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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 10:45

 

Des choses cachées depuis la Fondation de l'Espace Éthique

de l'A.P. - H.P..

 

°°°

 

 

 

 

a - "Alex Zeimer " (c'est évidemment un pseudonyme) était sorti vivant de l' Hôpital des Incurables.

 

 Des infirmières s'étaient aperçues qu'il ne l'était pas (incurable), qu'il ne souffrait nullement d'une DTA, comme le prétendait leur Chef de Service 1.

  

L'embrouille était machiavélique; cétait miracle qu'il s'en soit sorti vivant. D'autres n'ont pas eu cette "chance", si on peut vraiment parler de chance dans de telles circonstances.

 

 

Comprenant que le déclarer atteient d'une DTA (c'està dire d'une Démernce de type Alzheimer) n'était qu'un prétexte pour le laisser pour compte, les infirmières voulurent contrer l'ordre qui leur avait été donné de secrètement faire semblant d'administrer au malade le traitement qu'il lui fallait.

 

 

Comme il se trouvait que son fils était médecin, l'une d'elles l'avait invité, peu avant que le malade ne plonge dans le coma et qu’il ne décède, tant il était en piteux état, à venir vérifier sur le cahier de prescription ce qui leur avait été demander d'administrer au malade.

 

 

C'est ainsi qu'il lui avait été possible de le mettre lui-même en route en urgence, au risque que le malade conserve un gros handicap intellectuel, le traitement des syndromes neuro-anémiques ne souffrant aucun retard 2 .

 

 

b - L'affaire paraît incroyable si on n'en connaît pas les soubassements 3.

 

 

Monter en secret des embrouilles meurtrières en milieu hospitalier est relativement facile. C'est le type même du meurtre parfait. Il sont généralement indétectables. Lorsqu'elles ratent, les prouver et exposer clairement la complexité des manipulations destinées fourvoyer leur lecture est une autre paire de manches 4 .

 

 

Après qu'elle a raté sont venues les sur-embrouilles hospitalières et ordinales A près qu'elle a ratée sont venues les sur-embrouilles hospitalières visant à enrayer l'enquête d'un parquet de toute façon complice en tant que voiture-balai d'un pouvoir ministériel impliqué dans l'affaire du sang contaminé. Un parquet qui avait demandé à Maître Annick Dorsner-Dolivet que l'affaire « ne soit pas ébruitée », en échange de quoi il allait faire semblant de l'instruire.

 

 

c - De son côté, l'Ordre des médecins avait obtenu de la justice qu'elle persécute le Dr. Daniel Fouchard en contre-feu de ses persécutions à l'encontre du Dr. Catherine Bonnet. Ces persécutions n'ont pas été sans effet sur Maître Régine de la Morinerie puisque celle-ci les a invoquées pour justifier sa trahison. C’était d’ailleurs leur fonction, puisque sitôt l’effet obtenu, le Dr. Bonnet fut réhabilitée par l’Ordre et reçut en dédommagement la Légion d’Honneur.

 

d - L'affaire du sang contaminé a donné lieu à des informations biaisées : après que des sangs provenant d'un grand nombre de donneurs à risque furent mélangés et utilisés, des milliers de flacons contaminés ont infecté autant de receveurs, dont notre malade, soi-disant atteint de DTA, raison pour laquelle il avait été laissé sans vrai traitement.

 

 

Il avait en avril 1984 bénéficié de la mise en place d'une prothèse de hanche à Saint-Louis, c'est à dire à une époque où quantité de malades ont été contaminés par ces flacons. Pour que ces opérés ne risquent pas, en développant un sida-maladie patent, de se retourner contre l'Assistance Publique, contre le C.N.T.S. ou les Ministres chargés de la Recherche, de l’Industrie et de la Santé, des directives avaient circulées qu’ils valait mieux faire en sorte qu'ils ne survivent pas lorsqu'on avait la chance  qu'une maladie mortelle entre-temps s’abattait sur eux. C’était le cas des malades atteints de l’anémie de Biermer, cette maladie étant d'autant plus fréquente que le VIH en favorise l’éclosion

5

.

 

e - Dans cette affaire, trouvant que le centième des fautes qui avaient été commises méritait un procès, un neurologue de la Fédération Française de Neurologie, avait dans son indignation, voulu les dénoncer à la presse, jusqu'à ce qu'il apprenne que le malade était passé par Clinique de l'Haÿ-les-Roses. Quand il l'apprit, cette volonté d'un seul coup s'évanouit.

f - En avril 201, le fils eut fortuitement la confirmation de ce que la Clinique Elmelik servait à débarrasser les Services hospitaliers des malades indésirables quand j'ai rencontré à Rennes un ancien membre de l'équipe du Pr. Pierre Huguenard 6. Sans que je ne lui parle de cette Clinique, il m’avait au cours d’une discussion parlé du rôle qu’elle remplissait.

g - Cet aspect du problème rend compte de la réaction qui fut celle du Pr. Huguenard lorsqu'il lui a parlé de cette affaire à la Société Française de Médecine. Il rend aussi compte de la réaction qui fut celle du Dr. Michel Serdaru comme du fait que le Chef du Service de Christine Malèvre ne fut nullement inquiété par la justice. En effet, lorsqu'il n'était encore qu'Interne, les neurologues du Service du Pr. Saïd l'avaient chargé d'obtenir du Dr. Beinis que son Service joue à son insu le rôle habituellement dévolu à la Clinique Elmelik. S'il avait été inculpé, il aurait été très désagréable pour la Justice comme pour l'Assistance Publique et le C.N.T.S. de l'entendre, dans sa défense, déballer ce qui s'était ourdi à Bicêtre à l'encontre de monsieut Alex Zeimer. Au CHU de Mantes-la-Jolie, Christine Malèvre avait, sans attendre son feu vert, fait des « euthanasies » à tour de bras sans comprendre que seuls étaient à éliminer les malades qui, comme monsieur Zeimer, avaient été transfusés avec des lots contaminés.

 

 

Dr. Zeimersson, M.D., le 21 mars 2011

 

Texte repris d’une réflexion adressée l’an dernier au journal

la Croix

au sujet de l’euthanasie

 

Notes

1 Ce Chef de Service (Unité de Soins Normalisés de l’Hôpital Charles-Foix, ex Hôpital des Incurables) m'a tout dernièrement confié qu'il n'avait fait qu'appliquer les consignes qui lui avaient été dictées par les neurologues du Service de neurologie de l‘Hôpital Bicêtre. Leur Service étant rattaché l'INSERM, il n'avait pas douté de la pertinence de leurs consignes thérapeutiques. Leur autorité avait prévalue par rapport à la mienne. Il ne se sentait par conséquent pas responsable de ce que leur diagnostic et leur consignes thérapeutiques aient été erronés. Quant à l'injonction qu'il m'avait faite le jour où il reçut son paTient de ne pas revenir le voir avant deux semaines, il prétendit qu’il la formulait à toutes les familles chaque fois qu'un nouveau malade lui était adressé, mais qu’il ne m’avait en fait nullement empêché de revenir avant. De fait, il ne m’en avait pas empêché, mais je doute que ce soit sur le ton péremptoire avec lequel il m’avait formulé cette consigne qu‘il s‘adressait à toutes les familles..

2 Après cinq semaines d’une simulation. Cf. à « génocides » ce qui s'est passé autour du 12 septembre 1990.

3 Il est en France très difficile et même impossible pour un médecin de révéler les crimes perpétrés en milieux hospitaliers sans qu'il ne se voit ipso facto menacé de représailles ordinales ou de plaintes pour diffamation, quand ce n'est .pour antisémitisme, comme cela a été le cas dans cette affaire. J'ai été directement menacé de représailles ordinales par le Dr. Bodenan °°° parce que je n’avais pas empêché mon père de porter plainte contre ses agresseurs. De son côté, animée par Michel Barrau, la justice s'est dans le prononcé de son non-lieu sans vergogne moqué de notre sauvetage alors qu'elle avait été informé de ce qui s’était passé par la contre-expertise du Dr. Yves Dano, qui, nonobstant ses conclusions, en a fait état en décrivant plus exactement les événements que ne l'avait fait le Dr. François Chedru avant que le patient ne passe '' à la casserole ‘’(l‘expression est empruntée à Maître Cartherine Scotto-Derouet, qui m‘avait rapporté ce qu‘elle avait appris sur la Clinique Elmelik après qu’elle est allée consulter le bureau d‘ordre pénal). A la lecture des 44 pages du Rapport Dano j'ai en novembre 1997 appris qu’avant de le massacrer, pour l’attirer dans leur guet-apens, les médecins de la Clinique Elmelik lui offraient des consultations gratuites.

4 Comment, pour un médecin, rapporter les assassinats dont certains Services de l'A.P.- H.P. se rendent secrètement coupables  et révéler que les promoteurs de « Espace-Éthique de l’A.P. - H.P. » sont ceux qui sont à l'origine de tels agissements sans risquer de passer pour un traître auprès de ses pairs ? Mis en place par le Pr. Gérard Saïd, cet ‘’Espace’’ est un rideau de fumées. Présidé par Emmanuel Hirst (à quel titre ? Il n'est pas médecin) qui trouve là grâce à son acolyte un fabuleux fromage.

5 Vitamin B 12 Defiency and Nervous Disease in HIV Infection. Archives of Neurology Vol 50 N° 8, août 1993. La parution de cet article était peut-être ce qui avait fait dire au Pr.Saïd que cette Revue était "très mauvaise" (au point où il la fit interdire de parution à la Bibliothèque de son CHU ).

Le Dr. Serdaru avait voulu passer outre l’omertà et dénoncer à la presse ce qui s’était passé avant qu'il comprenne de quoi il retournait en apprenant que des médecins de la Clinique Elmelik étaient en cause.

6 Le Dr. Catherine Bonnet a été cassée au moment même où maître Régine de la Morinerie, avec qui elle travaillait au sein de la fondation Danan, devait faire appel devant la justice du scandaleux non-lieu réclamé par Michel Barrau. Impressionnée par les sanctions ordinales qui s'abattaient à ce moment-là sur le Dr. Bonnet, elle en « oublia » de faire appel de ce non-lieu. Pour comprendre la fonction de ces sanctions ordinales, se reporter sur ce blog à « génocides ».

La Clinique Elmelik a été revendue en 1995. Elle appartient désormais au groupe Clinéa. Elle a été entièrement refaite et est positionnée sur le même créneau.

Ancien médecin-directeur et fondateur du SAMU en Île-de-France, le Pr. Huguenard en savait long sur les Elmelik et leur Clinique. Il avait eu maille à partir avec l'Ordre et l'institution hospitalière. L'Ordre n'avait pas hésité à lui infliger un blâme pour non respect de confraternité dans une de ses expertises. Il avait critiqué la conduite d'une anesthésie au cours de laquelle un adolescent, dans une opération bénigne, était décédé.

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