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3 décembre 2011 6 03 /12 /décembre /2011 15:03

  Pour justifier la suppression du juge d'instruction, le président Nicolas Sarkozy a fait valoir qu'Internet interdisait désormais que les affaires soient étouffées par les pouvoirs politiques.  

Je m'autorise donc de ses déclarations pour mettre, via Internet, sur la place publique une affaire criminelle que les instances de la haute administration et les pouvoirs politiques eux-mêmes s'étaient employés, par des moyens illicites, à occulter, qui font qu'il a affaires dans l'affaire.
Celles-ci sont relatives à l'exécution discrète d'une catégorie spécifique de malades lors de leur réhospitalisation.  
Ces exécutions ont été accidentellement et exceptionnellement révélées au CHU de Mantes-la-Jolie après une dénonciation du Dr. Laurence Kouyoumdjian, cependant que le Dr. Olivier Ille  gardait le silence   (voir l'article de Libération du 7 octobre 2003  de Brigitte Vital-Durand).  --->  << Laurence Kouyoumdjian exerce aujourd'hui à Troyes. Elle a quitté le service de l'hôpital de Mantes-la-Jolie en 2000, «suite à l'affaire» : «Ça a fini de pourrir la situation, l'institution m'a signifié qu'il valait mieux que je parte.». >>
Nombreux sont les assassinats commis discrètement pour les mêmes motifs.  Ils sont par définition impossible à comptabiliser.  
Mon père avait fait partie du lot promis à la disparition du temps où il était entre les mains du même Olivier Ille. Celui-ci était alors, au nom de son équipe de Bicêtre, le prescripteur du traitement qui lui aurait été fatal si une jeune infirmère - qui avait probablement été déléguée par la Surveillante du Service, madame Pondu, ne m'avait invité à venir contrôler le faux traitement qu'elle était en train d'administrer au malade : le traitement qu'il avait prescrit dans sa lettre manuscrite  et dans le compte-rendu d'hospitalisation  adressés au Dr. Beinis n'était pas fait pour rétablir le malade, mais pour le laisser mourir de lui-même de sa maladie. Il la savait inéluctablement  mortelle sans son traitement spécifique. Elle avait été correstement  diagnostiquée à son admission au CHU de Bicêtre.  Le traitement nécessaire à sa guérison non seulement ne lui fut  pas administré, mais les neurologues firent semblant de le lui faire administrer  (Cf. sur 69970222 html "Complications psychiatriques des carences cobalaminiques", le CR savamment bidonné rédigé un mois après le transfert du malade à l'hôpital Charles-Foix, c'est-à-dire après qu'il s'en soit malgré tout sorti vivant grâce au signalement d'une infirmière venu me prévenir que seulement un semblant de traitement était administré au malade --->> voir aussi l'article 108281777 html  ). 
La Surveillante du Service Beinis avait  comme moi et les médecins du Services des urgences de Bicêtre, eu l'occasion de faire le bon diagnostic. Le malade présentait une glossite caractéristique de l'avitaminose B 12,  la GLOSSITE DE HUNTER. Madame Pondu avait du fait de l'existence de  cette glossite d'elle-même compris que le faux  traitement ordonné par son Chef de Service, qui relayait celui secrètement recommandé par le sudit Olivier Ille, conduisait rapidement le malade à la mort, alors que  le diagnostic, cliniquement évident, qui commandait une vraie vitaminothérapie B12, était facile à faire. Ce qui nous permit de le corriger in extremis alors que le malade avait plongé dans le coma, c'est-à-dire alors qu'il était en train de mourir.   
L'affection de mon père était une neuro-anémie caractérisée,  et le diagnostic en avait été fait dès l'admission du malade aux urgences de Bicêtre. Il fut  authentifié par le test de Schilling, qui était à 5 %, et non pas à 35 %, comme on avait voulu me le faire croire, en falsifiant ses résultats, pour donner prétexte à ne pas adminstrer le traitement salvateur.  
Ce raté mit le Service responsable de cette mortelle prescrpition en émois, qui dès lors mit tout en oeuvre pour le masquer.   
Cette avitaminose était rapidement  mortelle au stade où le malade en était arrivé àson admission, et d'urgence était l'administration d'un vrai traitement cobalaminique, et non pas un semblant rapidement mortel.
Or c'est au Chef du Service responsable de ces énormités que l'Assistance Publique a confié la mise en place de "Espace Ethique de l'Assistance Publique", d'abord à Bicêtre, puis à l'hôpital  Saint-Louis, chaire d'enseignement confiée à son ami Emmanuel Hirsch, qui n'est pas un médecin, mais un philosophe.  
Demandez-vous pourquoi !?  
Pour une analyse chronologique de cette affaire Cf. 73331815 html sur les maltraitances hospitalières faites à l'encontre des malades âgés et/ou vulnérarables. Et aussi les autres articles de ce blog.

 

 

 

 

 

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