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25 novembre 2014 2 25 /11 /novembre /2014 18:41

 Pour ne pas avoir à payer des dommages et intérêts aux victimes d'erreurs ou de fautes médicales commises dans les hôpitaux de l'Assistance Publique, l'Administration et les Chefs de Services sont capables des pires ignominies : cf. l'affaire improprement désignée  "l'affaire Malèvre".

Cette accusée - les journaux n'ont pas voulu ou n'ont pas cherché à en savoir plus sur l'affaire - n'était que l'exécutante trop zélée de son beau Chef de Service, de qui elle voulait se faire remarquer et apprécier. Elle en était manifestement éprise? Cf. "Mes aveux"  (aux éditions Fixo). 

Les hôpitaux de l'AP - HP sont leurs propres assureurs (Cf sur le Web les écrits du Dr. Patrice Bodenan, "Problèmes éthiques posés par les commissions de conciliation" )

Ils ont de ce fait recours à des méthodes illicites, à la limite de ce qui relèvent de l'escroquerie en bande organisée.


Les assassinats commis par Christine Malèvre n'auraient jamais été révélés et auraient perdurés si le Dr. Laurence Kouyoumdjian n'avait pas donné l'alerte.


Ama connaissance, le Dr. Kouyoumdjian ne fut nullement félicitée ni décorée et encore moins récompensée pour avoir mis fin à la série de ses assassinats, bien au contraire, elle fut priée d'aller exercer ses talents ailleurs.

 
Ces assassinats ont comme par hasard succédé aux énormes fautes médicales commises en 1990 par les neurologues du CHU de Bicêtre, dont le futur patron de Christine Malèvre !


Les neurologues du CHU Bicêtre avaient très curieusement (ou TR7S criminellement ?) refusé d'administrer à un malade souffrant d'une très sévère carence vitaminique B12  alors que cette carence menait  manifestement à court terme le malade à la mort, caractérisée qu'elle était par un tableau neurologique de "sclérose combinée" et des signes digestifs évidents (une glossite de Hunter, signe pathognomique d'une carence vitaminique B12 sévère).

Le malade aurait rapidement succombé à cette carence si une infirmière Surveillante , apprenant que j'étais médecin, dans son refus de collaborer à la mise à mort d'un malade, m'avait prévenu que le Chef du Service USN de l'hôpital Charles-Foix où il avait été transféré pour y finir ses jours obéissait aux ordres des neurologues de Bicêtre, c'est-à-dire qu'il avait demandé à ses infirmières de faire semblant d'appliquer le traitement nécessaire au rétablissement du malade.

En me le faisant savoir, une de ses infirmières m'avait permis de le démarer, quoique avec un retard d'au moins cinq semaines pour une maladie qui est reconnue pour être une urgence médicale.


Le traitement vitaminique B12 nécessaire au rétablissement du malade, qui ne coûtait guère plus que le prix de deux paquets de Gauloises bleues, n'avait pas été administré pour X raisons, toutes plus absurdes les unes que les autres.

De nombreux  articles du site web http://www.genocides.over-blog , en particulier l'article n° 108281777 html, mis en ligne le 18 juillet 2012, et adressé par voie postale à divers journaux, dont le Figaro et la Croix, qui se sont gardé de le publier, traitent de cette affaire. 

N.B Mon père avait porté plainte après qu'il a, à la surprise générale, pu récupérer ses facultés intellectuelles. Une infirmière m'avait permis d'intervenir pour le secourir en me prévenant au dernier moment que le patron de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix, où l'avaient fait transférer les neurologues de l'hôpital Bicêtre, avait ordonné de ne faire devant moi que semblant de lui administrer le traitement nécessaire à sa survie - son patron n'avait en cela fait que suivre la consigne des neurologues du Service de neurologie du CHU de Bicêtre. Mon père avait ainsi été mesure de porter plainte contre les médecins de la Clinique Elmelik. Ceux-ci avaient non seulement profité de son affaiblissement intellectuel dû à la maladie pour tenter de l'escroquer financièrement, mais lui avaient aussi subrepticement infligé une opération aussi illicite que dangereuse. Mon père avait déjà failli y laisser sa peau, ce qui l'avait amené à être hospitalisé d'urgence au CHU de Bicêtre. Pour des raisons inavouables (elle servait à ce à quoi servira quelques années plus tard le Service de pneumologie du CHU de Mantes la Jolie), ladite Clinique était "protégée en hauts lieux", c'est-à-dire par l'Ordre des médecins et par le Parquet. J'ai n'ai appris pourquoi que par la suite, fortuitement le 15 avril 2010) je l'ai exposé sur le Web (en partie sur le site n° 108281777 html mis en ligne le 18 juillet 2012). En conclusion, il est  apparemment moins dangereux de dénoncer les travers de la RPC  que ceux de l'AP - HP.. Mon intervention a tout de même fini par conduire à l'importante découverte du syndrome NDB12P, mais ce faisant m'a ruiné.                                                                                                                Dr. Cretien   

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commentaires

C
Bonjour,Je m'appelle Cécile, j'ai 18 ans. J'ai été diagnostiquée ted (trouble envahissant du développement) à l'age de 3 ans. Mon soucis est que j'aimerais avoir un petit amis,mais je n'y arrive pas pourtant je ne suis pas moche. Quand je suis en contact avec un garçon,au début ça accroche ensuite on se voit;et pour finir il n'y a plus rien entre nous pas de suite après notre premier rdv. Je le fais fuir,je ne comprend pas pourquoi car je n'ai rien fais de mal ... et je voulais savoir pourquoi j'ai tout le temps des échecs amoureux comment vous avez fais pour en mettre un terme à sa, racontez moi vos expériences,vos conseils. Merci.
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L
Bonjour Cécile. Maintenant que vous avez 21 ans, peut-être 22, vous avez peut-être depuis pu trouver un garçon à qui vous plaisez et qui vous plaise. Je ne savais pas trop comment répondre à votre question, et ne le sais toujours pas, faute de plus de précisions.