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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 15:59

Tout le monde sait qu'en France la justice n'est pas indépendante des pouvoirs politiques et administratifs, pas même de l'Ordre des médecins, auquel l'Etat a commis l'erreur de confier "mission de Service public" alors que celui-ci défend avant tout des intérêts catégoriels.

 

La France n'est donc pas le pays des Droits de l'Homme qu'elle se targue d'être, sa justice se soustrayant trop souvent à ses obligations quand il s'agit d'instruire des affaires où la responsabilité de l'Etat et des pouvoirs publics est engagée, comme p. ex. dans l'affaire dite du sang contaminé.

 

De ce fait, au CHU de Mantes-la-Jolie, les médecins responsables des Services où des assassinats de malades ont été commis n'ont pas été inquiétés. La justice s'est contentée de faire semblant de croire à la thèse qu'il ne s'était agi que de l'oeuvre d'une infirmière immature prise de compassion pour la souffrance de ses malades cependant qu'au CHU de Bicêtre et à l'hôpital Charles-Foix, la justice s'était contentée de décréter un scandaleux non-lieu au sujet de la tentative d'assassinat à laquelle mon père avait de justesse pu échapper dans les années précédentes.

 

Une ordonnance, apparemment sans rapport avec tous ces assassinats, est venue parfaire l'aveuglement volontaire de la justice quand, en 2003, après la condamnation de Christine Malèvre, a été décrété forclos toute procédure au sujet des malades victimes de contaminations VIH post-transfusionnelles, c'est-à-dire après que j'ai informé le parquet de Versailles de ce que mon père avait été à Bicêtre victime du même médecin alors que celui-ci était sous les ordres du Pr. Gérard Saïd.

 

Au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses la police m’avait confié à propos de la plainte de mon père qu’elle ne s'expliquait pas pourquoi les médecins de la Clinique Elmelik jouissaient de protections qui leur faisaient systématiquement échapper à la justice cependant qu'ils se livraient aux pires transgressions.

 

C'est pourquoi j'ai fait  sur Internet état du cas de mon père , rescapé d'une euthanasie imposée et tout à fait indésirable  grâce au signalement d'une infirmière, son cas ayant préfiguré la série des exécutions commises, aussi sous prétexte d'euthanasies,  dans les années suivantes par Christine Malèvre au CHU de Mantes-la-Jolie. Elle était alors sous les ordres du même médecin, le Dr. Olivier Ille, devenu entre-temps Chef de Service dans ce CHU après que mon père est passé par les mains des médecins de la Clinique Elmelik (voir le site référencé Google 73331815 html).

 

Les responsables de l'exécution de mon père avaient maquillé leur forfait en falsifiant les données cliniques Sa plainte fut ainsi classée non-lieu, malgré la communication au parquet de preuves matérielles aussi nombreuses qu' irréfutables de ces falsifications et de collusions administratives.

 

Pour se couvrir et donner le change, le CHU responsable a été incité par la direction de l'A.P. à créer une Chaire d'éthique médicale. Baptisée "Espace éthique de L'AP - HP", cette Chaire a été dévolue à une  relation du Chef du Service responsable de la susdite forfaiture, c'est-à-dire au philospohe Emmanuel Hirsch, probablement en lui cachant alors le pourquoi de coûteux et très inutile "Espace", sinon pour servir de couverture à l'Assistance publique.

 

Pour parfaire le tout, la justice a pris soin de déclarer forclose toute plainte relative aux contaminations VIH transfusionnelles après 2003, ce comme par hasard après qu'elle a été avertie par mes soins de ce que l'affaire Christine Malèvre, plaidée à Versailles, était comme la répétition de ce qui était arrivé à mon père Bicètre en 1990.

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Quatorze ans après les faits (en juin 2004), ne reculant devant aucune infâmie, les responsables de cette forfaiture meurtrière m'accusèrent verbalement d'avoir "fabriqué" la maladie de leur victime, et d'avoir été en cela motivé par des arrières-pensées "antisémites" (sic). De telles accusations auraient ipso facto dû les conduire à porter l'affaire devant la justice. Je me demande pourquoi ils s'en sont gardés. Je serais donc fondé à porter plainte contre ces accusateurs pour la non dénonciation des actes criminels.

 

De son côté, l'Ordre des médecins fit promettre à mon père comme à moi-même, via ses Conseillers Jean Pouillard et Patrice Bodenan d'exercer des représailles à mon encontre au cas où il maintiendrait sa plainte. Ces menaces furent aussi signifiées à ses avocates, qui prirent peur pour elles-mêmes et m'en avertir (Cf. article 73331815 html sur mon site-blog "genocides.over-blog.com" et la lettre du Dr. Bodenan "responsable du bureau de presse de l'Ordre" au Dr. Pouillard, alors président du Conseil départemental de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne.

 

Bien avant son élection à la présidence de la République, j'ai, à plusieurs reprises informé François Hollande de ces incongruités. Il m'avait répondu qu'il n'était pas en son pouvoir d'y remédier.

 

Des gynécologues ont récemment fait grève parce qu'ils restent, trente ans après,  encore responsables et justiciables de leurs actes professionnels, je me demande pourquoi des médecins responsables de meurtres délibérés ne le seraient pas ?

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