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25 novembre 2014 2 25 /11 /novembre /2014 17:06

La théorie freudienne repose essentiellement sur la reconnaissance de l’existence d’un «complexe», dit œdipien, que Freud aurait découvert à partir d’un souvenir d’enfance.

Freud aurait retrouvé à l'âge adulte - d'après sa lettre à Wilhelm Fliess du 3 octobre 1897 -  le souvenir d’avoir à l’âge de deux ans éprouvé (rêvé) une excitation sexuelle à voir sa mère dévêtue : << Depuis quatre jours mon auto-analyse, que je considère comme indispensable à l'élucidation du problème dans son ensemble (le problème de très la gande fréquence des viols incestueux, ndlr) s'est poursuivie dans mes rêves et m'a apporté des renseigneents et des points de repères très précieux / ... / >> Dans le train qui ramenait sa mère de Leipzig à Vienne.

Pourquoi avait-il fallu qu'Amalia aille à Leipzig sinon pour montrer son fils de deux ans à son père ?. C'est dans le train, au retour de Leizig, et de de nantes à Montaigu, que Freud dit se souvenir qu"à deux ans ilo avait  vu sa mère "nudam" et qu'il en avait eu envie (?!)  

Autrement dit la construction de la théorie œdipienne  tient à bien peu de chose, puisqu'elle repose sur le souvenir d'un rêve. Or c’est  sur la très vague et incertaine reconstruction de ce  lointain souvenirque Freud l’a échafaudée ! 

Pourquoi s’interdit-on en France de faire observer qu’il s’agit  de la construction dans l’après-coup d’un souvenir-écran (concept freudien) servant à faire coïncider une fiction théorique avec une pseudo réalité, c’est-à-dire de la fabrication d'un souvenir propre à faire tenir debout sa nouvelle théorie du refoulement d’une sexualité infantile débridée.

Le  Dr. Michel Meignant, psychiatre et psychanalyste, a fini par découvrir, grâce aux recherches que le américain psychanalyste Jeffrey Moussaïeff  Masson a faites à partir des « Archives Freud »  que Freud  était un mystificateur  plus soucieux de faire carrière  que de faire véritablement œuvre scientifique.  Michel Meignant  en a fait un film, intitulé  "L'affaire Freud", sorti en 2012 mais bien peu diffusé. Le film est cependant  disponible en DVD. Il est peu probable qu’il soit diffusé à la télévision, ou s’il l’est, il est à parier que ce sera à des heures très tardives et sur des chaînes restées confidentielles.  

Freud a cherché à faire tenir debout une théorie de l’origine  pulsionnelle des angoisses névrotiques après qu’il les a dans un travail  précédent plus réalistement attribuées à des souvenirs conscients de violences incestueuses (dans un exposé de cas  coécrit avec son mentor Josef Breuer, paru en 1895 sous le titre  « Etude sur l’hystérie ») . .

A suivre ce que dit la psychologue  Elisabeth Loftus des souvenirs induits par la psychanalyse, on peut, et même on doit contester l’authenticité du souvenir de Freud d’avoir éprouvé une excitation sexuelle devant la nudité de  sa mère ; mais à partir du moment où l'on admet que son souvenir est vrai, il convient de s'interroger sur la personnalité d'Amalia Nathansohn,

La jeune mère de Freud n'aurait-elle pas de façon perverse cherché à séduire (à exciter sexuellement) son fils après qu'elle-même a été séduite et excitée par son père, et a eu des relations sexuelles fécondes avec lui (selon  que la psychanalyste Françoise Dolto de telles relations sont consenties lorsqu’elles ont lieu). C'est ce que, fine mouche, la psychanalyste Gabrielle Rubin laisse entendre dans son exégèse intitulée "Le roman familial de Freud", qui s’inspire des solides recherches de la sociologue allemande Marianne Krüll ("Freud fils de Jacob") et de la psychanalyste Française (réputée à tort ou à raison « lacanienne ») Marie Balmary ("L'homme aux statues, la faute cachée du père"). Les recherches de ces dernières avaient été menées et publiées dans les années 1970. Elles ont valu à Marie  Balmary d’être ostracisée par la gens psychanalytique.  

Après que Freud a compris que la formulation de son hypothèse de l’étiologie incestueuse de l’hystérie ne pouvait que lui barrer la route du succès, et non pas comme il l’avait tout de suite espéré le propulser vers la fortune et la célébrité, Freud a officiellement, mais non pas intimement, répudié sa profession de foi sur les violences incestueuses commises sur les enfants et les adolescents comme étant la cause réelle des angoisses jusqu’alors inexpliquées des ces enfants une fois  adultes. Sa proposition avait été trop mal accueillie par ses pairs.  Pour n’avoir pas à se déjuger complètement tout en maintenant l’hypothèse d’une origine incestueuse, il inventa la reviviscence dans l’inconscient des adultes de pulsions incestueuses vécues dans l’enfance.

Pour les besoins de sa cause, Freud inventa le Surmoi,  représentant sur le plan fantasmatique le père vécu dans l’enfance comme terrorisant et castrateur dans la défense de ses prérogatives charnelles. Freud aurait eu l’idée d’appeler cette angoisse « le complexe d’Œdipe » après qu’il a assisté une représentation d’Oedipe Roi.

Il fallait en conséquence tâcher d’amener les patients à reconnaître l’inanité de cette angoisse de reviviscence inconsciente d’émois amoureux archaïques en les faisant revivre plus consciemment dans un transfert analytique afin qu’ils puissent être liquidées, les revivre sous hypnose s’étant révélé insuffisant.

En attribuant le surgissement des angoisses à des pulsions infantiles restées inconscientes mais agissantes, non seulement Freud ne risquait plus de déplaire à des adultes éventuellement amateurs de tendrons, mais il leur livrait sur un plateau un fameux alibi. Leur victimes n’étaient plus que des victimes de fantasmes. Ainsi le psychiatre et « psychanalyste » Samuel Sabatier s’est-il empressé dans d’expliquer « Le Monde » du 8 février 2006 qu’à Outreau les enfants n’avaient été victimes que de leur inconscient !

Après avoir reconnu la cause votre de angoisse dans une cure dite « didactique », vous pouvez prétendre être « psychanalyste ».

Il vaudrait mieux appeler le complexe d'Oedipe "le complexe de Freud" - voir la définition qu'en donne lui-même Freud en 1938 dans son "Abrégé de psychanalyse".

Au sujet de ce « complexe » , Franck Sulloway commet une lourde erreur, pour ne pas dire une lourde faute à la fin de son savant ouvrage sur « Freud, biologiste de l’esprit » lorsqu'il croit pouvoir dire que Freud a malgré ses erreurs et sa mauvaise foi découvert le "complexe universel" d'Oedipe.

Ce complexe n’a rien d’universel. Il était propre à Freud – uni-vers-celle qui lui avait donné naissance à partir de relations incestueuses avec son père, il est donc aussi et surtout être relatif à sa condition d'enfant né d'inceste, à son "équation personnelle", en racine² de moins un, une équation que Freud n'aurait pas su résoudre, selon Jacques Lacan,

Les psychanalystes orthodoxes - excepté 1% des lacaniens  - sont tenus de tenir pour réelle et incontournable l'existence du complexe d'Oedipe (dixit Alain de Mijolla).

Mais à partir du moment où l'on admet qu'il correspond à la réalité, il convient de s'interroger sur la personnalité d'Amalia Nathansohn, la jeune mère de Freud. N'aurait-elle pas de façon perverse cherché à séduire (à exiter sexuellement) son fils après qu'elle-même a été séduite et excitée par son père, et a eu des relations sexuelles fécondes avec lui (consenties ou non - quoique que la psychanalyste Françoise Dolto ait prétendu qu'elles étaient consenties quand de telles relations avaient lieu). C'est ce que, fine mouche, la psychanalyste Gabrielle Rubin laisse entendre dans son exégèse intitulée "Le roman familial de Freud", inspiré des solides recherches de la sociologue Marianne Krüll ("Freud fils de Jacob") et de Marie Balmary ("L'homme aux statues, la faute cachée du père") . Ces recherches ont été menées dans les années 1970.

Le Dr. Gérard Lopez, psychiatre et fondateur d'un Institut de Victimologie et animateur de colloques relatifs à dénonciation de la maltraitance envers les enfants, dans son livre "Enfants violés, enfants violentés, le scandale oublié" (Dunod 2013) commet presque la même erreur que Sulloway, page 58, quand il confond le complexe d'Oedipe avec l’universalité de l’interdit d'inceste", (ce qui est frappé de tabou est de parler de sa très fréquente transgression dans les couches – c’est le mot – dites « supérieures » de la société, cf. ce qu’en dit le psychiatre Belge Marc Reisinger ) mais cette confusion est en soi significative du point de vu analytique. Le Dr. Lopez ne tarit pourtant pas d'éloges sur l'ouvrage de la psychanalyste Marie Balmary, qui à propos de ce complexe parle pudiquement de "parabole".

 

Jacques Lacan avait compris que la famille Freud était, comme la sienne, une famille "yau de poêle" (Cf. Elisabeth Roudinesco, « Généalogies » 1994 et Gabrielle Rubin).

 

Freud serait ainsi le fils de son grand-père maternelle, d'où la "pertinence" de ses théorisations par rapport à lui-même et par rapport à son ex-patient secret (Adolfus H.), sa problématique se situant comme la sienne en "racine carrée de moins un", ainsi que le professait Jacques Lacan (Cf. ses séminaires, notamment son commentaire sur "la lettre volée" et sur le réapparition du forclos dans les délires, dont celui de Freud avec son « complexe »).

 

Sigismund Freud a pris soin de cacher qu’il avait donné de mauvais conseils à Adolfus Hitler, des conseils qui se sont révélés aussi dangereux que vains, puisqu’A.H. n’avait pas, en les suivant, réussi à se faire reconnaître de la famille dont il se prétendait originaire.

 

Mais de cette relation avec A.H. venu le consulter après la mort de sa mère rend compte non seulement de certains aspects des spéculations théoriques de Freud (notamment de l'invention du "roman familial du névrosé" paru en 1909, c'est-à-dire compte tenu de ce que A.H. lui avait raconté).

 

Après que son ex-patient est devenu le führer autrichien des l'Allemands – Freud ne pouvait pas le dire autrement que sous une forme paradigmatique Il n’avait pas pu s’empêcher de repenser à l’histoire de Moïse, qu’il eut du mal à oser faire paraître. Dans "Moïse et le monothéisme", Moïse est un égyptien conduit des Hébreux vers la Terre Promise, à l’instar de son ex patient conduisant les Allemands vers un nouvel avenir – bien que l’avenir d’un illusion) , mais aussi pourquoi Adolfus Hitler avait fait preuve de bravoure et risqué sa vie en s'engageant dans l'armée allemande en 1914 afin de se montrer "digne" et se faire reconnaître de sa prestigieuse famille originaire. A. H. lui avait dit qu’il en était issu (d'où son prénom, initialement Adolfus, comme celui de Freud, amputé de deux lettres trop signifiantes - lire Joachim Fest et Ron Rosenbaum, et le « concept » freudien du « roman familial du bévrosé ».

 

C'est probablement ce qui explique que Claude Lanzman - qui a bien connu cette grande intelligence qu’était Jean-Paul Sartre, – et pour cause, ne tient pas à ce que cela puisse trop se savoir.

Contrairement à George Steiner, Claude Lanzman interdit toute essai compréhension psychologique du personnage, sur ce qui a motivé le renversement de ses sentiments vis à vis de sa famille originaire "en racine carré de moins un" (lire aussi le "Hitler" de François Delpla, Grasset, décembre 1999, préfacé par Alexandre Adler). Quoiqu'il en soit Freud avait à l'encontre des "malades mentaux" les conceptions d'A..H.. Il confessait en privé que les malades l'insupportaient, qu'ils n'étaient que de "racaille", du "matériel" ne servant qu'à ses recherches à le faire vivre. Que le mieux serait d'en faire des cargaisons pour les couler. Freud et A.H. étaient non seulement proches spirituellement, via leur commune lecture de Schopenhauer et de Gustave Le Bon, mais aussi géographiquement, via leur commune villégiature à Berchtesgaden. Mêmes causes mêmes effets ? Je n'irais pas jusque là : la stérilisation des "malades mentaux" étaient à la mode, pratiquée en Suède dans les années 1930 ! Suivants des "concepts" pseudo-scientifiques répandus dans les ouvrages de médecine jusque dans les années 1947 et même au delà (Cf. le livre du Dr. Dr Leriche, intitulé "Cancérologie", quasiment toutes les maladies relevaient de la hérédo-dégénérescence syphilitiques, du diabète en passant par le cancer et les maladies mentales, donc y compris l'hystérie et la psychanalyse, une maladie inventée par Freud pour être à elle-même elle-même sa propre thérapie, persiflait Karl Kraus (lui-même accusé d'être atteint du délire antisémite de la "haine de soi d'être juif "). Le gros livre de Franck J. Sulloway "Freud, biologiste de l'esprit" (Fayard 1979) est trop peu connu en France alors qu'il apporte des informations essentielles à connaître sur la personnalité de Freud, qui se disait hystérique - donc hérédo-dégénéré selon les critères de l'époque - alors qu'il était un mégalomane paranoïaque.

Mais il faut savoir que l'hystérie est dans sa causalité et dans ses aspects cliniques  voisine de la paranoïa. Adolf Hitler en est un des meilleurs exemples (prénommé Adolfus, dans la biographie de Joachim Fest, certainement en référence à des origines réelles ou supposées), Hitler avait été diagnostiqué "hystérique" par le psychiatre Edmund Forster lorsqu'il était hospitalisé à Pasewalk en octobre-novembre 1918, victime des gaz de combat. Freud avait comme Adolfus Hilter supprimé deux lettres à son prénom, Ses parents avaient prénommé Sigismund.

Le directeur de thèse de Marie Balmary, le Dr. Jean Laplanche, lui avait refusé l'onction psychanalytique, au prétexte qu'elle avait dans son travail fait oeuvre de "sociologue", et non pas de psychanalyste. ("L'homme aux statues" est la publication en 1979 de son Mémoire refusé par Jean Laplanche.

Jacques Lacan s'était inquiété de ce qu'elle aurait comme lui compris "l’équation personnelle de Freud ", à laquelle Freud n’aurait  pas lui-même su accéder, sauf à passer ce qu’il avait appris de la bouche de son ex patient Adolfus Hitler - qu’il ne s’est évidemment jamais vanté d’avoir eu pour patient, sauf à comprendre pourquoi il a tenu à publier « Moïse et le monothéiste » ; où Freud éprouve le besoin - dans un déplacement paradigmatique exemplaire de rien, après que son ex patient a accédé au pouvoir - de Moïse l’ Egyptien le führer des Hébreux, à l’instar d’Adolfus l’Autrichien qui s’est fait le conducator des Allemands

Jacques Lacan avait ipso-facto convoquée Marie Balmary rue de Lille histoire de voir ce qu’elle en savait.

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23 novembre 2014 7 23 /11 /novembre /2014 22:15

Il vaudrait mieux appeler lcomplexe d'Oedipe le complexe de Freud ou même le complexe des dupes, voir en effet la définition qu'en donne Freud lui-même en 1938 dans son "Abrégé de psychanalyse". 

La théorie freudienne repose esentiellement sur le souvenir qu'avait Freud d'avoir à l'âge de 4 ans éprouvé une exitation sexuelle à voir sa mère dévétue, c'est-à-dire sur bien peu de chose, pour ne pas dire sur du vent.  

A suivre ce que dit Elisabeth Loftus des souvenirs induits par la psychanalyse, on peut, et même on doit, contester la réalité de ce très lointain et très incertain souvenir.

Mais à partir du moment où l'on admet qu'il correspond à la réalité, à du vrai, il convient de s'interroger sur la personnalité d'Amalia Nathansohn, la  jeune mère de Freud. 

N'aurait-elle pas de façon perverse cherché à séduire (à exiter sexuellement) son fils après qu'elle-même a été séduite et excitée par son père, et a eu des relations sexuelles avec lui (consenties ou non - quoique que la psychanalyste  Françoise Dolto ait prétendu qu'elles étaient consenties quand elles avaient lieu)  jusqu'à en obtenir réellement un enfant, ainsi que, fine mouche, la psychanalyste Gabrielle Rubin le laisse entendre dans son exégèse  intitulée "Le roman familial de Freud", inspiré des recherches de la sociologue Marianne Krüll  ("Freud fils de Jacob"et de Marie Balmary  ("L'homme aux statues, la faute cachée du père" ) menées dans les années 1970 ? 

Le gros livre de Franck J. Sulloway "Freud, biologiste de l'esprit" (Fayard 1979) est trop peu souvent cité en France alors qu'il apporte des informations essentielles à connaître sur la personnalité de Freud, qui se disait hystérique alors qu'il était mégalomane et paranoïaque.

Mais on sait que l'hystérie est dans sa causalité et dans ses aspects cliniques voisine de la paranoïa.

Adolf Hitler (Adolfus, dans la biographie de Joachim Fest, publiée en 1973), est un des meilleurs exemples, qui fut diagnostiqué "hystérique" par le psychiatre Edmund Forster lors de son hospitalisation à l'hôpital de Pasewalk en novembre 1918.

Freud avait comme Adolfus Hilter amputé son prénom de deux lettres  Il se prénommait en réalité Sigismund; une amputation qui serait à l'origine de son cancer de la bouche, selon le délire psychanalytique du Dr. Bernard This

Sulloway commet une erreur à la fin de son ouvrage parce qu'il croit pouvoir dire que Freud a malgré tout découvert le "complexe universel" d'Oedipe. Ce complexe était propre à Freud, à sa condition d'enfant né d'inceste, à son "équation personnelle" en racine de moins 1, qu'il n'aurait, selon Jacques Lacan, pas su résoudre. 

Le Dr. Gérard Lopez, psychiatre et fondateur d'un Institut de Victimologie,  dans son livre "Enfants violés, enfants violentés, le scandale oublié" (Dunod 2013) commet presque la même erreur page 58 de son livre, quand il confond le complexe d'Oedipe avec le "tabou de l'inceste", mais cette conclusion est en elle même significative des confusions sprituelles qu'entraînent l'inceste. 

Le Dr.  Lopez ne tarit pourtant pas d'éloge sur l'ouvrage de la psychanalyste Marie Balmary, qui à propos de ce complexe parle de "parabole", pour ne pas avoir à parler de "fantasmes".

Le directeur de thèse de Marie Balmary, le Dr. Jean Laplanche , lui avait refusé l'onction psychanalytique, au prétexte qu'elle avait dans sa recherche ("L'homme aux statues" est la publication en 1979 de son Mémoire refusé) fait œuvre de "sociologue", et non pas de psychanalyste.(dite à repasser par les uns, à savon par les autres)

Tout  psychanalyste est tenu pour tenir pour factuelle l'existence de ce complexe  (dixit Alain de Mijolla). 

Freud aurait appris à lire à l'âge de 4 ans dans le Bible de Philippson, une bible que son père lui aurait ensuite offert pour son 35 ème anniversaire, une Bible qui curiosement commence par la page 423 (ou 427), ce dont ne fait pas état Franck Sulloway cependant que Marie Balmary, longtemps ostracisée par les freudiens, n'a pas manqué de relever cette "anomalie" dans la seconde édition de son exégèse intitulée ",L'homme aux statues".

 Selon Marie Balmary il ne s'agit pas d'une erreur de pagination, mais d'un message destiné à faire connaître au fils une information trop difficile à dire, et à cause de cela délivrée de façon cryptique, un message codé que Freud, n'aurait pas su décrypter. 

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5 novembre 2014 3 05 /11 /novembre /2014 16:32

En inventant l'existence d'un complexe d'Oedipe Sigmund Freud a commis un éblouissant aveuglement volontaire.

Eblouissant parce qu'il a aveuglé la gens "psy" en même temps que lui-même, qui a finit par y croire.

Ceux qui, comme Jacques Lacan, avaient compris de quoi il retournait - l'équation personnelle de Lacan l'y prédisposait - se gardaient de le révéler. 

Freud se doutait - inconsciemment bien sûr, et personne ne pourra démontrer le contraire, puisque tout ce qui est de l'ordre de l'inconscient n'est pas réfutable - qu'il n'était pas né de papa Jakob Freud, mais d'un inceste père-fille.

Son père biologique n'était pas Jakob Freud, mais plus certainement Jacob Nathanson, comme l'a en 2002et c'est mpardonnable, exposé une psychanalyste chevronnée, Gabrielle Rubin, à partir de sa lecture de Marianne Krüll ("Freud fils de Jacob", Gallimard 1984, bibliothèque de l'inconscient, et de Marie Balmary ("L'homme aux statues", Grasset 1979, réédité en 1997, après qu'une découverte est venue étayer sa thèse de "la faute cachée du père").

Pour ne pas être ostracisée, Gabrielle Rubin a par la suite sabordé sa démonstration en commettant sciemment une erreur que "même un candidat de première année à la profession de psychanalyste ne ferait pas"  (dixit Elisabeth Roudinesco) : dans un petit essai sur paru en 2007 chez Payot, elle a fait de Bertha Pappenheim - plus connue sous le nom d' "Anna O" -  une patiente de Freud.

Le pseudonyme de cette jeune et jolie (?) patiente de Josef Breuer donne à penser que celui-ci en avait fait sa maîtresse. Il dû s'en débarrasser parce que de ses relations avec elle - il avait avec elle durant plus d'un an passé deux à trois heures par jour tous les jours de la semaine - s'est traduite par une grossesse, qui nécessita son hospitalisation en Suisse, à Kreutzlingen, Clinique Bellevue, cependant que sa grossesse n'était qu'hystérique, selon les lumineuses explications d'Ernest John, c'est-à-dire qu'elle n'était que le fruit du désir inconscient de cette femme-enfant qu'était Anna O d'avoir un enfant de son Papappenheim, le papa qu'incarnait dans son inconscient transférentiel Josef Breuer. 

Son désir était inconscient parce que refoulé, et refoulé parce que frappé d'interdit, et frappé d'interdit parce que l'inceste l'est universellement, et il l'est universellement parce qu'il est laid, et il est laid parce qu'il donne naissance à des êtres monstrueux, comme l'a montré Norman Mailer dans "Château en forêt".  

Son état d'enfant né d'un inceste rend compte de sa conception de la sexualité infantile, à savoir que les petites filles de trois-quatre ans ne désirent rien tant que d'avoir un enfant de leur père alors qu'elles ignorent quasiment tout des implications de l'acte sexuel, sauf quand leur père est incestueux.  De même pour les petits garçon avec leur mère.

En France deux millions de femmes auraient eu un père (un frère ou un oncle) incestueux, ce qui représente environ une femme sur dix.

En victimologie, on estimait en 1997 la fréquence de l'inceste père-fille en France à 5% (estimation donnée à l'Institut médico-légal de Paris)

De nombreux enfants naissent ainsi d'incestes, ce qui n'empêche le psychiatre-psychanalyste Alain de Mijola d'avoir confié à Roger Perron le soin d'écrire le chapitre "inceste" de son gros "Dictionnaire international de psychanalyse", qui prétend que les vrais incestes sont très rares, que les incestes allégués sonpour la plupart imaginaires, qu'ils relèvent de fantasmes "oedipiens" (dictionnaire publié en 2002 chez Calman-Lévy. Ce gros dictionnaire auquel auraient participé 460 rédateurs,  aurait été  "entièrement revu et mis à jour en 2005").

Roger Perron a commis "Le compexe d'Oedipe" dans un "Que sais-je"   

Moralité, s'il y en a une à tirer avec Anna O, plus les conceptions sont grosses des pères, mieux elles passent ... 

Il serait temps de renommer cette invention "Le complexe de Freud"

Un complexe qui explique que Freud se prenait - inconsciemment - pour le Messie, et que Elisabeth Roudinesco ait pu, dans son propre dictionnaire de psychanalyse, accuser Marie Balmary d'avoir voulu "christianisé Freud". 

P.S.  Faire un petit tour du côté de  chez Eva Thomas, qui a fondé SOS inceste et écrit  "Le sang des mots" (paru en 2002, chez DDB, et demandez-vous pourquoi Jacques Lacan a tenu avait à rencontrer Marie Balmary après qu'elle a publié "L'homme aux statues

Marie Balmary  et Marianne Krüll avaient touché à l'Arbre interdit   

Jacques Lacan garDieu du complexe des dupes, le mauvais "esprit du Divan" qui m'anime. 

......  

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 18:41

Le concept de  "forclusion-du-nom-du-père" revient à Jacques Lacan, le sien ayant été "forclos" en tant que père dans la mesure où son grand-père paternel était l'amant de sa mère (d'après une enquête menée par "l'historienne de la psychanalyse" qu'est Elisabeth Roudinesco. Cf. "Généalogies", paru en 1994 et écrit en collaboration avec Serge Wasserstrüm),

 

Ce qui aurait pu ou dû être le véritable patronyme de Sigmund Freud serait Nathansohn, ainsi il est licite de le conjecturer d'après l'analyse que la psychanalyste Gabrielle Rubin  de son concept de "roman familial du névrosé", un concept que Freud n'à lancé sur le marché qu'en 1909, c'est-à-dire à 53 ans, donc bien tardivement alors que l'on serait en droit d'attendre qu'il aurait pu et dû le proposer bien plus tôt.

 

Essayons de voir ce qui aurait l'amener à faire cette découverte.

 

A l'époque un jeune homme répondant au nom d'Adolfus Hitler se trouvait désemparé. Il venait de perdre sa mère, et selon le Dr. Bloch, qui l'avait longuement soignée, jamais il n'avait connu personne aussi profondément affectée par la mort d'une mère.

 

Ne serait-ce pas parce que Freud avait  peu avant 1909 reçu la visite de ce jeune homme désemparé qu'il a mis ce concept sur le marché des idées ?

Celui-ci ne lui aurait-il pas raconté qu'il se savait ou se croyait le descendant d'un haut personnage.   Notons que sa mère ou son père avaient tenu à prénommer leur fils Adolfus (d'après Joachim Fest, 1973)

 

Ne serait-ce pas pourquoi ce patient, convaincu de sa haute origine, s'est engagé dans l'armée allemande en 1914 afin de prouver à sa famille originaire supposée les raisons qu'elle aurait de l'accepter comme faisant partie de la famille ?  

 

Ne serait-ce pas parce que malgré ses hauts faits et ses décorations , commis au risque de sa vie, il n'y a pas été admis que son admiration s'est muée  en son contraire ?

 

Ne serait-ce pas parce que son admiration pour son illustre ancêtre et son espoir d'être reconnu de sa "vraie" famille  ont été tourné en dérision  que cette admiration a tourné au vinaigre et à la haine pour la communauté à laquelle il pensait appartenir que Freud conseilla à ses disciples de ne jamais se faire l'analyste d'un "ami",  son peine de le perdre en tant qu'ami, voire de s'en faire un ennemi mortel ?

 

Ne serait-ce pas parce que cet "analysand" viennois est arrivé au pouvoir en Allenagne en 1933,  alors qu'il était autrichien,  que Freud a conçu l'idée - très contreversée - que Moïse pourrait ne pas avoir été juif  ?  

-/-  

René Pommier, en libre penseur rationaliste, déclare  que Freud était fou, ainsi qu'il a essayé de le soutenir  dans "Freud était fou, et Freud a tout faux", Ed. De Fallois 2008.

 

De René Girard, il ne dit pas qu'il était fou, mais d'une prétention démesurée.

 

Freud n'avait  certes pas "tout faux". Il  avait  "naïvement" bâti sa doctrine sur gros mensonge, celui que lui avait raconté son mentor Josef  Breuer au sujet de sa patiente-amante Berha Pappenheim, alias Anna O,  qu'il s'était attaché en faisant d'elle une morphinomane pour la guérir de ce qui pouvait avoir été une SEP, une maladie à éclipse, qui parfois guéri toute seule.     

 

Freud  avait par la suite, entre autres stupidités,  affirmé que la paranoïa était liée au refoulement de désirs homosexuels.  Rien que cette assertion aurait dû le disqualifer à tout jamais. L'incompréhensible est qu'il ait pu aligner et imposer jusqu'à nos jours ses doctrines délirantes à la psychiatrie française, qui continue de "marcher sur la tête", pour reprendre l'expression que le Dr. Pierre Sabourin utilise pour qualifier certaines familles, qui, comme celle de Freud, fonctionnent à l'envers (Cf. le cas du père de  "Sylvie", rapporté par  Isabelle Rome, dans "Vous êtes naïve, Madame le Juge" Ed. du Moment, sept. 2012, chap. XVIII p; 151 - 156).

 

Rien d'étonnant à ce que Freud se soit entiché du délirant kabbaliste W. Fliess, qui servit de tremplin à ses divagations, abusivement dites  "psychanalytiques" (Cf. l'étude magistrale de Jeffrey Moussaïeff Masson à ce sujet, "Assault on truth" (titre français : "Le réel escamoté",  parue en France en 1984 chez Aubier Montaigne,  et celle de Franck Sulloway "Freud, biologiste de l'esprit", tout aussi éclairante sur la mythologie fraeudienne.  

 

Le délire freudien ne relève pas simplement  de l'erreur de raisonnement, mais y puise abondamment. Comme le nazisme, le freudisme relève du délire pseudo-rationnel , et comme les délires, il est contagieux, c'est-à-dire pernicieux.  Qu'un  Adolf Hitler ait réussi à accéder au pouvoir en proférant des idées délirantes (auxquelles il avait comme Freud vis à vis des siennes fini par croire, puisqu'il avait réussi à les imposer à presque tout un peuple) est autrement  incompréhensible.

 

On remarquera que Freud et Hitler ont fait semblant de s'ignorer alors qu'il avaient les mêmes références et pensaient tous les deux en fonction de Gustave Le Bon, qui les avait beaucoup inspiré. Hitler et Muissolini l'avaient lu avant Freud et s'en étaient beaucoup inspiré. L'usage qu'ils en avaient fait pour accéder au pouvoir avait incité Freud à le lire. Il est d'ailleurs vraisemblable,  et même probable,  qu'Hitler ait été consulter Freud quand il était à Vienne, à l'époque où il lui vouait une grande admiration, en tant que juif, une admiration qui s'est par la suite, par opportunisme, tournée en son contraire en 1919 - Cf. Ron Rosenbaum, 1998, Walter Langer, 1973 Ed Denoël, François Delpa, 1999, + Books de février 2014).

 

L'ascension d'Hitler au pouvoir et le "fait" (qui reste à prouver) qu'il avait eu Hitler pour patient a peut-être inspiré à Freud le concept du "Roman familial du névrosé" , et  l'idée d'écrire "Moïse et le monothéisme" dans les années 1930, et a en retarder la publication,  Hitler ayant accedé au pouvoir -un Hitler qui lui aurait confié qu'il était le petit-fils d'un très haut personnage (Cf. Ron Rosenbaum).    

  

-/-

 

Identifié à Freud, Jacques Lacan affirmait que la psychanalyse était un délire (un délire anal-O-gique, aujouterais-je).

 

De fait, Sigmund Freud était, comme Adolf Hitler et Jacques Lacan un paranoïaque "critique", c'est-à-dire mythomane et conscient de l'être. Suivons les sur ce terrain.

  

Le grand-père parternel de Jacques Lacan aurait été l'amant de sa mère. Ce n'est pas moi qui l'affirme, mais Elisabeth Roudinesco. Elle l'a rapporté en 1994 dans  "Généalogies", livre à la rédaction duquel aurait collaboré le psychiatre toulousain Serge Wasserstrüm (selon les dires d'icelui). 

 

Dans son analogisme, Jacques Lacan voyait dans "la forclusion du nom du père" l'origine des délires paranoïaques, et partant celui de Freud (ce en quoi je peux le suivre).

   

La "théorie" psychanalytique procède effectivement du délire paranoïaque, mais aussi de l'opportunisme.

  

Enfait de théorie, il s'agit d'une doctrine tout à la fois opportniste et projective  

 

Suivant cette logique, le nom du père de Freud devait avoir été forclos, et puisque selon Lacan rien de plus réel que le délire, la doctrine freudienne révèle ce qu'elle cache.

  

De même que l'anti-sémitisme d'Adolf Hitler était opportuniste et révélait ce qu'il cachait.  

 

Et que révèle-cache la doctrine freudienne  ?

 

Que les filles ne désirent rien tant que d'avoir un enfant de leur père.

  

Il se pourrait donc  ue Freud soit le fils de son grand-père maternel. Un inceste aurait donc présidé à sa naissance comme à celle de son délire doctrinaire.      

 

C'est bien  ce qu'a montré la psychanalyste Gabrielle Rubin dans "Le roman familial de Freud" (Payot 2022) après que Marie Balmary, l'a malagré elle suggéré quelques années plus tôt dans "L'homme aux statues - la faute caché du père" (Grasset 1997). 

 

Slut för idag .....................  

 

 

Freudisme et délire de haine.  (texte provisoire )

  

Le professeur Henri Baruk était psychiatre et fils de psychiatre. Il vouait une grande admiration pour son père, mais à Sigmund Freud une haine tenace et a priori incompréhensible. Une détestation qui faisait qu'il aurait été, pour répéter son expression, de plein pied avec le père d'Elisabeth Roudinesco, qui voyait aussi en Sig(is)mund Freud un charlattan patenté.

 

J'en étais resté interloqué. Henri Baruk avait été, dans sa colère, juqu'à mettre Sigmund Freud sur le même plan qu'Adolf Hitler.

 

Hitler, selon Joachim Fest, se serait prénommé Adolf us.

 

Hitler et Freud avaient donc au moins en commun - avec une résidence à Berchtesgaden - qu'ils ont fait supprimer de leurs prénoms respectifs deux lettres, portant ainsi atteinte à la valeur kabalistique de leurs noms et prénoms respectifs, ce qui aurait modifié le cours de leur destinée (donc de l'histoire), ainsi que l'a prétendu le psychabalyste Bernard THIS.

 

Le psychiatre Bernard This (dit la B.Thise) a vu l'origine du cancer de la bouche de Freud dans l'amputation d'un I et d'un S de son prénom, bec-cause Tot M-und Tabou - et bec-cause Sieg-is-Mund. Ainsi, suivant le, même genre de raisonnement analOgique (l'intelligence des psychanalystes comme celle Freud est analogique), Adolf Hitler a inconsciemment programmé sa défaite en supprimant U et S de son prénom (de peur de dévoiler une origine inavouable ! ? ), au lieu de s'allier l'US army, Adolf se l'est mise à do-lf.  CQFD la preuve par B. This faite homme. Car c'est ça le propre du fraeudo-lacanisme. Le psykabaliste Gérard Haddad ne sait apparemment pas qu'Henri Baruk détestait Lacan encore plus qu'il destestait Freud (qu'il confondait  manifestement avec Henri EY lorsque je lui en ai parlé ).

Ne comprenant pas comment un psychiatre chevronné (Henri Baruk), qui avait sous l'occupation porté l'étoile jaune, pouvait mettre ces deux personnages  (Freud et Hitler) sur le même plan, j'ai cherché à comprendre. 

 

Le "Science et pseudo-sciences" de décembre 2010 (n° 293) croit avoir dévoilé les dessous de la psychanalyse mais ne semble pas avoir compris que l'oeuvre de Freud est un grand cache-misère. Sa doctrine mythologique permettait - et permet encore - de nier des réalités inavouables  (la révélation de l'inceste qui est inavouable).

Au moins une femme sur ving est victime d'inceste paternel.  Les femmes des classes dites bourgeoises en sont autant sinon plus que les autres victimes. Les filles ou petites filles de médecins n'y échappent pas plus que les autres, ainsi que j'ai pu le constater dans des groupes de paroles, et ainsi qu'en font état certaines d'entre elles actuellment  (lire Valérie Talmont, "Inceste", page 123, collection "J'ai lu", 2004.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 15:09

Élisabeth Roudinesco, propagandiste de la causa-nostra fraudOlacanienne, Sainte-Eroge "pourquoi tant de haine", elle qui tient l'imbécillité pour une perversion et passe pour historienne de la psychanalyse.

 

Pour Jacques Lacan l' objet petit a  (ou petit tas ... ) représente l' "objet du désir".

Son langage structuré comme l'inconscient est saturé de mots pris les uns pour les autres. Petit a représente  tout ce que l'être On veut et tout ce qu' Il ne veut pa

Le dOctionnaire de psyka (Larousse) dit que c'est le désir de succion du sein et les fécès. L'Être "On" cherche donc à s'approprier ce dont il devrait se débarrasser pour aller moins mâle. L'objectif de la cure analytique étant de se déprendre de Freud et de ses dangereuses constructions, de son  désire-délire de haine, de son  complexe d'Oedipe, qui n'est qu'une fable à usage personnel, de son vrai-faux père-bio, de son embrouille familiale spécifique prise pour paradigme de l'universel. L'Être "On" le déteste, car malgré tout le bien qu'il en dit côté pile, il en dit pis que le pendre côté face. Mais surtout, gardez-vous de comprendre, disait Lacan.. Vous finirez par comprendre que l'Etre "On"  vous mène en bateau.

Provisoirement, la réponse partielle autant que projective à la question d'Elisabeth pourrait être celle-ci : à partir de lui-même en parano, Freud, a fait coup double. Que l'On sache pas ce qu'il en était de lui-même.  Semer le bordel en mettant la mémoire des dupes à l'envers. A la fin le psyka s'y retrouve (Cf. sur le Net "La méditation de l'étreinte" à la  Charles Caille. Gabrielle Rubin ne s'y était  pas laissé prendre, qui s'était  montrée futée en 2002 quand elle a publié son "Roman familial de Freud" (chez Payot). Beaucoup trop futée. Il lui a fallu ne plus l'être. Elle fit publier en 2007 "La haine et le pardon", où Anna O devient comme par enchantement une patiente de Freud, alors qu'elle était la jeune et jolie talkative mistress du bon Dr. Josef Breuer, avec qui Anna O s'était tous les jours de la semaine et durant dix mois livrée à trois heures de chimney sweeping (sic). Jusqu'à en faire une grossesse nerveuse, qui donna naissance, en Suisse, à Kreuzlingen, Clinique Bellevue, une grande petite, née sous X. Freud la recueillit des mains de son géniteur (Josef Breuer). Freud,  pour lui donner un nom appela la "fille"  conçue par et Josef Breuer et "Anna O", Lise, fille de Psika, et la remis à Freud, son père adoptif. D'enfant adOpté il devint père adOptif. Madame Mathilde Breuer, délaissée, en avait fit une dépression et une TS. Gabrielle Rubin se faisait par là pardonner son impair. Sa thèse ne pouvait plus être prise au sérieux.
 

Psychiatre anti Freud virulent, H. Baruk pensait avoir avec  "le délire de haine" identifié une entité psychiatrique à part rentière.  Complexe de nom-dupe oblige. Lacan avait depuis longtemps compris la forclusion de son nom à l'origine de sa délirante théorie.

Un délire paralogique, c'est-à-dire paranoïaque, est génialement illustré dans ses effets ravageurs. Mais son délire, à l'instar des toutes les maladies, peut s'étendre à tout un groupe, à tout une population, voire à tout un pays pourvu que le "terrain" s'y prête. L'intoxication logomachique et l'abêtissement programmé, fléau des temps modernes, ont fait  que les affections non contagieuses le sont devenues. Le fraudisme *, l'hitlérisme, le maoïsme, les délires mystiques, la fibro-myalgie, la numérologie - à laquelle Freud un temps s'adonna épèredument avec Fliess, se sont abattus sur le monde avant de retomber comme des soufflés au fromage de Hollande, pour de redevenir quiescents.

Ces délires sont plus ou moins virulents et ravageurs. Ils peuvent ressurgir sous une autre forme à la moindre occasion pourvu que  le climat et le terrain s'y prêtent. Cf. le dieudonisme. Avec le nom de son héraut, le terrain et le climat s'y prêtent. Et de héraut à héros, il n'y a que deux voyelles à dévoyer. Un échange de gènes a-logiques permet que sa virémie puisse passer d'un anti-frontisme peu virulent à un frontisme virulent.

 

L'objet petit "a" sert de clée à ces transitions sémantiques et idéologiques.

NB. Tout neuropsy aura remarqué que l'auteur de ces lignes est lui-même frappé de lacanisme, c'est-à-dire d'un délire qui a manifestement à voir avec le syndrome "frontal" ?  Attention cependant à ne pas confondre ce syndrome avec le syndrome FN, ou "frontisme", tant le terrain sémantique est glissant et de termes minés. Le délire FN est actuellement en voie d'expansion, puisque le terrain et le climat s'y prêtent. On le voit bien avec le cas de Dieudonné. Les virus deliriumae échangent leurs gènes sémantiques dans l'arène idéologique. Pour prendre un exemple né du mensonge : "On", en l'spèc"  la sous-directrice du CHU de Bicêtre, à l'instigation du Chef du Service de neuro de son CHU, ne s'était pas privé de taxer le fils d'un de ses malades de son avatar en 2004, quand pour la énième fois il a demandé à consulter le dossier de son père déclaré perdu depuis 1991 de son père déclaré perdu l'année précédente en raison de ce qu'il (son père) avait été à cette époque au départ de sa découverte (la découverte de son fils) du "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal". Or c'est depuis 2003  un syndrome dénommé syndrome NDB12PP (voir site 122240261 html l'explication). Une découverte  par laquelle l'être "On" l'accusa en 2004 d'avoir fabriqué à dessein ce syndrome, c'est-à-dire de l'avoir münchhausenisé, pour des raison idéologiques apparentées au syndrome FN.  La dysorthographie consistant à écrire fraudisme au lieu de freudisme n'est pas une faute de frappe ou un lapsus, mais un volontaire un "signifiant-Maître".  

Du point de vue sociétal, la France, qui "marche sur la tête" (cf. Pierre Sabourin, 2004 "Quand la famille marche sur la tête") a mis les pieds dedans la mouise, mais pas du cerveau droit ! Du gauche, celui qui porte au glissement sémantique.   

Mais peut-on en vouloir à Freud d'avoir voulu  se déprendre  de son équation personnelle ?  Comment pouvait-il faire autrement que de biaiser avec  les dix commandements.  Pour Freud comme pour François Hollande et la plupart des gens "normaux", ces commandements sont impossibles à satisfaire ? Ora pro nobis, pauvres amateurs de 365 fromages + un de Hollande,  faussement bio, normal et exemplaire.

Comment Freud  pouvait-il  "honorer son père et sa mère" quand il doutait, et non sans raisons, que son père puisse avoir été son père bio ?  

Mon Confrère psychiatre-psychanalyste "freudo-lacanien" (PPFL) et phallus en moins excellent correspondant,  le Dr. Francis Hofstein, à qui j'ai fait part hier soir de ce que notre Consœur  Caroline Eliacheff avait l'objet d'un blâme le 13 janvier dernier de la part du Conseil disciplinaire de l'Ordre. Caroline Eliacheff ne devrait en aucun cas s'en attrister parce qu'un blâme de la part d'une institution où officient des vieux Conseillers - ils sont parfois jeunes - est un insigne honneur : le professeur Pierre Huguenard en avait été bénéficiaire. Il avait dans une expertise trouvé à redire à une anesthésie dans laquelle un adolescent avait trouvé la mort lors d'une opération des plus bénignes : il avait ainsi manqué au sacro-saint "devoir de confraternité" (Pierre Huguenard était une grande figure de la réanimation et des SAMUs, qu'il avait fondés. Son Confrère et ami le Dr. Xavier Emmanuelli s'en était inspiré pour fonder le SAMU social, n'a pas eu cet honneur.

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28 janvier 2014 2 28 /01 /janvier /2014 17:15

L'objet petit a désigne chez Lacan ce dont on cherche à s'approprier alors qu'il faudrait s'en  débarrasser : tout à la fois Sigmund Freud (et oui, malgré ce qu'il en dit côté face) , le "délire de haine", le complexe d'Oedipe, le père-bio, l'embrouille fondamentale.

"Pourquoi tant de haine" autour de Freud ? interroge Elisabeth Roudinesco.
E.R.  se présente comme une  historienne de la psychanalyse alors qu'elle est une propagandiste marxiste de la théorie freudo-oedipienne. Elle tient l'imbécilité pour une perversion cependant qu'elle (se) demande naïvement, à propos de Freud et de la psychanalyse  "pourquoi la haine ? ". 
 
Provisoirement, la réponse partielle autant que partiale pourrait être celle-ci : parce que Sigmund Freud, a, à partir de lui-même, pris son équation personnelle pour paradigme universel, et par-là foutu la mémoire de tous des dupes "On" à l'envers.
 
E.R. fait, peut-être sans en avoir conscience, écho au concept que le Professeur Henri Baruk, psychiatre anti freudien et a-lacanien virulent (anti-lacanien s'entencieux), pensait avoir identifié, à partir de lui-même, à l'instar de Freud avec le complexe d'Oedipe et de Jacques Lacan  avec la "forclusion du nom du père" (de Freud) , comme de Tout-Un-chaque-Un, une entité psychiatrique nouvelle à part entière.

Ce délire, s'il fallait le reconnaître comme une entité nosologique, a été génialement illustré dans ses manifestations ravageuses, par Stefan Zweig dans "Amok". Mais ce type délire, à l'instar des toutes les maladies - peut s'étendre à tout groupe, à tout peuple voire à  tout un  pays pourvu que le "terrain" s'y prête. Car même les maladies non-contagieuses peuvent le devenir par l'intoxication logomachique et/ou l'abêtissement général programmé, fléau des temps modernes. Cf. le fraudisme *, l'hitlérisme, le maoïsme, les délires mystiques, la fibro-myalgie, la numérologie - à laquelle Freud longtemps s'adonna épèredument - et embraser le monde avant de retomber comme des soufflés au fromage de Hollande, et de redevenir quiescents. Ces délires idéologiques sont plus ou moins virulents et ravageurs. Ils peuvent ressurgir sous une autre forme à la moindre occasion pourvu que  le climat et le terrain s'y prêtent - cf. le dieudonisme.  Là le nom de son héraut, le terrain et le climat s'y prêtent. De héraut à héros, il n'y a que deux lettres. Un échange de gènes a-logiques (l'objet petit "a" en est la clée transitionnelle) permet que sa virémie puisse être passé d'un anti-frontisme à un frontisme virulent.

NB. Quel neuropsy n'aura pas remarqué au passage que l'auteur de ces lignes est lui-même frappé de lacanisme, c'est-à-dire d'un délire qui a manifestement à voir avec le syndrome "frontal" ?  Attention cependant à ne pas confondre ce syndrome avec le syndrome FN, ou "frontisme", tant le terrain sémantique est glissant et de termes minés. Le délire FN est actuellement en voie d'expansion, puisque le terrain et le climat s'y prêtent. On le voit dans  l'affaire Dieudonné. Il faut savoie que les virus deliriumae échangent très facilement leurs gènes sémantiques dans l'arène idéologIque.
Autre exemple :  "On", c'est-à-dire la sous-directrice du CHU de Bic-être, à l'instigation du Chef du Service de neuro de son CHU, ne s'était pas privé de le taxer de son avatar en 2004, quand pour la énième fois il a demandé à consulter le dossier déclaré perdu depuis 1991 de son père déclaré perdu en 1990  en raison de ce qu'il (son père) avait été à cette époque au départ de sa découverte (la découverte de son fils) du "syndrome de carence vitaminque B12 avec test de Schilling normal". Or c'est depuis 2003  un syndrome dénommé syndrome NDB12PP (voir site 122240261 html l'explication). Une découverte  par laquelle l'être "On" l'accusa en 2004 d'avoir fabriqué à dessein ce syndrome, c'est-à-dire de l'avoir münchhausenisé, pour des raison idéologiques apparentées au syndrome FN.  La dysorthographie consistant à écrire fraudisme au lieu de freudisme n'est pas une faute de frappe ou un lapsus, mais un volontaire un signifiant-Maître.  

Du point de vue sociétal, la France, qui "marche sur la tête" (cf. Pierre Sabourin, 2004 "Quand la famille marche sur la tête") a mis les pieds dedans, mais pas que du cerveau gauche ! Surout du droit, le plus apte au glissement sémantique.   

Mais peut-on en vouloir à Freud d'avoir voulu  de se dépétrer de son équation personnelle ?  Comment pouvait-il faire autrement que de biaiser avec  les dix commandements.  Pour Freud comme pour François Hollande et la plupart des gens "normaux" , ils sont impossibles à satisfaire ? Ora pro nobis, pauvres amateurs de 365 fromages + un de Hollande faussement bio et normal-exemplaire.  

Comment Freud  pouvait-il  "honnorer son père et sa mère" quand il doutait, et non sans raisons, que son père puisse avoir été son père bio ?  

Mon Confrère psychiatre-psychanalyste "freudo-lacanien" (PPFL) et phallus en moins excellent correspondant,  le Dr. Francis Hofstein, à qui j'ai fait part hier soir et de ce que notre Consoeur  Caroline Eliacheff avait l'objet d'un blâme le 13 janvier dernier de la part du Conseil disciplinaire de l'Ordre (Caroline Eliacheff ne devrait en aucun cas s'en attrister parce qu'un blâme de la part d'une institution où officient des vieux Conseillers - ils sont parfois jeunes - est un  insigne honneur : le professeur Pierre Huguenard  en avait été bénéficiaire parce qu'il avait dans une expertise trouvé à redire à une anesthésie dans laquelle un adolescent avait trouvé la mort lors d'une opération des plus bénignes : il avait ainsi manqué au sacro-saint "devoir de confraternité" (Pierre Huguenard était une grande figure des  SAMUs, qu'il avait fondés. Son Confrère et ami le Dr. Xavier Emmanuelli s'en était inspiré pour fonder le SAMU social, n'eut pas cet honneur.

 

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 16:36

''Le Point"  de cette semaine (n° 2144) à laissé à Eric Naulleau  le soin de dire tout le bien qu'il pensait de "La liste de Freud", de Goce Smillevski, tandis que  Didier Pleux  s'occupe du cas  Dolto. 

 

Les "nouveaux chemins de la connaissance" (France-Culture ) avaient planché en septembre dernier sur le sentiment ''d'inquiétante étrangeté".  

 

Rien n’est plus inquiétant que la révélation de ce qui doit rester cacher.

 

De fait, une certaine panique avait dans les années 1980 secoué les beni-oui-oui de la psychanalyse. Marie Balmary, Jacques Van Rillaer, Jeffrey Moussaïeff Masson, Marianne Krüll,  Janet Malcolm, Richard Pollack  et quelques autres auteurs anticonformistes s'étaient mis à parler de ce qu'il fallait taire de Freud et de ses zélotes. 

 

Vingt ans plus tard, Jacques Bénesteau eut en France beaucoup de mal à publier "Mensonges freudiens" . 

    

Freud a raconté comment il avait éprouvé une impression désagréable en ne reconnaissant pas tout de suite sa propre image, perçue comme antipathique, quand il s'est vu dans la vitre du compartiment du wagon où il avait pris place.

 

Il me semble d' Ingmar Bergman avait fait allusion au problème de Freud dans "Les Fraises sauvages".

 

Bergman ne considérait-il pas les "psys"  comme les "Analphabètes de l'âme?  Il n'avait pas voulu comprendre que la revolte de "Dora" était saine, et non pas l'expression d'une névrose.  



L'obtusion des psychanalystes freudiens est phénoménale : après que leur idole a découvert qu'il allait lui falloir s'appliquer à lui-même ses premières découvertes (Cf. Correspondance Freud-Fliess)  Freud s'était fabriqué une fausse idendité. 

  

Il n'y a de ce fait pas à s'étonner de ce qu'il ne se soit pas immédiatement reconnu. 

 

Freud avait voulu se débarrasser de ses angoisses en cherchant à en déterminer la cause. C'était légitime, mais qu’il ait ensuite, une fois qu’il l'a trouvée - ou cru l'avoir trouvée - cherché à se la cacher parce que trop angoissante pour être dite relève de la fuite, de l'aveuglement et finalement de l’escroquerie intellectuelle. Or toute psychanalyse jusqu'à ces dernières années a emprunté  les raisonnements fallacieux de Freud (Cf. par exemple la définition que donne le psychanalyste Roger Perron de l'inceste dans le dictionnaire de psychanalyse d'Alain de Mijolla, qui prétend encore qu'il s'agit en fait de "fantasmes", les incestes réels étant soi-disant exceptionnels.

 

Qu'est-ce donc qui, au travers de ses raisonnements était induit par ce qui devait rester cacher ?

 

Jacques Lacan  - séminaire sur la lettre volée - l'avait compris, aidé en cela par ce qu’il en était de sa propre constellation familiale : son grand-père paternel était l’amant de sa mère.  A stipuler  que les filles ne désirent rien tant que d’avoir un enfant de leur père, Freud ne serait-il pas d'un tel phénomène ?  

 

Le suggère l'éxégèse  des oeuvres de la psychanalyste Gabrielle Rubin, qui sait trop bien l'histoire  et la préhistoire de Freud pour ne pas avoir fait exprès d'oublier que  Bertha Pappenheim ("Anna 0")  n'était pas une patiente de Freud, mais de Joseph Breuer.

 

   Cf.  aussi Michael Billig, Freud and Dora: repressing an oppressed identity; British Journal of Social Psychology, and Patrick Mahony's studies  for better understanding about the freudian heavy failures against the young Ida Bauer, alias "Dora".

 

 

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23 août 2013 5 23 /08 /août /2013 17:01

Après qu’elle a lu   «L’homme aux statues» (Marie Balmary, Grasset, 1979, réédité en 1997 ) Gabrielle Rubin eu l'idée, pas du tout saugrenue,  d'écrire le "Le roman familial de Freud" (Payot 2001) .

 

N'osant se réclamer des écrits de Marie Balmary (ils avaient été mis à l'inde par la doxa, Gabrielle Rubin  prétexta  s'être inspirée des recherches de Marianne Krüll,  intitulées "Freud, fils de Jacob", celles-ci autorisées puisque publiées à la NRF dans la "Bibliothèque de l'inconscient" (une collection dirigée par J. B. Pontalis, l'un des "imbéciles") ... pour exposer ce que tous les analystes parfumés savaient, que Sigmund Freud n’était probablement  pas le fils biologique de Jacob Freud, mais bien plutôt celui de Jacob Nathansohn.

 

Ce qui ne doit pas se dire publiquement. Cet autre Jacob y apparaissait comme son grand-père maternel. Une origine en "racine carrée de moins un", selon Jacques  Lacan, qui s'y connaissait en amours illicites et  en mathématique, équation personnelle similaires obligent, qui prédisposent aux délires de filiations, en disqu' ourcourant et dégagements délirants (Cf. le dico Larousse de la psychanalyse de chez mamma).   

 

Comme Gabrielle Rubin avait été un peu trop loin par rapport ce qu'il était permis de dire, elle se rattrapa en faisant paraître en 2007 un texte sur la "Haine et le pardon" (toujours chez Payot) qui montrait qu'il ne fallait pas tellement la prendre au sérieux, puisqu’elle  faisait aussi d’Anna O (alias Bertha Pappenheim, pour qui l'ignorerait) une patiente de Freud alors que "n’importe quel étudiant en première année de psychanalyse sait  qu’ Anna O était une patiente de Joseph Breuer "(dixit  Elisabeth Roudinesco, l'officielle de la psyka), sinon aussi sa jeune, intelligente, et peut-être jolie ? maîtresse.  Madame Mathilde Breuer fit, par une tentative de suicide, comprendre à son époux épris qu'il lui fallait cesser sa trop étroite relation thérapeutique avec la jeune fille, qu'il morhiniquait (pour la soulager de ses maux ?). Aux dires de celle-ci, sa relation avec Breuer consistait en un "chemney sweeping"  (en un "ramonage de cheminée", ce qui, en langage verniculaire, signifie "cure par la parole", et non pas ce que vous pourriez croire). Une "cure" qui se termina par une "grossesse hystérique" (d'après Ernest Jones dans son hagiographie). Tellement hystérique qu'il fallut la résoudre en Suisse, à Kreuzlingen, Clinique Bellevue (?!) .

 

L'utopie psychanalytique en dériva, qui postula l'existence de fantasmes oedipiens innés.

 

En vertu de ceux-ci, les jeunes filles ne désirent rien tant que d’avoir un enfant de leur père. Un désirs venus de l'origine enracinée en moins un (inavouable  et refoulée dans les dessous des dessous) de Freud.  Les découvertes du psyka  Serge  Tisseron, valent  explication.

 

 Les spéculations de Freud sont congruantes ainsi avec sa propre histoire. A l'instar de la virginité de Marie, l'utopie fraudienne s'incarnait en lui. Elle fit florès, et  le malheur des filles incestées (elles sont légions à l'avoir été et en ont souvent porté le fruit). Elle  encombre la psychiatrie, notamment la française, de notions fantasmatiques (Cf. Jean. Laplanche et Jean-Bertand Pontalis  "Fantsame originaire, fantasme des origines, origine du fantasme" (pas dans la Collection Pluriel de 1985, mais  dans sa version princeps de 1964, c.-à-d. non expurgée (elle le fut après que Jacques Lacan a traité les auteurs de ce texte d' imbéciles). Ils s'étaient autorisés, les bougres,  à "démontrer " (en manipulant mathématiquement ses équations symboliques, alors que celles-ci n'ont rien à voir avec les maths) que le refoulé se cache sous le dessous des dessous (des jupes, si ce n'est sous les barres qui sépare le signifié du signifiant).

 

Freud et ses zélotes, +/-  à l'insu de leur plein gré, ont voulu prendre pour du bon pain ce qu'avait raconté Joseph Breuer à propos de sa patiente Bertha Pappenheim, dont il avait fait sa maîtresse. Cf. Gabrielle Rubin "Le roman familial de Freud" et "L'homme aux statues", de Marie Balmary, qui l'a inspirée. Jacques Lacan avait bien compris sa problématique, qui craignait que Balmary l'ait aussi compris (voir aussi François Georges "L'effet-yau-de-poèle" et Mikkel-Borch Jacobsen  "Anna O, une mystification centenaire")

 

Au sujet de ce texte "introuvable" , il est rapporté sur le Web << Quel est le statut du fantasme ? Qu'est-ce qui assure son lien électif avec la sexualité ? Quelle fonction joue donc le concept d'origine ? Telles sont quelques-unes des questions que les auteurs du Vocabulaire de la Psychanalyse déploient ici à travers une lecture originale de Freud qu'ils complètent par les récents développements de la psychanalyse sur ces sujets. Publié en revue il y a vingt ans et devenu introuvable, cet essai fut très vite reconnu comme novateur par les psychanalystes et les philosophes >>. Le texte non remanié a été publié en 1964.

 

Et aussi que << Fantasme originaire, fantasme des origines, origine du fantasme" est une analyse fouillée de la notion de fantasme, un élément parmi les plus importants de la psychanalyse. Ce texte expose les différentes conceptions de Freud sur le fantasme au fur et à mesure de l'évolution de la pensée du maître viennois. Il tente de souligner l'ambiguïté de cette notion, sa complexité, ses processus et ses origines. Difficile à appréhender, le fantasme est loin d'avoir dévoilé tous ses mystères >>.

 

Effectivement.

 

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  A suivre .... peut-être sur 10938504 html  (Hitler paient de Freud ?)

 

 

 

 

 

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 17:13

 Elisabeth Roudinesco, sans encore oser mettre Freud en cause,  semble avoir amorcé  une  prise conscience quant à la responsabilité d'un grand nombre de psychanalystes dans le discrédit qui risque de faire définitivement rejeter la psychanalyse en tant que traitement pertinent des psycho-névroses au profit des thérapies dites cognitivo-comportementales et des chimiothérapies.

Ces différentes approches thérapeutiques des "psycho-névroses" (appelation malheureusement  tombée en désuétude) se font la guerre alors qu'elles pourraient et devraient être complémentaires.


Il n'y a aucune raison de ne pas mener de front une thérapie comportementale et une thérapie analytique : la psychanalyse semble ne pas être consciente qu'elle est en elle-même une thérapie comportementaliste dans la mesure où elle fixe un cadre assez rigide aux séances analytiques, cadre auquel elle accorde beaucoup d'importance.

 

En dispensant leurs patients d'avoir à chercher une explication (un sens ou une signification, préfèrent dire  les psychanalystes) à leur vécu, les comportementalistes risquent moins de raviver chez leurs patients des souvenirs traumatiques ou un présent en rapport avec des dysfonctionnements intra-familiaux, donc moins de mettre quiconque en cause dans les familles, y compris eux-mêmes. Et  c'est sans doute parce qu'elles font moins peur qu'elles sont mieux vues des pouvoirs publics.  

 

 

La psychanalyse peut en effet  être source rupture d'équilibre dans les familles dysfonctionnelles,  et donc  être  causes  "d'acting-out"  suicidaires ou meurtriers. Mais ne peut-on pas en dire autant des chimiothérapies ?  La fluoxétine n'a-t-elle pas  été accusée de susciter parfois de l'agressivité ? (Cf. L'Express  1997 "Silence sur le Prozac " ?  << ...  le Dr Bourguignon s'est lancé dans une enquête épidémiologique auprès de ses collègues, en adressant à 500 médecins belges un questionnaire leur demandant de signaler les problèmes auxquels leurs patients traités au Prozac auraient pu être confrontés. Parmi les 80 réponses reçues, 11 faisaient état de troubles graves: paranoïa, attaques de panique, comportements agressifs, tendances suicidaires, convulsions, crises d'épilepsie ...  "La fluoxétine étant officiellement considérée comme un produit sûr et sans danger, je ne m'attendais pas à de tels résultats" . >>)

Les thérapies cognitivo-comportementales sont probablement  moins critiquables sur ce plan. Une évaluation digne  de foi a-t-elle été faite ? Est-elle possible  ?

Quoi qu'il en soit, après qu'elle a contribué à la célébrité  de Jacques LacanRoudinesco  fait enfin machine arrière, mais elle lui faire jouer le rôle de bouc-émissaire. Il serait maintenant une des principales causes du discrédit qui accable la psychanalyse. l' Ordre des médecins s'était inquiété du nombre très élevé de suicidants parmis ses analysant et analysands. La remarque vaut aussi pour Freud, qui se glorifiait presque de "consommer" tant de disciples.

Mêmes causes mêmes effets : ne serait-ce pas plutôt parce que la psychanalyse est en train d'évoluer dans le bon sens pour avoir été remise dans la bonne voie  grâce à la rédécouverte de Sandor Ferenczi  par des psychiatres-psychanalystes comme Pierre Sabourin , Catherine Bonnet, Paul-Claude -Racamier, Maurice Hurni et Giovanna Stoll ... (entre autres )  qu'elle tend à n'être plus en odeur de sainteté ?

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La redécouverte de Sandor Ferenczi, à laquelle le Dr. Pierre Sabourin  (Cf. son site sur Internet) a beaucoup contribué, avec ou indépendemment du Dr. Paul-Claude Racamier, dont il a vanté l'oeuvre (tout au moins à l'A.F.P.E. en 2002) , et des psychanalystes Maurice Hurni et Giovanna Stoll  sont nous l'espérons  à même de  la remettre sur la bonne voie après que des psychanalystes  freudiens "orthodoxes"  l'ont fait dérailler au profit du prêt-à-penser psychanalytique, une manière de penser formatée qui favorise  les pervers (cf. les commentaires du Pr. Samuel Lepastier à propos des enfants d'Outreau soi-disant victimes de leur fanstasmes oedipiens, parus dans "Le Monde" du 8 février 2006) , plus ou moins narcissiques et en font de redoutables prédateurs. 

 

Cf. à propos du livre de Marie-Christine Gryson-Dejehansart, "Outreau, la vérité abusée",  2009 Hugo & Cie éditeur, sur  La mystification d'Outreau

le progamme  de la Table Ronde du 24 février 2011 sur "La Parole de l'enfant après la mystification d'Outreau"    (Université Panthéon-Sorbonne ) . 

et le film de Serge Garde sorti dernièrement, produit par Bernard de la Villardière, qui a trait à l'affaire. Ils  donnent à voir comment la théorie oedipienne peut servir d'alibi aux pédoclastes.

 

Le livre que Pierre Sabourin avait consacré à Ferenczi  "Ferenczi, grand vizir secret"  (... et tête de Turc ? )  était épuisé lorsque je l'ai commandé (vers 1993), et ce livre ne figure pas dans la bibliographie  rapportée sur le site Internet du Dr. Sabourin

Un Confrère victimologue, le Dr. Lavaud, a en 1997 exposé le concept de quiproquo culturel  à l'Institut de Médecine légale de Paris. Il donna, en exemple plus ou moins fictif le cas du camionneur qui viole l'auto-stoppeuse qu'il a embarquée. Ledit camionneur aurait   décodé  son comportement non comme celui d'une personne qui se rend de A à B  mais comme celui d'une d'une personne qui cherche à travers l'auto-stop à avoir une relation sexuelle.  Un tel exemple tend à escamoter la complexité du problème. 

D'après ce qui est rapporté par des personnes qui le connaissaient, DSK pensait vraiment que toutes  les femmes étaient irrésistiblement attirées par lui et qu'elles ne demandaient qu' à avoir une relation sexuelle avec lui. DSK put ainsi dire devant Claire Chazal et devant des millions de téléspecteurs que Tristane Banon n'avait fait qu'imaginer avoir subi ses assauts. Freud aurait pu s ouscrire à ce spécieux raisonnement, lui qui pensait que sa jeune patiente "Dora", alias Ida Bauer, ne désirait rien tant "inconciemment" que de faire des  fellations à "monsieur K", l'ami intime de sa mère madame Bauer  cependant que son père était dans cette famille dysfonctionnelle  l'ami intime de madame K.  Freud  avait appremment scotomiser que le toussotement de la jeune fille n'était pas  tout sottement dû au fait au fait qu'elle était la proie de pervers ...

Sur ce même raisonnement DSK avait-il pour des raisons culturelles réellement pu imaginer que Tristane Banon était venu le voir non pour véritablement l'interviewer mais pour avoir avec lui une relation sexuelle ?

Bien des femmes ont subi l'agression sexuelle du médecin qu'elles étaient aller consulter. D'autres  sont entrées dans le cabinet d'un psychiatre-psychanalyste et y ont été abusées. Cf le cas des victimes du Dr. Charles Caille, qui pratiquait la "Méditation de l'étreinte" en guise de psycho-thérapie cathartique, pour ne pas parler de l'innocente mais douteuse "chimney swipping" du" bon" docteur Joseph Breuer, une cartharsis  à laquelle Sigmund Freud semble avoir très naïvement et réellement cru.

Une jeune et jolie femme de 25 ans m'a raconté avoir consulté un médecin parisien. Après l'avoir violée, il s'est  s'est vanté  de reserver sa dernière  consultation aux plus belles de ses patientes afin de  "finir ses  journée en beauté". Elle m'a décrit le Dr. X. comme ressemblant à Mirabeau. Je lui ai dit de porter plainte et d'en parler à son mari. Elle me dit ne pas pouvoir le faire  parce qu'il tuerait ledit dermatologue et qu'elle ne voulait pas que son mari aille en prison.

 

    Article à  suivre ... et à remanier

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7 mai 2013 2 07 /05 /mai /2013 17:24

La connaissance de l'inconscient de Freud, comme Jacques Lacan n'eut cesse de le répéter en paraboles, est essentiel à la compréhension de son "idée fixe", le complexe des dupes, qui lui enflait les chevilles.

Par l'odeur du complexe alléché - Freud ne pensait qu'à ça  -  avait voulu s'en faire attribuer le prix

Mal embouché, Per Hallström, le président du Comité Nobel, en 1936 le remit encore plus ouvertement à sa place que Vladimir Putin  en 2007 le fit de Sarkozy.

Une conteuse, une  Princesse bonne à partouzes, avait poussé à la roue, disant que Freud  avait, avec l'invention du complexe d'Oedipe, beaucoup contribué à perturber des masses sans défenses, affectées qu'elles étaient de refoulements pathogènes.

Les masses suivaient passivement ses injonctions du  psychiatre de la Princesse, qui faisait du complexe d'oedipe ses choux gras.

Depuis les "psys" officient en pull noir à col roulé, ont l'habit de prêtre et partagent ce que la prêtrise fait pour Anna l'attrait. 

D'après Ionesco, les masses se sont calmées, mais sont devenues paresseuses, mais pas aussi malicieuses que viles.

Un grand nombre de prêtres a depuis embrassé la profession "psy".

Ainsi peuvent-ils apprendre aux Enfants de Chœur qu'ils ont à se défaire des refoulements qui faussent leur voix jusqu'à la rendre passive à casser le ton. Ces prêtres psychanalystes ne cesseront d'ébranler les enfants qu'ils font chanter que quand ils auront cessé leurs pratiques. Avec Dolto du cas Dominique ils ont aussi pu abuser.

Mais nombreux sont les psys qui ont compris que ces pratiques pourraient n'être pas aussi bonnes pour eux. C'est pourquoi ils ne sont pas prêt de renoncer à la raie thorique de Jacques Lacan.

Le plus-de-jouir venant de la conne-essence de l'Inconscient   freudien, le plus vexant c'est qu'aujourd'hui le sexe à piles arrive à pied de la Chine. 

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26 Mai 2003 (ou mai 2002, je ne me souviens plus très bien de l'année). Collège international de philosophie.

Un auditeur demande à  François Balmès venu parler de son livre "Ce que Lacan dit de l'être - 1953 -1960 " ) << Comment Jacques Lacan concevrait-il l'Inconscient maintenant que l'on sait que l'Univers n'a pas 4,  mais 11 dimensions ?>>

François Balmès, ne se montre nullement surpris  par cette  question tirée par les cheveux.  Immédiatement il y répond. 

Au bout d'une dizaine de minutes, il finit par caler. Il s'aperçoit qu'il ne sait plus quelle est la question à laquelle il répond. 

On ne saura donc pas comment Lacan aurait modifier ses concepts puisque François Balmès est allé depuis le rejoindre  dans un Inconscient indéfini Tif coupé en quatre ou onze dimensions .

A mon avis il est probable que de là où il est, Lacan n'a pas trop apprécié qu'il réponde à sa place cette trèpineuse question, puisque de Là-Haut Il l'a frappé de stupeur..

Ne pvouvlant déclarer ouvertement la conne-essence du fraeudisme en ses variables cachées, Jacques Lacan en contrebande avait passer l'a-Chose en disque-ourcourant.

En vérité, il avait d'emblée très bien compris que la gaine barbaro-freudihaine non génétiquement modifiée était  juteuse, quoique contaminée par l'Ego du s'aigle noir.  Qu'en l'enlevant, en sus du blé, il saurait en corps plus-de-jouir y prendre. Comme Nicki du Sein-Phallus, il avait voulu en montrer les courbes toutes ouvertes, pour mieux les cacher, en en exhibant l'origine.

Les freudois lacanimistes ne seraient donc pas tous totalifères quoique là quand même un peu. 

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J'ai appris ce matin ( 5 mai 2013) , en écoutant "Maison d'études" (France-Culture), que Odile Jacob a publié "Prendre la vie à pleine main". Rebelote ce soir sur France-Inter, qui a invité Aldo Naouri. 

N.B. L'article qui suit est a besoin d'être réécrit  pour être plus clair.  

Odile Jacob est un éditeur qui se consacre aux auteurs scientifiques - les écrits psychanalytiques ne font donc guère partie de son catalogue. Or tout récit sur soi peut donner lieu à une analyse  psychologique  et/ou servir à illustrer ou à construire une théorie de la psyché.

Il est encore dangereux en France, sinon suicidaire pour un psy, de contester Freud et son "immense découverte" du "complexe d'Oedipe", une découverte faite à partir de lui-même, ce qui était son droit. Il le prétendit universel, ce qui l'était beaucoup moins. Le problème avec sa "découverte" vient de ce que Freud a  réussi à créer une église avec des disciples prêts à croire qu'il avait fait là une véritable découverte  scientifique. Ses premiers  disciples firent des disciples qui firent des disciples ... Une religion dogmatique s'édifia fondée sur un credo à prétention scientifique.

 

Le complexe d'Oedipe, quand il existe et s'il existe vraiment pour d'autres que Freud, prend naissance et se liquide, selon son inventeur, dans la petite enfance. Mais passons. Il s'agit de comprendre pourquoi les théorisations de Freud ont eu tant de succès alors qu'elles sont non seulement inventées, même si parfois et elles sont ou ont  été thérapeutiques; Elles ne le sont que rarement, alors qu'elles peuvent avoir  des effets  dévastatreux,  au delà de ce qu'il est permis de penser. J'ai expliqué ailleurs pourquoi et comment.

 

Procèderait de l'inconscient freudien, conséquence d'un refoulement, conséquence d'une auto-censure, toutes les productions de la psyché (lire ses lettres à Wilhem Fliess), tel l'oubli d'un nom, voire l'évocation de n'importe quel nom pris au hasard parce que quel qu'il soit il se rapporte à un autre qui lui-même se rapporte encore à un autre,  etc. ..;  de même un chiffre dit au hasard (selon Freud).

 

Des découvertes scientifiques seraient sur le même mode de raisonnement surdéterminés par des événements plus ou moins réels ou plus ou moins oubliés remontant à l'histoire de l'enfance ou à la protohistoire  du sujet jusqu'à X générations. Cette modalité n'est pas forcement impossible. La "découverte" du "complexe d'Oedipe" aurait EN EFFET beaucoup à voir avec la proto-histoire de Freud.

 

Même  en admettant que la légende d'Oedipe ait quelque rapport avec la réalité, Oedipe ne pouvait pas être affecté du complexe que lui attribue Freud.  Certes  Freud a fait appel au récit de Sophocle pour illuster son propos mais la raison profonde de ce choix lui aurait échappée, mais n'a pas échappé à Jacques Lacan, puisque c'est à partir du décryptage de sa théorie qu'il a comprsi que Sigismund Freud n'était pas véritablement le fils de son père mais celui d'un inceste père-fille.  

 

Freud s'est reconnu en Oedipe et s'est identifié à lui. Pourquoi ?  Oedipe n'était véritablement le fils de Polybe, Roi de Corinthe, et il  était un adulte lorsqu'il tua son père Laïos. Or il ne le tua pas en tant qu'il le savait être son père, mais un étrangé. Alors qu'elles sont les raisons qui ont fait que Freud a choisi un si mauvais exemple pour illustrer le complexe d'Oedipe ? Qu'est-ce qui a fait que Freud s'est irrésistiblement reconnu en Oedipe ?  Qu'est ce qui a fait qu'il a été si vivement impressionné par une  légende où le fils d'un Roi est le fils d'un autre Roi, sinon qu'il n'était pas lui-même le véritable fils de son père officiel ?

 

 

Et pourquoi a-t'il tout à coup  tenu à ce que l'inceste père-fille, qu'il avait reconnu être sources de graves perturbations psychologiques, ne soient plus des réalités vraies mais des réalités fantasmées ?

 

 

 

Des découvertes scientifiques authentiques et des inventions pourraient avoir été déterminés ou favorisés par des accidents ou des événements psychotraumatisants survenus dans l'enfance. Prenons comme  exemple à nos spéculations la loi de la gravitation. De nombreux commentateurs scientifiques ont fait remarquer que cette loi aurait pu et aurait même dû être découverte par Johannes Kepler (1571 - 1630), mais ne le fut qu'au siècle suivant par Isaac Newton (1643 - 1727). La psychanalyse freudo-lacanienne trouvant explication et sens à tout, elle y trouvera explication.

 

Bernard This  - psychiatre et psychanalyste lacanien convaincu (c'est-à-dire victime du délire psychanalytique)  trouva explication (ou sens) au cancer de la bouche que Freud avait développé dans l'amputation d'un IS à son prénom ! L'IS de Sigismund était si chagrin d'avoir été évincé et de n'avoir ainsi pas pu participé à la victoire (Sieg) de la parole (Mund = bouche = lieu de la parole) qu'il se serait en quelque sorte vengé en réapparaissant dans le "réel" sous une forme déguisée ... faute de n'avoir pas été "liquidé" dans un transfert psychanalytque

 Freud n'avait en effet pas été "psychanalysé". Il n'avait donc pas pu opérer un "transfert" sur un "vrai" analyste (Wilhem Fliess n'en était pas vraiment un ) Seul une vraie "cure psychanalytique" avec un vrai psychanalyste l'aurait permis (propagande de la part de Bernard  This ou les deux  ?) .

 

Le refoulé étant selon Freud cause de névroses, et le "forclos" selon Jacques Lacan  celle de psychoses, reste à trouver le forclos caché dans délire d'interprétation de Bernard This ... comme dans celui de Freud inventant le "complexe d'Oedipe" à partir de son interprétation projective du récit mythologique de Sophocle.

 

Oedipe représente  Freud.  Oedipe n'est pas véritablement le fils de Polybe.

 

Quelle réalité forclose cache le postulat du complexe d'Oedipe ?

 

Voici la définition que dans son "Abrégé de psychanalyse" (1938) Freud donne au complexe d'Oedipe  << Quand le garçon - vers l'âge de deux ou trois ans - entre dans la phase phallique de son évolution libidinale, qu'il ressent des sensations voluptueuses fournies par son organe sexuel, quand il apprend à se les procurer lui-même à son gré par excitation manuelle, il devient alors amoureux de sa mère et souhaite la posséder physiquement de la manière que ses observations d'ordre sexuel et son intuition lui ont permis de deviner. Il cherche à la séduire en exhibant son pénis dont la possession le remplit de fierté, en un mot sa virilité tôt éveillée (ndlr par qui ? sinon par un ou une tierce personne) l'incite à vouloir remplacer auprès d'elle son père qui jusqu'à ce moment avait éé un modèle à cause de son évidente force physique et de l'autorité dont il était investi; maintenant, l'enfant considère son père comme un rival >> .

 

Ce qui est forclos dans ce délire ne serait-il pas que Freud était en réalité le "fruit" d'un rapport incestueux qui eut réellement lieu ?

 

Sa théorie ne raconte-elle pas l'accomplissement des désirs de sa mère envers son père (à elle). Que le grand-père maternel de Freud, qui se prénommait aussi Jacob mais s'appelait Nathansohn, aurait été son père biologique. Jacques Lacan, dont la mère était l'amant de son grand-père paternel,  d'après ce que rapporte Élisabeth Roudinesco en 1994 dans Généalogies  (Fayard) : d'où la théorie lacanienne de la "forclusion du nom du père" à l'origine de la psychose des enfants nés de mères et de familles qui taisent  le nom du père (de fait des psychoses hallucinatoires et/ou paranoïaques en résultent assez souvent - ce serait même le cas de Jeanne d'Arc, qui parlait latin sans savoir lire et écrire (d'après Colette Baume Jeanne d'Arc ne savait ni lire ni écrire alors qu'elle la fait parler latin ! ).

 

Appliqué à Freud, la théorie de la forclusion du nom du père colle à la théorie  du complexe d'Oedipe, ainsi que le suggère, à l'insu de leur plein gré, les brillantes recherches analytiques de Marie Balmary ("l'Homme aux statues" Grasset 1997 ) et de Gabrielle Rubin ("Le roman familial de Freud" Payot 2001 )  

 

On sait qu'après la mort de Jacob Freud, Sigmund Freud a soudainement renoncé à la théorie de l'inceste acté comme cause de l'hystérie au bénéfice de l'inceste fantasmé, et que sa nouvelle théorie lui a assuré la fortune qu'il espérait tirer de la théorie abandonnée (des psychanalystes chevronnés tiennent encore pour pertinente sa théorie du fantasme oedipien - Cf. Roger Perron dans son article sur l'inceste formulé dans le gros dictionnaire de psychanalyse paru chez Calmann-Lévy en 2002 sous la direction du psychiatre-psychanalyste Alain de Mijolla. Il  continue de d'affirmer que les allégations d'incestes relèvent dans l'immense majorité des cas de fantasmes, les incestes réels étant selon lui très exceptionnels cependant que les statistiques font états qu'en France 2 millions de femmes ont réellement été victimes d'incestes  ! (Lire aussi sœur Marie-Paul Ross "Parlez-moi de sexe ... et d'amour"; Michel Lafon, 2011).

 

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