digne d'être traitée  à un niveau plus élevé)

Cette lettre ne répond toujours pas  à mes  interrogations  et à mes demandes d'explications (depuis 1991) au sujet de ce qui avait non seulement motivé la pseudo administration du traitement approprié à la maladie  de mon père à l'été 1990, mais aussi la fausse disparition de son dossier d'hospitalisation dans le Service du Pr. Saïd, et la raison de  l'absence de réponse  à la lettre, très précise, que j'avais l'an dernier (le 19 mai 2008 par courrier postal, et le 20 mai par fax)  adressée au médiateur "remplaçant"  le Pr. Patrick Hardy au sujet du silence qui a suivi  la réunion de "conciliation" avec le Pr. Saïd, réunion qui eut lieu le 24 septembre 2004  en présence de  la "chargée des relations de l'hôpital avec  la Clientèle" madame Isabelle Pilot (depuis apparemment devenue Directrice-adjpointe"), réunion au cours de laquelle il me fut quasiment interdit par madame Pïlot de questionner le Pr. Saïd,  elle qui m'avait en juin 2004 "astucieusement"  traité d'antisémite et accusé  d'avoir "fabriqué" la maladie de mon père (d'avoir fait de lui un "Münchhausen", une notion un peu trop savante pour être de son cru).  

J'ai toutes les raisons de penser que ces accusations venaient du Pr Saïd, et non de madame Pilot elle-même, qui était seulement chargée de me les répercuter pour me faire rentrer dans ma coquille.

A l’instar du faux traitement qui avait été administré au malade, la conciliation semble n’avoir été qu’un leurre. Madame Pilot m'interdisait d’interroger le Pr. Saïd sous prétexte que l'on ne parlait "comme ça au professeur Saïd" (sic) et qu’elle était pressée par le temps.

Elle ne l'était pas tant, qui resta longtemps enfermée avec lui et le Pr. Hardy après cette "réunion", discutant vraisemblablement de la nouvelle stratégie à suivre.

La seule chose que le Pr. Saïd eut le temps de me dire est que l’affaire irait devant les tribunaux et que l'hémogramme du malade avait été sensiblement normal, comme s'il ignorait premièrement  que cela peut être le cas  dans les formes neurologiques du syndrome neuro-anémique et deuxièmement qu'il manquait un myélogramme d'avoir été fait, et que c'est au vu de l'hémogramme que les urgentistes de Bicêtre avaient immédiatement demandé l'admission de mon père en neurologie en posant de bon diagnostic. Je peux comprendre son embarras. Lui ne veut rien savoir du  mien. Naïf, je m'attendais qu'il mette en application ce que prônait la Revue d’éthique médicale qu’il présidait, qui, suivant le concept de "Gneva Daath" (recommandation du Choulin), interdit la tromperie, et non qu’il fasse le contraire. Cf. l'article Pr. Charles Msika, n° 21 de Médica judaïca,  mars 1991, inspiré  de celui paru dans le J.A.M.A. du 26  mai 1989. Il en est le recensement. Le Pr. Msika  (ch.msik@wanadoo.fr ) est expert à la cour d'appel. 

Le Professeur Gilbert Tchernia (hématologue) connaissant très bien le génie évolutif des syndromes neuro-anémiques. Il  s'était, dans la réponse qu'ilo m'a adressé, étonné  de ce que le test de Schilling avait été de 5 % sans que mon père ait bénéficié d'un traitement en adéquation avec cette donnée.  Le Pr. Patrick Hardy lui  avait inopinément été substitué pour conduire  la "conciliation",   
Psychiatre, Patrick Hardy dirigeait et dirige toukours le  Service de psychiatrie jouxtant celui du Pr. G.Saïd. Il n'ouvrit pas la bouche toute la durée de l'entretien mais s'enferma ensuite longuement avec le Pr. Saïd et Isabelle Pilot. Il avait vraisemblablement été missionné par l'hôpital pour essayer de déceler et d'affirmer chez moi des signes de paranoïa. Le Pr. Saïd m'avait déjà fait comprendre en vissant son index sur la tempe lorsque  je m'étais adressé à lui pour lui demander des explications au sujet de la mystérieuse disparition du dossier de mon père et de celle du livre du Pr. Pierre Bouche sur les neuropathies périphériques,  ainsi que celle celle, tout aussi incompréhensible, de l'ordre qu'il avait donné de faire cesser l'abonnement de la bibliothèque du CHU de Bicêtre à la Revue de référence qu'est ''Archives of Neurology", et du retrait des numéros déjà parus de ses rayons.


Madame Isabelle Pilot, alors sous-directrice chargée des relations de l'hôpital Bicêtre avec la Clientèle, me taxa ignoblement d'antisémitisme  (sic) lorsque j'ai eu, deux mois plus tôt, en juin 2004, l'impudence de m'adresser à la C.A.D.A. afin que le dossier soi-disant "perdu" de mon père me soit communiqué (Cf. l'avis de la C.A.D.A., datée du 24 juillet 2004, favorable à ma requête, depuis 1991 jamais satisfaite.)


 CONCLUSIONS :


Mêmes causes mêmes effets : dans le cas ci-dessus exposé, où la Clinique d'un violeur en série, connu comme tel par le parquet de Créteil, tout s'est passé comme s'il avait absolument fallu protéger celui-ci (ou sa Clinique, si utile aux établissements hospitaliers pour ses "soins de suite")  . A cause de cela, avoir évité la mort d'un malade susceptible de lui porter ombrage, et avoir par  incidemment fait la preuve que le test de Schilling est insuffisant pour éliminer le diagnostic d'une maladie mortelle et relativement fréquente, a été jugée par le procureur Michel Barrau comme nul et méprisable.


 << EN FRANCE, IL N'Y A PAS DE JUSTICE>> m'avaient d'emblée prévenu maîtres Catherine Scotto-Derouet et Annick Dorsner-Dolovet en guise de préambule lorsque je me suis adressé à elles.

Je prie Madame Michelle Alliot-Marie de bien vouloir, comme pour l'affaire Fofana, faire appel du méprisant déni de justice prononcé par le parquet au sujet des exactions, à l'évidence hautement criminelles, commises en 1990 à l'encontre de mon père.

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Published by leon - dans Santé Médecine 

 

 

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