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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 16:32

L'expérience de Standley Milgram  sur la soumission à l'autorité est mieux connue en France depuis que la télévison française en a reproduit les modalités. 

 

La notion (ou concept) de "consentement meurtier" développé par Marc Crépon n'en est qu'un aspect dérivé, et peut-être aussi la notion de la "banalité du mal" décrite par Hannah Arendt.

 

Le Dr. Jean-Yves Beinis s'était sans remords ni honte  senti autorisé à ne pas administrer à son malade le traitement qui lui était absolument nécessaire cependant que celui-ci souffrait d'un syndrome neuro-anémique cliniquement évident, c'est-à-dire d'une affection à la fois très douloureuse, très angoissante et inéluctablement mortelle. Pourquoi ? Parce qu'il lui avait été recommandé par les neurologues de l'hôpital Bicêtre, qu'il considérait comme des supérieurs hiérarchiques, d'agir ainsi. Il n'avait pas même eu l'idée de chercher à comprendre ce que cachait leurs très curieuses recommandations !  

 

On pourrait en dire autant de la soumission des psychiatres à l'autorité de Freud,  Cette soumission  a beaucoup à voir avec "la banalité" et peut-être aussi "l'origine  du mal". C'est un problème sur lequel il faudrait que je m'explique plus clairement.

 

Comme le craignait Freud, << "ça"  finira par se savoir >>

 

Mais revenons  à ce  cas  de soumision à l'autorité appliqué à la maltraitance hospitalière: il s'agit de :  

 

-  l'affaire du sang contaminé  (subséquentes aux relations "incestueuses" que  l'A.P. entretenait avec le C.N.T.S. ?)

  

2° -   des euthanasies prétendument compassionnelles auCHU de Mantes-la-Jolie.

( assassinats "thérapeutiques" ciblant des malades transfusés )

 

3° - des viols de parturientes  commis par le médecin propriétaire de la Clinique Elmelik (sise à l'Hay-les-Roses).  

 

des menaces que l'Ordre des médecins a fait peser sur une des victimes du même praticien et son conseil, qui visaient à l'empêcher de se porter partie civile

 

de l''occultation des preuves , des mystifications de l'Assistance publique et des entraves faites à la manifestation de la vérité, relayées par les manoeuvres dilatoires de l'autorité judiciaire, faits qui reflètent une justice au service du pouvoir politique : la plainte fut classée non-lieu de façon méprisante et quasi injurieuse malgré l'accumulation de preuves présentées, aussi accablantes qu'irréfutables.

 

6° - de la falsification d'un test diagnostic (le test de Schilling) pour dérouter le diagnostic, et empêcher la cobalamino-thérapie d'être mise en oeuvre   

 

7° - de la mise en place au CHU de Bicêtre de "l'Espace Ethique de l'Assistance Publique" confiée au  Chef du Service où ladite falsification a été faite 

 

8° - de l'occultation subséquente de la Revue dec référence "Archives of Neurology" à la bibliothèque du CHU Bicêtre

 

9° - du maintien en service de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses et les "hautes protections" administratives et judiciaires dont elles jouissait  malgré (ou à cause de ?) ce qui s'y passait.

 

10° - De la nomination du Dr. Patrice Bodenan  au poste de président du Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins en Ïle-de-France et son Memoire de médecine légale en 1999 sur les "Problèmes éthiques posés par les Commissions de Conciliation hospitalières", Mémoire patroné par le non moins éthique Pr. Christian Hervé

    

et 11° - à la même époque de l'incendie des archives et la réfection totale de  Mairie de l'Haÿ-les-Roses, une réfection luxieuse qui a grevé et continue de le grever lourdement  le budget de la Municipalité de l''Haÿ-les-Roses 

 

- Comme l'avait signalé le Dr.Claude Poulain,  l'ex Secrétaire général du Conseil de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne à propos du Dr. Bodenan et de son président Jean Pouillard,  qui savait les turpitudes et les protections dont jouissaient les médecins Clinique de l'Haÿ-les-Roses,  "le ver est dans le fruit".  

  

                                                                                       - / -

 

 

Exemple de soumission à un "ordre" de maltraitance mortelle : le décès de mon père est survenu inopinément dans l'après-midi du 2 octobre 1994, la veille de sa sortie de l'hôpital Charles-Foix, un hôpital de l'Assistance Publique situé à Ivry-sur-Seine.

 

 

Aucune recherche sur la cause de sa mort n'a été entreprise malgré (ou plutôt à cause de ) son importance médico-légale.

 

Plus curieusement encore, mon père avait 4 ans plus tôt pu échapper de justesse à la mort alors qu'il était hospitalisé dans un autre Service du même hôpital : voyant qu'il allait de plus en plus mal, une infirmière m'avait demander de vérifier le traitement administré. De fait, celui-ci ne correspondait pas à celui qu'il aurait impérativement fallu faire, ce qui m'avait obligé d'intervenir : mon père souffrait alors d'un syndrome neuro-anémique manifeste, un syndrome neurologique douloureux très angoissant et inéluctablement mortel s'il n'est pas traité comme il convient, c'est-à-dire par une vitaminothérapie B12 intensive, urgente et prolongée. La maladie de Biermer - aussi appelée "anémie pernicieuse" - est de loin la principale cause de ce syndrome. C'est une affection fréquente, au traitement codifié, tout le contraire d'une maladie orpheline.

 

- / - 

 

Mon père avait  pu être sauvé vraiment in extremis : bien que le retard apporté au vrai traitement ait indubitablement été cause de séquelles motrices sévèrement invalidantes, les médecins experts, par solidarité corporatistes avec les responsables ( par "consentement meurtrier", conformément aux desiderata manifestes du parquet, minimisèrent à l'extrême dans leurs conclusions les énormes fautes qui avaient été commises et leurs terribles conséquences. Le rescapé avait, à juste titre, pu porter plainte pour coups et blessures volontaires, mise en danger de la vie et non assistance à personne en péril, malgré les réticences du procureur et les menaces de l'Ordre des médecins - à son et à mon encontre ( et à l'encontre de ses avocats, qui furent terrorisé-e-s par le Dr. Patrice Bodenan °°°, déclaré "très influent au Palais" ).

 

S'agissant d'une affaire criminelle aussi sensible que l'affaire Boulin, j'ai l'ai portée sur Internet (réf. Google n° 73331815 html (en remplacement du n° 34640354 devenu illisible et inaccessible), 93849354 html et 97307227 html (entre autres) afin que le Pr. Gérard Saïd en tant qu'il a couvert les agissements de ses subordonnés et à caché le dossier du malade daigne donner suite aux menaces de plainte qu'il avait proférées contre moi.

Il les avait proférées le 24 septembre 2004 devant le Pr. Patrick Hardy, lors d'une soi-disant Commission de Conciliation (tout à fait bidon) organisée par Madame Isabelle Pilot,"chargée des relations de l'hôpital avec la Clientèle" après que la CADA a fait suite à ma demande que le dossier du malade me soit enfin communiqué ( il l'avait, avec l'aval du Conseil de l'Ordre - via le Dr. Patrice Bodenan - communiqué aux médecins de la Clinique Elmelik ! contre qui mon père avait porté plainte.

 

Du fait que la tentative d'assassinat perpétrée en 1990 avait ratée, que la soi-disant "erreur" de traitement qui avait été commise pouvait être comprise pour ce qu'elle était, c'est-à-dire intentionnelle, la tentative avait rapidement fait l'objet d'un maquillage et de dissimulations de preuves afin de tuer dans l'œuf l'éventualité d'une plainte du rescapé ou de sa famille.

J'avais en 1990 pu contrer cet assassina sans savoir que c'en était un grâce au signalement des infirmières de l'Unité de Soins Normalisés (sic) de l'hôpital Charles-Foix. Elles avaient trouvé bizarre, et s'en étaient inquiétées , qu'il leur soit demandé par leur Chef de Service de faire semblant d'administrer un traitement qu'elles savaient le seul à pouvoir sauver la vie du patient.

 

Malgré l'opposition farouche de ma sœur, qui pourtant avait été témoin de ce qui était arrivé, mon père porta plainte pour coups et blessures, mise en danger de la vie et non assistance à personne en péril devant le procureur dans une courte lettre datée du 17 décembre 1990 (adressée au TGI de Créteil).

 

Mon père lui ayant répété les dires de la Police de l'Haÿ-les-Roses au sujet de l'activité des médecins de la Clinique Elmelik, ma soeur, craignait les conséquences financières d'un procès contre des gens présumés "intouchables" (selon les dires du Commandant Christian Raeckelboom, le 23 janvier 1991 lors lors de l'audition, ils étaient protégés en hauts lieux. Il n'arrivait pas à se l'expliquer, l'attribuant à la grande fortune des Elmelik, héritiers par leur mère d'une famille de banquiers).

 

Lorsqu'il porta plainte, mon père croyait qu'il devait la vie aux neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd, qui l'avaient pris en charge.

ll avait une première fois failli mourir d'hémorragies cataclysmiques dans la Clinique Elmelik, sise à l'Haÿ-les-Roses, la Commune où il habitait. Il y avait consulté un rhumatologue, qui, au lieu de lui prescrire des semelles orthopédiques, ce pourquoi il était allé le voir, lui proposa la cure d'un cor (un acte anodin coté K20 à faire sous garrot d'orteil et anesthésie locale, un acte qui ne nécessite pas la mise sous anticoagulants).

 

Sans prévenir, il lui imposa, après l'avoir fait endormir une double opération orthopédique, faite précipitamment (à la sauvette) dans des conditions rocambolesques. Les suites furent désastreuses, poune pas dire épouvantables. Les actes non seulement étaient absurdes et interdits, mais néfastes (sauf pour le cash flow de la Clinique). Ils n'ont fait que précipiter et aggraver l'anémie pernicieuse. .

L'erreur de mon père dans la formulation de sa plainte fut de l'avoir pincipalement axée contre le pseudo chirurugien et l'anesthésiste de cette Clinique. Au lieu de se limiter à l'acte très limité qu'il lui avait proposé (la cure d'un cor au pied, un acte en K 20, un acte qui se fair sous anesthésie locale et qui ne nécessite pas de traitement anticoagulant en post-opératoire).

 

Son erreur pouvait se comprendre. Il était dans le coma quand il reçut lr traitement qui le tira d'affaire. Il croyait que c'était aux médecins de l'Assistance publique qu'il devait la vie alors que c'était aux infirmières de l' USN du Dr. Beinis qu'il la devait. Elles avaient su faire le bon diagnostic : à des signes caractéristiques lors d'une tentative pour l'alimenter, la Surveillante (Mme Pondu) avait compris de quoi il s'agissait, c'est-à-dire que le traitement administré non seulement était erroné, mais qu'il allait bientôt être fatal ai malade (en l'alimentant, la Surveillante avait remarqué au'il présentait ce que l'o, appelle une glossite de HUNTER, qui est une des caractéristiques de la maladie de Biermer et des syndromes neuro-anémiques.

 

Bien qu'elle ait signalé le fait au Chef de Service, elle n'avait pas réussi à faire changer le traitement. Elle avait alors délégué une de ses infirmières pour me le faire comprendre. J'avais ainsi pu (et dû) prendre moi-mêrme la responsabilité de rectifier le traitement et de sauver la vie de mon père au dernier moment, alors qu'il était en train de mourir.

 

Si dans cette sinistre aventure mon père avait perdu la vie, il aurait fallu porter plainte pour homicide volontaire prémédité et escroquerie en bande organisée, et non, comme il l'avait fait, contre les médecins de la Clinique Elmelik, dans l'ignorance qu'il était de ce qui s'était réellement tramé à son encontre, qui impliquait autant les médecins de la Clinique Elmelik que les neurologues chez qui il avait ensuite atterri.

 

J'étais moi aussi à ce moment-là loin de savoir que ce qui s'y était passé pouvait avoir quelques rapports avec les transfusions de sang dont mon père avait "bénéficié" en avril 1984 à l'hôpital Saint-Antoine. A cette époque, en 1990, j'étais "le nez dans le guidon". Les informations complémentaires sont venues après enquête. J'étais alors loin de savoir que la Clinique Elmelik était avec l'hôpital Bicêtre impliquée dans une communauté d'intérêts. Je n'ai trouvé cette information que fortuitement le 15 avril 2010 (cf. infra).

 

La nécessité de sauvegarder l'existence de cette Clinique était bien plus prosaïque que ce que je pouvais croire d'après ce que l'Inspecteur Christian Raeckelboom m'avait révélé au Commissariat de l'Hay-les-Roses le 23 janvier 1991: la Clinique Elmelik était comme il me l'avait annoncé, "protégée en hauts lieux" , mais les protections dont elle bénéficiait résultaient moins de ce que le Dr. Jean-Claude Elmelik s'y livrait à des viols sur les parturientes que de ce qu'elle servait de solution finale aux Services qui avaient à se débarrasser des malades dont les hôpitaux avaient à se débarrasser, qui avaient fait l'objet de contaminations "nosocomiales" aux VIH. C'était parce que les propriétaires avaient accepter de remplir cette fonction que leur Clinique était "protégée en hauts lieux''. C'est ce qui permettait au Dr. Jean-Claude Emelik et à ses médecins de s'y livrer à toutes sortes d'extravagances.

 

Il n'y allait donc pas tant de la réputation de cette Clinique. Elle était déjà si décriée (et vantée) que sa réputation n'était plus à faire. Il ne s'agissait pas non plus de la seule réputation du Service de neurologie du Pr. Gérard Saïd, mais au delà de sa réputation, de celle de l'Assistance Publique toute entière, et de la tranquillité des responsables mais non coupables de décisions qui se sont révélées dans l'après-coup désastreuses (meurtrières), et finalement beaucoup plus coûteuses en réparation des préjudices qu'escompté qu'à l'époque où l'on croyait que seulement 5 % des personnes contaminées par des produits sanguins contaminés développeraient un sida maladie. Des produits que les hôpitax de l'A.P. avaient accepté d'écouler.

 

C'est ce qui explique il avait tout de suite eu dissimulation de preuves et mystifications pour nous empêcher de voir que mon père avait été contaminé en avril 1984 parce que la symptomatologie qu’il avait développée correspondait à la symptomatologie neurologique des contaminations VIH . L'incidence de la maladie de Biermer s’était accrue de 20 % depuis l’extension des contaminations VIH, ce qui explique aussi les effets bénéfiques de la vitamine B12, maintes fois signalés dans la littérature médicale concernant les sida d’expression neurologique (Cf. "Archives of Neurology", Revue comme par hasard retirée des rayonnages de la bibliothèque universitaire du C.H.U. Bicêtre, sous prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (dixit le Pr. Gérard Saïd)

 

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 Pour  complément  se reporter  à 73331815 html

 

 

 

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28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 13:42

 

On compte environ 2 millions de victimes d'incestes en France, cependant que Freud  parlait de "fantasmes" quant à la réalité de ces pratiques, alléguées par les victimes, quand, très rarement, elles osaient s'en plaindre.

 

Freud a dû son succès au fait qu'il a très habillement su inventer une théorie négationniste après qu'il s'est aperçu que dénoncer la réalité le menait à une impasse professionnelle : Richard von Krafft Ebing n'y a pas été pour rien dans le revirement de Freud  pour s'être  moqué de sa communication faite à la Société de psychiatrie de Vienne le 21 avril 1896, la qualifiant de  "beau conte scientifique" (Cf. Marie Balmary "L'homme aux statues". Ed. Grasset, 1979, réédité en,1997).

 

 Freud a été hanté jusqu'à la fin de sa vie par la remarque de Krafft Ebing au sujet de sa communication sur les attentats sexuels commis sur des enfants  alors qu'il avait essayé de dire une réalité qu'il connaissait : mais ne pas être cru et être torné en dérison quand on rapporte réalité et être cru quand on invente est une expérience banale, mais renversante, voire pervertissante, car comme l'a bien remarqué le Dr. Boris Cyrulnik, elle incite à dire des pseudo vérités plaisantes ou acceptables plutôt de des réalités déplaisantes et révoltantes.

 

Comme à Kékulé, qui avait trouvé en rêve la solution de la formulation de la structure chimique du  benzène, la solution lui était venue quelques mois plus tard dans le rêve qu'il fit à l'occasion de la mort de son père : " Il faut fermer les yeux". C'est-à-dire ne pas chercher à montrer  des réalités choquantes, mais au contraire chercher à les nier. Le psychiatre français Pierre Janet lui en fournit un des  moyens avec la notion de refoulement. 

 

Le succès de ses constructions tortueuses etv renversantes  étonnèrent  Freud lui-même.

 

 

 

C'était bien  vu de sa part. Il avait espéré tirer gloire d' avoir été le premier à avoir perçu une relation de cause à effet entre les "attentats sexuels" (abus et agressions) et les névroses en tant que celles-ci étaient  post-traumatiques . Mais sa "découverte" n'avait pas eu l'heur de plaire. Rencontrant des "resistances", il l'avait habillement "refoulée" dans une inversion de la chaine des causalités qu'il faut bien appeler diabolique, à l'instar de ces experts rémunérés pour démontrer l'innocuité de certains  produits industriels.  

 

A la fin de sa vie, il se demanda ce qu'il resterait de son "beau conte scientifique", si tout ce qu'il avait inventé ne s'écroulerait pas un jour  "comme un château de cartes".  

 

Freud avait  commencé par  signaler  les relations incestueuses en tant qu'elles sont psychopathogènes, responsables de névroses  post-traumatiques (névroses hystériques, obsessionelles ... ).

Au sujet des enfants battus, alors qu'il savait pertinnement que les violences faites aux enfants étaient réelles  (cf. les recherches de Jeffrey Moussaïeff Masson "Le réel escamoté", 1984, Aubier éditeur), il inventa qu'il s'agissait essentiellement de fantasmes liés à des désirs pervers inconscients (cf. un  texte de 1919  intitulé "Ein Kind wird geschlagen " ("On bat un enfant")

 

Ce texte lui a en  grande partie été inspiré par sa fille Anna, à qui, dans une relation qu'on peut qualifier de perverse, il faisait raconter sa vie  sexuelle, ( c'est dire combien Freud était entré avec sa fille dans une relation "incestuelle", pour ne pas dire incestueuse (incestuelle,  au sens que Paul-Jean Racamier donne à ce terme). 

 

Freud  écrivait  " La représentation fantasmatique " un enfant est battu" est avouée avec une fréquence étonnante par des personnes qui ont demandé un traitement psychanalytique pour une hystérie ou une névrose obsessionnelle. Il est très vraisemblable qu'elle se présente plus fréquemment encore chez d'autres personnes qui ne sont pas contraintes par une maladie manifeste à prendre cette décision.

 

A ce fantasme sont attachés des sentiments de plaisir à cause desquels il a été d'innombrables fois reproduit ou est encore toujours reproduit. Au paroxysme de la situation représentée survient presque régulièrement une satisfaction onanistique (donc au niveau des organes génitaux), d'abord avec le consentement de la personne mais aussi bien, par la suite, avec un caractère compulsionnel et contre son gré.

 

L'aveu de ce fantasme n'est consenti qu'avec hésitation, le souvenir de sa première apparition est incertain, une résistance sans équivoque s'oppose au traitement analytique de cet objet, honte et sentiment de culpabilité s'émeuvent à cette occasion peut-être avec plus de force que lors de communications semblables portant sur les premiers souvenirs de la vie sexuelle"..   

 

Le 24 janvier dernier, dans l'émission télévisée de France 5 consacrée à la maltraitance des enfants ("SOS ENFANTS MALTRAITES" ), une  pédiatre qui est aussi médecin légiste, le Dr. Caroline Rey-Salmon, a employé l'expression "Aller au casse pipe  " au moment où il était question de faire des signalements.

  

Pourquoi ?

 

Parce qu'en France, on confond signalement et délation : on préfère faire courrir des risques mortels à des enfants plutôt que de s'exposer à des mesures de retorsions.

 

De fait, en 1999, le Dr. Catherine Bonnet avait été interdite à trois fois trois ans = neuf ans d'exercice de la médecine par l'Ordre des médecins pour avoir fait son devoir. Cela l'avait profondément affectée et avait marqué les esprits.

 

Pourtant, une fois obtenu l'effet recherché, cette interdiction fut assez rapidement levée. Le Dr. Bonnet reçut la Légion d'Honneur. Il s'était agi pour l'Ordre des médecins de marquer les esprits. Non seulement l'esprit des médecins qui seraient tentés de suivre son exemple, mais aussi à l'époque celui de Maître Régine de la Morinerie, avec laquelle le Dr. Bonnet coopérait à Enfance Majuscule (Fondation Danan), parce que cette avocate avait à défendre une autre grave affaire de maltraitance institutionnelle  - la plus difficile à combattre, estimaient le Dr. Stanislaw Tomkiewicz  et  Pascal Vivet - une affaire qui en cachait quantité d'autres

 

Pour ne pas avoir à connaître le sort de ses prédécesseurs, qui avaient été obligé(e)s de mettre la clé sous la porte, Maître de la Morinerie reçut le message 5/5. Elle s'arrangea dès lors pour saboter la cause qu'elle avait à défendre (ce qui s'appelle vulgairement se ranger  du côté du manche). Le procédé semble rôdé quand il s'agit de protéger ce que certains applellent "du gros poisson" (Cf. "Dossiers pédophiles", Flammarion 2001, et "Quand l'Ordre règne" Mango Documents, avril 2001). 

 

Cette autre affaire concernait non pas un enfant, mais un malade de l'Assistance Publique en état de vulnérabilité. 

 

Il avait en 1990 une première fois failli être envoyé ad patres au décours d'une opération tout à fait illicite et formellement interdite (une double opération orthopédique à visée prétendument "esthétique" (selon ses opérateurs) .

 

L'opération avait été pratiquée par surprise. Elle n'avait aucune raison d'être (hormis le cash-flow de la Clinique) sur un malade de 79 ans (le père de l'auteur de ces lignes). 

 

Le patient souffrait d'une insuffisance coronarienne et était sévèrement hypertendu - à 24/13 mesurée le matin avant l'opération-surprise - cependant qu'il était vulnérabilisé et déjà très affaibli par une neuro-anémie intercurrente et des épistaxis à répétions dans les jours précédents l'opération (la dernière hémorragie nasale avaient été cautérisée en urgence par l'ORL de la Clinique une dizaine de jours avant l'opération. Pour plus de détails sur cette affaire, cf. sur Google 73331815 html et l'article renvoyant aux euthanasies compassionnelles de Christine Malèvre et/ou à  93849354 html)

 

Devant les hémorragies cataclysmiqes qui succédèrent inévitablement à l'opération, il avait fallu de toute urgence arrêter le traitement anticoagulant préventif des embolies, donc y exposer le malade. Un syndrome tétrapyramidale se déclara, qui conduisit celui-ci à être hospitalisé à Bicêtre en urgence, où un diagnostic de syndrome neuro-anémique fut tout de suite porté au vu de la symptomatologie clinique (tableau de sclérose combinée) et de l'hémogramme. Il fut sur ce diagnostic immédiatement transféré en neurologie.

L'opération-surprise avait été effectuée non par un chirurgien, mais par un rhumatologue de 68 ans. Il l'avait faite dans une Clinique obstétricale certes agréée par les Caisses de la SS, sans pour autant disposer d'un bloc opératoire aux normes.

 

Depuis que son médecin-propriétaire avait été suspendu d'exercice par l'Ordre après une condamnation judiciaire pour viol - une suspension de six mois - la Clinique était à vendre et se consacrait essentiellement depuis aux "soins de suite", ainsi qu'elle encore actuellement.

 

Faute d'avoir reçu comme il convenait le traitement nécessaire à son rétablissement, le malade était resté lourdement handicapé au point de vue moteur, et son fils fut menacé de représailles ordinales pour ne l'avoir empêché de porter plainte. 

 

Tels sont les "Droits de l'Homme" en France que le Conseiller ordinal °°°  que avait  cherché (et réussi par ses menaces) à l'empêcher de porter plaine a été hissé au poste de président du Conseil disciplinaire de l'Ordre en Ile de France.   

L'euthanasie des malades contaminés par le VIH avait été  secrètement programmée dans certains hôpitaux de l'Assistance Publique et certains autres établissements de soins. Les prétendues "euthanasies" qui y étaient pratiquées contredisent les valeurs de ceux qui les proclament de manière tapageuse à travers l'Espace Ethique de l'Assistance Publique, un écran de fumée créé à dessein pour masquer des réalités inavouables. 
Dans l'espoir que de courageux journalistes  prendraient conscience de la gravité de ce dont il s'agit, j'ai placé sur Internet sous diverses rubriques ce dont mon père fut victime  afin que sa douloureuse  "euthanasie"  ratée  ne soit pas, comme elle l'a tout de suite été, étouffée par les manipulations post-actées et des menaces (voir 69970222  et 73331815 html) . Y ont été juges et parties prenantes l'Ordre des médecins, l'administration de l'Assistance publique et les Ministères concernés (Recherche, Santé et Justice).
La mystification médico-judiciaire qui en est résultée peut paraître incroyable : lors de son hospitalisation dans le Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre en août 1990, ni moi ni mon père ne pouvions imaginer que, alors qu'il était aux mains de neurologues expérimentés et relevant de l'INSERM, qui plus est spécialisés dans le traitement de la maladie qu'il présentait, plutôt que de le soigner réellement, ceux-ci allaient tenter de mettre mettre secrètement fin à ses jours en lui faisant administrer un faux traitement, et cela non pas par erreur, comme ils voulurent me le faire croire a posteriori, mais dans l'intention savamment calculée de satisfaire à des directives qui allaient dans le sens d'intêréts particuliers - en l'occurrence ceux de l'Assistance publique, du CNTS, et accessoirement, et non pas essentiellement, comme la police  m'en avait informé, seulement ceux des propriétaires de la Clinique Elmelik, ceux-ci étant selon ses dires "protégés en hauts lieux". La police et les médecins libéraux environnants ignoraient apparemment que c'était pour ses basses oeuvres au service du CNTS et des établissements hospitaliers que la Clinique Elmelik jouissait de "hautes  protections".
Résumé des circonstances de découverte :
Les infirmières de l' "Unité de Soins Normalisés" de l'hôpital Charles-Foix avaient d'elles-mêmes compris que le traitement qu'elles avaient à administrer à leur malade était mortel, ce pourquoi elles m'avaient demandé de venir le vérifier. Le malade put ainsi échappa à une mort savamment concoctée pour paraître avoir été naturelle. Couvert par la hiérarchie hospitalière, le prescripteur - aux ordre de la hierarchie - récidiva quelques années plus tard au CHU de Mantes-la-Jolie, où il trouva en Christine Malèvre une exécutante à tout le moins plus servile que celles du Service du Dr. Jean-Yves Beinis.
Explication : l'ordre de ne faire que semblant de traiter le malade en lui adminstrant un faux traitement se devait de satisfaire un conflit d'intérêts au profit du CNTS tout en sauvegardant "l'image" de l'A.P.- H.P. : Savamment mis en condition, le Dr. Beinis n'avait fait qu'appliquer, sans chercher à comprendre ce qu'ils cachaient, malgré leur bizarrerie, des ordres qui venaient de "plus qualifiés que lui" (selon ses propres dires, en mars dernier).
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26 janvier 2012 4 26 /01 /janvier /2012 16:36

 

Le suicide des enfants a  récemment beaucoup fait parler de lui (Cf. le rapport de Boris Cyrulnik, préfacé par Jeannette Bougrab " Quand un enfant se donne la mort " ). 

 

Ce serait la deuxième cause de mortalité infantile ?

 

La maltraitance en serait la première cause, et de loin, car souvent responsable de séquelles physiques et psycho-traumatiques, conduisant à de suicides parfois très tardifs par rapport à la maltraitance causale, avec laquelle le rapport de cause à effet n'est fait, ni par les médecins, ni par les victimes : on compte par exemple  environ 2 millions de victimes d'inceste en France cependant que Freud  parlait de "fantasmes" au sujet des plaintes adressées aux "analystes". De même au sujet de la maltraitance (cf. son texte de 1919  intitulé "On bat un enfant" (Ein Kind wird geschlagen).

 

Jusque dans les années 1990 à propos de la mort subite du nourrisson, on estimait en moyenne  à 1500 le nombre de cas (1464 en 1991) et on en attribua alors la cause principale aux recommandations qui avaient été faites de faire dormir les enfants sur le ventre. Depuis que cete recommandation a été condamnée, la fréquence de cette cause de MSN à fortement chutée, (350 en 1998) mais on sait aussi que le grand nombre des cas précédents cachait bon nombre d'infanticides. On peut même se demander - s'est-on seulement posé la question - si l'épidémie de déni de grossesse de ces dernières années n'a pas de rapport avec la découverte de ce que la MSN n'était pa toujours accidentelle ?   

 

Pour en venir à  la théorie du fantasme de l'enfant battu  (Cf. Négationnisme et perversion) cette théorie avait été inspirée à Freud  par sa fille Anna, qu'il analysa, lui faisant raconter ses fantasmes  sexuels. Elle ne faisait ce faisant que complaire à son père en lui racontant des "fantasmes" qui le renvoyait à ses propres théorisations fantasmatiques dans la relation perverse (fusionnelle et "incestuelle") qu'il avait noué avec elle, pour ne pas dire que ce type de ralation était incestuelle, sinon incestueuse : incestuelle,  au sens que Paul-Claude Racamier donne à ce terme, l'incestuallité ayant semble-t'il quelque rapport avec la perversion narcissique (Cf. Le Nouvel Observateur du 19 janvier 2012 l'article d'Anne Crignon)   c'est-à-dire avec la préhistoire et l'histoire personnelle de Freud. (Cf. Gabrielle Rubin "Le roman familial de Freud" Payot 2002, et Marie Balmary "L'homme aux statues" Grasset 1979 réédité en 1997). Freud aurait été un enfant "résilient ", c'est-à-dire un "gros transporteur de serotonine", selon la définition que Boris Cyrulnik accorde à cette notion biologisante).  

 

Je conseille aux lecteurs de comparer ce que Gabrielle Rubin a frait paraître chez Payot en 2007 (De la haine et du  pardon) par rapport à ce qu'elle a écrit cinq ans plus tôt sur "Le roman familial de Freud" (également chez Payot) et d'en tirer les conclusions sur le mensonge  psychanalytique de groupe.  

 

Le mensonge finit par engendrer la haine : transmis à Elisbeth Roudinesco 

qui a plusieurs fois posé la question "Pourquoi tant de haine" à propos de la psychanalyse.

 

Transmis aussi Jean-Louis Racca, de l'AFIS, qui a commis l'erreur de croire que Madame Chistine Gryson-Dejehanhart était psychanalyste (Dans le numero de Science et pseudo sciences de décembre 2010 consacré aux "dessous de la psychanalyse". Je lui conseille de lire "Outreau, la vérité abusée", paru chez  Hugo et Cie en octobre 2009 

 

On notera que la personnalité du pervers narcissique avait avait été assez bien décrite par Morlière dans son TARTUFFE.

 

En France, la tartufferie freudienne continue de sévir, de ruiner les esprits faire la fortune des psychanalystes : Science sans conscience fait la fortune des charlatants .... et le lit de la haine (Sig-is-mund Freud  le disait lui-même, qui déconseillait  d'analyser un ami. A ce propos, Freud n'aurait-il pas, par "hasard " analysé un certain Adolf(us) Hitler quand celui-ci était à Vienne avant la guerre de 14-18 ? Ou à Berchstesgaden ? Ou plus tard en novembre 1918 indirectement via le Dr. Edmund Forster alors qu'il était hospitalisé en psychiatrie à l'hôpital de PASEWALK pour une cécité "hystérique".  Le Dr. Forster avait à plusieurs reprises fait paraître son observation dans les annales sur le cas de "cécité hystérique" de son malade, et depuis la notion de "cécité hystérique" est devenu un classique.

Mais ces annales ont disparues avec le Dr Forster  en ... 1933, dès l'arrivé des nazis au pouvoir ! C'est aussi ça, le refoulement et la forclusion, sources de psycho-névroses en racine carrée  de moins un,  ainsi que le postulait Jacques Lacan)

 

En 1919 Freud  écrivait : << La représentation fantasmatique " un enfant est battu" est avouée avec une fréquence étonnante par des personnes qui ont demandé un traitement psychanalytique pour une hystérie ou une névrose obsessionnelle. Il est très vraisemblable qu'elle se présente plus fréquemment encore chez d'autres personnes qui ne sont pas contraintes par une maladie manifeste à prendre cette décision.

 

A ce fantasme sont attachés des sentiments de plaisir à cause desquels il a été d'innombrables fois reproduit ou est encore toujours reproduit. Au paroxysme de la situation représentée survient presque régulièrement une satisfaction onanistique (donc au niveau des organes génitaux), d'abord avec le consentement de la personne mais aussi bien, par la suite, avec un caractère compulsionnel et contre son gré.

 

L'aveu de ce fantasme n'est consenti qu'avec hésitation, le souvenir de sa première apparition est incertain, une résistance sans équivoque s'oppose au traitement analytique de cet objet, honte et sentiment de culpabilité s'émeuvent à cette occasion peut-être avec plus de force que lors de communications semblables portant sur les premiers souvenirs de la vie sexuelle".....>>  

 

Avant-hier mardi 24 août  janvier  (lapsus : c'est dans une lettre datée du 24 août 2004 que la CADA avait donné un avais favorable à ce qu'il  soit donné suite à ma demande de pouvoir consulter le dossier - soit disant perdu - de mon père) , dans l'émission télévisée de France 5 consacrée à la maltraitance des enfants ("SOS ENFANTS MALTRAITES" ), une  pédiatre qui est aussi médecin légiste, le Dr. Caroline Rey-Salmon, a employé l'expression "Aller au casse pipe  " au moment où il était question de faire des signalements, cependant que c'est une obligation légale de signaler les cas de maltraitance dont on a connaissance, ou même si seulement on en a seulement la suspicion. 

 

Pourquoi avoir employé une telle expression ?

 

Parce qu'en France, on confond signalement et délation : on préfère faire courrir des risques mortels à des enfants plutôt que de s'exposer à des mesures de retorsions. Et parce que "l'Ordrer règne".   

 

De fait, en 1999, le Dr. Catherine Bonnet avait été interdite à trois fois trois ans = neuf ans d'exercice de la médecine par l'Ordre des médecins pour avoir fait son devoir. Cela l'avait profondément affectée et avait marqué les esprits.

 

Pourtant, une fois obtenu l'effet recherché, cette interdiction fut assez rapidement levée. Le Dr. Bonnet reçut la Légion d'Honneur. Il s'était agi pour l'Ordre des médecins de marquer les esprits. Non seulement l'esprit des médecins qui seraient tentés de suivre son exemple, mais aussi à l'époque celui de Maître Régine de la Morinerie, avec laquelle le Dr. Bonnet coopérait à Enfance Majuscule (Fondation Danan), parce que cette avocate avait à défendre une autre grave affaire de maltraitance institutionnelle  - la plus difficile à combattre, estimaient le Dr. Stanislaw Tomkiewicz et  Pascal Vivet - une affaire qui en cachait quantité d'autres

 

Pour ne pas avoir à connaître le sort de ses prédécesseurs, qui avaient été obligé(e)s de mettre la clé sous la porte, Maître de la Morinerie reçut le message 5/5. Elle s'arrangea dès lors pour saboter la cause qu'elle avait à défendre (ce qui s'appelle vulgairement se ranger  du côté du manche). Le procédé semble rôdé quand il s'agit de protéger ce que certains applellent "du gros poisson" (Cf. "Dossiers pédophiles", Flammarion 2001, et "Quand l'Ordre règne" Mango Documents, avril 2001). 

 

Cette autre affaire concernait non pas un enfant, mais un malade de l'Assistance Publique en état de vulnérabilité. 

 

Il avait en 1990 une première fois failli être envoyé ad patres au décours d'une opération tout à fait illicite et formellement interdite (une double opération orthopédique à visée prétendument "esthétique" (selon ses opérateurs) .

 

L'opération avait été pratiquée par surprise. Elle n'avait aucune raison d'être (hormis le cash-flow de la Clinique) sur un malade de 79 ans (le père de l'auteur de ces lignes). 

 

Le patient souffrait d'une insuffisance coronarienne et était sévèrement hypertendu - à 24/13 mesurée le matin avant l'opération-surprise - cependant qu'il était vulnérabilisé et déjà très affaibli par une neuro-anémie intercurrente et des épistaxis à répétions dans les jours précédents l'opération (la dernière hémorragie nasale avaient été cautérisée en urgence par l'ORL de la Clinique une dizaine de jours avant l'opération. Pour plus de détails sur cette affaire, cf. sur Google 73331815 html et l'article renvoyant aux euthanasies compassionnelles de Christine Malèvre et/ou à  93849354 html)

 

Devant les hémorragies cataclysmiqes qui succédèrent inévitablement à l'opération, il avait fallu de toute urgence arrêter le traitement anticoagulant préventif des embolies, donc y exposer le malade. Un syndrome tétrapyramidale se déclara, qui conduisit celui-ci à être hospitalisé à Bicêtre en urgence, où un diagnostic de syndrome neuro-anémique fut tout de suite porté au vu de la symptomatologie clinique (tableau de sclérose combinée) et de l'hémogramme. Il fut sur ce diagnostic immédiatement transféré en neurologie.

L'opération-surprise avait été effectuée non par un chirurgien, mais par un rhumatologue de 68 ans. Il l'avait faite dans une Clinique obstétricale certes agréée par les Caisses de la SS, sans pour autant disposer d'un bloc opératoire aux normes.

 

Depuis que son médecin-propriétaire avait été suspendu d'exercice par l'Ordre après une condamnation judiciaire pour viol - une suspension de six mois - la Clinique était à vendre et se consacrait essentiellement depuis aux "soins de suite", ainsi qu'elle encore actuellement.

 

Faute d'avoir reçu comme il convenait le traitement nécessaire à son rétablissement, le malade était resté lourdement handicapé au point de vue moteur, et son fils fut menacé de représailles ordinales pour ne l'avoir empêché de porter plainte. 

 

Tels sont les "Droits de l'Homme" en France que le Conseiller ordinal °°°  que avait  cherché (et réussi par ses menaces) à l'empêcher de porter plaine a été hissé au poste de président du Conseil disciplinaire de l'Ordre en Ile de France.   

L'euthanasie des malades contaminés par le VIH avait été  secrètement programmée dans certains hôpitaux de l'Assistance Publique et certains autres établissements de soins. Les prétendues "euthanasies" qui y étaient pratiquées contredisent les valeurs de ceux qui les proclament de manière tapageuse à travers l'Espace Ethique de l'Assistance Publique, un écran de fumée créé à dessein pour masquer des réalités inavouables. 
Dans l'espoir que de courageux journalistes  prendraient conscience de la gravité de ce dont il s'agit, j'ai placé sur Internet sous diverses rubriques ce dont mon père fut victime  afin que sa douloureuse  "euthanasie"  ratée  ne soit pas, comme elle l'a tout de suite été, étouffée par les manipulations post-actées et des menaces (voir 69970222  et 73331815 html) . Y ont été juges et parties prenantes l'Ordre des médecins, l'administration de l'Assistance publique et les Ministères concernés (Recherche, Santé et Justice).
La mystification médico-judiciaire qui en est résultée peut paraître incroyable : lors de son hospitalisation dans le Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre en août 1990, ni moi ni mon père ne pouvions imaginer que, alors qu'il était aux mains de neurologues expérimentés et relevant de l'INSERM, qui plus est spécialisés dans le traitement de la maladie qu'il présentait, plutôt que de le soigner réellement, ceux-ci allaient tenter de mettre mettre secrètement fin à ses jours en lui faisant administrer un faux traitement, et cela non pas par erreur, comme ils voulurent me le faire croire a posteriori, mais dans l'intention savamment calculée de satisfaire à des directives qui allaient dans le sens d'intêréts particuliers - en l'occurrence ceux de l'Assistance publique, du CNTS, et accessoirement, et non pas essentiellement, comme la police  m'en avait informé, seulement ceux des propriétaires de la Clinique Elmelik, ceux-ci étant selon ses dires "protégés en hauts lieux". La police et les médecins libéraux environnants ignoraient apparemment que c'était pour ses basses oeuvres au service du CNTS et des établissements hospitaliers que la Clinique Elmelik jouissait de "hautes  protections".
Résumé des circonstances de découverte :
Les infirmières de l' "Unité de Soins Normalisés" de l'hôpital Charles-Foix avaient d'elles-mêmes compris que le traitement qu'elles avaient à administrer à leur malade était mortel, ce pourquoi elles m'avaient demandé de venir le vérifier. Le malade put ainsi échappa à une mort savamment concoctée pour paraître avoir été naturelle. Couvert par la hiérarchie hospitalière, le prescripteur - aux ordre de la hierarchie - récidiva quelques années plus tard au CHU de Mantes-la-Jolie, où il trouva en Christine Malèvre une exécutante à tout le moins plus servile que celles du Service du Dr. Jean-Yves Beinis.
Explication : l'ordre de ne faire que semblant de traiter le malade en lui adminstrant un faux traitement se devait de satisfaire un conflit d'intérêts au profit du CNTS tout en sauvegardant "l'image" de l'A.P.- H.P. : Savamment mis en condition, le Dr. Beinis n'avait fait qu'appliquer, sans chercher à comprendre ce qu'ils cachaient, malgré leur bizarrerie, des ordres qui venaient de "plus qualifiés que lui" (selon ses propres dires, en mars dernier).
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17 janvier 2012 2 17 /01 /janvier /2012 16:14

Cet article fait suite au précédent  consacré  aux "euthanasies compassionnelles"   

Du fait que l'assassinat de mon père  (son montage est  exposé dans le précédent article sur les euthanasies compassionnelles de Christines Malèvre, ses "euthanasies"  pouvant aussi bien être dénommées euthanasies par procurations)  avait raté  et qu'il risquait de ne pas passer inaperçu en tant qu'assassinat, il fit très rapidement l'objet d'un maquillage et de dissimulations de preuves visant à neutraliser dans l'œuf  l'éventualité d'une plainte du rescapé ou de sa famille, et à le faire passer pour un accident vasculaire aux yeux de la justice.

Selon un de mes informateurs, expert agréé auprès des tribunaux, les anciens propriétaires de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses avaient, avant la dernière guerre,  déjà réussi à faire passer devant la justice la mort par éléctrocution d'un manipulateur de la radiologie pour un infarctus du myocarde ! Je n'ai pas le moyen de vérifier cette affirmation, mais elle cadre avec ce que j'ai appris par ailleurs. 

 

L'auteur du présent rapport est médecin. Il est le fils de la victime. Il avait pu contrer l'assassinat e son père grâce a un signalement des infirmières de l'U.S.N, de l'hôpital Charles-Foix  qui avaient trouvé bizarre et choquant qu'il leur soit demandé de faire semblant d'administrer un traitement qu'elles savaient salvateur.  Laissons-lui la parole en première personne.                                                                                                      

                                                                                                       ---

 

Malgré l'opposition farouche de ma sœur, qui pourtant avait été témoin de ce qui s'était passé, mon père porta plainte pour coups et blessures et mise en danger de la vie devant le procureur dans une courte lettre datée du 17 décembre 1990 adressée au TGI de Créteil. Mais soeur  y était farouchement opposée parce qu'elle craignait les conséquences financières d'un procès contre des gens présumés intouchables, connus de la police qui enregisrait les plaintes  pour être "protégés en hauts lieux". 

Lorsqu'il porta plainte mon père croyait encore qu'il devait la vie aux neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd.

Son erreur peut se comprendre. Il était dans le coma quand je suis intervenu pour le tirer d'affaire.

Il avait été admis en neurologie début août 1990 après avoir été gravement agressé dans la Clinique de sa Commune par un médecin rhumatologue de 68 ans qui lui avait infligé sans autorisation aucune, à la suvette, une double opération orthopédique non seulement inutile, sauf pour le cash flow de ladite Clinique, mais interdite parce que très dangereuse dans l'état de faiblesse maladive où il se trouvait alors. Je passe sur l'énumération des contre-indications qu'il y avait à l'opérer. Elles étaient  nombreuses, rédibitoires et toutes absolument évidentes.  Des hémorragies cataclysmiques post-opératoires en étaient résultées qui l'avaient affaibli encore un peu plus qu'il ne l'était du fait de la maladie neurologique qui déjà était la cause de ses difficultés, qui le fit basculer dans un syndrome neuro-anémique caractérisé.  D'où son hospitalisation en neurologie en août 1990 après cette opération incongrue.

Ce fut non pas aux neurologues, mais aux infirmières du Service USN (Unité de Soins Normalisés) de l'hôpital Charles-Foix qu'il allait en septembre 1990 devoir la vie. Les infirmières y avaient d'elles-mêmes su faire le bon diagnostic. Lors de son alimentation, des signes digestifs caractéristiques de la maladie de Biermer et des syndromes neuro-anémiques étaient apparus (une glossite de HUNTER). La Surveillante avait ainsi compris que le faux traitement que le Chef de Service demandait d'administrer au malade était non seulement erroné, mais meurtrié.

 

Malgrécette constation, la Surveillante n'avait pas pu faire changer les ordres du Chef de Service quant au traitement qu'il faisait suivre au malade (ou plutôt l'absence de traitement adéquat), préférant  se fier aveuglément au consignes que les neurologues de Bicêtre lui avaient signifiées. Un mauvais traitement suivi par procuration, c'est-a-dire un traitement laissant libre cours à une maladie à tout coup mortelle,  c'est à dire à un assassinat par procuration.     

Me  sachant médecin, la Surveillante avait délégué une de ses infirmières pour me le faire discrètement comprendre. Celle-ci m'avait ainsi d'un air innocent invité à venir vérifier le cahier de prescription après avoir ostensiblement attiré mon attention sur ce qu'elle était en train d'administrer au malade. J'avais ainsi pu prendre la responsabilité de  rectifier le traitement et de sauver ainsi la vie de mon père au dernier moment, alors qu'il était en train de mourir (Cf. sur Internet chapitre IV de mon rapport sur cette affaire. Réf. Gooble n° 73331815 html).

Si dans cette sinistre aventure mon père avait perdu la vie, où s'il était resté trop diminué pour porter plainte parce que la rectification de son traitement avait été trop tardive, j'aurais évidemment moi-même porté plainte.  

Il aurait alors fallu que je le fasse pour homicide volontaire prémédité  et escroquerie en bande organisée, et non, comme mon père  l'avait fait, contre les médecins de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses (alors Clinique Elmelik), dans l'ignorance qu'il était longtemps resté de ce qui s'était réellement joué à son encontre, qui impliquait autant les médecins de de la Clinique Elmelik que les médecins neurologues chez qui il avait atterri à l'hôpital Bicêtre, qui l'adressèrent au Dr. Beinis, Chef de l'USN de l'hôpital Charles-Foix. 

J'étais moi aussi à ce moment-là loin de savoir que ce qui s'y était passé pouvait avoir quelques rapports avec les transfusions de sang dont mon père avait "bénéficié" en avril 1984 à l'hôpital Saint-Antoine. A cette époque, en 1990, j'avais le nez dans le guidon, je n'avais pas le recul suffisant pour voir le tableau dans son ensemble. Les informations complémentaires me sont venues après, peu à peu, au fur et à mesure de ma propre enquête, faite à partir d'informations qui se recoupaient (Cf. 73331815 html),  J'ignorais alors que la Clinique Elmelik était avec l'hôpital Bicêtre impliquée dans une communauté d'intérêts convergents. J'ai trouvé fortuitement l'ultime confirmation de ce qu'il s'était agi d'un meurtre  savamment prémédité   le 15 avril 2010  dans une discussion avec un membre du SAMU 94 (cf. infra).

La nécessité de sauvegarder l'existence de cette Clinique était bien plus prosaïque que ce que je pouvais savoir  d'après ce que l'Inspecteur Christian Raeckelboom m'avait révélé au Commissariat de l'Hay-les-Roses le 23 janvier 1991: si la Clinique Elmelik était  "protégée en hauts lieux" , cette protection ne résultait pas tant de ce que le Dr. Jean-Claude Elmelik s'y livrait à des viols sur les parturientes, mais de ce que la Clinique  servait de solution aux Services qui avaient à se débarrasser des malades dont les hôpitaux avaient à se débarrasser. C'était  surtout parce que les propriétaires avaient accepter de remplir ce rôle que leur Clinique était "protégée en hauts lieux''. Cette protection permettait au Dr. Jean-Claude Emelik et aux médecins de cette Clinique de se livrer à toutes sortes d'extravagances, y compris de violer les parturientes ou d'opérer les malades sans leur consentement,   

Il n'y allait donc pas vraiment de la réputation de cette Clinique. Elle n'était plus à faire.

C'est ainsi que le Dr. Patrice Bodenan, responsable du "bureau de presse" de l'Ordre du Val-de-Marne,  a été jusqu'à me reproché d'avoir laissé mon père entrer dans cette Clinique!

Il ne s'agissait pas non plus de la seule réputation du Service de neurologie du Pr. Gérard Saïd, mais au delà de celle-ci, de celle de l'Assistance Publique toute entière, et de la tranquillité des responsables mais non coupables de décisions (l'utilisation de produits sanguins contaminés) qui s'taient  révélées dans l'après-coup désastreuses (meurtrières) et beaucoup plus coûteuses en réparation des préjudices qu'escompté qu'à l'époque où l'on croyait que seulement 5 % des personnes contaminées par ces produits développeraient un sida maladie. Des produits sanguins que l'A.P. avait donc accepté d'utiliser. 

C'est ce qui explique que six ans plus tard, en 1990, quand il est tombé malade, il avait tout de suite eu dissimulation de preuves et mystifications pour nous empêcher de voir et de comprendre que mon père avait en fait été contaminé en avril 1984, la symptomatologie qu’il avait développée correspondant  à celle d'une maladie liée aux contaminations VIH à expression neurologique. L’incidence de la maladie de Biermer s’est en effet accrue de 20 % depuis l’extension des contaminations VIH, ce qui cadre d’ailleurs assez bien avec les effets bénéfiques de la vitamine B12 dans les sida s’exprimant par un syndrome neuro-anémique.

Que ce soit pour cette raison-là ou parce que le Service était incompétent au point de passer à côté d’une maladie si évidente que les infirmières de l’USN de Charles-Foix en avait elles-mêmes fait le diagnostic, ou que ce soit pour protéger la Clinique des Elmelik, toujours est-il que les neurologues de Bicêtre s’étaient arrangés pour que leur malade ne reçoive pas le seul traitement capable de lui sauver la vie , et que  le rtard apporté au vrai traitement  avait eu pour conséquence de le rendre gravement invalide sur le plan moteur au point que mon père y avait perdu son autonomie.

Quoi qu’il en soit, les procédés frauduleux des neurologues de Bicêtre se devaient d'aboutir à un très méprisant non-lieu judiciaire, c'est-à-dire à un déni de justice arrangé pour arranger l'Assistance Publique, le C.N.T.S., la CNAM et tutti quanti aux Ministères de la Recherche et de la Santé.

 

Les nombreuses preuves factuelles, indiscutables et accablantes que j'avais, malgré les obstacles, réussi à récupérer au Conseil de l'Ordre des médecins, à la C.P.AM. du 94 et à hôpital Charles-Foix pour les communiquer au parquet n‘ont servi à rien. Le parquet, sous le houlette de Michel Barrau, a superbement fait semblant de les ignorer cependant qu'une seule preuve aurait suffit qu’il a eu fautes et fraude. 

Tout ne s'était pas passé comme prévu en 1990 puisque mon père s'en était sorti vivant et avait pu récupérer ses esprits. C'est pourquoi il avait été nécessaire pour l'hôpital et le parquet d'improviser pour ajuster les mesures à prendre. Il fallait prendre en compte des réactions de la victime et celles de sa famille. C'est pourquoi après que mon père s'est porté partie civile nous fument mis sous surveillance, ainsi que j'ai à plusieurs reprises eu l'occasion de m'en rendre compte, et pas seulement parce qu'il y avait des bruits très inhabituels sur ma ligne téléphoniques.

Mais cette tentative d'assassinat non sanctionnée ne fut pas la seule de son espèce. Sous la houlette du même praticien, le Dr. Olivier Ille, elle a été recommencée quelques années après plus directement sur d’autres malades.

Lors du procès fait à Christine Malèvre, celui-ci a été soigneusement épargné par la justice malgré (ou plutôt à cause) de ses antécédents à Bicêtre, si ce n‘est encore ailleurs. Ce qui explique certaines aberrations communiquées par les témoins appelés à la barre, qui n'ont pas été prises en considération par la justice. 

Il apparaît rétroactivement qu'en ce qui concerne mon père il s’était non pas agi d'erreurs thérapeutiques relevant d'une incompétence, mais d'une tentative assassinat ciblant une catégorie définie de malades, donc d'un assassinat à inscrire dans un génocide  prémédité?  

En 1993 , c'est-à-dire bien avant d'en arriver à cette conclusion, un premier "audit" (Mémoire) sur cette affaire m'avait été demandé par un avocat qui n'était pas pénaliste, ce qui me l'avait fait communiquer dans un second temps à maître

Annick Dorsner-Dolivet, pénaliste. Elle aussi sur la recommandation du Pr. Chabas, ainsi qu'au Dr. Michel Serdaru, neurologue éméritesde l’hôpital Pitié-Salpétrière. Ilm’avait en novembre 1992, par ses judicieux conseils thérapeutiques, aidé àaméliorer les conditions neurologiques de mon père en élargissant le traitement que j'avais mis en route en septembre 1990. Il s'était beaucoup étonné de ce qui s'était passé et m'avait ironiquement demandé si j'étais sûr que mon père avait été entre les mains de véritables médecins : Même le centième des fautes qui ont été commises mérite un procès, s'était-il écrié, en me donnant le nom de l’excellent avocat qu'il connaissait et allant jusqu'à vouloir avertir la presse de ce qui s‘était passé.

Maître Annick-Dorner-Dolivet, dans la rédaction de son Mémoire à l'attention du Doyen des Juges d'instruction (à l'époque Serge Portelli), s'était beaucoup inspiré de cet "audit", au point de le reproduire presque à l'identique à part quelques corrections de style. Dans une première mouture, elle avait en conclusion réclamé l'application de l'article 319 du CP, article relatif à l' homicide et aux coups et blessures involontaires, quoique mon père ait survécu à des coups et blessures volontaires. Mon père est décédé le dimanche 2 octobre 1992 plus d'un an plus tard, subitement, de cause indéterminée, à l'hôpital Charles-Foix dans le Service du Pr. Bouchon, la veille du jour où il devait sortir après y avoir passé une dizaine de jours pour une infection bronchique. La recherche de la cause de sa mort fut refusée sous un prétexte irrecevable. On ne sait donc toujours pas de quoi il est mort alors qu'il aurait été du plus grand intérêt de le savoir (mais peut-on faire confiance à une conclusion d' autopsie quand on sait par exemple que celle qui a entourée la mort de Pierre Boulin a conduit à un suicide).

Comme dans cette affaire j'ai rapidement été confronté à des mesures d'intimidations, à des menaces de représailles ordinales et de plaintes en diffamation, pour donner à mes adversaires du grain à moudre, j'ai fini par placer cette affaire sur Internet.

En effet, lorsque je me suis étonné de ce que le dossier médical de mon père était encore et toujours déclaré perdu alors que je savais par le Dr. François Chedru qu'il ne l'avait jamais été, le Pr. Saïd a déclaré - en présence du Pr. Patrick Hardy, Chef du Service de psychiatrie adjacent à celui du Pr. Saïd - qu'il conduirait cette affaire devant les tribunaux. C'était lors de la pseudo réunion de "conciliation" oragnisée à Bicêtre par Mme Isabelle Pilot, le 24 septembre 2004.

Le Pr. Hardy y avait au dernier moment été nommé(en parachutage plus ou moins improvisé) "médiateur" de l'hôpital Bicêtre pour conduire l’entretien, en remplaçant le médiateur officiel, le Pr. Gilbert Tchernia, hématologue, qui avait commencé à s'intéressé à cette affaire et qui connaissait certainement mieux que le Pr. Hardy les problèmes diagnostics et cliniques engendrés par la maladie de Biermer. Avait-il préféré fuir une médiation impossible ou était- il réellement malade ? (Cf. sur Internet le Mémoire  du Dr. Bodenan °°° (l’ami °°° du Dr. Edith Elmelik, celui-là même qui m’avait illégalement menacé de représailles ordinales le 27 avril 1992 en me tendant sa carte de visite surchargée de titre ronflants mais creux, Mémoire de DEA présidé par le Dr. Christian Hervé °°° en 1999 et intitulé ’’ Problèmes éthiques posés par les commissions de conciliation hospitalière ’’.  

La maladie de Biermer se traduise souvent par des délires paranoïdes angoissants. C'était ce qui expliquait que mon père était en 1990 de plus en plus délirant et à cause de son délire il était devenu de plus plus en agressif à mon endroit. C’était pourquoi j'avais demandé que mon père soit vu en psychiatrie dans le Service du Pr. Féline lors de son hospitalisation à Bicêtre (le Pr. Féline était le prédécesseur du Pr. Hardy). Ce qui n'avait hélas pas été fait alors que mon père était dans un délire proche du délire de Capgras, appelé aussi délire des sosies. 

Mon père ne me reconnaissait alors plus comme étant son véritable fils et m’en persécutait; Il avait secrètement entrepris des démarches à mon encontre. Il voulait me déshériter au profit de celui qu'il appelait son "vrai fils" (sic). Il avait même été jusqu'à fantasmer que je voulais le tuer et écrit, à ce qu‘il ma dit, au Ministre de la santé Claude Evin pour lui faire savoir que j‘étais un alcoolique ! Qui lui avait mis des idées pareilles dans la tête ? Il avait été raconter aux médecins de la Clinique Elmelik je n'étais pas son vrai fils parce j'avais voulu l’empêcher de donner suite à la proposition complètement farfelue du rhumatologue de la Clinique Elmelik de l'opérer des pieds alors qu‘il présentait déjà des troubles neurologiques déjà alarmants !

Son délire que je n’était pas son fils était tombé daqns les oreilles du Maire de l'Haÿ-les-Roses Marc Méchain, ami très proche des Elmelik, qu'il était allé voir. Celui-ci avait alors été jusqu'à lui proposer de transmettre après sa mort à son prétendu vrai fils la somme qu'il désirait lui transmettre secrètement pourvu qu'il veuille bien la lui apporter. Mon père s’était alors méfier du Maire et passait son temps à épier son éventuielle arrivée, sans vouloir me dire pourquoi il le craignait.

Mon père avait précédemment été voir son notaire Pierre Dauptain. C'est d'ailleurs pourquoi, après son  échec auprès de lui, il était allé voir

Marc Méchain. Celui-ci eut quelques années après, pour des raisons que j'ignore, des démélés avec la justice et fut révoqué en tant que Maire de l'Haÿ-les-Roses et laisser la place à Patrick Sève. 

Le délire de Capgras est aussi appelé délire des sosies - un délire qui se rencontre précisément dans les anémies de Biermer et qui se résoud par l'administration non pas de neuroleptiques, mais par l'administration de vitamine B12 !

Quand à l'été 2004 j'ai adressé une réclamation à la CADA pour que le dossier de mon père me soit communiqué (dans sa réponse datée du 24 août 2004, la CADA m'avait été favorable) et alors que le dossier m'étais encore refusé, Mme Pilot m'avait, devant Mme Le Floch (sa secrétaire ?), accusé d'être essentiellement motivé dans cette demande par de l'antisémitisme (sic).

Mme Isabelle Pilot était alors officiellement chargée des relations de l'hôpital Bicêtre avec la cllentèle. Elle m'accusa quelques temps plus tard, juste avant la réunion de "conciliation " du 24 setembre 2004, d'avoir moi-même intentionnellment fabriqué la maladie de mon père, c'est-à-dire d'être l'auteur d'un syndrome de Münchhausen par procuration. C'était non seulement une accusation infamante, mais l'accusation d' actes criminels pénalement condamnables qu'elle aurait dû signaler aux autorités judiciares. J'imagine que c'est le Pr. Gérard Saïd lqui ui avait conseillé de proférer cette accusation. Cette accusation était en effet à l'image du rôle que son équipe avait fait jouer en septembre 1990 au Dr. Beinis quand elle l'avait incité, par ses directives, à ne faire que semblant d'adminsitrer à mon père le traitement cobalamnique nécessaire à son rétablissement. Son accusation était bien trop savante pour avoir germé dans sa cervelle.

Toute cette affaire ayant été activement étouffée, et été cause de menaces à notre encontre (nous, c'est-à-dire mon père, ses avocats et moi), elle a été rapportée en juillet 2009 telle qu'elle s'est présentée à moi, selon l' ordre chronologique, sur un site-blog Internet (site-blog génocides.over-blog.com "Maltraitances des personnes âgées. Formes particulières").

Ce site, répértorié sur Google n°34640255 html étant devenu depuis quelques mois quasiment illisible il a été réinscrit et figure désormais sous le n° 73331815 html, complété par d'autres apports sur les questions que pose ce non-lieu collaborationniste (voir liste des articles)

genocides.over-blog.com/article-inserm-espace-ethique-et-assistance-publique-72862156.html

Le dernier est daté du 14 janvier 2012. Il est intitulé "Euthanasies compassionnelles" et peut servir d'introduction  et de suite à celui-ci, que j'espère plus clair et plus explicatif.

Toujours est-il que le Pr. Saïd n'a pas tenu parole.

Afin qu'il ait de quoi m'en vouloir, qu'il soit fidèle à sa promesse comme à son engagement "éthique" tel qu'il le professait à travers la Revue d'éthique médicale "Medïca Judica", et travers la responsabilité qu'il a prise de créer à l'hôpital Bicêtre puis à l'hôpital Saint-Louis du coûteux mais inutile "Espace Ethique de l'AssIstance Publique". Inutile sauf à lui servir d' "alibi éthique ". A lui comme à l'Assistance Publique

Suite de cet article sur "euthanasies compassionnelles" blog de leon. 

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 17:11

France-Culture a diffusé dans les années 1990 l'explication psychanalytique "lacanienne" de Bernard This sur l'origine du cancer de la bouche de Sigmund Freud.

Celui-ci aurait été causé, selon le psychanalyste Bernard This, par la suppression des lettres I et S de son prénom Sigismund raccourci en Sigmund, une amputation assimilée à une forclusion, une forclusion qui se serait ainsi transformée en cancer du fait que "l'inconscient est structuré comme un langage", Sieg Mund voulant à peu près dire, c'est-à-dire à peu près signifier "Victoire  Bouche" en allemand, alors que Sig is Mund signifie plus précisément la Bouche victorieuse, les lettres I et S ayant valeur de signifiants essentiels qui ont subi l'affront d'une "forclusion" qui pour se "venger" réapparaît dans le "réel" sous la forme d'un cancer de la bouche !  On trouvera sur le "blog de leon" une exégèse plus approfondie de l'explication de Bernard This tournée en dérision et appliquée à Adolfus Hitler:  lui aussi a supprimé le U et le S de son prénom afin de le germaniser (selon Joachim Fest dans le tome 1 sa biographie d'Adolf Hitler publiée en 1975 chez Gallimard).

J'attends que France-Culture rediffuse l'explication de Bernard This, tant cette explication paraît être une extrapolation délirante du concept de forclusion. 

=============================================================================

 

Le cancer de Freud  s'est formé à la manière de la défaite d'Adolfus Hitler face à l'UrsS et à l' US army

- Comment ça ?

Parce que les lettres ont un pouvoir: quand on leur manque de respect, elles se vengent !

Le prénom de Sigmund Freud initialement choisi par ses parents était Sigismund.

Freud a voulu le germaniser et en a évinçant le et le S

De même pour Adolf Hitler, que ses parents avaient prénommé Adolfus, par une discrète (et secrète) allusion aux origines en partie aristocratiques de son père Aloïs. 

Hitler en a éjecté l' U et le S pour le germaniser

NB: si le présent article peut paraître fou, c'est qu'il l'est et qu'il s'inscrit dans la thèse du psychiatre et psychanalyste lacanien  Bernard This, qui, lui n'a pas commis le sacrilège de supprimer le I et le S de son nom.

Cet article est un de ceux qui sont les plus visités du "blog de leon". Il aurait donc mérité d'être mieux écrit qu'il ne l'a été.

Plutôt que de le refaire, mieux vaut apporter quelques corrections à l'affolante thèse que  Bernard This avait lancé sur le marché psychanalytique, une "thèse" que France-Culture avait rapporté dans les années 1990 au cours d'une émission matinale.

Je dois donc à France-Culture de savoir comment et pourquoi Freud a non pas "attrapé", mais s'est fabriqué un cancer de la mâchoire.

Bernard This l'explique à partir du concept psychanalytique de “forclusion” et de l'aphorisme lacanien qui veut que l'Inconscient soit "structuré comme un langage" ! Et c'est l'inconscient qui gouverne !

A défaut de pouvoir interroger directement Bernard This sur ce sujet, puisqu'il est décédé en 2006, il devrait être possible de retrouver son "analyse" du cancer de Freud ailleurs sur le Net,  ou interroger France-Culture ou ses anciens collègues et amis.

L'essentiel est de comprendre que Bernard This a cherché à  montrer combien  le concept psychanalytique de "forclusion-du-nom-du-père" était pertinent.

Tout le monde n'a pas à l'esprit que Jacques Lacan se prétendait le continuateur de Freud cependant qu'il s'employait mine de rien à le piller, et pas qu'à tort, en enseignant d'où lui venait son délire.

L'Inconscient étant "structuré comme un langage", Freud l'avait attrapé de l'inconscience qu'il avait d'être le “fruit” d'un inceste;

 D'où son invention - délirante - d'un prétendu "complexe d’œdipe", qui, s'il n'est pas dépassé  "exerce depuis l'Inconscient une action importante et durable".

"Le complexe d'Œdipe continue à exercer avec ses dérivés le complexe central des névroses".

La preuve qu'il s'agit d'un délire, et non pas d'une “erreur”, c'est-à-dire d'une "vérité moindre", comme aurait dit Spinoza, est l'affirmation du psychanalyste orthodoxe Roger Perron, qui stipule dans le "Dictionnaire International de psychanalyse" que les incestes vrais sont exceptionnels, qu'il s'agit de "fantasmes œdipiens" alors que les incestes actés  se comptent par millions rien qu'en France ! Je le cite: Il ne faut évidemment pas confondre les fantasmes incestueux, présents en tout être humain, et les comportements réels de type incestueux, infiniment plus raresCf. le "Dictionnaire international de psychanalyse", Calmann-Lévy, 2002 page 801) alors que la France compte quatre millions des victimes d'incestes, selon les estimations du CNRS datant de mai 2017.

Jacques Lacan le savait pertinemment, mais avait compris que c'était impossible à dire sans être immédiatement rejeté par la doxa institutionnelle.

Aussi s'est-il "arrangé" pour le dire à qui savait lire entre les lignes. C'est pourquoi il conseillait à ses adeptes de s'exercer aux "maux croisés".

Lacan avait compris, après Schopenhauer, que les théories psychologiques sont projectives et déterminée par une problématique personnelle non résolue, et que Freud n'avait pas su résoudre la sienne.

François Balmès tenta d'apporter une réponse à la question d'un auditeur lors une Table Ronde organisée au  Collège de Philosophie le 24 mai 2003.

La question était "Comment Jacques Lacan concevrait-il l'Inconscient maintenant que l'on sait que l'espace n'a pas quatre, mais onze dimensions " ?

A ma stupéfaction François Balmès entreprit de répondre longuement à la père-fide question de son auditeur ... jusqu'à ce qu'il s'aperçoive, au bout d'une dizaine de minutes, qu'il ne se rappelait plus quelle était la question qui lui avait été posée ... Or de nombreux auditeurs étaient là qui ont enregistré la séance. S'il en est qui ont conservé l'enregistrement,  ne serait-il pas de la plus haute importance de publier in extenso la réponse de François Balmès, avec la permission du Conférencier, cela va sans dire ?

Cancer étant en français l'anagramme de cancre, les cancres français ou francophones seraient, à suivre les élucubrations structurées comme un langage du psychiatre-psychanalyste Bernard This, prédisposés au cancer de la bouche.

Freud était francophone mais pas tout à fait cancre. Il n'a donc pu contracter son cancer de la bouche pour cette raison-là.

Bernard This tient une explication “psychanalytique” en accord à l'aphorisme de Lacan.

Selon Bernard This Sigismund  Freud a développé un cancer de la bouche pour avoir, en 1879, eu la fâcheuse idée de germaniser son prénom en l'amputant des lettres I et S. Sigismund Freud devient alors Sigmund Freud. A son exemple, si ce n'est sur ses conseils, Adolfus Hitler germanisa le sien afin de s'appeler Adolf Hitler, l'époque étant  en Autriche alors peu favorable aux Juifs (Cf. l'historienne Brigitte Hamann "La Vienne de Hitler", publié en France en 2001 aux éditions des Syrtes, réédité en 2011).

Et ces modifications furent, en effet, pour le monde entier lourdes de conséquences désastreuses. Ce qui démontre la portée de l'effet-yau-de-poêle.

Il faut connaître un peu la langue allemande pour comprendre : Tot en allemand c'est la mort, Sieg la victoire, et Mund la bouche.

Or la victoire et la gloire sont venues à Freud par la parole (ou plutôt par ses écrits, mais pour un lacanien comme Bernard This, cela doit revenir au même).

Freud a intitulé un de ses livres Totem und tabou, sans se rendre compte, preuve de la toute (lapsus dactylographique significatif ) puissance des désirs œdipiens inconscients et de l'existence de la transgression d'un interdit dans son œuvre, TOT y étant associé à MUND.

Dans son fantasme de toute puissance, Tot “IS” Tabou (che ).

Ce fantasme de toute puissance Freud l'a payé de sa vie en développant un cancer de la bouche.

N'est-ce pas là la démonstration "mathématique" de la force de l'inconscient et de ce qu'il est "structuré comme un langage", le refoulé tendant par tous les moyens à se rappeler à la conscience du sujet par des manifestations signifiantes ! ?

Bernard This aurait dû se demander pourquoi Freud n'avait pas aussi développé un cancer de la main ou des doigts, voire un cancer du cerveau au niveau du l'aire de Broca ?

Freud savait le français, puisqu'il a traduit des textes de Jean-Martin Charcot et d'Alfred Binet ("Le grand et le petit fétichisme"). Ce texte avait beaucoup inspiré Freud. A le lire, on pourrait croire qu'il est de Freud.

Adolf Hitler serait une autre preuve des effets insoupçonnés de la forclusion de lettres dans un prénom.

Son vrai prénom était, si on en croit Joachim Fest "Adolfus". (Cf. Joachim Fest "HITLER" . Tome 1 : Jeunesse et conquête du pouvoir, Paris, Gallimard, 1973).

On ne peut guère nier qu' Adolfus Hitler ait accédé au pouvoir en grande partie à la faveur de ses dons oratoires et hypnotiques, mais chez Hitler, c'est la "pulsion de mort" qui a fini par l'emporter, puisqu'il s'est suicidé.

La "pulsion de mort" est une réalité : les fascistes espagnols avaient pour slogan "Vive la mort ! ".

Freud avait inventé (découvert) l'existence de cette "pulsion" après la guerre de 14-18, sans tenir compte de ce que la plupart des soldats allemands ordinaires faisaient tout pour y échapper (Cf. infra "Apocalypse Hitler"), y compris de se blesser volontairement pour bénéficier d'un retrait en milieu hospitalier.

Si Hitler ne s'était pas suicidé le 30 avril 1945 à l'âge de 56 ans, il serait, comme Freud - avec lequel il partageait de nombreux traits caractériels et géographiques – peut-être plus tard mort d'un cancer de la langue ou de la mâchoire !

De même Benito Mussolni ?

Mais à c'est à cause de la suppression des lettres U et S  de son prénom qu'Hitler a fini par perdre la guerre. Elles se sont vengées: expulsées elles ont dû trouver refuge  ailleurs, et l'US army  s'est empressée de les accueillir.

Ce bizarre aspect de l'histoire n'est pas abordé dans le livre que Daniel Costelle et Isabelle Clarke ont consacrer au même sujet (“Apocalypse Hitler”, aux éditions de l'Acropole). L' index bibliographique de ce grand album est assez sommaire, qui évite de citer (entre autres) les deux tomes de Joachim Fest (Gallimard 1973), les deux tomes de John Toland (éditions Pygmalion), les recherches originales de Ron Rosenbaum (Jean-Claude Lattès, 1998), le "Hitler" de François Delpla, où est pourtant reproduit l'intégralité du "célèbre" discours d'Hitler du 13 août 1920 dont cet album fait mention, ni le "D'où vient Adolf Hitler ?" de Lionel Richard (aux éditions Autrement). Et plus récemment le livre de Timothy W. Ryback paru en 2009, qui conforte la thèse de François Delpla, que Hitler est devenu antisémite par opportunisme au vu des succès théâtraux remportés par Dietrich Eckart, qui avait emprunté cette filière plutôt que celle du communisme. Aussi et surtout le livre de l'historienne Brigitte Hamann "La Vienne d'Hitler" par lequel on apprend qu'Hitler n'avait pas toujours été antisémite puisqu'au Lycée de Linz il faisait le coup de poing contre qui se permettait de dire du mal des Juifs, ce dont avait forcément été témoin Ludwig Wittgenstein, qui a écrit, quand Hitler a changé du tout au tout à ce sujet : "Ce dont on ne peut parler, il faut le taire" .

Marie Balmary est une psychanalyste remarquable, mais elle aussi a succombé à l'aphorisme de Jacques Lacan. Ce qui lui a valu d'être blackboulée par son directeur de thèse Jean Laplanche. Elle ignorait qu'il s'était fait publiquement rabroué et traité d'imbécile (de cancre) par Lacan pour avoir dans un texte co-écrit avec Jean-Bertrand Pontalis, voulu se servir de ses équations symboliques comme s'il s'agissait de mathématiques pour “prouver” que l'inconscient refoulé se trouvait dans le dessous des dessous des barres de fractions (dans un texte de 1964 sur les "Origines du fantasme" , texte par la suite remanié pour faire disparaître cette sottise (refoulée dans le dessous des dessous du dessus).

Marie Balmary, que je conseille de lire tant son Mémoire, "L'homme aux statues" réédité chez Grasset est remarquable, quoiqu'elle ait elle aussi succombé à la sottise en trouvant que les prénoms des enfants de Freud ont été inconsciemment choisis pour former celui de Moïse ( "L'homme aux statues" a été publié en 1979 chez Grasset et été réédité en 1997 en poche)

La psychanalyse fonctionne comme un grand délire d'interprétation.

Un délire contagieux resté virulent.

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27 décembre 2011 2 27 /12 /décembre /2011 17:21

 

Au CHU de Mantes-la-Jolie, le Service de neurologie du Dr. Olivier Ille n'était pas vraiment de ceux qui, comme les Services de gériatrie, peuvent admettre un taux de mortalité élévé sans attirer sur eux l'attention.

Le Dr. Laurence Kouyoundjian, pneumologue, s'était ouvertement inquiétée de ce que des décès survenaient en nombre inhabituel depuis que le Dr. Olivier Ille et Christine Malèvre avaient pris leur fonction.  
Dès lors qu'ils avaient été dénoncés, il avait fallu circonscrire le scandale pour sauver "l'image" de l'institution. Le nombre des assassinats a été minimisé, et ils ont été présentés comme des "euthanasies" compassionnelles à mettre sur le compte du dérangement psycho-affectif de l'infirmière qui les exécutait.
Le nombre des "euthanasies" de malades commis aux sein de l'Assistance Publique dans les années 1990 serait en fait trop grand pour être publiquement dévoilé.
Pour être moins massifs que les massacres d'Arméniens au cours de leur déportation, ces assassinats n'en étaient pas moins ciblés. Ils ne devraient donc pas pouvoir faire l'objet d'une mesure de prescription. Or c'est ce qui leur est arrivé.

Le colloque à organisé le 24 février dernier à l'Institut de criminologie sur la mystification d'Outreau devrait pouvoir rendre plus crédibles qu'elles ne le sont des consignes criminelles concoctées par X hauts responsables de la Santé dans l'intérêt de l'équilibre budgetaire de l'Assistance Publique.

 

Avait en effet précédé de ces pseudo euthanasies le cas d'un

malade. Il était censé passer inaperçu, mais le patient avait de justesse pu échapper à la mort, et il en était resté lourdement invalide. Il porta plainte "pour coups et blessures volontaires et non asssitance à personne en péril de mort" mais la justice a fait tout ce qu'elle pouvait pour l'étouffer en avalisant les conclusions d'expertise formulées en dernière page que le patient était "consentant", conclusions qui étaient complétement démenties par les informations contenues dans les 43 pages précédentes !

A l'Unité de Soins Normalisés (USN ) de l'hôpital Charles-Foix, devant son état devenu alarmant, une infirmière avait tenu à me montrer le cahier de prescription. Sur celui-ci, j'avais eu la surprise de constater qu'un faux traitement était prescrit, qui était à brève échéance mortel pour son patient.

L'affection de ce malade, un syndrome neuro-anémique, avait été parfaitement identifiée lorsqu'il avait été admis en neurologie à l'hôpital Bicêtre cinq semaines plus tôt. Son traitement nécessitait immédiatement une vitaminothérapie B12 intensive et prolongée. Le patient était censé le poursuivre dans l'Unité de Soins "Normalisés" de l'hôpital Charles-Foix après son transfert dans cette Unité, effectué sous le contrôle d'Olivier Ille, alors Interne à Bicêtre dans le Service de Neurologie du Pr. Gérard Saïd.

 

Un faux traitement avait été substitué à celui qu'il fallait faire. Pour autant que cet Interne ait procédé de sa seule initiative - ce qui est plus que douteux - c'est lui qui s'était chargé de le faire prescrire  au Dr. Jean-Yves Beinis.

 

Le Dr. Beinis le répercuta sans chercher à voir qu'il était manifestement inadéquat. Il avait été invité, c'est-à-dire conditionné, à ne pas sortir, quoiqu'il arrive, du cadre thérapeutique qui lui avait été assigné par les neurologues de Bicêtre. Le "hic", c'est que le ou les prescripteurs n'avaient pas prévu que les infirmières de l' USN de Charles-Foix s'inquiéteraient de cette inadéquation, ni qu'elles me demanderaient de venir contrôler leurs prescriptions (voir sur Internet : 73331815 html, "maltraitance des personnes âgées", chapitre IV ou "blog de léon - Une nuit vitaminée ").

 

Comme j'ai eu l'occasion de n'en rendu-compte, une pluralité d'intérêts avait motivé cette mystification. Mais il est impossible d'entrer succinctement dans ses modalités sans être taxé de paranoïa antisémite. Ne s'en était pas privée madame Isabelle Pilot, la "chargée des relations de l'hôpital Bicêtre avec la clientèle" lorsque je lui ai demandé pourquoi le dossier du malade avait tout de suite été déclaré "égaré". Je savais par le Dr. François Chedru qu'il ne l'avait jamais été.

 

Je ne peux dire ici tout ce que j'ai découvert à travers cette affaire, où c'est moi qui a été accusé par cette "chargée de relation", d'avoir "fabriqué" la maladie de ce patient. Elle ne faisait évidemment que répéter ce que les vrais responsables lui avait conseillé de me répondre. Ce genre de pathologie induite s'appelle un "Münchhausen". Or c'est pénalement condamnable. Alors pourquoi le responsable du Service qui lui avait soufflé cette accusation, le Pr. Saïd, qui savait si bien me menacer des tribuneaux, n'a pas donné suite à cette accusation.
Les occultations et les falsifications des médecins responsables de cette tentative ont éhontément été couvertes par la justice. Elles sont au total plus dignes d'une république bananière que d'un pays qui se réclame des Droits de l'Homme.

 

Le fait que le premier des experts nommés par l'instruction m'ait fait discrètement valoir qu'il fallait préserver "l'image" des médecins en ne révélant pas la réalité participe de la corruption des esprits.

Si, pour prendre un exemple un peu différent, l'entourage de Tristane Banon ne l'avait pas tout de suite dissuadé de porter plainte afin de préserver "l'image" de son agresseur, cette image et celui du parti socialiste seraient moins dégradées qu'elles ne l'ont été au final. C'est peut-être là le sens métaphorique et la raison profonde, mais mal comprise, de l'interdit religieux d'idolâtrie.

 

La Justice et les médecins responsables de cette mascarade se sont beaucoup dépensés pour préserver leur "image". C'est pourquoi, pour avoir été "invité" - par des menaces ordinales de réprésailles non moins ordinales (Cf. sur Internet la lettre que le Dr. Patrice Biodenan a adressé au Dr. Jean Penneau) - à respecter "l'image" de la médecine avec celle de la Clinique Elmelik, j'ai commencé par divulguer ce qui tournait autour de cet assassinat manqué (Cf. 73331815 html "maltraitances des personnes âgées), convaincu que je suis que la corruption par la terreur visant à préserver l'image des oligarchies au pouvoir se fait au dépens du plus grand nombre. Sa généralisation "culturelle" est au final responsable d' impasses sociales.

est au final responsable d' impasses sociales.

 

Chaque chapitre et chaque paragraphe nécessiteraient de longs développements pour être bien compris, à commencé de moi-même, car l'écrire me fait découvrir mon propre aveuglement devant la perversité et l'opacité du "système" en place, qui, comme dans cette affaire, autorise - en les tolérant - les faux témoignages manifestes.

Je n'avais pas encore assez réalisé - ni appris - qu'elle était pas circonscrite au cas de mon père par rapport à la Clinique Elmelik, que ce n'était pas seulement cette Cliunique qui était "protégée en hauts lieux", mais au delà de celle-ci tout un ensemble, jusqu'à la Mairie de l'Haÿ-les-Roses, qui "opprtunément" a brûlée avec ses archives et été reconstruite à grands frais. Les impôts locaux s'en ressentent. Les Haÿssiens assument sans le savoir le prix de la corruption.

 

Faire une relation exhaustive de ce qui s'est passé nécéssiterait un gros volume, encore faudrait-il trouver un éditeur.

 

 

 

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22 décembre 2011 4 22 /12 /décembre /2011 17:50
Dans la nouvelle et récente réédition revue et augmentée  de son livre "La bosse des maths" (2010 chez Odile Jacob), Stanislas Dehaene rapporte que cheval de Wilhelm von Osten était si compétent en arithmétique qu'il savait calculer sans se tromper que 2/5 plus 1/5 font 9/10 . 
Il y a à cela sans doute quelques possibles explications  "logiques", en dehors du fait que 9 est un 6 inversé, c'est à dire dû à une faute de frappe.
Mais faute de frappe il n'y a pas, car est suivi dans texte la faute est reprise  aphabétiquement.
L'hypohèse d'un lapsus dû à un "shunt" d'une pensée rémanente est probable: en retournant sur cet article, je viens de m'apercevoir que j'ai aussi, selon ce même phénomène (processus cérébral)  écrit que la nouvelle édition de ce très savant livre datait de "2019". Ce que je viens de corriger aujourd'hui.
Ce qui me fait tout à coup penser qu'une distraction de ce genre ne peut pas  être invoquer pour "excuser" le fait que des neurogues aussi avertis que l'étaient ceux du Service du Professeur aient réellement cru que le test de Schilling d'un de leur malade ait été mesuré à 35%.  Les 5% mesurés après coup, pour ne pas dire après coût, sont en effet plus proche de 3,5 % que de 35 %.
Toujours est-il que cette "erreur" a semé la terreur après que le malade s'en est malgré tout sorti vivant.
Une telle "erreur" n'aurait cependant pas dû être possible puisque la clinique  démontrait alors, et a démontré depuis, qu'il s'était bien agi d'un syndrome neuro-anémique (Cf. ce cas et ses turpitudes sur ce blog à "Tu ne feras pas de faux témoignages"). 
Le Professeur Péquignot  (Henri Péquignot ?) avait attiré notre attention sur le fait que "la clinique prime le laboratoire". Adage retenu de la leçon inaugurale dispensée  au Grand Amphi de la Fac de Médecine rue des Saints Pères. En vain m'étais-je évertué à le répéter aux  neurologues de Bicêtre.
Une telle faute de frappe pourrait-elle obéir à la logique de l'inconscient ? Oui, si on se place du point de vue de Freud, à partir de laquelle on peut dire n'importe quoi et son contraire. Il le faisait à propos des lapsus ou de n'importe quel symptôme.  Freud broda  autour de la toux de "Dora"  un roman projectif en lui attribuant des désirs refoulés qui devaient  plutôt être les siens vis à vis de cette jeune fille que ceux de celle-ci vis à vis de "monsieur K"(Cf. du cas de la toux de  "Dora", alias Ida Bauer, cas revu et corrigé par Patrick Mahony dans son livre "Dora s'en va", publié en France au début de ce millénaire (en 2002 si mes souvenirs sont bons, aux " Empêcheurs de penser en rond " (?). Mais Patrick Mahony, tout analyse qu'il soit, n'a pas osé ou n'a pas eu l'idée de pousser aussi loin la logique psychanalytique.
Mon explication que les erreurs de frappe ne sont pas des lapsus signifiants n'en est peut-être pas moins paranoiaque  que les interprétations de Freud  si j'avance que cette erreur est  consciente et intentionnelle, faite pour attirer l'attention des critiques et ainsi faire parler d'un livre traitant d'un sujet qui risque autrement d'attirer peu de lecteurs ?
Quoiqu'il en soit, l'inconscient existe. Et je peux en donner un exemple.
Une dame de 75 ans m'avait raconté  un rêve qui lui revenait souvent. Il était toujours exactement le même et ne savait pas comment l'expliquer
Elle se voyait  à l'âge où elle allait au collège, en haut d'un petit muret de pierre,  en compagnie d'une camarade  d'école. Brusquement, toutes les deux  sont effrayées, sautent et s'applatissent dans les hautes herbes. Elle a le coeur battant et se réveille. 
A suivre ...  

 

  Suite  : je lui demande si elle peut contacter son amie d'antan. Elle lui téléphone et lui dit que la scène a réellement existée. C'était pendant la guerre; Elles étaient passé par un chemin interdit pour se rendre au collège lorsqu'une patrouille allemance est passée;  elles ont sauté dans les herbes pour se cacher.

 

 

 

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21 décembre 2011 3 21 /12 /décembre /2011 17:48

Une tentative d'assassinat génocidaire  a été impudemment classée non-lieu par les parquets.

 

Son rapport avec le secret génocide des malades infectés par le VIH au cours de transfusions sanguines dans la première moitié des années 1980.  
Aussi grave sinon plus que l'affaire du Médiator *  parce que délibérée et secrètement programmée est l'affaire des malades contaminés par le VIH qui ont été secrètement mis à mort en milieu hospitalier, pour ce que nous en savons, dans certains hôpitaux de l'Assistance Publique et certains établissements. Les prétendues "euthanasies" qui y étaient pratiquées contredisent les valeurs de ceux qui les proclament de manière tapageuse à travers l'Espace Ethique de l'Assistance Publique, un écran de fumée créé à dessein pour masquer des réalités inavouables. 
Dans l'espoir que de courageux journalistes  prendraient conscience de la gravité de ce dont il s'agit, j'ai placé sur INTERNET sous diverses rubriques ce dont mon père fut victime  afin que sa douloureuse  "euthanasie"  ratée  ne soit pas, comme elle l'a tout de suite été, étouffée par les manipulations post-actées et des menaces (voir 69970222  et 73331815 html) . Y ont été juges et parties prenantes l'Ordre des médecins, l'administration de l'Assistance publique et les Ministères concernés (Recherche, Santé et Justice).
La mystification médico-judiciaire qui en est résultée peut paraître incroyable : lors de son hospitalisation dans le Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre en août 1990, ni moi ni mon père ne pouvions imaginer que, alors qu'il était aux mains de neurologues expérimentés et relevant de l'INSERM, qui plus est spécialisés dans le traitement de la maladie qu'il présentait, plutôt que de le soigner réellement, ceux-ci allaient tenter de mettre mettre secrètement fin à ses jours en lui faisant administrer un faux traitement, et cela non pas par erreur, comme ils voulurent me le faire croire a posteriori, mais dans l'intention savamment calculée de satisfaire à des directives qui allaient dans le sens d'intêréts particuliers - en l'occurrence ceux de l'Assistance publique, du CNTS, et accessoirement, et non pas essentiellement, comme la police  m'en avait informé, seulement ceux des propriétaires de la Clinique Elmelik, ceux-ci étant selon ses dires "protégés en hauts lieux". La police et les médecins libéraux environnants ignoraient apparemment que c'était pour ses basses oeuvres au service du CNTS et des établissements hospitaliers que la Clinique Elmelik jouissait de "hautes  protections".
Résumé des circonstances de découverte :
Les infirmières de l' "Unité de Soins Normalisés" de l'hôpital Charles-Foix avaient d'elles-mêmes compris que le traitement qu'elles avaient à administrer à leur malade était mortel, ce pourquoi elles m'avaient demandé de venir le vérifier. Le malade put ainsi échappa à une mort savamment concoctée pour paraître avoir été naturelle. Couvert par la hiérarchie hospitalière, le prescripteur - aux ordre de la hierarchie - récidiva quelques années plus tard au CHU de Mantes-la-Jolie, où il trouva en Christine Malèvre une exécutante à tout le moins plus servile que celles du Service du Dr. Jean-Yves Beinis.
Explication
: l'ordre de ne faire que semblant de traiter le malade en lui adminstrant un faux traitement se devait de satisfaire un conflit d'intérêts au profit du CNTS tout en sauvegardant "l'image" de l'A.P.- H.P. : Savamment mis en condition, le Dr. Beinis n'avait fait qu'appliquer, sans chercher à comprendre ce qu'ils cachaient, malgré leur bizarrerie, des ordres qui venaient de "plus qualifiés que lui" (selon ses propres dires, en mars dernier).
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15 décembre 2011 4 15 /12 /décembre /2011 17:50
L'invagination intestinale aiguë est une affection relativement fréquente du jeune enfant  (généralement moins de deux ans, avec un pic de fréquence entre 6 mois et douze mois), qui doit être diagnostiquée et traitée en urgence.
Les articles qui lui sont consacrés sur Internet sont généralement bien faits et explicites.
Cependant aucun de ceux que j'ai consultés ne signalent qu'une manoeuvre simple peut en venir à bout si elle est, comme dans mon expérience, faite rapidement  après les premiers symptomes.
Est cependant signalé qu'il peut survenir des résolutions "spontanées", qui sont peut-être dues à ce que l'enfant bouge et adopte des positions aptes à faire l'intestin se désinvaginer.
C'est dire l'urgence de cette manoeuvre, l'urgence de cette manoeuvre en première intention, car les IIA du nourrisson sont des affections chirurgicales mortelles quand  elles ne sont pas rapidement diagnostiquées et réduite par un lavement dit "baryté" .
Elles sont heureusement  assez faciles  à suspecter devant un enfant jusque là en pleine santé qui se met soudain à hurler. La souffrance de l'enfant est extrême qui le fait se tordre dans tous les sens.
Les IIA  se présentent  en un ou plusieurs temps, avec intervalles libres de quelques minutes à une demi heure entre les crises douloureuses, où tout paraît rentrer spontanément dans l'ordre, alors qu'il n'en est rien, avant reprise des hurlments de l'enfant, qui se met à vomir.
Il peut parfois être suffisant, si l'affection est prise au tout début,  de mettre l'enfant sur le dos en position déclive tête en bas sur la planche à langer (voire de le suspendre un court  instant  par les pieds, mais cette manoeuvre n'est pas sans risque si l'enfant vient de manger). 
Si tout rentre dans l'ordre,  la  vérification se fera a posteriori par la présence de sang dans les selles.
Autrement, si la douleur ne cède pas instantanément par cette manoeuvre, il faut recourir à une exploration à faire en milieu hospitalier, où un lavement opaque servira au diagnostic et au traitement. 
Demain nous l'lllustreront  avec deux cas cliniques survenus dans la même famille.
Le premier cas concernait une petite fille de 9 mois, qui s'était soudain en pleine nuit  - il était environ une heure du matin - mise à hurler et à se tordre de douleur, visage livide et torturé.
Le temps que j'arrive, tout sembla être rentré dans l'ordre, avant que les hurlements  et les douleurs ne reprennent de plus bel.
L'enfant n'avait pas vomi.
Je l'ai installé sur la planche à langer pour l'examiner. Instinctivement j'ai basculé cette planche de façon à libérer le ventre du poids des entrailles pour pouvoir mieux l'examiner.
Cette manoeuvre à instantanement et définitivement fait cesser les cris de l'enfant.
Je n'ai pas constaté  de sangs dans les selles après cette réduction spontanée de l'invagination présumée.
Présumée avec raison, car 8 ans plus tard, j'ai été appélé au téléphone par la grand mère de son petit frère, qui me décrivit le même tableau, mais survenu dans la journée. L'enfant avait sensiblement le même âge que sa soeur lors de cet événement.
J'ai recommandé à la grand-mère de mettre l'enfant quelques instants en position déclive,  tête en bas,  comme ci-dessus décrit en attendant mon arrivée. Cette manoeuvre régla à elle seule très rapidement  le problème, et il n'y eu pas de reprise des hurlement, mais la suite démontra qu'il s' était bien agi d'un invagination intestinale, l'existence de sang dans les selles ayant été constaté après cet épisode.

 

Le premier

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10 décembre 2011 6 10 /12 /décembre /2011 13:57

 

La définition que donne Le Larousse Classiquede la catharsis: « Méthode psychanalytique qui consiste à rappeler dans la conscience des souvenirs refoulés ».

 

Celle du dictionnaire de psychanalyse Larousseprécise qu'il s'agit d'une méthode thérapeutiquetandis que celle du Petit Larousse  qu'il s'agit d'une méthode psychanalytique.  
Les médecins, et particulièrement les psychiatres qui se réclament de la psychanalyse, peuvent, à l'instar Dr. Joseph Breuer avec sa célèbre patiente « Anna O »  (sic.  Quelle est la valeur inconsciente du choix de ce pseudonyme ?) invoquer la méthode dans le traitement des ''hystériques'' ( Bertha Pappenheim n'était-elle pas, plus que sa patiente, la maîtresse du Dr. Breuer ? Elle venait le "consulter" presque tous les jours trois heures durant pendant un an et demi ... jusqu'à ce que madame Breuer fasse une tentative de suicide et qu' "Anna 0" soit hospitalisée en Suisse à la Clinique Bellevue  pour y être délivrée d'un grossesse dite "nerveuse" _6 (c'est la version officielle, version qui est passée comme une lettre à la poste-ternité dans la littérature analytique : plus c'est énorme ........ ) contractée auprès du vertueux Dr. Breuer ? ) - 
Pour en savoir plus sur la naïveté, feinte ou réelle, des psychanalystes freudiens en matière de "catharsis", consulter sur internet ce qu'en dit Christophe Bormans : soit Freud  était comme l'est Bormans lui-même un grand naïf, soit un fieffé menteur (on ne saurait que difficilement être les deux à la fois, encore qu'il n'y  a pas plus naïf qu'un mythomane).
Il n'est pas besoin d'être un fin psychologue pour comprendre que le Dr. Breuer avait toutes les raisons de ne pas vouloir tout dire de la relation passionnelle qu'il avait entretenu avec  la belle  "Anna 0", et celle-ci de ne plus vouloir entendre parler du bon Dr. Breuer après sa rupture, relation qu'il avait entretenu en rendant "Anna 0" morphinomane ! Ce dont  Christophe Bormans ne parle pas.
Avant de se renier pour des raisons sur lesquelles il convient de s'interroger davantage que ne l'ont fait jusqu'à présent la plupart des psychiatres et des psychanalystes, selon les très fines remarques de la psychanalyste Gabrielle Ruben, Freud avait eu des raisons personnelles et familiales de bien comprendre que ces malades souffraient en réalité d'avoir été victimes d'abus sexuels dans leur enfance (Cf. Marianne Krüll "Freud, fils de Jacob" Gallimard, bibliothèque de l'inconscient, 1984, un ouvrage savant où est aussi exposé l'arbre généalogique de Freud).
Dans Ouest-France du samedi 19 mars 2011, on apprend qu'un psychiatre vient d'être condamné par la cour d'assises de Loire-Atlantique pour le viol de trois patientes. Il s'agit du Dr. Charles Caille, 68 ans. Il a été condamné à huit ans de prison. Mais à la lecture du compte-rendu on se demande s'il a été condamné pour des viols au sens stricte du terme, ou si c'est pour avoir usé, comme le Dr. Joseph Breuer le faisait dans les années 1880, d'une méthode cathartique.
Le procès du Dr. Caille portait sur des faits commis sur trois d'entre elles entre 1998 et 2000.
Lors de son procès, l'ancien psychiatre a admis des "dérapages", mais a nié avoir voulu violer ses patientes, estimant que ces dernières étaient consentantes. << C'est un menteur et un manipulateur, mais aussi un pervers et un prédateur. Il utilise son intelligence pour assouvir ses désirs sexuels >>, a lancé Yves Gambert, l'avocat général, dénonçant les pratiques pseudo-médicales de l'accusé. Une quatrième patiente du psychiatre avait porté plainte en octobre 2009 mais sa plainte a été classée sans suite, plus de dix ans s'étant écoulés depuis sa dénonciation.

Avant que le jurés n'aillent délibérer, le Dr. Caille dit : << Je demande pardon à mes victimes, je ne suis pas fier de moi. Je remercie mes patientes de m'avoir accusé. Cela m'a permis de voir que j'étais à côté de mes pompes >>.

Transmis à notre Confrère psychanalyste Jacques André, qui dans " La tête au carré " du 24 mars dernier a voulu élairer les auditeurs sur "la valeur inconsciente de la tétée".
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