Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 16:36
<< Ce que l’on cherche n’est pas trouvé, ce que l’on trouve n’était pas cherché. Et pourtant, impossible à planifier, difficile à gérer, toujours mal évaluée, la recherche avance ... >>   Evariste Sanchez-Palencia, promenade dialectique dans les sciences (éditions Herman).
Monsieur le président, 

Je vous remercie de m'avoir par votre lettre du 19 février.dernier répondu de façon positive Il y a en effet pas lieu de tenir a priori pour illusoire la technique que je préconise, qui vise à pouvoir recupérer massivement l'énergie des marnages. Le procédé n'est pas si complIqué que son principe ne puisse être compris et rapidement modélisé en laboratoire pour faire ses preuves. Si l'expérience s'avérait concluante, sa mise en oeuvre à grande échelle devrait permettre à la France de combler rapidement son manque de compétivité économique et industrielle.

Si vous-vous êtes déjà fait une représentation de ce en quoi consiste le procédé d'après le peu que j'en ai dit, vous voyez que les bases de la physique et le bon sens sont suffisants pour préjuger de sa parfaite faisabilité. Je suis de ce fait étonné de ce que personne n'en ait eu l'idée. Si ce n'est déjà fait, je compte que le service des études de l'UMP, si elle comprend quelques ingénieurs ou techniciens, saura vous confirmer l'intérêt de la méthode.

 

Je suis aussi certain de sa faisabilité qu'était en août 1990 cliniquement adéquate mon idée d'administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer cependant que les neurologues de Bicêtre le lui avaient refusé en disant le contraire * .

L'extraction de l'énergie des marnages par la technique que je préconise, à la différence des éoliennes off-shore; qui en plus d'être inesthétiques, sont d'un rendement médiocre et aléatoire, sont de fabrication coûteuse et sont dangereuses à monter, la technique que je préconise est relativement simple et écologique. Seuls y sont "on shore" les groupes électrogènes chargés de convertir en énergie électrique l'énergie récoltée et emmagasinée à marée haute dans des capteurs cellulaires immergés, des capteurs doués d'une mémoire de forme. J'ai une idée bien précise sur la manière de la leur conférer et de l'utiliser. .

 

Conscient de l'importance de cette solution, j'ai l'ai formulée aux actuelles instances gouvernementales dès qu'elle m'a paru réalisable, c'est-à-dire en juin dernier. Faute de réponse suffisamment sérieuse, j'en ai avisé plus directement le premier Ministre, qui m'a aussitôt fait répondre qu'il transmittait ce "projet" à madame Batho pour lui demander de s'en occuper. Ce qui n'a, du moins apparemment, pas été fait puisque je n'ai jamais reçu d'elle la moindre réponse. Pourtant, d'après une information qui m'a été rapportée de sources distinctes, Franois Hollande aurait vers la mi-novembre fait état d'une possibilité d'exploiter les marnages. La technique pouvant très facilement avoir été testée en laboratoire, celle-ci a peut-être été reconnue faisable.

Quoi qu'il en soit, je suis aussi sûr de la validité du procédé que j'étais sûr en septembre 1990 d'avoir raison contre l'avis des neurologues de Bicêtre et de devoir faire ce que j'ai fait pour empêcher mon père de mourir alors qu'il était aux mains du Dr. Jean-Yves Beinis. Celui-ci avait contre mon attente aveuglément et secrètement suivi les consignes d'abstention thérapeutique, et par là assassines, des neurologie de Bicêtre, communiquées par leur Interne *.

  

Madame Nora Berra ne m'a dans cette très sombre affaire été d'aucun secours, pas plus que mesdames Rachida Dati et Alliot-Marie. Il me reste à espérer que les valeurs culturelles de l' UMP correspondent aux miennes comme à celles de madame Jeannette Bougrab et aux vôtres plus qu'à celles du Conseil de l'Ordre des médecins.

Je suis très sensible à l'attention que vous avez bien voulu porter à la solution technique a peut-être été trouvée au problème de l'approvionnement énergétique de la France avec l'exploitation eationnelle des marnages, qui pourra pallier à son manque de compétivité industrielle en diminuant ses importations de produits pétroliers, au profit de sa propre production énergétique.

Restant à votre disposition pour que le procédé projeté soit étudier et puisse se concrètiser, avec mes remerciements, veuillez agréer, Monsieur le Président de l'UMP, l'expression de ma très grande et très sincère Considération.

Dr. Pierre Cretien

....  Vous avez par la réponse que vous avez  donné à ma lettre du 26 décembre dernier montré que vous ne tenez pas pour illusoire la méthodologie que je préconise pour  récupérer massivement l'énerfie  des marnages. 
Je rappelle ci-après la teneur de la lettre que je vous avais adressée.  Je donnerai  demain la réponse à votre lettre du 19 février dernier.  

Objet : plaidoyer pour l’exploitation rationnelle des marnages

 

<< Une exploitation rationnelle des marnages devraient permettre à la France de sortir assez rapidement du nucléaire, rendre caduc le projet de l’exploitation des gaz de schistes, voire de dispenser à terme le pays d’importer des énergies fossiles.

C’est pourquoi j’ai cet été, au mois de juin, dès sa découverte, vu l'urgence de la situation économique, fait part aux ministères responsables, notamment à ceux du Redressement productif et de l’Energie et du Développement durable, d’une innovation technique et industrielle qui permettra à la France d’exploiter ce prodigieux gisement d’énergie que sont les marnages. Les côtes de la France sont de ce point de vue privilégiées. La France dispose le long de sa façade atlantique, particulièrement en Normandie et sur les Côtes d’Armor, de marnages très importants.

Ce gigantesque réservoir d'énergie écologique est jusqu’à aujourd’hui resté largement sous-exploité du fait d'un abord méthodologique qui limite son exploitation à quelques sites privilégiés, tel celui situé entre Dinard et Saint Malo, où a été construite l'usine marémotrice sur l'estuaire de la Rance. C'est une construction certes remarquable, qui fut faite à titre expérimental. L'expérience n'a pas été renouvelée à cause de ses retentisements écologiques et un retour sur investissement peu encourageants.

La technique nouvelle, que j'ai proposé aux ministères responsables, est plus écologique, plus économique et surtout partout exploitable où les marnages sont importants, sans nécessité l'existence d'un estuaire.

Il s'agit d'une technique indirecte et séquentielle, fondée sur un transfert de charge rendu possible par des structures "à mémoire de forme" immergées en profondeur. L'idée m'en est venue alors que je me trouvais à marée basse dans la Baie de la Fresnaye. Elle m'est quasiment "tombée dessus" alors que cela faisait des lustres que j'avais l'intuition qu'une solution plus rationnelle que la construction d'un barrage devait exister pour l'extraction de cette énérgie.

Comme vous-vous en souvenez sans doute, j'avais été en 1990 à l'origine du sauvetage de mon père alors qu'il était hospitalisé à Charles-Foix , victime de directives thérapeutiques erronées alors qu'il souffrait d'une "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX". Il s'agissait en fait une erreur délibérée de diagnostic destinée à faire en sorte qu'il ne reçoive pas le traitement cobalaminique nécéssaire à son rétablissement alors qu'il était atteint d'une maladie de Biermer tout à fait carratérisée (voir l'article précédemment référencé Google 108281777 html que j'ai adressé à Manuel Vals à François Hollande et au Professeur Didier Sicard le 18 juillet 2012 au sujet de l'euthanasie déguisée en erreur diagnostique et thérapeuique par les médecins du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre ).

Cet assassinat manqué, parce qu'il avait trait aux contaminations VIH nosocomiales dont l' A.P. et le CNTS s'étaient rendu responsables "mais non coupables" (sic, voir Google 69970222 et 73331815 html) a été activement étouffé par la justice et par l'Ordre des médecins, ce malgré les preuves matérielles irréfutables qu'il s'était effectivement agit d'une tentative d'assassinat. Les assassinats de malades commis par la suite par Christine Malèvre au CHU de Mantes la Jolie étaient la répétition de ce qui sétait commis sous l'égide du même médecin au CHU de Bicêtre.

Est-ce parce que cette affaire d'assassinat est génante que le PS préfère ne pas faire état de la méthodologie alternative que je lui ai récemment proposée ? Le président François Hollande et le premier Ministre Jean-Marc Ayrault, informés par mes soins de ce que j’avais découvert cette méthodologie, se sont en effet tourné vers Nicoloas Hulot pour qu'il s'attelle à la recheche et à l'étude des sources d'énergies renouvelables. Je m'étonne aussi de ce que madame Delphine Batho, ministre de l'énergie, n'ait pas répondu aux sollicitations du premier Ministre au sujet de ce que celui-ci a appelé, dans la réponse qu'il m'a faite le 5 octobre dernier, un "projet" quand il ne s'agissait de ma part que d'une méthodologie. Une méthodologie qui a toutes les chances d'être aussi pertinente que l'étaient les préconisations que j'avais formulées concernant le traitement à donner à mon père en 1990 quand il m'a fallu le sortir du coma mortel où l'avait plongé le faux traitement que lui faisaient sciemment administrer le Dr. Jean-Yves Beinis sous la direction d' Olivier Ille, un des neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd.

A toute fin utile, veuillez trouver ci-après copie de la lettre que j'avais adressée à madame Delphine Batho, lettre à laquelle celle-ci n'a pas répondu.

Matignon le 19 septembre 2012 À Madame Delphine Batho

Ministre en Charge de l’Énergie et du Développement durable Hôtel de Roquemaure, 246, Bd Saint Germain 75007 PARIS Objet : Développement des ressources énergétiques non polluantes Madame, Recourir à la fission nucléaire et aux gaz de schistes pour la production énergétique est à la fois polluant et dangereux.

Si, sans aucunement défigurer les plages et l'horizon des mers, il était possible d'exploiter l'immense réserve d'énergie que représente sur toute la façade atlantique l'énergie marémotrice de façon plus économique qu'il n'a été fait dans les années 1960 avec construction d'un barrage sur l'estuaire de la Rance, la France serait indépendante et peut-être même exportatrice sur le plan énergétique.

A cause de ses nombreux inconvénients (coût de la construction et de l'entretien, bouleversement du système écologique) la solution consistant à exploiter cette source par la construction de barrages tel que celui qui a été construit entre Dinard et Saint-Malo n'a pas été reconduite bien que quelques autres sites se prêtent à cette forme exploitation.

En réfléchissant au problème depuis que j'ai pris ma retraite près de Dinard, une méthodologie tout à fait nouvelle, écologique et plus rationnelle pour l'extraction de cette énergie a fini par me venir à l’esprit alors que je n'espérais plus la chose possible. La récupération de l'énergie marémotrice est possible selon une méthodologie moins coûteuse et d'un meilleur rendement énergétique que les barrages, qui plus est ne défigure pas l'horizon des mers comme le font les éoliennes off shore parce inapparente et sans gène pour la navigation. Son seul inconvénient, rançon de son efficacité, sera de contribuer de façon imperceptible au ralentissement de la rotation de la Terre.

La méthode se fonde sur une mécanique qui a depuis longtemps fait ses preuves dans l'industrie. Les matériaux modernes et son principe de fonctionnement est susceptible de lui conférer un fonctionnement autonome durant des décennies. Les capteurs présentent en outre l'avantage de ne pas nécessiter d’estuaires, donc de pouvoir être implantés tout le long des côtes donnant sur l'Atlantique, donc aussi le long des côtes belges, hollandaises, anglaises, ibériques .Toutes les côtes où le marnage est conséquent.

Autre avantage : il n’est pas besoin de passer par le stade de la construction d'une grande station expérimentale pour leur mise au point parce qu'ils peuvent être, pour un coût dérisoire, calculés réalisés et testés en laboratoire. Leur modélisation permettra de tester les paramètres de fonctionnement leur conférant les meilleurs rendements. Outre l'exportation d’énergie électrique, l'exportation d'installations et des brevets seront sources de rentrées monétaires, quoiqu’à l’exploiter les susdits pays ne seraient plus importateurs d’électricité. A mettre le programme en route, l’économie européenne en serait complètement relancée. Toutes les industries, en particulier l’industrie sidérurgique, seraient mises à contribution.

On m'objectera que je ne suis pas un ingénieur, et que si une telle méthodologie était efficace, il y a longtemps qu’elle aurait été mise en service.

Louis Pasteur n'était pas médecin, mais physicien et chimiste. C'est pourtant lui qui a trouvé le moyen de prévenir la rage et été le premier à découvrir l'étiologie infectieuse de nombreuses maladies. Hubble était avocat, mais a été le premier à découvrir l'expansion de l'Univers, la ventilation bouche à bouche n‘a pas été inventée par un médecin, les premiers catamarans et les trimarans n'ont pas été imaginés par des ingénieurs, alors qu’ils font des voiliers bien plus rapides que les monocoques. Georges Clemenceau était docteur en médecine avant de devenir un grand chef de guerre, .. Les exemples sont nombreux qui montrent que des hommes et des femmes peuvent trouver des techniques ou opérer des révolutions conceptuelles dans des domaines qui n'étaient pas tout à fait voire pas du tout les leurs. Il n'y aurait donc rien d'extraordinaire à ce que je puisse être à l'origine d'une méthode inédite dans un domaine qui n'est pas de mon ressort.

Mais puisqu'il revient non à un profane mais à des ingénieurs de hauts niveaux - qu'ils soient issus de l'École des Mines, de l'École polytechnique ou de Centrale - d'étudier de tels systèmes et de les soumettre à des tests approfondis préalablement à leur réalisation, avant d’envisager la prise de brevets d'invention ou de fabrication, l’avis d’ingénieurs serait de nature à ôter les doutes de votre Ministère quant à sa pertinence.

Les novateurs ont souvent dû faire face à des critiques, voire à des haines, jusqu'à être exposés à des falsifications pour les discréditer. L'obstétricien Ignazio Semmelweis, qui démontra, avant Pasteur, la nécessité de l'asepsie pour prévenir les fièvres puerpérales paya cher sa découverte, Jenner, qu’un confère chercha à discréditer en variolisation réellement une série de patient au lieu de les vacciner. Je cours d'autant plus un tel risque que j'ai déjà été en butte à des haines pour avoir, contre l'avis de tout puissants neurologues, su faire un diagnostic plus pertinent que le leur en préconisant un traitement beaucoup plus approprié au rétablissement d'un malade (mon père) atteint d'une gravissime affection neurologique pourtant bien connue et parfaitement traitable qu’ils avaient (volontairement ou non ?) ''mal étiquetée''. Elle l’avait frappé en 1990. Mon père en serait mort n’aurait été mon intervention, suite à l’observation de la Surveillante, qui trouva que mon diagnostic était beaucoup plus pertinent que celui de son Chef de Service. Il m'était ainsi arrivé en 1990 d'être plus compétent que toute une équipe de neurologues de l‘INSERM (Cf. Google 108281777 html). Ce que les Service responsables de cette bavure et l‘Ordre des médecins, scellant alliance contre-nature le 10 octobre 1997, promirent de me faire payer cher.

Pour en revenir à la récupération de l’énergie marémotrice, pour que la méthode préconisée soit exploitée, une solution serait la détailler sur Internet. Mais ce serait sans doute faire perdre à la France un avantage alors que c'est à la France que dois d'avoir pu faire des études scientifiques. Je le dois aussi à mes parents (qui auraient préféré que je devienne ingénieur plutôt que médecin), et aux Suédois qui savaient encourager l’inventivité (je suis, entre autres, à l’origine d’une méthodologie dans le traitement du pityriasis versicolor, et peut-être aussi de la découverte - tout au moins en France - de la nécessité de ne pas se contenter d’un test de Schilling dans le diagnostic de maladie de Biermer).

Parce que ce que le Premier Ministre a su administrer de façon dynamique une grande ville universitaire et industrielle, j'ai pensé qu’il serait à même de déléguer des ingénieur qui sauraient prêter attention ladite méthode. Si la méthode recevait leur approbation, il pourrait être plus rapidement fait appel à des structures industrielles pour son développement. .

L'idée m'est venue de m'adresser directement à lui pour donner à ce projet les meilleures chances d'aboutir. Mon manque de relations dans le monde de l’industrie et surtout mon âge, ma santé et mon manque de moyens matériels (je n’ai pas d’atelier) ne me permettent pas réaliser un modèle de ma fabrication alors qu’il y a pour les raisons susdites urgence à développer un système adaptable à toutes les configurations. Je ne vois aucune raison logique s'opposant à ce la méthode ne soit pas pertinente et ne puisse rendre les services que j'ai dits.

Monsieur Arnaud Montebourg, en tant que Ministre du Redressement productif, a été averti de ma démarche auprès du Premier Ministre, comme vous-même, en tant que Ministre de l’Énergie.

En vous remerciant de l'attention que vous prêtez aux problèmes écologiques et à l’indépendance énergétique de la France, veuillez agréer, Madame la Ministre, l’expression de ma très grande considération.

Si, sans aucunement défigurer les plages et l'horizon des mers, il était possible d'exploiter l'immense réserve d'énergie que représente sur toute la façade atlantique l'énergie marémotrice de façon plus économique qu'il n'a été fait dans les années 1960 avec construction d'un barrage sur l'estuaire de la Rance, la France serait indépendante et peut-être même exportatrice sur le plan énergétique.

A cause de ses nombreux inconvénients (coût de la construction et de l'entretien, bouleversement du système écologique) la solution consistant à exploiter cette source par la construction de barrages tel que celui qui a été construit entre Dinard et Saint-Malo n'a pas été reconduite bien que quelques autres sites se prêtent à cette forme exploitation.

En réfléchissant au problème depuis que j'ai pris ma retraite près de Dinard, une méthodologie tout à fait nouvelle, écologique et plus rationnelle pour l'extraction de cette énergie a fini par me venir à l’esprit alors que je n'espérais plus la chose possible. La récupération de l'énergie marémotrice est possible selon une méthodologie moins coûteuse et d'un meilleur rendement énergétique que les barrages, qui plus est ne défigure pas l'horizon des mers comme le font les éoliennes off shore parce inapparente et sans gène pour la navigation. Son seul inconvénient, rançon de son efficacité, sera de contribuer de façon imperceptible au ralentissement de la rotation de la Terre.

La méthode se fonde sur une mécanique qui a depuis longtemps fait ses preuves dans l'industrie. Les matériaux modernes et son principe de fonctionnement est susceptible de lui conférer un fonctionnement autonome durant des décennies. Les capteurs présentent en outre l'avantage de ne pas nécessiter d’estuaires, donc de pouvoir être implantés tout le long des côtes donnant sur l'Atlantique, donc aussi le long des côtes belges, hollandaises, anglaises, ibériques .Toutes les côtes où le marnage est conséquent.

Autre avantage : il n’est pas besoin de passer par le stade de la construction d'une grande station expérimentale pour leur mise au point parce qu'ils peuvent être, pour un coût dérisoire, calculés réalisés et testés en laboratoire. Leur modélisation permettra de tester les paramètres de fonctionnement leur conférant les meilleurs rendements. Outre l'exportation d’énergie électrique, l'exportation d'installations et des brevets seront sources de rentrées monétaires, quoiqu’à l’exploiter les susdits pays ne seraient plus importateurs d’électricité. A mettre le programme en route, l’économie européenne en serait complètement relancée. Toutes les industries, en particulier l’industries sidérurgiques, seraient mises à contribution.

 

On m'objectera que je ne suis pas un ingénieur, et que si une telle méthodologie était efficace, il y a longtemps qu’elle aurait été mise en service ...... >>

 

A suivre ...  

  

Partager cet article
Repost0

commentaires