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16 février 2021 2 16 /02 /février /2021 20:44

Le psychanalyste Roger Perron n'a manifestement pas compris à quoi correspond le concept de "complexe d’œdipe".

Ce concept est non pas une réalité, mais un fantasme.

Il a en réalité été non pas découvert, mais inventé, vers  1908, et pas tellement par Freud, mais par un médecin anglais venu le rejoindre à Vienne pour devenir son acolyte et son conseiller.

Le docteur Ernest Jones était venu le rejoindre depuis le Canada où il 'était réfugié pour fuir la justice de son pays, l'Angleterre, où il était accusé de détournement de mineures.

Lors de son  son exile, Jones eut l'occasion de lire les "Cinq psychanalyses" qui avait été publiés en 1906, où le cas de "Dora" était relaté. Il fut séduit par la réflexion de Freud au sujet de cette jeune fille, qui avait développé des troubles après qu'un ami de son père s'était arrangé pour se trouver seul avec elle pour l'embrasser de force sur la bouche

Freud avait écrit à son sujet : « Le comportement de cet enfant est déjà complètement et totalement hystérique. Je tiendrais sans hésiter pour une hystérique toute personne chez qui une occasion d’excitation sexuelle provoque principalement ou exclusivement des sentiments de déplaisir ».

Jones avait trouvé ces propos tellement pertinents qu'il était venu le rejoindre pour creuser la question.

De son esprit fécond il aida Freud à accoucher du complexe d’œdipe, qui deviendra en grandissant très utile aux dérapeutes   

Les dérapeutes sont les psychiatres, les psychanalystes et les psychothérapeutes qui passent à l'acte avec leurs patient-e-s, tel p. ex. le psychiatre et psychanalyste Charles Caille, avec la pratique  de "la méditation de l'étreinte, une variante du chimney sweeping (le ramonage de cheminée) découvert du temps de Freud par le docteur Josef Breuer.

https://artherapievirtus.org/VPI/les-dires-du-psychiatre-charles-caille-juge-a-nantes...

C'est ce genre de "dérapage" qui apparemment a nourri la réflexion  Sonia Kronlund.

Selon Louise de Urtubay, psychanalyste, dans un livre paru en 1983, aux PUF ( Presses Universitaires de France), autour de 20% des psychothérapeutes seraient des dérapeutes. 

https://www.cairn.info/freud-et-le-diable--9782130378556.htm

Jacques Lacan, qui savait père-tinemment (c'est du lacanien) de quoi il retournait (au sens strict), fuyant le "disque ourcourant", l'appelait à raison le complexe des dupes.    

Biberonné aux sciences frœudipiennes, Roger Perron n'a probablement jamais été dans son enfance un enfant de Chœur sodomisé par le curé de sa paroisse (Voltaire le fut à l'âge de 11 ans par les jésuites, Cf. le magazine "Lire" dans son numéro n° 435 de mai 2015 consacré à Voltaire) ou, s'il est juif pratiquant, par un rabbin, ni été un petit malade violé par le médecin qui s'occupait de lui.

Aussi s'est-il permis de publier sans état d'âme un “Que sais-je” sur le "complexe d’œdipe" (titre de son savant travail) et un article sur l'inceste dans le "Dictionnaire international de psychanalyse"publié en 2002 chez Calman-Lévy

<< il ne faut évidemment pas confondre les fantasmes incestueux, présents chez tout être humain, et les comportements réels, de type incestueux, infiniment plus rares; il reste que leur abord psychanalytique a permis d’en comprendre beaucoup mieux la genèse et la signification >>

en conclusion de l’article où il traite de l’inceste, page 801 du premier tome de ce méga dictionnaire.

Plusieurs centaines de psychanalystes ont été sollicités pour l’écrire.

Peut-être parce que l'éditeur s'est rendu compte de  ineptie, Calmann-Lévy ne l’a pas réédité. C’est Hachette-littérature qui s’en est chargé en 2005, et il m'a été impossible de me le procurer à la librairie "Le Divan", qui a Paris se consacre à la littérature pschanalytique. Même sur commande !

Le “Que sais-je” de Roger Perron qui traite de cette question a été maintes fois réédité, depuis la première édition, qui date de 1994. La dernière édition est de 2016. Celui que j'ai en main, la quatrième édition, est datée de 2005.

Le dernier chapitre, le chapitre VII, vient finalement contredire ses précédentes savantes sonneries.

Le directeur de cette collection a en l'occurrence été mal inspiré d'avoir confié à un aveugle la tâche de guider ses lecteurs. Les P.U.F. avaient pourtant bien publié Janet Malcolm "Tempêtes aux Archives Freud", en 1986 !

Dans la présentation on peut lire << il est devenu difficile de percevoir le scandale que suscita la découverte par Freud, en 1897, de ce qu'il appellera plus tard le "complexe d'Œdipe". Il a mis en évidence l'un des ressorts essentiels du fonctionnement psychique humain. Banalisée aujourd'hui, cette notion demeure pourtant d'une grande difficulté et souvent mal comprise, elle suscite toujours de nombreuses questions >>

Il y a six ans "Libération“ rapportait le hashtag ”#Tala om det" (parlez-en), un mouvement déclenché en Suède par la victime d'un violeur. Ce mouvement a été suivi quelques années plus tard en France  avec # “Balance ton porc”.

Nombreux sont en France les psychiatres, tels les docteurs Samuel Lepastier et Alain de Mijolla, pour ne citer que ces deux têtes-de-pont médiatiques, qui ont emboîté les pas fourchus du docteur Sigmund Freud.* Ils prennent pour du bon pain ses élucubrations sans chercher à comprendre ce qu'occultait l'invention du "complexe d'Œdipe", inventé en 1908 par le docteur Ernest Jones (et non pas, comme on le crois généralement, par Sigmund Freud.   C'était Jones grand amateur de tendrons qui en avait suggéré l'idée à Freud quand celui-ci lui a raconté sa vie.

* Freud savait très bien de quoi les riches et puissants por-nocrates étaient capables.

Freud aspirait avant tout à la célébrité et à la richesse – il enviait l'inventivité lucrative de son ami Auer.

Il s'était assez rapidement rendu compte que se mettre les puissants à dos risquait de l'empêcher de faire fortune. Aussi abandonna-t-il sa théorie explicative de l'hystérie, qui était en fait judicieuse en tant qu'elle était une première mouture du concept de syndrome post-traumatique. (Cf. "L'homme aux statues", de Marie Balmary, Grasset 1979, réédité en 1997)

https://www.nouvelobs.com/idees/20210125.OBS39350/freud-et-l-inceste-l-abandon-d-une-decouverte-par-marie-balmary.html

Freud avait dans un premier temps pensé pouvoir se procurer les mêmes avantages qu'Auer avec sa propre  « découverte ». Il avait fini par comprendre  que c'était au contraire en fournissant  aux puissants "pédopornocrates" un bouclier leur assurant l'immunité judiciaire qui les lui apporterait. D'où l'utilité du concept de "complexe d'Œdipe",  'perlaboré ' (cogité) conjointement par les Drs.Freud et Jones.

Sans faire référence à cet aspect occulté de la réalité, Karl Jaspers, dans son livre “Allgemeine Psychopathologie”, professait que "les psychiatres devraient apprendre à penser" .

Le concept de Complexe d’œdipe est un concept psychiatrique, puisque son véritable inventeur était Ernest Jones, un psychiatre doué pour la  C.O.M..

Sachant bien de quoi il retournait (au sens strict du mot, illustré par la bande de Mœbius), le docteur Jacques Lacan, lui aussi psychiatre, l'appelait cyniquement le “Complexe des dupes”.

Ledit concept jeta  comme ses concepteurs l'avaient voulu une lumière assourdissante et un bruit aveuglant: non seulement il permit (et permet encore) de faire taire les enfants victimes d'incestes et d'agressions X (de les museler, selon l'heureuse expression de la pédopsychiatre Catherine Bonnet dans un livre qu'elle a réussi à faire paraître en 2007 aux éditions Thomas Mols) mais empêche les femmes victimes de ce qu'on appelle maintenant les "porcs", de les balancer, et aux petits malins qui utilisent ce concept de se proclamer “psychanalystes”, et d'en vivre confortablement, aux dépens des névrosés assez friqués qu'ils réussissent à capter dans leurs filets.

Il leur permet en outre d'assouvir plus tranquillement leurs penchants "pédophiles" sans risquer de subir les foudres de la justice, voire à n'importe quel prédateur sexuel de bluffer les autorités judiciaires en accusant les victimes qu'ils ont agressées d'être "en réalité victimes de leurs fantasmes œdipiens inconscients", ce avec l'aval de psychiatres experts, comme cela s'est vu par exemple au sujet des enfants d'Outreau, après que la défense (Eric Dupont-Moretti) a appelé le psychiatre Paul Bensoussan venir à la barre éclairer la justice.

A son propos madame M-C Gryson écrit << La référence “Outreau” a ouvert un boulevard aux pédophiles car la panique qu'elle provoque ne permet plus la prise en compte de parole de l'enfant victime de leurs sévices. Comme la vérité judiciaire des enfants d'Outreau est forcément peu connue du grand public, EDM utilise son postulat de leur prétendu mensonge ... pour s'autoriser à dire tout et n'importe quoi >>.

Les pédophiles, qui deviennent des pédocriminels dès lors qu'ils mettent leurs “pulsions” en actes, sont grâce à ce pseudo concept immunisés contre l'action judiciaire, surtout en France où, le concept a encore pignon sur rue.

Ernest Jones avait bien compris l'intérêt qui il avait pour lui-même de développer un tel concept parce qu'il avait dû fuir l'Angleterre pour avoir acté son attirance pour les tendrons

La journaliste Sonia Kronlund a consacré l'émission “Les pieds sur terre”, qu'elle anime depuis de 13 h 30 à 14 h sur “France-Culture”, aux “psys” qui "dérapent", qu'elle appelle les "Les dérapeutes".

Une psychanalyste chevronnée, Louisa de Urtubay, a attendu d'être à la fin de sa vie, de peur d'être frappée de mise à l'index comme l'avait été Marie Balmary, pour se permettre de transgresser l'omerta psychanalytique en publiant aux P.U.F. un livre sur les psychanalystes qui passent à l'acte. https://www. psyvig "Les rapports sexuels entre psys et patient(e)s, une histoire d'omerta".

A propos de dérapages, c'est aussi l'expression que le psychiatre, expert auprès des tribunaux, Rolland Coutanceau, trouve appropriée pour l'appliquer aux pères qui se livrent à l'inceste.

En tant que psychiatre, Rolland Coutanceau se garde de dire à quel point Sigmund Freud a favorisé lesdits dérapages avec ses concepts centraux, aussi pervers que fallacieux : le docteur Bernard Defer, psychiatre chargé d'expertises et Chef de Service à l'HP Paul Guiraud (94800), nous avait fait part en 1974, dans son enseignement, d'un cas qu'il avait eu à expertiser : un enfant de quatre ans avait été sodomisé par son jeune père (un trentenaire), qui prétendait ainsi, au nom de la psychanalyse, dégoûter à jamais son fils de l'homosexualité.

Les sept étudiantes qui avaient avec moi assisté à la présentation du cas présenté par le docteur Defer s'étaient montrées offusquées. Elles en avaient déduit que, dans l'affaire, ce qui était pervers, c'était le docteur Defer, (parce qu'il avait trouvé utile et nécessaire de nous exposer ce cas), et non le "dérapage" dudit papa !

Marcel Rufo, un pédopsychiatre qui bénéficie d'une grande publicité médiatique sévit (ou sévissait) tous les matins sur la télévision aux “Maternelles”, a osé prétendre contre toute réalité lors de l'émission diffusée le 3 décembre 1912 que : << La majorité des enfants abusés vont bien >>.

Apparemment prisonnier d'une "compulsion de répétition" Freud avait lui-même, en tant que papa, lui-même dérapé avec sa fille Anna, en l'allongeant sur son divan pour qu'elle lui raconte sa vie sexuelle.

PS. On se demande aussi pourquoi comme certaines de ses patientes, Sibylle Lacan, fille de Jacques Lacan,  s'est suicidée. Elle n'aurait pas osé tout 'balancer' dans “Impair” ?

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8 février 2021 1 08 /02 /février /2021 17:13

Nej då, men Frankrike skulle kunna bidraga spara klimaten

Inte bara påstår jag det, men jag kan visa på en modell att det är möjligt - enkelt, klar  och nytt - att producera mycket snabbt och mycket massivt energi till mycket låg kostnad och på ett sätt som släpper ut nästan ingen carbon.

Men hur ?

Genom att omvandla den enorma och nästan outtömliga kinetiska energin från månen till elektrisk energi.

Lika enkelt och nytt är det jämför med tidvattenfabriker liksom kopernikanska systemet jämför med Ptolemaios-systemet.

Återvinna denna energi är naturligtvis vad tidvattenfabriker som den som byggdes vid mynningen av Rance på 1960-talet redan gör.

Men den lösning jag föreslår är, hur otrolig den än kan tyckas, tusentals gånger effektivare, ekologiska och ekonomiska än dammtekniken. 

Och ändå, den lösning jag föreslår idag, var på den tiden redan möjligt !

Bättre sent än aldrig

Det är frågan om ett lastminnessystem som inte har nackdelar med system som utnyttjar vågenergi, inte heller är det en typ av hydroline (vatten turbin).

Om inte omöjliga de är svåra att förankra hållbart.

Kort sagt kallas de tekniska systemet  "STSMi" som kan göra det möjligt för Frankrike - och många andra havfartsländer - att uppnå koldioxidneutralitet på mycket kort tid. Innom två år, om inte mindre.

Det kunde innebära att Frankrike inte kommer att dömas för sin passivitet för klimatet

Säkert inte, för att så är det att bruden är så vacker att Frankrike hasar fötterna.

Men om inte Frankrike, varför inte Sverige ?

Själv stårjag inte emot. Tyvär saknar Sverige tidvatten, om inte viljan !

Pierre Cretien        

cretien.pierre@orange.fr

Den hela artikel kan läsas på engelska på "blog de leon" vid föregående artikel, eller på franska innan den. Läs bara vidare efter reklam skär

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7 février 2021 7 07 /02 /février /2021 17:53

France could avoid the climate change because

France is able to avoid climate change !

Not only I assert, but I am able to demonstrate on a model that there is a way - simple and new - to produce very quickly and very massively energy at very low cost and in an almost totally decarbonized way by converting the enormous and almost inexhaustible kinetic energy of the moon into electrical energy.

As simple and new compared to tidal factories as the copernican system compared to the Ptolemy system.

Recovering this energy is obviously what tidal factories like the one built at the mouth of the Rance in the 1960s are already doing.

But the solution I propose is, as incredible as it may seem, thousands of times more efficient, ecological and economical than the dam technique.

And yet, the solution I propose now  was at that time already possible ! But "Better late than never". 

It is a load memory system that does not have the disadvantages of systems that harness wave energy, nor is it a type of hydroline. Those are difficult if not impossible to anchor sustainably.

In short I called it the STSMi.

Its technique is able to enable France - and many other maritime countries - to achieve carbon neutrality in a very short period of time, in two years or less.

It may mean that France will not be condemned for its inaction for the climate

The use of technical materials developed by Dupont de Nemours thanks to Nathalie Kwolek is  - since 50 years - able to make feasible the recovery of this energy by the STSMi, which by its operating principle no longer raises the objection that this energy is already exploited by tidal factories.

But these have a prohibitive cost of production and very few sites are suitable for the installation of such factories

It is a technique that I have come to discover more than forty years after having the premonition that there must be another way than the construction of heavy and expensive dams to capture the energy of the tides.

I had come up with many solutions, but all of them would have been swept away by storms. It was only in the first week of June 2012 that a valid solution came to my mind, while I finally abandoned the idea that there is one.  

It was during a high tide time near Dinard 

So it was 45 years after the Rance tidal plant was built that I found the solution.

That is to experience it, not as I had done in a basin on a model, but in situ, on a unit made in real size; that is to say subject to strong winds as well as storms. Unlike the technical system operated by tidal plants, it is a system that takes up almost no space, no more on land than at sea, which will not hinder navigation any more than it will unsettle the landscape, and which, if necessary, can be modulated into units of small or very large dimensions.
It is also and above all in its principle of operation and by the materials useful for its realization, protected from marine corrosion, sips, and the most violent storms, if not tsunamis, thus simple and reduced maintenance.

What's more, a prototype is achievable in two or three weeks to be tested at sea on a small experimental production unit.

With the STSMi we can no longer say that "France is not doing enough to tackle climate change"

It is within the financial reach of any coastal town of small or medium importance, all along the Atlantic coast, in France from Dunkirk to Biarritz, and in all the countries of the world that have a maritime façade with sufficient marnages. Even low tides will be enough !

But then what are the flaws of the STSMi?

It is not only due to the profession of its designer (I am a doctor and a priori "not credible", since if it were possible, "it would have been a long time since the technique would have been discovered".

It is forgotten that it took centuries to discover that the Copernicus system was simpler and more logical than the Ptolemy system even before the law of universal gravitation was discovered, a discovery to which the Copernican system contributed greatly.

The STSMi has the main failure to upset the proponents of the nuclear industry, the oil industry, and the manufacturers of wind turbines. The two previous lobbies know full well that wind turbines will not be able to compete for long or even long.

This will not be the case with STSMi, if it is allowed to be developed.

With the STSMi, the production of decarbonized energy will amount not to hundreds of megawatts or gigawatts, but to thousands of terawatts, given that hundreds of thousands of production units can be installed.

When they are, they will move the lunar orbit more sharply away than the tidal plants currently in service, since the energy used by the STSMi comes from the kinetic energy of the moon.

They will probably also slow down the speed of the earth's rotation on itself, and the extent of its possible impact on ocean currents such as the Gulf Stream remains to be evaluated. But in 50 or 100 years we will certainly have found a way to harness nuclear fusion energy in a cost-effective way;

In the meantime, however, it urges us to stop the implementation of the costly, nasty and noisy wind turbines as soon as possible.

To act on climate it is therefore necessary to take notice and bet on this simple and inexpensive solution to test as to manufacture.

Article subject to review and corrections 

 

 

 

 

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7 février 2021 7 07 /02 /février /2021 04:16

Non seulement je soutiens, mais je suis en mesure de démontrer sur un modèle qu'il existe un moyen - simple et inédit - de produire très rapidement et très massivement de l'énergie à très bas coût et de façon presque totalement décarbonée en convertissant l'énorme et quasi inépuisable énergie cinétique de la lune en énergie électrique.

Récupérer cette énergie est évidement ce que font déjà les usines marémotrices du type de celle construite à l'embouchure de la Rance dans les années 1960, sauf que  la solution que je propose est, aussi incroyable que cela puisse paraître, des milliers de fois plus efficace, écologique et économique que la technique des barrages.

Il s'agit d'un système à mémoire de charge indirecte qui ne présente pas les inconvénients des systèmes qui exploitent l'énergie de vagues, ni d'un genre d'hydrolienne. Les hydroliennes sont difficiles voire impossible à ancrer durablement. Pour faire court je l'ai appelé le STSMi.

Sa technique  est à même de permettre à la France - et à bien d'autres pays maritimes - d'atteindre en très peu de temps, en deux ans, voire moins, la neutralité carbone.


Il fera que la France ne pourra pas être condamné pour son inaction pour le climat

L'utilisation de matériaux techniques développés par Dupont de Nemours grâce à Nathalie Kwolek est à même de rendre  réalisable   la  récupération de cette énergie par le STSMi, qui de par son  principe de fonctionnement pare à l'objection que cette énergie est déjà exploitée par les usines marémotrices. Celles-ci ont un coût de production prohibitif et très peu de sites se montrent appropriés à l'installation de telles usines

Il s’agit d’une technique  que j'ai fini par découvrir  plus de quarante ans après avoir eu l'intuition qu'il devait exister un autre moyen que la construction de lourds et coûteux barrages pour capter l'énergie des marées.

J'avais imaginé bien des solutions,  mais toutes auraient vite été balayées par les tempêtes. Ce n'est que dans la première semaine de juin 2012 qu'une solution valide m'est venue à l'esprit, alors que j’avais fini par abandonner l’idée qu’il pouvait y en avoir une.  
C’était  au Cap Fréhel, lors d'une grande marée, et celle-ci  était au plus bas dans la Baie de la Fresnaye.

C'est donc 45 ans après que l'usine marémotrice de la Rance a été mise en service que j'ai trouvé la solution.

Il ne reste qu’à l'éprouver, non pas comme je l'avais fait en bassin sur une maquette, mais in situ, sur une unité réalisée en vraie grandeur, c'est-à-dire soumise aux vents violents comme aux tempêtes. Or contrairement au système technique exploité par les usines marémotrices, il s’agit d’un système qui ne prend presque pas de place, pas plus sur terre qu’en mer, qui ne gênera pas plus  la navigation qu'il ne déparera le paysage, et qui au besoin  est modulable en unités de petites ou de  très grandes dimensions.

Il est aussi et surtout en son principe de fonctionnement et de par les matériaux utiles à sa réalisation à l'abri de la corrosion marine, de l'ensablement, et des tempêtes les plus violentes, si ce n’est des tsunamis, donc d'un entretien simple et réduit.
Qui plus est un prototype est réalisable en deux ou trois semaines pour être éprouvé en mer sur une petite unité de production expérimentale.

Avec  le STSMi on ne pourra plus dire  que "France is not doing enough to tackle climate change"

Il est à la portée financière de n'importe quelle ville côtière de petite ou moyenne importance, tout le long de la côte atlantique, en France de Dunkerque à Biarritz, et dans tous les pays du monde qui disposent une façade maritime pourvue de marnages suffisants. Trois mètres et même moins suffissent !

D'où son intérêt.

Mais alors quels sont les défauts du STSMi ?

Il ne sont pas seulement dus la profession de son concepteur (je suis médecin et a priori "non  crédible", puisque si c'était possible, « il y a longtemps que la technique aurait été découvert ».

C'est oublié qu'il a fallu des siècles pour découvrir que le système de Copernic était plus simple et logique que le système de Ptolémé  avant même que soit découverte la loi de gravitation universelle, une découverte à laquelle le  système copernicien a pour beaucoup contribué.

Le STSMi  a surtout le défaut de contrarier les tenants de l’industrie nucléaire, de l'industrie pétrolière, et les fabricants d'éoliennes. Les deux  précédents lobbies savent pertinemment que les éoliennes ne pourront pas avant longtemps et même jamais les concurrencer.

Ce qui ne sera pas le cas du STSMi, s'il lui est permis d'être  développé.

Avec le STSMi la production d'énergie décarbonée se chiffrera non pas en centaines de mégawatts ou gigawatts, mais en milliers de térawatts,  compte tenu que des centaines de milliers  d’unités de productions pourront être installées.
Quand elles le seront, elles éloignerontcertes  plus fortement l'orbite lunaire que ne le font les usines marémotrices actuellement en service, puisque l'énergie exploitée par  le STSMi provient de l' énergie cinétique de la lune.

Elles ralentiront sans doute aussi un peu la vitesse de rotation de la terre sur elle-même, et la mesure de son possible impact sur les courants marins comme le Gulf Stream reste à évaluer. Mais d'ici 50 ou 100 ans on aura certainement trouvé le moyen d'exploiter l'énergie de fusion nucléaire de façon rentable;

En attendant, il urge pourtant d’arrêter au plus tôt l'implantation des coûteuses, vilaines et bruyantes éoliennes

Pour agir sur le Climat il faut donc en prendre connaissance et parier sur cette solution simple et peu coûteuse à tester comme à fabriquer, via par exemple la création d’une association afin quelle  puisse être présentée dans de bonnes conditions au ministère de la Recherche et du développement durable.
 

 

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4 février 2021 4 04 /02 /février /2021 01:52
 

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2 février 2021 2 02 /02 /février /2021 16:50

Quelle est la machine qui fait devenir abscons comme la lune ?

Ce n'est pas celle qui a été représentée de façon symbolique dans l’excellent film de science-fiction « La planète interdite », un film que j’ai été voir au Cinéma parisien « Le Panthéon » (rue Victor cousin, Paris 5 e) alors que le film avait commencé. Je venais de sortir du Lycée Louis-Le-Grand, situé pas loin rue Saint Jacques.

Le jour même, dans la matinée ou le début de l'après-midi, le prof de philo (son nom m'échappe pour l'instant) nous avait parlé de Sigmund Freud et des conclusions que celui-ci avait tiré d’un rêve de guillotine qu’aurait fait l’historien Alfred Maury.

Et ô surprise, lorsque la lumière s'est allumée, je découvrais que je me trouvais assis à côté dudit prof de philo !

Les conclusions d'Alfred Maury, d’expérience je les savais erronées, et cela avant que Michel Jouvet ait lui aussi établi scientifiquement sur des chats qu’elles l'étaient.   

Mais je n'étais pas encore en mesure de dire clairement et de façon très argumentée que la mécanique à décerveler a été mise en marche par Sigmund Freud le 21 septembre 1897, ni que cette mécanique a été portée à la perfection par Jacques Lacan après la seconde guerre mondiale.

François Balmès, philosophe-psychanalyste, exégète de Jacques Lacan et directeur de programme au Collège international de philosophie, en a magistralement exposé le fonctionnement au sein même dudit Collège en exposant au public venu en masse le 23 mai 2003 dans l’amphithéâtre Stourdzé l’entendre expliquer « Ce que Lacan dit de l'Être  (de 1953 à 1960 », intitulé repris du titre de son livre, que J-F.Balmès avait, ô  miracle, réussi à faire paraître aux PUF en décembre 1999 après que cet éditeur a publié, en 1986  « Tempête aux Archives Freud » ; 

L’amphithéâtre Stourdzé était ce soir-là bondé.

Venu l’entendre sans avoir pris la précaution d’Être en avance, j’avais difficilement trouvé place de l’autre côté, tout en haut à gauche de l’amphi.

Honte à moi. Je ne me souviens pas d’avoir compris quoique ce soit à ce que François Balmès avait pu dire, jusqu’à ce qu'un auditeur impertinent lui pose à la fin de son exposé sur ce que Lacan avait dit de l’Être. Quelle question imprudente !

Or même le résumé sur le Net en présentation de ce livre est imbitable. Ce qui veut dire que ce que Jacques Lacan veut faire comprendre, c’est qu’il est impénétrable, c’est-à-dire qu’il n’est pas comme Proust !

Aurais-je fini par comprendre ce que l’abscon disait ?

La question de l’auditeur était celle-ci : << Comment Lacan concevrait-il l'inconscient maintenant que l'on sait que l'univers a non pas quatre mais onze dimensions ? >>

A ma stupéfaction François Balmès y répondit, mais au bout de 10 minutes, le courageux exégète finit par caler : il ne savait plus à quelle question il répondait de si profonde façon.

C'est que la psychanalyse, comme ce qui la fonde, rend ses adeptes abscons comme la lune et impénétrable.  

Mais plus sérieusement il y a dans la psychanalyse, comme en physique quantique, des variables cachées, impossibles à saisir sans qu’elles en soient impactées : l'appareil (le "psy") qui s'y essaie finit schizophrène catatonique, transformé en statue de sel.

Mary Balmary s'y était essayée en publiant "L'homme aux statues" (Grasset 1979) et Gabrielle Rubin "Le roman familial de Freud" (Payot 2002) .

Après l’avoir compris et révélé, Gabrielle Rubin a dû se tirer une balle dans le pied cinq ans plus tard et feindre l’imbécilité dans "Du bon usage de la haine et du pardon" (Payot 2007).

Marie Balmary fut blackboulée par son directeur de thèse (le professeur Jean Laplanche, dite à repasser). Elle a dû se faire publier chez Grasset puis changer de voie, s'orienter sur l'analyse des écrits bibliques.

L'excellente psychanalyste Gabrielle Rubin s’est tirée une balle dans le pied en faisant de "Anna O" une patiente de Freud.

CQFD

 

Le rêve de la guillotine (Maury) - Le goût de la psychanalyse

Psychanalyse 15 novembre 2019. Ce rêve de Maury a été choisi par Freud comme un des exemples qui explicite comment les stimuli extérieurs, stimuli sensoriels, sont intégrés dans un rêve, coûte que coûte, au prix même d’un certain forçage. Voici le texte de ce rêve tel qu’il est rapporté « Il était souffrant, au lit, dans sa chambre.

https://www.le-gout-de-la-psychanalyse.fr/psychanalyse/le-reve-de-la-guillotine-maury

 

 Le rêve selon la théorie freudienne - Cours - Manon Hommet

Pour Freud, le rêve à un sens et relève de processus psychiques inconscient similaires à ceux constatés dans l’état hypnotique. Il y a donc l’idée d’un déterminisme psychique qui n’est pas simplement dû au hasard ou à des disfonctionnements ( électriques ou neurologiques ) mais le résultat d’une pensée inconsciente ou d’un fantasme qui va tenter d’émerger au travers du rêve.

https://www.ladissertation.com/Psychologie/Freud/Le-rêve-selon-la-théorie-freudienne...

 

Le rêve - Claude Bernard University Lyon 1

Le rêve n'était donc probablement pas un phénomène continu mais bien plutôt un événement épisodique survenant au cours du sommeil. C'est Alfred Maury qui, vers 1850, proposa une première interprétation non métaphysique de l'apparition du rêve. Pour lui, l'activité onirique ne survient que lorsque le sommeil est léger : nous rêvons lorsque nous nous endormons (hallucinations hypnagogique ou au contraire lorsque le sommeil profond est allégé par un bruit, une douleur ou toute ...

sommeil.univ-lyon1.fr/articles/jouvet/la recherche/sommaire.php

 

Le Rêve de Maury et la réversibilité chronologique (André ...

Le Rêve de Maury et la réversibilité chronologique Manuscrit. Auteur. Auteur André Hardellet Personne citée Alfred Maury. Descriptif. Tapuscrit d'André Hardellet envoyé à André Breton avec une lettre datée du 17 avril 1958. Révélé en 1958 par Le Seuil du jardin ...

https://www.andrebreton.fr/work/56600101000187

 

Alfred Maury et le rêve de la guillotine - Savoir.fr

Dans son livre Le Sommeil et les rêves publié en 1861, Maury résume ses observations : les rêves ne sont rien d’autre qu’un phénomène d’accompagnement des impressions sensorielles qui sont absorbées avant et pendant le sommeil. Il rejette entièrement la possibilité que les rêves aient la moindre signification.

https://medecine.savoir.fr/alfred-maury-et-le-reves-de-la-guillotine

 

Citation Alfred Maury - Des rêves et de l'intelligence ...

Dans ce chaos de causes multiples, quelques-unes peuvent être discernées nettement; mais, pour en bien saisir le mode d’action, il faut étudier la génération du rêve, comme je vais maintenant essayer de le faire. Source: L.-F. Alfred Maury, Le sommeil et les rêves : études psychologiques sur ces phénomènes et les divers états qui s ...

https://www.interpretationdesreves.com/citation-maury

 

Alfred Maury — Wikipédia

Principal représentant d’une théorie organique du rêve, Alfred Maury fit l'hypothèse qu'il était un phénomène épisodique ou aléatoire survenant à des moments particuliers : pendant l'endormissement, sous l'influence de stimuli externes ou internes ou avant le réveil.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Alfred_Maury

 

 

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26 janvier 2021 2 26 /01 /janvier /2021 01:59

Pour les psychanalystes bon teint tel Roger Perron "il ne faut évidemment pas confondre les fantasmes incestueux, présents chez tout être humain, et les comportements réels, de type incestueux, infiniment plus rares; il reste que leur abord psychanalytique a permis d'en comprendre beaucoup mieux la genèse et la signification ” (en conclusion de l'article où il traite de l'inceste, page 801 du méga "Dictionnaire international de psychanalyse" édité en 2002 par les éditions Calmann-lévy (soulignement mien)


Dorothée Werner, dans son éditorial du  n° 3918 du magazine Elle  fait à raison remarquer dans son éditorial qu'il faut en finir non pas tant avec "la loi du silence" qu'avec "la loi du déni", la loi du silence n'étant que la conséquence du déni.

Un déni auquel ont beaucoup œuvré les fallacieuses théorisations psychanalytiques frœudiennes, ainsi que l'avait en 1979 pointé la psychanalyste Marie Balmary dans ''L'homme aux statues", sous-titré "La faute cachée du père" (chez Grasset, réédité en 1997), un livre qui avait valu à son auteure d'être ostracisée par les tenants de la fidélité à doctrine frœudienne des fantasmes incestueux confondus avec la réalité, doctrine soutenue encore en 2006 par le psychiatre-psychanalyste Samuel Lepastier  dans son commentaire sur les enfants d'Outreau, paru dans "Le Monde"

https://www.lemonde.fr/idees/article/2006/02/07/l-inconscient-le-grand-absent  https://media.blogs.la-croix.com/inceste-le-viol-du-silence/2021/01/07 

=====>  "Samuel Lepastier fâcheusement n’est pas assez connu pour avoir fallacieusement commenté, au sujet des enfants d’Outreau, dans « Le Monde » du 7 février 2006, l’affaire dite « des dysfonctionnements de la Justice française ». Titre de son affabulation : « L’inconscient, le grand absent »."

 Pourtant, Marie Balmary m'avait pas été jusqu'à sous-titrer son analyse "La faute cachée du grand-père", comme à mon avis (de psykalacanien) il aurait été bien plus légitime de le faire.

Si Sigmund Freud est passé à côté de la réalité au sujet la très grande fréquence des incestes et des attentats sexuels commis à l'encontre des bébés et des enfants, il a des excuses : comme l'écrivain-philosophe George Steiner, il était juif, et George Steiner a en avril 2014 fait remarquer à Laure Adler dans l'émission "Hors-Champs" qu'elle animait à cette époque sur France-Culture (l'émission a été rediffusée sur cette même fréquence en décembre de la même année, et c'est alors que je l'ai captée) que , contrairement à ce qui se passe chez les autres, chez les Juifs il n'y a ni inceste ni pédophilie.

Est -ce pourquoi Freud est passé à côté de la réalité ?

Est-ce aussi pourquoi le docteure  Catherine Bonnet s'est trompée de cible à mon sujet. Ignorant la pureté de mes origines, elle avait dû penser que j'avais tenté de la dissuader de faire des signalements de cas pédocriminels au Conseil de l'Ordre.

Ma famille maternelle est en effet non pas de confession juive, mais d'origine juive, ainsi qu'en ont apporté la preuve les recherches généalogiques de l'épouse de mon petit cousin René Pasquet. Ce dont je ne m'étais à tort jamais soucié.

Ce n'était aucunement par solidarité avec les pédocriminels que j'avais rencontré ma Consœur, mais afin de lui faire savoir ce que m'avait confié en avril 1993 une des secrétaires du Conseil Régional de l'Ordre des Médecins de l'Île-de-France quand elle me remit le dossier relatif à la plainte de mon père concernant agissements des médecins de la Clinique Léon Elmelik (*) à son encontre, 

Cette secrétaire me fit alors savoir que les violeurs et les pédophiles étaient "au Conseil de l'Ordre" : << Mon pauvre monsieur, pourquoi voulez-vous que le Conseil de l'Ordre poursuive les violeurs et les pédophiles ? Ils sont au Conseil de l'Ordre ! >> , m'avait-elle dit, et cela alors que la plainte de mon père ne portait pas sur ce genre d'exactions et criminelles (voir sur quoi elle portait  sur le "blog de leon http://médecine-de-catastrophe-et-médecines-catastrophiques et http://des-petits-pots-pour-bébés-pour-sauver-la-vie-des-vieux

Trois mois plus tard, "synchronicité" jungienne oblige, en juillet 1993, le pédochirurgien Bernard  Glorion était élu président du Conseil National de l'Ordre des Médecins.

Et en 1997, quand l'affaire des assassinats de malades – des assassinats immédiatement décrétés compassionnels par Bernard Kouchner - commis au CHU de Mantes la Jolie dans le Service de pneumoneurologie par l'infirmière Christine Malèvre sous l'égide du très catholique docteur Olivier Ille éclata (**), Bernard Glorion au nom de l'Ordre, et Gérard Saïd au nom de l'AMIF et de l'IFREM, se trouvèrent tant de points communs au plan dé-hontologiques qu'ils s'empressèrent de faire Alliance (***).
__________________________________________________
* Pour plus de précisions sur cette Clinique, cf. le “blog de leon

** - à cause du docteure Laurence Kouyoumdjian, qui contrairement au sacro-saint "devoir de confraternité", n'avait pas su garder sa langue dans sa poche alors que les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient en 1990 si bien servi les intérêts de la Clinique Léon Elmelik et du CNTS sous l'égide du déhontologique professeur Gérard Saïd.

*** Cf. à qui sait lire préface et postface et la page 12 de “Blouses blanches, étoiles jaunes”, de Bruno Halioua, éditions Liana Lévi, décembre 1999.
+ sur wwww. 34640255 html, mis en ligne en août 2009 après que Nicolas Sarkozy a fait remarquer que depuis l'avènement d'Internet il n'était plus possible à la Justice d’enterrer les affaires dérangeantes

Lire a suite dans les précédents article de ce blog  après les encarts publicitaires dont donc les articles suivants du "blog de leon" dernièrement les plus consultés :

1    http://genocides.over-blog.com
2    http://genocides.over-blog.com/2015/05/vaincre-le-mal-de-dos-avec-une-planche-c-est-possible.html
3    http://genocides.over-blog.com/article-complications-psychiatriques-des-carences-cobalaminiques-69970222.html
4    http://genocides.over-blog.com/2016/09/petits-pots-pour-bebes-pour-sauver-la-vie-des-vieux.html
5    http://genocides.over-blog.com/article-et-si-freud-avait-analyse-adolf-hitler-109938504.html
6    http://genocides.over-blog.com/2016/12/depakine-contre-alzheimer.html
7    http://genocides.over-blog.com/article-le-complexe-d-oedipe-invention-auto-realisatrice-103012573.htm
8    http://genocides.over-blog.com/2016/10/medecine-de-catastrophe-et-medecines-catastrophiques.html
9    http://genocides.over-blog.com/2016/12/panique-a-l-ap-hp-le-mourant-a-porte-plainte.html
10    http://genocides.over-blog.com/article-la-reconstruction-de-la-mairie-de-l-ha-les-roses-124849927.html 

Notons le fait que la psychanalyse incite à raconter ses rêves, ce qui expliquerait qu'elle s'est parfois montrée thérapeutique 

Cf. le  Manuel de guérison des cauchemars - les arènes

<< qui présente une "nouvelle technique", scientifiquement validée, pour guérir des cauchemars : la thérapie par rescénarisation d’images mentales. L’objectif de cette méthode est de  transformer les scénarios négatifs en scénarios positifs.>> 
 
Or il y a longtemps que l'on sait le pouvoir de l’imagerie mentale. Cf. la psychothérapie du rêve éveillé, prônée par Robert Desoille en 1930. 

  

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16 janvier 2021 6 16 /01 /janvier /2021 01:09
 

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6 janvier 2021 3 06 /01 /janvier /2021 03:14

Les journalistes appelés rendre compte de l'affaire Olivier Duhamel ne devraient pas oublier  ce que les fondamentaux de la science psychanalytique nous ont appris.

Ils sont clairement rappelés par Roger Perron,  directeur de Recherche au CNRS et quelque chose au Laboratoire de psychobiologie de l’enfant à la Fondation Vallée.

En conclusion de son article sur l'inceste il rappelle en page 801 tome I de l’imposant "Dictionnaire international de psychanalyse" coordonné par le psychiatre et psychanalyste Alain de Mijolla publié en 2002 aux éditions Calmann-Lévy :

 "il ne faut évidemment pas confondre les fantasmes incestueux, présents chez tout être humain, et les comportements réels, de type incestueux, infiniment plus rares; il reste que leur abord psychanalytique a permis d'en comprendre beaucoup mieux la genèse et la signification .

Mais voilà que d’après une étude menée par le CNRS et publiée en mai 2017 , les incestes réels se comptent en France par millions (estimée alors à 4 millions par le CNRS, contre 6 millions, chiffre dernièrement avancé dimanche dernier sur Fr. 5 par Andréa Bescond et Charlotte Pudlowski  à l'émission "C politique".

Peut-être est-ce parce que l'éditeur Calmann-Lévy  en a rétrospectivement  eu honte, ce très volumineux dictionnaire a été réédité en 2005, non pas chez Calmann-Lévy, mais chez Hachette littérature.

Est-ce que la brillante analyse de Roger Perron a été maintenue dans cette nouvelle édition ? 

Pour le savoir, en 2014, à l'occasion de mon passage à Paris, j'ai cherché à me le procurer à la Librairie psychanalytique "Le Divan", sise au 203 de l'avenue de la Convention, (75015).

A mon étonnement, il m'avait été impossible de l'y trouver, et même de le commander !

Je ne m'étais pourtant pas rendu inutilement dans cette librairie, puisque j'y avais découvert "Du bon usage de la haine et du pardon", de Gabrielle Rubin, un titre qui m'avait accroché, d'une part parce que j'avais déjà lu de cette analyste son excellent "Le roman familial de Freud" lui aussi publié en 2002 , mais chez Payot. Il s’agit une étude psychanalytique dans laquelle, bien que l’auteure y commette une erreur qui entache un peu son propos Sigmund Freud paraît être non pas le fils de Jakob Freud, mais le fils de son grand-père maternel, Jacob Nathanson, comme le suggérait les savantes recherches de la sociologue Marianne Krüll dans « Freud, fils de Jacob » publié en 1983 chez Gallimard dans la Collection « Bibliothèque de l’Inconscient » .

Contrairement à ce qu'expose de façon erronée Gabrielle Rubin, “Anna O” (Bertha Pappenheim) n'a jamais été une patiente de Freud. Elle était celle de son mentor, le docteur Josef Breuer, qui avait fait d'elle sa maîtresse, lui faisant subir un "ramonage de cheminée", selon l'expression imagée de sa patiente. Le docteur Caille,  psychiatre et psychanalyste,  appellera de façon plus poétique "la méditation de l'étreinte" ce genre de psychothérapie. 

“Anna O” était une parente de l'épouse de Freud.

A part ça, Gabrielle Rubins se consacre dans son livre à une analyse pertinente de ce qui empêchait Freud de se comprendre lui-même, à savoir qu'il n'aurait pas dû s'appeler Sigmund Freud, mais Sigmund Nathanson, du nom de son grand-père maternel.

D'autre part parce qu'en juillet 1998 la psychanalyste Catherine Bonnet m'avait demandé pardon tout en omettant de me préciser ce que j'aurais à lui pardonner, de même que l'avait précédemment fait mon père le 9 septembre 1990, alors qu'il pensait son dernier jour venu.

Catherine Bonnet m'avait demandé pardon en juillet 1998 après qu'elle s'est rendu compte que je ne lui avais pas raconté des balivernes en 1966 au sujet des agissements illégaux du Conseil d l'Ordre au profit de la pédophilocratie médicale, et pour cause. (Cf. infra)

Je lui avais rapporté ce que m'avait dit une secrétaire du Conseil de l'Ordre Régional des Médecins de l'Île-de-France au sujet des médecins de la Clinique Léon Elmelik quand elle m’a remis le dossier se rapportant au signalement que mon père et moi-même avions fait au sujet des agissements de ses médecins :

<< Pourquoi voulez-vous que le Conseil de l'Ordre poursuive les violeurs et les pédophiles? Ils sont au Conseil de l'Ordre ! >> m’avait-elle prévenu alors que notre signalement n'avait pas de rapport avec ce genre d'extravagances !

Mais l'avertissement de cette secrétaire peut se comprendre: d'une part les secrétaires de l’Ordre savent à quoi s'en tenir à ce sujet du fait que les dossiers passent par leurs mains – l’une d’elle m’avait suggéré de porter l’affaire devant la Justice plutôt que devant le Conseil de l’Ordre - et d'autre part du fait de ce que nous avait dit des médecins de cette Clinique en janvier 1991 le Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, qu'ils pouvaient y faire ce qu'ils voulaient parce qu'ils étaient "protégés en haut lieu".

J'avais fait part de ces informations à Catherine Bonnet afin qu'elle ne commette pas l'erreur, que j'avais fait en mars 1993, de suivre l'avis de Me Scotto-Derouet, de porter à la connaissance l'Ordre des Médecins les pratiques déviantes en usage à la Clinique Léon Elmelik.

Me Scotto-Derouet, connaissant mal ce qu’était véritablement l’Ordre des médecins, nous avait fait remarquer que la Justice allait nous demander pourquoi cela n’avait pas été fait.

J’avais donc  prévenu l’Ordre de ce qui s‘était passé à la Clinique Léon Elmelik, et en retour le traitement que l'Ordre des médecins réserve "normalement" aux médecins qui se permettent de porter à la connaissance des autorités judiciaires les pratiques perverses des membres de la profession nous a été réservé : notre Confrère°°° le Dr. Patrice Bodenan, nommé Conseiller-Rapporteur, demanda contre moi l'application de  l'article L 460 du CSP

Cf. les articles  http://un aigle à deux boss et http://une affaire à ne surtout pas ébruiter sur  le « blog de leon »

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4 janvier 2021 1 04 /01 /janvier /2021 13:00

Admis en neurologie dans le Service du très éthique professeur Gérard Saïd au CHU de Bicêtre le 2 août 1990 à l'âge de 79 ans mon père faillit en perdre la vie.

Le professeur Saïd était à l'époque un pilier de l' (ex ?) Institut de Formation et de Recherche en Éthique Médicale juive (l'IFREM), éditeur de Médica Judaïca, une Revue présidée par son ami Emmanuel Hirsch, une Revue qui dans son numéro 21 en mars 1991 met en avant les beaux principes de la Gneva Daath  tels qu'ils sont exprimés dans le Choulin, chapitre du Talmud.

Emmanuel Hirsch n'est pas médecin, mais professeur de philosophie. 

Secret médical oblige, mais à ma grande surprise, il m'a dit “connaitre par cœur” l'histoire médicale de mon père lorsqu'en 1997 j'ai voulu lui en toucher un mot.

Était-ce parce que mon père avait été admis dans le Service du Pr. Saïd après être malheureusement passé par les mains inexpertes des médecins de la Clinique Léon Elmelik, sise à l'Haÿ-les-Roses, où mes parents habitaient depuis 1964, qu'il avait perdre la vie dans le Service du professeur Gérard Saïd ?

On est en droit de le penser, car c'était après qu'un diagnostic de présomption de maladie de Biermer a logiquement et correctement été porté cliniquement devant moi aux Lits-Portes de cet hôpital dans la soirée du 31 juillet 1990 au retour de l'hémogramme pratiqué en urgence comme au vu d'un tableau clinique de "sclérose combinée de la moelle" (syndrome tétrapyramydal avec clonus rotulien inépuisable, dysmétrie et spasticité relative à un syndrome cérébelleux) que le traitement de cette maladie, à bref délai inéluctablement mortelle en l'absence de son traitement spécifique, avait été remplacé par un faux-semblant 

Le tableau de sclérose combinée de la moelle s'observe dans les formes neurologiques de l'anémie de Biermer.

Très amaigri, mon père ne pesant plus que 50 kg, contre normalement 72 kg.

Mais après son admission dans le Service du professeur Gérard Saïd, il ne fut tenu aucun compte du diagnostic de présomption porté aux Lits-Portes par les Urgentistes, dont Antoine Moulonguet, actuellement Chef d'un Service de neurologie à La Pitié-Salpétrière.

Bizarrement, le diagnostic de maladie de Biermer ne fut pas même mentionné dans le Compte-Rendu d'Hospitalisation établi par l'Interne, Olivier Ille. Celui-ci fera très peu parler de lui bien qu'il ait sept ans plus tard eu à voir avec les assassinats de malades commis dans son Service par Christine Malère.

Le Service me remit son CRH à la place du dossier d'hospitalisation, au mensonger prétexte que celui-ci avait été “égaré”.

Dans le Service du professeur Saïd le diagnostic de neuro-anémie de Biermer avait été bizarrement écarté, au fallacieux prétexte que le test de Schilling et la cobalaminémie (la B12 plasmatique ) étaient normaux.

Autrement dit, on avait fait comme si on ignorait les articles qui depuis longtemps avaient été publiés sur le sujet, dont en 1978 celui de Kolhouse & al, (New Engl. J. Med. 299, 15, 787 – 792.Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin deficiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin”).

On avait fait semblant de l'ignorer au profit du diagnostic sciemment équivoque d'une "encéphalopathie vasculaire" compliquant une "DTA" (Démence deType Alzheimer), le tout étiqueté de façon ni vraie ni fausse, mais floue et ambiguë  ''ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX'' (sic)

Il s'agit là d'une appellation certes intelligible, mais pour qui est du sérail. Elle sert en effet à désigner de façon cryptée la LEMP (la LeucoEncéphalopathie Multifocale Progressive), c'est-à-dire une affection épouvantable mais heureusement rare, quoique devenue plus fréquente à l'époque, depuis que les transfusions de sang "à l'américaine" on boosté la circulation du VIH : 25.000 patients furent ainsi en France indument contaminés dans la première moitié des années 1980, dont mon père en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis lors de la pose d'une prothèse de hanche dans le Service du Pr. Jacques Witvoet.

Due à ce que l'on appelle un “virus de sortie”,(la réactivation du virus JC), la LEMP est de très sombre pronostic.  Elle survient chez les personnes immunodéprimées, notamment celles qui ont été infectées par le VIH. www.msdmanuals.com//leucoencéphalopathie-multifocale-progressive

Ledit fallacieux CRH m'avait été adressé en lieu et place du dossier d'hospitalisation, au prétexte que le dossier avait été perdu, alors qu'il ne l'était pas et ne l'avait jamais été. Six ans après le docteur François Chedru avait pu le consulter pour les besoins de son expertise, commanditée par madame Bénédicte Scelle, Juge d'instruction au TGI de Créteil.

Mon père avait réussi non seulement à sortir miraculeusement vivant de ce cet imbroglio savamment orchestré par les neurologues de l'hôpital Bicêtre, mais à regagner "à la surprise générale" 30/30 au MMSE, contre précédemment 22/30, non pas à la satisfaction, mais au grand mécontentement de ses médecins !

Le CRH était signé “Olivier Ille, Interne

Le Chef de clinique Pascal Masnou avait délégué à Olivier Ille le suivi clinique et traitement de mon père, et l'Interne avait mis son malade mis sous Prozac * pour tout traitement pendant que le docteur Pascal Masnou essayait de me faire croire que le traitement de la maladie de Biermer lui était correctement administré, conformément au diagnostic qui avait été porté aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre.

Après trois semaines passées dans le Service de neurologie, mon père ne pesait plus que 47 kg et son état s'était dégradé à tel point que, le 22 août, il fut transféré à l'hôpital Charles-Foix dans l'Unité de Soins Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis, où il put bénéficier d'une belle chambre individuelle, au lieu d'avoir à partager à Bicêtre une chambre à plusieurs lits.
Une lettre manuscrite de l'Interne avait accompagné son transfert, une lettre que j'ai pu récupérer cinq ans plus tard quand la direction de l'hôpital Charles-Foix a mis le docteur Beinis en demeure de me communiquer copie de son dossier d'hospitalisation.

Outre que cette lettre faisait grandement état du diagnostic d'encéphalopathie vasculaire, elle se terminait en indiquant au docteur Jean-Yves Beinis de n'administrer au malade qu'un faux-semblant de traitement de la maladie de Biermer. bien qu'aucun médecin ne puisse ignorer que la maladie de Biermer est très rapidement et inopinément mortelle sans son traitement spécifique.

La Surveillante de l'USN de l'hôpital Charles-Foix, madame Pondu, qui avait l'expérience de la maladie de Biermer, affection fréquente chez les personnes âgées,  apprenant que j'étais médecin, s'empressa de me faire savoir par une de ses élèves, avant qu'il ne soit trop tard – l'état du malade s'était dégradé au point d'être extrêmement critique – que mon père ne recevait pas réellement le traitement cette maladie, mais seulement un faux-semblant.

Bien que madame Pondu ait essayé de persuader le docteur Beinis que son malade souffrait bien de cette maladie et donc de la nécessité de lui administrer réellement le traitement de la maladie de Biermer, elle n'y est pas parvenu. Ce qui fit que faute de l'avoir reçu, au soir du 12 septembre, à 19 heures, lorsque je suis entré dans la chambre du malade, celui-ci gisait sur son lit, squelettique, prostré, incontinent, presque nu dans ses émonctoires.

A force d'être tombé du lit dans les jours précédents, son corps était, des pieds à la tête, couvert d'ecchymoses. Il avait deux côtes cassées (fait noté sur le cahier d'observation)

Après s'être un instant agité comme s'il avait cherché à s'agripper à un objet imaginaire – ces mouvements sont dits carphologiques et précèdent de peu la mort – le malade sombra dans un coma.carus.

Ma sœur, qui était arrivée avant moi me dit << Toi qui est médecin, tu ne peux vraiment rien faire >> ?

J'étais certain que mon père ne souffrait aucunement, comme les neurologues du CHU de Bicêtre avaient cherché à me le faire croire, d'une tumeur cérébro-spinale de type gliale, ne serait-ce que parce que le test de Schilling, qui nécessite l'injection de 1 mg de cobalamine, une molécule plus connue sous le nom de vitamine B12.

C'est là une dose déjà thérapeutique pour ce qui est de l'anémie, mais très insuffisante pour le traiter les formes neurologiques de la maladie de Biermer, et ladite dose avait non pas aggravé l'état du malade, mais l'avait au contraire légèrement amélioré, tout au moins l'espace de quelques jours, ce qui prouvait que le malade ne souffrait aucunement d'un gliome, auquel cas la cobalamine aurait aggravé son cas.

J'ai dit à ma sœur : << Cette histoire "d'hydrome sous-tentoriel" (sic) pour lequel un rendez-vous d' I.R.M. a été pris ne tient pas debout. Papa n'a certainement pas la maladie d'Alzheimer, ni celle de la vache folle. Il y a qu'il ne reçoit pas le traitement qu'il aurait fallu.>>

Après avoir fait un un rapide examen neurologique je lui ai dit : << Il ne voit plus. Regarde ses yeux, les pupilles sont complètement dilatées. Elles ne réagissent pas du tout à la lumière quand je les éclaire. Il reste pourtant une toute petite chance de le sauver. Si on ne fait rien là, mzintenant, tout de suite, demain il sera mort. Il n'est plus temps d'attendre jusqu'au 24 septembre le rendez-vous pris à Broca pour l'I.R.M. cérébrale, ni même quelques heures de plus. Je veux bien faire le nécessaire, mais il ne faudra rien me reprocher si ça ne réussit pas. S'il meurt cette nuit, comme c'est malheureusement à craindre, ce ne sera pas ma faute. J'ai tout juste le temps de courir à la pharmacie chercher ce qu'il lui faut avant qu'elle ne ferme pour le lui administrer, mais il faut aussi me promettre de m'aider après, parce que même si j'arrive à redresser la situation, ça va être très dur >>

Elle promit de m'aider. Il était alors 19 heures 15. Plus le temps de discuter. J'ai dû courir à la pharmacie la plus proche pour arriver avant qu'elle ne ferme.

La pharmacienne était en train de verrouiller les portes de son officine. J'ai ainsi pu d'extrême justesse me procurer, pour 9 francs et quelques trente-six ou trente-neuf centimes une boite de 6 ampoules de cyanocobalamine Labaz*, plus trois seringues.

Vers 19 h 45 j'ai administré à mon père la moitié du coffret, deux ampoules en IM, le troisième versée dans la bouche, soit 3 mg de cyanocobalamine.

Je resté auprès de lui jusqu'à 1 heure du matin à humecter ses yeux, suis pari me coucher et suis revenu le voir le lendemain matin vers six heures.

Mon père était encore en vie. Il y avait même un léger mieux. La mydriase n'était plus totale. Un soupçon d' iris était perceptible à l'orée de la pupille.

Le lendemain soir, j'ai administré les 3 ampoules restantes.

Un mois plus tard, après que mon père a reçu par mes soins en intramusculaire 20 mg de ce traitement étiologique, le malade pouvait se tenir debout sans tomber, et même refaire tout seul son lit, à la grande satisfaction des infirmières, mais pas du tout à celle du docteur Beinis,

Bien que le malade n'ait pas encore récupérer le contrôle de ses sphincters – il les récupéra complément et définitivement que le 17 octobre, alors qu'il avait sans ménagement été renvoyé chez lui le 12 octobre.

Pour parfaire cette infamie, dans les jours qui suivirent, l'hôpital Charles-Foix fit parvenir une facture d'hospitalisation salée au 7, rue de Parc, à La Haÿ-les-Roses, c'est-à-dire au domicile de son ex-patient.

Il n'était même pas tenu compte de l'ALD, la prise en charge à 100 %, à laquelle il avait pourtant automatiquement droit.

Deux mois après sa sortie d'hôpital, mon père avait regagné la quasi totalité de ses capacités intellectuelles (elles furent objectivées à 30/30 au MMSE en février 1991, ce que l'on m'avait caché), et mon père regagnera jusqu'à 7 kg de poids corporel dans les années suivantes,

Mais resté fortement handicapé au niveau de ses jambes et de ses mains du fait du retard apporté au traitement de sa maladie, diminué dans son autonomie en raison de parésies résiduelles, le 17 décembre 1990 mon père porta plainte devant le procureur de Créteil pour escroquerie, mise en danger de la vie et non assistance à personne en péril, non contre les neurologues, car il était alors persuadé que c'était non pas à moi, mais à eux qu'il devait d'être resté en vie, mais contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik.

Ceux-ci l'avaient précédemment à son hospitalisation à Bicêtre lourdement escroqué, avec la complicité de Marc Méchain, à l'époque le maire “socialiste” de l'Haÿ-les-Roses et depuis longtemps proche des docteurs Jean-Claude et Edith Elmelik, le frère et la sœur, tous deux médecins, qui avaient après la mort du docteur Léon Elmelik survenue en novembre 1959, pris possession et la direction de la Clinique Léon Elmelik.

Ils étaient “milliardaires”, aux dires du Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, le Commandant Chistian Raeckelboom, qui en avait "par dessus la tête" d'avoir à enregistrer en vain par centaines les plaintes des parturientes violées par le docteur Jean-Claude Elmelik, qui bénéficiait, avec sœur Edith et les médecins de cette clinique de “hautes protections”, tant au niveau de l'Ordre des Médecins qu'au niveau du parquet de Créteil, c'est-à-dire en fait au niveau du ministère de la Justice et au niveau du ministère de la Santé.

En 2004, refusant encore et toujours de me communiquer le dossier de l'hospitalisation de mon père dans son Service au prétexte qu'il avait été perdu par ma faute pour avoir laissé mon père se faire hospitaliser au CEGAP dans le Service du professeur François Piette et avoir confié au neurologue Michel Serdaru le soin de parfaire son traitement à la Fédération Française de Neurologie, le professeur Gérard Saïd et la direction de l'hôpital Bicêtre m'accusèrent conjointement d'avoir "sciemment 'fabriqué' la maladie de mon père par antisémitisme" (sic, autrement dit d'être l'auteur d'un Münchhausen, c'est-à-dire d'être l'auteur d'un crime passible, comme l'ont été ceux de Christine Malèvre sous l'égide d'Olivier Ille, d'une lourde peine de prison, quoique celle infligée à Christine Malèvre fut finalement assez légère et peu justifiée, puisqu'elle avait été jugée immature. Christine Malèvre ne relevait donc pas de la prison mais de soins psychiatriques.

Mais qu'est-ce l'antisémitisme pourrait avoir à faire dans cette affaire ?

Il est vrai que je porte le nom de mon père, donc celui de Cretien, et non celui de ma mère, plus ésotérique.

A mon nom manque un h. Je ne suis donc pas vraiment chrétien.

ÉPILOGUE : Le professeur Saïd promit que cette affaire se réglerait devant les autorités judiciaires.

Les médecins que je "persécute" (que je mets en cause) s'appellant Elmelik (Edith), Denis (Antoine), Masnou (Pascal), Saïd (Gérard), Desi (Martine), Beinis (Jean-Yves), Sitruk (Mlle), et Ille (Olivier), militant d'Amour & Vérité au sein de la Communauté de l'Emmanuel, où il (Olivier) fait de beaux discours intitulés “Prends soin de lui” (aux 5 e Rencontres de la Communauté de l'Emmanuel les 15 et 16 mars 2013) j'ai de ce fait été accusé suis d'avoir "sciemment fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme"  

Le professeur Saïd promit que cette affaire se réglerait devant les autorités judiciaires.

J'attends toujours ;

Pour plus de détails sur cette abjecte  "fabrication antisémite", se reporter aux sites n° 34640255 html ainsi qu'aux articles du blog de leon consacrés à la Clinique Léon Elmelik

En conclusion, il s'était apparemment agi de préserver l'existence de la Clinique Léon Elmelik, parce qu'elle servait à l'époque à ce à quoi a servi après son changement de propriétaires le Service de pneumo-neurologie du CHU de Mantes la Jolie avec Christine Malèvre sous les auspices très chrétiennes d'Olivier Ille.

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