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6 mars 2013 3 06 /03 /mars /2013 15:06
J'ai regardé avant-hier soir sur Fr.3  "Le monde d'après", une émission animée par Franz-Olivier Giesbert
 
L'exploitation sinon l'épuisement des ressources énergétiques d'origine fossile posent en effet un grave problème écologique pour l'avenir de la planète. Je m'étonne dès lors que le  système d'exploitation du potentiel énergétique des marnages que je préconise n'ait pas été évoqué durant cette émission cependant l'exploitation de cette ressource énergétique deviendrait possible à très large échelle, cette énergie étant quasi inépuisable et sans aucun effet de serre. La France est particulièrement bien placée pour pouvoir y recourir, pourvu qu'elle adopte le système d'exploitation à large échelle que je suis en mesure de proposer.
 

Tout comme j'étais certain de ce qu'il fallait faire en septembre 1990 pour sortir mon père du coma où l'avait plongé le faux-semblant de traitement que lui administraient ses médecins (ceux-ci m'avaient caché qu'ils ne le lui administraient  pas vraiment, cf. le site 108281777 html), je suis certain que la meilleure solution, la plus écologique et la plus rapidement réalisable de toutes est celle que je préconise, qui consiste à récupérer l'énergie potentielle des marnages selon un procédé indirect, séquentiellement et par "transfert de charge". C'est à coup sûr la solution de l'avenir.  Si seulement je pouvais l'exposer de vive voix, à vous comme à des ingénieurs écologistes, de quelque parti puissent être je ne doute pas que vous seriez vite convaincu de sa pertinence. La méthodologie est d'ailleurs facile à tester sur un petit modèle expérimental en vue de son extrapolation sur quelques prototypes expérimentaux.

 

Il n'y a pas du tout lieu de tenir pour illusoire la technique que je préconise, mais réellement urgence à l'expérimenter. Le procédé n'est pas si complIqué que son principe ne puisse être compris et rapidement modélisé en laboratoire pour faire ses preuves. Sa mise en oeuvre à grande échelle devrait ainsi permettre à la France de combler rapidement son manque de compétitivité économique et industrielle. Ceux qui ont pris le temps de me lire  (site 73331815 html) concernant la maladie dont mon père faillit périr en 1990 dans un un hôpital de l'Assistance Publique, savent que son sauvetage a malheureusement fini par jouer contre moi du fait que les responsables des mauvais traitements qui lui avaient été infligés avaient plus à voir avec une mise à mort délibérément programmée,  qui a échouée du fait de mon intervention, qu'avec une prétendue erreur (sic) vénielle de de traitement. C'est pourquoi après que je l'ai rétabli, les responsables de la soi-disant erreur ont tout fait pour masquer la réalité et tromper la Justice. Une Justice qui, pour des raisons que nous dirons "spécifiques", ne demandait pas mieux que d'enterrer cette très embarrassante affaire. De même l'A.P. et la Justice ont par la suite réussi à circonscrire l'affaire des assassinats de malades commis au CHU de Mantes la Jolie dans le Service du même Dr. Olivier Ille en ne les attribuant qu'à Christine Malèvre et a elle seule, alors que (ou parce que) c'était l'équipe de son Chef de Service qui avait déjà en 1990 cherché à éliminer un malade, mon père en l'occurrence, en dictant un faux et mortel traitement au Dr. Beinis, qui suivit aveuglément les ordres qui lui avaient été donnés. Vous trouverez plus amples précisions sur Internet aux sites indiqués dans ma précédente lettre, à savoir et entre autres les sites Google 69970222, 73331815, 108281777, et plus récemment sur le site 115796959 html (comme quoi l'homme ne manque pas d'ingéniosité quand il s'agit de masquer des réalités dérangeantes )    

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Si vous pouviez vous représenter en quoi consiste le procédé séquentiel d'exploitation des marnages, vous verriez que les bases de la physique sont suffisantes pour préjuger de sa parfaite faisabilité. Je suis seulement étonné de ce que personne n'ait eu l'idée d'avoir recours aux possibilités offertes par le transfert séquentiel. Il fait intervenir des structures cavitaires off shore à mémoire de forme alimentant à terre des groupes convertisseurs. Il est de la plus haute importance que le Service des études de l'union comprenne la méthode et sache vous convaincre de ce qu'il a lieu de mettre dès maintenant la méthode à l'essai pour "Le monde d'après".

                                                                                            Dr. Pierre Cretien,

 

P.S.1 :

La solution rationnelle et relativement simple du "transfert séquentiel" ne m'est venue à l'esprit qu'en juin dernier alors que j'avais depuis des dizaines d'années l'intuition qu'une meilleure solution que la construction de barrages existait. Il est dommage qu’elle ne me soit venue que si tard dans mon existence.

P.S. 2  Concernant l'histoire qui était arrivé à mon père, qui avait failli le tuer, feindre une démarche éthique et avoir ensuite pu faire avaler à la justice que seulement une "petite erreur" de diagnostic avait été commise alors que l'on avait en réalité sciemment cherché à éliminer un malade encombrant est aussi insupportable pour moi que d'entendre un Fauriston nier l'existence des camps d'extermination nazis. Mon père avait été victime d'une Clinique "utile" à l'A.P., celle-ci servant de dépotoir et de "solution finale" aux problèmes que posent les malades comme lui autrefois contaminés par le VIH lors de transfusions. Dès lors que le malade a été en mesure de porter plainte contre ladite Clinique, j'ai été vécu comme un homme qu'il fallait à tout prix casser en le décrédibilisant face à la justice, ce qui était relativement facile pour des institutions détenant des pouvoirs discrétionnaires. Elles étaient à divers titres intéressées à ce que l'affaire ne puisse être passée en jugement, plus ou moins impliquées qu'elles étaient dans cette affaire de gros sous. Le CNTS avait livré des lots de sang contaminés au VIH. J'ai fortuitement appris en avril 2010 que les établissements comme la Clinique Elmelik et certains Services hospitaliers s'étaient chargé éliminer secrètement les malades contaminés. Il se trouve que les Services où mon père avait été maltraité en 1990 étaient de ceux-là, en particulier la Clinique Elmelik. L'U.S.N. du Dr. Jean-Yves Beinis participait de ce processus d'élimination à l'insu de son Chef de Service. Les neurologues de Bicêtre lui faisaient jouer ce rôle en l'incitant à suivre des consignes "thérapeutiques" en réalité mortelles.

P.S. 3 :

Du fait que mon père a porté plainte contre les médecins de la Clinique Elmelik (ceux-ci l'avaient, rappelons-le, indûment et très dangereusement opéré avant son hospitalisation à Bicêtre dans la seule intention d'augmenter le chiffre d'affaire de leur Clinique) les neurologues de Bicêtre s'étaient défaussés de leur malades en l'envoyant finir ses jours dans l'USN du Dr. Beinis. La sous-directrice de l'hôpital Bicêtre m'a fait accuser verbalement en 2004 d'avoir moi-même fabriqué (sic) la maladie de mon père par antisémitisme (sic, l'accusation émanait de madame Isabelle Pilot) Provoquer sciemment une LEMP (une Leuco-Encéphalopathie Multifocale Progressive) est une entreprise absolument impossible. Ce ne peut être qu'à la suggestion du Pr. Saïd et/ou conjointement avec de la direction de l'hôpital Bicêtre que cette accusation a été proférée. La direction de l'hôpital avait voulu profiter de ce que le Pr. Saïd était un membre éminent de I'FREM (l'Institut de Formation et de Recherche en Éthique Médicale juive). Le vrai-faux diagnostic très péjoratif de LEMP (maladie rarissime au pronostic redoutable) avait été commis sous l'appellation synonyme et cryptologique d' "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" ( Cf. CR d'hospitalisation au site 69970222 html ). Un esprit vraiment machiavélique aurait à la limite avoir pu "fabriquer" un syndrome neuro-anémique ou une maladie de Biermer, mais certainement pas une LEMP. La perspective qu'un crime d'une telle nature pouvait avoir été commis aurait ipso facto dû faire l'objet d'un signalement au procureur de la République et d'une plainte devant la justice de la part de l'hôpital, conformément à l'article 40 du CPP. Se demandera-t-on pourquoi il ne l'a pas fait ?

P.S. 4 :

Parce que je porte un nom qui exclu a priori que je puisse être juif, le Pr. Saïd me fit accuser en 2004 par madame Pilot - relevez l'élégance du procédé - d'antisémitisme après que je me suis adressé à la CADA pour accéder au dossier d'hospitalisation de mon père, un dossier soi-disant perdu mais auquel ont pu accéder et le faux chirurgien de la Clinique Elmelik et l'expert félon Michel Chedru (il m'a cyniquement avoué qu'il avait masqué la réalité. Il l'avait masquée  non par par solidarité avec les coupables, mais par crainte d'aller contre la tradition omertiste de la profession). Je n'y ai quant à moi pas échappé, qui a été menacé de représailles et je reste persécuté, non pas tellement parce que j'avais sauvé la vie de mon père, mais parce que je ne l'ai pas par la suite empêché de porter plainte contre la Clinique Elmelik. Sa plainte faisait craindre que le secret que renfermaient les soi-disant erreurs commises par les neurologues de Bicêtre puissent être percées à jour devant la justice et aboutisse à la fermeture de la Clinique Elmelik, de sinistre réputation.

P.S. 5 : Le Dr. Patrice Bodenan signa sa lettre relative à cette affaire clairement d‘un "Bod" surmontant un large triangle isocèle pour bien montrer au Pr. Jean Penneau, président du Conseil disciplinaire du Conseil régional de l’Ordre, qu'il était un frère°°° . Patrice Bodenan a par la suite éprouvé le besoin de se faire attribuer auprès de son confrère °°° Christian Hervé un DEA d'éthique médicale - un DEA consultable sur Internet. Son "Mémoire" porte comme par hasard sur " Les problèmes éthiques posés par les commission de conciliation hospitalières". Le message idéique qu'y développe le Dr. Bodenan se résume à ceci : Le devoir des directeurs d'établissements hospitaliers consiste avant tout à défendre les intérêts économiques de son groupe. Voilà ce qui est véritablement "éthique", qui lui vaudra de succéder à l'ancien "haut protecteur" de la Clinique Elmelik, en tant que président du Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins en¨Île de France. "Le ver est dans le fruit" m'avait prévenu le docteur Claude Poulain, l'ex  S.G. du Conseil de l'Ordre du 94.

 

Conclusion et morale de cette histoire : en France on pas de pétrole, mais on a des idées "éthiques" .

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