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27 août 2021 5 27 /08 /août /2021 12:02

Dans un article en date du 11 août 2021 (vu 13.942 fois)  la Rédaction du Républicain Lorrain pose la question de savoir pourquoi le “Qui” de la pancartes portée par Cassandre Fristot lors des manifestations anti-pass sanitaire est considéré comme antisémite.

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Décryptage: Pourquoi le “qui” des pancartes de manifestants anti-pass sanitaire est-il considéré comme antisémite ?

«Qui ?» C’est le slogan antisémite brandi lors des manifestations contre le pass sanitaire, à Metz notamment, par l'enseignante Cassandre Fristot. Une question courte, à l'allure mystérieuse qui enflamme les réseaux sociaux. L'enseignante de 34 ans encourt un an d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende.

Par J.C. avec la rédaction – 11 août 2021 à 11:50 | mis à jour le 11 août 2021 à 12:47 – Temps de lecture : 3 min

Vu 13.942 fois

Pancarte antisémite à Metz : Cassandre Fristot sera jugée le 8 septembre Accusée d’avoir brandi une pancarte de nature antisémite, samedi, lors de la manifestation anti-pass sanitaire

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Au terme de sa garde à vue, elle a été remise en liberté avec une convocation judiciaire en poche. Par Delphine DEMATTE et Anthony VILLENEUVE – 11 août 2021 à 06:00 – Temps de lecture : 2 min | Vu 1029 fois

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envoyé : 26 août 2021 à 23:59
de : Cretien Pierre <cretien.pierre@orange.fr>
à : tenoua <tenoua@tenoua.org>          i.e. Delphine Horvilleur 
objet : Signalement d'un hic

 

envoyé : 26 août 2021 à 23:45
de : Cretien Pierre <cretien.pierre@orange.fr>
à : lecteurs lacroix <lecteurs.lacroix@bayard-presse.com>
objet : Signaler un fait divers

 

envoyé : 26 août 2021 à 17:28
à : lrlalerteredaction@republicain-lorrain.fr
cc : cretien.pierre@orange.fr
objet : Signaler un fait divers – LRL - ''cretien.pierre@orange.fr ''

 

Après que je me suis adressé à la CADA pour avoir enfin accès au dossier d'hospitalisation de mon père en neurologie au CHU de Bicêtre dans le Service du professeur Gérard Saïd, un dossier dont l'accès m'avait toujours été refusé au prétexte qu'il avait été perdu cependant que je savais pertinemment (c'est-à-dire de bonne source puisqu'elle provenait du docteur François Chedru, qui avait pu le consulter bien après qu'il m'avait été refusé sous ce faux prétexte) j'ai moi-même été accusé d'antisémitisme par la Direction de cet hôpital au fallacieux prétexte, pour ne pas le dire abjecte et crapuleux, que j'avais "moi-même sciemment 'fabriqué' la malade ce mon père par antisémitisme" (sic, dixit madame Isabelle Pilot).

Et alors qu'une si grave accusation aurait ipso facto dû conduire cet hôpital et le professeur Saïd à en référer aux autorités judiciaires en vertu de l'article 40 du CPP, il n'en a rien été alors que le professeur Saïd ne s'était pas fait faute de m'en menacer (devant Isabelle Pilot et le professeur Patrick Hardy, désigné "médiateur" en remplacement du professeur Gilbert Tchernia, lors d'un prétendue "commission de conciliation", le professeur Gilbert Tchernia qui connaissait trop bien les tenants et les aboutissants de cette affaires'étant désisté).

Que c'était-il passer pour que cet hôpital et le professeur Saïd en soient arrivés là ?

Lorsque mon père a été admis dans le Service du professeur Gérard Saïd, il était passé par les Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre, où les Urgentistes avaient devant moi et à juste titre de présomption tout de suite porté à le diagnostic de maladie de Biermer à la lecture de son hémogramme et devant un tableau clinique de "sclérose combinée".

Les très sévères désordres neurologiques qui l'avaient conduit aux Urgences n'étaient donc pas trop inquiétants puisqu'ils n'étaient pas dus à un infarctus cardiaque ou un AVC, comme j'avais pu le craindre quand ses voisins n'ont fait savoir que mon père avait été conduit à l'hôpital Bicêtre par une ambulance du SAMU, mais à une maladie certes mortelle, mais facilement curable par un moyen extrêmement simple, la vitamine B12 à doses drastiques, pourvu que ce traitement soit administrer sans attendre l'installation de paralysies irréversibles où un décès inopiné.

Le hic, c'est que dans le Service du professeur Saïd, ordre fut donné de ne faire que semblant d'administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer.

Après que les infirmières du Service de gériatrie où mon père avait été transféré me l'ont fait savoir, j'ai été en mesure de le lui administrer moi-même, six semaines après son hospitalisation à Bicêtre, alors que mon père avait fini par sombrer dans un coma carus et était tout père de mourir. Ce qui, “contre toute attendre”, s'était révélé salvateur.

Pour plus de détails cf. le blog de leon  Téléphone  0786920205

CNAMed et "Problèmes éthiques posés par les commissions de conciliation hospitalières"...
https://genocides.over-blog.com/2015/07/disparition-de-problemes...

Alors que l'accès au Mémoire de DEA d'éthique médicale du Dr. Patrice Bodenan°°° sur les " problèmes éthiques posés par les commissions de conciliations hospitalières" était l'an dernier encore possible sur le Web, voici qu'il ne l'est plus !?. Ce Mémoire était présidé par le Professeur Christian Hervé °°°.. Est-ce parce qu'en 1999 le Dr. Bodenan°°° y soutenait qu'un ...

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Ci-après les titres parmi les auteurs cités (de 2009  à 1992) 

Relation soignants soignés | Ethique et Comité d'éthique
https://comitedethique.wordpress.com/2009/07/07/relation-soignants-soignes

Extraits : Problèmes éthiques posés par les commissions de conciliation hospitalières: Bodenan Patrice: 2000: Mémoires: La conciliation médicale: structures et finalirés: Rey-Cadéac Françoise: 1999/05: Etudes et Synthèses: Actes de fin de vie médicalisés en réanimation: l’éthique médicale entre théorie et pratique : Pochard Frédéric: 1999: Thèses: Le devoir d’information des ...

Ci-après 

Jean-François Paul 2000 Thèses  Problèmes éthiques rencontrés dans la pratique psychiatrique : Analyse des réponses apportées par un échantillon de psychiatres français

 

Berri Nora 2000 Mémoires  Ethique et don d'organes : les obstacles matériels et psychologiques au don d'organes en réanimation

Bodenan Patrice  2000 Mémoires  Problèmes éthiques posés par les commissions de conciliation hospitalières

Rey-Cadéac Françoise  1999/05 Etudes et Synthèses  La conciliation médicale: structures et finalités

Pochard Frédéric 1999 Thèses  Actes de fin de vie médicalisés en réanimation: l’éthique médicale entre théorie et pratique

Sargos Pierre 1999 Le devoir d’information des médecins dans la jurisprudence de la cour de cassation

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Quelques articles mis en ligne sur le blog de leon 

- Un aigle à deux bosses 
https://genocides.over-blog.com/2019/11/un-aigle-a-deux-bosses.html

fac-similé de la carte de visite du docteur Patrice Bodenan, ... et pourquoi son si mémorable Mémoire sur les "problèmes éthiques posés par les commissions de conciliation hospitalières" a été retiré en 2015 de sa mise en ligne sur Internet après y avoir sagement trôné pendant une quinzaine d'années. Lettre Dr. Patrice Bodenan à monsieur le Dr. Jean Penneau (Fac ...


https://genocides.over-blog.com/article-l-amour-a-mort-125078917.html

Les hôpitaux de l'AP – HP sont leurs propres assureurs (Cf sur le Web les écrits du Dr. Patrice Bodenan, "Problèmes éthiques posés par les commissions de conciliation" ) Ils ont de ce fait recours à des méthodes illicites, à la limite de ce qui relèvent de l'escroquerie en bande organisée. Les assassinats commis par Christine Malèvre n'auraient jamais été révélés et auraient ..

https://genocides.over-blog.com/  
https://genocides.over-blog.com/2016/09/petits-pots-pour-bebes-pour-sauver-la-vie-des-vieux.html
https:// GLOSSITE DE HUNTER & LANGUES DE BOIS

https://genocides.over-blog.com/2015/05/vaincre-le-mal-de-dos-avec-une-planche-c-est-possible.html
https://genocides.over-blog.com/article-la-reconstruction-de-la-mairie-de-l-ha-les-roses-124849927.html  
https://genocides.over-blog.com/2019/05/un-avis-de-non-lieu-a-ne-pas-ebruiter.html 

https://125078917.html  l'amour à mort 

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12 août 2021 4 12 /08 /août /2021 17:04

... pour services rendus à l'Etat.

 

Dans cet article  il est accessoirement traité d'agitations “en haut-s-lieu-x”, l'essentiel du sujet portant sur la mal-traitance des personnes âgées dans certains hôpitaux de l'AP – HP, une maltraitance au sens de défaut délibéré de traitement approprié, pour des raisons économiques, puisque c'était, selon toute vraisemblance pour faire des économies, et non “par erreur” que le(s) malades y étaient mal traités (sinon pourquoi ?).

Le malade dont il est question dans cet article était l'un d'eux, qui avait été déclaré "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" (sic, déclaration de l'expert François Chedru, neurologue), une déclaration voulue et donc avalisée par la Justice, qui le 3 juin 1998, sous la houlette de Michel Barrau, a fini par requérir un Non-Lieu au prétexte qu'il "n'y avait eu faute de la part quiconque", huit ans après les faits, malgré l'évidence qu'il s'était en 1990 agi d'un assassinat savamment préparé pour passer pour une mort naturelle, c'est-à-dire huit ans après que le malade a, "à la surprise générale" miraculeusement, et donc contre toute attente, réussi par à récupérer ses esprits (à 30/30 au MMSE, contre 22/30 précédemment), et a donc ainsi été, en décembre 1990, en mesure de porter plainte.

Un Non-lieu requis bien que, selon la direction de l'hôpital Bicêtre, "la maladie du patient ait, par antisémitisme (sic) été sciemment fabriqué par son fils, médecin", une maladie qui relèverait donc d'un syndrome de Münchhausen, pénalement condamnable !

Wikipédia et surtout le docteur  Yves Nau ont consacré une note biographique plutôt élogieuse au sujet de feu “le bouillonnant” professeur Pierre Huguenard, décédé en mars 2006, un anesthésiste-réanimateur qui avait été en 1974 l'initiateur des SAMUs et de "Médecins sans frontière" (à ne pas confondre avec les médecins sans limite qu'étaient ceux de la "fine équipe") 

Je (le fils dudit patient), avais en 1970 eu l'occasion de faire un stage dans le Service du professeur Huguenard, à l'époque où il était ulcéré d'avoir à supporter la présence de la "fine équipe des pieds nickelés" dans son Service. https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2006/03/10/pierre Huguenard...

Pierre Huguenard avait été révulsé d'apprendre ce qui était arrivé à mon père en 1990, premièrement en mai-juin 1990 dans la Clinique des docteurs Edith et Jean-Claude Elmelik et sa "fine équipe de pieds nickelés", qu'il connaissait trop bien pour avoir eu à les supporter dans son Service de réanimation à Henri Mondor, où elle lui avait été imposée par l'administration, et ensuite du 31 juillet au 22 août 1990 dans le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd, puis au CHU Charles-Foix (l'ex "hôpital des Incurables") du 22 août au 12 octobre dans le Service de gériatrie du Dr. Jean-Yves Beinis, l'Unité de Soins Normalisés (sic) de cet hôpital, où peu s'en était fallu que mon père ne trouvât la mort faute de soins adéquats, en fait des soins délibérément inappropriés à sa maladie, mais à la convenance du CNTS comme à celle de la "fine équipe de pieds nickelés", c'est-à-dire des principaux actionnaires de la Clinique Léon Elmelik.

Wikipédia a consacré un article au professeur Huguenard, mais n'a rien consacré au professeur André Lienhart, malgré ses nombreux titres. C'est le Club de l'Histoire de l'Anesthésie et de la Réanimation qui s'en est chargé. https://www.char-fr.net/Lienhart-Andre.html, alors que, sauf erreur de ma part, ledit Club ne consacre pas un mot au professeur Pierre Huguenard.

En décembre 1995, le professeur René-Claude Touzard, chirurgien orthopédiste à l'Hôtel-Dieu, avait été sollicité en tant qu'expert par madame Bénédicte Scelle, juge d'Instruction au TGI de Créteil, pour donner un avis au sujet de la plainte contre X qu'à la suite de celle de mon père, inopinément décédé en octobre 1994, j'avais porté devant le procureur de ce même Tribunal pour ce qui lui était arrivé en 1990 quand et après qu'il a eu la très mauvaise idée de mettre les pieds à la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, connue à Henri Mondor pour être celle des "pieds nickelés" comme à l'Haÿ-les-Roses pour être celle de "charlots", pour y consulter le rhumatologue Antoine Denis  au sujet de ses douleurs, que dans un délire relevant d'une profonde  carence vitaminique B12 (le délire de Sérieux et Capgras) il attribuait à un cancer des os, un cancer que le professeur Jacques Witvoet et moi-même voulions lui cacher parce que dans son délire nous en aurions été la cause, alors qu'elles procédaient d'un petit descellement de sa prothèse de hanche, qui avaient été placée en avril 1984, coïncidant avec des douleurs proprioceptives d'origine avitaminosique. 

Ce descellement était à rapporter aux nombreuses chutes qu'il avait fait à cause de troubles de l'équilibre d'origine spino-cérébelleuse relevant d'une avitaminose B12 profonde (syndrome cordonal postérieur dans un tableau dit de Sclérose combinée de la moelle) et d'un petit syndrome parkinsonien, cause de  piétinements, le tout relevant avant tout du traitement de la maladie de Biermer, non pas d'une intervention chirurgicale d'alignement généralisés des orteils pour une prétendue  "mauvaise morphostatique" des pieds (sic, dixit le rhumatologue de la "fine équipe", le docteur Antoine Denis, qui, poulain du professeur Jean Debeyre, prétendait et s'autorisait à penser qu'il était aussi professeur et chirurgien orthopédiste).    

La Clinique Léon Elmelik était en 1990 bien connue du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses comme de la CPAM du Val-de-Marne, des médecins de l'Haÿ-les-Roses, de Michel Barrau, alors procureur au TGI de Créteil, et des Services hospitaliers de Île-de-France.

Les IVG et les accouchements y étaient complétés, en salle de réveil par les débordements de tendresse que manifestait à l'égard des parturientes le gynécologue qui les pratiquait, le docteur Jean-Claude Elmelik, parce que certaines accouchées s'étaient réveillées alors qu'il était en train de leur exprimer son amour.

Nombreuses étaient celles qui n'avaient pas apprécié la chose, qui avaient porté plainte.

Heureusement pour le bon docteur Jean-Claude Elmelik, la Clinique Léon Elmelik et ses médecins étaient "protégés en haut-s lieu-x".

Le Principal du Commissariat de Haÿ-les-Roses, le Commandant Christian Raeckelboom m'avait confié le 23 janvier 1991 qu'il en ignorait la raison, donnant comme seule explication que ses actionnaires étaient "milliardaires". 

De son côté, avant cela, en septembre 1990, le docteur André Souche, sous-directeur de la DRPS à la CPAM du Val de Marne, lorsque j'ai tenté de lui faire part ce qui s'y était passé, quand je lui ai dit qu'il s'agissait de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, avant même d'avoir pu lui expliquer quoique ce soit, André Souche, comme s'il était terrifié, me cria au téléphone, avant de raccrocher précipitamment son combiné : "Si c'est la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, c'est inutile, laissez tomber".  Gloup !

Pour en revenir au professeur René-Claude Touzard, je ne sais pourquoi, avant de m'entendre et de passer la parole au professeur André Lienhart (l'audition eut lieu le 5 janvier 1996 dans la salle de cours de la maternité de l'hôpital Saint-Antoine, la maternité où j'avais vu le jour peu avant la seconde guerre mondiale) Touzard  jugea nécessaire de me faire savoir qu'il était le fils et le petit-fils de chirurgiens orthopédistes : qu'est-ce ça pouvait bien vouloir dire, qui aurait à voir avec cette affaire ? 

Il m'expliqua ensuite qu'il avait été sollicité pour l'Instruction de cette affaire en tant que chirurgien orthopédiste, mais que l'affaire avait autant trait à l'anesthésie que trait à la neurologie.  Il avait ainsi exigé et obtenu que l'expertise soit complétée par l'expertise d'un anesthésiste et celle d'un neurologue (à mon avis afin de faire partager la responsabilité d'une expertise qui ne pourrait être que bidonnée).

L'anesthésiste désigné fut le professeur André Lienhart et le neurologue le docteur François Chedru.

Mais avant de nous faire entrer dans l’amphithéâtre de la salle de cours pour être entendus, Touzard nous fit savoir qu'il était préférable que l'on soit entendu séparément de la partie adverse, constituée des docteurs Edith Elmelik et Antoine Denis et leurs avocats, qui sera entendue après nous.    

Après que nous sommes passé devant eux, qui attendaient leur tour, Me Annick Dorsner-Dolivet et moi sommes entré dans le petit amphi. 

René-Claude Touzard s'était installé sur les gradins tout en haut à droite du bureau central, à une bonne dizaine de mètres d'André Lienhart, qui s'était installé au centre derrière le bureau placé en bas de l'amphi.  Je m'étais placé en face du professeur Lienhart, légèrement à sa gauche, sur les gradins au troisième rang, tandis que Me Annick Dorsner-Dolivet était allée se placer au quatrième ou cinquième rang, derrière moi à ma gauche, donc légèrement à droite du Pr. Lienhart.

Le Docteur Chedru n'était pas encore arrivé

Il fallait pourtant qu'il soit là. Il fallait l'attendre.

Selon le docteur Jules Fineltain, qui le connaissait bien en tant qu'Expert, François Chedru avait la réputation d'être un expert honnête. Autrement dit les Experts loin de l'être tous.

Touzard convia tout le monde à attendre l'rraivée du docteur Chedru, alors qu'il était manifeste que Touzart s'était arrangé pour qu'il ne se présente pas. Il fit semblant de devoir l'attendre encore un peu (durant environ cinq minutes)  

Le professeur André Lienhart semblait agité et préoccupé.

Ma sœur m'avait fait savoir qu'un des Experts sollicités par madame Scelle  lui avait téléphoné (d'après ce qu'elle m'a dit, ce devait être André Lienhart, sinon René-Claude Touzard lui-même, en tant que grand Manitou). Son interlocuteur lui avait dit qu'il fallait absolument qu'elle vienne témoigner le 5 janvier "pour que le docteur Denis n'aille pas en prison"

André Lienhart s'adressa sans ménagement à Me Annick Dorsner-Dolivet en lui disant de sortir. Me Dorsner-Dolivet m'obtempéra pas et resta tout le temps que dura la séance.

André Lienhart ne s'était pas rendu compte que lui pendait au nez une grosse crotte de nez pendue au bout d'un long poil, que dans sa fureur il ne faisait qu'agiter. Elle était si bien accrochée que jamais elle ne se décrocha tout le temps que dura l'audition. J'avais apporté avec moi bel un appareil photo, mais encore bien trop timoré, je n'ai pas osé zoomer dessus, et je le regrette.    

Il avait en main le texte circonstancié de madame Scelle, qui d'après ce que j'ai pu comprendre était celui qui avait été adressé au doyen des juges d'instruction Serge Portelli  par Maître Dorsner-Dolivet,

Me Dorsner-Dolivet avait m'a-t-il semblé reproduit celui que lui avait préparé.

Dans sa véhémence l'attitude que le professeur André Lienhart adopta envers moi me fit penser à celle qu'avait adopté le procureur chargé du procès intenté contre les  conjurés de l'attentat du 20 juillet 1944 contre Adolf Hitler. 

Avant que je puisse dire quoique ce soit il s'est adressé à moi en disant :  "Vous avez porté plainte. C'est pas à vous de poser des questions. Contentez-vous de répondre à mes questions, parce que vous, vous avez eu tout le temps de vous préparer" - "Votre père était hypertendu. Est-ce qu'il suivait correctement son traitement. Oui ou non ...

... Contentez-vous de répondre par oui ou par non"

et ainsi de suite, en se tournant constamment vers sa gauche en direction du professeur Touzart, l'interrogeant du regard voir s'il approuvait sa manière de faire, avant que celui-ci ne vienne le rejoindre au bureau pour s'asseoir à sa droite et me poser lui-même quelques questions sur les troubles neurologiques de mon père, que j'aurais moi-même pu constater avant l'opération du docteur Antoine Denis. 

Quelques jours plus tard, le 17 janvier, le professeur Touzart m'expliqua  à l'Hôtel -Dieu que la réalité ne pouvait pas être dite parce que l'image de la médecine était déjà trop attaquée, et qu'elle "n'avait vraiment  pas besoin de ça".  

Olivier Lyon-Caen, Chef du Service de Neurologie à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Coordinateur du pôle des maladies des systèmes nerveux, Professeur en neurologie à l'Université Pierre et Marie Curie, Directeur Médical de l’Institut hospitalo-universitaire des neurosciences et Chef du Pôle des maladies du système nerveux de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, a aussi occupé les fonctions de conseiller médical du Premier ministre Lionel Jospin de 1998 à 2002, puis de conseiller pour la santé et la recherche médicale auprès de François Hollande à l'Élysée de 2012 à 2017 avant d’être nommé Médecin-conseil national de la CNAMTS en juillet 2017.
 
Il est aussi l’un des membres-fondateurs de l’ICM (Institut du Cerveau et de la Moelle épinière.)
France-Culture écrit dans la présentation de l’émission « Le monde de l’expertise est à la fois méconnu et inquiétant. Méconnu car on ne sait pas qui est expert et comment on le devient. Inquiétant car toute évaluation est soumise à une appréciation par essence partiale puisqu’elle est le reflet de l’analyse d’un homme. Il était temps donc d’essayer de mieux connaître l’expert et l’expertise, et pour traiter de ce sujet notre invité est le docteur François Chedru. Ancien médecin des hôpitaux, François Chedru est expert près la cour d’appel de Paris et la cour administrative d’appel de Paris, agréé par la cour de cassation. »
 
Pouvait-il, en 2011, à l’époque où il animait l’émission radiophonique de France-Culture « Avec ou sans rendez-vous », www.franceculture.fr/emissions/avec-ou-sans-rendez-vous quand il a choisi le docteur François Chedru, Chef d’un Service de neurologie de l’AP – HP, pour venir discuter des expertises médicales, ignorer qu’en 1996 cet expert avait bien mal rempli ses obligations d'expert en rédigeant un rapport d'expertise savamment bidonnée - il me l'a lui-même avoué quelques mois plus tard - de façon à satisfaire le besoin qu’avaient d'une part l’AP – HP de disculper les neurologues du Service de Neurologie du CHU de Bicêtre, alors tenu par le professeur Gérard Saïd, cependant que d'autre part, à la même époque, et pour des raisons croisées, l'Etat était intéressé à innocenter les médecins de la Clinique Léon Elmelik, des prédateurs contre lesquels mon père, dans une lettre datée du 17 décembre 1990 et adressée au procureur du TGI de Créteil, avait porté plainte.

Mon père avait déjà à cette date retrouvé ses esprits alors qu’il avait trois mois plus tôt été "étiqueté" « Alzheimer » et « encéphalopathie vasculaire », le tout curieusement dénommé « ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX » par les neurologues de l’hôpital Bicêtre, une dénomination neurologique servant à désigner à mot couvert
les très rares mais très redoutables LEMP (Leuco Encéphalopathie Multifocales Progressives) consécutives à des infections virales, quelques qu'elles soient. A l'époque les LEMP étaient en légère recrudescence, une augmentation de l'ordre de 20% attribuée aux contaminations par le VIH.
Les LEMP étaient jusqu'alors réputées de pronostic effroyables, aucun traitement ne pouvant en modifier le cours. Mais à partir de 1990 la prestigieuse revue américaine "Archives of Neurology" se mit à publier plusieurs d'articles mettant en avant l'effet thérapeutique positif de la vitaminothérapie B12.
Mon père avait pu récupérer ses facultés cérébrales du fait que j'étais intervenu deux mois auparavant, plus exactement le 12 septembre 1990, pour lui administrer moi-même in extremis le traitement de la maladie de Biermer, un traitement qui consiste à administrer la vitamine B12 de façon drastique.
C'était un traitement que mon père était censé recevoir depuis son hospitalisation à Bicêtre. Les neurologues de Bicêtre m’avaient fait croire qu’il le recevait cependant qu'en réalité ils avaient en sous-main donné l’ordre qu’il ne soit fait que semblant de le lui administrer, et ce bien que le diagnostic de syndrome neuro-anémique ait tout de suite été porté, en ma présence, aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre, au terme de l'examen neurologique et à la lecture de l'hémogramme du malade, dans la soirée du 31 juillet 1990.
 
Mais pourquoi les neurologues du service du professeur Saïd avaient-ils refusé que le traitement de la maladie de Biermer soit réellement administré à leur malade ?
 
Ils avaient pris prétexte que le test de Schilling était à 35 % (cependant qu'il était en réalité à 5 %, ainsi que je l'ai incidemment appris plus tard).
 
Après qu'ils ont fait transférer mon père en gériatrie à l'hôpital Charles-Foix dans l'USN du docteur Jean-Yves Beinis, mon père continua à ne recevoir qu'un simulacre de traitement de la maladie de Biermer.
Le prétexte était qu'il occupait à Bicêtre inutilement un coûteux lit de spécialité cependant qu'il ne se rétablissait pas

Il avait été admis en neurologie sur le diagnostic de syndrome neuro-anémique, un syndrome neurologique rapidement mortel s’il ne reçoit pas son traitement spécifique, un traitement simple et très efficace, à savoir une cobalaminothérapie drastique.
Il s'agit d'un traitement qui ne coûte que le prix de 2 ou 3 paquets de cigarettes, alors que le prix de journée de journée d'hospitalisation dans un Service de neurologie est très élevé.

Mais avant qu'il finisse par sombrer dans un coma carus, la Surveillante, madame Pondu, l’expérience aidant, avait reconnu la nature de sa maladie en le faisant manger. Elle envoya une élève-infirmière pour qu'elle me fasse savoir qu'en fait de traitement il ne recevait qu'un simulacre.
C'est ainsi que le 12 septembre 1990 j'ai pu in extremis mettre véritablement en route le traitement de la maladie de Biermer.

Cela et le professeur François Piette au CEGAP et le docteur Michel Serdaru à la F.F.N. ont pu l'apprendre en 1992 lorsqu'ils se sont occupé de mes parents.
François Chedru avait en mains leurs observations lorsqu'il a rédigé son rapport d'expertise, ce qui ne l'avait pas empêché de chercher à innocenter tout le monde, à la satisfaction du procureur Créteil Michel Barrau, qui avait à protéger la Clinique Léon Elmelik quoi qu'il s'y passe, ainsi que je l'ai appris du Commandant Christian Raekelboom au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses lorsque mon père a été appelé à venir confirmer sa plainte, le 23 janvier 1991.

De quoi mon père avait-il à se plaindre à cette époque, avant qu'il a été réhospitalisé à Bicêtre en février 1991 ?

De ce qu'il avait subi, par surprise, sans qu'il l'ait demandée, et encore moins désirée, une anesthésie générale, au cours de laquelle une opération orthopédique bilatérale prétendant corriger une "mauvaise morphostatique" de ses avant-pieds lui avait été infligée", au prétexte que celle-ci était responsable de ses difficultés.

Ses difficultés étaient à l'évidence non pas en rapport avec des pieds ronds antérieurs, (il avait été normalement mobilisé en 1939) mais en rapport avec un syndrome cordonal postérieur (tableau dit de « sclérose combinée ») compliqués d' un syndrome neuropsychiatrique propre aux profondes carences cobalaminiques (un délire d'illusion qui lui faisait croire que je n'étais pas son vrai fils et que ses douleurs (de type neuropathiques), au vu des radiographies de sa prothèse de hanche, étaient causées par un cancer des os développés à partir de cette prothèse. Un cancer que moi, son fils, il prenait pour un faux-fils cherchait à lui cacher pour l'empêcher de se soigner. Preuve en était (dans son esprit) le commentaire du radiologue, qui avait dans son compte-rendu porté le diagnostic de "protrusion acétabulaire", une terminologie patibulaire qui cachait, dans son esprit troublé, qu'il s'agissait d'un cancer !

Les médecins de la Clinique Léon Elmelik avaient profité de sa vulnérabilité psychologique pour l'anesthésier et l'opérer sans crier gare.
La croyance qu'il avait que je n'étais pas vraiment son fils mais un imposteur était du délire, un délire qui depuis 1923 est connu sous le nom de délire Sérieux et Capgras.
 
Le malade  lorsqu'il a été opéré était déjà affecté de troubles pyramidaux et extra pyramidaux et de troubles cérébelleux responsables de déséquilibres et de chutes.
Il est donc invraisemblable que ce fut pour des raisons économiques que ce traitement ne lui fut pas administré. alors que c'est au prétexte qu'il ne guérissait pas. Mais comment aurait-il pu, puisqu'il ne le recevait pas vraiment ?
 Comment ou plutôt pourquoi François Chedru a-t-il fait semblant de l’ignorer ?

En décembre 1997 j’avais fait part à la Fédération Française de Neurologie de ce qui s’était passé en 1990 au sujet de mon père dans le Service du professeur Saïd et dans celui du docteur Jean-Yves Beinis à l’hôpital Charles-Foix, sachant qu'à l'AP - HP tout se sait.

Ce que l'enquête sociologique de Hervé Hamon révèle dès les premières pages de son livre. Cf. "Nos médecins", paru aux éditions Le Seuil en 1994

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2 août 2021 1 02 /08 /août /2021 23:34

Torah-box expose qu' Anaxagore et la Torah en avaient formulé l'idée bien avant Antoine de Lavoisier.

<< Bien que le premier à qui l’histoire prête cette citation, en l’occurrence le philosophe grec Anaxagore qui disait déjà « Rien ne naît, ni ne périt… », c’est Lavoisier par ses travaux expérimentaux qui fit passer cette maxime du statut de pensée philosophique au statut de principe physico-chimique. >>

Et plus loin :  << Il y a à peu près 3000 ans, le roi Salomon écrivait dans son livre Kohélèt (l'Ecclésiaste): « J'ai reconnu aussi que tout ce que D.ieu fait restera ainsi éternellement : il n'y a rien (possibilité) à y ajouter, rien (possibilité) à en retrancher… » (Kohélèt 3, 14) >> 

https://www.torah-box.com/etudes-ethique-juive/science-torah/rien-ne...

C'est donc bien Lavoisier qui le premier en a apporté concrètement la preuve par des mesures précises, ce que n'avaient pas su faire le roi Salomon, pas plus qu'Anaxagore.

Mais ce qu'il faut surtout faire savoir - entre autres à François Bayrou - ce qu'en tant que médecin je suis incapable de faire comprendre et admettre aux décideurs des Pouvoirs Publics, qu'une solution technique existe, qui permet de produire de l'électricité beaucoup plus massivement et de façon beaucoup économique que ne le font actuellement les usines construites sur le modèle de l'usine marémotrice de la Rance, voire aussi massivement que ne le font les centrales nucléaires.

L' usine de la Rance, lorsqu'elle fonctionne, est avec un barrage de 300 mètres, en effet capable de 240 mégawatts, soit le quart de la puissance d'un réacteur nucléaire classique.

L'énergie des marées est quasi inépuisable (à l'échelle humaine) puisqu'elle provient essentiellement de la transformation de la colossale énergie cinétique de la lune dans sa course autour de la terre.

Ce qu'il faut savoir, mais que l'on ignore, c'est qu'il est nullement nécessaire d'avoir recours à la construction de coûteux barrages pour transformer cette énergie en énergie électrique.

En 1967, lorsque l'usine marémotrice de la Rance a été mise en Service, j'avais 28 ans. J'avais alors eu l'idée qu'il devrait être possible de capter cette énergie par un autre moyen que la construction d'un barrage. Mais pas plus que tous les systèmes qui ont été imaginés depuis, ceux que j'imaginais n'auraient pu longtemps résister aux conditions atmosphériques, souvent tempétueuses, qui règnent sur les côtes de l'Océan atlantique.

Or en juin 2012, lors d'une sortie en mer par un jour de grande marée, alors que j'avais depuis longtemps abandonné l'idée que c'était possible de trouver une autre solution que les barrages, celle qui m'est alors venu à l'esprit possède toutes les qualités recherchées: non seulement elle est en son principe de fonctionnement apte à résister aux tempêtes les plus violentes comme à la corrosion marine, mais peut être implantée tout le long de la côte atlantique française, de Dunkerque à Biarritz, et bien au delà, partout où les marnages permettent son implantation, quatre ou cinq mètres étant déjà suffisants.

C'est aussi dire que son développement permettrait d'économiser les énergies fossiles, voire de n'avoir plus besoin de recourir à l'énergie issue de la fission nucléaire, donc de résoudre le problème des déchets nucléaires.

C'est une solution qui peut être très rapidement testée in situ sur une unité modulaire de petite ou moyenne grandeur pour un coût extrêmement modeste – moins d'un dixième de ce que coûte l'implantation d'une seule éolienne - au lieu que ce soit en bassin, afin de faire la preuve qu'elle est non seulement fonctionnelle, mais apte à résister aux tempêtes les plus violentes, à l'ensablement et à la corrosion marine.

On objectera que c'est trop beau pour être vrai, parce que si c'était possible, il y a longtemps que les ingénieurs qui ont conçu l'usine marémotrice de la Rance, qui sont beaucoup plus qualifiés que moi en la matière, en auraient eu l'idée.

Il est effectivement étonnant que les ingénieurs, qui trouvent souvent des solutions techniques très ingénieuses à des problèmes a priori impossibles, comme p. ex. la construction de très grands ponts en zone sismique, tel le pont Rion-Antirion, n'aient pas pensé à une solution qui non seulement relève d'un principe de physique bien connu, mais aussi du bon sens, cependant que le bon sens serait, selon René Descartes, la chose du monde la mieux partagée (bien qu'en certains domaines, le bon sens ait à Descartes bougrement fait défaut).

Il faut cependant avoir à l'esprit que c'est à une astuce très simple, à "une astuce de rien", mais dont on a mis longtemps à percevoir le grand l'intérêt, à savoir l'utilisation du zéro positionnel, que l'on doit la formidable accélération du développement technique et scientifique, qui s'est faite à partir du XIII e siècle en Europe. Auparavant, même le très l'ingénieux Archimède n'avait pas eu l'idée de s'en servir pour faciliter ses calculs !

(Cf. https://la conversation la-longue-histoire-du-zero (ce « rien » si important)

Être en mesure de proposer, sans avoir les moyens d'établir ce que l'on propose autrement que sur expérimentation faite en bassin sur une maquette, est frustrant.

Une réalisation faite in situ et en vraie grandeur devrait pourtant faire la preuve que cette solution résiste aux tempêtes, qui si souvent ont mis à mal bien des solutions techniques apparemment séduisantes.

Mais une telle réalisation dépasse mes capacités financières, et cela bien qu'une telle réalisation sur une petite unité ne devrait pas dépasser le 1/10 e de ce que coûte la mise en place d'une seule éolienne, alors que je suis sûr, à 99%, qu'elle serait positivement concluante, bien plus surement que, lorsqu'en août 1990, j'avais, en tant que médecin, émis l'hypothèse que le diagnostic de maladie de Biermer devait être  appliquée à mon père malgré la normalité d'un test de Schilling et d'une vitaminémie B12.

Cf. 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 – 792. “Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin”.

Les neurologues de l'hôpital Bicêtre voulurent alors me faire comprendre que c'était insensé (plus précisément que j'étais un insensé, et que je devrais aller consulter un psychiatre ! )

C'était pourtant une hypothèse dont la mise en application permit de sauver in extremis de vie de mon père. 

Les neurologues avaient refusé de mettre l'hypothèse d'un psychiatre à l'épreuve. Finalement averti par les infirmières de ce que le traitement de cette maladie, fréquente chez les personnes âgées, n'avait pas été réellement appliquée, j'avais dû me résoudre à mettre moi-même véritablement en route son traitement alors que mon père, dans un état devenu désespéré, avait à 79 ans, fini par sombrer dans un coma carus (prémortel). Il était hospitalisé depuis six semaines sans que les neurologues du CHU de Bicêtre n'aient voulu croire à ma suggestion.

Au prétexte qu'il ne faut surtout pas contrarier les fous, ils avaient donné l'ordre aux infirmières de n'administrer au malade qu'un faux-semblant de traitement  (1/2 mg/semaine en IM, au lieu de 1 mg/jour, le traitement codifié de la maladie de Biermer.)   

Contre toute attente ("à la surprise générale") mon père récupéra en quelques semaines ses facultés intellectuelles, qui sont remontées à 30/30 au test d'évaluation usuel (au "MMSE").

Mais fait "en dehors des clous", c'est un sauvetage ne me valu aucune félicitation, bien au contraire, et cela bien qu'il se soit par la suite traduit par la découverte du syndrome NDB12PP (syndrome de Non Dissociation de la vitamine B12 de ses Protéines Porteuses - voir en note * ) .

Or ce syndrome, qui peut prêter à confusion avec une démence de type Alzheimer si on se fie aveuglément au test de Schilling et à la vitaminémie B12, sans tenir compte de ce qu'il n'est qu'une une forme clinique très fréquente de la maladie de Biermer, une maladie qui conduit inéluctablement les malades rapidement à la mort dans un état de prostration s'ils ne reçoivent son traitement spécifique, en l'occurrence la vitamine B12 à doses drastiques (cette maladie et ledit syndrome sont de véritables urgences médicales. Ils sont dus à l'épuisement des réserves de l'organisme en cette vitamine, qui est aussi indispensable au fonctionnement du système nerveux que l'est l'huile pour les moteurs à explosions)

Pour en revenir à l'énergie des marées, lors la mise en service de l'usine marémotrice de la Rance en 1967, j'avais 28 ans et passais mes vacances à Dinard.

C'est alors que l’idée m’était venue qu'il devait exister une solution beaucoup moins coûteuse tout en étant plus efficace que la construction de barrages pour récupérer l'énergie des marées. L'idée n'était pas vraiment idiote dans la mesure où j'ai fini par la découvrir ... 45 ans plus tard. 

Cette solution ne passe pas par la construction de fragiles systèmes flottants, qui ne tiennent pas longtemps face à la houle et aux tempêtes, qui sont en outre gênants pour la navigation, mais une solution “les pieds sur terre”, fonctionnelle non seulement par tous les temps et non seulement pour quelques sites privilégiés, mais partout le long des côtes maritimes où les marnages sont suffisants, c'est-à-dire de l'ordre de quatre ou cinq mètres, conditions qui sont réalisées tout le long des côtes océaniques françaises. C'est pourquoi elle peut capter très massivement l'énergie des marées tout en ne défigurant pas le paysage et l'horizon des mers. 

A être installé dans tous les pays bénéficiant de marnages suffisants, se pose alors la question de savoir si la captation à grande échelle de l'énergie cinétique de la lune ne serait pas sans conséquences sur la circulation des courants marins, en particulier sur le Gulf Stream, et donc inacceptables pour l'équilibre climatique de l'Europe ? 

Or je ne suis pas ingénieur mais médecin.

J’ai non seulement besoin de l'avis d'un ingénieur sur la validité de la solution que j'avance, de façon à ce qu'elle soit prise au sérieux par les décideurs, mais celles des océanologues au sujet de ses éventuels retentissements sur la circulation des courants marins si elle était appliquée à grande échelle. 

Pierre Cretien        Tel : 07 86 92 02 05

 

NB: Plutôt que d'accepter mon hypothèse au sujet du syndrome NDB12PP, ils avaient contre toute logique rationnelle préféré rester fixés aux apparences, diagnostiquant une "atteinte diffuse du syndrome nerveux" consécutive à une "démence de type Alzheimer" greffée sur une "encéphalopathie vasculaire" (sic) alors que le traitement de cette “atteinte” par celui de la maladie de Biermer a en quelques semaines eu raison de cette "atteinte" cependant qu'elle était aussi profonde que "diffuse" ! 

Le syndrome NDB12PP reste cependant (ou en conséquence ?) ignoré de la plupart des médecins praticiens alors qu'il s'agit d'une forme clinique de la très dangereuse maladie de Biermer, et bien qu'il soit trois fois plus fréquent que cette dernière (selon E. Andrès & al.), donc tout aussi dévastateur sur le plan neurologique, et alors qu'il est comme celle-ci à cent pour cent remédiable sous vitaminothérapie B12 intensive pourvu que cette thérapie soit administrée en urgence, avant que les que les dommages ne deviennent irréversibles ou mortels. 

Cf. à ce sujet les articles des Internistes des hôpitaux de Strasbourg E. Andrès & al.. 

1 Emmanuel Andrès,  Service de médecine interne, diabète et maladies métaboliques, Clinique médicale B, Hôpitaux universitaires de Strasbourg, F-67091 Strasbourg, France

2 SEmmanuel Andrès, Service de médecine interne et gériatrie, Hôpital de la Robertsau, Hôpitaux universitaires de Strasbourg, F-67091 Strasbourg, France

et aussi 
3 Vitamin B12 deficiencies: Innovations in endocrinological practice
September 2006 · Feuillets de Biologie

October 2005 · The American Journal of Medicine

Emmanuel Andrès Jean Frederic Blicklé Stéphane Vinzio[...]Stéphane Affenberger

Approximately 15% of people aged more than 60 years old have a cobalamin (vitamin B12) deficiency, mainly in relation with food-cobalamin malabsorption (FCM).  We studied 92 elderly patients with well-established FCM who were extracted from an observational cohort study 

- / -

* Remarques : ce sauvetage imprévu me valut de la part de la direction de l'hôpital Bicêtre l'accusation d'avoir "moi-même sciemment 'fabriqué' la maladie de mon père par antisémitisme". Sic, dixit madame Isabelle Pilot après que je me suis adressé à la CADA pour avoir enfin accès au dossier d'hospitalisation de mon père dans le Service de neurologie du très éthique Pr. Gérard Saïd, dossier jamais communiquer parce que déclaré "perdu", mais comme "rien ne se perd ... " donc pas pour les médecins de la Clinique Léon Elmelik contre lesquels mon père avait porté plainte devait le procureur de Créteil  (Michel Barrau) "contre X" pour "coups et blessures volontaire et non assistance - délibérée - à personne en péril" cependant qu'il ne s'était pas rendu compte, dans l'était où il s'était trouvé, que la même plainte pouvait tout autant et même davantage concerner les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd, et qu'il ignorait que les médecins de ladite Clinique étaient "protégés en haut-s lieu-x", aux dires du Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, le Commandant Christian Raekelboom, qui en avait assez d'avoir à enregistrer pour rien d'innombrables plaintes à l'encontre de ses médecins actionnaires, réputés "milliardaires", et par-là selon lui intouchables.)

https://genocides.over-blog.com/  

https://genocides.over-blog.com/2016/09/petits-pots-pour-bebes-pour-sauver-la-vie-des-vieux

https://genocides.over-blog.com/article-la-reconstruction-de-la-mairie-de-l-ha-les-roses-124849927.html 

https://genocides.over-blog.com/article-bibliographie-relative-au-delire-de-capgras-b12-116982006.html 

https://genocides.over-blog.com/2015/05/vaincre-le-mal-de-dos-avec-une-planche-c-est-possible.html

https://genocides.over-blog.com/2019/11/un-aigle-a-deux-bosses.html

https://genocides.over-blog.com/2020/05/l-ethique-des-forfaitures-medicales.html

https://genocides.over-blog.com/2016/10/medecine-de-catastrophe-et-medecines-catastrophiques.html

https://genocides.over-blog.com/article-complications-psychiatriques-des-carences-cobalaminiques-69970222.html

  https://genocides.over-blog.com/article-un-comportement-qui-releve-de-la-haute-trahison-121964819.html

NB : Ce dernier article, mal écrit et mal composé, est à revoir et réécrire 
 

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18 juillet 2021 7 18 /07 /juillet /2021 18:27

Adolf Hitler a plus que tout autre personnage entré dans l'histoire fait l'objet de biographies et de tentatives d'explications psychologiques et psychiatriques.

A ma connaissance ce n'est que dans la biographie que lui a consacré de Joachim Fest, parue en 1973, qu'il est indiqué que ses parents avaient prénommé leur fils Adolfus.  

Et non sans raison c'est après Hitler le docteur Sigismund Freud qui a fait l'objet des plus nombreuses publications  biographiques et psychologiques, mais pas par les mêmes exégètes, bien que ces deux malfaiteurs de l'humanité puissent s'expliquer l'un par l'autre.

Norman Mailer, disparu en novembre 2007 à l'âge de 84 ans, peu après la publication de son dernier roman, "Château en forêt", aurait été, selon Gerard Meudal, qui l'a traduit "l'un des derniers colosses de la littérature américaine et un éternel agitateur"  https://www.lemonde.fr › Disparitions  Le Monde du 12 novembre 2007. 

Gérard Meudal écrit : "Dès le début des années 1950, Norman Mailer est un personnage important de la contre-culture américaine"   

Je n'ai pas lu le livre de Mailer, mais d'après les résumés qui en sont faits, les déterminants incestueux et les antécédents que Mailer a appliqué à la monstruosité d'Hitler peuvent parfaitement s'appliquer au "bon" docteur Sigmund Freud (Cf. les recherches minutieuses de Marianne Krüll publiées en France en 1984 chez Gallimard sous le titre de "Freud Fils de Jacob" et non pas "Freud, fils de Jakob".)

Le roman de Mailer est réputé inclassable parce qu'il mêle l'histoire à la fiction, à la différence de ce que fait Ron Rosenbaum dans son savant livre "Hitler, l'origine du mal", publié aux Etats-Unis onze ans avant celui de Mailer (sauf au sujet du "Procès d'AH", où Rosenbaum fait état d'une fiction écrite non pas par Mailer mais par George Steiner).

Mailer avait vraisemblablement lu le livre de son compatriote Ron Rosenbaum, mais apparemment pas celui, "impressionnant et fascinant", selon George Steiner (et moi-même) , de l'historienne autrichienne  Brigitte Hamann, "La Vienne d'Hitler", par lequel il apparaît qu'Hitler n'a pas été toujours antisémite, bien au contraire, même si son livre est mentionné par Mailer dans les sources citées pour assoir son roman sur des bases solides. 

Il va falloir que je me procure son livre pour vérifier si Mailer a cité Hamann dans ses sources, mais il est probable qu'il ne l'a ni lue ni citée parce que ce qu'elle révèle va à l'encontre de son propos.

Je suis très étonné que Wikipédia, dans son long article consacré à la psychologie d'Hitler, n'ait pas mentionné "La Vienne d'Hitler", pas plus qu'il ne mentionne le "Hitler" de Ron Rosenbaum, paru en France en 1998 chez Claude Lattès traduit par Philippe Bonnet, ni même le "Hitler" de François Delpla alors que Wikipédia sait faire état de ce Claude Lanzman trouve "obscène" que Rosenbaum ait cherché à savoir quand, et donc pourquoi,  et aussi comment Hitler avait pu devenir ce qu'il est devenu, ce qui est le propos des recherches de Rosenbaum, et ce pourquoi Lanzmann s'en était beaucoup irrité. Or c'est aussi ce à quoi répondent ces trois auteurs si on en fait la synthèse, beaucoup mieux que ne le font les psychiatres cités par Wikipédia, du moins ceux qui recourent au délirant et fallacieux concept de "complexe d'Œdipe" resté infantile sans se soucier de ce que ledit "complexe" a été inventé par le docteur Ernest Jones bien plus que par Sigmund Freud après qu'ils ont discuté du cas de Dora.

Jones en avait besoin pour se disculper face aux accusations de détournement de mineures dont il avait fait l'objet lorsqu'il exerçait en Angleterre.

Preuve en est que Freud n'avait pas introduit cette notion quand il a publié le cas de "Dora" alors que c'était l'occasion de l'appliquer, puisque Dora avait refusé de céder à l'agression  sexuelle de monsieur K, l'amant de la mère de Dora, alors que c'est en prenant connaissance du cas de Dora, publié par Freud en 1905, que Jones était venu rejoindre Freud en 1906 pour le lui suggérer (et non pas en 1908, comme je l'ai écrit dans mes précédents articles sur Ernest Jones et Freud.

Freud a avait fait de Dora une hystérique parce qu'elle s'était refusée à monsieur KDora souffrait donc, selon Freud, d'un regret inconscient, c'est-à-dire du désir refoulé, de céder à monsieur K.  Ce renversant renversement de causalité allait comme un gant à Jones, un gant que Freud pouvait et allait cautionner    

Mailer prétend expliquer "l'origine du mal" non pas par la monstruosité d'Adolf Hitler appréhendé sur le plan historique, mais appréhendé à travers une fiction métaphysique, l'existence d'un démon rusé et corrupteur, tel le Serpent de la Genèse vis à vis à d'Eve, sans voir que Sigmund Freud pourrait avoir été pour Hitler le Serpent, c'est-à-dire le Dieter de son roman, dans la mesure où il y a lieu de penser qu'après qu'il a perdu sa mère en décembre 1907Hitler a été, à l'âge de 18 ans, un des patients du professeur Freud, ainsi que j'en ai précédemment formulé l'hypothèse dans mon blog au sujet Anton Sauerwald, un officier SS prétendument séduit par la doctrine psychanalytique désireux d'éviter à Freud les affres d'une condamnation à mort pour fraude fiscale (selon le roman "Un secret du docteur Freud", d'Eliette Abécassis, écrit à la demande de sa mère, psychanalyste, qui s'est servi de sa fille pour laver son gagne-pain face aux accusations de Goce Smilevski  d'avoir avec la publication  "La liste de Freud" fait du "bon" docteur Freud un monstre de lâcheté

Le docteur Eduard Bloch était le médecin de la famille Hitler, un médecin pour qui Hitler avait gardé une grande estime, et non pas une haine pathologique en rapport avec une fixation sur un prétendu complexe d'Oedipe, comme l'ont prétendu maints psychologues et psychanalystes, dont Erik Erikson en 1950 et Rufolph Binion, croyant à cette fable créée par Jones et cautionnée par Freud, une fable aussi scientifiquement fondée que celle qui dit que la terre est plate et que le soleil lui tourne autour.   

"Le bon docteur Freud", selon Eliette Abécassis, c'est-à-dire selon sa maman, psychanalyste restée farouchement freudienne malgré les désastreux résultats provoqués par la doctrine charlatanesque autant qu'ubuesque du Herr professor Freud, tout comme il existe des encore des hitleriens malgré (ou à cause de ?) tous les désastres provoqués par la satanée doctrine du Führer du III e Reich (qui n'y croyait pas vraiment comme l'a montré Walter Langer .

Freud était comme  Hitler un fils à maman, et par là-même non pas un fils à papa, mais un fils à grand-papa, ainsi qu'il arrive - comme il est souvent arrivé dans le passé et arrive encore malgré les moyens de contraception devenus plus faciles - dans les familles "bien sur tous rapports", parce que très pieuses ("sauter de son pieu", c'est sortir de son lit précipit-amant d'après Fréderic Dard) et très cultivées (si vous n'y voyez aucun rapport, tant pis pour vous). 

L'effet, vulgairement connu sous le nom d'effet-yau-de-poêle, aurait-il été philosophiquement reconnu par François George ?

Parce que peu nombreux sont ceux qui ont compris ce qu'avait pigé Jacques Lacan, lui pour avoir connu une situation similaire au sein de sa propre famille, puisque son grand-père paternel était l'amant de sa mère (selon l'historienne de la psychanalyse Elisabeth Roudinesco, dans "Généalogies", un livre paru en 1994, à la rédaction duquel un psychiatre, Serge Wasersztrum, à ses dires, a participé. Il aurait notamment proposé (insisté pour) que le titre du livre soit mis au pluriel (pourquoi au pluriel ?).

Je l'avais rencontré à Paris alors que je cherchais à me procurer dans une librairie de livres anciens, rue Fleurus, dans le 6 e arrondissement, le rapport psychologique qu'avait écrit le psychanalyste américain Walter Langer sur la personnalité d'Adolf Hitler pour le compte de l'OSS (Office of Strategic Service, l'ancêtre de la CIA).

Le professeur Henri Baruk, psychiatre et fils de psychiatre, qui sous le régime de Vichy avait porté l'étoile jaune, dans une discussion que j'avais eu avec lui à propos de Sigmund Freud, dans la détestation qu'il en avait, avait mis celui-ci sur le même plan qu'Adolf Hitler.

J'en avais été interloqué. A la suite de cette discussion je m'étais mis à lire les biographies que lui avaient consacré divers auteurs.

Lire le rapport qu'avait écrit à son sujet Walter Langer se devait de faire partie de mes lectures.    

Le gouvernement américain, c'est-à-dire Roosevelt, avant d'entrer en guerre contre l'Allemagne, voulait en savoir plus sur celui qu'il aurait vraisemblablement à combattre.

Tout en essayant de trouver ce livre, qu'en définitive il n'avait pas, Serge Wasersztrum m'a parlé de la femme de Hermann Göring, qui était suédoise. A ses dires, c'était elle qui avait proposé l'emblème de la Croix Gammée à Hitler, alors que selon Wikipédia c'est membre de la DAP, Friedrich Krohn qui l'aurait proposé à Hitler dès 1919.

Göring ne s'est rapproché d'Hitler qu'en 1922 et s'est marié avec la baronne suédoise Carine von Kantsov en 1923. Celle-ci n'est donc pas à l'origine de ladite proposition suggérée à Hitler      

Pour retourner à Freud, dans "son retour à Freud" Jacques Lacan fait de celui-ci un cas clinique particulièrement représentatif pour illustrer et comprendre l'origine des délires paranoïaques.

Comme la sociologue Marianne Krüll, Lacan avait compris que Sigmund Freud n'avait pas eu accès "à sa propre équation", celle-ci étant en racine²de moins 1, que beaucoup mieux qu'Adolf Hitler, en tant que petit-fils d'un inconnu célèbre, Freud illustrait parfaitement sa théorie de "la-forclusion-du-nom-du-père" à l'origine des délires paranoïaques, faisant l'hypothèse (une hypothèse qui découle de la théorie projective freudienne, qui postule l'existence de désirs œdipiens) que Sigmund Freud était le fils de Jacob Nathansohn - ce qui transparaît d'ailleurs dans certains rêves trans-parentaux de Freud - donc de son grand-père maternel, et non pas de Jakob Freud, un négociant en laine de Moravie qui avait fait faillite, et à qui Jacob Nathansohn, un bon bourgeois d'Odessa, avait proposé qu'il épouse sa fille de 19 ans, alors qu'elle était enceinte (de lui, et non pas de Jakob Freud, comme l'a supposé la psychanalyste Marie Balmary) pour régulariser sa situation, contre dédommagement financier.

Jakob Freud, qui avait alors 40 ans, s'était empressé d'accepter une offre si alléchante. Mais déjà marié à une seconde épouse, nommée, Rebekka (Sigmund Freud n'aurait jamais su de façon consciente son existence), il avait fallu la faire disparaître, ce dont Sigmund Freud a rendu inconsciemment compte à travers ses phobies des voyages en chemin de fer et à travers un délire paranoïaque, dans lequel les petites filles ne désirent rien tant que remplacer leur mère auprès de leur père afin d'avoir un enfant de lui, tout comme les petits garçons ne désirent rien tant que d'éliminer leur père pour le remplacer dans le lit conjugal (Cf. Sigmund Freud, "Abrégé de psychanalyse").

Le pire, c'est que, tout comme le délire d'Adolf Hitler de la supériorité de la race aryenne a pu séduire de très nombreuses personnes pourtant cultivées, le délire freudien du complexe d'Œdipe (que Jacques Lacan appelait le complexe des dupes), a séduit de très nombreux psychiatres, qui sont "tombés dans le panneau" pour employer l'expression d'André Green.

Malheureusement pour les très nombreuses victimes d'incestes, accusé-e-s de fantasmer un désir inconscient.

Les "psys"  qui s'y sont refusés ont été accusés d'être antisémites ou d'être "paranoïaques", tel entre autres le psychiatre Henri Baruk

Lire Virginie Talmont "L'inceste" (dans la collection "J'ai lu", page 123 ce qui dans l'édition princeps se trouve au chapitre relatif à un grand ponte de la psychiatrie, qui la plongea dans un grand  "Gloup" révélateur)  ainsi que le "Dictionnaire international de psychanalyse", l’œuvre de centaines de psychanalystes supervisés par le psychiatre Alain de Mijolla) à l'entrée consacrée à l'inceste, la conclusion du texte rédigé par Roger Perron. Ce dictionnaire a été publié en 2002 chez Calman-lévy et réédité en 2005 chez Hachette littérature (mais je n'ai pas vérifié si les stupidités de Roger Perron y ont été conservées)et "L'homme aux statues" de la psychanalyste Marie Balmary, publié chez Grasset, l'édition de 1997, ainsi que le "Le roman familial de Freud" de la psychanalyste Gabrielle Rubin, paru en 2001 chez Payot.

Et pourquoi pas aussi  "Château en forêt", de Norman Mailer, l'auteur ayant trouvé dans les antécédents familiaux d'Adolf Hitler ce qu'il faut pour fabriquer un monstrueux paranoïaque.   

Mais chut ! C'est tout ce qu'il ne faut surtout pas savoir. 
 

Bonne lecture

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18 juillet 2021 7 18 /07 /juillet /2021 01:37
26/05/mai/20161 6:52

Vous ne trouverez pas les numéros de "L'Haÿ-les-Roses notre Ville" correspondant au règne de Marc Méchain, maire de cette Ville de 1989 à 1993, pour des raisons inavouables.

Pas non plus les numéros de la Revue Archives of Neurology antérieurs à novembre 1997, interdite de parution à la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre par ordre du professeur Gérard Saïd, qui la disait être une très mauvaise Revue parce qu'il s'est aperçu que je la consultais - cf.  le site "bibliographie" du "blog de léon".

Mais vous trouverez sur le Web le n° 203 de janvier 2015 de "l'Haÿ-les-Roses notre Ville",  parce que Vincent Lindon a mis les pieds à l'Haÿ au 11 allée du Parc pour le tournage d’un film intitulé « À hauteur d’homme ». (mes parents habitaient au 7 de la rue du Parc)

<< Lindon y incarne le rôle d’un demandeur d’emploi qui finit par décrocher un poste d’agent de sécurité dans une grande surface.

Et ce nouvel emploi le met face à un dilemme moral.

Pour un CDI, pour une place dans la société, pour nourrir sa famille, doit-on aller à l’encontre de ses valeurs morales.

C’est la question que pose le réalisateur et scénariste, Stéphane Brizé, à travers son long-métrage.

Pour les besoins du tournage, quelques séquences ont été tournées dans un appartement situé au 11 allée du Parc de la Bièvre, du 8 au 12 décembre dernier.

Alors, non, ce n’était pas une hallucination si vous avez croisé, à L’Haÿ-les-Roses, l’un des plus grands acteurs contemporains du cinéma français ! >> dixit le n° 203, qui rapporte aussi que  

<< Le Square du docteur Léon Elmelik est situé en face de la mairie, Il doit son nom au fondateur de la Clinique de L’Haÿ-les-Roses >> ( fondée en 1930 grâce au financement de son épouse, riche héritière de puissants banquiers  ndlr)

<< Né en 1897 à Tunis, Léon Elmelik a été résistant durant la seconde Guerre Mondiale, arrêté par la Gestapo, torturé, (et paraît-il déclaré "Nacht und Nebel), condamné à mort, et déporté vers l’Allemagne, notamment à Buchenwald, d’où il est ressorti en avril 1945, Il a ensuite repris son activité. En avril 1959, il a été élu Maire-adjoint de L’Haÿ-les-Roses, avant de mourir le 5 novembre 1959 >> (des suites d'une longue et douloureuse maladie ndlr).

Une nouvelle plaque commémorative a été mise en place à l'inauguration de la nouvelle mairie après que l'ancienne mairie a été la proie des flammes  au beau milieu de la nuit du 30 juin au 1 juillet 1999 tellement ses archives étaient brûlantes.

Le miracle tient en ceci que la nouvelle plaque stipule en lettres blanches sur fond bleu que le Dr. Léon Elmelik est décédé en 1959 alors que la précédente ne prétendait certes pas que le Dr. Léon Elmelik était décédé en 1944, mais elle était bel et bien rédigée de façon à laisser entendre qu'il était décédé des suites de sa déportation en 1944, et qu'il avait été maire-adjoint précédemment à sa déportation.

Il y est de plus précisé qu'il avait été torturé, interné, condamné à mort et déporté à Buchenwald après son arrestation.par la Gestapo.

 

o   o

 

 

SQUARE DU DOCTEUR

Léon ELMELIK

(1897 - 1959)

 

Fondateur de la clinique de l'Haÿ

Résistant, arrêté par la Gestapo

Torturé, interné, condamné à mort. Déporté à Buchenwald

Maire-adjoint, commandeur de la légion d'honneur

 

o  o

 

 

Je me suis trouvé au sujet de la Clinique Léon Elmelik et de ses médecins dans devant un dilemme moral la vaine nécessité (voir pourquoi vainement infra et sur le site n° 34640255 html chap. II § 5) d'attirer l'attention de la Justice et celle du gouvernement Sarkozy  sur les lourds dysfonctionnements judiciaires dont avaient comme nous à se plaindre l'Inspecteur Christian Raeckelboom et les policiers du commissariat de l'Haÿ-les-Roses, dysfonctionnements qui se faisaient au bénéfice de la délinquance médicale et par conséquent aux détriments des victimes, dont mon père en 1990.

Lorsque mon père a été convoqué au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses le 23 janvier 1991 après avoir porté par courrier postal le mois précédent devant le procureur de Créteil à l'encontre des médecins de la Clinique Elmelik, le Principal, le Commandant Christian Raeckelboom, lui fit cette stupéfiante confidence, ainsi qu'à moi, qui avais dû accompagner mon père du fait de son handicap moteur,:

<< J'aimerais que cette affaire aboutisse, et voir ainsi fermer cette Clinique, mais je dois vous dire, bien que ce ne soit pas dans mesattributions - gardez ça pour vous -, que j'ai là sur mes étagères cent cinquante plaintes pour viols. Aucune n'a pu aboutir. Les actionnaires de la Clinique sont protégés en hauts lieux, ils sont milliardaires; ils peuvent y faire et y font ce qu'ils veulent. Toutes les plaintes contre eux sont bloquées au parquet >> 

N'en croyant pas mes oreilles, je lui avais dit : << Des vols, il y en a dans toutes les Cliniques et dans tous Hôpitaux -

-Des viols, je dis des viols !

- Comment est-ce possible ? Qui viole qui ?

- Le Directeur. Il viole les accouchées sous anesthésie

- Le Directeur, il est gynécologue ! ... Mais s'il viole les accouchées alors qu'elles sont anesthésiées, comment peuvent-elles après savoir qu'elles ont été violées ?

- Parce que certaines se sont réveillées alors qu'il était encore en train >>

C'était proprement sidérant.

Mon père avait 79 ans. Il y avait subrepticement subi de la part du rhumatologue de cette Clinique, qui se prenait et se faisait passer à faux pour "professeur" et chirurgien orthopédiste, en un seul temps une aberrante opération orthopédique bilatérale pour corriger la "mauvaise morphostatique" (sic) de ses pieds prétendument responsable de ses douleurs et de sa  fatigabilité à la marche alors que ces troubles étaient en rapport avec une profonde carence vitaminique B12, en fait un syndrome NDB12 PP, un syndrome neurologique qui se traite aussi simplement et économiquement (à peine le prix de 2 paquets de cigarettes) que la maladie de Biermer, dont il n'est qu'une forme clinique - ainsi que l'a rapporté le docteur Yves Dano dans son expertise judiciaire en novembre  1997, sans renir compte des avertissements écrits de son  cardiologue le Dr. Joseph Heller, pas plus que des miens.

L'intervention du faux chirurgien orthopédiste fut sur-facturée de 75 % sans que la CPAM  n'y trouve à redire.

Je ne pouvais comprendre que l'Ordre et la Justice puissent se faire les complices de ces monstruosités.

J'ai appris plus tard - fortuitement au printemps de  2001 - de la part d'une personne qui se disait parente des Elmelik qu'il n'y avait pas que les parturientes à y être violées (elle n'a pas voulu me dire son nom au prétexte qu'il était "trop connu") Elle était assise près de moi et assistait à une séance de l'A.F.P.E. (Association Française pour la Protection de l'Enfance) fondée et présidée par Pierre Lassus.

La Clinique de l'Haÿ-les-Roses, propriété de la famille Elmelik, travaillait en 1990 en connivence avec le Maire de l'Haÿ-les-Roses, Marc Méchain, et le Service de neurologie du Pr. Gérard Saïd, qui ont pu sans être inquiétés par la justice attenter à la vie de mon père en 1990 après que les médecins de la Clinique Elmelik ont profité de sa grande vulnérabilité pour lui infliger une opération aussi déplacée que dangereuse pour faire du cash (la Clinique était à vendre)

De l'expertise du Dr. Yves Dano, remise au parquet en octobre 1997, il ressortait pourtant très clairement

- 1° que mon père avait été abusé par les médecins de la Clinique de Elmelik

- 2° que c'était effectivement mon intervention qui avait permis, trois mois et demi plus tard, que la vie de mon père ait été sauvée après qu'il a  été transféré à l' U.S.N. de l'hôpital Charles-Foix. Mon père  était en passe de mourir, victime du faux traitement qu'avaient institué les neurologues de l'hôpital Bicêtre, un traitement que le Dr. Jean-Yves Beinis avait été chargé d'appliquer dans son U.S.N. malgré son évidente inadéquation.

Après que mon père a échappé à la mort, il a porté plainte non pas contre les neurologues de l'hôpital Bicêtre. Il croyait encore que c'était ç eux qu'il devait d'être resté en vie. 

L'Inspecteur Christian Raeckelboom lui fit avoir que les médecins de la Clinique Elmelik étaient "protégés en hauts lieux."

Mon père n'en maintint pas moins sa plainte, portée le 17 décembre 1990 devant le procureur de Créteil, alors tenu par Michel Barrau. Il l'avait portée pour "coups et blessures volontaires, mise en danger de la vie et non assistance à personne en danger". Malgré l'extrême la gravité des faits, sa plainte, répertoriée C 90 301 0032, fut classée sans suite, mais cette réponse l'informait de la possibilite qui lui restait de se constituer partie civile.

Son avocate, maître Catherine Scotto-Derouet insista pour que les faits soient signalés à l'Ordre des médecins.

Il s'en est immédiatement suivi que nous (mon père et moi) avons été menacés de représailles ordinales.

Le président du Conseil de l'Ordre du Val-de-Marne JeanPouillard dépêcha un ami des Elmelik, le Conseiller-Rapporteur bidon Patrice Bodenan, qui nous menaça de représailles. Nous : c'est-à-dire maître Scotto-Derouet mon père et moi.

La suite montra que les avertissements de l'inspecteur Christian Raeckelboom étaient fondés : maître Annick Dorsner-Dolivet, avocate pénaliste, me rapporta que le docteur Bodenan était très influent au Palais, et que parquet était manifestement très réticent à donner suite à la plainte de mon père.

Un non-lieu méprisant, réclamé par Michel Barrau (qui sera en 2003 dépêcher pour éteindre le feu à Toulouse après que les archives de la mairie de l'Haÿ-les-Roses aient pris feu d'elles-mêmes en pleine nuit à 3 heures du matin le 30 juin 1999 tellement elles étaient brûlantes), nous fut effectivement signifié le 3 juin 1998 (Cf. www. omerta médicale et non-lieu abusif );

C'était un flagrant déni de justice formulé avec une évidente mauvaise foi. J'y étais moqué au prétexte, tout à fait infondé, que j'aurais incité mon père à porter plainte et que j'aurais fait toute une histoire de ce qui lui était arrivé alors que je n'avais fait que l'aider à réunir les preuves justifiant le bien fondé de sa plainte. Même un centième des fautes qui avaient été commises justifiait un procès, s'était exclamé en mars 1993, un neurologue très réputé de la Fédération Française de Neurologie. Il avait voulu porter l'affaire devant les médias et nous avait désigné un bon avocat (en l'occurrence maître Bernefeld) pour nous défendre.

L'Ordre des médecins, dont la raison d'être officielle est de faire respecter le code de déontologie médicale, l'avait lui-même transgressé en lon en large et en travers au bénéfice des médecins de la Clinique Elmelik et de l'équipe du Service du Pr. Saïd, qui au Comité scientifique de Médica Judaïca en fit tout autant.

Le 10 octobre 1997, il est soudainement apparu nécessaire à l'Association des Médecins Israélites de France (l'A.M.I.F.) et à l'Ordre des médecins de se rapprocher alors qu'ils étaient traditionnellment ennemis.

C'était dix jours après que j'ai eu une dispute avec le Pr. Saïd au sujet de ses mensonges : je venais du laboratoire d'électrophysiologie où j'avais récupéré des résultats d'examens qui soi-disant n'avaient jamais été faits et de lui signaler un important article du Dr. Reynolds relatif aux avitaminoses B 12 paru en juillet 1993 dans Archives of Neurology, une Revue qu'il fit aussitôt supprimer de la bibliothèqie du CHU au prétexte qu'elle était "très mauvaise" (sic).

Cette affaire est relatée plus longuement selon un ordre chronologique sur le site Internet n° 34640255 html et 108281777 html

Rappelons ici plus brièvement les faits qui avaient motivés la plainte de mon père : alors qu'il n'était pas en état de subir une opération importante, au lieu de s'en tenir à une intervention anodine prévue et cotée K 20 pour le débarrasser d'un cor siégeant sur un orteil, le rhumatologue de la Clinique Elmelik (qui se faisait passer et se prenait pour un véritable chirurgien orthopédiste), s'était avanturé à lui faire subir une double opération d'alignement des avant-pieds, une opération qui ne doit pas se faire, même sur un sujet jeune et en bonne santé, à fortiori sur un sujet très amaigri de 79 ans, à la démarche chancelante, agineux et fortement hypertendu (à 24/13 ). Il était alors victimes d'épistaxis à répétitions, d'une atteinte extrapyramidale et d'une vulnérabilté psychologique évidente. Parce que bilatérale, l'opération lui fit ipso facto perdre son autonomie et tomber entre les mains des neurologues de l'hôpital Bicêtre. Ceux-ci profitèrent de ce qu'ils le savaient atteint d'une maladie mortelle, quoique facilement curable par un traitement simple, pour ne faire que semblant de le lui adminstrer. Le bon diagnostic avait été porté dès son admission aux Urgences de Bicêtre.

La décision de ne pas faire le nécessaire avait été collectivement prise en staff à Bicêtre 1 ° parce qu'il fallait empêcher que le malade puisse porter plainte contre les médecins de la Clinique Elmelik : propriété d'un violeur en série qui satisfaisait ses pulsions sur des parturientes, il était connu comme tel par et l'Ordre des médecins et par le parquet, mais sa Clinique était très utile aux établissements de l'Assistance publique car elle débarrassait les Services de l'A.P. des malades exposés aux contaminations VIH lors de transfusions en 1984 - 1985, malades devenus ainsi potentiellment sidaïques et 2° parce qu'en avril 1984 mon père avait fait l'objet d'une telle transfusion à l'hôpital Saint-Louis.

En falsifiant les résultats du test de Schilling et en me cachant les résultats de l'hémogramme fait aux Urgences, le Dr. Pascal Masnou, Chef de Clinique dans le Service du Pr. Saïd, avait voulu me faire croire que mon père ne souffrait pas de la maladie immédiatement diagnostiquée aux Urgences (une maladie de Biermer décompensée par des hémorragies post-opératoires) mais d'une "démence vasculaire vouée à une inéluctable dégradation" .

Devant mon incrédutlité et mon insistance à ce qu'il soit traité conformément à l'évident diagnostic porté aux Urgences, Masnou fit mine de souscrire à mon avis de faire administrer le traitement que réclamait impérativement l'état de son malade, puis missionna son Interne (Olivier Ille, le futur patron de Christine Malèvre) pour transmettre ses mortelles consignes au Dr. Jean-Yves Beinis. N'avait été l'intervention d'une de ses infirmières venue m'avertir que mon père ne recevait pas réellement son traitement, mon père serait mort dans la nuit du 12 au 13 septembre 1990 : ne faire que semblant d'administrer le bon traitement revenait à le tuer.

Après que la tentative d'assassinat a ratée, le Pr. Gérard Saïd concéda en vociférant (c'était le mardi 2 juin 1992), qu'une erreur avait effectivement été commise mais que des erreurs, il en faisait "tous les jours". De son côté, l'Assistance publique se dépêcha de créer un "Espace éthique" au sein de l'hôpital Bicêtre, qui fut ensuite transposé à Saint-Louis. Ce "machin" fut confié à un ami du Pr. Saïd, le philosophe Emmanuel Hirsch, qui trouva là un emploi certainement plus rémunérateur que celui de professeur des Lycées. Prévenu de ce que l'Ordre des médecins m'avait fait menacer de représailles par le docteur Bodenan; il s'entendit avec celui-ci et le laissa consulter le dossier du malade cependant qu'il avait donné l'ordre à sa secrétaire (madame Gauthier) de le déclarer perdu.

Le livre du Pr. Pierre Bouche sur les neuropathies et polyneuropathies périphériques disparut mystérieusement presque immédiatement de la bibliothèque du CHU, et en novembre 1997, le Pr. Saïd fit en personne supprimer l'abonnement de la bibliothèque du CHU à la soi-disant "très mauvause" Revue "Archives of Neurology". Plus tard la Revue l'Encéphale fut amputée de ses numéros antérieurs à 2004. Y était rapporté l'observation d'un délire de Capgras relatif à une anémie de Biermer ( Vol 29, N° 6, pp 560 - 565, décembre 2003).

Pour ce qu'elle implique et signifie, cette affaire est bien plus inquiétante que l'assassinat commis par le "gang des barbares". Les assassins n'y sont pas des malfrats reconnus et condamnés comme tels, mais des médecins se réclamant de l'éthique. Dans l'affaire Fofana, la mère de la victime et le président du C.R.I.F. estimèrent insuffisantes les condamnations prononcées eu égard aux souffrances infligées. Ils obtinrent ainsi que l'affaire soit rejugée. Qu'aurait pensé madame R. Halimi et le président du C.R.I.F. si, à la place d'une lourde condamnation, la justice avait prononcé un non lieu et s'était moqué de madame Halimi pour avoir fait de l'assassinat de son fils "tout une affaire" ?

Je remercie d'avance le nouveau gouvernement pour ce qu'il fera qui assurera au citoyens de ce pays une justice moins dépendante des forces corporatistes

Dr. Pierre Cretien, le 11/06/2012 , c'est-à-dire un an avant que je prenne connaissance de ce que le "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" ne soit rebaptisé en 2003 en "syndrome NDB12PP", un syndrome jusqu'alors méconnu que j'avais en septembre 1990 pu mettre en évidence en administrant effectivement à mon père, qui avait fini par plongé dans le coma, le traitement de la maladie de Biermer, un traitement que ses médecins (dont Olivier Ille, futur Chef du Service où Christine Malèvre faisait allègrement passer ses malades de vie à trépas) n'avaient jusqu'alors fait que semblant de lui administrer.

Ce sauvetage, réalisé en catastrophe (voir www. une nuit vitaminée et/ou site n° 108281777 html) m'a valu les persécutions de l'Ordre des médecins et de l'hôpital Bicêtre, qui m'accusa en 2004 d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père par "antisémitisme" (resic) pour ne pas parler de celles de ma soeur, effrayée par la perspective d'un procès qui risquait de lui coûter ce qu'elle appelait "son héritage", de mon épouse et de son confrère le psychiatre Francis Hofstein, des docteurs Catherine Bonnet (qui m'en demanda pardon) et de Pierre Sabourin, en tant que psychiatres abusés par les interventions du docteur Patrice Bodenan, le rapporteur bidon.

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7 juillet 2021 3 07 /07 /juillet /2021 01:26

Sans l'introduction du zéro positionnel par Léonardo Fibonacci au treizième siècle pour simplifier les calculs a été véritablement révolutionnaire.

Les sciences et les techniques n'auraient pas connu les avancées fulgurantes qu'elles ont connues depuis.

Les calculs nécessaires à la mise au point de la bombe atomique n'auraient certainement pas été possibles.

Comment les imaginer avec les autres systèmes de numération ?

Léonardo Fibonacci peut donc être considéré comme celui qui a permis de concevoir les bombes atomiques et de mettre au point les engins capables de les balancer où l'on veut. 

 

 

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25 juin 2021 5 25 /06 /juin /2021 18:29

La Fédération Internationale des Associations de Personnes Agées (FIAPA) fait savoir que "Le vieillissement de la population française fait apparaître de nouveaux défis sociaux, économiques, matériels et juridiques qu’il faut anticiper.

- que trop d’adultes vulnérables sont victimes de maltraitance,

- que ces situations sont trop insuffisamment révélées pour y apporter un traitement adapté.

- que cette maltraitance est un phénomène complexe et renvoie à une diversité de situations correspondant le plus souvent à une succession de « petits »  (? ndlr) actes qui, cumulés, créent les conditions de l’isolement et de la souffrance des personnes qui en sont victimes.

- que chacun peut y être confronté, dans son environnement familial, social ou professionnel,

- que la vigilance de tous est requise,

- qu'il est nécessaire de préserver aussi longtemps que possible l’autonomie des personnes âgées.

- que l’émergence de difficultés dans la vie quotidienne, notamment en matière de services sanitaires et sociaux, expose parfois les “séniors” au risque de ne pouvoir bénéficier concrètement des droits qui leur sont ouverts."

Le défenseur des droits a rédigé une nouvelle fiche sur les “droits fondamentaux des personnes âgées“.

La FIAPA présente le Défenseur des droits. 

L’institution peut être saisie pour venir en aide aux personnes âgées victimes de dysfonctionnements des services publics ou de discriminations.

Mais le Défenseur des droits agit-il vraiment pour garantir les droits des personnes âgées ?  Tout ne dépend-il pas de leur position sociale ? 

Les personnes vulnérables, notamment les enfants et les personnes âgées sont en France trop souvent victimes de maltraitances institutionnelles parce que ces situations sont insuffisamment et même pas du tout sanctionnées par la Justice, quand bien même celle-ci en a connaissance par des preuves factuelles.

Ci-après exposé le cas du père du Dr.Cretien après qu'il est passé à 79 ans par les mains de la "fine équipe" des médecins de l'ex Clinique Léon Elmelik, une Clinique dans laquelle cette équipe pouvaient faire tout et n'importe quoi avec leurs patients, y compris violer les parturientes, parce que ses médecins propriétaires étaient "protégés en haut-s-lieu-x", c'est-à-dire par Michel Barrau, le procureur du TGI de Créteil,et par le Conseil de l'Ordre des médecins, si ce n'est par le gouvernement dit "socialiste" de François Mitterrand, qui n'a pas tenu la promesse qu'il avait fait avant d'être élu président de la République de le supprimer.

Allez savoir pourquoi ?

Est-ce parce que l'Ordre des médecins est une institution qui fonctionne sur un mode mafieux. Connaissant des secrets indicibles, l'Ordre le tenait-il par la barbichette ?

On doit au Dr. Pierre Cretien, la mise en évidence en France en 1990 du syndrome NDB12PP et l'efficacité de la cobalamine pour en prévenir l'apparition et en guérir alors que son existence avait été farouchement niée par les neurologues de l'hôpital Bicêtre, alors qu'un Service de neurologie se réclamant de la rechercher médicale au sein de l'INSERM aurait dû le savoir depuis longtemps.

- 1978 New Engl. J. Med. K olhouse & al,299, 15, 787 – 792. “Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin deficiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin”.

- 1991.Flammarion médecine-sciences "La maladie d'Alzheimer et autres démences"

3° 2003  L' Encéphale, décembre Vol 29 (6), p. 560 – 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". (S. Dollfus; C. Durand; S. Mary; P. Brazo).
4° 2012  N Engl J Med; July 26, 367:385-386 Ralph Carmel, M.D. Yash Pal Agrawal, M.B., B.S., Ph.D. "Failures of Cobalamin Assays in Pernicious Anemia The authors show that commercial tests for cobalamin levels provide false normal values in 22 to 35% of cases of pernicious anemia, the main disease they were designed to detect".

La guérison de la maladie de Biermer tout comme sa forme clinique le  syndrome NDB12PP avoisine 100 pour 100 à condition que le traitement soit administré sans attendre les destructions neurologiques irréversibles que provoquent les profondes avitaminoses B12,  quelque soit la cause, dont la maladie de Biermer.

 Cf. sur le Net:  blog de leon – des petits pots pour bébés pour sauver la vie des vieux 

Le Dr. Cretien a payé cher de s'être permis de démontrer l'exactitude de l'hypothèse qu'il avait avancé devant les neurologues de l'hôpital Bicêtre, alors qu'elle expliquait très bien les sévères troubles neurologiques et psychiatriques que son père avait de plus en plus manifestement développés en août 1990.

Lesdits neurologues avaient attribué ce qu'ils avaient de façon floue étiqueté "ATTEINTE DIFFUSE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" à la "maladie  d'Alzheimer", compliquant une "encéphalopathie vasculaire"  (au vu d'une leucoaraïose et une hypothétique "tumeur cérébro-spinale".

Ils avaient allégué la normalité du test de Schilling* et de la vitaminémie B12,  faisant ainsi semblant d'ignorer que ce n'étaient une raison suffisante pour éliminer le diagnostic de maladie de Biermer.

C'était du temps où Martine Aubry n'avait pas encore rendu célèbre l'aphorisme de sa grand-mère "Quand c'est flou c'est qu'il y a un loup". 

Le Dr. Cretien s'était permis de démontrer l'exactitude de l'hypothèse qu'il avait avancé devant les neurologues de l'hôpital Bicêtre pour expliquer les sévères troubles neurologiques et psychiatriques de son père en août 1990.

C'était sans grand mérite de sqa part puisqu'un diagnostic correct avait été posé dès l'admission du malade aux Lits Portes de l'hôpital Bicêtre par les Urgentistes. Mais c'était un diagnostic qui ne convenait pas à l'AP-HP parce que le malade avait été transfusé à l'hôpital Saint-Louis en avril 1984, donc du temps où quasiment toutes les transfusions faites par les hôpitaux de l'AP-HP étaient contaminées par le VIH.  

Mieux valait donc ne pas lui laisser le temps de développer un  SIDA maladie en ne lui administrant pas véritablement le traitement de la maladie de Biermer alors même que le test de  Schilling était à 5%, donc significatif de la maladie de Biermer  et non pas normal à 35 %, comme ils l'avaient prétendu. 

Le  diagnostic clinique de maladie de Biermer avait pourtant bien été judicieusement porté aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre devant le docteur Cretien devant un tableau clinique de SCM et à la lecture de l'hémogramme pratiqué en urgence. 

Le Chef de Clinique Pascal Masnou avait argué que le test de Schilling était à 35 %, alors qu'il était à 5% !

Le docteur Cretien avait eu beau lui rappeler qu'il fallait se conformer au principe médical fondamental que "la clinique prime le laboratoire".

Si par exemple les pneus de votre voiture sont visiblement à plat mais que le  garagiste vous affirme qu'ils sont normalement gonflés parce que son manomètre à mesuré leur pression à 2 kg, ferez-vous confiance à ce que vous font voir vos yeux ou aux affirmations du garagiste ? 

N'en tirerez-vous pas la conclusion que c'est surtout le garagiste qui est bien gonflé.

Non seulement les neurologues n'avaient pas voulu se rendre à l'évidence, mais ils firent semblant de s'y rendre en ordonnant de n'administrer qu'un simulacre du traitement qu'imposait très logiquement le diagnostic des Urgentistes  et la remarque du Dr. Cretien.

Le docteur Cretien s'étant permis de demander au professeur Saïd pourquoi une biopsie de la moelle osseuse et les examens électriques n'avaient pas été faits, qui sont des examens de indispensables en pareils cas, le professeur Gérard Saïd en guise de réponse vrilla son index sur sa tempe pour signifier au docteur Cretien qu'il était toqué, lui conseillant d'aller consulter un psychiatre.

Quelques années plus tard, en 2004, le professeur Saïd a refusé de répondre favorablement à la demande de la CADA de communiquer au docteur Cretien le dossier d'hospitalisation de son père dans son Service. L'hôpital prétexta que le dossier avait été perdu, alors qu'il ne l'avait jamais été.

Dans la foulée, l'hôpital Bicêtre et le professeur Gérard Saïd firent accuser par madame Isabelle Pilot le Dr. Cretien d'avoir "sciemment lui-même fabriqué la maladie de son père "par antisémitisme".

Bien avant cette ignominie, en novembre 1997, l'hôpital et le Pr. Saïd avaient fait disparaître les numéros de la Revue de référence qu'est "Archives of neurology" des rayonnages de la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre. Ils en firent aussi cesser l'abonnement, au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (sic, dixit le Pr. Saïd), en réalité parce que celui-ci s'était rendu-compte que le docteur Cretien la lisait et qu'il pouvait y lire des informations conformes à ses remarques.

"Archives of Neurology" est en effet une Revue tellement "mauvaise" qu'en 2003 le professeur Gaïd y consigna un article avec les professeures Jacques Zittoun et Hélène Ogier de Baulny

Par cette ignoble  accusation d'antisémitisme la direction de l'hôpital Bicêtre a cherché à faire taire le Dr. Cretien 

Le professeur Gérard Saïd était membre de l' IFREM, éditeur de Médica Judaïca.

En 1990, le professeur Saïd voulait imposer à madame Janine Yvart, alors médecin Cheffe du Laboratoire de médecine nucléaire de l'hôpital Bicêtre, le test Dicopac* en remplacement du test de Schilling.

Le Pr. Saïd le disait faire gagner 12 heures pour confirmer un diagnostic clinique de maladie de Biermer, une maladie qui de fait fait partie des urgences médicales.

Mais il y avait sans doute d'autres raisons, moins avouables, qui firent que les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient préféré laisser leur malade sans autre traitement que du Prozac*, jusqu'à faire semblant de faire administrer le traitement cobalaminique que nécessitait l'état de leur malade.

Il leur fallait protéger les activités de la Clinique Léon Elmelik, les médecins propriétaires cette Clinique rendant de "fiers" services aux hôpitaux de l'Assistance Publique en acceptant de les débarrasser des malades devenus embarrassants parce qu'ils avaient été transfusés à l'époque où les flacons de sang que fournissait le CNTS transfusions véhiculaient quasiment tous le VIH.

Autour de 25.000 patients avaient ainsi été contaminés en France lors ds tansfusions faites avec le sang que le CNTS fournissait aux hôpitaux. (35.000 selon Wikipédia)   

Le malade avait été tranfusé en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis lors de la mise en place d'une prothèse de hanche.

Après son changement de propriétaires en 1995, ce fut le Service de pneumoneurologie du CHU de Mantes la Jolie,  sous la direction du docteur Olivier Ille, qui s'est charger (ou a été chargé ? ) de résoudre le problème.

Sous ses ordres Christine Malèvre ignorait que seuls les malades transfusés dans la période à risque étaient à éliminer.

Désireuse de plaire à son cher patron, elle joua à l'excès le rôle qu'Olivier Ille avait réussi à faire jouer au docteur Jean-Yves Beinis en 1990 quand il avait transmis à celui-ci la consigne de ne faire que semblant d'administrer au malade que lui avait adressé le Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre le traitement de la maladie de Biermer parce qu'il valait mieux que le malade meurt apparement naturellement d'une démence de type Alzheimer greffée dur une "encéphalopathie vasculaire", 

Laissées sans leur traitement spécifiques, à savoir la vitamine B12 à doses drastiques, les carences vitaminiques B12 relatives à la maladie de Biermer comme au syndrome NDB12PP finissent effectivement par aboutir  à une inéluctable  "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" , ainsi qu'il est rapporté dans le compte-rendu d'hospitalisation qui m'a été remis à la place du dossier d'hospitalisation.

La consultation de celui-ci fut constamment refusé au docteur Cretien au prétexte qu'il avait été "perdu" alors qu'il ne l'avait jamais été, application médicale du concept de Gneva Da'ath, dont le professeur Charles Msika avait rappelé l'imporance de son observance dans le n° 21 de  Médica judaïca en mars 1991, un concept "halachique" qui fustige et interdit la tromperie, parce qu'elle est potentiellement létale pour qui en est la cible.

Halachique : "ce qui est relatif à la halacha, interprétation juridique de la Torah, qui fonde une règle de conduite pratique"  (selon Encyclopédia Universalis) 

 

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25 juin 2021 5 25 /06 /juin /2021 13:43

Selon La Fédération Internationale des Associations de Personnes Agées (FIAPA)   "Trop d’adultes vulnérables sont victimes de maltraitance et ces situations sont trop insuffisamment révélées pour y apporter un traitement adapté. Cette maltraitance est un phénomène complexe et renvoie à une diversité de situations. Elle correspond le plus souvent à une succession de « petits »  (? ndlr) actes qui, cumulés, créent les conditions de l’isolement et de la souffrance des personnes qui en sont victimes. Chacun peut y être confronté, dans son environnement familial, social ou professionnel, aussi la vigilance de tous est requise." /... / 

Les personnes vulnérables, notamment les enfants et les personnes âgées sont en France souvent victimes de maltraitances institutionnelles parce que ces situations sont insuffisamment sanctionnées par la Justice, même quand celle-ci en a connaissance et les preuves documentées. 

" Le vieillissement de la population française fait apparaître de nouveaux défis sociaux, économiques, matériels et juridiques qu’il faut anticiper.

Il est nécessaire de préserver aussi longtemps que possible, l’autonomie des personnes âgées.

L’émergence de difficultés dans la vie quotidienne, notamment en matière de services sanitaires et sociaux, expose parfois les “séniors” au risque de ne pouvoir bénéficier concrètement des droits qui leur sont ouverts.

Le défenseur des droits a rédigé une nouvelle fiche d’information concernant les “droits fondamentaux des personnes âgées“. 

Le Défenseur des droits peut être saisi "pour venir en aide aux personnes âgées victimes de dysfonctionnements des services publics ou de discriminations."

Ci après exposé le cas du père du Dr. Cretien après qu'il est passé par les mains de la "fine équipe" des médecins de l'ex Clinique Léon Elmelik, une Clinique dans laquelle cette équipe pouvaient faire tout et n'importe quoi avec leurs patients, y compris violer les parturientes parce qu'elle était "protégée en haut-s-lieu-x", c'est-à-dire par Michel Barrau, procureur au TGI de Créteil et par le Conseil de l'Ordre des médecins, voire par le gouvernement dit "socialiste" de François Mitterrand .  Cf. sur le Net: 

blog de leon – des petits pots pour bébés pour sauver la vie des vieux

On doit au Dr. Pierre Cretien, la mise en évidence en France en 1990 du syndrome NDB12PP et l'efficacité de la cobalamine pour en prévenir l'apparition et en guérir alors que la possibilité de son existence avait été farouchement niée par les neurologues de l'hôpital Bicêtre, alors que

1978 New Engl. J. Med. K olhouse & al,299, 15, 787 – 792. “Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin deficiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin”.
2°1991. Flammarion médecine-sciences "La maladie d'Alzheimer et autres démences"
 2003  L' Encéphale, décembre Vol 29 (6), p. 560 – 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". (S. Dollfus; C. Durand; S. Mary; P. Brazo).
4° 2012  N Engl J Med; July 26, 367:385-386 Ralph Carmel, M.D. Yash Pal Agrawal, M.B., B.S., Ph.D. "Failures of Cobalamin Assays in Pernicious Anemia The authors show that commercial tests for cobalamin levels provide false normal values in 22 to 35% of cases of pernicious anemia, the main disease they were designed to detect".

Sa guérison avoisine 100 pour 100 à condition que son traitement, qui est le même que celui de la maladie de Biermer soit administré sans attendre les destructions neurologiques irréversibles que provoquent les profondes avitaminoses B12. 

Le Défenseur des droits agit-il vraiment pour garantir les droits des personnes âgées ? Tout ne dépend-il pas de sa situation ? 
 

Le Dr. Cretien a payé cher de s'être permis de démontrer l'exactitude de l'hypothèse qu'il avait avancé devant les neurologues de l'hôpital Bicêtre pour rendre compte des sévères troubles neurologiques et psychiatriques de son père en août 1990.

Lesdits neurologues avaient attribué ce qu'ils avaient de façon floue étiqueté "ATTEINTE DIFFUSE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" à la "maladie  d'Alzheimer", compliquant une "encéphalopathie vasculaire" et une hypothétique "tumeur cérébro-spinale". Ils avaient allégué la normalité du test de Schilling* et de la vitaminémie B12 en faisant semblant d'ignorer que ce n'étaient une raison suffisante pour éliminer le diagnostic de maladie de Biermer.

C'était du temps où Martine Aubry n'avait pas encore rendu célèbre l'aphorisme "Quand c'est flou c'est qu'il y a un loup". 

Le Dr. Cretien a payé cher de s'être permis de démontrer l'exactitude de l'hypothèse qu'il avait avancé devant les neurologues de l'hôpital Bicêtre pour rendre compte des sévères troubles neurologiques et psychiatriques de son père en août 1990.

D'autant que le test de Schilling était à 5%, donc bien au dessous de la normale, et non pas normal à 35 %, comme ils l'avaient prétendu. 

Le diagnostic clinique de maladie de Biermer avait pourtant bien été porté aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre devant le docteur Cretien à la lecture de l'hémogramme pratiqué en urgence. 

Le Chef de Clinique Pascal Masnou avait argué que le test deSchiling était à 35 %.

Le docteur Cretien avait eu beau lui rappeler qu'il fallait se conformer au principe médical fondamental que "la clinique prime le laboratoire".

(Si par exemple les pneus de votre voiture sont visiblement à plat mais que le  garagiste vous affirme qu'ils sont normalement gonflés parce que son manomètre à mesuré leur pression à 2 kg, ferez-vous confiance à ce que vous font voir vos yeux ou aux affirmations du garagiste ? N'en tirerez-vous pas la conclusion que c'est surtout le garagiste qui est gonflé. L'existence d'un tel syndrome a été confirmée et prendra treize ans plus tard le nom de syndrome NDB12PP.)

Cf. http://34640255html

Non seulement les neurologues n'avaient pas voulu se rendre à l'évidence mais ils firent semblant de s'y rendre en ordonnant de n'administrer qu'un simulacre du traitement qu'imposait très logiquement la remarque du Dr. Cretien.

Contrariés d'avoir eu le tort de ne pas avoir voulu l'écouter, et de s'être en plus méchamment moqué de lui, le professeur Gérard Saïd a fait accuser le docteur Cretien par la direction de l'hôpital Bicêtre d'avoir sciemment lui-même fabriqué chez son père ledit syndrome "par antisémitisme" (sic).

Selon le pédopsychiatre et psychanalyste  Georges Gachnocci dans son discours d'introduction au colloque de l'AIU sur la "psychanalyse de l'antisémitisme", l'antisémitisme provient de "la haine de soi d'être juif"  

Aussi le Pr. Saïd avait-il fait disparaître en novembre 1997 les numéros de la Revue de référence qu'est "Archives of neurology" des rayonnages de la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre et cesser l'abonnement de cette Revue, au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue", mais en réalité parce qu'il s'était rendu-compte que c'était une Revue que lisait le docteur Cretien alors que l'on pouvait y trouver des informations conformes aux remarques du Dr. Cretien.

Par cette ignoble et stupide accusation d'antisémitisme la direction de l'hôpital Bicêtre a cherché à défendre ou à excuser ses neurologues, le professeur Gérard Saïd étant alors membre de l' IFREM  et un des rédacteurs de Médica Judaïca.

Était-ce parce que professeur Saïd voulait à toute force imposer à madame Janine Yvart, alors médecin Cheffe du Laboratoire de médecine nucléaire de l'hôpital Bicêtre, le test Dicopac* en remplacement du test de Schilling* ?

Le Pr. Saïd le disait faire gagner 12 heures pour confirmer un diagnostic clinique de maladie de Biermer, une maladie qui, à l'instar du syndrome NDB12PP, est une urgence médicale.

Mais il y avait sans doute d'autres raisons, moins avouables, qui firent que les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient préféré laisser leur malade sans autre traitement que du Prozac*, jusqu'à faire semblant de lui faire administrer le traitement cobalaminique que nécessitait l'état du malade, au prétexte qu'il ne fallait pas contrarier les fous.

Il leur fallait protéger les activités de la Clinique Léon Elmelik, les médecins propriétaires cette Clinique rendant de "fiers" services aux hôpitaux de l'Assistance Publique et au CNTS en acceptant de les débarrasser de malades devenus embarrassants après qu'ils ont été transfusés à l'époque où les transfusions étaient empoisonnées par le VIH.

Après son changement propriétaires en 1995, ce fut le Service de pneumoneurologie du CHU de Mantes la Jolie sous la direction du docteur Olivier Ille, qui dut alors s'en charger.

Il avait sous ses ordres Christine Malèvre, qui joua, pensant lui être agréable, jusqu'à l'excès le rôle qu'il avait réussi à faire jouer au docteur Jean-Yves Beinis en 1990.

Christine Malèvre ne savais pas que seule une catégorie de malade était à éliminer 

En tant qu'Interne du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, Olivier Ille avait transmis au docteur Beinis la consigne de ne faire que semblant d'administrer au malade qu'il lui adressait le traitement préconisé par le docteur Cretien.

Olivier Ille avait alors ait accompagner ses directives mortifères d'un compte-rendu clinique manuscrit subtilement rédigé pour le faire adhérer à ses fallacieuses consignes.

Contrairement aux dires des neurologues de l'hôpital Bicêtre le docteur Cretien n'était pourtant pas plus "déjanté" qu'affecté d'une prétendue "haine de soi d'être juif".

Il n'avait aucun lien financier ou autre avec les firmes pharmaceutiques qui fabriquaient la cobalamine injectable en 1990.

Le professeur Saïd eut finalement gain de cause: le Dicopac* remplaça l'année suivante le test de Schilling* à l'hôpital Bicêtre, et il se fit attribuer par l'INSERM une Unité de Recherche pour ses travaux sur l'intérêt des vitaminothérapies dans les affections neurologiques, et madame Frédérique Moatti remplaça la récalcitrante madame Yvart au Laboratoire de médecine nucléaire de l'hôpital Bicêtre.

Mais à propos liens économiques, les mœurs médicales étant ce qu'elles étaient ces années-là, la question ne se pose-t-elle pas de savoir quel était l'intérêt de chercher à imposer au docteure Yvart le test Dicopac* en remplacement du test de Schilling* au prétexte qu'il fait gagner 12 heures dans le diagnostic étiologique des avitaminoses B12 alors que le diagnostic clinique et le test de Schilling* (à 5%) étaient déjà probants dans le cas de ce malade, qui dut attendre près de six semaines que le traitement de son évidente avitaminose B12 soit in extremis effectivement entrepris par son fils, alors que son père était dans un état épouvantable, pour ne pas dire effrayant. Il ne pesait plus que 47 kg, était couvert de bleus de pieds à la tête, avait des côtes cassées. Il avait sombré dans un coma carus et était tout près de mourir !

Trop d’adultes vulnérables sont en France encore victimes de maltraitances institutionnelles parce que ces situations sont insuffisamment sanctionnées par la Justice, même quand elle en a connaissance, ainsi que le montre le cas de ce malade, pourtant très documenté quand la "Justice" préféra classer l'affaire, requérant un méprisant non-lieu malgré l'expertise accablante du docteur Yves Dano.

Les lecteurs pourront compléter ces information en poursuivant la lecture après les encarts publicitaires qui peuvent se glisser entre les articles, et/ou les autres articles factuels de ce blog, en commençant ou non par le premier, le plus long, mis en ligne le 6 août 2009, article référencé sur le Net sous le n°  34640255html

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Vitamin B12 deficiency with normal Schilling test or non-dissociation of vitamin B12 and its carrier proteins in elderly patients. A study of 60 patients]
May 2003 La Revue de Médecine Interne 24(4):218-23:
Emmanuel Andrès. Centre Hospitalier Universitaire de Strasbourg, France

Résumé 
Approximately 15% of people over 60 years old have a cobalamin (Cbl) deficiency in relation with a food-cobalamin malabsorption (FCM). But to date, only case reports or small series have been reported. The aim of this study was to describe the clinical characteristics of the FCM in old subjects. Sixty patients, at least 65 years old, presenting a Cbl deficiency related to FCM, were extracted from a cohort study of the Hôpitaux universitaires de Strasbourg, France (n = 169). All these patients had an established diagnosis of Cbl deficiency and met the Carmel's criteria of FCM. Their clinical data were retrospectively analysed. The median age of the 60 patients was 75 years and the female/male ratio was 2.3. The principal clinical symptoms were peripheral neuropathy (35%), confusion and dementia (30%) and anemia-related manifestations such as asthenia and edemas of the legs (20%). Average hemoglobin was 10.7 +/- 2.5 g/dl and average mean erythrocyte cell volume was 95.5 +/- 13.8 fl. There was an anemia, a leucopenia, a thrombocytopenia and a pancytopenia in respectively 27%, 18%, 15% and 8% of the cases. Average serum vitamin B(12) and homocystein levels were with 138 +/- 42 pg/ml and 22.5 +/- 15.2 micro mol/l. No patient had anti-intrinsic factor antibody and the Schilling's test was normal in all patients. Main disorders associated with FCM were atrophic gastritis (59%), long-term metformin or antiacid intake (17%), chronic alcohol intake (8%) and idiopathic FCM (n = 10). Sixteen patients have been successfully treated with oral crystalline cyanocobalamin (500 +/- 280 micro g/d). This study shows that: firstly, the Cbl deficiency related to FCM may be responsible of severe neurological and hematologic manifestations in approximately 20% of the elderly patients; secondly, the disorders associated with the FCM are multiple in old age, with mainly atrophic gastritis; and thirdly, in clinical practice, oral cyanoCbl treatment may be successful.
 
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18 juin 2021 5 18 /06 /juin /2021 14:10

Être en mesure de proposer à la France, sans avoir les moyens d'asseoir ce que l'on propose autrement que sur expérimentation faite en bassin, est frustrant.

Il faudrait que ce soit sur une réalisation in situ faite en vraie grandeur, afin de tester sa résistance aux tempêtes extrêmes, qui si souvent mettent à mal bien des solutions techniques pourtant ingénieuses, mais une telle réalisation dépasse mes capacités financières, et cela bien que faite sur une petite unité, une telle réalisation ne devrait pas dépasser le 1/10 e de ce que coûte la mise en place d'une seule éolienne terrestre, alors que je suis absolument sûr - à 99% - qu'elle serait positivement concluante.

Lors la mise en service de l'usine marémotrice de la Rance en 1967, j'avais 28 ans et passais mes vacances à Dinard.

L’idée m’était alors intuitivement venue qu'il devait exister une solution beaucoup moins coûteuse tout en étant plus efficace que la construction de barrages pour récupérer l'énergie des marées.

Cette énergie provient en réalité principalement de l'énergie cinétique de la lune dans sa course autour de la terre, et puisque selon Antoine Lavoisier "rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme", la captation de ce colossal gisement d'énergie se fait au prix d'un très léger éloignement de l'orbite lunaire à chaque révolution.

Après de vaines recherches, j'ai récemment fini par trouver une autre solution que la construction de barrages pour capter cette énergie, une solution qui ne passe pas non plus par la construction de fragiles systèmes flottants, qui ne tiendraient pas longtemps face aux tempêtes et à la corrosion marine, et qui seraient en outre gênants pour la navigation, mais une solution “les pieds sur terre”, fonctionnelle non seulement par tous les temps et seulement pour quelques sites privilégiés, mais partout le long des côtes maritimes où les marnages sont suffisants, c'est-à-dire de l'ordre de quatre ou cinq mètres, conditions qui sont réalisées tout le long des côtes océaniques françaises.

On objectera sans doute que c'est trop beau pour être vrai, parce que si c'était possible, il y a longtemps que les ingénieurs qui ont conçu l'usine marémotrice de la Rance, qui sont beaucoup plus qualifiés que moi en la matière, y auraient pensé.

Il est effectivement étonnant que les ingénieurs, qui trouvent souvent des solutions techniques très ingénieuses à des problèmes a priori impossibles, comme p. ex. la construction de très grands ponts en zone sismique, tel le pont Rion-Antirion, n'aient pas pensé à une solution qui non seulement relève d'un principe de physique bien connu, mais aussi du bon sens, cependant que le bon sens serait, selon René Descartes, la chose du monde la mieux partagée.

/ ... / Une idée que je ne suis loin de partager, d'autant qu'en certains domaines, le bon sens faisait à Descartes beaucoup défaut. 

Il faut avoir à l'esprit que c'est à une petite astuce dont on a mis longtemps à percevoir le grand l'intérêt, à savoir l'utilisation du zéro positionnel, que l'on doit la formidable accélération du développement technique et scientifique, qui s'est faite à partir du XIII e siècle, après une gestation de trois millénaires qui est passée par la Mésopotamie, l'Inde,et l'Egypte, donc à partir du moment où cette utilisation a été adoptée par les scientifiques, leur permettant d'asseoir leurs expériences sur des mesures quantitatives. 

Dire qu'il n'y a de science que s'il y a mesure est certes trop restrictif, mais Lavoisier aurait-il pu fonder la chimie moderne sans faire des mesures très précises, donc aussi grâce à Léonardo Fibonacci, qui a introduite le zéro positionnel en Europe .

Le procédé que je préconise est tellement performant qu'il pose la question de savoir si la captation à grande échelle de l'énergie cinétique de la lune serait sans conséquences sur la circulation des courants marins, en particulier sur le Gulf Stream, et donc inacceptables pour l'équilibre climatique de l'Europe ?

Or je ne suis pas ingénieur mais médecin.

J’aurais besoin de l'avis d’un expert à ce sujet, ainsi que de l'avis d'un ingénieur sur la validité du procédé que j'avance, ce qui devrait ne lui coûter que quelques minutes, de façon à le rendre plus crédible aux yeux des décideurs.

Pierre Cretien  07 86 92 02 05

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8 juin 2021 2 08 /06 /juin /2021 16:36

Les psychanalystes,  qu' Ingmar Bergman appelait " les analphabètes de l'âme", se sont-ils demandés comment j'aurais par la suite pu vivre psychologiquement le fait de ne pas être intervenu en 1990 pour sauver la vie de mon père en intervenant pour lui administrer moi-même le traitement qu'il fallait, celui de la maladie de Biermer, alors que j'étais convaincu que c'était celui qu'il lui fallait cependant que ses médecins avaient, six semaines durant, obstinément refusé de le lui administrer, au prétexte fallacieux qu'il était "de toute façon voué à un inéluctable plus grande aggravation" (sic) cependant que la Surveillante du Service où il était hospitalisé, madame Pondu, qui s'était aperçue que c'était criminel de ne pas l'en faire bénéficier, m'avait fait savoir qu'elle avait reçu l'ordre infernal de ne faire que semblant devant moi de le lui administrer ? 

Avec le traitement, Non seulement son état n'avait pas "inéluctablement évolué vers une plus grande aggravation", mais mon père s'était , "à la surprise générale" et contre toute attente, mais s'était rétabli en récupérant  en quelques semaines 30/30 au MMSE, contre précédemment 22/30, une donnée qui avait leur fait dire qu'il était atteint de la maladie d'Alzheimer  

Pour avoir osé ne pas penser comme eux, ses médecins me l'ont fait payé cher.  

Danieol Mermer  a-t'il contribuer à faire changer les choses en France sur la maltraitance et l'assassinat des personnes âgées dans les hôpitaux du fait qu'il avait consacré quelques émissions à ce problème dans "Là-bas si j'y suis" , plus précisément au problème de savoir que ces dernières années, on avait été jusqu'à les tuer.  

 "Un sinistre secret  recouvre ces réalités. Une telle occultation implique en effet tous les niveaux de la société, médecins et médias compris, qui'inhérent aux impératifs de l'économie dite libérale, ce silence était  devenu génocidaire." 

Il semble que oui.

La politique de vaccination s'est actuellement préoccupée de protéger d'abord les personnes âgées. 

En août 2009, dans mon blog sur les "maltraitances faites aux personnes âgées"  je faisais savoir comment et surtout pourquoi l'infirmière Christine Malèvre,  par maladresses,  avait fait que les nombreux assassinats de malades sciemment commis au C.H.U. de Mantes-la-Jolie sous couvert d'euthanasies avaient pu être dévoilés grâce au docteur Laurence Kouyoumdjian,, qui les avaient signalés, manifestement à la grande colère de la direction de l'hôpital, qui a conservé à son poste le docteur Olivier Ille, qui n'avait rien voulu voir, alors que sa collègue Laurence Kouyoumdjian a été priée d'exercer ses talents ailleurs après qu'elle a mis fin aux assassinats.

Mon article avait été pour Daniel Mermet l'occasion de parler de cet inconcevable phénomène sociétal dans son émission "Là-bas bas si j'y suis" dans les jours qui suivirent la communication de mon susdit article à l'émission de France-Inter.

Dans sa définition de la maltraitance Wikipédia écrit, ainsi qu'il apparait en marge de mon article de 2009  "La maltraitance des personnes âgées est un ensemble de comportements ou d'attitudes, uniques ou répétées, concernant les personnes âgées dans le cadre d'une relation de confiance ou de dépendance et qui peut causer la détresse ou des blessures à ces personnes. La maltraitance peut être de type physique, moral, financier, sexuel ou plus simplement de la négligence …"

Lors de l'épisode caniculaire de 2003  la politique hospitalière n'avait pas du tout été la sauvegarde de la vie des personnes âgées 

A l'appui de mes dires je précisais en 2009 que selon le Professeur Jacques Soubeyrand, gériatre à l'hôpital Sainte Marguerite (13 274 Marseille), la maltraitance des personnes âgées avait pris des proportions épidémiques (Cf. "On tue les vieux" et "Douze gériatres en colère", publiés e 2006 aux éditions Fayard).

 S'inscrivant  dans occultation des exactions criminelles, des escroqueries financières et des viols commis aux dépens des patients de la Clinique Elmelik, celles relatées ci-après  corroborent pleinement  les déclarations du Pr. Soubeyrand. Elle a été rendu possible par le silence que  l'Ordre des médecins  et la justice faisaient régner sur  ses exactions. A ce silence étaient  intéressés l'ancien maire de La-Haÿ-les-Roses Marc Méchain,  la D.R.P.S. du Val-de-Marne, les neurologues du C.H.U. de Bicêtre et de hauts responsables de l'institution judiciaire. Même s'ils étaient  moins conscients de participer à un meurtre,  sa réalisation a été jusqu'à impliquer des médecins de l'Unité de Soins dits Normalisés  de l'Hôpital Charles-Foix.  

L'institution judiciaire faisant l'objet de vives critiques, le président Emmanuel Macron a lancé "les Etats généraux de la justice", a annoncé samedi dernier l'Elysée, pour souligner  le profond attachement du chef de l'Etat à la séparation des pouvoirs.  

De son côté, la conférencière Isabelle Lévy a axé son discours sur la dangereuse intrusion du religieux au sein des hôpitaux.  

L'intrusion de religieux dans certains Services hospitaliers de l'Assistance Publique est-elle une menace pour la vie des malades quand ceux-ci ne sont pas, ou sont suspectés ne pas être de la même confession que celle des soignants ou celle de la direction de l'hôpital où ils ont été admis ? 

C'est ce que suggère aussi les précédents articles de ce blog, qui relatent ce qui est arrivé à mon père après qu'il a été hospitalisé en neurologie à l'hôpital Bicêtre en août 1990 dans un Service dont le patron se réclame du judaïsme

Mais avant d'en venir à ce problème, voici la drôle l'histoire dont  mon père fut le héraut, que ma mère m'a raconté lorsque j'étais étudiant en médecine, quelques années après ce qui s'était, une histoire la faisait beaucoup rire.

En 1954, un aumônier était venu visiter mon père dans la chambre qu'il occupait à l'hôpital Bicêtre. Ma mère était là, venue lui rendre visite. L'opération était prévue pour le lendemain.

Furieux, mon père l'accueilli en lui montrant tout de suite la porte en lui lançant à la figure un retentissant "Vade retro satanas !

On a compris bien plus tard pourquoi, parce qu'il n'en avait jamais parlé auparavant: dans son enfance, il avait été "enfant de Chœur", et en tant que tel le curé de sa paroisse lui avait demandé de lui faire des choses que la morale réprouve, ainsi qu'il me l'a raconté bien plus tard, en décembre 1993, quand je suis venu le chercher à l'Ehpad où il avait passé trois mois sur l'ordre de la Justice.

Mon père avait réussi à se rétablir malgré ce qui lui était arrivé de pendable à l'hôpital Bicêtre en 1990, où les médecins avaient fait semblant de lui administrer le traitement de la maladie, inéluctablement mortelle (un syndrome neuro-anémique dû à un profonde carence en vitamine B12) pour laquelle il avait été hospitalisé en neurologie, au fallacieux prétexte qu'il était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" (sic)  atteint d'une démence de type Alzheimer  (à l'époque on on disait une "DTA") greffée sur une "encéphalopathie vasculaire", le tout baptisé "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" pour laquelle ils n'avaient pas trouver mieux que du Prozac*, au lieu de lui administrer le traitement de la maladie de Biermer

 Ma sœur a fait renvoyer les gardes-malades que j'avais engagé au service de mes parents vieillissants parce qu'il fallait les payer, que c'était par conséquent au dépens de ce qu'elle a alors appelé "son héritage". "Tu n'as qu'à t'en occuper toi, puisque tu es médecin, m'avait-elle dit.

Le Tribunal de Vuillejuif avait tranché en commandant le placement de mon père en ehpad, sans se préoccuper de ce que mon père, redevenu plus valide qu'il ne l'avait été trois auparavant, s'occupait d'assister ma mère, qui avait entre-temps véritablement développé la maladie d'Alzheimer.

- / -

Bien après 1954, en 1990, mon père a été admis dans la soirée du 31 juillet à l'âge de 79 ans dans le Service de neurologie du CHU de Bicêtre au début du mois d'août 1990 après être passé par les Lits-Portes, alors dirigé par le professeur Jean-Paul Passeron, dans lequel l'origine de ses sévères troubles neurologiques avait été correctement rapportée à leur cause, à savoir un profond déficit en vitamine B12.

Il fut ainsi logiquement transféré en neurologie dans le Service du professeur Gérard Saïd.

Le professeur Saïd était un des membres de l'IFREM, l'Institut de Formation et de Recherche en Éthique Médicale juive

(l'Institut, aujourd'hui disparu - il est devenu introuvable sur le Net - était dirigé par Emmanuel Hirsch, le frère de Martin Hirsch, l'actuel directeur de l'APHP, éditait Médica Judaïca).

Le professeur Saïd était alors en vacances, parti aux Etats-Unis, aux dires de sa Secrétaire.

En son absence, les médecins de son Service non seulement donné l'ordre de ne pas traiter la maladie de mon père,  mais de faire semblant, devant moi, qui suis médecin. 

J’avais pourtant assisté à l'examen de mon père quand le diagnostic de son affection a été correctement porté aux Lits-Portes.

Ainsi le traitement de la maladie de Biermer ne fut pas réellement administré, alors que cette maladie est, avec le syndrome NDB12PP, la cause principale des profondes carences en vitamine B12, une vitamine essentielle au fonctionnement du système nerveux. Au prétexte qu'il était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" (dixit le Dr. Pascal Masnou et ensuite le Dr. François Chedru dans son expertise).

C'est ainsi que mon père, après qu’il a passé trois semaines dans le Service du Pr. Saïd sans recevoir réellement son traitement salvateur, fut transféré en gériatrie à l'hôpital Charles-Foix dans le Service du docteur Jean-Yves Beinis au prétexte qu'il ne guérissait pas et qu'il occupait par conséquent à Bicêtre inutilement un coûteux lit de spécialité.

Mais à Charles-Foix la Surveillante, qui avait su reconnaître l'origine de ses troubles parce que la maladie de Biermer est fréquente chez les personnes âgées, ne voulant pas s'associer à un ordre infailliblement mortel, pour ne pas dire criminel, me fit savoir ce qu'il en était réellement de son traitement. Ce qui me permit de mettre à temps fin à la supercherie et faire ainsi regagner à mon père, en quelques semaines, un MMSE à 30/30 alors qu'il avait fini par sombrer dans un coma carus et semblait perdu. Il avait six semaines durant été laissé sans autre traitement que du Prozac* et des doses homéopathiques de vitamine B12.

Quand je me suis adressé à la CADA pour avoir Communication du dossier d’hospitalisation de mon père à Bicêtre, la direction de l'hôpital prétexta, pour me le refuser, qu’il avait été perdu et que j'avais "moi-même sciemment fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme" (dixit madame Isabelle Pilot). De son côté, le parquet de Créteil, sous la houlette du procureur Michel Barrau, n'avait accepté d'ouvrir une instruction qu'à la condition que "l'affaire ne soit pas ébruitée" (Cf. sous ce tritre un des articles du blog de leon consacré à cette affaire « à ne pas ébruiter », et requit un « non-lieu » au prétexte que « aucune faute n’avait été commise par quiconque »

"Une affaire à ne pas ébruiter" est le titre d'u article de ce blog ,

Ceci montre combien l’introduction de considérations religieuses dans les hôpitaux est dangereuse pour les malades.

Remerciant  les lecteurs de leur attention, je les prie d'agréer l’expression de ma Profonde Sidération.

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