Aux micros de France-Info, le 27 juin dernier, madame Elisabeth Guigou à émis l'idée que réduire le chômage nécessitait de << créer de l'investissement dans les secteurs qui vont fabriquer des emplois dans les secteurs d'avenir. Quand la croissance est basse, alors il faut que les équilibres budgétaires n'étouffent pas cette faible croissance /... /. La responsabilité est maintenant clairement dans le camp des employeurs >>.
Les responsables politiques n'ont jusqu'à maintenant apparemment pas osé me croire quand je leur ai fait savoir qu’il était possible de compter sur les capacités d'une innovation technologique pour que la France dispose d'une source d'énergie aussi abondante qu'inépuisable, écologique et bon marché.
Il s'agit du STSMC ou à défaut sur celles, techniquement plus simples, et donc plus rapidement opérationnelles, du STSMI.
Ces deux innovations techniques sont à elles seules à même de fournir à la France comme à tous les pays qui bénéficie d'importants marnages, à bien moindre coût que le nucléaire et les énergies fossiles, toute l’énergie nécessaire à leurs industries énergivores, et cela dans des conditions les plus écologiques qui soient, puisque c'est partir de la récupération de l'énergie potentielle des marnages.
En tant que médecin, je m'étais heurté en 1990 à un scepticisme mal fondé concernant une hypothèse qui me paraissait très vraisemblable, pour ne pas dire évidente. Il m’avait alors été très difficile – il m'avait en fait été impossible - de surmonter le dogmatisme des neurologues pour les convaincre que les données chiffrées d'un test de Schilling déclarées "normales" et d'une cobalaminémie dans les limites (basses) de la normale ne suffisaient pas à éliminer le diagnostic de maladie de Biermer, c'est-à-dire en fait le diagnostic de carence cobalaminique, ceci afin d'en appliquer le traitement, en l'occurrence fort simple et très peu coûteux, pour sauver la vie d'un malade atteint d'un mal qu'ils n'avaient dans leurs conclusions pas su qualifier autrement que comme s'agissant d' "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic, cf. le CR d'hospitalisation rapporter sur la Toile aux sites ci-après indiqués).
Puisqu'ils étaient neurologues, ils étaient restés convaincus qu'ils étaient mieux placé que moi pour savoir ce qu'il en était et quoi faire de leur malade. Malheureusement pour mon père (le malade était mon père), et pour moi-même, par ricochet, le Conseil de l'Ordre des médecins s'étant mêlé de leurs erreurs afin de me décrédibiliser auprès d'un appareil judiciaire apparemment plus soucieux de l'ordre public que de l'administration de la justice proprement dite (le parquet de Créteil recommanda à Me Annick Dorsner-Dolivet, de "ne pas ébruiter cette affaire" (Me A. D-D était l'avocate de mon père. Elle est devenue la notre après le décès de mon père, survenu inopinément le 2 octobre 1994,).
Puisque je ne suis pas ingénieur, il risque a fortiori d'en être de même pour ce qui est des capacités STSMC et du STSMI. Les technolologies sont l'affaire des ingénieurs, et non pas l'affaire d’un médecin, dira-t-on.
C'est oublier que les spécialistes n'ont pas toujours à l'esprit qu'il est possible d'emprunter un autre chemin que le leur : Roland Moreno, l’inventeur de la carte à puce, se sortait pas de Supélec. Autodidacte, il n'avait pas trouver à s’employer autrement qu’en faisant des petits boulots (d'après le Nouvel observateur et Rue89 du 29 avril 2012). Louis Pasteur n’était pas médecin, et ce ne sont pas des cardiologues qui ont découvert puis révélé la cardio-toxicité du Médiator*. Irène Frachon est pneumologue.
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Il aura fallu plus de dix années pour que le syndrome de carence B12 avec test de Schilling normal, dont j'avais en 1990 à juste titre postulé l'existence, soit reconnu comme une entité clinique à part entière.
Finalement, en 2003, du fait de l'abandon de la commercialisation du test de Schilling, ce syndrome a pris en France le nom de "syndrome NDB12PP", et sa découverte attribué à d'autres que moi.
Je renvoie à la Presse Médicale du 17 septembre 2008 à l'article intitulé : "syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses ou de maldigestion des cobalamines alimentaires. Un très cureieux chapitre est intitulé "conflits d’intérêts ". Il spécifie qu'il n'y en a eu aucun, comme s'il avait été nécessaire de le dire alors que tout s'était dans les années 1990 passé comme si ... !
Un résumé synthétique de la clinique de ce syndrome a été plus récemment exposé sur le site de l'Association médicale maghrébine FUMED (le 16 novembre 2013).
Mais, "paranoïa" mise à part, quel intérêt avait-on - et aurait-on encore - à ce que ce syndrome ne fasse toujours pas l'objet d'une meilleure médiatisation alors qu'un très grand nombre de personne est concerné, et que son traitement, qui ne coûte presque rien, pourrait les sauver d'une mort prématurée, et parfois atroce ?! Cf. p.ex. ce qu'il a en a été de mon père en 1990 à l'article référencé 69972429 html - "Une nuit vitaminée". ou à l'article précédent "Un malade ressuscité grâce à une vitaminothérapie intensive"
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La démonstration que le "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" correspondait à la réalité, mais la démonstration que mon hypothèse était pertinente a épuisé mes moyens financiers à cause de ... l'intervention de l'Ordre des médecins qui s'était mêlé de couvrir, malgré les preuves tangibles incontestables qu'avec l'aide du Dr Michel Serdaru - neurologue émérite de la Fédération Française de Neurologie - j'avais apportées. L'Ordre des médecins couvrait les scabreuses activités et escroqueries des médecins de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, une Clinique "protégée en hauts lieux" (voir ci-après en notes *).
Quand l'Ordre des médecins a appris que mon père avait porté plainte contre les médecins de cette Clinique, L’Ordre s’était empressé de monter contre moi ce qui chez les frères°°° s'appelle un "chantier" (Cf. ce qu'est un "chantier" d'après la journaliste Sophie Cognard dans un de ses très savants livres sur la franc-maçonnerie).
Un Ordre pédophilocratique que le PS avait prévu et promis de dissoudre en 1981.
Ses "hauts Conseillers" de l'Ordre du Val-de-Marne, que le Conseil national n'a pas désavoué, avaient en effet décidé de me faire "payer" d'une part l'outrecuidance que j’avais eu de ne pas avoir cherché à empêcher mon père, le bénéficiaire de mon intervention thérapeutique, de porter plainte contre ses agresseurs, et d'autre part de l'avoir laissé aux mains des médecins de la Clinique Elmelik, qu'ils savaient pertinemment ne pas être des plus fréquentables. Ses médecins propriétaires étaient "milliardaires" et "protégés en hauts lieux", selon ce que m'en a dit l'inspecteur principal Christian Raeckelboom au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses et certains Confrères apparemment très au courant de ce qu'ils pouvaient "tout se permettre". Cf. sur Internet (à ''Antoine Denis - Pierre Brassart") copie de la lettre manuscrite de remerciements que le principal bénéficiaire de ce chantier a adressé à son zélé souteneur ordinal.
On pourrait au sujet de cette affaire parler de trafic d'influence et d'escroquerie en bande organisée (Voir au site 73331815 html chap. II § 5 ce dont l'Inspecteur principal du Commisariat de l'Haÿ-les-Roses Christian Raeckelboom m'avait averti. Voir aussi le site 108281777 html).
L'Ordre des médecins s'était, via des Conseillers ordinaux réputés "influents au Palais" attaché à protéger les médecins que le rétablissement de mon père risquait de mettre en difficulté vis à vis des Instances judiciaires (Cf. aussi infra en notes *).
Pour en revenir au STSMC et au STSMI, je ne connais pas grand-chose au monde industriel, ce qui fait que je me suis très mal pris pour tenter de faire connaître et rendre crédible les possibilités du STSMC et du STSMI. D’autant que je ne les ai découvertes qu'en juin 2012 après avoir perdu les moyens, depuis que l'Ordre des médecins a chercher à me faire taire, d'une plus grande démonstration matérielle.
Il n'y pas seulement une chance sur cent que ces systèmes permettent à de grandes ou très grandes usines, qu'ils puisent donc délivrer des énergies de l'ordre plusieurs dizaines de térawatts, mais quatre-vingt-dix-neuf chances sur cent qu'ils le soient.
J'ai bien sûr fait connaître au groupe EELV les potentialités du STSMC et du STSMI, mais pas plus Vincent Placé, Cécile Duflot, Delphine Batho, Philippe Martin que madame Geneviève Fioraso n'ont jusqu'à maintenant daigné accuser réception à mes lettres, même après que le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault les y a invités.
Dr. Pierre Cretien
* NB : Le syndrome NDB12PP, resté méconnu jusqu'en 1990, correspond à une entité clinique désormais reconnue comme fréquente. Sa méconnaissance conduisait - et conduit encore - les malades, dans les formes sévères, à ne plus pouvoir marcher et à souffrir d’une douloureuse et effrayante "atteinte diffuse du système nerveux", et finalement à mourir dans des conditions parfois atroces : mon père avait failli mourir dans de telles conditions en 1990. Cf. les articles web n° 69970222, 69972429, 73331815 et 108281777 html, ce dernier, plus court et plus explicite que le précédent, date du 18 juillet 2012, c'est-à-dire d'avant l’époque où je me suis rendu-compte à travers la littérature médicale de ce que ses médecins s'étaient possiblement réellement trompé, quoiqu’ils aient, après qu'ils s'en sont aperçus, aussi transgressé, pour ne pas dire bafoué, sans exception aucune, les 14 articles de la Charte des "droits des patients" maintenant obligatoirement placardée bien en vue dans tous les hôpitaux.
Je m'étais en 1990, et jusque dans les années qui suivirent heurté au dogmatisme, pour ne pas dire au négationnisme et à l'amour propre mal placé de ces neurologues. Ils ne pouvaient concevoir, et encore moins admettre, qu’un médecin qui n'était pas du sérail puisse leur avoir dit à raison de quoi il pouvait s'agir, donc ce qu’il aurait immédiatement fallu faire pour remédier à ce qu'ils avaient dit être une "atteinte diffuse du système nerveux", persuadés (?) qu’ils étaient (?) que cette "atteinte" était consécutive à une encéphalopathie vasculaire (sic) compliquée de la maladie d’Alzheimer (dixit), et peut-être aussi d’une compression tumorale (Mlle Sitruk, l'Assistante du Dr. Jean-Yves Beinis, m’avait parlé d’un "hydrome sous-tentoriel". Je n'invente rien, en témoigne les CRs d'hospitalisation et les notes d'observations, CR rapporté sur la Toile aux sites ci-dessus indiqués.
C'est ainsi qu'ils avaient non seulement refusé ma proposition thérapeutique, mais avaient feint d'y soumettre mon père, jusqu’à ce que la Surveillante de l'USN où les neurologues l’avaient fait transférer (afin qu'il ne vienne pas à décéder dans leur Service ? ) s’aperçoive que j’avais probablement raison contre son Chef de Service. Qu’il n’était donc pas légitime que ses infirmières continuent de me faire croire, comme on le leur avait prescrit, que le traitement que je préconisais était réellement administré. La Survveillante s'était arrangée pour me le faire savoir. Une de ses infirmières m'avait demandé de venir consulter le cahier des prescriptions médicamenteuses. Ce qui me permit de rectifier le traiotement en mettant moi-même in extremis en route ce qu'il aurait depuis le début fallu faire, et ainsi de faire regagner à mon père ses capacités intellectuelles. Après quoi mon père porta plainte contre X devant les tribunaux, non contre les susdits neurologues. Il était dans le coma lorsque je suis intervenu. Il ne voulut pas croire que c’était à moi, et non pas à eux, qu’il devait de s’en être sorti vivant. Il voulait les en récompenser par une donation. C'était contre le pseudo chirurgien qui, dans la Clinique de sa Commune (à l'Haÿ-les-Roses, de bien mauvaise réputation) s’était auparavant empressé de lui faire subrepticement subir une opération orthopédique bilatérale pour soi-disant remédier à une «mauvaise morphostatique» (sic) décretée responsable de ses «troubles de la marche», "troubles" que sa maladie neurologique avait provoqués. Le pseudo chirurgien l'avait en réalité opéré pour réaliser un acte plus rémunérateur que le petit K 20 avec lequel il l’avait fait venir et piégé. Il avait ainsi pu sans crier gare, après l'avoir fait endormir, lui imposé un acte au mieux inutile quoique extrêmement dangereux (et de surcroit expressément interdit et par moi et par le cardiologue de son patient. Il l'avouera d'ailleurs sans vergogne à l'expert, sans que cela ne change quoi que ce soit à la volonté prédéterminée du procureur de requérir un non-lieu au bénéfice des médecins de la Clinique Elmelik, le plus important étant apparemment de ne pas porter atteinte à "l’ordre public". Ce très scandaleux non-lieu a été requis huit ans plus tard par le procureur de Créteil, un non lieu qui rend compte comment des abus envers des patients vulnérables, en particulier des parturientes, ont pu durant des décennies être impunément perpétrés dans cette Clinique. En France, mais hélas pas qu'en France, la pédophilocratie et machisme médical ont souvent, sous l'autorité et la complicité de l'Ordre des médecins, quartier libre. Le phénomène semble culturel.
A l'époque où madame E. Guigou était Garde des Sceaux, lors d'une émission télévisée consacrée à prévention de la pédophilie, il était apparu qu'il ne fallait pas que la lumière soit faite lorsque de hautes personnalités étaient en cause ... Prenant la parole, Elisabeth Guigou avait commencé par dire << Je ne veux pas que ... >> et s'était soudain interrompue ... Que ne voulait-elle pas ?
Le journaliste Serge Garde, auteur de "Le livre de la honte" (aux éditions Le cherche midi) avait comme moi remarqué cette auto-censure.
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