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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 17:15

Aux micros de France-Info, le 27 juin dernier, madame Elisabeth Guigou à émis l'idée que réduire le chômage nécessitait de  << créer de l'investissement dans les secteurs qui vont fabriquer des emplois dans les secteurs d'avenir. Quand la croissance est basse, alors il faut que les équilibres budgétaires n'étouffent pas cette faible croissance   /... /. La responsabilité est maintenant clairement dans le camp des employeurs >>. 

Les responsables politiques n'ont jusqu'à maintenant apparemment pas osé me croire quand je leur ai fait savoir qu’il était possible de compter sur les capacités d'une innovation technologique pour que la France dispose d'une source d'énergie aussi abondante qu'inépuisable, écologique et bon marché.

 

Il s'agit du STSMC ou à défaut sur celles, techniquement plus simples, et donc plus rapidement opérationnelles, du STSMI.

Ces deux innovations techniques sont à elles seules à même de fournir à la France comme à tous les pays qui bénéficie d'importants marnages, à bien moindre coût que le nucléaire et les énergies fossiles, toute l’énergie nécessaire à leurs industries énergivores, et cela dans des conditions les plus écologiques qui soient, puisque c'est partir de la récupération de l'énergie potentielle des marnages. 

En tant que médecin, je m'étais heurté en 1990 à un scepticisme mal fondé concernant une hypothèse qui me paraissait très vraisemblable, pour ne pas dire évidente. Il m’avait alors été très difficile  –  il m'avait en fait été impossible - de surmonter le dogmatisme des neurologues pour les convaincre que les données chiffrées d'un test de Schilling déclarées "normales" et d'une cobalaminémie dans les limites (basses) de la normale ne suffisaient pas à éliminer le diagnostic de maladie de Biermer, c'est-à-dire en fait le diagnostic de carence cobalaminique, ceci afin d'en appliquer le traitement, en l'occurrence fort simple et très peu coûteux, pour sauver la vie d'un malade atteint d'un mal qu'ils n'avaient dans leurs conclusions pas su qualifier autrement que comme s'agissant  d' "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic, cf. le CR d'hospitalisation rapporter sur la Toile aux sites ci-après indiqués). 

 

Puisqu'ils étaient neurologues, ils étaient restés convaincus qu'ils étaient mieux placé que moi pour savoir ce qu'il en était et quoi faire de leur malade. Malheureusement pour mon père (le malade était mon père), et pour moi-même, par ricochet, le Conseil de l'Ordre des médecins s'étant mêlé de leurs erreurs afin de me décrédibiliser auprès d'un appareil judiciaire apparemment plus soucieux de l'ordre public que de l'administration de la justice proprement dite (le parquet de Créteil recommanda à Me Annick Dorsner-Dolivet, de "ne pas ébruiter cette affaire" (Me  A. D-D  était l'avocate de mon père. Elle est devenue la notre après le décès de mon père, survenu inopinément le 2 octobre 1994,).

 

Puisque je ne suis pas ingénieur, il risque a fortiori d'en être de même pour ce qui est des capacités STSMC et du STSMI.  Les technolologies sont l'affaire des ingénieurs, et non pas l'affaire d’un médecin, dira-t-on.

C'est oublier que les spécialistes n'ont pas toujours à l'esprit qu'il est possible d'emprunter un autre chemin que le leur : Roland Moreno, l’inventeur de la carte à puce, se sortait pas de Supélec. Autodidacte,  il n'avait pas trouver à s’employer autrement qu’en faisant des petits boulots (d'après le Nouvel observateur et  Rue89 du 29 avril 2012).  Louis Pasteur n’était pas médecin, et ce ne sont pas des cardiologues qui ont découvert puis révélé la cardio-toxicité du Médiator*.  Irène Frachon est pneumologue.

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Il aura  fallu plus de dix années pour que le syndrome de carence B12  avec test de Schilling normal, dont j'avais en 1990 à juste titre postulé l'existence, soit reconnu comme une entité clinique à part entière.

Finalement, en 2003, du fait de l'abandon de la commercialisation du test de Schilling, ce syndrome a pris en France le nom de "syndrome NDB12PP", et sa découverte attribué à d'autres que moi.

Je renvoie à la Presse Médicale du 17 septembre 2008 à l'article intitulé : "syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses ou de maldigestion des cobalamines alimentaires. Un très cureieux chapitre est intitulé "conflits d’intérêts ". Il spécifie qu'il n'y en a eu aucun, comme s'il avait été nécessaire de le dire alors que tout s'était dans les années 1990 passé comme si ... ! 

  

Un résumé synthétique de la clinique de ce syndrome a été plus récemment exposé sur le site de l'Association médicale maghrébine FUMED (le 16 novembre 2013).

 
Mais, "paranoïa" mise à part, quel intérêt avait-on - et aurait-on encore - à ce que ce syndrome ne fasse toujours pas l'objet d'une meilleure médiatisation alors qu'un très grand nombre de personne est concerné, et que son traitement, qui ne coûte presque rien, pourrait les sauver d'une mort prématurée, et parfois atroce ?!  Cf. p.ex. ce qu'il a en a été de mon père en 1990 à l'article référencé 69972429 html -  "Une nuit vitaminée". ou à l'article  précédent "Un malade ressuscité grâce à une vitaminothérapie intensive

 

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La démonstration que le "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" correspondait à la réalité, mais la démonstration que mon hypothèse était pertinente  a épuisé mes moyens financiers  à cause de ... l'intervention de l'Ordre des médecins qui s'était mêlé de couvrir, malgré les preuves tangibles incontestables qu'avec l'aide du Dr Michel Serdaru - neurologue  émérite de la Fédération Française de Neurologie - j'avais apportées. L'Ordre des médecins couvrait les scabreuses activités et escroqueries des médecins de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, une Clinique "protégée en hauts lieux" (voir ci-après en notes *).

 

Quand l'Ordre des médecins a appris que mon père avait porté plainte contre les médecins de cette Clinique, L’Ordre s’était empressé de monter contre moi ce qui chez les frères°°° s'appelle un "chantier"  (Cf. ce qu'est un "chantier" d'après la journaliste Sophie Cognard dans un de ses très savants livres sur la franc-maçonnerie).

Un Ordre pédophilocratique que le PS avait prévu et promis de dissoudre en 1981.


 Ses "hauts Conseillers" de l'Ordre du Val-de-Marne, que le Conseil  national n'a pas désavoué, avaient en effet décidé de me faire "payer"  d'une part l'outrecuidance que j’avais eu de ne pas avoir cherché à empêcher mon père, le bénéficiaire de mon intervention thérapeutique,  de porter plainte contre ses agresseurs, et d'autre part de l'avoir laissé aux mains des médecins de la Clinique Elmelik, qu'ils savaient pertinemment ne pas être des plus fréquentables. Ses médecins propriétaires étaient "milliardaires" et "protégés en hauts lieux", selon ce que m'en a dit l'inspecteur principal Christian Raeckelboom au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses et certains Confrères apparemment très au courant de ce qu'ils pouvaient "tout se permettre". Cf.  sur Internet (à  ''Antoine Denis - Pierre Brassart")  copie de la lettre manuscrite de remerciements que le principal bénéficiaire de ce chantier a adressé à son zélé souteneur ordinal.

 

On pourrait au sujet de cette affaire parler de trafic d'influence et d'escroquerie en bande organisée (Voir au site 73331815 html chap. II § 5  ce dont  l'Inspecteur principal du Commisariat de l'Haÿ-les-Roses Christian Raeckelboom m'avait averti. Voir aussi le site 108281777 html).
 
L'Ordre des médecins s'était, via des Conseillers ordinaux réputés "influents au Palais" attaché  à protéger les médecins que le rétablissement de mon père risquait de mettre en difficulté vis à vis des Instances judiciaires  (Cf. aussi infra en notes *).

Pour en revenir au STSMC et au STSMI, je ne connais pas grand-chose au monde industriel, ce qui fait que je me suis très mal pris pour tenter de faire connaître et rendre crédible les possibilités du STSMC et du STSMI.  D’autant que je ne les ai découvertes qu'en juin 2012 après avoir perdu les moyens, depuis que l'Ordre des médecins a chercher à me faire taire, d'une plus grande démonstration matérielle.

 

Il n'y pas seulement une chance sur cent que ces systèmes permettent à de grandes ou très grandes usines, qu'ils puisent donc délivrer des énergies de l'ordre plusieurs dizaines de térawatts, mais quatre-vingt-dix-neuf chances sur cent qu'ils le soient.

 

J'ai bien sûr fait connaître au groupe EELV les potentialités du STSMC et du STSMI, mais pas plus Vincent Placé, Cécile Duflot, Delphine Batho, Philippe Martin que madame Geneviève Fioraso n'ont jusqu'à maintenant daigné accuser réception à mes lettres, même après que le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault les y a invités.

 

                                                                                                                                                                                                    Dr.  Pierre Cretien




* NB :  Le syndrome NDB12PP, resté méconnu jusqu'en 1990, correspond à une entité clinique désormais reconnue comme fréquente. Sa méconnaissance conduisait - et conduit encore - les malades, dans les formes sévères, à ne plus pouvoir marcher et à souffrir d’une douloureuse et effrayante "atteinte diffuse du système nerveux", et finalement à mourir dans des conditions parfois atroces : mon père avait  failli mourir dans de telles conditions en 1990. Cf. les articles web n° 69970222, 69972429, 73331815 et 108281777 html, ce dernier, plus court et plus explicite que le précédent, date du 18 juillet 2012, c'est-à-dire d'avant l’époque où  je me suis rendu-compte à travers la littérature médicale de ce que ses médecins s'étaient possiblement réellement trompé, quoiqu’ils aient, après qu'ils s'en sont aperçus, aussi transgressé, pour ne pas dire bafoué, sans exception aucune, les 14 articles de  la Charte des "droits des patients" maintenant obligatoirement placardée bien en vue dans tous les hôpitaux.   

Je m'étais en 1990, et jusque dans les années qui suivirent heurté au dogmatisme, pour ne pas dire au négationnisme et à l'amour propre mal placé de ces neurologues. Ils ne pouvaient concevoir, et encore moins admettre,  qu’un médecin qui n'était pas du sérail puisse leur avoir dit à raison de quoi il pouvait s'agir, donc ce qu’il aurait immédiatement fallu faire pour remédier à ce qu'ils avaient dit être une  "atteinte diffuse du système nerveux", persuadés  (?) qu’ils étaient (?) que cette "atteinte" était consécutive à une encéphalopathie vasculaire (sic) compliquée de la maladie d’Alzheimer  (dixit), et peut-être aussi d’une compression tumorale (Mlle Sitruk, l'Assistante du Dr. Jean-Yves Beinis, m’avait parlé d’un "hydrome sous-tentoriel". Je n'invente rien, en témoigne les CRs d'hospitalisation et les notes d'observations, CR rapporté sur la Toile aux sites ci-dessus indiqués.

C'est ainsi qu'ils avaient non seulement refusé ma proposition thérapeutique, mais avaient feint d'y soumettre mon père, jusqu’à ce que la Surveillante de l'USN où les neurologues l’avaient fait transférer (afin qu'il ne vienne pas à décéder dans leur Service ? ) s’aperçoive que j’avais probablement raison contre son Chef de Service. Qu’il n’était donc pas légitime que ses infirmières continuent de me faire croire, comme on le leur avait prescrit, que le traitement que je préconisais était réellement administré. La Survveillante s'était arrangée pour me le faire savoir. Une de ses infirmières m'avait demandé de venir consulter le cahier des prescriptions médicamenteuses. Ce qui me permit de rectifier le traiotement en mettant moi-même in extremis en route ce qu'il aurait depuis le début fallu faire, et ainsi de faire regagner à mon père ses capacités intellectuelles. Après quoi mon père porta plainte contre X devant les tribunaux, non contre les susdits neurologues. Il était dans le coma lorsque je suis intervenu. Il ne voulut pas croire que c’était à moi, et non pas à eux, qu’il devait de s’en être sorti vivant. Il voulait les en récompenser par une donation. C'était contre le pseudo chirurgien qui, dans la Clinique de sa Commune (à l'Haÿ-les-Roses, de bien mauvaise réputation) s’était auparavant empressé de lui faire subrepticement subir une opération orthopédique bilatérale pour soi-disant remédier à une «mauvaise morphostatique» (sic) décretée  responsable de ses «troubles de la marche», "troubles" que sa maladie neurologique avait provoqués. Le pseudo chirurgien l'avait en réalité opéré pour réaliser un acte plus rémunérateur que le petit K 20 avec lequel il l’avait fait venir et piégé. Il avait ainsi pu sans crier gare, après l'avoir fait endormir, lui imposé un acte au mieux inutile quoique  extrêmement dangereux (et de surcroit expressément interdit et par moi et par le cardiologue de son patient. Il l'avouera d'ailleurs sans vergogne à l'expert, sans que cela ne change quoi que ce soit à la volonté prédéterminée du procureur de requérir un non-lieu au bénéfice des médecins de la Clinique Elmelik, le plus important  étant apparemment de ne pas porter atteinte à "l’ordre public". Ce très scandaleux non-lieu a été requis huit ans plus tard par le procureur de Créteil, un non lieu qui rend compte comment des abus envers des patients vulnérables, en particulier des parturientes,  ont pu durant des décennies être impunément perpétrés dans cette Clinique. En France, mais hélas pas qu'en France, la pédophilocratie et machisme médical ont souvent, sous l'autorité et la complicité de  l'Ordre des médecins, quartier libre. Le phénomène semble culturel.

 

A l'époque où madame E. Guigou était Garde des Sceaux, lors d'une émission télévisée consacrée à prévention de la pédophilie, il était apparu qu'il ne fallait pas que la lumière soit faite lorsque de hautes personnalités étaient en cause ... Prenant la parole, Elisabeth Guigou  avait commencé par dire << Je ne veux pas que ... >>  et s'était soudain interrompue ... Que ne voulait-elle pas ? 

 

Le journaliste Serge Garde, auteur de "Le livre de la honte" (aux éditions Le cherche midi) avait comme moi remarqué cette auto-censure.

 

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31 janvier 2014 5 31 /01 /janvier /2014 17:36

La découverte du syndrome NDB12PP en 1990 est-elle emblématique des dysfonctionnement en France ?

 

Le syndrome neurologique de «carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal», actuellement dénommé syndrome NDB12PP, a dans un passé récent été responsable d’un grand nombre de cas de faux diagnostics de maladies d’Alzheimer.

 

Il importe donc de savoir différencier le syndrome NDB12PP de cette démence irrémédiable  puisque les troubles neurologiques et psychiatriques qu’il induit sont, à la différence de la maladie d’Alzheimer, accessibles  par un traitement simple et très peu coûteux, en l’occurrence celui de la maladie de Biermer.

 

CIRCONSTANCES DE SA DECOUVERTE: La découverte clinique de ce syndrome s’est faite fortuitement en France en 1990 à l’occasion de l’hospitalisation d’un malade en neurologie et en gériatrie dans des conditions tellement dramatiques et peu valorisantes pour Recherche et certaines pratiques en médecine qu’elles en sont devenues irracontables.

 

La reconnaissance de sa réalité est de ce fait loin d’avoir rapidement suivi sa découverteet la diffusion de la connaissance de ce syndrome s'en est ainsi trouvée ralentie, pour ne pas dire contenue et refoulée, ce qui fait qu'il reste encore de nos jours largement méconnu, non seulement de la plupart des généralistes, mais de nombreux de neurologues, de psychiatres, de gériatres, de gastro-entérologues et d’internistes, ainsi que j'ai pu m'en rendre compte, alors qu’il affecte peu ou prou des centaines de milliers de sujets du "troisième âge". Une meilleure reconnaissance devrait permettre de faire disparaître sa dommageable confusion avec la maladie d‘Alzheimer, ce qui a est déjà arrivé (cf. article site n° 69972425 html) et reste sans doute encore possible.

 

Ainsi que le déplore la juge d'instruction Marie-Odile Bertella Geffroy dans une interview, la justice ne peut-être rendue dès lors que l‘indépendance des parquets n’existe pas par rapport au pouvoir politique. L’affaire dite "du sang" l'avait démontré, celle de l'hormone de croissance comme actuellement le procès de l‘amiante, que l'on "saucissonnerait". Madame M-O. B.-G. déclare ne plus croire en la justice après qu’elle a tenté de l’incarnée dans diverses affaires affectant la vie et la santé des populations (d'après «Marianne» de cette semaine n° 875).

 

L’occultation de la découverte du syndrome NDB12PP paraît avoir relevé du même phénomène de non indépendance des structures hospitalières par rapport aux pouvoirs administratifs : cette découverte a été mal traitée par le Service qui est passé à côté alors qu‘elle lui tendait les bras. L’hôpital a par la suite cherché à couvrir les manquements de son Service de Neurologie à ses obligations de soins, la direction de l’AP - HP, l’Ordre des médecins, la Direction de la Santé et les pouvoirs politiques s’entendant ensuite pour empêcher la justice de fonctionner normalement. Le tout est assez emblématique de dérives ploutocratiques régissant les dysfonctionnements de la cinquième République, la société française étant parcellisée, pour ne pas dire éclatée par les corporatismes. D'où l'allusion à "l'objet petit a" dans le précédent article sur le "dieudonnisme".

 

La découverte de ce syndrome n’a en effet pas été le fait ni du goût des neurologues qui avaient en charge le malade alors qu’ils étaient tout à fait en mesure de la faire, mais de son fils, médecin psychiatre, qui s’est vu obligé de la faire à leur place alors que son père était dans le coma faute d'avoir été durant plus de 5 semaines été traité comme' il aurait fallu (cf. article n° 108281777 html). Son sauvetage a été considéré comme un crime de lèse majesté, par conséquent passible de bannissement.

 

Les neurologues avaient refusé de le reconnaître à la suite ou à cause à de ce nous appellerons, pour ne pas être désobligeant, des "malfaçons". Au départ chirurgicales, ces malfaçons ont été suivies d’une curieuse "errance diagnostique", qui faillit être fatale au malade.

 

L’Ordre des médecins les a avalisé en vertu de ses affinités avec leurs auteurs, de même ensuite les médecins chargés de l’expertise des "malfaçons" qui furent à son origine. Des malfaçons déclarées vénielles alors qu’elle étaient à l’évidence majeures et grossières.

 

Les "malfaçons" chirurgicales à visée lucrative sont en fait légion, favorisées qu’elles sont par le corporatisme, trop prégnant en France, selon Bruno Lemaire. (Cf. Hervé Hamon "Nos médecins"Le Seuil, 1994, livre primé par le Medec ; Didier Sicard  "l'alibi éthique"Plon2006; Gérard Davet etFabrice Lhomme "French connexion" Stock 2013 ). Elles consistent p. ex. à opérer des cancers inexistants. Ce fut p. ex. à Toulouse en 1988 à la Clinique Saint-Jean de Languedoc chez les patients du Dr. Georges Rossignol, mais ces malfaçons passent la plupart du temps inaperçues du fait que les victimes ne sont pas en mesure, sauf exception, de les appréhender , et que l'État a eu la mauvaise idée de confier à une institution des plus corporatistes qui soient "mission de Service public", en l'occurrence à l'Ordre des médecins. Cette erreur de distribution des rôles permet à l’Ordre d’intervenir et d'entraver arbitrairement la justice quand et comme bon lui semble. Rares sont en effet les médecins qui, dans leurs expertises médico-judiciaires, osent se soustraire à ses constantes menaces de représailles corporatistes, l’Ordre allant jusqu’à violer les principes de la déontologie médicale qu’il édicte au profit d’intérêts catégoriels, sinon pour satisfaire des intérêts administratifs lorsque ceux-ci coïncident avec les premiers. Dans la susdite affaire, qui ne mettait pas en cause les pouvoirs politiques, il a attendu de ne pouvoir faire autrement pour la condamner alors qu‘il était au courant.

 

CONCLUSION: les circonstances et les modalités de son empêchement portent à penser qu'il n'était pas sans rapport avec «l’affaire du sang»?

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 17:29

L'erreur de diagnostic dont mon père fut victime en 1990 au sein d'un Service de l'Assistance Publique paraît incompréhensible. D'autant qu'elle a fait en 1998, sur la réquisition expresse du parquet, l'objet d'un méprisant et étouffant non-lieu malgré l'évidence qu'il s'était agit bien d'une erreur qui avait eu des conséquence catastrophiques. Il faut pour la comprendre la replacer dans le contexte dans lequel elle a été perpétrée, c'est-à-dire dans celui de "L'affaire du Sang" contaminé par le VIH.

 

Sans avoir voulu en mesurer les possibles conséquences, l'A.P. s'était dans les années précédentes (jusqu'en octobre 1985) servi des lots de sang que le CNTS lui fournissait alors qu'il les savait impropres à l'utilisation. La Clinique Elmelik et certains Services de l'A.P. furent, après que le suites se sont révélées beaucoup plus désastreuses que prévu, "protégés en hauts lieux" parce qu'ils étaient de ceux acceptaient d'y parer par des moyens si inavouables qu'il importait qu'ils soient tus. Ces moyens étaient certes méprisables, mais soutenus par les responsables "mais non coupables" de la mise sur le marché de ces produits. Ils allaient dans le sens des intérêts du CNTS et de l'A.P. elle-même, et partant dans celui des intérêts de l'A.M. et du Buget de l'Etat.

Michel Garetta fut certes condamné en1994, il était difficile de ne pas le faire, mais il avait aupravant été largement indemnisé de son éviction à la tête du CNTS.

 

La direction de la Clinique Elmelik étant partie prenante, elle pouvait compter sur un Ordre aux pouvoirs discrétionnaires, sur le parquet et les caisses de l'A.M. pour avaliser les actes extravaguants de ses médecins et les comportements plus que scabreux de ses très riches médecins propriétauires, héritier d'une famille de banquiers (Cf. Le bien, le mal et la sérendipité et l'article n° 73331815 html).

En 1992, l'affaire des assassinats de malades commis au CHU de Mantes la Jolie n'avait pas encore éclatée, ni l'Espace Éthique de l'AP - HP été inventé pour faire écran.

 

L'invention et la mise place de l’Espace Éthique de l’AP - HP en 1995 relève de la fabrication d’un alibi. Elle n'est pas l’arbre qui cache la forêt, mais l’arbre planté par Alain Cordier pour la cacher. Quand Alain Cordier, ancien responsable de la prévision des comptes de l' Assurance Maladie, a été appelé à prendre la direction de l'AP - HP, il s’agissait pour celle-ci et son ministère de tutelle de parer aux conséquences financières des transfusions faites à partir des lots de sangs contaminés imprudemment mis à sa disposition par le Dr. Garetta. Quand il a été appelé à prendre la direction de l'A.P. -H.P., A1ain Cordier eut l’idée de créer l' Espace Éthique, paradigmatique d' Écarts Éthiques, synonyme de rideau de fumées. De fait, après la tentative d’assassinat dont mon père a été victime en 1990, qui avait fait de lui un grand invalide moteur après qu'elle a ratée, une invalidité qu‘il m‘est revenue de gérer, les assassinats ciblés n’ont pas manqué de se reproduire dans les années qui suivirent, comme par hasard aussi commis sous l’égide du même Olivier Ille, mais cette fois avec Christine Malèvre dans l'exécution de ses directives, au lieu que ce soit le Dr. Jean-Yves Beinis (Cf. site 108281777 html à propos des problèmes que pose la pratique des "euthanasies forcées", telles celles auxquelles les malades du Dr. Olivier Ille ont été exposés. Le Pr. Didier Sicard, l‘auteur de’L‘alibi éthique’’ (Plon 2006) a pris soin de ne pas répondre à ma lettre.

Ceux qui on vu et savent l'envers du décor ne doivent pas le divulguer. Sans le Dr. Laurence Kouyoumdjian, qui avait révélé les assassinats de malades en 1997, ceux-ci auraient pu longtemps continuer. Le Dr. Kouyoumdjian avait certes fait son devoir devant la loi, mais contrevenu à la loi parallèle non écrite qu’il fallait la laisser faire. Ne pouvant être ouvertement condamnée pour les savoir révélés, le Dr. Kouyoumdjian a été sans ménagement priée d'aller ailleurs alors qu‘elle aurait mérité d‘être citée à la Légion d‘Honneur. Par décence, de trente, le nombre des assassinats revendiqués et très probablement effectivement commis par Christine Malèvre fut ramené à quatre tandis que six lui seront concédés par la justice. Laurence Kouyoumdjian avait par son signalement arrêté les assassinats. Ce n’était surtout pas ce que l’Assistance Publique attendait d'elle. Alain Cordier recevra à sa place la Légion d'Honneur, en autres promotions pour ses services rendus à l'État.

 

Lorsqu'il a accepté de jouer la pantalonnade que l’Ordre et l’AMIF lui ont fait jouer cette année-là, l’idée que le jeu était truqué avait effleuré le Dr. Bruno Halioua, tout étonné qu’il était de s’être vu autorisé à transgresser l’omerta institutionnelle. Contre toute attente, il avait été poussé à publier « Blouses blanches, étoiles jaunes » (Liana Lévi, décembre 1999 - Cf. à ce sujet sur ce blog "le bien, au mal et à la sérendipité" et autres articles du blog relatifs à l'affaire du sang). Il ne fallait surtout pas que l'on sache que le Service très éthique du Pr. Gérard Saïd avait accepté d'en "limiter" les conséquences.

Les faits que j'ai dénoncés en les énumérant factuellement par ordre chronologique (site n° 73331815 html) sont à tel point inavouables que les trois premiers experts appelés à en rendre compte les ont présentés à la Justice comme n’étant que des broutilles. Ils ont osé - quel courage - expressément stipuler pour conclure leur expertise que ''le malade était de toute façon voué à une inéluctable plus grande dégradation''.

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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 11:45

Voir article précédent  "Les Français sont-ils paresseux ?"

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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 18:12

L'hebdomadaire  Le Point daté du 25 avril 2013 titre «  Les Français sont-ils paresseux ? »  alors qu’il aurait dû titrer « Les élites françaises sont-elles tricheuses, corruptrices et corrompues ? .»

 

Il fallait bien prendre le contre-pied de son concurrent "de gauche", Marianne, qui s'était douze jours plus tôt taillé un succès (? je présume) en titrant "Les Français sont formidables" (caresser dans le sens du poil est aussi vendeur).

 

Mais cet hébdo avait aussi titré "Délinquence fiscale DES NOMS !"  si bien qu'il est difficile de savoir lequel des deux avait été porteur.

 

Les Français ont en Suède,  pays de mon enfance, la réputation  d'être arrogants et de grands manipulateurs. Cette tenace réputation a fait que les actionnaires de Volvo avaient, par peur de se faire gruger, rejeté la fusion de Volvo avec Renault, fusion voulue par les PDG respectifs de Volvo et de Renault (d'après ne discussion que j'ai eu en Suède).

 

Mettre tout un peuple, si peuple il y a, dans un même sac, est en soi paraonïaque.

 

 

§ - Je crois plutôt que les Français sont désabusés. Il m’avait p. ex. fallu intervenir in extremis pour mettre en route le traitement que mon père ne recevait pas alors qu'il était censé le recevoir de ses médecins, des neurologues labellisés INSERM.  Leur malade avait plongé dans le coma, victime d’une évidente neuro-anémie de Biermer, une maladie non seulement fréquente et  douloureuse mais inéluctablement mortelle sans son traitement spécifique, qui consiste à administrer le plus tôt possible la vitamine  B12 parentérale de façon prolongée sur des mois à forte dose. Les neurologues n’avaient fait que semblant de lui administrer ce traitement sous prétexte qu’il était "de toute façon inéluctablement voué à un rapide dégradation", selon ce qu'en a dit l'expert judiciaire dans son rapport d'expertise, minimisant au maximum leur soi-disant "erreur", un argument qui est passé comme une lettre à la poste, avalisé par le parquet. Celui-ci en avait profité pour se payer ma tête parce que j'avais dans mon témoignage parlé d'une intervention chirurgicale "intempestive" à propos de la double opération orthopédique que le rhumatologue de la Clinique Elmelik avait réalisée le 25 mai 1990 pour remédier aux troubles de la marche d'origine neurologiques que présentait mon père à cette époque, des troubles qui étaient déjà à mettre sur le compte de la neuro-anémie de Biermer qu'il l'avait conduit à développer parallèllement un délire de Capgras, aussi appelé délire des sosies.  Ce délire est très fréquemment associé à la maladie d Biermer, un délire qui faisait dire à mon père que je n'étais pas son vrai fils, et que j'en voulais à sa vie en  cherchant à l'empêcher de se soigner du cancer des os de la hanche qu'il croyait avoir développé à partir de la prothèse de hanche qui lui avait été placée en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis. A force de tomber à cause des troubles de la sensibilité proprioceptive occasionnés par sa maladie, il avait fini par la desceller, et celle-ci lui occsionnait des douleurs, qu'il avait dans son délire, lui aussi occasionné par la maladie, interprétées comme dues à un cancer des os !

 

J'avais en vain réclamé lors de son hospitalisation à Bicêtre qu'il soit vu par un psychiatre, le Service de psychiatrie de Bicêtre, alors tenu par le Pr. Féline,  étant situé à l'étage surplombant celui de neurologie. J'avais aussi demandé avant qu'il ne soit  hospitalisé à Bicêtre à ce qu'il soit vu à Paul Brousse dans le Service du Pr. D. Gynestet (voir l'historique des faits site 73341815 html, texte rédigé en juin 2009 avant que j'ai récupéré l'information, de la part d'un membre du SAMU du 94, de ce pourquoi la Clinique de l 'Haÿ-les-Roses appartenant aux Drs. Elmelik  jouissait de protection spéciales). 

 

Après son sauvetage  du 12 septembre 1990, après que mon père a récupéré des facultés mentales mentales plus normales grâce à la vitaminothérapie B12 et a pu porter  plainte le 17 décembre 1990, devant le procureur du TGI de Créteil, les ennuis pour moi ont commencés : il m'avait  non seulement fallu parer aux lourdes séquelles motrices que le faux traitement administré avait entraînées, mais faire face aux menaces de représailles de Conseillers ordinaux au service des médecins propiétaires de la Clinique Elmelik et aux moqueries d'un parquet  au service du CNTS (voir Anne-Marie Casteret.  L‘affaire du sang. Ed. La Découverte, 1992.) .   

 

C’est que le pseudo traitement mortel qui lui avait été infligé était non la conséquence d’une véritable erreur, mais d’une erreur simulée en rapport avec l’affaire du sang contaminé, mon père ayant été transfusé en avril 1984 avec du sang infecté alors qu’il était hospitalisé à l’hôpital Saint-Louis pour la mise en place d’une prothèse de hanche.  

 

- § A l'heure où j'écris ces lignes (21 mai 2013 ) j'écoute Culturesmonde sur France-Culture. L'émission est consacrée à la psychiatrie soviétique, qui avait inventé l'internement psychiatrique des intellectuels dissidents sous prétexte de schizophrénie torpide. A en juger leur attitude après qu'ils se sont lourdement trompés dans le traitement qu'ils faisaient administrer à mon père. Mon père serait cerainement  mort dans la nuit du 12 au 13 septembre 1990 ou aurait été irrécupérable si une infirmière ne m’avait pas demandé de venir vérifier le cahier de prescription. C’est ainsi que j'avais pu vp suis aperçu qu’il ne recevait pas le traitement qu’ils lui fallait) les neurologues de Bicêtre ont sollicité l’Ordre pour qu’il use de son pouvoir et me colle ce type de diagnostic afin de discréditer mon témoignage. Mon père avait en effet été en mesure de porter plainte deux mois après s‘en être sorti. (Cf. site Google 73331815 html chap. IV) ainsi qu’en témoigne la date à laquelle sa plainte a été réceptionnée. Le Conseiller-rapporteur Patrice Bodenan°°° avait adressé au Conseil disciplinaire une lettre stipulant que j‘étais paranoïaque (voir cette lettre sur le site Google 69970222 html ). Outre que Bodenan usurpait le titre de réanimateur, et implicitement celui de psychiatre alors qu‘il n’était qu’anesthésiste (le Pr. Pierre Huguenard lui avait refusé le titre de réanimateur pour ne lui accorder après repêchage que celui d’anesthésiste). Bodenan°°° avait ostensiblement fait valoir auprès de l’Ordre qu’il était franc-maçon. Il était affublé du titre ronflant de Responsable du bureau de presse de l'Ordre du Val-de-Marne. Ce pseudo délégué-rapporteur sera en récompense de son entrave à l’action judiciaire plus tard promu Président du Conseil disciplinaire de l’Ordre régional en Île-de-France au lieu d'être sanctionné pour intervention et entrave à la justice au bénéfice des fautifs.. << Le ver est dans le fruit >> m’avait averti le Dr. Claude Poulain alors Secrétaire général de l’Ordre du Val-de-Marne en me parlant du Dr. Jean Pouillard, qui avait à nommé à faux son acolyte Bodenan °°° rapporteur de l‘Ordre.

  

 

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