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6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 16:51
Une tentative d'assassinat a été déguisée en "erreur" de diagnostic --> classée non-lieu par le parquet.
Seule explication possible : conflit d'intérêts et raison d'Etat
Résumé : Le malade avait grâce aux signalement d'une infimière pu sortir vivant de l'hôpital où ses médecins l'avaient envoyé mourir.  
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Pour justifier la réforme de la Justice qu'il proposait, le président Nicolas Sarkozy avait fait valoir qu'Internet interdisait désormais que les affaires criminelles ou scandaleuses soient étouffées par une justice au ordres du politique, en oubliant de préciser que ne pas pouvoir étouffer de telles affaires n'est pas pour autant synonyme de rendre la justice.
Je me suis autorisé de ses déclarations pour mettre sur la place publique, via Internet, une affaire aussi scandaleuse que criminelle, que les instances de la haute administration et des politiques s'étaient employés à occulter par des moyens aussi illicites que tortueux. Leurs embrouilles ont fait qu'il y eut affaires dans l'affaire, des affaires qui à leur tour compliquèrent et firent perdre de vue l'embrouille initiale, diluant au passage, en les multipliant, les responsabilités.
Nous y avons dès le début été confrontés à l'occasion des hospitalisations que mon mon père a dû subir au cours de l'été 1990. Ces hospîtalisations ont posé et continuent de nous poser de lourds problèmes moraux et financiers, car si tramer des embrouilles mortelles pour la sauvegarde d'intérêts particuliers est à la portée d'un collectif détenteur de pouvoirs médicaux et politico-administratifs, être en mesure de les détricoter l'est beaucoup moins pour les victimes, surtout quand elles ont été vunérabilisées au moment des faits, puis sur-vulnérabilisées du fait que l'embrouille a été sur-maquillée après qu'elle a à moitié échouée, et a causé de lourds dégats physiologiques.
 De telles affaires reflètent les coûteux dysfonctionnements de notre société, qui se font aux détriments des plus vulnérables aux profits d'une minorité fortunée.
Quand, en novembre 1993, l'affaire fut confiée à Maître Annick Dorsnert-Dolivet, je ne savais si bien dire en lui faisant remarquer que << si les médecins qui avaient eu mon père en charge avaient voulu le tuer sans que cela n'apparaisse, ils ne s'y seraient pas pris autrement >>.
Mon père avait effectivement failli perdre la vie entre leurs mains. Ce n'est que parce que je suis médecin, mais aussi parce qu'une infirmière de l'hôpital Charles-Foix m'avait demandé de venir vérifier que le traitement qu'il suivait était un faux traitement qu'il avait pu se sortir vivant du piège où il était tomber. Aussi incroyable que cela puisse paraître, mon père avait fini par tomber dans un véritable traquenard après s'être une première fois laissé piéger par un pseudo chirurgien de la Clinique Elmelik : pour brouiller les pistes, et pour que leur malade ne décède pas dans leur propre Service, les neurologues de l'hôpital Bicêtre (Service du Pr. Gérard Saïd) l'avaient fait transférer dans l'USN ("Unité de Soins Normalisés") gériatique du Dr. Jean-Yves Beinis. Deux courts compte-rendus contradictoires, l'un dactylographié, l'autre manuscrit, et la recommandation de suivre une autre thérapeuthique que celle qui avait été premièrement commencée au vu du diagnostic fait aux urgences de Bicêtre accompagnaient ce transfert, alors que ce changement d'axe était inéluctablement mortel à brève échéance.
Ces compte-rendus avaient été rédigés pour induire, sans qu'il n'y paraisse, le Dr. Beinis en erreur. Le Ainsi dérouté, le Dr. Beinis prit ce qui y était écrit pour du bon pain. Ce qui faisait de lui un complice inconscient de l'être. Il fallait en effet être bien au fait des tenants et aboutissants de la question pour en décrypter le caractère mensonger. de ces compte-, que l'on peut vraiment les qualifier d'infernal. L'art d'endormir le lecteur y est subtilement mené. Une bonne connaissance du sujet et analyse serrée est nécessaire. J'ai reproduit ce court compte-rendu sur Internet, mais son analyse est bien plus longue à faire : Cf. celui-ci par ailleurs exposé et commenté.
A l'époque, les neurologues qui s'occupaient de mon père avaient fait valoir au Dr. Beinis comme à moi-même que son état << ne pouvait aller que vers une inéluctable aggravation >> (sic) ; qu'il fallait donc que nous préparions au pire. En réalité les neurologues de Bicêtre voulaient éviter que sa guérison puisse d'une part mettre en péril l'existence de la Clinique Elmelik, qui servait aux hôpitaux de la région à l'élimination des malades embarrassants.
L'enjeu était de l'empêcher suivre son intention d'intenter un procès à l'encontre des médecins de la Clinique Elmelik, et que cette procédure non seulement en vienne à révèler qu'il avait été infecté six ans auparavant, en avril 1984, par le VIH lors de la mise en place d'une prothèse de hanche parce que l'intervention avait nécessité un complément transfusionnel, mais que la dite Clinique servait de dépotoire aux Service hospitaliers qui avaient à se débarrasser de tels malades. Ce qui faisait qu'à défaut d'avoir une bonne réputation sur le plan thérapeutique, celle-ci était très utile, et de ce fait jouissait de "hautes protections", comme le déplorait la Police au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses (ce cas n'étant vraisemblablement qu'un cas parmi d'autres restés méconnus, pour plus d'informations sur le sujet Cf. 73331815 html et les autres articles du blog à ce sujet).
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