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6 février 2018 2 06 /02 /février /2018 16:22

Roland Gori, professeur de Psychopathologie clinique à l'Université d'Aix Marseille et psychanalyste membre de "L'Ecart L'Espace analytique", dans une conférence datée de février 2014 traite des imposteurs, a manqué d'y faire référence. Il répond à sa propre question  "Qu'est-ce qu'un imposteur ? --->> C'est celui qui sait exactement où se situe l'attente de l'autre, celui qui parfaitement s'identifier au désir de l'autre ! " , avec le génial "Tartufe" comme modèle du genre.  

Osera-t-il inclure Sigmund Freud parmi les plus grands imposteurs de tous les temps  

Ornicar voilà que les éditions Flammarion publient "Sauver votre peau, soyez narcissique", par Fabrice Midal, philosophe et écrivain. "Déjà cent-mille lecteurs", est-il proclamé en couverture !

Sauver sa peau, c'est bien ce qu'avait fait Sigmund Freud en reniant ce qu'il avait précédemment pointé en 1895 en publiant ses "Etudes sur l'hystérie". Il fit par la suite fortune en fournissant un solide bouclier à la pédophilocratie.  

L'exploitation sexuelle des enfants (à des fins commerciales) a fait l'objet d'un Congrès mondial en août 1996 à Stockholm. Des films furent à cette occasion projetés en présence de la Reine de Suède, illustrant ce que des enfants ont à subir, et si on en a un tout petit peu parler en France, c'est parce que  l'affaire Dutroux venait d'éclater. "L'affaire Freud" fera moins de bruit quand le docteur Michel Meignant la découvrira en 2012 (famille freudienne, paradigme de "famille tuyau-de-poêle"),  Car ce que l'on continue en France d'occulter, c'est que dans la famille Freud, comme dans beaucoup d'autres "bonnes" familles, l'exploitation était à titre privé (Cf. entre autres Isabelle Schweighoffer  "J'avais douze ans",  Collection Pocket

Pour Sigmund Freud le maintien forcé de la tête des enfants pour les obliger à des "pratiques buccales" (souvent de la tête des nourrissons) est à l'origine de migraines. Il les disait "hystériques". Il avait observé l'a-Chose sur lui-même, sur son frère et sur ses sœurs (Freud l'indique dans ses lettres à son confrère le docteur Wilhelm Fliess, Ces lettres furent censurées dans les éditions françaises de ces lettres. Elles furent publiées en France pour la première fois sans être censurées en 2006, aux PUF, traduites par Jeffrey Moussaïeff Masson. Le travail de Masson décilla les yeux de certains psychiatres-psychanalystes, dont ceux du docteur Michel Meignant (Cf. "L'affaire Freud", qu’il a mis en ligne en 2012, par laquelle il rend compte de sa colère à la découverte des falsifications auxquels Freud et ses zélotes s'étaient livrés)  

Après avoir "avec" Josef Breuer publié en 1895 ses « Etudes sur l’hystérie », dans lesquelles il faisait état des conséquences délétères de l’inceste, Victoire-dans-la-bouche  (Sieg = Victoire et Mund = Bouche)  s'est assez vite rendu compte que ces "a-Choses" n'étaient pas à dire s'il voulait faire fortune. Il fallait non pas qu'il la ferme, mais qu'il trouve le moyen de la faire fermer aux enfants et à tous ceux qui ont eu à les subir et qui s'en plaindraient. Et comme il était avant tout carriériste, il mit l'a-Chose sur le compte de "fantasmes infantiles" baptisés "œdipiens". Son idée était aussi géniale que diabolique, qui revenait faire de l’enfant sans défense et ses fantasmes un bouc émissaire, contrairement à ce qu'il avait fait dans ses précédentes allégations, qui accusaient des adultes. Freud était passé  "du côté du manche".         

Aux USA Elizabeth Loftus, en France le professeur Samuel Lepastier, psychiatre et "psychanalyste", le docteur Paul Bensoussan, psychiatre et sexologue, expert à la Cour d'Appel de Versailles, vous le diront : les allégations des enfants sont en rapport avec de faux souvenirs. Cf. ce qu'ils ont dit à la barre quand ils ont été appelés par Me Eric Dupont-Moretti pour venir "éclairer" les Juges au procès d'Outreau, alors que la théorie qu'ils invoquent et tiennent pour vraie repose essentiellement sur un souvenir qu'avait eu Freud à l'âge de deux ans et demi d'avoir vu sa mère "nudam", et d'en avoir éprouvé l'envie de lui faire un enfant, conformément à la théorie qu'il en a tirée, avec le succès que l'on ait, avec l'assistance du Dr. Ernest Jones, qui avait besoin pour lui même d'un alibi. 

l fonctionne si bien que les femmes qui constatent  qu'elles ont été violées lors ou après une intervention chirurgicale sont accusées de fantasmer : "on" (le violeur, l'hôpital et/ou la Clinique) leur font savoir que c'est leur "Œdipe qui leur ont fait fantasmé l'a-Chose sous l'effet de l'anesthésie (Cf. Barth et Vargas "Quand l'Ordre règne", Mango documents, 2001).    

Le professeur de psychologie clinique et psychanalyste "renégat" Jacques van Rillaer, a, en mars 2017,  fait savoir dans son blog (Mediapart) que le philosophe des langues François Recanati, titulaire de nombreux titres universitaires, directeur de recherche au CNRS et directeur d'étude à l'EHESS, et ex membre du cénacle lacanien, qui avait accordé le titre ronflant de "sujet supposé savoir", a fini par se rendre compte de ce que la logomachie de Jacques Lacan et Cie était dénuée de sens, que son jargon relevait en fait de la mystification d'un habile escroc qui exploitait le snobisme, la naïveté et les portefeuilles bien garnis de ses zélotes plutôt que de la schizophrénie (je me rappelle un Interne en psychiatrie qui se faisait une gloire payer son  "analyse" 3.000 francs la séance !)  

Comment se fait-il que François Récanati ne s'en soit pas tout de suite perçu ? Et pourquoi Jacques Lacan futile prit de scrupules, à la fin de sa vie, pour proclamer qu'il n'avait en fait jamais caché que la psychanalyse n'était que "substance de vide", un vaste délire. Or les délires ne sont jamais vides parce que porteurs d'un sens caché, mais inconscient et projectif, et de ce fait paranoïaque et souvent destructeurs (iatrogènes sur le plan psychiatrique) 

Sigismund Freud comme Lacan et Adolfus Hitler avaient lu Schopenhauer, selon qui les théories psychologiques procédent de motivations internes, c'est-à-dire projectives (+/- paranoïaques et inconscientes). Schopenhauer est aussi l'auteur de "L'art d'avoir toujours raison", et Freud avait hérité de lui "l'art" d'avoir toujours raison. Pour conquérir le pouvoir, AH, SF et Mussolini avaient tous les trois aussi beaucoup puisé dans "La psychologie des foules" de Gustave Le Bon.

Lacan, qui savait tout ça, laissa filtrer son savoir à travers le concept de "forclusion du nom du père" (du père de Freud s'entend, le sien s'étant effacé devant son grand-père, devenu l'amant de sa père) à l'origine de son délire spécifique comme des délires  projectifs en général. Il a aussi usé de "mathèmes", dont les plus simples à dé-li<->r<->e sont trois anneaux entrecroisés et la bande de Möbius, qui symbolisent le retour aux origines scabreuses de Freud (racine²de moins 1), racines qui ont nourri et nourrissent encore son délire inter-minable. 

Le dire autrement aurait été scier la branche sur laquelle Il s'était branché, parce que Jacques Lacan connaissait bien l'allemand. 

De fait, c'est bien ce qu'il avait cherché à faire comprendre tout au long de son enseignement, à qui savait l'entendre. C'est pourquoi Lacan recommandait aux mal barrés qui voulaient accéder à "l'autre rive" de s'exercer aux mots croisés.  

Jacques Lacan substitua au concept projectif de "complexe d’œdipe", synonyme (paradigmatique) de "non du père", ceux de "discours du Maître" et de "Plus-de-jouir", à l'appui son concept central de "forclusion du nom du père", cette forclusion étant à la source du délire paranoïaque de Freud, et, par procuration, de celui de ses zélotes mal barrés (les délires sont des maladies contagieuses. Ainsi du délire d'Hitler, emprunté, qui l'eut cru, à ... Sigmund Freud, son ex psychothérapeute (via le docteur Eduard Bloch), et réciproquement, ce pourquoi, reconnaissant,  A. H., leur fit adresser un laisser passer spécial par l'officier SS Anton Sauerwald en 1938 après l'annexion de l'Autriche au III e Reich, avec l'ordre de les bien traiter, et non pas pour les raisons inventées par Eliette Abécassis dans son roman à l'eau d'éros "Un secret de Freud", paru en août 2014 chez Flammarion. Arthur Schitzler, qui connaissait bien son Freud,la montée du nazisme se faisant plus pressant et sachant qu'il y n'était  pas pour rien écrit en 1927, à l'époque où Freud revient de ses illusions : « Si tu protèges avec trop de tendresse le jardin secret de ton âme, il peut facilement se mettre à fleurir de façon trop luxuriante, à déborder au-delà de l’espace qui lui était imparti et même à prendre peu à peu possession dans ton âme de domaines qui n’étaient pas destinés à rester secrets. Et il est possible que toute ton âme finisse par devenir un jardin bien clos, et qu’au milieu de toutes ses fleurs et ses parfums elle succombe à sa solitude ».

Jacques Lacan savait qu'il aurait été casse-gueule de dénoncer ouvertement la paranoïa freudienne.

Il s'était gardé de déposer son concept de "Plus-de-jouir" à l'INPI, comme l'a fait Nicole Cerf-Hofstein, une de ses obstruses groupies, avec son  "Hy-obs"* ? ("Il et Elle - Duo Duel" est un livre "lacanien" (?) publié aux éditions du Seuil de l'un des sens, au point que le noir y est confondu avec le blanc. Elisabeth Roudinesco, qui n'avait encore rien compris à l'a-Chose (la Chose "a", le fissa Papa où t'es  ? dans une chanson belge à succès), en avait recommandé la lecture dans "Le Monde des Livres", c'est dire l'INPI que pendre de sa proposition) 

Dans une lettre datée du 11 février 1897 Sigmund Freud écrivait à Wilhelm Fliess << La migraine hystérique s'accompagne d'une sensation de pression au sommet du crâne et aux tempes. Elle est caractéristique de situations où la tête est maintenue pour des pratiques buccales. Mon propre père est la cause de l'hystérie de mon frère et de certaines de mes sœurs cadettes. La fréquence de ce phénomène me donne souvent à réfléchir.>> (Freud, The Complete Letters of Sigmund Freud to Wilhelm Fliess 1887-1904.)

Parce qu'elles faisaient état des activités ubuesques de Jakob Freud, qu'elles faisaient très clairement état de ce que celui-ci infligeait à ses enfants, Freud avait donné l'ordre à sa groupie en manque de "Plus-de-Jouir", la princesse Marie Bonaparte, que les lettres qu'il avait adressé à Wilhelm Fliess, son ex alter ego en cogitations masturbatoires, soient brûlées après qu'elles ont été récupérées, à prix d'or, par sa richissime princesse (avait-elle eu le temps de toutes les lire, parce qu'elles sont si nombreuses que leur réunion forme un très gros bouquin depuis que  Jeffrey Moussaïeff Masson, un psychanalyste bon  professeur de sanskrit, a exceptionnellement reçu de la part de Kurt Eissler l'autorisation d'accéder aux Archives Freud pour les traduire (de les traduire pour lui, non pas de les publier parce que déchiffrer l'écriture de Freud n'est pas de la tarte, même pour un germanophone expérimenté).

Après la mort de Fliess, Freud avait tenu à les récupérer auprès de sa veuve, ce qu'elle avait refusé de faire.  Pourquoi ? 

Elle préférait les revendre. Ce qu'elle fit. 

Les lettres à Fliess finirent par être entreposées à la Librairy of Congress de Washington sous la garde de Kurt Eissler, lui-même psychanalyste bon teint, qui se mordit les doigts d'avoir, avec l'accord d'Anna Freud, confié le travail de traduction à Masson, un psychanalyste insensé (a-normal) puisqu'il n'a pas hésité à tuer la poule aux œufs d'or en révélant, en octobre 1981 au New York Times, ce qu'il avait découvert en traduisant totalement ce qu'il fallait censurer, ce qui avait été fait dans  la première édition de ces lettres.

Il en fit un livre savant, publié quatre ans plus tard sous titre "Assault on Truth". Son livre fit un tabac aux USA, mais pas en France, bien qu'il ait été traduit et publié en français en 1984 chez Aubier sous le titre "Le réel escamoté").

Comme il fallait s'y attendre, parce que son livre était solide et accablant, Masson fut déclaré "peu rigoureux"  par "l'historienne de la psychanalyse" Elisabeth Roudinesco, cf. son "Dictionnaire de la psychanalyse ", et décrié par les zélotes du gourou. 

Un gourou qui avait le don d'attirer à lui les plus  grosses fortunes pour les prendre en cure, dont la Baronne Fanny Moser (appelée "Emmy von N" dans ses "Etudes sur l'hystérie").

Après qu'elles ont été sauvées de la destruction par ladite princesse dans des conditions rocambolesques, ces lettres ont été publiées, mais savamment expurgées par Anna Freud de leur contenu inavouable (pour les sauver, Marie Bonaparte les avaient fait enfermer dans des containers que l'on fit amarrer à un cargo en partance pour l'Angleterre).   

C'est donc moins l'histoire de Bertha Pappenheim  -  l' "Anna O" de ses célèbres "Etudes sur l'hystérie" qui avait poussé Freud à inventer la théorie des fantasmes incestueux, mais la nécessité, très consciente, de taire, en les faisant passer pour des fantasmes soi-disant œdipiens, les fellations que font subir certains pères, beaux-pères où autres individus (dont le père officiel de Sigmund Freud, sinon son père génétique, si tant est que la venue au monde du petit Sigismund Shlomo Freud eut lieu le 6 mars 1856, deux mois avant la date tenue pour vraie, a été la conséquence d'un viol ou d’un "effet yau-de-poêle" (Outre ceux de Jacques Lacan, cf. les écrits du philosophe François George, qui ont décillé les yeux de François Recanati, et de la psychanalyste Gabrielle Rubin).

Il est donc une autre intention que celle, soi-disant explicative sur le plan psychiatrique, que SigMund Freud, à partir de 1908, avec l'appui intéressé d'Ernest Jones, a réussi à imposer au commun des psychiatres comme au commun des mortels à la légende d' Œdipe : celle, celle, inavouable, d'occulter la réalité des violences sexuelles qu'un grand nombre d'enfants, très souvent des nourrissons, ont eu à subir pour que le "grand Autre" (paradigme des pères ubusifs) accède à un "plus-de-jouir" océanique, selon l'expressive expression du docteur Jacques Lacan, qui s'y connaissait. à la légende d'Œdipe : son inavouable intention était d'occulter la réalité des violences sexuelles qu'un grand nombre d'enfants, très souvent des nourrissons, ont eu à subir pour que le "grand Autre" (paradigme des pères ubusifs) accède à un "plus-de-jouir " océanique, selon l'expressive expression  du docteur Jacques Lacan, qui s'y connaissait. 

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2 février 2018 5 02 /02 /février /2018 18:39

L'exploitation sexuelle des enfants (à des fins commerciales) a fait l'objet d'un Congrès mondial en août 1996 à Stockholm.

Des films furent projetés en présence de la Reine de Suède. Ils illustraient ce que des enfants ont à subir. 

Si on en a un tout petit peu parlé en France, ce n'est que parce que ce Congrès coïncidait avec le dévoilement de l'affaire Dutroux.

Dans la famille Freud, l'exploitation se faisait à titre privé, comme dans beaucoup d'autres "bonnes"  familles.  Cf. Isabelle Schweighoffer  "J'avais douze ans", (réédité dans Collection Pocket);

Selon Sigmund Freud (Sieg-Mund =Victoire-Bouche) le maintien forcé de la tête des enfants - bien souvent celle de nourrissons - pour les obliger à des "pratiques buccales" est à l'origine de migraines, qu'il qualifiait "d'hystériques". Il l'avait observé sur lui-même, sur son frère et sur ses sœurs. 

Victoire-dans-la-bouche  s'était assez  vite rendu compte que ce n'était pas Chose à dire s'il voulait faire fortune.

Il fallait non pas qu'il la ferme, mais qu'il trouve le moyen de la faire fermer aux enfants qui auraient l'impudence de s'en plaindre; et comme il était avant tout carriériste, croc à phynances oblige, il mit l'a-Chose sur le compte de "fantasmes œdipiens".     

Aux USA,  Elizabeth Loftus, la "mère" du "syndrome des faux souvenirs", en France le professeur Samuel Lepastier, psychiatre et "psychanalyste", le docteur Paul Bensoussan, psychiatre et sexologue, expert à la cour d'appel de Versailles, vous le diront : les allégations des enfants sont en rapport avec de faux souvenirs. Cf. ce qu'ils ont dit à la barre quand ils ont été appelés par Me Eric Dupont-Moretti pour venir "éclairer" les Juges au procès d'Outreau, alors que la théorie qu'ils invoquent et tiennent pour vraie repose essentiellement sur un souvenir qu'avait eu Freud à l'âge de deux ans et demi d'avoir vu sa mère "nudam", et d'en avoir éprouvé l'envie de lui faire un enfant, conformément à la théorie qu'il en a tirée, avec le succès que l'on ait, avec l'assistance du Dr. Ernest Jones, qui avait besoin pour lui même d'un alibi. 

Il fonctionne si bien que les femmes qui constatent  qu'elles ont été violées lors ou après une intervention chirurgicale sont accusées de fantasmer : "on" (le violeur, l'hôpital et/ou la Clinique) leur font savoir que c'est leur "Œdipe qui leur ont fait fantasmé l'a-Chose sous l'effet de l'anesthésie (Cf. Barth et Vargas "Quand l'Ordre règne", Mango documents, 2001).    

Le professeur de psychologie clinique et psychanalyste "renégat" Jacques van Rillaer, a, en mars 2017,  fait savoir dans son blog (Mediapart) que le philosophe des langues François Récanati, titulaire de nombreux titres universitaires, directeur de recherche au CNRS et directeur d'étude à l'EHESS, et ex membre du cénacle lacanien, qui avait accordé le titre ronflant de "sujet supposé savoir", a fini par se rendre compte de ce que la logomachie de Jacques Lacan et Cie était dénuée de sensque son jargon relevait en fait de la mystification d'un habile escroc qui exploitait le snobisme, la naïveté et les portefeuilles bien garnis de ses zélotes plutôt que de la schizophrénie (je me rappelle un Interne en psychiatrie qui se faisait une gloire payer son  "analyse" 3.000 francs la séance !)  

Comment se fait-il que François Récanati ne s'en soit pas tout de suite perçu ? Et pourquoi Jacques Lacan futile prit de scrupules, à la fin de sa vie, pour proclamer qu'il n'avait en fait jamais caché que la psychanalyse n'était que "substance de vide", un vaste délire. Or les délires ne sont jamais vides parce que porteurs d'un sens caché, mais inconscient et projectif, et de ce fait paranoïaque et souvent destructeurs (iatrogènes sur le plan psychiatrique

Sigismund Freud comme Lacan et Adolfus Hitler avaient lu Schopenhauer, selon qui les théories psychologiques procédent de motivations internes, c'est-à-dire projectives (+/- paranoïaques et inconscientes). Schopenhauer est aussi l'auteur de "L'art d'avoir toujours raison", et Freud avait hérité de lui "l'art" d'avoir toujours raison. Pour conquérir le pouvoir, AH, SF et Mussolini avaient tous les trois aussi beaucoup puisé dans "La psychologie des foules" de Gustave Le Bon.

Lacan, qui savait tout ça, laissa filtrer son savoir à travers le concept de "forclusion du nom du père" (du père de Freud s'entend, le sien s'étant effacé devant son grand-père, devenu l'amant de sa père) à l'origine de son délire spécifique comme des délires  projectifs en général. Il a aussi usé de "mathèmes", dont les plus simples à dé-li<->r<->e sont trois anneaux entrecroisés et la bande de Möbius, qui symbolisent le retour aux origines scabreuses de Freud (racine²de moins 1), racines qui ont nourri et nourrissent encore son délire inter-minable. 

Le dire autrement aurait été scier la branche sur laquelle Il s'était branché, parce que Jacques Lacan connaissait bien l'allemand. 

De fait, c'est bien ce qu'il avait cherché à faire comprendre tout au long de son enseignement, à qui savait l'entendre. C'est pourquoi Lacan recommandait aux mal barrés qui voulaient accéder à "l'autre rive" de s'exercer aux mots croisés.  

Jacques Lacan substitua au concept projectif de "complexe d’œdipe", synonyme (paradigmatique) de "non du père", ceux de "discours du Maître" et de "Plus-de-jouir", à l'appui son concept central de "forclusion du nom du père", cette forclusion étant à la source du délire paranoïaque de Freud, et, par procuration, de celui de ses zélotes mal barrés (les délires sont des maladies contagieuses. Ainsi du délire d'Hitler, emprunté, qui l'eut cru, à ... Sigmund Freud, son ex psychothérapeute (via le docteur Eduard Bloch), et réciproquement, ce pourquoi, reconnaissant,  A. H., leur fit adresser un laisser passer spécial par l'officier SS Anton Sauerwald en 1938 après l'annexion de l'Autriche au III e Reich, avec l'ordre de les bien traiter, et non pas pour les raisons inventées par Eliette Abécassis dans son roman à l'eau d'éros "Un secret de Freud", paru en août 2014 chez Flammarion. Arthur Schitzler, qui connaissait bien son Freud,la montée du nazisme se faisant plus pressant et sachant qu'il y n'était  pas pour rien écrit en 1927, à l'époque où Freud revient de ses illusions : « Si tu protèges avec trop de tendresse le jardin secret de ton âme, il peut facilement se mettre à fleurir de façon trop luxuriante, à déborder au-delà de l’espace qui lui était imparti et même à prendre peu à peu possession dans ton âme de domaines qui n’étaient pas destinés à rester secrets. Et il est possible que toute ton âme finisse par devenir un jardin bien clos, et qu’au milieu de toutes ses fleurs et ses parfums elle succombe à sa solitude ».

Jacques Lacan savait qu'il aurait été casse-gueule de dénoncer ouvertement la paranoïa freudienne.

Il s'était gardé de déposer son concept de "Plus-de-jouir" à l'INPI, comme l'a fait Nicole Cerf-Hofstein, une de ses obstruses groupies, avec son  "Hy-obs"* ? ("Il et Elle - Duo Duel" est un livre "lacanien" (?) publié aux éditions du Seuil de l'un des sens, au point que le noir y est confondu avec le blanc. Elisabeth Roudinescoqui n'avait encore rien compris à l'a-Chose (la Chose "a", le fissa Papa où t'es  ? dans une chanson belge à succès), en avait recommandé la lecture dans "Le Monde des Livres", c'est dire l'INPI que pendre de sa proposition) 

Dans une lettre datée du 11 février 1897 Sigmund Freud écrivait à Wilhelm Fliess << La migraine hystérique s'accompagne d'une sensation de pression au sommet du crâne et aux tempes. Elle est caractéristique de situations où la tête est maintenue pour des pratiques buccales. Mon propre père est la cause de l'hystérie de mon frère et de certaines de mes sœurs cadettes. La fréquence de ce phénomène me donne souvent à réfléchir.>> (Freud, The Complete Letters of Sigmund Freud to Wilhelm Fliess 1887-1904.)

Parce qu'elles faisaient état des activités ubuesques de Jakob Freud, qu'elles faisaient très clairement état de ce que celui-ci infligeait à ses enfants, Freud avait donné l'ordre à sa groupie en manque de "Plus-de-Jouir", la princesse Marie Bonaparte, que les lettres qu'il avait adressé à Wilhelm Fliess, son ex alter ego en cogitations masturbatoires, soient brûlées après qu'elles ont été récupérées, à prix d'or, par sa richissime princesse (avait-elle eu le temps de toutes les lire, parce qu'elles sont si nombreuses que leur réunion forme un très gros bouquin depuis que  Jeffrey Moussaïeff Masson, un psychanalyste bon  professeur de sanskrit, a exceptionnellement reçu de la part de Kurt Eissler l'autorisation d'accéder aux Archives Freud pour les traduire (de les traduire pour lui, non pas de les publier parce que déchiffrer l'écriture de Freud n'est pas de la tarte, même pour un germanophone expérimenté).

Après la mort de Fliess, Freud avait tenu à les récupérer auprès de sa veuve, ce qu'elle avait refusé de faire.  Pourquoi ? 

Elle préférait les revendre. Ce qu'elle fit. 

Les lettres à Fliess finirent par être entreposées à la Librairy of Congress de Washington sous la garde de Kurt Eissler, lui-même psychanalyste bon teint, qui se mordit les doigts d'avoir, avec l'accord d'Anna Freud, confié le travail de traduction à Masson, un psychanalyste insensé (a-normal) puisqu'il n'a pas hésité à tuer la poule aux œufs d'or en révélant, en octobre 1981 au New York Times, ce qu'il avait découvert en traduisant totalement ce qu'il fallait censurer, ce qui avait été fait dans  la première édition de ces lettres.

Il en fit un livre savant, publié quatre ans plus tard sous titre "Assault on Truth". Son livre fit un tabac aux USA, mais pas en France, bien qu'il ait été traduit et publié en français en 1984 chez Aubier sous le titre "Le réel escamoté").

Comme il fallait s'y attendre, parce que son livre était solide et accablant, Masson fut déclaré "peu rigoureux"  par "l'historienne de la psychanalyse" Elisabeth Roudinesco, cf. son "Dictionnaire de la psychanalyse ", et décrié par les zélotes du gourou. 

Un gourou qui avait le don d'attirer à lui les plus  grosses fortunes pour les prendre en cure, dont la Baronne Fanny Moser (appelée "Emmy von N" dans ses "Etudes sur l'hystérie").

Après qu'elles ont été sauvées de la destruction par ladite princesse dans des conditions rocambolesques, ces lettres ont été publiées, mais savamment expurgées par Anna Freud de leur contenu inavouable (pour les sauver, Marie Bonaparte les avaient fait enfermer dans des containers que l'on fit amarrer à un cargo en partance pour l'Angleterre).   

C'est donc moins l'histoire de Bertha Pappenheim -  l' "Anna O" de ses célèbres "Etudes sur l'hystérie" qui avait poussé Freud à inventer la théorie des fantasmes incestueux, mais la nécessité, très consciente, de taire, en les faisant passer pour des fantasmes soi-disant œdipiens, les fellations que lui avait fait subir son père (son père officiel, sinon son père génétique, compte tenu que la venue au monde du petit Sigismund Freud en mars 1856 aurait été la conséquence d'un  "effet yau-de-poêle" (Outre ceux de Jacques Lacan, cf. les écrits du philosophe François George et de la psychanalyste Gabrielle Rubin).

Il est donc une autre intention que celle, soi-disant explicative sur le plan psychiatrique, que SigMund Freud, à partir de 1908, avec l'appui intéressé d'Ernest Jones, a réussi à imposer au commun des psychiatres comme au commun des mortels à la légende d' Œdipe : celle, celle, inavouable, d'occulter la réalité des violences sexuelles qu'un grand nombre d'enfants, très souvent des nourrissons, ont eu à subir pour que le "grand Autre" (paradigme des pères ubusifs) accède à un "plus-de-jouir" océanique, selon l'expressive expression du docteur Jacques Lacan, qui s'y connaissait. à la légende d'Œdipe : son inavouable intention était d'occulter la réalité des violences sexuelles qu'un grand nombre d'enfants, très souvent des nourrissons, ont eu à subir pour que le "grand Autre" (paradigme des pères ubusifs) accède à un "plus-de-jouir " océanique, selon l'expressive expression  du docteur Jacques Lacan, qui s'y connaissait. 

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28 janvier 2018 7 28 /01 /janvier /2018 14:16

L'exploitation sexuelle des enfants (à des fins commerciales) a fait l'objet d'un Congrès mondial en août 1996 à Stockholm.

Des films illustraient ce que ces enfants ont à subir. Ils furent projetés en présence de la Reine de Suède.

Dans la famille Freud, l'exploitation se faisait à titre privé, comme dans beaucoup d'autres familles.

Selon Sigmund Freud (Sieg-Mund =Victoire-Bouche) le maintien forcé de la tête des enfants - bien souvent celle de nourrissons - pour les obliger à des "pratiques buccales est à l'origine de migraines, qu'il qualifiait "d'hystériques". Il l'avait observé sur lui-même, sur son frère et sur ses sœurs. 

Il s'est assez  vite rendu compte que ce n'était pas Chose à dire s'il voulait faire carrière et fortune, et comme il était avant tout carriériste, il mit l'a-Chose sur le compte de "fantasmes œdipiens". 

Aux USA Elisabeth Loftus et en France le professeur Samuel Lepastier, psychiatre et psychanalyste, le docteur Paul Bensoussan, psychiatre et sexologue, expert à la cour d'appel de Versailles, vous le diront : les allégations des enfants sont en rapport avec des faux souvenirs. Cf. ce qu'ils ont dit au procès d'Outreau. 

Le professeur Jacques van Rillaer a récemment fait savoir dans son blog (Mediapart) que le linguiste philosophe François Récanati, à qui avait été accordé le titre prestigieux (chez les "lacaniens") de "sujet supposé savoira fini par se rendre compte de ce que le jargon de Jacques Lacan et Cie était dénué de sensque sa jargonophasie  relevait en fait plutôt que de la schizophrénie.  de la mystification d'un habile escroc qui exploitait le snobisme, la naïveté et les portefeuilles bien garnis de ses zélotes.  

Comment se fait-il que François Récanati ne s'en soit pas aperçu plus tôt ? Et pourquoi Jacques Lacan futile prit de scrupules à la fin de sa vie, au point d'avouer qu'il n'avait en fait jamais caché que la psychanalyse n'était que "substance de vide", un vaste délire (pas si vide que ça, parce que projectif, et par conséquent paranoïaque, et surtout iatrogène) ====>> parce que c'aurait été suicidaire sur le plan professionnel - de le dire de façon trop claire et abrupte,  ce qu'il avait pourtant fait à la façon de "La lettre volée" dans la nouvelle d'Edgar Poe.

Sigismund Freud comme Lacan et Adolfus Hitler avaient lu Schopenhauer, selon qui les théories psychologiques procèdent en fait à l'insu de leurs promoteurs de motivations internes , c'est-à-dire projectives +/- conscientes. Schopenhauer est aussi l'auteur de "L'art d'avoir toujours raison", et Freud avait l'art d'avoir toujours raison !

De fait Lacan, qui  préférait laisser filtrer ce qu'il pensait savoir à travers le concept de "forclusion du nom du père" (du père de Freud s'entend, le sien s'étant effacé devant son grand-père, devenu l'amant de sa mère) à l'origine de son délire spécifique comme des délires  projectifs en général. Il a aussi usé de "mathèmes", dont les plus simples à dé-li<->r<->e sont trois anneaux entrecroisés et la bande de Möbius, qui symbolisent le retour aux origines scabreuses de Freud (racine²de moins 1), racines qui ont nourri et nourrissent encore son délire inter-minable. 

Le dire autrement aurait été scier la branche sur laquelle il était branché. parce que Jacques Lacan connaissait bien l'allemand. 

De fait, c'est bien ce qu'il avait cherché à faire comprendre tout au long de son enseignement, à qui savait l'entendre. C'est pourquoi il recommandait aux mal-barrés qui ne voulaient rien céder sur leur désir de franchir la Passe pour accéder à "l'autre rive" de s'exercer aux mots croisés.  

Aussi avait-il substitué au concept projectif de "complexe d’œdipe"de "non du père", ceux de "discours du Maître" et de "Plus-de-jouir", à l'appui son concept de "forclusion du nom du père", à la source du délire paranoïaque de Freud, et, par procuration, de celui de ses zélotes  mal-barrés ( les délires sont des maladies contagieuses : ainsi du délire d'Hitler, emprunté, qui l'eut cru, à ... Sigmund Freud, son ex psychothérapeute (via le docteur Eduard Bloch), et réciproquement, ce pourquoi, reconnaissant,  A. H., leur fit adresser un laisser-passer spécial par l'officier SS Anton Sauerwald en 1938 après l'annexion de l'Autriche au III e Reich, avec l'ordre de les bien traiter, et non pas pour les raisons inventées par Eliette Abécassis dans son roman à l'eau d'éros "Un secret de Freud", paru en août 2014 chez Flammarion.

Arthur Schnitzler savait mieux qu'elle qui était Freud.

La  montée du nazisme se faisant plus pressant et sachant qu'il y était pour quelque chose écrit en 1927, à l'époque où Freud doit revenir de ses illusions : « Si tu protèges avec trop de tendresse le jardin secret de ton âme, il peut facilement se mettre à fleurir de façon trop luxuriante, à déborder au-delà de l’espace qui lui était imparti et même à prendre peu à peu possession dans ton âme de domaines qui n’étaient pas destinés à rester secrets. Et il est possible que toute ton âme finisse par devenir un jardin bien clos, et qu’au milieu de toutes ses fleurs et ses parfums elle succombe à sa solitude ».

Jacques Lacan savait qu'il aurait été casse-gueule de dénoncer ouvertement la paranoïa freudienne.

Il s'était gardé de déposer son concept de "Plus-de-jouir" à l'INPI, comme l'a fait Nicole Cerf-Hofstein, une de ses obstruses groupies, avec son  "Hy-obs"* ? ("Il et Elle - Duo Duel" est un livre "lacanien" (?) publié aux éditions du Seuil de l'un des sens, au point que le noir y est confondu avec le blanc. Elisabeth Roudinescoqui n'avait encore rien compris à l'a-Chose (la Chose "a", le fissa Papa où t'es  ? dans une chanson belge à succès), en avait recommandé la lecture dans "Le Monde des Livres", c'est dire l'INPI que pendre de sa proposition) 

Dans une lettre datée du 11 février 1897 Sigmund Freud écrivait à Wilhelm Fliess << La migraine hystérique s'accompagne d'une sensation de pression au sommet du crâne et aux tempes. Elle est caractéristique de situations où la tête est maintenue pour des pratiques buccales. Mon propre père est la cause de l'hystérie de mon frère et de certaines de mes sœurs cadettes. La fréquence de ce phénomène me donne souvent à réfléchir.>> (Freud, The Complete Letters of Sigmund Freud to Wilhelm Fliess 1887-1904.)

Parce qu'elles faisaient état des activités ubuesques de Jakob Freud, qu'elles faisaient très clairement état de ce que celui-ci infligeait à ses enfants, Freud avait donné l'ordre à sa groupie en manque de "Plus-de-Jouir", la princesse Marie Bonaparte, que les lettres qu'il avait adressé à Wilhelm Fliess, son ex alter ego en cogitations masturbatoires, soient brûlées après qu'elles ont été récupérées, à prix d'or, par sa richissime princesse (avait-elle eu le temps de toutes les lire, parce qu'elles sont si nombreuses que leur réunion forme un très gros bouquin depuis que  Jeffrey Moussaïeff Masson, un psychanalyste bon  professeur de sanskrit, a exceptionnellement reçu de la part de Kurt Eissler l'autorisation d'accéder aux Archives Freud pour les traduire (de les traduire pour lui, non pas de les publier parce que déchiffrer l'écriture de Freud n'est pas de la tarte, même pour un germanophone expérimenté).

Après la mort de Fliess, Freud avait tenu à les récupérer auprès de sa veuve, ce qu'elle avait refusé de faire.  Pourquoi ? 

Elle préférait les revendre. Ce qu'elle fit. 

Les lettres à Fliess finirent par être entreposées à la Librairy of Congress de Washington sous la garde de Kurt Eissler, lui-même psychanalyste bon teint, qui se mordit les doigts d'avoir, avec l'accord d'Anna Freud, confié le travail de traduction à Masson, un psychanalyste insensé (a-normal) puisqu'il n'a pas hésité à tuer la poule aux œufs d'or en révélant, en octobre 1981 au New York Times, ce qu'il avait découvert en traduisant totalement ce qu'il fallait censurer, ce qui avait été fait dans  la première édition de ces lettres.

Il en fit un livre savant, publié quatre ans plus tard sous titre "Assault on Truth". Son livre fit un tabac aux USA, mais pas en France, bien qu'il ait été traduit et publié en français en 1984 chez Aubier sous le titre "Le réel escamoté").

Comme il fallait s'y attendre, parce que son livre était solide et accablant, Masson fut déclaré "peu rigoureux"  par "l'historienne de la psychanalyse" Elisabeth Roudinesco, cf. son "Dictionnaire de la psychanalyse ", et décrié par les zélotes du gourou. 

Un gourou qui avait le don d'attirer à lui les plus  grosses fortunes pour les prendre en cure, dont la Baronne Fanny Moser (appelée "Emmy von N" dans ses "Etudes sur l'hystérie").

Après qu'elles ont été sauvées de la destruction par ladite princesse dans des conditions rocambolesques, ces lettres ont été publiées, mais savamment expurgées par Anna Freud de leur contenu inavouable (pour les sauver, Marie Bonaparte les avaient fait enfermer dans des containers que l'on fit amarrer à un cargo en partance pour l'Angleterre).   

C'est donc moins l'histoire de Bertha Pappenheim -  l' "Anna O" de ses célèbres "Etudes sur l'hystérie" qui avait poussé Freud à inventer la théorie des fantasmes incestueux, mais la nécessité, très consciente, de taire, en les faisant passer pour des fantasmes soi-disant œdipiens, les fellations que lui avait fait subir son père (son père officiel, sinon son père génétique, compte tenu que la venue au monde du petit Sigismund Freud en mars 1856 aurait été la conséquence d'un  "effet yau-de-poêle" (Outre ceux de Jacques Lacan, cf. les écrits du philosophe François George et de la psychanalyste Gabrielle Rubin).

Il est donc une autre intention que celle, soi-disant explicative sur le plan psychiatrique, que SigMund Freud, à partir de 1908, avec l'appui intéressé d'Ernest Jones, a réussi à imposer au commun des psychiatres comme au commun des mortels à la légende d' Œdipe : celle, celle, inavouable, d'occulter la réalité des violences sexuelles qu'un grand nombre d'enfants, très souvent des nourrissons, ont eu à subir pour que le "grand Autre" (paradigme des pères ubusifs) accède à un "plus-de-jouir" océanique, selon l'expressive expression du docteur Jacques Lacan, qui s'y connaissait. à la légende d'Œdipe : son inavouable intention était d'occulter la réalité des violences sexuelles qu'un grand nombre d'enfants, très souvent des nourrissons, ont eu à subir pour que le "grand Autre" (paradigme des pères ubusifs) accède à un "plus-de-jouir " océanique, selon l'expressive expression  du docteur Jacques Lacan, qui s'y connaissait.

D'après Thierry Gaillard, le sens que Sophocle avait donné à la légende est bien différent que celui que Freud a réussi à imposer pour en faire un principe clinique universel. Freud avait été jusqu'à l'appliquer à Hamlet.(Thierry Gaillard, "L’autre Œdipe, de Freud à Sophocle", 2014).  

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22 janvier 2018 1 22 /01 /janvier /2018 15:04

 "L'étrange cas du Dr. Jekill et Mister Hyde", publié en 1886, peut être considéré comme prescient et prémonitoire par rapport à ce qui se passera quelques années plus tard

Adolf Hitler,né trois ans après la publication de ce "roman" dans une première version imaginée par l'épouse de Robert Louis Stevenson, n'allait-il pas devenir la face cachée du docteur Freud. Autrement dit devenir ce qu'était Mister Hyde au docteur Jekill ?

Freud était sujet à des angoisses, qu'il qualifiait lui-d'hystériques. Il entreprit de (se) les expliquer.

Ne seraient-elles pas, comme il pensait l'avoir découvert chez ses patientes souffrant de troubles dits "hystériques", le reliquat d'une  histoire oubliée, c'est-à-dire inconsciente, et inconsciente parce "refoulée", et refoulée parce qu'elles témoigneraient d'a-choses sexuelles (des fellations) commises à son encontre au cours de son enfance, et/ou même alors qu'il n'était qu'un nourrisson ?  Cf. sa lettre du 21 septembre 1897 au docteur Flies, dans laquelle il avouait devoir à lui-même appliquer la théorie développée dans ses "Etudes sur l'hystérie", publiées en 1895 avec le docteur Josef Breuer, son aîné de dix ans, et à l'époque son mentor.

Impensable ! Son père était le fils d'un rabbin ? Intégrer à sa théorie que son père l'avait obligé à lui faire des fellations ! Ce serait trop scandaleux et par suite suicidaire sur le plan professionnel.

La rhétorique qu'il développera à partir de cette prise de conscience fera quasi inévitablement boomerang, en vertu même du refoulent. Elle fera retour, reviendra à son point de lancement pour s'ancrer dans un "déni de vérité" (selon l'expression de Jacques Lacan), un déni qui charpentera le discours des freudiens et dupera le tout-venant, et, la cocaïne aidant, fera véritablement de Freud un Dr.Jekill and Mr.Hyde

La rhétorique de Freud, quoique beaucoup plus subtile que celle d'Hitler, n'en était pas moins tout aussi aveuglante, et ses effets pervers. Il n'est d'ailleurs pas étonnant qu'Hitler lui ait fait délivrer un sauf conduit après qu'il a annexé l'Autriche au IIIe Reich. 

La rhétorique de Freud aura en fin de compte fini par aveugler Freud lui-même, et deviendra un délire collectif (un beau "conte de fée scientifique", selon l'expression de Richard von Kraff Ebing), et servir d'alibi aux pédo"philes", comme aux pères incestueux et à tous les prédateurs sexuels, qui s'en servent pour déconsidérer et faire taire leurs proies (pour les "museler", dira en 2007 le docteur Catherine Bonnet dans son livre "L'enfance muselée").

De là son indécrottable succès, y compris auprès de certains prêtres, qu'ils soient cathodiques ou anodiques, qui sont devenus "psychanalystes" pour s'abriter et "devenir comme des dieux" par la consommation du "fruit défendu", suivant la proMesse du Serpent de la Genèse (titre d'un livre du psychanalyste nord-américain Eric Fromm), ladite "consommation" créant un sentiment océanique, comme l'a confessé le prix Nobel de littérature André Gide (dans "Ainsi soit-il, les jeux sont faits". Romain Rolland, l'auteur de "Jean-Christophe". Grand admirateur de Freud et ne doutant de rien, était intervenu après du Comité Nobel pour lui faire obtenir le prix Nobel de médecine.      

DSK, comme l'ont fait beaucoup d'autres agresseurs sexuels avant lui, n'avait pas hésité, encore en 2011, à se servir la théorie négationniste freudienne du fantasme comme d'un bouclier, ce devant Claire Chazal et des millions de téléspectateurs, pour discréditer les allégations de Tristane Banon à son encontre.

De même auparavant les psychiatres Samuel Lepastier et Paul Bensoussan pour déconsidérer la parole des enfants d'Outreau

!

L'origine des "scandaleux" concepts freudiens était la nécessité de refouler l'origine scandaleuse (scandaleuse parce que incestueuse) de leur concepteur, c'est-à-dire de Sigmund Freud lui-même. 

L'effectivité (la réussite) de ce refoulement a fait que celui-ci s'est peu à peu commué en "forclusion". Cette forclusion ravalait (et ravale) ipso facto la psychanalyse à un délire paranoïaque. C'est d'ailleurs pourquoi Jacques Lacan a placé la forclusion à l'origine des délires paranoïaques. Et par conséquent pourquoi il faisait de la psychanalyse une des plus grandes duperies (mystifications) auto-reproductrice de tous les temps.  

Autrement dit les concepts de Freud avaient pris naissance avec les conditions de sa conception. Ce que Jacques Lacan avait tenté de faire comprendre sans le dire au moyen de figures symboliques, par exemple et entre autres figurations par celle de la bande de Moebius, justification son célèbre "Retour à Freud", bien sûr au "nom du père". Le dire plus clairement aurait revenu à tuer dans l’œuf sa très confortable source de revenus, et pour ses zélotes itou, qui en ont fait profession.  

C'est ainsi que "Anna O", la poule du docteur Josef Breuer  est devenue pour les praticiens de la psychanalyse une poule aux œufs d'or; Mikkel Borch Jacobson a très méchamment essayé de la tuer,

Autrement dit les concepts de Freud avaient pris naissance avec les conditions de sa conception. Ce que Jacques Lacan  avait tenté de faire comprendre sans le dire au moyen de figures symboliques, par exemple? et entre autres figurations?  par celle de la bande de Möbius.     

Selon l'historienne de la psychanalyse Elisabeth Roudinesco, la stupidité, ou plus exactement l’imbécillité, relève de la perversion.

ER a en 2007 consacré un livre à ce sujet ("La part obscure de nous-mêmes : une histoire des pervers", Paris : Albin Michel.), après en avoir consacré un autre à Jacques Lacan, un psychiatre "psychanalyste" aussi pervers que mystifiant son Maître.

Jacques Lacan n'avait pourtant  rien d'un imbécile, puisqu'il avait tout de suite compris que la principale découverte de son célèbre modèle, était qu'il était préférable, si "On" tenait avant tout à faire fortune se m'Être du côté du discours des grands Atouts, donc au dessus la barre, du côtéé des manipulants, plutôt qu'au dessous, du côté celui des petits "a", du côté des manipulés (Cf. la symbolique S/s, le Signifiant primant le signifié, cf. aussi sur ce blog ce que François Balmès  dit de Jacques Lacan à quand la question lui a été posée, en 2003 au Collège de Philosophie,  sur  "Ce que Lacan dirait de l'Inconscient maintenant que l'on sait que l'univers n'a pas quatre mais onze dimensions", sic),   

Les freudiens en relèvent, puisque Sigmund Freud fut assez crédule pour prendre pour du bon pain ce que lui avait raconté son mentor, le docteur Josef Breuer, au sujet de Bertha Pappenheim, une jeune patiente dont il avait en réalité fait sa maîtresse (Bertha Pappenheim était, via son épouse Martha Bernay, une parente de Freud),

La Fondation Jean-Jaurès prétend que les Français sont 8 sur 10 à gober les Fake News, et seraient par conséquent assez stupides pour croire aux théories complotistes.

Or c'est à partir de ce que le père Josef lui fit avaler qu'est née madame Psychanalyse (de "mad" = malade, en anglais, et âme, esprit, donc esprit malade), sécrétée ("perlaboréé") dans le court-circuit de ses circonvolutions cérébrales, la cocaïne aidant.

Or (ter), car cette Dame fera finalement sa fortune (devenu plus lucide, l'expérience aidant, il l'avouera cyniquement plus tard en privé, Cf. l'article "Hitler et Freud, une relation paradoxale".

Josef Breuer lui avait fait gober (c'était encore facile, Freud selon ses propres dires était alors un "blanc-bec") que sa jeune patiente Bertha Pappenheim, qu'il avait tenu sous son emprise pour en faire son esclave sexuelle (elle était apparemment pas vilaine) en la rendant morphinomane, avait été guérie par la parole. Cette cure par la parole fut appelée "ramonage de cheminée" (sic, en anglais chimney sweeping) et la petite Bertha Pappenheim fut par discrétion appelée "Anna O" dans les "Etudes sur l'hystérie". "Etudes" publiées en 1895, malgré les réticences de Breuer.

Pourquoi ces réticences ?

Breuer  avait avec ce ramonage fini par engrosser la petite.

Son épouse Mathilde prit si mal l'a-Chose que Josef envoya la petite Bertha devenue grosse en Suisse, à Kreuzlingen, dans une Clinique avec belle vue sur le lac de Constance pour l'en (ou s'en) débarrasser,

De cette grossesse étiquetée "hystérique" serait née  la "psychanalyse" (et non pas Anna-Lise)  alors que Bertha Pappenheim avait probablement souffert d'une SEP, une affection qui peut être prise (ou que l'on peut faire passer) pour de l'hystérie.

J'ai été témoin de faits superposables au sujet d'une cousine à la fin des années 1970. 

Elle avait alors de plus en plus de mal à respirer et s'était de sa propre initiative rendue à l'hôpital Cochin, à proximité de son domicile, pour y demander d'être hospitalisée, Comme elle s'y était présentée avec sa valise et sans recommandation, l'hôpital la refusa

Finalement admise de mauvaise grâce dans le Service du professeur Leger, elle fut ipso facto étiquetée "hystérique" alors qu'un syndrome de Gillain Barré était la cause réelle de ses étouffements.

Elle avait heureusement un ami, un médecin Iranien, qui lui rendit tout de suite visite. Il la fit d'urgence transférer aux Urgences, où elle fut immédiatement trachéotomisée : il était temps, car elle était en train de mourir étouffée. Elle resta plus d'un mois sous respiration artificielle.  

Freud était cocaïnomane, une addiction bien connue pour être propice aux délires paranoïaques. De fait, il se mit à délier, et  la France est un des rares pays à croire encore au délire  freudien du fantasme, et à son corollaire, la "théorie œdipienne", qui postule l 'existence et  l'universalité du complexe d’œdipe,

Sigmund Freud a avec cette invention délirante, réussi à se mystifier lui-même. C'était une invention ad hoc qui lui a été soufflée, en 1908,  par un médecin anglais grand amateur de tendrons, en l'occurrence le docteur Ernest Jones.

Ainsi mystifié par Josef Breuer, travaillé par Ernest Jones  Freud a réussi à se manipuler lui-même et à travers lui a mystifier le monde entier (parce que  les délires interprétatifs sont contagieux, et le sien le fut à l'échelle mondiale, comme le furent et le sont encore les délires racistes, car les délires et comme les mythes ont la vie dure, Cf. "L'affaire Freud", mise en ligne en 2012 par le docteur Michel Meignant

Les nouveaux procédés de transfusions sanguines introduits au début des années 1980 sont grandement responsables de l'éclosion du SIDA du fait qu'un seul donneur de sang porteur du VIH pouvait après leur introduction contaminer des centaines si ce n'est des milliers de flacons de sang livrés aux hôpitaux et aux cliniques chirurgicales. Les hôpitaux s'en sont  servis jusqu'en octobre 1985, ce qui a fait qu' autour de 25000 patients furent indûment contaminés, des contaminations qui furent occultés par la plupart des journaux (Cf. Cf. Sophie Coignard, "L'omerta française", éditions Albin Michel, et Anne-Marie Casteret "L'affaire du sang" aux éditions  La découverte, 1992, livre toujours disponible). On s'attacha surtout à montrer la responsabilité des homosexuels dans l'éclosion de cette pandémie,  alors que les pratiques homosexuelles existent depuis la nuit des temps.

Mais mon message concerne aussi et surtout la découverte, que je fis en juin 2012 (après en avoir eu l’intuition en 1967) qu’il existait un moyen à la fois totalement écologique, très économique et très rapidement faisable de soustraire à la Lune son quasi inépuisable énergie cinétique de façon bien plus massive, économique et écologique que ne le font actuellement les barrages et les très problématiques hydroliennes.

J’avais le 5 septembre 2012 tenté d’alerter les responsables gouvernementaux chargés de l’énergie et de l’écologie à ce sujet.

Le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault leur avait demandé de s’y intéresser, mais aucun d’entre eux n’a cru devoir en savoir plus. Sans doute avaient-ils confié l’information à leurs conseillers, qui leur auraient répondu que si un tel procédé était possible, il y a longtemps que les ingénieurs formés dans les plus grandes écoles auraient su la trouver et l’exploiter.

C’est oublier que ce ne sont pas nécessairement ni toujours les spécialistes d’un problème technique qui trouvent la solution : Pasteur n’était pas médecin et Irène Frachon était non pas cardiologue, mais pneumologue; Or c’est elle qui a pris le risque d’alerter le monde sur la toxicité cardiaque du médiator, et non pas un cardiologue.

Le docteure Irène Frachon a failli payer très cher son audace, tandis que le fabricant du Médiator *, le patron des Laboratoires Servier,  recevait la légion d'honneur. Mais le docteur Bruno Toussaint, de la Revue Prescrire, a relayé et su médiatiser ses informations. Irène Frachon a ainsi pu se faire entendre.

Je n’avais pas eu cette chance en août 1990 et après, pour des raisons tout à fait superposables : j’avais, en tant que médecin, eu le malheur d’avoir proposé une hypothèse, qui s’est avérée pertinente, au sujet d’un test paraclinique commercial, le test de Schilling. L’avoir mise en évidence avait alors non seulement sauvé la vie de mon père, mais l’avait rétabli dans son fonctionnement cérébral alors que ses médecins, les neurologues du CHU ce Bicêtre (le Service du professeur Gérard Saïd) l’avaient paradoxalement récusée, jusqu’à donner l’ordre aux infirmières qui s’occupaient de lui de faire semblant de lui administrer le traitement correspondant à cette hypothèse, à savoir que ni un test de Schilling normal ni même une vitaminémie B12 normale ne suffisaient à récuser un diagnostic de syndrome neuro-anémique de profonde carence vitaminique B12 (tout bonnement en vertu du principe qu’en médecine « la clinique prime le laboratoire », un principe de base enseigné aux étudiants en médecine dès la première année). Heureusement pour mon père, mais malheureusement pour moi, les infirmières du Service gériatrique où les neurologues de Bicêtre avaient fait transférer mon père pour éviter qu’il ne décède dans leur propre Service - ils l’avaient promis à une «inéluctable plus grande aggravation » (sic) et avait porté en conclusion avant son transfert le ‘‘diagnostic’’ « ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX » (sic) à traiter par du Prozac - elles avaient fini par comprendre que j’avais raison et m’en avaient averti. Malheureusement pour moi parce que je fus dès lors persécuté et par lesdits neurologues et par l' Ordre des médecins, qui du coup s’entendirent pour me discréditer. Le professeur Gérard Saïd et l’hôpital Bicêtre allèrent jusqu’à m’accuser – devant témoins - d’avoir moi-même sciemment "fabriqué" (sic) la maladie de mon père par "antisémitisme" (sic), c’est-à-dire d’être en fait passible de l’article 40 de CPP, qui condamne très sévèrement ce genre de pratique. Alors qu’ils m’en avaient menacé et en avaient l’obligation, ils "oublièrent" de porter l’affaire devant la Justice. Il y a donc bien lieu de croire au "complotisme" dans cette affaire, d’autant qu’après leurs forfaits les hôpitaux responsables de ces savantes bavures adressèrent une note très salée de frais d’hospitalisation, sans tenir compte de l’ALD ni ce qu’il m’était revenu de faire les frais de l’incompétence et de la malveillance meurtrière desdits neurologues (Cf. Une découverte inavouable : le syndrome NDB12PP - Le blog de leon). Explication possible, et probablement la seule qui vaille : mon père avait subi une transfusion de sang en avril 1984, à l’époque où la quasi-totalité des transfusions furent faites avec du sang contaminé par le VIH. Autrement dit, les carences vitaminique B12 profondes étant rapidement mortelles quand elles ne sont pas corrigées, mieux valait simuler leur traitement et faire ainsi mourir les malades avant qu’ils aient le temps de développer un SIDA maladie. Or cela s’est reproduit au CHU de Mantes la Jolie, toujours sous la responsabilité du même Olivier Ille. Pour plus de détails, cf. www n° 34640255 html et les derniers articles du site http://genocides.over-blog.com , mis en ligne en 2009, c’est-à-dire avant que cette explication m’ait été spontanément fourni à Rennes par un membre du SAMU 94 le 15 avril 2010.

N’ayant pas eu la chance d’Irène Frachon, j’ai non seulement dû faire très lourdement les frais de l’incompétence ( ?) et des neurologues de Bicêtre et de leur malveillance, mais aussi de la malveillance de l’Ordre des médecins et de la Justice, qui s’est littéralement « payé ma tête » en faisant semblant de ne rien comprendre à cette affaire, pourtant clairement expliquée par le docteur Yves Dano dans les 44 pages d’une expertise, qui, à ma grande surprise, faisait état de transgressions pires que celles que j’avais réussi à documenter. Il avait cependant pris la précaution de tirer son épingle du jeu vis-à-vis de l’Establishment en concluant, à la toute dernière page de son rapport, que le malade avait été « consentant » (sic !). A la satisfaction évidente, si ce n’est à la demande, de l’Ordre et du Parquet. Je n’ai par conséquent plus les moyens de faire valoir sans une aide extérieure la pertinence de mon procédé d’exploitation de l’énergie marémotrice par la construction d’un prototype in situ. Il me reste à compter sur petits-enfants, qui sont franco-allemands (ou l’inverse). Mais si je suis trop vieux, eux sont encore trop jeunes, et l’Allemagne ne bénéficie pas comme la France d’une façade maritime propice à cette exploitation.

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19 janvier 2018 5 19 /01 /janvier /2018 14:04

Sigmund Freud souffrait d'angoisses phobiques. Elles furent par lui-même qualifiées d'hystériques. Il avait notamment la phobie des voyages en chemin de fer. Il entreprit, sans y parvenir (à cause du refoulement), de (se) l'expliquer.

C'est finalement la psychanalyste Marie Balmary qui réussit à en donner l'explication : il avait trait à un secret de famille auquel il n'avait pas eu accès. C'est un secret de polichinelle (la langue française est à ce sujet précise plus précise que langue allemande : à 19 ans, sa mère, Amalia Nathanson, avait déjà un "polichinelle dans le buffet" quand elle s'est mariée avec Jakob Freud, et le polichinelle à venir, bien qu'il fut l'oeuvre de Jacob Nathansohn, allait à sa naissance recevoir le nom Sigismund Freud.  

Entre-temps (auparavant) , Rebekka Freud, la seconde épouse de Jakob Freud, avait dû être débarquée, et disparaître des registres, comme si elle n'avait jamais été.

Les demi-frères de S. Freud pour des raisons qui leur étaient "propres" (c'est-à-dire sales parce que inavouables) avaient gardé le secret. C'était un secret empoisonnant.Il ne pouvait qu'avoir empoisonné l'inconscient (le système Ics) de S Freud, pour resurgir sous la forme d'un délire "scientifique" (et négationniste), une sorte d'équivalent d'un délire connu en psychiatrie sous le nom de "délire de négation d'organe", à ceci près qu'il s'agit de la négation de l'existence, d'un Être, la seconde épouse de Jakob Freud,  condamnée à n'être qu'un fantôme hantant l'Inconscient du "père" de la psychanalyse, et à travers lui celui de ses patients et de ses zélotes.   

Ses angoisses n'étaient-elles pas, comme il pensait l'avoir constaté chez ses patientes souffrant de troubles dits "hystériques", le reliquat d'une  histoire sexuelle refoulée parce que traumatique (Cf. ses  "Etudes sur l'hystérie", publiés en 1895 avec le docteur Josef Breuer, son aîné de dix ans, et à l'époque son mentor ?  

Toujours est-il que sa rhétorique fera quasi inévitablement boomerang, en vertu même du refoulement, revenant à son point de lancement pour s'ancrer dans le "déni de vérité" (selon l'expression de Jacques Lacan), un déni qui charpentera le discours des freudiens et dupera le tout-venant.

Jacques Lacan, qui avait bien compris qu'il serait vain dans ces conditions de s'attaquer frontalement à la duperie, au lieu la dénoncer clairement, la contourna en créant le contre-concept de "forclusion".

La rhétorique de Freud était aveuglante. Elle aura en fin de compte fini par aveugler Freud lui-même, pour devenir un délire collectif (un beau "conte de féesscientifique", selon l'expression de Richard von Kraff Ebing), et servir d'alibi aux pédo"philes", comme aux pères incestueux et à tous les prédateurs sexuels, qui s'en servent pour déconsidérer et faire taire leurs proies (pour les "museler", dira en 2007 le docteur Catherine Bonnet dans son livre "L'enfance muselée").

De là son indécrottable succès, y compris auprès de certains prêtres, qu'ils soient cathodiques ou anodiques, qui sont devenus "psychanalystes" pour s'abriter et "devenir comme des dieux" par la consommation du "fruit défendu", suivant la proMesse du Serpent de la Genèse (titre d'un livre du psychanalyste nord-américain Eric Fromm), ladite "consommation" créant un sentiment océanique, comme l'a confessé le prix Nobel de littérature André Gide (dans "Ainsi soit-il, les jeux sont faits". Romain Rolland, l'auteur de "Jean-Christophe". Grand admirateur de Freud et ne doutant de rien, était intervenu après du Comité Nobel pour lui faire obtenir le prix Nobel de médecine.      

DSK, comme l'ont fait beaucoup d'autres agresseurs sexuels avant lui, n'avait pas hésité, encore en 2011, à se servir la théorie négationniste freudienne du fantasme comme d'un bouclier, ce devant Claire Chazal et des millions de téléspectateurs, pour discréditer les allégations de Tristane Banon à son encontre.

De même auparavant les psychiatres Samuel Lepastier et Paul Bensoussan pour déconsidérer la parole des enfants d'Outreau

!

L'origine des "scandaleux" concepts freudiens était la nécessité de refouler l'origine scandaleuse (scandaleuse parce que incestueuse) de leur concepteur, c'est-à-dire de Sigmund Freud lui-même. 

L'effectivité (la réussite) de ce refoulement a fait que celui-ci s'est peu à peu commué en "forclusion". Cette forclusion ravalait (et ravale) ipso facto la psychanalyse à un délire paranoïaque. C'est d'ailleurs pourquoi Jacques Lacan a placé la forclusion à l'origine des délires paranoïaques. Et par conséquent pourquoi il faisait de la psychanalyse une des plus grandes duperies (mystifications) auto-reproductrice de tous les temps.  

Autrement dit les concepts de Freud avaient pris naissance avec les conditions de sa conception. Ce que Jacques Lacan avait tenté de faire comprendre sans le dire au moyen de figures symboliques, par exemple et entre autres figurations par celle de la bande de Moebius, justification son célèbre "Retour à Freud", bien sûr au "nom du père". Le dire plus clairement aurait revenu à tuer dans l’œuf sa très confortable source de revenus, et pour ses zélotes itou, qui en ont fait profession.  

C'est ainsi que "Anna O", la poule du docteur Josef Breuer  est devenue pour les praticiens de la psychanalyse une poule aux œufs d'or; Mikkel Borch Jacobson a très méchamment essayé de la tuer,

Autrement dit les concepts de Freud avaient pris naissance avec les conditions de sa conception. Ce que Jacques Lacan  avait tenté de faire comprendre sans le dire au moyen de figures symboliques, par exemple? et entre autres figurations?  par celle de la bande de Möbius.     

Selon l'historienne de la psychanalyse Elisabeth Roudinesco, la stupidité, ou plus exactement l’imbécillité, relève de la perversion.

ER a en 2007 consacré un livre à ce sujet ("La part obscure de nous-mêmes : une histoire des pervers", Paris : Albin Michel.), après en avoir consacré un autre à Jacques Lacan, un psychiatre "psychanalyste" aussi pervers que mystifiant son Maître.

Jacques Lacan n'avait pourtant  rien d'un imbécile, puisqu'il avait tout de suite compris que la principale découverte de son célèbre modèle, était qu'il était préférable, si "On" tenait avant tout à faire fortune se m'Être du côté du discours des grands Atouts, donc au dessus la barre, du côtéé des manipulants, plutôt qu'au dessous, du côté celui des petits "a", du côté des manipulés (Cf. la symbolique S/s, le Signifiant primant le signifié, cf. aussi sur ce blog ce que François Balmès  dit de Jacques Lacan à quand la question lui a été posée, en 2003 au Collège de Philosophie,  sur  "Ce que Lacan dirait de l'Inconscient maintenant que l'on sait que l'univers n'a pas quatre mais onze dimensions", sic),   

Les freudiens en relèvent, puisque Sigmund Freud fut assez crédule pour prendre pour du bon pain ce que lui avait raconté son mentor, le docteur Josef Breuer, au sujet de Bertha Pappenheim, une jeune patiente dont il avait en réalité fait sa maîtresse (Bertha Pappenheim était, via son épouse Martha Bernay, une parente de Freud),

La Fondation Jean-Jaurès prétend que les Français sont 8 sur 10 à gober les Fake News, et seraient par conséquent assez stupides pour croire aux théories complotistes.

Or c'est à partir de ce que le père Josef lui fit avaler qu'est née madame Psychanalyse (de "mad" = malade, en anglais, et âme, esprit, donc esprit malade), sécrétée ("perlaboréé") dans le court-circuit de ses circonvolutions cérébrales, la cocaïne aidant.

Or (ter), car cette Dame fera finalement sa fortune (devenu plus lucide, l'expérience aidant, il l'avouera cyniquement plus tard en privé, Cf. l'article "Hitler et Freud, une relation paradoxale".

Josef Breuer lui avait fait gober (c'était encore facile, Freud selon ses propres dires était alors un "blanc-bec") que sa jeune patiente Bertha Pappenheim, qu'il avait tenu sous son emprise pour en faire son esclave sexuelle (elle était apparemment pas vilaine) en la rendant morphinomane, avait été guérie par la parole. Cette cure par la parole fut appelée "ramonage de cheminée" (sic, en anglais chimney sweeping) et la petite Bertha Pappenheim fut par discrétion appelée "Anna O" dans les "Etudes sur l'hystérie". "Etudes" publiées en 1895, malgré les réticences de Breuer.

Pourquoi ces réticences ?

Breuer  avait avec ce ramonage fini par engrosser la petite.

Son épouse Mathilde prit si mal l'a-Chose que Josef envoya la petite Bertha devenue grosse en Suisse, à Kreuzlingen, dans une Clinique avec belle vue sur le lac de Constance pour l'en (ou s'en) débarrasser,

De cette grossesse étiquetée "hystérique" serait née  la "psychanalyse" (et non pas Anna-Lise)  alors que Bertha Pappenheim avait probablement souffert d'une SEP, une affection qui peut être prise (ou que l'on peut faire passer) pour de l'hystérie.

J'ai été témoin de faits superposables au sujet d'une cousine à la fin des années 1970. 

Elle avait alors de plus en plus de mal à respirer et s'était de sa propre initiative rendue à l'hôpital Cochin, à proximité de son domicile, pour y demander d'être hospitalisée, Comme elle s'y était présentée avec sa valise et sans recommandation, l'hôpital la refusa

Finalement admise de mauvaise grâce dans le Service du professeur Leger, elle fut ipso facto étiquetée "hystérique" alors qu'un syndrome de Gillain Barré était la cause réelle de ses étouffements.

Elle avait heureusement un ami, un médecin Iranien, qui lui rendit tout de suite visite. Il la fit d'urgence transférer aux Urgences, où elle fut immédiatement trachéotomisée : il était temps, car elle était en train de mourir étouffée. Elle resta plus d'un mois sous respiration artificielle.  

Freud était cocaïnomane, une addiction bien connue pour être propice aux délires paranoïaques. De fait, il se mit à délier, et  la France est un des rares pays à croire encore au délire  freudien du fantasme, et à son corollaire, la "théorie œdipienne", qui postule l 'existence et  l'universalité du complexe d’œdipe,

Sigmund Freud a avec cette invention délirante, réussi à se mystifier lui-même. C'était une invention ad hoc qui lui a été soufflée, en 1908,  par un médecin anglais grand amateur de tendrons, en l'occurrence le docteur Ernest Jones.

Ainsi mystifié par Josef Breuer, travaillé par Ernest Jones  Freud a réussi à se manipuler lui-même et à travers lui a mystifier le monde entier (parce que  les délires interprétatifs sont contagieux, et le sien le fut à l'échelle mondiale, comme le furent et le sont encore les délires racistes, car les délires et comme les mythes ont la vie dure, Cf. "L'affaire Freud", mise en ligne en 2012 par le docteur Michel Meignant

Les nouveaux procédés de transfusions sanguines introduits au début des années 1980 sont grandement responsables de l'éclosion du SIDA du fait qu'un seul donneur de sang porteur du VIH pouvait après leur introduction contaminer des centaines si ce n'est des milliers de flacons de sang livrés aux hôpitaux et aux cliniques chirurgicales. Les hôpitaux s'en sont  servis jusqu'en octobre 1985, ce qui a fait qu' autour de 25000 patients furent indûment contaminés, des contaminations qui furent occultés par la plupart des journaux (Cf. Cf. Sophie Coignard, "L'omerta française", éditions Albin Michel, et Anne-Marie Casteret "L'affaire du sang" aux éditions  La découverte, 1992, livre toujours disponible). On s'attacha surtout à montrer la responsabilité des homosexuels dans l'éclosion de cette pandémie,  alors que les pratiques homosexuelles existent depuis la nuit des temps.

Mais mon message concerne aussi et surtout la découverte, que je fis en juin 2012 (après en avoir eu l’intuition en 1967) qu’il existait un moyen à la fois totalement écologique, très économique et très rapidement faisable de soustraire à la Lune son quasi inépuisable énergie cinétique de façon bien plus massive, économique et écologique que ne le font actuellement les barrages et les très problématiques hydroliennes.

J’avais le 5 septembre 2012 tenté d’alerter les responsables gouvernementaux chargés de l’énergie et de l’écologie à ce sujet.

Le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault leur avait demandé de s’y intéresser, mais aucun d’entre eux n’a cru devoir en savoir plus. Sans doute avaient-ils confié l’information à leurs conseillers, qui leur auraient répondu que si un tel procédé était possible, il y a longtemps que les ingénieurs formés dans les plus grandes écoles auraient su la trouver et l’exploiter.

C’est oublier que ce ne sont pas nécessairement ni toujours les spécialistes d’un problème technique qui trouvent la solution : Pasteur n’était pas médecin et Irène Frachon était non pas cardiologue, mais pneumologue; Or c’est elle qui a pris le risque d’alerter le monde sur la toxicité cardiaque du médiator, et non pas un cardiologue.

Le docteure Irène Frachon a failli payer très cher son audace, tandis que le fabricant du Médiator *, le patron des Laboratoires Servier,  recevait la légion d'honneur. Mais le docteur Bruno Toussaint, de la Revue Prescrire, a relayé et su médiatiser ses informations. Irène Frachon a ainsi pu se faire entendre.

Je n’avais pas eu cette chance en août 1990 et après, pour des raisons tout à fait superposables : j’avais, en tant que médecin, eu le malheur d’avoir proposé une hypothèse, qui s’est avérée pertinente, au sujet d’un test paraclinique commercial, le test de Schilling. L’avoir mise en évidence avait alors non seulement sauvé la vie de mon père, mais l’avait rétabli dans son fonctionnement cérébral alors que ses médecins, les neurologues du CHU ce Bicêtre (le Service du professeur Gérard Saïd) l’avaient paradoxalement récusée, jusqu’à donner l’ordre aux infirmières qui s’occupaient de lui de faire semblant de lui administrer le traitement correspondant à cette hypothèse, à savoir que ni un test de Schilling normal ni même une vitaminémie B12 normale ne suffisaient à récuser un diagnostic de syndrome neuro-anémique de profonde carence vitaminique B12 (tout bonnement en vertu du principe qu’en médecine « la clinique prime le laboratoire », un principe de base enseigné aux étudiants en médecine dès la première année). Heureusement pour mon père, mais malheureusement pour moi, les infirmières du Service gériatrique où les neurologues de Bicêtre avaient fait transférer mon père pour éviter qu’il ne décède dans leur propre Service - ils l’avaient promis à une «inéluctable plus grande aggravation » (sic) et avait porté en conclusion avant son transfert le ‘‘diagnostic’’ « ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX » (sic) à traiter par du Prozac - elles avaient fini par comprendre que j’avais raison et m’en avaient averti. Malheureusement pour moi parce que je fus dès lors persécuté et par lesdits neurologues et par l' Ordre des médecins, qui du coup s’entendirent pour me discréditer. Le professeur Gérard Saïd et l’hôpital Bicêtre allèrent jusqu’à m’accuser devant témoins - d’avoir moi-même sciemment "fabriqué" (sic) la maladie de mon père par "antisémitisme" (sic), c’est-à-dire d’être en fait passible de l’article 40 de CPP, qui condamne très sévèrement ce genre de pratique. Alors qu’ils m’en avaient menacé et en avaient l’obligation, ils "oublièrent" de porter l’affaire devant la Justice. Il y a donc bien lieu de croire au "complotisme" dans cette affaire, d’autant qu’après leurs forfaits les hôpitaux responsables de ces savantes bavures adressèrent une note très salée de frais d’hospitalisation, sans tenir compte de l’ALD ni ce qu’il m’était revenu de faire les frais de l’incompétence et de la malveillance meurtrière desdits neurologues (Cf. Une découverte inavouable : le syndrome NDB12PP - Le blog de leon). Explication possible, et probablement la seule qui vaille : mon père avait subi une transfusion de sang en avril 1984, à l’époque où la quasi-totalité des transfusions furent faites avec du sang contaminé par le VIH. Autrement dit, les carences vitaminique B12 profondes étant rapidement mortelles quand elles ne sont pas corrigées, mieux valait simuler leur traitement et faire ainsi mourir les malades avant qu’ils aient le temps de développer un SIDA maladie. Or cela s’est reproduit au CHU de Mantes la Jolie, toujours sous la responsabilité du même Olivier Ille. Pour plus de détails, cf. www n° 34640255 html et les derniers articles du site http://genocides.over-blog.com , mis en ligne en 2009, c’est-à-dire avant que cette explication m’ait été spontanément fourni à Rennes par un membre du SAMU 94 le 15 avril 2010.

N’ayant pas eu la chance d’Irène Frachon, j’ai non seulement dû faire très lourdement les frais de l’incompétence ( ?) et des neurologues de Bicêtre et de leur malveillance, mais aussi de la malveillance de l’Ordre des médecins et de la Justice, qui s’est littéralement « payé ma tête » en faisant semblant de ne rien comprendre à cette affaire, pourtant clairement expliquée par le docteur Yves Dano dans les 44 pages d’une expertise, qui, à ma grande surprise, faisait état de transgressions pires que celles que j’avais réussi à documenter. Il avait cependant pris la précaution de tirer son épingle du jeu vis-à-vis de l’Establishment en concluant, à la toute dernière page de son rapport, que le malade avait été « consentant » (sic !). A la satisfaction évidente, si ce n’est à la demande, de l’Ordre et du Parquet. Je n’ai par conséquent plus les moyens de faire valoir sans une aide extérieure la pertinence de mon procédé d’exploitation de l’énergie marémotrice par la construction d’un prototype in situ. Il me reste à compter sur petits-enfants, qui sont franco-allemands (ou l’inverse). Mais si je suis trop vieux, eux sont encore trop jeunes, et l’Allemagne ne bénéficie pas comme la France d’une façade maritime propice à cette exploitation.

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17 janvier 2018 3 17 /01 /janvier /2018 13:08

Selon l'historienne de la psychanalyse Elisabeth Roudinesco, la stupidité, ou plus exactement l’imbécillité, relève de la perversion.

ER a en 2007 consacré un livre à ce sujet ("La part obscure de nous-mêmes : une histoire des pervers", Paris : Albin Michel.), après en avoir consacré un autre à Jacques Lacan, un psychiatre "psychanalyste" aussi pervers que mystifiant son Maître.

Jacques Lacan n'avait pourtant  rien d'un imbécile, puisqu'il avait tout de suite compris que la principale découverte de son célèbre modèle, était qu'il était préférable, si "On" tenait avant tout à faire fortune se m'Être du côté du discours des grands Atouts, donc au dessus la barre, du côtéé des manipulants, plutôt qu'au dessous, du côté celui des petits "a", du côté des manipulés (Cf. la symbolique S/s, le Signifiant primant le signifié, cf. aussi sur ce blog ce que François Balmès  dit de Jacques Lacan à quand la question lui a été posée, en 2003 au Collège de Philosophie,  sur  "Ce que Lacan dirait de l'Inconscient maintenant que l'on sait que l'univers n'a pas quatre mais onze dimensions", sic),   

Les freudiens en relèvent, puisque Sigmund Freud fut assez crédule pour prendre pour du bon pain ce que lui avait raconté son mentor, le docteur Josef Breuer, au sujet de Bertha Pappenheim, une jeune patiente dont il avait en réalité fait sa maîtresse (Bertha Pappenheim était, via son épouse Martha Bernay, une parente de Freud),

La Fondation Jean-Jaurès prétend que les Français sont 8 sur 10 à gober les Fake News, et seraient par conséquent assez stupides pour croire aux théories complotistes.

Or c'est à partir de ce que le père Josef lui fit avaler qu'est née madame Psychanalyse (de "mad" = malade, en anglais, et âme, esprit, donc esprit malade), sécrétée ("perlaboréé") dans le court-circuit de ses circonvolutions cérébrales, la cocaïne aidant.

Or (ter), car cette Dame fera finalement sa fortune (devenu plus lucide, l'expérience aidant, il l'avouera cyniquement plus tard en privé, Cf. l'article "Hitler et Freud, une relation paradoxale".

Josef Breuer lui avait fait gober (c'était encore facile, Freud selon ses propres dires était alors un "blanc-bec") que sa jeune patiente Bertha Pappenheim, qu'il avait tenu sous son emprise pour en faire son esclave sexuelle (elle était apparemment pas vilaine) en la rendant morphinomane, avait été guérie par la parole. Cette cure par la parole fut appelée "ramonage de cheminée" (sic, en anglais chimney sweeping) et la petite Bertha Pappenheim fut par discrétion appelée "Anna O" dans les "Etudes sur l'hystérie". "Etudes" publiées en 1895, malgré les réticences de Breuer.

Pourquoi ces réticences ?

Breuer  avait avec ce ramonage fini par engrosser la petite.

Son épouse Mathilde prit si mal l'a-Chose que Josef envoya la petite Bertha devenue grosse en Suisse, à Kreuzlingen, dans une Clinique avec belle vue sur le lac de Constance pour l'en (ou s'en) débarrasser,

De cette grossesse étiquetée "hystérique" serait née  la "psychanalyse" (et non pas Anna-Lise)  alors que Bertha Pappenheim avait probablement souffert d'une SEP, une affection qui peut être prise (ou que l'on peut faire passer) pour de l'hystérie.

J'ai été témoin de faits superposables au sujet d'une cousine à la fin des années 1970. 

Elle avait alors de plus en plus de mal à respirer et s'était de sa propre initiative rendue à l'hôpital Cochin, à proximité de son domicile, pour y demander d'être hospitalisée, Comme elle s'y était présentée avec sa valise et sans recommandation, l'hôpital la refusa

Finalement admise de mauvaise grâce dans le Service du professeur Leger, elle fut ipso facto étiquetée "hystérique" alors qu'un syndrome de Gillain Barré était la cause réelle de ses étouffements.

Elle avait heureusement un ami, un médecin Iranien, qui lui rendit tout de suite visite. Il la fit d'urgence transférer aux Urgences, où elle fut immédiatement trachéotomisée : il était temps, car elle était en train de mourir étouffée. Elle resta plus d'un mois sous respiration artificielle.  

Freud était cocaïnomane, une addiction bien connue pour être propice aux délires paranoïaques. De fait, il se mit à délier, et  la France est un des rares pays à croire encore au délire  freudien du fantasme, et à son corollaire, la "théorie œdipienne", qui postule l 'existence et  l'universalité du complexe d’œdipe,

Sigmund Freud a avec cette invention délirante, réussi à se mystifier lui-même. C'était une invention ad hoc qui lui a été soufflée, en 1908,  par un médecin anglais grand amateur de tendrons, en l'occurrence le docteur Ernest Jones.

Ainsi mystifié par Josef Breuer, travaillé par Ernest Jones  Freud a réussi à se manipuler lui-même et à travers lui a mystifier le monde entier (parce que  les délires interprétatifs sont contagieux, et le sien le fut à l'échelle mondiale, comme le furent et le sont encore les délires racistes, car les délires et comme les mythes ont la vie dure, Cf. "L'affaire Freud", mise en ligne en 2012 par le docteur Michel Meignant

Les nouveaux procédés de transfusions sanguines introduits au début des années 1980 sont grandement responsables de l'éclosion du SIDA du fait qu'un seul donneur de sang porteur du VIH pouvait après leur introduction contaminer des centaines si ce n'est des milliers de flacons de sang livrés aux hôpitaux et aux cliniques chirurgicales. Les hôpitaux s'en sont  servis jusqu'en octobre 1985, ce qui a fait qu' autour de 25000 patients furent indûment contaminés, des contaminations qui furent occultés par la plupart des journaux (Cf. Cf. Sophie Coignard, "L'omerta française", éditions Albin Michel, et Anne-Marie Casteret "L'affaire du sang" aux éditions  La découverte, 1992, livre toujours disponible). On s'attacha surtout à montrer la responsabilité des homosexuels dans l'éclosion de cette pandémie,  alors que les pratiques homosexuelles existent depuis la nuit des temps.

Mais mon message concerne aussi et surtout la découverte, que je fis en juin 2012 (après en avoir eu l’intuition en 1967) qu’il existait un moyen à la fois totalement écologique, très économique et très rapidement faisable de soustraire à la Lune son quasi inépuisable énergie cinétique de façon bien plus massive, économique et écologique que ne le font actuellement les barrages et les très problématiques hydroliennes.

J’avais le 5 septembre 2012 tenté d’alerter les responsables gouvernementaux chargés de l’énergie et de l’écologie à ce sujet.

Le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault leur avait demandé de s’y intéresser, mais aucun d’entre eux n’a cru devoir en savoir plus. Sans doute avaient-ils confié l’information à leurs conseillers, qui leur auraient répondu que si un tel procédé était possible, il y a longtemps que les ingénieurs formés dans les plus grandes écoles auraient su la trouver et l’exploiter.

C’est oublier que ce ne sont pas nécessairement ni toujours les spécialistes d’un problème technique qui trouvent la solution : Pasteur n’était pas médecin et Irène Frachon était non pas cardiologue, mais pneumologue; Or c’est elle qui a pris le risque d’alerter le monde sur la toxicité cardiaque du médiator, et non pas un cardiologue.

Le docteure Irène Frachon a failli payer très cher son audace, tandis que le fabricant du Médiator *, le patron des Laboratoires Servier,  recevait la légion d'honneur. Mais le docteur Bruno Toussaint, de la Revue Prescrire, a relayé et su médiatiser ses informations. Irène Frachon a ainsi pu se faire entendre.

Je n’avais pas eu cette chance en août 1990 et après, pour des raisons tout à fait superposables : j’avais, en tant que médecin, eu le malheur d’avoir proposé une hypothèse, qui s’est avérée pertinente, au sujet d’un test paraclinique commercial, le test de Schilling. L’avoir mise en évidence avait alors non seulement sauvé la vie de mon père, mais l’avait rétabli dans son fonctionnement cérébral alors que ses médecins, les neurologues du CHU ce Bicêtre (le Service du professeur Gérard Saïd) l’avaient paradoxalement récusée, jusqu’à donner l’ordre aux infirmières qui s’occupaient de lui de faire semblant de lui administrer le traitement correspondant à cette hypothèse, à savoir que ni un test de Schilling normal ni même une vitaminémie B12 normale ne suffisaient à récuser un diagnostic de syndrome neuro-anémique de profonde carence vitaminique B12 (tout bonnement en vertu du principe qu’en médecine « la clinique prime le laboratoire », un principe de base enseigné aux étudiants en médecine dès la première année). Heureusement pour mon père, mais malheureusement pour moi, les infirmières du Service gériatrique où les neurologues de Bicêtre avaient fait transférer mon père pour éviter qu’il ne décède dans leur propre Service - ils l’avaient promis à une «inéluctable plus grande aggravation » (sic) et avait porté en conclusion avant son transfert le ‘‘diagnostic’’ « ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX » (sic) à traiter par du Prozac - elles avaient fini par comprendre que j’avais raison et m’en avaient averti. Malheureusement pour moi parce que je fus dès lors persécuté et par lesdits neurologues et par l' Ordre des médecins, qui du coup s’entendirent pour me discréditer. Le professeur Gérard Saïd et l’hôpital Bicêtre allèrent jusqu’à m’accuser devant témoins - d’avoir moi-même sciemment "fabriqué" (sic) la maladie de mon père par "antisémitisme" (sic), c’est-à-dire d’être en fait passible de l’article 40 de CPP, qui condamne très sévèrement ce genre de pratique. Alors qu’ils m’en avaient menacé et en avaient l’obligation, ils "oublièrent" de porter l’affaire devant la Justice. Il y a donc bien lieu de croire au "complotisme" dans cette affaire, d’autant qu’après leurs forfaits les hôpitaux responsables de ces savantes bavures adressèrent une note très salée de frais d’hospitalisation, sans tenir compte de l’ALD ni ce qu’il m’était revenu de faire les frais de l’incompétence et de la malveillance meurtrière desdits neurologues (Cf. Une découverte inavouable : le syndrome NDB12PP - Le blog de leon). Explication possible, et probablement la seule qui vaille : mon père avait subi une transfusion de sang en avril 1984, à l’époque où la quasi-totalité des transfusions furent faites avec du sang contaminé par le VIH. Autrement dit, les carences vitaminique B12 profondes étant rapidement mortelles quand elles ne sont pas corrigées, mieux valait simuler leur traitement et faire ainsi mourir les malades avant qu’ils aient le temps de développer un SIDA maladie. Or cela s’est reproduit au CHU de Mantes la Jolie, toujours sous la responsabilité du même Olivier Ille. Pour plus de détails, cf. www n° 34640255 html et les derniers articles du site http://genocides.over-blog.com , mis en ligne en 2009, c’est-à-dire avant que cette explication m’ait été spontanément fourni à Rennes par un membre du SAMU 94 le 15 avril 2010.

N’ayant pas eu la chance d’Irène Frachon, j’ai non seulement dû faire très lourdement les frais de l’incompétence ( ?) et des neurologues de Bicêtre et de leur malveillance, mais aussi de la malveillance de l’Ordre des médecins et de la Justice, qui s’est littéralement « payé ma tête » en faisant semblant de ne rien comprendre à cette affaire, pourtant clairement expliquée par le docteur Yves Dano dans les 44 pages d’une expertise, qui, à ma grande surprise, faisait état de transgressions pires que celles que j’avais réussi à documenter. Il avait cependant pris la précaution de tirer son épingle du jeu vis-à-vis de l’Establishment en concluant, à la toute dernière page de son rapport, que le malade avait été « consentant » (sic !). A la satisfaction évidente, si ce n’est à la demande, de l’Ordre et du Parquet. Je n’ai par conséquent plus les moyens de faire valoir sans une aide extérieure la pertinence de mon procédé d’exploitation de l’énergie marémotrice par la construction d’un prototype in situ. Il me reste à compter sur petits-enfants, qui sont franco-allemands (ou l’inverse). Mais si je suis trop vieux, eux sont encore trop jeunes, et l’Allemagne ne bénéficie pas comme la France d’une façade maritime propice à cette exploitation.

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5 janvier 2018 5 05 /01 /janvier /2018 16:03

Roger Perron, grand singe biberonné aux sciences fraeudiennes - il n'a sans doute jamais été dans son enfance un enfant de Chœur violé par un curé ou un petit malade violé par son médecin - a publié un "Que sais-je" sur le prétendu "complexe d’œdipe" (titre de cet ouvrage).

Ce "Que sais-je" a été maintes fois réédité, alors que la première édition date de 1994. Celui que j'ai en main, la quatrième édition, est datée de 2005. Le dernier chapitre, le chapitre  VII, vient finalement contredire ses précédentes savantes conneries (le directeur de cette collection a en l'occurrence été mal inspiré d'avoir confié à un aveugle la tâche de guider ses lecteurs. Les P.U.F. avaient pourtant bien publié Janet Malcolm "Tempêtes aux Archives Freud",  en 1986 ! )

Dans la présentation on peut lire « Il est devenu difficile de percevoir le scandale que suscita la découverte par Freud, en 1897, de ce qu'il appellera plus tard le "complexe d'Œdipe". Il a mis en évidence l'un des ressorts essentiels du fonctionnement psychique humain. Banalisée aujourd'hui, cette notion demeure pourtant d'une grande difficulté et souvent mal comprise, elle suscite toujours de nombreuses questions »

Il y a six ans "Libération" rapportait le hashtag "#Tala om det" (parlez-en), un mouvement déclenché en Suède par une victime d'un porc. Ce mouvement n'avait pas eu la répercussion déclenchée en France par # "Balance ton porc".  

Nombreux sont en France les psychiatres, tels les docteurs Samuel Lepastier et Alain de Mijolla, pour ne citer que ces deux têtes-de-pont médiatiques, qui ont emboîté les pas fourchus du docteur Pigmund * Freud. Ils ont pris pour du bon pain ses élucubrations sans chercher à comprendre ce qu'occultait l'invention du "complexe d'Œdipe",  inventé en 1908 par le docteur Ernest Jones ( et non pas, comme on le crois généralement, par  Pigmund Freud ), quand bien même c'était Jones qui en avait suggéré l'idée à Freud quand celui-ci lui a raconté sa vie.

--->> * Freud savait très bien de quoi les riches et puissants porc-nocrates étaient capables. Comme il aspirait avant tout à la célébrité et à la richesse - il enviait l'inventivité lucrative de son ami Auer -mais avait dû assez rapidement comprendre que se mettre les puissants à dos risquait de l'empêcher de faire fortune. Aussi abandonna-t-il sa théorie explicative de l'hystérie. Il avait dans un premier temps pensé pouvoir se procurer les mêmes avantages avec cette « découverte ». Il avait comris que c'était au contraire de fournir aux puissants  "pédo-pornocrates" un bouclier leur assurant l'immunité judiciaire qui les lui apporterait. D'où l'invention du " complexe d'Œdipe".

Sans faire référence à cet aspect occulté de la réalité, Karl Jaspers, dans son livre "Allgemeine Psychopathologie", professait que les psychiatres devraient apprendre à penser.  

Le concept de Complexe d'oedipe est un concept à la C.O.N.. Très réaliste, le docteur Jacques Lacan l'appelait cyniquement le "Complexe des dupes".

Il agit à la façon d'un bruit assourdissant : non seulement il a permis (et permet encore) de faire taire les enfants victimes d'incestes et d'agressions X (de les museler, selon l'expression de la pédopsychiatre Catherine Bonnet dans un livre qu'elle a réussi à faire paraître paru en 2007 chez un petit éditeur) mais  empêche les femmes victimes de porcs de les balancer, et aux petits malins qui s'en servent de se proclamer "psychanalystes", et d'en vivre confortablement, aux dépens des névrosés assez friqués qu'ils réussissent à capter dans leurs filets.

Il leur permet en outre d'assouvir plus tranquillement leurs penchants "pédophiles" sans risquer de subir les foudres de la justice, voire à n'importe quel prédateur sexuel de bluffer les autorités judiciaires en accusant les victimes qu'ils ont agressées d'être "en réalité victimes de leurs fantasmes oedipiens", ce avec l'aval de psychiatres experts, comme cela s'est vu par exemple au sujet des enfants d'Outreau, après que la défense (Eric Dupond-Moretti) a appelé le psychiatre Paul Benssoussan venir à la barre "éclairer" la justice.

A son propos madame M-C Gryson écrit  << La référence "Outreau" a ouvert un boulevard aux pédophiles car la panique qu'elle provoque ne permet plus la prise en compte de parole de l'enfant victime de leurs sévices. Comme la vérité judiciaire des enfants d'Outreau est forcément peu connue du grand public, EDM utilise son postulat de leur prétendu mensonge ... pour s'autoriser à dire tout et n'importe quoi >>.  

Les pédophiles, qui deviennent des pédocriminels dès lors qu'ils mettent leurs "pulsions" en actes, sont grâce à ce pseudo concept immunisés contre l'action judiciaire, surtout en France où, le concept a encore pignon sur rue. De même que les prédateurs  sexuels.

Ernest Jones avait bien compris l'intérêt qui il avait pour lui-même de développer un tel concept  parce qu'il avait dû fuir l'Angleterre à cause de la mise en acte de ses propres penchants.

La journaliste Sonia Kronlund a consacré l'émission "Les pieds sur terre", qu'elle anime depuis de 13 h 30 à 14 h sur "France-Culture", aux  "psys" qui "dérapent", qu'elle appelle les "Les dérapeutes".

Une psychanalyste chevronnée, Louisa de Urtubay, a attendu d'être à la fin de sa vie, de peur d'être frappée de mise à l'index, pour se permettre de transgresser l'omerta psychanalytique en publiant en 2005 aux P.U.F. un livre sur les psychanalystes qui passent à l'acte (Cf. aussi www. psyvig "Les rapports sexuels entre psys et patient(e)s, une histoire d'omerta".

A propos de dérapages, c'est aussi l'expression que le psychiatre, expert auprès des tribunaux, Rolland Coutanceau, trouve appropriée d'appliquer aux pères qui se livrent à l'inceste. En tant que psychiatre, il se garde de dire à quel point Sigmund Freud a favorisé lesdits dérapages avec ses concepts centraux, aussi pervers que fallacieux : le docteur Bernard Defer, psychiatre chargé d'expertises et Chef de Service à l'HP Paul Guiraud (94800), nous avait fait part en 1974, dans son enseignement, d'un cas qu'il avait eu à expertiser : un enfant de quatre ans avait été sodomisé par son jeune père (un trentenaire), qui prétendait ainsi, au nom de la psychanalyse, le détourner dégoûter à jamais son fils de l'homosexualité.

Les étudiantes qui avaient avec moi assisté à la présentation du cas présenté par le docteur Defer s'étaient montrées offusquées. Elles en avaient déduit que, dans l'affaire, le pervers, c'était le docteur Defer, (parce qu'il avait trouvé utile et nécessaire de nous exposer ce cas), et non l'acting outant papa ! 

 Marcel Rufo, un pédopsychiatre qui bénéficie d'une grande publicité médiatique sévit (ou sévissait) tous les matins aux "Maternelles",  a osé prétendre contre toute réalité lors de l'émission diffusée le 3 décembre 1912 que : << La majorité des enfants abusés vont bien >>. 

Apparemment prisonnier d'une "compulsion de répétition" iFreud avait lui-même en tant que papa d'ailleurs lui-même dérapé avec sa fille Anna, tout au moins sur un mode paradigmatique, en l'allongeant sur son divan pour lui faire raconter sa vie sexuelle.

La suite et plus de détails sur le précédent article de ce blog.

PS. On se demande aussi pourquoi comme certaines de ses patientes, Sybille Lacan, fille de Jacques Lacan s'est suicidée (elle n'avait pas osé tout balancer dans  "Impair" ? ). 

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2 janvier 2018 2 02 /01 /janvier /2018 11:32

Il y a six ans "Libération" rapportait le hashtag "#Tala om det" (parlez-en),  un mouvement déclenché en Suède par une victime d'un porc. Ce mouvement n'avait pas eu la répercussion déclenchée en France par # "Balance ton porc".  

Nombreux sont en France les psychiatres, tels les docteurs Samuel Lepastier et Alain de Mijolla, pour ne citer que ces deux têtes-de-pont médiatiques, qui ont emboîté les pas fourchus du docteur Pigmund * Freud. Ils ont pris pour du bon pain ses élucubrations sans chercher à comprendre ce qu'occultait l'invention du "complexe d'Œdipe",  inventé en 1908 par le docteur Ernest Jones ( et non pas, comme on le crois généralement, par  Pigmund Freud ), quand bien même c'était Jones qui en avait suggéré l'idée à Freud quand celui-ci lui a raconté sa vie.

--->> * Freud savait très bien de quoi les porcs étaient capables. C'est pourquoi il avait jusqu'à fournir à la "pédo-porno-philo-cratie" un bouclier leur assurant l'immunité judiciaire.

Sans faire référence à cet aspect occulté de la réalité, Karl Jaspers, dans son livre "Allgemeine Psychopathologie", professait que les psychiatres devraient apprendre à penser.  

Le concept de Complexe d'oedipe est un concept à la C.O.N. qui  agit à la façon d'un vaccin et d'un anesthésique :non seulement il a permis (et permet encore) de faire taire les enfants victimes d'incestes et d'agressions X (de les museler, selon l'expression de la pédopsychiatre Catherine Bonnet dans un livre paru en 2007) mais  empêche les femmes victimes de porcs de les balancer, et aux petits malins qui s'en servent de se proclamer "psychanalystes", et d'en vivre confortablement, aux dépens des névrosés assez friqués qu'ils réussissent à capter dans leurs filets.

Il leur permet en outre d'assouvir plus tranquillement leurs penchants "pédophiles" sans risquer de subir les foudres de la justice, voire à n'importe quel prédateur sexuel de bluffer les autorités judiciaires en accusant les victimes qu'ils ont agressées d'être "en réalité victimes de leurs fantasmes oedipiens", ce avec l'aval de psychiatres experts, comme cela s'est vu par exemple au sujet des enfants d'Outreau, après que la défense (Eric Dupond-Moretti) a appelé le psychiatre Paul Benssoussan venir à la barre "éclairer" la justice.

A son propos madame M-C Gryson écrit  << La référence "Outreau" a ouvert un boulevard aux pédophiles car la panique qu'elle provoque ne permet plus la prise en compte de parole de l'enfant victime de leurs sévices. Comme la vérité judiciaire des enfants d'Outreau est forcément peu connue du grand public, EDM utilise son postulat de leur prétendu mensonge ... pour s'autoriser à dire tout et n'importe quoi >>.  

Les pédophiles, qui deviennent des pédocriminels dès lors qu'ils mettent leurs "pulsions" en actes, sont grâce à ce pseudo concept immunisés contre l'action judiciaire, surtout en France où, le concept a encore pignon sur rue, et s'ils ont l'heur de n'être pas de la "haute société". De même que les prédateurs  sexuels.

Ernest Jones avait bien compris l'intérêt qui il avait pour lui-même de développer un tel concept  parce qu'il avait dû fuir l'Angleterre à cause de la mise en acte de ses propres penchants.

La journaliste Sonia Kronlund a consacré l'émission "Les pieds sur terre", qu'elle anime depuis de 13 h 30 à 14 h sur "France-Culture", aux  "psys" qui "dérapent", qu'elle appelle les "Les dérapeutes".

Une psychanalyste chevronnée, Louisa de Urtubay, a attendu d'être à la fin de sa vie, de peur d'être frappée de mise à l'index, pour se permettre de transgresser l'omerta psychanalytique en publiant en 2005 aux P.U.F. un livre sur les psychanalystes qui passent à l'acte (Cf. aussi www. psyvig "Les rapports sexuels entre psys et patient(e)s, une histoire d'omerta".

A propos de dérapages, c'est aussi l'expression que le psychiatre, expert auprès des tribunaux, Rolland Coutanceau, trouve appropriée d'appliquer aux pères qui se livrent à l'inceste. En tant que psychiatre, il se garde de dire à quel point Sigmund Freud a favorisé lesdits dérapages avec ses concepts centraux, aussi pervers que fallacieux : le docteur Bernard Defer, psychiatre chargé d'expertises et Chef de Service à l'HP Paul Guiraud (94800), nous avait fait part en 1974, dans son enseignement, d'un cas qu'il avait eu à expertiser : un enfant de quatre ans avait été sodomisé par son jeune père (un trentenaire), qui prétendait ainsi, au nom de la psychanalyse, le détourner dégoûter à jamais son fils de l'homosexualité.

Pour parfaire le bouclier freudien, Marcel Rufo, un pédopsychiatre qui bénéficie d'une grande publicité médiatique - il se produit sévit ou sévissait tous les matins aux "Maternelles" - a osé prétendre contre toute réalité lors de l'émission diffusée le 3 décembre 1912 que : << La majorité des enfants abusés vont bien >>. 

Les étudiantes qui avaient avec moi assisté à la présentation du cas présenté par le docteur Defer s'étaient montrées offusquées. Elles en avaient déduit que, dans l'affaire, le pervers, c'était le docteur Defer, (parce qu'il avait trouvé utile et nécessaire de nous exposer ce cas), et non l'acting outant papa ! 

Apparemment prisonnier d'une "compulsion de répétition" il (Freud) y avait en tant que papa d'ailleurs lui-même cédée dérapé avec sa fille Anna, tout au moins sur un mode paradigmatique, en l'allongeant sur son divan pour lui faire raconter sa vie sexuelle.

Or Anna était le nom, Ô si symbolique que para-dogmatique, que Sigmund Freud avait donné à Bertha Pappenheim, la jeune patiente du docteur Josef Breuer, son mentor.

Breuer avait dû faire la faire hospitaliser en Suisse, pour la débarrasser de sa grossesse hystérique, grossesse contractée lors de sa psychodérapie, 

Anna O, à force de "ramonage de cheminée" (sic, chimney sweeping in english) était devenue grosse, et de ce fait devenue, selon Freud, soucieux de ne pas s'en attribuer le mérite, la véritable mère de la psychanalyse. Merci Josef.

L'écoute et la réécoute de l'émission d'aujourd'hui (celle du 21 novembre, ndlr) valent leur pesant. En février 1988 déjà, c'était un 11 février, non pas sur "France-Culture", mais sur "Radio-Stockholm program 1", des femmes "en analyse" ont raconté combien les "cures psychanalytiques" les avaient détruites plus que reconstruites. Bien plus tard, au début des années 2000, en France, au Collège de philosophie (rue Descartes 75005) une "psychanalyste" se réclamant de Jacques Lacan (en l'occurrence Caroline Gros-Azorin, à cette époque directrice de programme,  exposait devant un public ébahi, que le but de la cure psychanalytique (lacanienne) était de "déstructurer" (sic) les curistes afin qu'ils puissent se restructurer. Il est d'ailleurs probable que Catherine Bonnet, pédopsychiatre, en 2007 auteur de "L'enfance muselée" et depuis mars 2014 devenue conseillère spéciale auprès du pape François, soit passé par là. Car elle voue aux "lacaniens" une haine si tenace qu'elle s'était écriée en l'an 2000, lorsque je lui ai fait part de l'expérience que j'avais faite à l'hôpital Paul Guiraud en présence du psychanalyste François Roustang  << C'est un lacanien, c'est un pervers ! >> (voir infra en 1975 la réaction de sa Consœur, madame Jeanine Piret-Pilachon Cheffe de Service à Paul Guiraud au sujet d'un "entrant".) 

"Vous serez comme des des dieux", expliquait en 1966 le psychanalyste américain Eric Fromm, dans un livre dans lequel il se faisait l'interprète de l'Ancien Testament et du Talmud. A ce sujet rappelons, comme l'a fait le psychiatre Pierre Sabourin *, que les "pédophiles" avouent éprouver "un sentiment océanique " à satisfaire leurs pulsions. Un sentiment qu'à la fin de leur vie certains grands écrivains, tel André Gide avouaient avoir éprouvé (Cf. "Ainsi soit-il ou Les jeux sont faits ", les ultimes confessions de cet auteur, bénéficiaire trois ans plus tôt (en 1947) d'un Prix Nobel de littérature.

Est-ce pour la même raison que Romain Rolland, Prix Nobel en 1815, avait sollicité le Comité Nobel pour que le prix soit aussi attribué à Freud ? Voir la réponse qui avait été donné à sa demande dans "Les Temps Modernes"  (Nils Wiklund « Pourquoi Sigmund Freud n’a-t-il jamais obtenu le prix Nobel de littérature ? », vol. 643-644, no. 2, 2007, pp. 336-341.)  

* P. Sabourin "La violence impensable" Ed. Nathan 1991. 

Le "bon" docteur Freud avait développé un addiction à la cocaïne, était lui-même amateur de paradis artificiels, sans compter que la cocaïne et la plupart des drogues additives favorisent le passage au délire paranoïaque comme au passage à l'acte, et c'est bien pourquoi elles administrer dans les conflits armés.

Préférant ignorer (refouler) qu'il était lui-même probablement le "fruit" d'un inceste père-fille, Freud avait allongé sa propre fille sur son divan pour lui faire  raconter sa vie sexuelle et ses fantasmes. Une conduite qui relève de ce que le psychanalyste Paul-Claude Racamier appelle "l'incestuel", et qui s'intègre au concept de "Compulsion de répétition".

Cette fameuse "compulsion", qui part d'une contrainte née dans l'inconscient, est aux yeux des psychanalystes une des plus grandes découvertes de Freud.

Freud la formule en 1920, à l'époque même où il allonge sa fille sur son divan.

C'est un concept dont les "psychogénéalogistes" se sont emparés - cf. Ancelin schutzenberger "Aie mes aïeux" - pour montrer que ce qu'il nous arrive ou que ce nous faisons est, à notre insu, la répétition de notre histoire ancestrale, et que d'en prendre conscience permet ou devrait permettre d'en rompre le cercle vicieux.

Il a manifestement manqué à Freud la faculté de se l'appliquer à lui-même, ce pourquoi Jacques Lacan, qui l'avait compris,  a pu dire et répéter à travers ses séminaires que Freud n'avait pas eu lui-même accès à "sa propre équation", que celle-ci lui était barrée, ce pourquoi ses théorisations étaient délirantes, qu'elles étaient en fait l'expression de "La forclusion du nom du père", c'est-à-dire la forclusion du nom de son père biologique, qui n'était pas vraiment Jakob Freud, comme l'ont par ailleurs plus explicitement mis en évidence les psychanalystes Marie Balmary, en 1979,  et Gabrielle Rubin en 2002, cf. infra.

* "bon" selon Eliette Abécassis, soucieuse de défendre le gagne-pain de sa maman, psychanalyse freudienne orthodoxe, furieuse qu'un auteur se soit permis de prétendre - et surtout d'avoir osé le mettre en évidence - que le "bon" docteur Freud n'était en fait qu'un gigantesque salopard.

La doctrine centrale des psychanalystes, celle du « complexe d’Œdipe », est présentée comme un corpus théorique maintes fois vérifié par la pratique. 

Quoique applicable à lui-même (Freud, pour faire carrière, se devait d'épargner Jacob Freud, son père putatif), le  "Complexe d’œdipe" n’est pas seulement une invention et un cache misère, ce qui ne serait pas grave en soi, mais une ineptie malsaine et fallacieuse, un délire iatrogène et mortifère. 

Ce concept est responsable d’un nombre aussi considérable qu’incalculable de complications psychiatriques et de suicides, y compris dans le hôpitaux psychiatriques, ainsi que je l'avais une première fois expérimenté en 1975, en même temps qu'un psychanalyste de l'Ecole Freudienne de Paris devenu par la suite très influent, en l'occurrence  François Roustang, décédé voici près d'un ana à l'âge de 93 ans.

J’ai précédemment rapporté ces circonstances  dans un article relatif à une expérience personnellement vécue dans un Service de l’hôpital Paul Guiraud, mais un autre cas, rapportée par une psychanalyste médiatique, en l'occurrence Caroline Dublanche, sur les antennes d'Europe 1, est bien pire et donc encore plus éclairant que celui que j'ai rapporté sur le fait le freudisme fonctionne comme une machine destinée à rendre l'autre fou, ainsi qu'a fini par le comprendre Elisabeth Roudinesco.  

J'en parlerai après avoir rappelé celui-là. 

Caroline Dublanche a rapporté il y a déjà une quinzaine d'années le cas d'une jeune fille, incestée par son père et enceinte de lui, n'avait pas été crue par les psychiatres qui s'étaient occupé d'elle lorsqu'elle fut hospitalisée. Ils l'avaient catalogué "hystérique",  jusqu'à ce que son suicide révèle qu'elle était réellement enceinte, qu'il s'agissait non pas d'une "grossesse hystérique", mais qu'elle était enceinte de son père.  Qui plus est, Caroline Dublanche précisa que cette jeune fille, qui avait trois sœurs, croyait avoir été la seule à subir les assauts de son père; qu'elle ne leur en avait pas parlé pour leur éviter de subir ce qu'elle-même subissait, se vivant comme un "paratonnerre". 

Son suicide suscita une enquête, qui révéla qu'elle avait nullement servi de "paratonnerre", mais que ses trois sœurs avaient comme elle été incestées, et que chacune d'elle n'en avaient soufflé mot dans la même louable intention que leur sœur disparue (il faudrait demander à Caroline Dublanche d'où elle tient l'histoire de ce cas.)

"Anna 0", la célèbre patiente maîtresse du non moins célèbre docteur Josef Breuer, le "père" de la psychothérapie par "ramonage de cheminée" (sic), sur laquelle est fondée la psychanalyse orthodoxe, avait de même développé une "grossesse hystérique", tellement hystérique que le bon  docteur  Breuer l'avait dare-dare fait hospitaliser en Suisse à Kreutzlingen à la Clinique Bellevue,  pour y accoucher de sa "grossesse imaginaire", c'est-à-dire "hystérique", une histoire que Freud et ses apôtres ont complaisamment gobée pour asseoir la psychanalyse sur une base-béton (la contrepèterie est certes aussi médiocre que cette base, quoique  "providentielle", puisque involontaire).

Le cas que j'avais rapporté était celui d'un grand-père, un septuagénaire qui avait été hospitalisé à Villejuif, à l'hôpital Paul Guiraud (94800), pour une prétendue dépression, alors qu’il était en réalité surtout inquiet de savoir comment les psychiatres  allaient réagir à l’hospitalisation de sa petite-fille à l’hôpital Saint-Anne, une adolescente suspecte schizophrénie, avec qui il avait entretenu des relations sexuelles.

Contre toute attente, mais en "vertu" de la doctrine, lors du Staff hebdomadaire, la Cheffe du Service où il avait été hospitalisé déclara (décréta) que ses aveux ne relevaient que de son imaginaire, qu’il n'avait fait que rêver (sic), ce en présence du  très honnête François Roustang, un psychanalyste déjà  renommé pour sa lucidité Sidéré, il en était resté coi, le regard fixé sur le bout de ses chaussures, ne sachant quoi dire ou n’osant pas contredire madame Piret-Pilachon, qui déjà m'avait coupé la parole lorsque j'avais proposé d'aller en parler aux Confrères de Saint-Anne qui avaient recueilli la jeune fille.

François Roustang était certes sur l'instant resté sidéré, mais l’année suivante, fustigeant Freud, il quitta la psychanalyse et f se tourna vers l’hypnothérapie, et fit paraître l'année suivante "Un destin si funeste". Pour comble le livre est paru aux éditions de Minuit, l'éditeur de Tony Duvert !

(J'avais hier commis un lapsus :  alors que je pensais avoir cité "Un destin si funeste", , que j'avais lu à sa parution, en me relisant ce matin je me suis aperçu que j'avais cité  "La fin de la plainte", un livre paru quelques années plus tard, et que je n'ai pas lu. Mais ce lapsus peut se comprendre.    

Le système doctrinaire freudien, parce qu’il est simpliste et peut facilement être pris pour du bon pain, fonctionne comme un système immunitaire à l’usage des violeurs et pédocriminels, qui  savent s’en servir pour retourner leurs agressions contre leurs victimes,  et grâce à lui cherchent à se mettre à l’abri des condamnations judiciaires comme du jugement populaire.

Cela s’est vu par exemple avec l’agression dont avait été victime Tristane Banon.

Son agresseur n’avait pas manqué d’en appeler au concept freudien de fantasme imaginaire, tout comme précédemment le psychiatre et "psychanalyste" Samuel Lepastier, à qui le journal "Le Monde" avait prêté ses colonnes en février 2006, pour dire à propos des enfants d’Outreau qu’ils avaient été surtout été victimes de fantasmes œdipiens ? (tellement "œdipiens" que quinze enfants ont été reconnus comme réellement victimes par la Justice)

A Outreau, les époux Favier, qui ont lourdement récidivé  dans leurs exactions, avaient été complaisamment indemnisés pas la justice à hauteur de 600.000 euros cependant que l'ensemble des 15 enfants d'Outreau réellement victimes d'exactions sexuelles n’eurent droit qu’à 30.000 euros.

Il suffit de lire les écrits psychanalytique de Roger Perron, un "psychanalyste " orthodoxe - c’est-à-dire rigoureusement freudien - au sujet de l'inceste dans le gros "Dictionnaire international de psychanalyse" (sic, "international" parce qu’ils sont une centaine de "psys" à y l’avoir rédigé), sous la direction d’Alain de Mijolla, psychiatre ET "psychanalyste", et de Roger Perron.

Ce pavé en deux volumes qui fut tout d’abord publié en 2002 chez Calmann-Lévy, puis édité chez Hachette en 2005 sous le titre « Le nouveau dictionnaire international de psychanalyse » (resic) et aussi le "Que sais-je", du même auteur au sujet du "Complexe d'Œdipe" (un complexe inventé par médecin hamiltonien autant que freudien, car le petit-fils de Sigmund Freud, Clément Freud, député britannique et homme médiatique, tout comme le bras droit de Freud, Ernest Jones, à qui l'on doit d'avoir mis en scène le concept de complexe d’œdipe, raffolait tout comme David Hamilton des femmes encore très tendres, ce pourquoi il avait dû fuir l'Angleterre pour se réfugier au Canada avant de rejoindre Freud en 1908.

<< Le thème de l'inceste a été assez peu étudié en lui-même dans la littérature psychanalytique contemporaine (alors que toute l’œuvre de Freud y ramène) : on peut cependant citer l'intéressant développement du thème de "l'incestuel" dans l’œuvre de Jean-Claude Racamier (1995). ... Il ne faut évidemment pas confondre les fantasmes incestueux, présent en tout être humain (sic, ndlr), et les comportements réels "de type incestueux" (les guillemets sont d'émoi) infiniment plus rares (entre 2 et 4 millions d'incestes père-fille rien qu'en France : c'est ce que Roger Perron trouve "infiniment rare") ; il reste que leur abord psychanalytique a permis d'en comprendre beaucoup mieux la genèse et la signification. >>  (d'après Roger Perron au sujet de l'inceste, dans "Le dictionnaire international de psychanalyse" à la page 801 du Tome I, paru en 2002 sous la direction du docteur Alain de Mijolla). Roger Perron se prévaut du titre de Directeur de Recherche honoraire au CNRS. Comme quoi la Recherche est en France bien mal barrée, comme dirait Jacques Lacan, qui, à ma connaissance,  n'avait ni cet avantage ni cet honneur.

Je n'ai pas été voir si dans l'édition suivante, parue en 2005 chez Hachette - Pluriel, l'article de Roger Perron a été conservé tel quel.

Roger Perron  avait déjà nourri un "Que sais-je" sur le "complexe d’œdipe" (titre de l'ouvrage), qui a été maintes fois réédité, et encore très récemment, alors que la première édition date de 1994. Celui que j'ai en main en est la quatrième édition et est datée de 2005;

Dans la présentation de l’ouvrage on peut lire « Il est devenu difficile de percevoir le scandale que suscita la découverte par Freud, en 1897, de ce qu'il appellera plus tard le "complexe d'Œdipe". Il a mis en évidence l'un des ressorts essentiels du fonctionnement psychique humain. Banalisée aujourd'hui, cette notion demeure pourtant d'une grande difficulté et souvent mal comprise, elle suscite toujours de nombreuses questions »

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18 décembre 2017 1 18 /12 /décembre /2017 17:27

La vitamine B12, participant à la synthèse des neuromédiateurs participe nécessairement au bon fonctionnement du système nerveux.

Les états carentiels en cette vitamine  conduisent à des états d'affaiblissement intellectuels qui peuvent à tort être étiquetés "démences de type Alzheimer", ou "états dépressifs", et à des états délirants spécifiques plus ou moins paranoïdes, tel "le délire d'illusion des sosies", décrit en 1923 par deux psychiatres, les docteurs Sérieux et Capgras, et plus récemment dans sa thèse de médecine par Gaël Le Vacon.

C'est états peuvent alors donner lieu à la prescription inappropriée d'antidépresseurs comme à la prescription de traitements neuroleptiques, des prescriptions qui peuvent être fatales aux malades, des victimes de traitements erronés difficiles pour ne pas dire impossibles à faire reconnaître par la "Justice".

J'ai des raisons de penser que cela a dû assez souvent se produire. J'ai été témoin d'un malade qui avait non seulement failli y perdre la vie mais qui en était resté lourdement handicapé du fait qu'un grand retard avait été apporté à son traitement effectif.

Malgré l'évidence que leur traitement était erroné, les neurologues qui s'étaient fourvoyés avaient persévéré dans l'erreur,  comme frappés de "cécité hystérique".  Mais ce n'est pas chose à faire connaître sous peine d'être discrédité et soi-même taxé de "délire paranoïde".

La carence B12  n'étant pas corrigée du fait que ces traitements ne sont pas étiologiques (le sont-ils jamais ?), ces remèdes ne font qu'aggraver l'état des malades. Des lésions organiques s'installent et les dysfonctionnements conduisent les malades à la mort dans de grandes souffrances morales et physiques. Les  malades finissent leur vie dans un état  de prostration.

C'est ainsi que la vie de mon père a failli se terminer dans la nuit du 12 septembre 1990 ( Cf . "Une nuit vitaminée" site n° 69972429 html ) parce que ses médecins, une équipe de neurologues, avait obstinément refusé de corriger cet état de carence. vitaminique B12  sous prétexte que son état ne relevait pas de cette carence. Le test de Schilling était déclaré "normal"  et la vitaminémie B12 soi-disant elle aussi, quoique proche de la limite basse de la normalité.  Cela malgré un tableau clinique fortement évocateur de troubles neurologiques cobalamino-carentiels (un tableau de sclérose combinée de la moelle)  ... jusqu'à ce qu'une infirmière en fasse elle-même le diagnostic en constatant la présence d'une glossite de Hunter très caractéristique de la maladie de Biermer et me fasse voir que mon père ne recevait en réalité qu'un faux-semblant de traitement vitaminique B12. Un traitement qui ne répondait pas plus au diagnostic de présomption, posé devant moi aux Urgences,  de maladie de Biermer,  qu'à ma demande expresse que mon père soit traité conformément au traitement correspondant à ce diagnostic clinique,  selon l'adage qui veut que "la clinique prime le laboratoire" (voir article précédent "syndrome de Doscherholmen ..." site  n° 121544413 html )

Il n' y avait aucun inconvénient à administrer le traitement de la maladie de Biermer. En effet, il est connu qu'un traitement  vitaminique B9 (l'acide folique) ne doit pas être introduit en cas de carence B12, sous peine de voir brusquement s'installer des paralysies, mais la vitamine B12 peut sans inconvénient être administré sans danger en cas de carence B9 . 
 
La vitamine B12, appelée aussi cobalamine, est le traitement spécifique de la maladie de Biermer. Elle  intervient dans l'organisme dans la production d'énergie, dans la reconversion intracellulaire des folates en polyglutamates, dans la synthèse des acides gras et de l'ADN.  Sa découverte s'est faite au début du siècle dernier quand on s'est aperçu que les extraits de foie et le sérum de cheval permettaient de traiter  certaines anémies (Cf. avant-guerre le célèbre Hémostyl * des laboratoires Roussel) . Le facteur qui le permettait a été appelé facteur extrinsèque. Ce facteur est en fait la vitamine B12,  isolée en 1948 et synthétisée en 1972.

Pour être absorbée par la partie distale de l'iléon la vitamine B12 doit se lier avec un facteur sécrété par les cellules pariétales de l'estomac. Ce facteur est dit intrinsèque. Faute de quoi cette vitamine n'est absorbée que passivement, à raison de 1% de  la vitamine contenue dans l'alimentation carnée. Quand les réserves vitaminiques - importantes dans le foie - sont  épuisées, l'absence de sécrétion du facteur intrinsèque finit par  aboutir à  ce qui s'appelle l'anémie pernicieuse, l'autre nom de la maladie de Biermer. Cette maladie se traduit alors cliniquement, comme dans les déficits en acide folique (la vitamine B9) par une anémie mégaloblasique, qui se complique souvent de désordres neurologiques et psychiatriques. Mais à la maladie peut aussi être révélée par des désordres neurologiques  et psychiatrique, en l'absence d' anémie.

Une autre cause plus importante de malabsorption digestive de la vitamine B12 que la maladie de Biermer est un syndrome découvert en 1973 mais depuis curieusement oublié : le syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses, le syndrome  DNB12PP,  remis sur le devant de la scène à cette occasion.

En effet, le fait que je sois intervenu après qu’une infirmière m’a prévenu que mon père ne recevait en réalité qu’un simulacre de traitement de la maladie de Biermer, a fait que je me suis décidé de le mettre réellement en route alors que mon père se trouvait dans l’état épouvantable exposé ci-dessus. Ce qui lui avait sauvé la vie, mais avait été très très mal vécu par les neurologues qui avaient la responsabilité du faux-semblant de traitement qu'il lui avaient fait administrer.  Si donc s'il ne s'était  pas agi d'une maladie de Biermer  ni d'une de ces très rares et très redoutables LEMP (les  leuco-encéphalopathies multifocales progressives ont depuis acquis la réputation d'être sensibles au traitement vitaminique B12 , voir articles précédents), il ne pouvait que s' être agi que d’un syndrome  NDB13PP

CONCLUSION  : La vitamine B12 permet le bon fonctionnement du système nerveux en maintenant l'intégrité des cellules gliales et myéliniques, qui protègent les nerfs et leurs axones. Elle est indispensable à l'hématopoïèse (la formation du sang). Elle est normalement très présente dans le plasma, majoritairement sous forme de méthylcobalamine.    

La cobalamine est comme la vitamine B9 indispensable à l'intégrité et au maintien en bon fonctionnement du système hématopoïétique et du système nerveux.
Leur carence entraîne non seulement une anémie mégalocytaire, mais aussi des dysfonctionnements neurologiques, et par suite psychologiques similaires, mais dans les carences B9  ce sont d'abord les troubles digestifs, cutanéo-muqueux et asthéniques qui entrent  en scène,  mais ces carences peuvent aussi aller jusqu'à des syndromes neurologiques similaires à ceux des carences B12, celles-ci conduisant davantage à des états d'angoisses, à des délires de persécution (délire des sosies) . Ces états peuvent être "étiquetés" démences et/ou "délires paranoïdes" et donner lieu à des traitements antidépresseurs et/ou neuroleptiques. Ceux-ci ne font alors qu'aggraver l'état des malades puisqu'ils ne sont pas étiologiques. Quand  le déficit n'est pas corrigé, les dysfonctionnements s'installent jusqu'à devenir avec la mort des cellules nerveuses organiquement irréversibles et conduire effectivement les malades à la mort dans de grandes souffrances.

 

                                                                                                    SUITE DANS LES ARTICLES PRECEDENTS et suivants  DE CE BLOG

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9 décembre 2017 6 09 /12 /décembre /2017 12:46

Johnny Halliday, qui sera inhumé aux Antilles, plus exactement à l'île de Saint-Barthélémy, où il avait acheté une villa il y a une dizaine d'années. 

Une amie me demande de regarder à la télé la foule venue assister au parcours du cortège funèbre. 

Il est un peu plus de 13 heures. Effectivement, c'est impressionnant. Le mois précédent, à la même heure, elle s'était étonné de ce qu'à la sortie d'un office religieux, célébré à Paris dans une église (ou temple ?) évangélique, près de la Place de la Nation, toutes les personnes qui en sortaient étaient noires. 

Je lui fais de même remarquer que si les Champs Elysées et la Place de la Concorde sont noir-e-s de monde, bien peu de personnes y sont "de couleur", à part une, à peine entraperçue sur les bas-côtés. En l'occurrence c'est un gardien de la paix. Il fait partie du service d'ordre.

De même, au moment où j'écris ces lignes, parmi les personnes qui pénètrent à l'intérieur de la basilique l'église de la Madeleine, je ne vois aucune personne de couleur 

Ah si ! La caméra fait un plan sur la tête bouclée d'une personne "de couleur" plutôt jolie. Probablement une Antillaise, comme l'est mon amie . A moins qu'il ne s'agisse d'une Réunionnaise ou d'une Capverdienne ?

Au sein de la basilique l'église de la Madelaine, la foule pleure avec Michel Drucker et Brigitte Macron. C'est le temps, émouvant, du discours de Philippe Labro.  

La caméra balaie l'assistance, puis s'immobilise sur l'assemblée, et à nouveau j'aperçois la même belle personne. 

Mais il est difficile d'écrire et de regarder la télévision en même temps. Dans ses orchestrations, Antillais Africains, les noirs étaient pourtant assez  nombreux, me fait remarquer mon amie.

Je laisse là un instant l'écriture, pour scruter  plus attentivement la foule, vérifier si je n'ai pas été victime d'une illusion. Il est vrai qu'il fait "un froid glacial", comme le fait remarquer le prêtre qui officie. Un temps apparemment dissuasif pour les Africains ? Voilà donc pourquoi ce ne peut pas être une cérémonie rock, comme elle l'aurait été si elle s'était déroulée aux Antilles.

Je m'apprête à partir au moment où Jean Réno vient prendre la parole. 

Je me suis trompé, la cérémonie fait apparaître quatre guitaristes rocks, mais aucun des quatre n'est "de couleur". 

J'ai reconnu la présence de pas mal de personnes du show-biz, mais ni Nicolas Hulot, ni Mc Solaar. Je les aisans doute les manqués ? 

Le soir, au journal de 18 heures, diffusé sur France-inter, j'ai entendu Jean Réno dire un poème de Prévert, dans lequel il est question de deux escargots. Ils ont la coquille noire,  et suivent en titubant l'enterrement d'une feuille morte ! ?

Noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir,  ... dit la chanson 

Il n'est jamais trop tard, il nous reste l'espoir 

D'après un journaliste de Fr 3Johnny était paraît-il adulé très apprécié dans son île, il y était comme "un enfant du pays".

Noir c'est noir, il n'est jamais trop tard, il nous reste l'espoir ... dit la chanson ... 

11 / 12 / 17 ,  12 heures 45 :  le journal de Fr 3  montre qu'à l'arrivée de la dépouille de Johnny sur  l'Île de Saint-Barthélémy,  il y a bien peu de personnes  "de couleur".  

 

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