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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 18:12

L'hebdomadaire  Le Point daté du 25 avril 2013 titre «  Les Français sont-ils paresseux ? »  alors qu’il aurait dû titrer « Les élites françaises sont-elles tricheuses, corruptrices et corrompues ? .»

 

Il fallait bien prendre le contre-pied de son concurrent "de gauche", Marianne, qui s'était douze jours plus tôt taillé un succès (? je présume) en titrant "Les Français sont formidables" (caresser dans le sens du poil est aussi vendeur).

 

Mais cet hébdo avait aussi titré "Délinquence fiscale DES NOMS !"  si bien qu'il est difficile de savoir lequel des deux avait été porteur.

 

Les Français ont en Suède,  pays de mon enfance, la réputation  d'être arrogants et de grands manipulateurs. Cette tenace réputation a fait que les actionnaires de Volvo avaient, par peur de se faire gruger, rejeté la fusion de Volvo avec Renault, fusion voulue par les PDG respectifs de Volvo et de Renault (d'après ne discussion que j'ai eu en Suède).

 

Mettre tout un peuple, si peuple il y a, dans un même sac, est en soi paraonïaque.

 

 

§ - Je crois plutôt que les Français sont désabusés. Il m’avait p. ex. fallu intervenir in extremis pour mettre en route le traitement que mon père ne recevait pas alors qu'il était censé le recevoir de ses médecins, des neurologues labellisés INSERM.  Leur malade avait plongé dans le coma, victime d’une évidente neuro-anémie de Biermer, une maladie non seulement fréquente et  douloureuse mais inéluctablement mortelle sans son traitement spécifique, qui consiste à administrer le plus tôt possible la vitamine  B12 parentérale de façon prolongée sur des mois à forte dose. Les neurologues n’avaient fait que semblant de lui administrer ce traitement sous prétexte qu’il était "de toute façon inéluctablement voué à un rapide dégradation", selon ce qu'en a dit l'expert judiciaire dans son rapport d'expertise, minimisant au maximum leur soi-disant "erreur", un argument qui est passé comme une lettre à la poste, avalisé par le parquet. Celui-ci en avait profité pour se payer ma tête parce que j'avais dans mon témoignage parlé d'une intervention chirurgicale "intempestive" à propos de la double opération orthopédique que le rhumatologue de la Clinique Elmelik avait réalisée le 25 mai 1990 pour remédier aux troubles de la marche d'origine neurologiques que présentait mon père à cette époque, des troubles qui étaient déjà à mettre sur le compte de la neuro-anémie de Biermer qu'il l'avait conduit à développer parallèllement un délire de Capgras, aussi appelé délire des sosies.  Ce délire est très fréquemment associé à la maladie d Biermer, un délire qui faisait dire à mon père que je n'étais pas son vrai fils, et que j'en voulais à sa vie en  cherchant à l'empêcher de se soigner du cancer des os de la hanche qu'il croyait avoir développé à partir de la prothèse de hanche qui lui avait été placée en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis. A force de tomber à cause des troubles de la sensibilité proprioceptive occasionnés par sa maladie, il avait fini par la desceller, et celle-ci lui occsionnait des douleurs, qu'il avait dans son délire, lui aussi occasionné par la maladie, interprétées comme dues à un cancer des os !

 

J'avais en vain réclamé lors de son hospitalisation à Bicêtre qu'il soit vu par un psychiatre, le Service de psychiatrie de Bicêtre, alors tenu par le Pr. Féline,  étant situé à l'étage surplombant celui de neurologie. J'avais aussi demandé avant qu'il ne soit  hospitalisé à Bicêtre à ce qu'il soit vu à Paul Brousse dans le Service du Pr. D. Gynestet (voir l'historique des faits site 73341815 html, texte rédigé en juin 2009 avant que j'ai récupéré l'information, de la part d'un membre du SAMU du 94, de ce pourquoi la Clinique de l 'Haÿ-les-Roses appartenant aux Drs. Elmelik  jouissait de protection spéciales). 

 

Après son sauvetage  du 12 septembre 1990, après que mon père a récupéré des facultés mentales mentales plus normales grâce à la vitaminothérapie B12 et a pu porter  plainte le 17 décembre 1990, devant le procureur du TGI de Créteil, les ennuis pour moi ont commencés : il m'avait  non seulement fallu parer aux lourdes séquelles motrices que le faux traitement administré avait entraînées, mais faire face aux menaces de représailles de Conseillers ordinaux au service des médecins propiétaires de la Clinique Elmelik et aux moqueries d'un parquet  au service du CNTS (voir Anne-Marie Casteret.  L‘affaire du sang. Ed. La Découverte, 1992.) .   

 

C’est que le pseudo traitement mortel qui lui avait été infligé était non la conséquence d’une véritable erreur, mais d’une erreur simulée en rapport avec l’affaire du sang contaminé, mon père ayant été transfusé en avril 1984 avec du sang infecté alors qu’il était hospitalisé à l’hôpital Saint-Louis pour la mise en place d’une prothèse de hanche.  

 

- § A l'heure où j'écris ces lignes (21 mai 2013 ) j'écoute Culturesmonde sur France-Culture. L'émission est consacrée à la psychiatrie soviétique, qui avait inventé l'internement psychiatrique des intellectuels dissidents sous prétexte de schizophrénie torpide. A en juger leur attitude après qu'ils se sont lourdement trompés dans le traitement qu'ils faisaient administrer à mon père. Mon père serait cerainement  mort dans la nuit du 12 au 13 septembre 1990 ou aurait été irrécupérable si une infirmière ne m’avait pas demandé de venir vérifier le cahier de prescription. C’est ainsi que j'avais pu vp suis aperçu qu’il ne recevait pas le traitement qu’ils lui fallait) les neurologues de Bicêtre ont sollicité l’Ordre pour qu’il use de son pouvoir et me colle ce type de diagnostic afin de discréditer mon témoignage. Mon père avait en effet été en mesure de porter plainte deux mois après s‘en être sorti. (Cf. site Google 73331815 html chap. IV) ainsi qu’en témoigne la date à laquelle sa plainte a été réceptionnée. Le Conseiller-rapporteur Patrice Bodenan°°° avait adressé au Conseil disciplinaire une lettre stipulant que j‘étais paranoïaque (voir cette lettre sur le site Google 69970222 html ). Outre que Bodenan usurpait le titre de réanimateur, et implicitement celui de psychiatre alors qu‘il n’était qu’anesthésiste (le Pr. Pierre Huguenard lui avait refusé le titre de réanimateur pour ne lui accorder après repêchage que celui d’anesthésiste). Bodenan°°° avait ostensiblement fait valoir auprès de l’Ordre qu’il était franc-maçon. Il était affublé du titre ronflant de Responsable du bureau de presse de l'Ordre du Val-de-Marne. Ce pseudo délégué-rapporteur sera en récompense de son entrave à l’action judiciaire plus tard promu Président du Conseil disciplinaire de l’Ordre régional en Île-de-France au lieu d'être sanctionné pour intervention et entrave à la justice au bénéfice des fautifs.. << Le ver est dans le fruit >> m’avait averti le Dr. Claude Poulain alors Secrétaire général de l’Ordre du Val-de-Marne en me parlant du Dr. Jean Pouillard, qui avait à nommé à faux son acolyte Bodenan °°° rapporteur de l‘Ordre.

  

 

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