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28 avril 2015 2 28 /04 /avril /2015 13:51

CR daté du 30 septembre 1990 :

MOTIF DE L’HOSPITALISATION
Troubles de la marche

ANTECEDENTS
HTA essentielle, ancienneté inconnue.
Intervention orthopédique pour orteils en marteau en Avril-Mai 90
Prothèse totale de hanche gauche opérée en 84 pour coxarthrose

HISTOIRE DE LA MALADIE
Se plaint de difficultés à la marche d’installation rapidement progressive au décors de l’intervention orthopédique,
Stable depuis deux mois, la marche est hésitante, la montée des escaliers n’est plus possible, tendance à la rétropulsion et à la chute, le patient étant obligé de se déplacer avec un déambulateur;

EXAMEN CLINIQUE
Etat général conservé. Apyrexie. Tension fluctuante à l’entrée entre 18/12 et 20/12
La station debout et la marche sont très difficiles petits pas.
Membres inférieurs en hyper-extension. Polygone de sustentation légèrement élargi. Tendance au piétinement et à la rétropulsion.
L’occlusion aggrave l’équilibre (sic)

Au plan neurologique on objective un déficit moteur discret prédominant sur les raccourcisseurs aux membres inférieurs et coté à 4 +.

Aux membres supérieurs les petits muscles des mains interosseux et lombricaux sont discrètement déficitaires à 4. Le tonus est spastique. Les réflexes pyramidaux aux quatre membres, jusqu’en C 4 : Babinski bilatéral.

Au plan de la sensibilité, pas d'astéréognosie. Les troubles prédominent aux membres inférieurs sur la sensibilité proprioceptive. La sensibilité extéroceptive semble normale, bien que fluctuante d'un examen à l'autre et avec une hypo-esthésie au chaud et au froid et à la douleur en chaussette. Il existe une discrète incoordination motrice bien nette aux membres supérieurs avec hypermétrie. L'examen des paires crâniennes est normal en dehors des réflexes du voile abolis. Enfin, il existe depuis deux à trois mois une incontinence sphinctérienne avec mictions impérieuses.

EXAMEN CARDIO-VASCULAIRE: Pouls régulier, pas de souffle cardio-vasculaire. Le reste de l'examen clinique est sans particularité en dehors une tendance dépressive de l'humeur, une critique insuffisante des histoires absurdes chez cet ancien opticien et des capacités d'abstraction qui semblent altérées.Le mini mental est évalué à 25/30.

.../...

DISCUSSION


Myélopathie cervicale, affection dégénérative, encéphalopathie vasculaire.


EXAMENS COMPLEMENTAIRES

Biologie usuelle normale. Hémogramme, hémostase, vitesse de sédimentation, ionogramme, glycémie, fonctions hépatorénales, fonctions phosphocalciques, électrophorèse des protéines sériques, vitamine B12, pholates sériques, test de SCHILING normaux.(sic) Sérologie syphilitique négative.


Infection urinaire à acinectobacter traitée et stérilisée par NOROXINE
Radiographie rachis cervical et charnière cervico-occipitale : impression basilaire, arthrose cervicale modérée. Scanner cérébral : atrophie cortico-sous-corticale. Aspect de leuco-araïose mais le scanner est de mauvaise qualité, l’analyse de la substance blanche est difficile. Une IRM du rachis cervical avait été proposée pour étayer le diagnostic d'une myélopathie cervicale mais non réalisée devant une peur panique du patient deux jours avant l'examen

CONCLUSION

TROUBLES DE LA MARCHE EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX
UNTRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT ETRE BENEFIQUE
PAS D’INDICATION OPERATOIRE
SYNDROME DEPRESSIF TRAITE PAR PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR
REVALUATION DES FONCTIONS SUPERIEURES APRES TRAITEMENT
PATIENT TRANSFERE DANS LE SERVICE DE MEDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX
.....................................................................................................
Commentaire.

Le patient avait été tout d'abord admis aux Urgences de Bicêtre parce qu'il avait été pris de panique et que ses voisins de pallier avaient dû faire appel à Police Secours, ce qui est pas rapporté dans ce CR.
La cause réelle de son hospitalisation n'est pas vraiment objectivement mentionnée : le malade avait ensiite été transféré en neurologie sur le diagnostic porté  aux Urgences de syndrome neuro-anémique cependant qu'aucune prescription de vitamine B12 ne figure en conclusion de ce CR cependant que c'est par l'administration du traitement de la maladie de Biermer, c'est-à-dire de la vitamine B12 à doses drastique à partir du 12 septembre 1990, alors qu'il avait été transféré à l'hôpital Charles-Foix que le malade fut sauvé et put, à la surprise (et panique) générale se rétablir. Cette panique força la redécouverte du syndrome de malabsorption de la vitamine B12 faite en 1973 par Swain et Doescherholmen mais oubliée depuis, un syndrome aussi appelé syndrome de carence vitraminique B12 avec test de Schilling normal avant de s'appeler syndrome NDB12PP, sauf qu'ici la viatminémie B12 était aussi normale, ce qui allait dans le sens d'une remarque faite par le Dr.  Michel Serdaru dans un livre  était à paraître en 1991 chez Flammarion intitulé "Maladie d'Alzheimer et autres démences".

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27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 17:06

Quand un malade est  atteint d' Alzheimer, "c’est toute une famille qui a besoin d’aide"  fait savoir l'Association France-Alzheimer.

J'ai quant à moi eu droit à tout le contraire d'une aide quand, en 1990, je me suis subitement retrouvé face à ma mère et à mon père, tous deux tombés gravement invalides, victimes de maladies de pronostic effroyable.

Pour parfaire mon embarras, mon épouse, médecin-psychiatr, du fait de son inféodation à la mystification freudienne, ne sut pas interpréter comme il aurait fallu l'intrusion intempestive de mes parents dans notre couple. Elle finit par me la reprocher et demanda le divorce cepandant que j'appelais l'aide de Confrères, qui  ne surent pas davantage comprendre ce qui se passait, qui aggravèrent la situation. De son côté l'Ordre des médecins, auprès duquel mon père était allé se plaindre des médecins de la Clinique Léon Elmelik, ceux-ci l'ayant gravement abusé en profitant de son affaiblissement intellectuel et de son délire avant son hospitalisation à Bicêtre, chercha à me créer les pires ennuis qui se puissent imaginer après que j'ai réussi à rectifier à temps les épouvantables erreurs diagnostiques et thérapeutiques que les neurologues du CHU Bicêtre avaient commises à son encontre. Des ennuis qui sont irracontables tant ils ont été, à l'instar des susdites erreurs, délibérément pernicieux (alors même que j'avais réussi à sortir mon père de son délire en lui administrant le traitement de ce qui s'appelait autrefois une anémie pernicieuse, sa maladie causale.

Dans son délire mon père était persuadé que je n'étais pas vraiment son fils, mais un imposteur qui en voulait à sa vie en l'empêchant de se soigner d'un cancer qu'il était persuadé d'avoir, ce qu'il avait été clamer partout, y compris aux médecins de la Clinique Léon Elmelik.

Les riches médecins-propriétaires de cette Clinique étaient de longue date les intimes de Marc Méchain, le maire de l'Haÿ-les-Roses, que mon père était allé trouver. Lui et les médecins de la Clinique Léon Elmelik avaient abondé dans son sens, l'entretenant  dans cette idée que j'étais un "méchant" (sic, le propos me sera rapporté par le Dr. François Chedru, celui-là même qui m'a  révélé que le dossier clinique de mon père n'était pas perdu, contrairement à ce que m'avait depuis toujours fait croire la secrétaire du Pr. Gérard Saïd) intéressé à sa mort pour mieux eux pouvoir le gruger.

Il avaient appris par Marc Méchain que l'Office notariale de Me  Pierre Dauptain  s'était refusé d'accéder à la demande de mon père d'effectuer une donation en faveur de son "vrai fils". Dans l'esprit troublé  de mon père, délire de Capgras oblige, délire cultivé par l'équipe des Elmelik-Méchain, je n'étais pas son "vrai fils", mais un méchant imposteur qui cherchait à le faire mourir et à capter son héritage cependant que Marc-Méchain s'était proposé d'effectuer la donation que l'Office de Pierre Dauptain s'était refusé de transmettre au "vrai fils" (une donation qui aurait eu toutes les chances de se perdre en route, mais ans doute pas pour tout le monde. 

NB. le délire de Capgras, aussi en appelé délire des sosies, est un délire en rapport avec une avitaminose B12, comme l'ont montré auc Caen en 2003 l'équipe du Pr. S. Dolfus et se résout non pas avec un traitement neuroleptique, qui l'aggraverait probablement, mais avec le traitement de la maladie de Biermer (Cf. C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus,  l' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer"). A noter que ce numéro  de la Revue l'Encéphale eut tôt fait de disparaître des présentoires de la bibliothèque CHU de Bicêtre, de même que la Revue Archives of Neurology, que le Pr. Gérard Saïd fit interdire de parution en novembre 1997 au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (sic) cependant qu'il fit plus tard des pieds et des mains pour y voir son nom paraître aux côtés des Drs Jacqueline Zittoun et Hélène Ogier de Baulny  Cf. Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert) 

Deux hauts Conseillers ordinaux - les Drs Patrice Bodenan°°° et Jean Pouillard - n'avaient pas trouver mieux que de monter contre moi ce qui en franc-maçonerie s'appelle un "chantier". Ils s'en étaient d'autant plus senti autorisé que mon père avait été transfusé en avril 1984, c'est-à-dire à une époque où les transfusions de sang non chauffé véhiculaient le VIH.

Cf. Sophie Coignard  "L'Omertà française" Chap. 8  pp 264-279, oct 1999,  et du même auteur  Le contre-pouvoir maçonnique, un Etat dans l'Etat", mars 2009, où Sophie Coignard raconte ce qu'est un "chantier maçonnique", en passant par "Vendetta française", publié  en 2003 (tous les trois aux éditions Albin Michel

Alors que lesdits neurologues avaient laissé mon père sans autre traitement que du Prozac*, prétextant une DTA irremédiable (le diagnostic de Démence de Type Alzheimer avait été posé sur celui d' encéphalopathie vasculaire, cf. leur CRH intégralement rapporté sur le site-Web n° 69970222 html et plus récemment sur le site ... ), une fois sorti d'affaire, mon père, dans le coma lorsque je suis intervenun.


Après que j'ai pu rectifier à temps le faux diagnostic d'ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX (sic) qui avait été commis en août 1990 par les neurologues du CHU de Bicêtre, l'Ordre chercha, avec le Pr. Gérard Saïd, responsable à Bicêtre du Service de neurologie et membre du Comité Scientifique de l'IFREM, l'Institut qui édite (qui éditait à l'époque) la Revue d'Ethique médicale Médica Judaïca, à me faire appliquer l'article L 460 du CSP au prétexte que j'avais transgressé l'omertà médicale, qui en France prévaut sur la loi en empêchant pas mon père de porter plainte contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik, des médecins qui l'avaient escroqué mais que l'Ordre des médecins et l'AP - HP, si ce n'est le Ministère de la Santé et le parquet, cherchaient à préserver parce qu'elle rendait de singuliers service en débarrassant les hôpitaux des malades devenus gênants ou encombrants, tâche qu'une autre Clinique du Val-de-Marne remplissait avant que le Service de neurologie du CHU de Mantes la Jolie ne s'en charge en 1997.

Les médecins de la Clinique Léon Elmelik avaient précédemment à son hospitalisation à Bicêtre subrepticement infligé à mon père une opération orthopédique bilatérale au prétexte de remédier à ses troubles de la marche (ses troubles étaient dus à ladite « ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX » et leur opération avait été réalisée dans des conditions invraisemblables, c'est-à-dire tout à fait ubuesques, en réalité pour parfaire le «cash-flow» de ladite Clinique alors que celle-ci était en vente et avait du mal à trouver acquéreur étant donné son exécrable réputation et le prix astronomique qu'en demandaient les Elmelik, ses médecins-propriétaires (la Clinique trouva preneur cinq ans plus tard auprès du Groupe Clinéa. Cf. site-Web n° 108281777 html).

J'ai ainsi en 1990 dû faire face non seulement à la démence Alzheimer de ma mère du fait que son médecin traitant, le Dr. X., s'était mis depuis juillet 1988 à refuser de s'en occuper alors qu'il l'avait depuis plus de trente ans comme patiente (il lui renouvelait depuis trente-quatre ans ses ordonnances de tranquillisants (Gardénal-Natisédine-Equanil-Librium-Atarax-Valium 5mg x3/j au total 200 grammes de Valium + Lexomil + Xanax etc parfois plusieurs de ces molécules sur la même ordonnance) mais aussi au diagnostic erroné d'Alzheimer et d'encéphalopathie vasculaire aboutissant au diagnostic de sortie d' "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic) porté à l'encontre de mon père souffrant en réalité d'un syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal très sévère (tableau de sclérose combinée + syndrome tétrapyramidal + délire de Capgras assez caractéristique de l’avitaminose B12, cf. sur le Web la bibliographie du délire de Capgras paru dans la Revue l'Encéphale de décembre 2003). Les neurologues qui l'avaient en charge à l'hôpital Bicêtre firent cependant semblant de lui administrer le traitement vitaminique B12 qui s'imposait, jusqu'à ce que les infirmières de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix où les neurologues de Bicêtre avaient transféré leur malade après qu'ils l'ont déclaré "voué une inéluctable plus grande dégradation" (sic) me signalent, devant l'apparition d'une glossite de Hunter, une stomatite caractéristique de l'avitaminose B12, qu'elles avaient reçu la consigne de n'administrer devant moi qu'un semblant de traitement de la maladie de Biermer ! Ce qui me permit de comprendre que l'état de mon père n'avait pas été s'aggravant à cause d'une prétendue maladie d'Alzheimer compliquée d'une « encéphalopathie vasculaire » mais parce qu'il ne lui était pas vraiment administré le traitement de la maladie de Biermer, ce qui m'obligea à l'administrer moi-même in extremis alors que mon père avait sombré dans le coma et qu'il était tout près de mourir (voir sur le Web à « Une nuit vitaminée » sur le blog de leon). En mettant moi-même en route le traitement de la maladie de Biermer mon père regagna en quelques semaines ses facultés cérébrales à 30/30 au MMSE. Les neurologues de Bicêtre prirent peur, se rapprochèrent du Conseil de l'Ordre des médecins pour brandir contre moi des menaces de représaillesqui m'accusèrent en 2004 d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père "par antisémitisme" (sic) parce que je m'étais adressé à la CADA pour avoir enfin accès au dossier médical de mon père, dossier depuis le début prétendument perdu cependant qu'un Confrère, le neurologue Dr. François Chedru, m'avait avoué qu'il avait pu le consulter en 1996.

Il m'était ainsi revenu en 1990 de prendre moi-même en charge mes parents gravement invalides dans des conditions d'hostilité générale, sauf de la part du Dr. Michel Serdaru, un neurologue de la Fédération Française de Neurologie, qui m'avait aidé à parfaire le traitement de mes parents en 1992. J'ignorais, quand je lui ai demandé conseil, qu'il avait fait remarquer dans un traité sur les démences paru en 1991 que ni un test de Schilling normal plus qu’une vitaminémie B12 elle aussi normale n'éliminaient le diagnostic de syndrome neuro-anémique, c'est-à-dire d'une démence liée à une carence vitaminique B12. ( Cf. le livre du Pr. Jean-Jacques Hauw "La Maladie d'Alzheimer et autres démences" Flammarion 1991).

J'ai maintenant 76 ans révolu et je suis épuisé moralement et économiquement (je vis largement sous le seuil de pauvreté et ai épuisé tous mes avoirs après que le procureur de Créteil, Michel Barrau, a requis un non-lieu on ne peut pas plus méprisant à mon encontre malgré les preuves tangibles de ces menaces de représailles Cf. les sites-Web n°73331815 et celui qui a trait à l‘ordonnance de non-lieu le site n° ) du fait de ces ruineuses persécutions, alors que mon intervention de septembre 1990, qui consista à administrer moi-même in extremis le traitement de la maladie de Biermer a initié la redécouverte d’une découverte importante faite en 1973 par Swain et Doscherholmen mais par la suite tombée dans l’oubli, en l’occurrence celle du syndrome de maldigestion de la vitamine B12, encore appelée "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal", une redécouverte qui fut en 2003 à cause de l’abandon de la commercialisation du test de Schilling requalifiée "syndrome NDB12PP". Le "Service Médical Rendu" par la vitamine B12 est considérable depuis la redécouverte de ce syndrome, puisqu’il est accessible à un traitement simple et efficace, contrairement à la maladie d’Alzheimer, et alors que c’est un syndrome qui peut donner le change avec cette démence. L’affection risque alors d’être laissée sans traitement, comme ce fut le cas de mon père. Un syndrome passé sous silence par le Magazine de la Santé  (à moins qu'il y ait été décrit sous l'appellation de "syndrome de maldigestion de la viatine B12" ?, un syndrome qui reste méconnu de la plupart des cliniciens praticiens des anciennes générations, ainsi que j’ai plusieurs fois eu l’occasion de m’apercevoir.

Dr. Pierre Cretien 02 96 30 96 14 - 06 78 58 96 21

 

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21 avril 2015 2 21 /04 /avril /2015 15:46

Le "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" n'était pas encore individualisé en 1990  lorsque j'en ai formulé l'hypothèse au sujet de mon père, qui admis le 2 août 1990 à l'hôpital Bicêtre dans le Service du Professeur Gérard Saïd;

Pourtant le Dr Michel Serdaru, neurologue de la Fédération Française de Neurologie (hôpital Pitié Salpétrière)  en avait déjà certainement la notion puisqu'il fait remarquer, dans un traité des démences paru en 1991 chez Flammarion  que ni un test de Schilling normal ni une vitaminémie B12 elle aussi normale n'éliminent un syndrome neuro-anémique, c'est-à-dire une démence liée à une carence vitaminique B12. (

Dans "Maladie d'Alzheimer et autres démences" il avait écrit - je le cite de mémoire - "Le test de Schilling et même une vitaminémie B12 peuvent être trompeurs dans le diagnostic étiologique démences".

Je n'avais évidemment pas lu ce traité en 1990  ni ne connaissais alors le Dr. Serdaru. Je ne l'ai rencontré qu'en octobre ou novembre 1992 après que je lui ai écrit pour lui décrire l'expérience singulière que m'avait fait vivre mon père deux ans auparavant quand il a été admis à l'hôpital Bicêtre (voir celle-ci à "Une nuit vitaminée" sur le blog de leon) ou au site-Web n° 108281777 html  

Les neurologues de cet hôpital avaient prétexté la normalité de la vitaminémie B12 et du test de Schilling pour exclure la posibilité d'un syndrome neurologique dû à une carence vitaminique B12.  Ils avaient oublié l'adage que "la clinique prime le laboratoire" , un adage que pourtant je ne m'étais pas fait faute de rappeler, d'autant que le test de Schilling s'était en lui même montré transitoirement thérapeutique du fait qu'il se termine par l'injection d'une dose non négligeable de vitaminine B12  (1 mg en intra-musculaire) pour éviter la fixation de la vitamine B12 isotopique nécessaire à sa réalisation 

 

A - Posons la question à Google de deux façons équivalentes

 

-  syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal

 

--> 2320 réponses dont en page 1 aucune à génocides.over-blog.com  

 

2° -  syndrome de carence cobalaminique avec test de Schilling normal

--> 8 réponses dont 6  à génocides.over-blog.com 

 

B - Posons la même question à Bing

 

1° - syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal 

-->  224 réponses

2° -  syndrome de carence cobalaminique avec test de Schilling normal

--> 128  réponses !  (contre 8 chez Google)

 

C - Posons la même question à Yahoo

 

1° - syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal 

--> 290 réponses

2° -  syndrome de carence cobalaminique avec test de Schilling normal

--> 223 réponses  (contre 8 chez Google ?!)

 

CONCLUSION

Google se montre le plus sélectif 

 

 

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19 avril 2015 7 19 /04 /avril /2015 12:08

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".
2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".
3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.
4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"
5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).
6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".
7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"
8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"
9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"
10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".
11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".
12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"
13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"
14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"
15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"
16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".
17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)
18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
.......................................................................................................................................
NB : En novembre 1997 le Professeur Saïd fit disparaître tous le numéros de la Revue Archives of Neurology des rayons de la Bibliothèque universitaire du CHU Bicêtre et cesser son abonnement à cette Revue au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (sic) cependant qu'il fit des pieds et des mains pour pouvoir six ans plus tard y cosigner un article au côté des Drs. Hélène Ogier de Baulny et Jacqueline Zittoun.

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17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 15:06

A la Grande Loge Féminine de France 

D'après le premier Ministre Manuel VALLS , il y a recrudescence du racisme et de l'antisémitisme en France.

L'antisémitisme et le racisme ne datent pas d'hier. Reste à examiner  s'il y a en France véritablement recrudescence de l'antisémitisme et du racisme, et si oui, dans quel sens va-t-il ?

Mon père avait été admis d'urgence au CHU de Bicêtre  le 31 juillet 1990 et transféré le 2 août dans le Service du Pr. Gérard Saïd.

Il avait, après six semaines d'hospitalisation, failli succomber à la consigne que l'Interne du Service (Olivier Ille) avait transmise au Dr. Jean-Yves Beinis lorsque son Service l'a fait transférer à l'hôpital Charles Foix, le 22 août.

Cet Interne avait fait savoir au Dr. Beinis, dans une lettre de transmission manuscrite (communiquée au parquet) qu'il y avait lieu de ne faire que semblant d'administrer au malade qu'il lui avait adressé le remède normalement dévolu à la résolution  de ce syndrome (une cobalaminothérapie intensive), remède sans lequel celui-ci est rapidement  mortel, enlui faisant croire, contre toute vérité et évidence, qu'il s'agissait d'un malade atteint d'une encéphalopathie  vasculaire

En 2004, à l'instigation du professeur Gérard Saïd, quand je me suis adressé à la CADA pour avoir accès au dossier soi-disant perdu de mon père, j'ai été accusé par la direction du CHU de Bicêtre d'avoir intentionnellement "fabriqué" (sic) "par antisémitisme" (resic) la maladie de mon père.

L'accusation d'un tel crime commandait aux accusateurs, c'est-à-dire à la direction du CHU de Bicêtre et au Pr. Gérard Saïd d'en faire le signalement aux autorités judiciaires, ceci en vertu de l'article 40 du CPP. 

Le Pr. Saïd ne s'était d'ailleurs pas fait faute de me menacer des tribunaux (on attend toujours) devant  le Pr. Patrick Hardy, désigné Médiateur le 24 septembre 2004, en remplacement du Pr. Gilbert Techernia, hématologue. Ce dernier, qui avait pu récupérer quelques données significatives du dossier soi-disant perdu,  était le plus apte à savoir ce qui s'était réllement passé (il s'agissait d'un syndrome neuro-némique  révélé par un tableau neurologique patent de sclérose combinée, très évocateur d'une maladie de Biermer, maladie immédiatement évoquée aux Urgences de l'hôpital Bicêtre au soir du 31 juillet 1990 au vu de l'hémogramme et de l'examen neurologique, ce que l'Interne avait évité de faire état dans sa lettre de transmission)

Fallait-il laisser le malade sans traitement, autrement dit le laisser mourir parce que cette hospitalisation faisait suite à l'intervention chirurgicale crapuleuse d'un rhumatologue de 68 ans, qui, à la Clinique Léon Elmelik, se prenait pour un chirurgien orthopédiste ?  Une Clinique qu'il fallait absolument protéger eu égard aux services qu'elle rendait à l'AP - HP  pour en débarrasser ses Services des malades encombrants ou indésirables ?   

Ce pseudo chirurgien avait subrepticement infligé à mon père,  âgé  de 79 ans, dans des conditions défiant l'entendement, c'est-à-dire complétement ubuesques (pour l'amélioration du cash-flow de la Clinique Elmelik) une opération orthopédique bilatérale au prétexte remédier à des douleurs que lui occasionnait un cor d'orteil  alors que son patient souffrait en réalité d'une grave "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" et d'importants troubles relationnels (syndrome confusionnel et délire paranoïde de Capgras,  un délire propre à la maladie de Biermer et qui se résout par la traitement de celle-ci). 

Ce qui fait que mon père avait en fait été opéré d’un syndrome NDB12PP, une entité  neurologique débilitante parente de la maladie de Biermer, à ce titre à traiter d’urgence comme cette maladie, c'est-à-dire par une cobalaminothérapie intensive de longue durée.

Le syndrome NDB12PP, qui est maintenant considéré comme forme particulière de la maladie de Biermer, n'était à l'époque  pas encore répertoriée en tant qu'entité neurologique.

Ledit syndrome relève en réalité du traitement de la maladie de Biermer.  J'avais dû intervenir pour le lui appliquer moi-même  (voir l'article du site-Web n° 108281777 ainsi que  ceux consacrés à la confusion du syndrome NDB12PP avec la maladie d'Alzheimer ou avec les leuco-encéphalités multifocales progressives (LEMP)

Voir sur http://genocides.over-blog.com   /   blog de leon - LEMP et Alzheimer.  Blibliographie.

Est a rapprocher de cette affaire les assassinats dont l'infirmière Christine Malèvre s'est fait l’agent au CHU de Mantes la Jolie sous l'égide du même neurologue (l'Interne Olivier Ille) qui avait donné la consigne au Dr. Jean-Yves Beinis de ne faire que semblant d'administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer.

A ma connaissance  aucune franc-maçonne ne s'est mobilisée pour que le Dr. Laurence Kouyoumdjian soit citée à la Légion d'Honneur après qu'eller a dénoncé et ainsi fait cesser ces assassinats.

On pourra se reporter à l'article que l'association médicale FUMED a fait paraître sur le Web le 16 novembre 2013 au sujet du syndrome NDB12PP, désormais enseigné dans les écoles de médecine mais encore largement ignoré des médecins-praticiens, y compris des gériatres !

NBL'Ordre des médecins, le parquet, l'AP - HP et les Institutions médicales toléraient les activités hautement  transgressives de la Clinique Léon Elmelik  alors qu'au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses la  police et le Commandant Christian Raeckelboom en avaient par dessus la tête d'avoir à enregistrer des plaintes contre les médecins de cette Clinique, qui toutes étaient systématiquement "bloquées au parquet".

Les Drs. Patrice Bodenan°°° et Jean Pouillard, deux hauts Conseillers de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne nous avaient menacé de représailles ordinales pour n'avoir pas respecté l'omerta médicale au sujet de ces activités

Frère Patrice Bodenan°°° a obtenu en 1999 auprès du Pr. Christian Hervé un DEA d'éthique médicale validé par un Mémoire portant sur les "Problèmes éthiques posés par  les Commissions de conciliations hospitalières", un Mémoire ad hoc dont la publication sur le Web a apparemment disparue.

Conclusion : La franc-maçonnerie n'agit-elle pas à l'encontre de la séparation des pouvoirs, donc à l'encontre de la  laïcité ?

Comme l'Eglise dans l'ancien régime, la franc-maçonnerie est un Etat dans l'Etat.      

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Bibliographie des "ATTEINTES DIFFUSES DU SYSTÈME NERVEUX"
1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".
2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".
3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.
4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"
5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).
6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".
7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"
8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"
9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"
10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".
11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".
12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"
13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"
14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"
15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"
16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".
17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)
18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
.......................................................................................................................................
NB : En novembre 1997 le Professeur Saïd fit disparaître tous le numéros de la Revue Archives of Neurology des rayons de la Bibliothèque universitaire du CHU Bicêtre et cesser son abonnement à cette Revue au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (sic) cependant qu'il fit des pieds et des mains pour pouvoir six ans plus tard y cosigner un article au côté des Drs. Hélène Ogier de Baulny et Jacqueline Zittoun.

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17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 02:04

L'ADEME ne peut plus ignorer que le potentiel énergétique des marées est massivement récupérable alors que dans le rapport publié hier la part attribuée à l'énergie marémotrice n'est que de 2% ! 

La France dispose pourtant  le long de sa façade atlantique d'un gigantesque gisement d'énergie, qui plus est est  inépuisable.

Il permettrait de résoudre bien avant 2050 (dès 2020) le problème de son approvisionnement en énergie non polluante plus économiquement et écologiquement qu’avec le photo voltaïque, les hydroliennes les éoliennes et les autres procédés astucieux mais chers et peu efficaces. Jean-Marc Ayrault avait été informé en septembre 2012

JMA avait  demandé à ses ministres - à Delphine Batho comme à Philippe Martin - de s’en occuper. Ils n’en avaient rien fait. Pas plus d’ailleurs que Ségolène Roya et Arnaud Montebourg

Plusieurs centaines – des milliers – de térawatts sont récupérables pour opérer la transition énergétique au moyen de deux procédés techniques inédits très puissants. Il s’agit du STSMC et de sa version simplifiée le STSMi.

Ce dernier pourrait être très rapidement mis en service (quelques mois suffisent pour en tester la validité).

Depuis bientôt trois ans le gouvernement Hollande a été informé de l’existence de ces techniques, mais semble ne pas vouloir y croire …

Serait-ce pour préserver l’industrie nucléaire et pétrolière ?

A moins que ce soit parce que chat échaudé craint l'eau froide.

Le gouvernement de Giscard d’Estaing s’était  en effet  bêtement laissé prendre à l'arnaque des avions renifleurs. 

 

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15 avril 2015 3 15 /04 /avril /2015 13:39

A l'instar d' Adolf Hitler, Siegmund Freud n'aimait pas les fous, qui disait que le mieux serait << d'en faire des cargaisons pour les couler >> (voir article pécédent).

Dans le livre d' Éric-Emmanuel Schmitt  "La part de l'autre" on trouve cette expression  « J'admets la part de l'autre dans la constitution de mon destin »

(p. 247, reprise d'une lettre qu'Hitler aurait écrit à Sœur Lucie ? )

 

Éric-Emmanuel Schmitt veut-il dire que cette "part" aurait dû permettre à Hitler de se rendre compte de ses qualités et de ses défauts pour l'éloigner de cette monstrueuse part de lui-même, une part si proche de Freud ?


Autrement dit Éric-Emmanuel Schmitt découvre, comme l'avait fait avant lui Thomas Mann, que Freud et Hitler étaient en miroir l'un par rapport à l'autre, c'est-à-dire quasiment des jumeaux.

De son côté.le psychiatre-psychanalyste Roger Zagdoun parle d'un rapport paranoïaque concernant la génèse incestueuse (monstrueuse) de l'un, et donc de l'autre (voir article pécédent).

 

Quoi qu'il en soit, pour Michel Onfray Freud était en affinité avec  le fascisme 


Accusé d'antisémitisme par la marxiste Elisabeth Roudinesco pour avoir osé faire la critique de Freud  dans "Le crépuscule d'une idole", Michel Onfray  pose en huit point la question de savoir qui des deux (de lui ou de Freud)  défend des positions fascisantes /... /  manifeste un antimarxisme agréable aux oreilles fascistes /... / est le complice concret du fascisme historique / ... / est le complice concret du fascisme historique  ...

(Cf. LIBERATION DU 3 MAI 2010)

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9 avril 2015 4 09 /04 /avril /2015 14:01

Sieg Mund et Sieg Heil avaient non seulement horreur des fous, mais tous deux prônaient leur extermination; à la diffèrence près que Sieg Heil trouva le moyen de mettre ce projet à exécution - y compris sa personne -  mais pas Sieg Mund, qui se contenta de se consummer à petit feu à fumer des Trabucco. Choix narcissique, puisque Tra Bucco et Sieg Mund c'est un peu kif-kif !    

Dans son livre « Freud était fou et a tout faux » René Pommier (aux éditions de Fallois, oct. 2008, prix de l'Académie des Sciences morales et politiques pour ce livre) s’était permis, dans sa critique de Sieg Mund, d’écrire que les adultes ne gardent aucun souvenir de ce qui leur était arrivé dans la prime enfance.

Le psychanalyste Roger Perron, dans l’article sur l’inceste qu’il a rédigé pour la première édition du Grand Dictionnaire International de Psychanalyse d’Alain de Mijolla (éd. Calmann-Lévy, 2002) prétend encore que les incestes réels sont exceptionnels, qu’il ne s’agit en fait de fantasmes « œdipiens ».

(NB : ci-après passer la souris sur le texte pour le voir plus clairement apparaître)

Roger Perron est aussi rédacteur d’un « Que sais-je » sur le complexe d’Œdipe (complexe des dupes, dirait Jacques Lacan)

Le déni de réalité concernant les attentats X dont sont plus souvent qu’on ne l’imagine victimes les enfants a été favorisé par les conceptions négationnistes des psychanalystes freudiens, qui restent encore de nos jours attachés à la notion de « complexe d'Oedipe », un « concept » qui leur fait proférer des inepties : ainsi les accusations de pédophilie relèvent-elles selon ces demeurés freudiens de ce complexe. 

Je ne sais si la nouvelle édition du susdit dictionnaire a conservé tel quel l’article de Roger Perron, mais encore en 2010 le médecin psychiatre-psychanalyste Alain de Mijolla stipulait que ne pouvaient se prétendre véritablement psychanalyste que ceux dont la pratique se fonde sur ledit complexe, un complexe que Freud a « perlaboré » (sic) à partir du souvenir d’un rêve :  Il s’y est souvenu d’avoir vu sa mère  « nudam » dans le compartiment d'un wagon de chemin de fer quand il avait 2 ans et demi alors qu'il et elle revenaient de Leipzig. Il en aurait éprouvé un vif désir érotique pour sa mère et un sentiment de jalousie envers son père.

Dès lors « une idée unique de portée universelle a vu le jour en moi. J’ai découvert dans mon propre cas un amour pour ma mère et de la jalousie envers mon père. Je peux maintenant dire qu’il s’agit d’un événement de portée universelle normalement présent dans la petite enfance » 

Dans  « Mensonges freudiens » (éd. Mardaga, oct.2002, Jacques Bénesteau fait remarquer que Freud avait lors de ce voyage quatre ans, et non pas deux ans et demi (p.258).

Mais la question que cet auteur ne pose pas est celle-ci : qu'était allé faire à Leipzig la mère de Freud avec son fils ?

La réponse ne pourrait-elle pas être en accord avec les spéculations de Sieg Mund, pas vraiment délirantes par rapport à sa propre préhistoire ?

N'était-elle allé à Leipzig montrer à son père le fruit de ses entrailles ?

C'est à cette question qu’à la même époque (2002) répondait la psychanalyste Gabrielle Rubin en s'inspirant des précédentes recherches de Marie Balmary, dans « L'homme aux statues », et de Marianne Krüll dans « Freud, fils de Jacob », et à quoi avait depuis longtemps mais moins explicitement répondu Jacques Lacan dans ses séminaires. Cf. dans celui co,sacré à « La lettre volée », sa conception du délire, de l'intelligence (lire entre les lignes) la psychanalyse étant  un délire en r² de -1.

Sieg Mund avait tourné le dos à ses premières affirmations après qu’il a compris qu’il aurait avantage à trouver un moyen de renier sa découverte s’il voulait faire carrière.  L’homme aux statues, réédité en 1997 est en fait le Mémoire que Marie Balmary avait fait publier en 1979 avait beaucoup intéressé Jacques Lacan après que son directeur de thèse, le Pr. Jean Laplanche (dite Savonneuse ou à Repasser, le linge psychanalytique se doit d'être lavé en famille), inféodé aux spéculations de Sieg Mund, l’a refusé, au prétexte qu’il s’agissait d’une thèse de sociologie, et non pas de psychanalyse (en réalité parce que Marie Balmary y faisait allégeance à Jacques Lacan, qui avait publiquement traité Laplanche-Savonneuse de crétin (voir pourquoi ci-après).

A la même époque la sociologue Marianne Krüll publiait en Allemagne « Freud, fils de Jacob », traduit et publié en France en 1984 chez Gallimard dans « la Bibliothèque de l’inconscient » en même temps qu’aux Etats-Unis Jeffrey-Moussaëff Masson se penchait sur les Archives Freud pour publier «Assault on truth », traduit et publié en France sous le titre « Le réel escamoté », un ouvrage qui eut aux Etats-Unis un énorme retentissement, contrairement à ce qui s’est passé en France, où cette étude fut méprisée et mise à l’index ( www.affairefreud Regard conscient).

Laplanche, inféodé aux spéculations de Freud, l’a refusé, au prétexte qu’il s’agissait d’une thèse de sociologie, et non pas de psychanalyse. A la même époque la sociologue Marianne Krüll publiait en Allemagne « Freud, fils de Jacob », publié en France en 1984 chez Gallimard dans « la Bibliothèque de l’inconscient » en même temps qu’aux Etats-Unis Jeffrey-Moussaëff Masson se penchait sur les Archives Freud pour publier «Assault on truth », traduit et publié en France sous le titre « Le réel escamoté », un ouvrage qui eut aux Etats-Unis un énorme retentissement, contrairement à ce qui s’est passé en France, où cette étude fut méprisée et mise à l’index ( www.affairefreud Regard conscient).


J’avais voulu faire savoir à Madame Bachelot-Narquin, afin qu'elle en soit bien consciente, que signaler à l’Ordre des médecins les violences que des médecins se permettent de commettre était la dernière des choses à faire, l’Ordre apportant quasi systématiquement et inconditionnellement son soutien aux médecins violeurs.


Contrairement à ce qu’il est dit dans les commissariats, faire un signalement s'avère ruineux, pour ne pas dire dangereux.

L’Ordre des médecins est en effet en mesure, par les relations qu’il cultive au sein de la magistrature et du barreau, de monter contre ceux qui transgressent l’omerta ce qui s’appelle en franc-maçonnerie un « chantier »,  particulièrement lorsque ces violences relèvent de la pédophilie. Notre Consœur Catherine Bonnet et moi en avons fait la ruineuse et très perverse expérience.

Les médecins ont ainsi appris à ne pas faire de signalements pour ne pas s'exposer aux représailles ordinales. L’impossibilité de faire des signalements fait que ces violences sont particulièrement délétères, causant chez les victimes des complications physiologiques et psychologiques extrêmement durables.

En 1999 le Dr. Catherine Bonnet a fait l’objet d’une condamnation à trois fois trois ans d’interdiction d’exercice par le Conseil disciplinaire de l’Ordre des médecins après qu’elle a rédigé trois signalements décrivant le cas de trois enfants victimes.

Sa radiation avait impressionné Me Régine de la Morinerie, qui était notre Conseil, alors que notre Consœur collaborait avec elle à    « Enfance Majuscule ».

La radiation du Dr. Catherine Bonnet avait été levée après que Me Régine de la Morinerie a reçu le message 5/5 quand elle était en charge de notre défense contre les exactions à visée lucratives  dont les médecins de la Clinique Léon Elmelik, sise à l'Hay-les-Roses, s’étaient rendus responsables envers mon père.

Cette Clinique était bien connue des Services de police et du parquet de Créteil pour abriter un gynécologue « intouchable » 

Propriétaire de cette Clinique, il satisfaisait ses envies sur les parturientes. L’Ordre des médecins était parfaitement au courant, ainsi que le maire  (il m'en a parlé), le Centre social de l'Haÿ-les-Roses et le parquet. C’était dans les années 1990.

Me Régine de la Morinerie s’était exclamé devant moi en me commentant la nouvelle « ça y est, Catherine Bonnet a été radiée ! » (sic) pour n'avoir pas porté, comme prévu, notre affaire devant la chambre d'accusation.

Ses prédécesseurs, dont Me Annick Dorsner-Dolivet, pénaliste réputée, avaient aussi pris peur (voir site-Web n° 73331815 html) 

Les avocats savent qu'il est pour eux comme pour les médecins dangereux de défendre les victimes d’exactions commises par des médecins sous peine de radiation et d’ennuis à n’en plus finir. C'est ce qui explique que les médecins rechignent à faire des signalements, et les avocats à défendre les victimes de médecins.

Il est à l'inverse beaucoup plus facile de trouver des avocats ou des médecins prêts à voler au secours de violeurs avérés ou présumés, Cf. le  procès des enfants d’Outreau ( voir aussi « Outreau, la vérité abusée » 
Marie-Christine Gryson-Dejehansart, éd. Hugo et Cie Oct. 2009)


C’est ce qui explique pourquoi les médecins 1° font rarement des signalements et 2° pourquoi ils sont nombreux à céder à leurs « pulsions » (le Dr. André Hazout ne représente que la partie émergée de l’iceberg) .

Lorsque je me suis rendu au Conseil régional de l’Ordre des médecins, les secrétaires, qui sont évidemment au courant de cet état de chose, m’ont fait savoir, en sortant le dossier relatif à la Clinique Léon Elmelik, qu’il ne fallait surtout pas compter sur l’Ordre des médecins pour faire cesser les viols et la pédophilie chez les médecins : « Mon pauvre monsieur, m’avaient-elles dit, les violeurs et les pédophiles sont au Conseil de l’Ordre » (sic).

Faire un signalement à l’Ordre des médecins revient donc à se jeter dans la gueule du loup. Les médecins le savent, qui se saisissent de l’aubaine.

L’invention de ce fallacieux  « concept » a non seulement fait florès, mais la célébrité et même la fortune de son concepteur et de ses zélotes, au détriment des victimes : ainsi les accusations de pédophilie relèvent-elles, selon les freudiens, quasiment toujours de ce complexe. Je n’invente rien, cf. l'article que le  psychanalyste Roger Perron a consacré encore en 2002 à l'inceste dans le « Dictionnaire international de psychanalyse », que le  médecin-psychiatre  Alain de Mijolla a fait éditer chez Calmann-Levy, où il est dit,   « Il ne faut évidemment pas confondre les fantasmes incestueux, présent en tout être humain, et les comportements réels de type incestueux , infiniment plus rares ; il reste que le abord psychanalytique a permis d’en comprendre beaucoup mieux la genèse et la signification. ». (page 801). Article à mettre en relation avec celui que quelques pages plus loin  Robert Stolorow dit de l’inconscient invalidé  et de l’inconscient préréfléchi  (P. 807)   (en attendant un texte sur les inconscients irréfléchis,  les inconscients innés et  les inconscients supraconscients ou hyperconscients, où encore les inconscients au carré (ce qui s’est d’ailleurs produit dans un texte paru en 1964 signé Laplanche et Pontalis  intitulé  « Fantasme originaire, fantasme des origines , origines du fantasme » tellement moqué par Jacques Lacan qu’il a été remanié pour reparaître vingt ans plus tard après la disparition du moqueur.    


Le déni de réalité concernant les attentats X dont sont plus souvent qu’on ne l’imagine victimes les enfants a été favorisé par les conceptions négationnistes des psychanalystes freudiens, qui restent encore de nos jours attachés à la notion de « complexe d'Oedipe », un « concept » qui leur fait proférer des inepties : ainsi les accusations de pédophilie relèvent-elles selon eux de ce complexe. Je ne sais si la nouvelle édition du susdit dictionnaire a conservé tel quel l’article de Roger Perron, mais encore en 2010 le médecin psychiatre-psychanalyste Alain de Mijolla stipulait que ne peuvent se prétendre véritablement psychanalyste que ceux dont la pratique se fonde sur ledit complexe, un complexe que Freud a « perlaboré » (sic) à partir du souvenir d’un rêve : dans le compartiment d'un wagon de chemin de fer. Il s’y souvient d’avoir vu sa mère « nudam » quand il avait 2 ans et demi alors qu'il et elle revenaient de Leipzig. Il en aurait éprouvé un vif désir érotique pour sa mère et un sentiment de jalousie envers son père. Dès lors « une idée unique de portée universelle a vu le jour en moi. J’ai découvert dans mon propre cas un amour pour ma mère et de la jalousie envers mon père. Je peux maintenant dire qu’il s’agit d’un événement de portée universelle normalement présent dans la petite enfance »

Dans sa très savante critique de Freud « Mensonges freudiens » (éd. Mardaga, oct.2002, Jacques Bénesteau fait remarquer que Freud avait lors de ce voyage quatre ans, et non pas deux ans et demi (p.258).

Mais la question que cet auteur ne pose pas est celle-ci : qu'était allé faire à Leipzig la mère de Freud avec son fils ?

La réponse ne pourrait-elle pas être en accord avec les spéculations théoriques de Freud, pas vraiment délirantes par rapport à sa propre préhistoire ?

C'est à cette question qu’à la même époque (2002) répondait la psychanalyste Gabrielle Rubin en s'inspirant des précédentes recherches de Marie Balmary, dans « L'homme aux statues », et de Marianne Krüll dans « Freud, fils de Jacob », et à quoi avait depuis longtemps moins explicitement répondu Jacques Lacan dans ses séminaires (Cf. « La lettre volée », sa conception du délire, de l'intelligence – du savoir lire entre les lignes - et de la psychanalyse, un délire en r² de -1).

Freud avait tourné le dos à ses premières affirmations après qu’il a compris qu’il aurait avantage à trouver un moyen de renier sa découverte s’il voulait faire carrière (Cf. « L’homme aux statues », réédité en 1997, qui est en fait le Mémoire que Marie Balmary avait fait publier en 1979 après que son directeur de thèse, le Pr. Jean Laplanche, inféodé aux spéculations de Freud, l’a refusé, au prétexte qu’il s’agissait d’une thèse de sociologie, et non pas de psychanalyse. A la même époque la sociologue Marianne Krüll publiait en Allemagne « Freud, fils de Jacob », publié en France en 1984 chez Gallimard dans « la Bibliothèque de l’inconscient » en même temps qu’aux Etats-Unis Jeffrey-Moussaëff Masson se penchait sur les Archives Freud pour publier «Assault on truth », traduit et publié en France sous le titre « Le réel escamoté », un ouvrage qui eut aux Etats-Unis un énorme retentissement, contrairement à ce qui s’est passé en France, où cette étude fut méprisée et mise à l’index ( www.affairefreud Regard conscient).

Elisabeth Roudinesco dans son dernier livre, « Freud en son temps et dans le nôtre », semble avoir enfin compris que défendre la théorie du « Complexe d’Œdipe » était une ineptie.

 

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Je ne sais si la nouvelle édition a conservé tel quel cet article stupide (celui de Roger Perron), 
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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 16:58

Le 24 mars 2015 à 15 h 19, soit environ 4 heures et demi après le crash de l'Airbus A 320 de Germanwing sur le Massif des Trois Vallées, Fabrice Pouliquen, journaliste au quotidien "20 MINUTES" conclu son article consacré à la découverte de 2 kg de methamphétamine dans un lapin en peluche  lors d’un vol entre Los Angeles et New York, apparemment sans penser à faire le lien en cette découverte et le crash volontairement provoqué par Andréas Lubitz quelques heures plus tôt mais par cette remarque :

 

<< Direction donc la case prison pour Lucas Da Silva. Lui laissera-t-on ses lapins en peluche en guise de consolation ? >>.

 

Peut-être que ce journaliste n'était pas encore au courant du crash de l'Airbus, mais ce qui m'étonne, c'est qu'aucuns journaux n'aient, en France, à ma connaissance, évoqué l'éventualité d'un rapport entre ce crash "volontaire" et la prise de cette drogue (ou d'une autre de ce type) sachant que les kamikaze japonais, comme d'ailleurs tous les soldats envoyés au front pendant la dernière guerre mondiale, et Hitlrer lui même, en prenaient. 

Je n'y ai moi-même pensé que ce matin 31 mars (voir mon article précédent), et c'est en cherchant à confirmer cette idée que je suis tombé cet après-midi sur l'article de ce journaliste.

Trouvera-t-on cette drogue chez Andreas Lubitz ?

Coïcidence ?

A force de prôner la performance comme valeur suprême, le "burn out" devient  source de dépression et de consommation de stimulant 

... 

 

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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 16:35

Le paranoïaque critique (note 1*)  constatera que

Andreas Lubitzle copilote de l'Airbus A320-211 de Germanwings qui s'est écrasé le mardi 24 mars dans les Alples-de-Haute-Provence  avait apparemment savamment préparé son coup, non seulement de façon à ne pas laisser de survivants, mais aussi de façon que son acte insensé ait un sens.

Ce n'est là qu'une hypothèse, qui sera j'espère invalidée par les recheches sur la personnalité et les antécédents de ce pilote d'avions, des recherches que son acte va nécessairement susciter, puisqu'il dépasse l'entendement d'un être normalement constitué, c'est-à-dire ni trop ni pas assez paranoïaque, cependant que les familles des victimes "veulent tout savoir" sur lui (dixit les infos du 26 mars).

Elles ne le pourrons probablement jamais parce qu'il est impossible de savoir l "inconcevable". 

Pour un parano normal (oxymoron ?) la folle conduite impulsive quoique savamment préméditée (note 2*) du copilote ne correspond apparemment pas à celle d'un suicidaire désespéré, ni même à un acte réalisé sous l'empire (anagramme d'emprise) d'une bouffée délirante, mais à celle d'un kamikaze  sous l'emprise d'une cause "transcendante", c'est-à-dire follement paranoïaque. En effet :

Kami  = Dieu

Kaze = vent, souffle ... 

 

2°  l'avion était immatriculé D-AIPX 

D comme Deutschland, mais aussi comme Daech

AIPX est l'anagramme de PAIX, le contraire de GUERRE

 

3° ce n'est pas la première fois que les commandes d'un avion de ligne est volontairement précipité au sol avec ses passagers parce que son pilote était suicidaire, ni la première fois que l'on en a tiré les leçons : certaines compagnies aériennes, en particulier les américaines, exigent déjà qu'il y ait toujours deux personnes  dans les cabines de pilotage

Mais la présence de deux personnes n'empêche pas un crash suicidaire d'être mené à terme.

Plaide toutefois contre la susdite hypothèse d'un crash  insconsciemment calculé pour qu'il ait  lieu contre le Massif  des Trois Evêchés  le fait que Lubitz ne pouvait pas savoir à l'avance, que le commandant de bord  allait quitter la cabine de pilotage lorsque l'avion survolerait lesdits massifs, ou même qu'il allait avoir besoin de quitter la cabine au cours d'un si bref trajet. Le vol 9525 de Barcelone à Düsseldorf ne dure guère qu'une heure et demi. 

A moins que le pilote et le copilote aient été de "mèche".  Ce qui paraît totalement à exclure.

C'est oublier l'omnipotence de l'inconscient "structuré comme un langage"  

Une majorité d'Allemands avaient confié la conduite de leur pays à un fou ivre de vengences. Or tout un état-major était dans la cabine de piloge. Cela n'a pas empêcher l'Allemagne de se crasher. De même pour l'Italie et le Japon.

Selon Herr Professor Freud,  dans ses divagations psychanalytiques cocaïnée (c'est-à-dire paranoäqueil convient de restituer au sens apparent des rêves et des productions délirantes comme aux sens des mots leur sens paradigmatique - et inversement  (ce qui fait que Freud a obligatoirement toujours raison.)

Le sens profond est "inconscient", à l'inverse de celui qui est expressément exprimé (et inversement le sens exprimé est à l'inverse du sens profond : c'est pourquoi la psychanalyse rend fou celui qui ne l'était pas et celui qui l'était déjà encore plus barge

Application : quand Adolfou Hitler, qui se prenait pour l'envoyé de la providence, c'est-à-dire pour l'envoyé de Dieu. disait vouloir de préparer la PAIX, il fallait comprendre qu'il voulait préparer la GUERRE, réalisant l'adage romain qui dit "Si vis pacem, para bellum". 

Dans son délire paranoïaque non critique Hitler aurait certainement préféré se prénommer  Wotan plutôt que Adolf ou Adolfus. 

Pourquoi ? Parce que  W c'est V + V. 

Le W de Wotan c'est Votan ou  V+OTAN , alors que l'  OTAN c'est 

W contient le V de Vergeltung = vengeance contre l' OTAN  (entendre les temps ) à venir (et ainsi de suite comme dans une comptine contant l'étendue des destructions à venir).

Or  si V se prononce fao en allemand, V se prononce Weh en français. Or Weh en allemand, c'est le mal, au sens de douleur, et le crash qui a eu lieu en France le 24 mars dernier est particulièrement  douloureux. CQFD  l'intentionalité inconsciente d' Andreas Lubitz, aurait dit le cabaliste Bernard This.


Bernard This est un psychiatre-psychanalyste lacanoïde qui concevait  "l'inconscient struturé par la toute puissance du langage". Il attribuait ainsi  le cancer de la bouche de son Freud idolâtré  au fait qu'il avait amputé son prénom d'un I et d'un S pour le germaniser, tout  comme Hitler avait amputé le sien d' U et d'un  pour le déjudaïser. Résultat : l' U et le S évincés se sont vengés puisque l'US army a été le principal artisan de sa défaite. Preuve en est qu'en allemand  Mund = bouche et que Tot = mort. Or il avait écrit Tot-e-M und Tabou - che ! N'est-ce pas évident : les voyelles bafouées ici aussi se sont Vengées.      

Que je sache,ni  le Conseil de l'Ordre des médecins ni le Ministère de la santé ont penser à lui appliquer  l'Article L 460 du CSP !  

Diagnostiquera-t-on le crash 

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1* -  J'ai reçu cette étiquette de la part du Dr. Patrice Bodenan, un "haut" Conseiller de l'Ordre des médecins qui a réclamé contre moi l'application de l'Article L 460 du  CPS  :

a) pour n'avoir pas empêché mon père de porter contre ses amis les médecins de la Clinique Léon Elmelik  alors que ceux-ci vaient subrepticement, en transgressant tous les interdits fondamentaux du Code de déontologie médicale,  de la chirurgie et du simple bon sens, infligé une opération orthopédique bilatérale pour corriger des "troubles de la marche" d'origine neurologique 

b)  de la part de la Direction du CHU de Bicêtre depuis qu'après cet acte innommable j'ai dû intervenir en catatrophe pour adminsitrer moi-même le seul traitement en mesure de lui sauver la vie et le faire remarcher, un traitement que ses médecins  ne faisaient depuis plus de cinq semaines que semblant de lui administrer alors qu'il était hospitalisé depuis six semaines et avait fini par plonger dans le coma.

 c)  pour être finalement  accusé d'avoir moi-même délibérément " fabriqué"  (sic) la maladie dont mon père avait failli mourir dans la nuit du 12 septembre 1990  alors qu'il était hospitaliusé. Cf. le site-Web n° 73331815, 108281777 html et autres.

2* - Préméditée à l'instar du crash que le  rhumatologue de la Clinique Léon Elmelik réalisa le 25 mai 1990 à l'Haÿ-les-Roses.

Se faisant passer pour chirurgien, il avait précipitamment et subrepticement infligé à mon père, alors âgé de 79 ans et qui souffrait de troubles cardiovasculaires et neurologiques des plus inquiétants une double opération orthopédique. 

Son cardiologue et moi-même l' avions  expressément interdite.

On voit que là aussi il s'était agi d'une histoire d'avion qui se crash. 

L'opération fut réalisée en un seul temps sur les deux pieds du patient (ce qui déjà était une transgression des régles les plus élémentaires de la chirurgie) au prétexte de corriger une prétendue mauvaise morphostatique tenue pour responsable des douleurs à la marche de l'opéré alors que celles-ci étaient d'origine neurologique, et tout simplement dues à une carence vitaminique B12. L'opération ne fit que les accroître.

L'opération insensée était surtout censée, l'air de rien (l' R de O), parfaire le cash-flow de la Clinique Léon Elmelik (celle-ci était à vendre à cette époque) 

Le groupe Clinéa, spécialisée dans les "soins de suite" la racheta en 1995, au mé-prix du crash de l'opéré.  La suite aux sites-Web n° 69970222 et 73331815 html et à  "ordonnance de non-leu et omerta médicale".  

 

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