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1 mars 2013 5 01 /03 /mars /2013 14:46

Sciences et avenir de mars 2013 (n° 793) répercute les données de l'American Journal of Emergency Medicine de janvier dernier faisant état du risque encouru par les soignants, médecins, infirmières et paramédicaus, d'être victime d'agressions de la part des malades ou de leurs accompagnants.  

 

Mais réciproquement quels sont les risques encourus en France par les malades hospitalisés dans de grands Centres Hospitalo-Universitaires de n'être pas victimes de pratiques frauduleuses aux profits d'intérêts catégoriels ?

 

D'après le Conseiller-rapporteur de l'Ordre le Dr. Pierre Brassart, il n'y a en France aucun mal à infliger sans prévenir précipitamment et en la surfacturant une dangereuse et inutile opération orthopédique bilatérale à un octogénaire déjà très affaibli par une maladie neurologique intercurrente alors même que l'on est pas véritablement chirugien, et qui plus de le laisser ensuite mourir de complications post-transfusionnelles, à partir du moment c'est au bénéfice du cash d'une Clinique très utile au CNTS et à l'Assistance Publique.   

 

Ainsi aussi des assassinats de malades commis au CHU de Mantes la Jolie en 1997, assassinats qui ont alors été exceptionnellement dénoncés par le Dr. Laurence Kouyoumdjian. Ils ne furent révélés que trois ans plus tard par les médias, après que les institutions responsables ont réussi à les faire passer pour des "euthanasies" compassionnelles  commises par une infirmière immature. Elle seule fut jugée et condamnée.   

 

Suivant la politique d'élimination des malades devenus embarrassants pour l'A. P.  et le CNTS,  les neurologues du CHU de Bicêtre avaient en 1990  rejeté le diagnostic de syndrome neuro-anémique fait à l'admisson de mon père aux Urgences de ce CHU. Le diagnostic de SNA s'était pourtant d'emblée imposé comme évident, le malade réunissant quasiment tous les symptômes, que ce syndrome ait été ou non le fait de la maladie de Biermer, la cause la plus commune des SNA.

 

 

Il était à l'époque depuis longtemps connu des neurologues, a fortiori de ceux qui se réclamaient à Bicêtre de la recherche neurologique au sein de INSERM, que ni un test de Schilling négatif ni une mesure du taux de vitamine B12 circulant dans le sang (la cobalaminémie, en langage médical) ne pouvaient à eux seuls éliminer le diagnostic de maladie de Biermer ou de syndrome neuro-anémique.

 

Malgré l'évidence qu'il s'agissait d'un tel synrome, les neurologues de Bicêtre ne se contentèrent pas de lui refuser son très urgent traitement salvateur, mais firent semblant de le lui administrer alors que la survie de ces malades dépend de l'administration du traitement de la maladie de Biermer. Le traitement en à la fois très simple. Il consiste à adminstrer d'urgente et durant au moins un mois des doses importantes de vitamine B12.

 

L'équipe du Professeur Gérard Saïd était-elle incompétente au point d'ignorer les principes de base de sa discipline ? Aurait-on voulu discrètement tuer le patient que l'on ne s'y serait pas pris autrement. Le simulacre de traitement aurait pu faire que malade paraisse n'avoir succombé qu'au pseudo diagnostic d'atteinte diffuse du système nerveux consécutif à une encéphalopathie vasculaire. Ce diagnostic a en fait été porté après coup et à faux pour dissimuler les falsifications et l'intentionnalité des fautes. L'hypothèse de l'incompétence est en effet à exclure totalement : pour justifier leur abstention thérapeutique, l'équipe, qui se réclamait de l'INSERM, avait falsifié le résultat du test de Schilling pour faire croire qu'il était négatif alors qu'un contre test déniché  quatorze ans plus tard  par le Pr. Gilbert Tchernia, hématologue,  montra qu'il était positif.

 

Le Dr. Jean-Yves Beinis, dans le Service duquel l'équipe du Pr. Gérard Saïd avait pris la précaution de faire transférer son malade avant qu'il ne décède dans leur propre Service, n'eut cesse de suivre aveuglément ses consignes d'abstention thérapeutique. Pour qu'il ne s'étonne de rien, l'équipe de Bicêtre, qui savait le Dr. Beinis être aussi incompétent qu'obéissant, avait pris la précaution de le prévenir que le malade était "de toute façon voué à une inéluctable dégradation", ainsi qu'il me l'avait répété lorsqu'il me reçut le lendemain de son transfert. Le Dr. François Chedru répétera étrangement cette formulation dans son expertise (à  l'émisson de France-Culture "Avec ou sans rendez-vous" le Professeur Olivier Lyon-Caen a choisi le Dr. Chedru pour dire ce qu'il faut penser de la fiabilité des expertises médicales alors que celui-ci avait sciemment bidonné la sienne dans cette affaire ! Ce que le Pr. Lyon-Caen n'ignorait sans doute pas ! ).

 

Le rétablissement de mon père avec le traitement de la maladie de Biermer et les résultats du test de contrôle avaient à l'époque  montré que les Urgentistes et moi avions raison.

 

Sous la houlette de Michel Barrau, en arguant de cette expertise manifestement bidonnée la justice déclara forfait en prononçant un stupéfiant non-lieu.

 

(sur cette affaire criminelle, cf. les sites 73331815 html chap. IV, 108281777 html, et 69970222 html + les P.S.  2-3-4-5 à l'article 115796959 html).

 

Est-ce l'incompétence ou la corruption, ou la réunion de ces deux causalités qui expliquent que le malade fut maltraité et par la l'institution hospitalière et par l'instution judiciaire ? Ainsi s'explique le mauvais positionnement de la France dans l'échelle des valeurs morales.

 

Du fait que j'avais réussi à sauver la vie de mon père en lui administrant moi-même le traitement nécessaire, ma situation vis à vis de l'Assistance Publique est restée des plus conflictuelles, de même vis à vis du Conseil de l'Ordre des médecins, qui a cherché par des moyens les plus illégaux (des menaces de représailles) à couvrir les stupéfiantes "fautes" commises par les médecins de la Clinique Elmelik précédemment à son hospitalisation malgré (ou plutôt à cause) de leur énormité. Celles des médecins de l'Assistance Publique, non moins énormes, leur étaient consécutives : du fait que le faux traitement était mortel, la mort - escomptée et programmée - du malade auraient non seulement dissimulé les escroqueries du rhumatologue de la Clinique Elmelik, celui- s'étant permis, sans prévenir et sans y être autorisé, d'infliger à mon père en un seul temps une double opération orthopédique pour soi-disant remédier à sa "mauvaise morphostatique" (sic), mais aussi l'éventualité d'une contamination transfusionnelle au VIH lors d'une opération orthopédique faite en avril 1984; Compte tenu de la communauté des intérêts qui les liaient les uns les autres (le Pr. Saïd était membre fondateur de l'Institut de Formation et de Recherche en Éthique Médicale juive (l' IFREM) et à Bicêtre de l'Espace Ethique de l'A.P. -H.P.), il est plus que douteux que les mortelles "erreurs" des neurologues aient été innocentes. L' État français a sous le régime de Vichy conféré à l'Ordre des médecins des pouvoirs discrétionnaires exorbitants. L'Ordre les a conservés. Il en a profité pour s'immiscer dans cette affaire pour le couvrir face à la justice et la justice s'est empressée de lui emboîter le pas, nonobstant toutes les preuves apportées de la malignité de leurs fautes et celles des médecins de la Clinique Elmelik afin d'empêcher l'aboutissement la plainte que mon père avait par la suite portée. Sur ces entrefaits, l'Ordre et l'AMIF traditionnellement ennemis, se sont réconciliés.

 

Ma situation est ainsi devenue comparable à celle qui avaient été faite au milieu dix-neuvième siècle au docteur Ignacio Semmelweiss. Celui-ci avait compris et avait fait savoir que si la mortalité des parturientes était deux fois plus élevée dans les Services où les médecins pratiquaient des accouchements que dans les Services où n'exerçaient que des religieuses, cela provenait d'un manque d'hygiène chez les médecins. Un crime de lèse Majesté que le Dr. Semmelweiss paya très cher. Il avait eu l'outrecuidance d'en avoir fait la démonstration dans son propre Service en y imposant l'usage de désinfectants (Cf. à son sujet, parues chez Herman, les fines réflexions d'Evariste Sanchez Valencia, que Gabriel Gohaut a, au nom de l'Union Rationaliste, eu la bonne idée d'inviter ce dimanche 24 février au micro de France-Culture)

L'Ordre des médecins avait via les Drs. Patrice Bodenan°°° et Jean Pouillard promis de me faire payer très cher le fait que j'ai par la suite laissé mon père porter plainte après ce qui lui était arrivé. La serrure de l'appartement que j'occupais au Val-André a par deux fois été forcée ! Je ne sais à quoi cela rime. Était-ce un reliquat des mesures d'intimidations autrefois formulées à mon encontre  par le Dr. Bodenan  depuis (titulaire d'un DEA d'Ethique médicale acquis auprès de Christian Hervé ).

 

A la suite de ce sauvetage, l'Ordre, qui depuis longtemps protégeait la Clinique Elmelik, s'était entendus avec les neurologues de Bicêtre et les experts chargés d'éclairer la justice pour que l'affaire soit étouffée. Moi, mon père et nos avocats - à part Me de la Morinerie, qui a délibérément trahi la cause qui lui avait été confiée - avons été menacés de représailles ! L'affaire est rapportée sur le site Google 73331815 html, chap IV ; et plus brièvement dans la lettre ouverte, datée du 18 juillet dernier, qu j'ai adressée depuis la poste de l'Haÿ-les-Roses au Ministre de l'Intérieur Manuel Valls, au Pr. Didier Sicard comme au Président Hollande (Cf. site Google n° 108281777 html).

 

Devenu quelques années plus tard Chef de Service au CHU de Mantes la Jolie, l' Interne du Service de neurologie de Bicêtre laissait Christine Malèvre exécuter ses malades quand sa collègue Laurence Kouyoumdjian a dénoncé ses crimes.

 

A "C. politique" Bruno Lemaire, s'est réfèré ce' dimanche à l'évolution du PIB pour juger de la santé économique de la France. Le PIB est un mauvais indice. Les anti-traitements infligés à mon père en 1990 après qu'ils ont ont failli le tuer, l'ont laissé lourdement handicapé, à charge pour lui et pour moi d'en faire les frais. Or les frais et les souffrances occasionnés par l'attentat dont mon père a été victime ont participé au + du PIB alors qu'ils ont été ont ne peut plus ruineux. De même la décision prise auparavant par les responsables du CNTS de "rationaliser" leur technique par le mélange des sangs collectés dans des pays du tiers monde et les prisons, mélanges qui faisaient qu'un seul donneur porteur du VIH pouvait contaminer de dizaines voire de centaines, si ce n'est de milliers de receveurs. Ces "économies" ont dans l'immédiat compté pour un plus dans le PIB alors qu'elles se sont des années plus tard montré désastreuses ... y compris pour mon père, transfusé en avril 1984, et pour moi-même par ricochet, qui a dû quasiment seul suppléer aux conséquences de la forfaiture des neurologues de Bicêtre. N'oublions pas que de l' explosion du SIDA est contemporaine de ces pratiques transfusionnelles, pas seulement attribuable aux homosexuels

 

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