Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
16 octobre 2015 5 16 /10 /octobre /2015 14:52

L'hebdomadaire  suédois Fokus, l'équivalent de Match, a profité des dires de Zlatan Ibrahimovic pour les reprendre à son compte en en faisant la preuve par trois ...

1° Une croissance nulle  (Nolltillväxt)

2° 10% de sans travail     (10 procent utan jobb)

3° Un Front National en passe de gagner les  élections    

                                            (Nationella fronten på väg mot valseger)

Mais il en a bien d'autres, autement plus parlantes.

Ainsi du quotidien "Le Monde", un journal qui fait quasiment en France office de "Journal officiel".

Après qu'il a publié - en février 1977 -  la liste des signataires  (y figure Françoise Dolto) qui s'élevaient contre la condamnation à une peine d'emprisonnement de quatre pédoclastes (improprement appelés en France "pédophiles") trouva à nouveau opportun de publier les déclarations du psychiatre-"psychanalyste" (sic) Samuel Lepastier sur les enfants d'Outreau, qui selon lui auraient avant tout été victimes de leurs inconscient "oedipien(Le Monde du 8 février 2006)

Un pays où la iatrogénie freudienne a toujours cours, jusqu'à y faire "loi". Comme Freud (il était favorable à l'extermination des malades psychiatriques, qui "l'insupportaient", bien qu'ils le fassent vivre et servissent à ses recherches)  le psychanalyste-négationniste Roger Perron soutient que les incestes réels sont très rares, qu'il s'agit de surtout "fanstasmes".

Une  "skitland" où un psychiatre comme Dr. Pierre Sabourin persite à prendre les théorisations renversantes (projectives et mensongères) de Sigmund Freud pour du bon pain malgré une longue collaboration avec Pierre Lassus et Catherine Bonnet ! (Freud n'était-il pas le fils de son grand-père maternel, comme l'a intelligemment  exposé "entre les lignesJacques Lacan pour rendre compte de son délire dans  la théorie de la forclusion du nom du père de Freud ?)

Compte tenu de ses avantages géographiques les économistes Danois (si ce n'est aussi les Suédois) prévoyaient en 1986 qu'en l' an 2000  la France serait  la première  puissance économique d'Europe.

C'était sans compter qu'un État de non-droit et de passe-droit y règne, qui y est considéré comme "chose normale".

Jusqu'à quand ? 

Ainsi encore du droit archaïque dit "de cuissage ".

En témoignent, entre autres, les récents commentaires du créateur de "Marianne", Jean-Francois Kahn, et les réactions de nombre de députés et sénateurs masculins, qu'ils soient "socialistes" ou pas , en passant par la réaction de l'ancien Garde des Sceaux Robert Badinter , devant les "dérapages" auxquels s'était livré ou les provocations auxquelles l'ancien Président du FMI Donimique Strauss-Kahn avait succombées. Il était alors en passe d'être élu président de la République, fort de  70 % des intentions de voteIl n'y eut guère du côté des hommes que Bernard Debré pour s'en scandaliser.

Et les viols auxquels se livrait habituellements sur les parturientes, dans les années 80 - 90, le médecin "milliardaire" (selon le police, qui n'en pouvait mais) Jean-Claude Elmelik en sa Clinique de l'Haÿ-les-Roses,  sans que l'Ordre des médecins sache y mettre un terme

Ainsi aussi du droit de tuer, selon les dires du médecin Conseiller -Rapporteur de l'Ordre le Dr. Pierre Brassart, qui pour justifié son soutien au pseudo-chirurgien Antoine Denis m'avait affirmé que les médecins avaient non seulement  le droit, mais le devoir de gagner leur vie, que ce soit ou non  au dépens de la santé , voire au dépens de la vie de leurs patients, lorsque je lui ai demandé des explications au sujet de ce qui arrivé à mon père à la Clinique Elmelik en 1990 et de la lettre de chaleureux  remerciements et de félicitations que le Dr. Antoine Denis venait de lui adresser  le 29 mars 1994 (cette lettre, manuscrite, est rapportée telle quelle sur le site-Web n°106212950 sous le titre de "Lettre du Dr. Antoine Denis au Dr. Pierre Brassart".) 

Contrairement au Dr. Patrice Bodenan le Dr. Pierre Brassart avait été réglementairement désigné  rapporteur du Conseil disciplinaire de l'Ordre régional d'Île-de-France par le Dr. Jean Penneau, juriste et professeur de Droit. 

Autrement dit le droit de tuer et de violer est un droit médical soutenu par le Conseil régional et le Conseil national de Ordre des médecins et par l'AP - HP, qui ont par la suite confirmé ce "droit" en couvrant d'autres meurtres, comme au CHU de Mantes la Jolie dans l'affaire des assassinats de malades, que le Dr. Olivier Ille et la direction de cet hôpital passaient sous silence, mais qui ont été "malencontreusement" signalés par le Dr. Laurence Kouyoumdjian.

De même pour les relations sexuelles par lesquelles les candidates à la GPMA devaient passer  si elle voulaient pouvoir accéder à la procréation, que le  Dr. André Hazout leur imposait cependant que le Conseil National de l'Ordre des Médecins était depuis des lustres parfaitement  au courant 

Avait aussi soutenu ce "droit" au Conseil départemental de l'Ordre du Val-de-Marne Frère trois points le Dr. Patrice Bodenan, désigné "par erreur" (sic) rapporteur, en 1992 par le Président de ce  Conseil,  le Dr. Jean Pouillard (cf. à ce sujet la troll de lettre que m'a adressé en 1992 le Sécrétaire général du Conseil de l'Ordre du 94 le Dr. Claude Poulain sur le site 69970222 html.)

Après que je leur ai signalé ce qui était arrivé à mon père Pouillard et Bodenan°°° avaient  cherché à me faire appliquer l'article L 460 du CSP , non pas parce que j'avais réussi à le sortir du coma mortel où l'avaient plongé les neurologues de Bicêtre en refusant de lui administrer vraiment le traitement de la maladie de Biermer, mais pour ne l'avoir pas par la suite empêché de porter plainte contre X  pour non assistance à personne en péril de mort après ce qui lui était auparavant arrivé à la Clinique Léon Elmelik et après dans les Services du  Pr. Gérard Saïd et du Dr. Jean-Yves Beinis (voir site n° 71859487 la demande que le Dr. Patrice Bodenan avait adressé le 10 janvier 1994 au Président du Conseil disciplinaire de l'Ordre le Dr. Jean Penneau

Le Dr. Pierre Brassart avait certes été plus régulièrement désigné rapporteur en 1993 que le Dr. Bodenan en 1992, mais il m'a personnellement tenu lesdits propos pour légitimer les actes du Dr. Antoine Denis quand je lui ai demandé des explications à propos de la lettre de remerciements  que lui avait adressé  ce faux chirurgien orthopédiste le 29 mars 1994.

Cette lettre de remerciement est manuscrite peut être consultée  sur le site n° 106212950.  

Le Dr. Antoine Denis y renouvelle ses remerciements au Dr. Brassart pour "le rôle bien difficile qu'il a accepté de jouer à son bénéfice au sein du Conseil régional".

J'ai à la suite des actes illicites et inconsidérés, que j'avais qualifiés "d'intempestifs" (Cf. note *) du Dr. Antoine Denis fait lourdement les frais financiers et moraux du "complotisme" institutionnel. Il m'avait fallu intervenir en catastrophe en septembre 1990 lorsque mon père s'est retrouvé à l'hôpital pour sortir mon père du coma et d'une mort  imminente alors qu'elle survenait dans des conditions épouvantables. 

Des conditions que les neurologues du CHU de Bicêtre (Service du Professeur Gérard Saïd) lui avaient en août 1990 préparées et prédites en faisant semblant de lui administrer le traitement de la maladie de Biermer. Ils l'avaient ainsi condamné à une «inéluctable plus grande dégradation» (sic, selon leur expression, dite puis rapportée par le Dr. François Chedru, médecin de l'Assistance publique,  dans l'expertise de complaisance qu'il a accepté de rédiger au début le l'année 1996 sous la houlette de ses Confrères les professeurs André Lienhart et René-Claude Touzard, au prétexte (légitime ou controuvé ?) que le plaignant et son fils étaient "des méchants", sic, dixit le Dr. François Chedru quand je lui ai demandé de s'expliquer. (Il m'avoua qu'aucun chirurgien n'aurait accepté d'opérer mon père dans les conditions d'alors cependant qu'il a affirmé le contraire dans son expertise. Pour faire bon poids, il avait osé ajouter dans son expertise que mon père s'était adressé au "meilleur spécialiste qui soit" en s'adressant le Dr. Antoine Denis alors qu'il n'avait fait que se rendre au plus près de chez lui pour un acte en K 20) 

Ce n'est probablement pas par hasard si le Pr. Olivier Lyon-Caen, neurologue de la Fédération Française de Neurologie,  a fait appel au Dr. François Chedru, dans son émission de France-Culture intitulée "Avec ou sans rendez-vous", pour traiter du problème de l'expertise médicale, notamment celui des expertises médicales dites de complaisance. L'émission a été diffusée le 11 septembre 2011. 

Ces expertises  sont en principe, mais en principe seulement, en France passibles d'une lourde amende et d'une non moins lourde peine d'emprisonnement (trois ans d'emprisonnement et 45000 euros d'amende);

Le Pr. Lyon-Caen savais certainement ce qu'il faisait choisissant d'inviter le Dr. François Chedru parce que j'avais en avril 1997 tenu au courant les médecins de la F.F.N.  ce qui s'était passé en 1990 à l'hôpital Bicêtre, c'est-à-dire de l'intérêt qu'il y avait de ne passe fier aux données négatives d'un test de Schilling  et d'une vitaminémie B12 normale pour porter le diagnostic de syndrome neuro-anémique, donc de carence vitaminique B12  due à la maladie de Biermer  ou a un syndrome  apparenté (un syndrome depuis 2003 connu sous le nom de syndrome NDB12PP après qu'il s'est appelé "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal"et que sa découverte a été initiée par la panique qu'avait suscité  la plainte  de mon père pour les souffrances   qu'il avait endurées en 1990 et les lourdes séquelles qui s'en suivirent.

Le Dr. Chedru savait très bien que ses Confrères, les neurologues de Bicêtre, avaient indûment prescrit au Chef de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix, le Dr. Jean-Yves Beinis, de continuer à n'administrer au malade qu'un simulacre du traitement de la maladie de Biermer après qu'ils l'ont fait transférer dans son Service et après qu'ils l'ont eux-mêmes gardé trois semaines dans leur propre Service sans autre traitement que du Prozac* Cf. leur CR d'hospitalisation rapporté sur le site 69970222 htlm. Ces neurologues  ne pouvaient en aucun cas ignorer l'urgence du traitement de la maladie de Biermer, la condition sine qua non de la survie de leur malade et de son rétablissement sans séquelles.

Prévenu juste à temps du simulacre par les infirmières de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charle-Foix j'ai pu intervenir in extremis en le mettant moi-même en route le 12 septembre 1990.

Le rapide rétablissement de mon père ne fut ni du goût de l'Ordre des médecins ni de celui des neurologues de Bicêtre ni de celui de la direction de l'AP – HP, qui s'entendirent pour monter contre moi ce qui s'appelle en franc-maçonnerie un «chantier», une entreprise qui ne fait apparemment pas l'objet de condamnations judiciaires. 

Il ne fut pas plus du goût du parquet, cf le site n° 116517337 relatif à ce non-lieu et à l'omerta médicale.  

L'AP-HP créera en 1995 l'Espace Ethique de l'AP - HP en guise de rideau de fumée  pour ce qui s'était passé à Bicêtre, et probablement aussi en prévision de bavures à venir avec la nomination du Dr. Olivier Ille à la tête du Service de Neuro-pneumologie du CHU de Mantes la Jolie, où s'illustrera deux ans plus tard Christine Malèvre, sa trop zélée infirmière alors que la direction de Bicêtre et celle de l'AP - HP ne pouvaient en aucun cas ignorer qu'Olivier Ille  avait transmis des directives mortifères  au Dr. Jean-Yves Beinis quand il avait fait transférer mon père à l'hôpital Charles-Foix dans  son Unité de Soins Normalisés

J'ai à ce sujet tout dernièrement écrit à Madame Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes une lettre explicative sur cet état de chose.


Son contenu peut-être retrouvé dans l'article que j'ai dernièrement mis en ligne, intitulé "VW, le CNTS, l'IFREM, l'INSERM et l'AP - HP", pour souligner qu'il n'y a pas que VW qui puisse trouver  avantage à truquer des mesures de contrôle.

Cf. aussi pour plus de précisions les sites n° 34640255, 69970222 et 108281777 html

Partager cet article
Repost0
15 octobre 2015 4 15 /10 /octobre /2015 19:30

<< Comment un animateur peut-il réagir dans une discussion portant sur les thèmes conspirationnistes ? >> s'interroge le "Journal de l'animation" dans son numéro d'octobre 2015 (numéro 162) alors que la croyance en l'existence de conspirations n'est pas sans fondement.

Fr 2, Fr. 5, Artes et LCP et autres médias ne se privent pas d' enquêter sur l'intoxication des esprits et des corps par les industries du tabac, de la "malbouffe" et du médicament.

La revue "Science et pseudo-sciences" a tiré à boulets rouges sur "Les dessous du divan" (dans un numéro spécial de décembre 2010, alors que l'AFIS, l'Association française pour l'Information Scientifique qui l'édite est elle-même dupe des mystifications qui ont présidées à la Commission d'Enquête sur les Dysfonctionnements de la Justice à Outreau, faute d'avoir pris connaissance de la mise au point que madame Marie-Christine Gryson-Dejehansart,qui n'est pas psychanayste et qui en conteste elle-même le principe doctriniaire (le prétendu "complexe d'oedipe") a pu faire paraître en octobre 2009 chez Hugo & Cie );  Sophie Coignard sur "L'omerta française" (Albin Michel 1999) et sur la franc-maçonnerie dans "Un État dans l’État" (Albin Michel, février 2009) etc ...

Un État de non-droit et de passe-droit s'est installé en France, et cet état de chose est quasiment considéré  comme "normal".

Ainsi du "droit de cuissage ". En témoignent les commentaires de Jean-Francois Kahn et la réaction de nombre de députés et sénateurs masculins, en passant par celle de l'ancien ministre de la Justice  Robert Badinter au sujet des "dérapages" auxquels s'étaient livré  l'ancien Président du FMI Donimique Strass-Kahn, en passant par les actes auxquels se livrait en toute liberté dans les années 80 - 90 le Dr. Jean-Claude Elmelik en sa Clinique de l'Haÿ-les-Roses. 

Aussi les dires du Dr. Pierre Brassart sur le droit des médecins de gagner leur vie au dépens de la santé et même de la vie de leurs patients en 1994 lorsque je lui ai demandé des explications à propos de la letttre que le Dr. Antoine Denis lui avait adressée le 29 mars 1994;  

Le Dr. Pierre Brassart avait été réglementairement désigné  rapporteur du Conseil disciplinaire de l'Ordre régional d'Île-de-France, c'est donc un droit implicitement  soutenu par le Conseil régional et le Conseil national de Ordre des médecins.
Avait aussi soutenu ce "droit" le précédent rapporteur, le Dr. Patrice Bodenan°°°, désigné "par erreur" en 1992 par le Président du Conseil de l'Ordre du Val de Marne le Dr.Jean Pouillard (sic, cf. la lettre que m'a adressé le Sécrétaire général du Conseil de l'Ordre du 94 le Dr. Claude Poulain sur le site 69970222 html.

Pouillard et Bodenan°°° avaient cherché à me faire appliquer l'article L 460 du CSP non pas parce que j'avais réussi à tirer mon père du coma où l'avaient plongé les neurologues de Bicêtre en lui refusant le traitement de la maladie de Biermer, mais pour n'avoir pas par la suite cherché à empêcher mon père de porter plainte contre X pour non assistance à personne en péril de mort  après ce qui lui était arrivé en 1990 à la Clinique Léon Elmelik et peu après dans les Services du  Pr. Gérard Saïd et du Dr. Jean-Yves Beinis (voir site n° 71859487 la demande que le Dr. Patrice Bodenan°°° avait adressé le 10 janvier 1994 au Président du Conseil disciplinaire de l'Ordre le Dr. Jean Penneau

Le Dr. Pierre Brassart avait lui certes été plus régulièrement désigné rapporteur en 1993, mais il m'a personnellement tenu lesdits propos pour légitimer les actes du Dr. Denis quand je lui ai demandé des explications à propos de la lettre de remerciements  que lui avait adressé le Dr. Antoine Denis le 29 mars 1994. Cette lettre de remerciement est manuscrite, lisible sur le site n° 106212950.  Le Dr. Antoine Denis y renouvelle ses remerciements pour "le rôle bien difficile qu'il a accepté de jouer à son bénéfice au sein du Conseil régional".

J'ai à la suite des actes inconsidérés (Cf. note *) du Dr. Antoine Denis fait lourdement les frais financiers et moraux du "complotisme" institutionnel.  

Il m'avait fallu intervenir en catastrophe en septembre 1990 pour sortir mon père du coma et d'une mort  imminente survenant dans des conditions affreuses. Des conditions que les neurologues du CHU de Bicêtre (Service du Professeur Gérard Saïd) lui avaient en août 1990 préparées en ne faisant que semblant de lui administrer le traitement de la maladie de Biermer. Ils l'avaient ainsi condamné à une «inéluctable plus grande dégradation» (sic, selon leur expression, proférée par le Dr. Pascal Masnou, alors Chef de Clinique dans ce Service puis rapportée par le Dr. François Chedru dans l'expertise de complaisance qu'il a accepté de rédiger au début le l'année 1996 sous la houlette de ses Confrères les professeurs André Lienhart et René-Claude Touzard, au prétexte que le plaignant et son fils étaient "des méchants", sic, dixit le Dr. François Chedru quand je lui ai demandé de s'expliquer.    

Ce n'est probablement pas par hasard que le Pr Olivier Lyon-Caen a fait appel au Dr. Chedru, dans une émission de France-Culture intitulée "Avec ou sans rendez-vous", diffusée le 11 septembre 2011, pour traiter du problème de l'expertise médicale, notamment celui des expertises médicales dites de complaisance.

Les expertisent mensongères, dites de complaisance, sont en principe, mais en principe seulement, en France passibles d'une lourde amende et d'une non moins lourde peine d'emprisonnement (trois ans d'emprisonnement et 45000 euros d'amende). Il est vrai qu'en l'occurrence la complaisance de l'expertise l'était aussi à l'égard du parquetet de l'AP - HP, qui n'attendaient que cela, ainsi que le démontre les "attendus" de son Ordonnance non-lieu.

Le Dr. Chedru savait très bien que ses Confrères, les neurologues de Bicêtre, avaient indûment prescrit au Chef de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix, le Dr. Jean-Yves Beinis, de continuer à n'administrer au malade qu'un simulacre du traitement de la maladie de Biermer après qu'ils l'ont fait transférer dans son Service et après qu'ils l'ont eux-mêmes gardé trois semaines dans leur propre Service sans autre traitement que du Prozac* Cf. leur CR d'hospitalisation site 69970222 htlm. Ces neurologues  ne pouvaient pourtant absolument pas ignorer que le traitement de cette affection était la condition sine qua non de la survie de leur malade et de son rétablissement.

Prévenu du simulacre par les infirmières de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charle-Foix j'ai pu intervenir in extremis en le mettant moi-même en route le 12 septembre 1990.

Le rapide rétablissement de mon père ne fut ni du goût de l'Ordre des médecins ni de celui des neurologues de Bicêtre ni de celui de la direction de l'AP – HP, qui s'entendirent pour monter contre moi ce qui s'appelle en franc-maçonnerie un «chantier», une entreprise qui ne fait apparemment pas l'objet de condamnations judiciaires. 

Il ne fut pas plus du goût du parquet, cf le site n° 116517337 relatif à ce non-lieu et à l'omerta médicale.   

J'ai de ce fait à la suite des actes inconsidérés (Cf. note *) du Dr. Antoine Denis fait lourdement les frais financiers et moraux du "complotisme" institutionnel.  Il m'avait fallu intervenir en septembre 1990 pour sortir mon père du coma et d'une mort imminente survenant dans des conditions affreuses. 

Des conditions que les neurologues du CHU de Bicêtre (Service du Professeur Gérard Saïd) lui avaient en août 1990 préparées en faisant semblant de lui administrer le traitement de la maladie de Biermer. Ils l'avaient ainsi condamné à une «inéluctable plus grande dégradation» (sic, selon leur expression, dite puis rapportée par le Dr. François Chedru dans l'expertise de complaisance qu'il accepté de rédiger au début le l'année 1996 sous la houlette de ses Confrères les professeurs André Lienhart et René-Claude Touzard, au prétexte que le plaignant et son fils étaient "des méchants", sic, dixit le Dr. François Chedru quand je lui ai demandé de s'expliquer sur ses manquements.   

C'est au Dr. Chedru que le Pr Olivier Lyon-Caen fit appel dans une émission de France-Culture intitulée "Avec ou sans rendez-vous", diffusée le 11 septembre 2011, pour traiter du problème de l'expertise médicale, notamment celui des expertises dites de complaisance, en principe, mais en principe seulement, en France passibles d'une lourde amende et d'une non moins lourde peine d'emprisonnement (trois ans d'emprisonnement et 45000 euros d'amende) 

Prévenu du simulacre par les infirmières de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charle-Foix j'ai pu intervenir in extremis en le mettant moi-même en route le 12 septembre 1990. 

L'AP-HP créera en 1995 l'Espace Ethique de l'AP - HP en guise de couverture pour ce qui s'était passé à Bicêtre, et probablement aussi en prévision de bavures à venir avec la nomination du Dr. Olivier Ille à la tête du Service de Neuro-pneumologie du CHU de Mantes la Jolie, où s'illustrera deux ans plus tard Christine Malèvre, sa trop zélée infirmière alors que la direction de Bicêtre et elle de l'AP - HP ne pouvaient en aucun cas ignorer qu'il avait transmis des directives mortelles au Dr. Jean-Yves Beinis quand il l'avait fait transférer à l'hôpital Cherles-Foix dans son Unité de Soins Normalisés. 

J'ai à ce sujet tout dernièrement écrit à Madame Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes une lettre explicative sur cet état de chose.

Son contenu peut-être retrouvé dans l'article que j'ai dernièrement mis en ligne, intitulé  "VW,  le CNTS,  l'IFREM, l'INSERM et l'AP - HP", pour souligner qu'il n'y a pas que VW qui a trouvé intelligent de truquer les mesures.

Cf. aussi les sites n° 34640255, 69970222 et 108281777 html 

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

* Notes -  J'avais dans un Mémoire écrit à juste titre de ses actes opératoires qu'ils étaient "intempestifs". Dans sa réquisition de non-lieu le parquet de Créteil s'était moqué de ce qualificatif (voir cette ordonnance de non-lieu datée du 3 juin 1998). Faisant fi de la contre-expertise accablante du Dr. Yves Dano, ce non-lieu confirmait ce que m'avait annoncé l'Inspecteur Christian Raeckelboom le 23 janvier 1991 au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, qu'aucune plainte portée à l'encontre des médecins de la Clinique Léon Elmelik ne pouvait aboutir, ladite Clinique étant "protégée en hauts-lieux". Il en avait "par desssus la tête" d'avoir à enregistrer pour rien les plaintes pour viols, toutes  - il me parla de 150 plaintes - étaient systématiquement "bloquées" par le parquet. Il se demandait pourquoi, avançant que les actionnaires de la Clinique Elmelik étaient "milliardaires" en guise d'explication. 

 

Partager cet article
Repost0
8 octobre 2015 4 08 /10 /octobre /2015 15:21

Le devoir d'un constructeur de voitures automobiles est de maximaliser la sécurité des véhicules qu'il met sur le marché et de minimaliser la nocivité de leurs gaz d'échappement.

Mais minimaliser relève du barbarisme. La conception de voitures minimalisant la pollution des voitures serait donc 
barbare. 


Minimiser est en revanche un qualificatif licite synonyme d'optimiser. Il est donc normal et licite que Volkswagen ait chercher à minimiser la pollution de ses voitures.

Comme au barbarisme nul n'est tenu, on ne voit pas pourquoi les états-uniens, qui pour les mêmes raisons n'ont eux-mêmes jamais beaucoup penser à minimaliser les pollutions induites par leurs activités industrielles reprochent à la firme Volkswagen d'avoir cherché à minimiser la nocivité des gaz d'échappement des voitures que la firme exporte aux Etats-Unis ! 

Il en avait été de même au début des années 1980 avec le CNTS.  Cet établissement - rebaptisé l'EFS - avait cherché à optimiser la mise sur le marché de ses produits, ce qui s'est traduit par 25.000 contaminations par le VIH (Cf. Anne-Marie Casteret, "L'affaire du sang", La découverte, 1992.) 

Il en va de même pour les directeurs d'établissements hospitaliers : on ne voit pas ce qui contreviendrait à l'éthique médicale qu'ils veillent à l'équilibre financier de leur établissement, quand bien même ce serait au détriment des malades. 

Le devoir d'un médecin est de rechercher, pour les malades le traitement le plus efficace, le plus économique et le plus sûr possible. 


C'est ainsi qu'en 1990 j'avais fait l'hypothèse qu'il n'était pas nécessaire que le test de Schilling et la vitaminémie B12  aient des valeurs normales pour faire un diagnostic de syndrome de carence vitaminiqiue B12. 

Cette possibilité est actuellement reconnue et dénommée syndrome NDB12PP (syndrome de Non Dissociation de la Vitamine B12 de ses Protéines Porteuses).

Compatible avec un test Schilling normal certes, mais pas avec une vitaminémie B12 normale, disent et prétendent les nutritionnistes cependant que cette possibilité  a été indépendamment de moi affirmée dans un petit traité collectif consacré à "La maladie d'Alzheimer et autres démences" par le Dr. Michel Serdaru, un des plus talentueux neurologues de la Fédération Française de Neurologie

Ce traité est paru en 1991 chez Flammarion Médecine-Science ( 1*).

Le Dr. Michel Serdaru, y pointait qu'il était dans certains cas possible de traiter simplement et efficacement à moindre coût des malades à tort étiquetés Alzheimer et de ce fait laissés sans traitement. Le Dr. Serdaru est hélas décédé en 2011. 

Devant une évidence clinique - un tableau de sclérose combinée suivie d'une glossite de Hunter - j'en avais tout à fait indépendamment du Dr. Michel Serdaru, que je ne connaissais pas, moi-même formulé l'hypothèse en août 1990 auprès des neurologues de Bicêtre après qu'un test de Schilling et une vitaminémie B12 n'ont pas confirmé le diagnostic d'entrée envisageant très logiquement l'existence chez mon père d'une maladie de Biermer.

Non seulement je n'avais pas été entendu, mais lesdits neurologues me déclarèrent "dérangé".

Ils me firent cette réputation auprès du Dr. Jean-Yves Beinis lorsqu'ils ont fait transférer mon père à l'hôpital Charles-Foix dans l'Unité de Soins Normalisés que dirigeait ce médecin gériatre.

Ils lui passèrent alors la consigne de ne surtout pas suivre l'avis d'un psychiatre insensé et incompétent.

J'avais en effet demandé auxdits neurologues de profiter de ce que leur Service jouxtait celui du Professeur Féline pour faire examiner le cas de mon père par un psychiatre.

Ce qui n'a heureusement pas été fait dans la mesure où le psychiatre auquel mon père aurait été présenté l'aurait  mis sous neuroleptiques alors que le délire de Capgras - aussi appelé délire d'illusion des sosies - relève avant tout du traitement de la maladie de Biermer, et nond'un traitement neuroleptique ! Ce qui à l'époque n'était pas connu.

 Laissé sans traitement approprié, trois semaines après son transfert à Charles-Foix mon père a sombré dans le coma. Je me suis vu dès lors dans la nécessité de mettre moi-même ma conjecture à l'épreuve. J'ai donc démarré le traitement de la maladie de Biermer le 12 septembre 1990 alors que mon père, hospitalisé depuis six semaines, avait été rediagnostiqué et "mal étiqueté" "Alzheimer", "encéphalopathie vasculaire" et, en lettres majuscules, en conclusion du compte-rendu d'hospitalisation à sa sortie de Bicêtre, "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX", cf. ce CR d'hospitalisation, daté du 20 septembre 1990 et rédigé par l'Interne Olivier Ille, reproduit tel quel en fac-similé sur le site n° 69970777html.

Le malade n'avait reçu pour tout traitement que du Prozac* et, selon une lettre de transmission manuscrite de l'Interne du Service, qui deviendra quelque années plus tard le patron de Christine Malèvre, 1/2 mg/IM/semaine de cobalamine. Cette très insuffisante prescription de l'Interne n'est pas mentionnée dans le CR de sortie de son premier séjour à l'hôpital Bicêtre bien qu'il soit daté du 20 septembre, donc rédigé bien après le transfert du malade à Charles-Foix. C'est ainsi qu'au lieu d'administrer réellement à mon père de traitement de la maladie de Biermer on m'avait sciemment fait croire qu'il le recevait au prétexte qu'il ne faut pas contrarier les fous… jusqu'à ce qu'une infirmière de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix s’aperçoive de sa nécessité et vienne me dévoiler la supercherie !

L'état de mon père avait à Charles-Foix continué de se dégrader. Il se trouvait dans un état neuro-physiologique épouvantable lorsque j'ai été averti de cette tricherie.

Lorsque le malade a plongé dans le coma il avait fallu que je me décide sur le champ parce qu'il n'y avait plus une minute à perdre. Avec l'accord de ma sœur, présente à ce moment-là, j'ai dû courir à la pharmacie la plus proche afin de pouvoir mettre moi-même en route le traitement de la maladie de Biermer. Bien que les infirmières de son Service lui eurent signalé que son malade présentait une glossite de Hunter, pathognomonique des carences vitaminiques B12 sévères et donc probablement une carence due à la maladie de Biermer, le Dr. Beinis ne voulut rien changer au traitement du malade, comme s'il ignorait que la maladie de Biermer, à l'époque réputée être à 80% la cause principale des carences vitaminiques B12 sévères, est mortelle lorsqu'elle ne reçoit pas assez précocement une vitaminothérapie B12 drastique et prolongée, et cela plus particulièrement lorsque les malades présentent des troubles neurologiques et des troubles psychiatriques très sévères.

Au prétexte que le test de Schilling était à 35% et la vitaminémie à 225 pg/ml le traitement de la maladie de Biermer n'avait donc pas été administré jusqu'au 12 septembre 1990 alors qu'il était hospitalisé depuis six semaines et alors que l'on m'avait fait croire qu'il était traité comme je le demandais ! En désespoir de cause j'avais dû me résoudre à mettre moi-même en route le vrai traitement.
Contre toute attente, à commencer par la mienne, comme à la stupéfaction et la panique du Dr. Beinis, qui avait refusé de corriger ses prescriptions, et bien avant que la panique ne gagne l'administration de l'AP - HP, le malade réussit à se rétablir et à regagner 30/30 au MMSE en quelques semaines (www.blog-de-leon-une-nuit-vitaminée)

Le rétablissement intellectuel de mon père ne réjouit nullement ses médecins mais me valut au contraire l'hostilité farouche des neurologues, qui n'eurent cesse de me décrédibiliser auprès de l'Ordre des médecins comme auprès de la Justice. Celle-ci s'empressa d'abonder dans leur sens en suivant les conclusions des expertises fallacieuses que les Drs. André Lienhart, René-Claude Touzart et François Chedru lui avaient livrées afin de satisfaire à la tradition omertiste, nonobstant la contre-expertise accablante du Dr. Yves Dano, qui révéla en novembre 1997 des transgressions que j'ignorais encore, toutes aussi inadmissibles qu'inimaginables, et en dépit de l'aveu que Dr. Chedru m'avait fait le 4 juillet 1996 lorsque je l'ai rencontré au CHU de Meaux. Il s'était sans m'avoir entendu livré, sous la direction de ses collègues, à la rédaction d'une expertise de complaisance.

Après que j'ai à l'été en 2004 fait intervenir la CADA et le médecin médiateur de l’hôpital Bicêtre, le Professeur Gilbert Tchernia, le très éthique Chef du Service de neurologie de Bicêtre, le Pr. Gérard Saïd, m'a fait accuser par la direction de son hôpital, et par conséquent avec l'accord de la direction de l'AP - HP, sinon sous son impulsion, celle-ci étant évidemment au courant de ce qui s'était passé, d'avoir moi-même sciemment "fabriqué" (sic) la maladie de mon père. Le Pr. Saïd et la direction de Bicêtre avaient décrété que je l'avais fait par "antisémitisme" (sic, dixit madame Isabelle Pilon). Sans doute mon nom patronymique et mon hostilité déclarée à la doctrine négationniste freudienne avaient suggéré cette accusation ?


Le Professeur Gérard Saïd, qui faisait partie du Comité éditorial de "Médica Judaïca", une Revue éditée par l'IFREM, "Institut de Formation et de Recherche en Ethique Médicale juives'est fait après coup attribué une Unité de Recherche à l'INSERM pour ses travaux et recherches sur l'interêt des vitamiothérapies dans les affections neurologiques.  La Revue était dirigée par son ami Emmanuel Hirsch, qui sera en 1995 sur ses conseils placé à la tête de la Chaire d'enseignement de l'Ethique médicale de l'AP - HP. Ce qui démontre qu'il n'y a pas que les grandes firmes capitalistes comme Volkswagen à masquer des réalités fumeuses avec des logiciels appropriés. Je me serais selon le logiciel que le professeur Gérard Saïd avait longuement cogité rendu coupable d'un Münchhausen, c'est-à-dire d'un crime prémédité. Le Pr. Saïd, la direction de Bicêtre et l'AP - HP auraient dû, en vertu de l'article 40 du Code de Procédure Pénale, me signaler aux autorités judiciaires, puisque commettre ce qui s’appelle un Münchhausen est un crime passible d'une lourde condamnation pénale. Le Pr. Saïd m'en a d'ailleurs menacé devant le Pr. Patrick Hardy et madame Pilon le 24 septembre 2004 lors d’un entretien que l’on m’avait présenté comme étant une « commission de conciliation ».


Avant cela, Emmanuel Hirsch, avec l’appui du Pr. Gérard Saïd avait été placé à la tête de l'Espace Ethique de l'AP - HP. Il n'est pas médecin,. Ce qui ne l'avait pas empêché de me confier qu'il «connaissait par cœur» (sic) l'histoire clinique de mon père lorsque je lui ai parlé des monumentales bavures commises par les neurologues de Bicêtre. C’était lors d'un colloque organisé, ô ironie, au Palais de Justice de Paris. Il y était question du droit des personnes handicapées et vulnérables. Il faudrait que j'en retrouve la date et l'exact intitulé. C'était je crois en 2003.

De son côté l'Ordre des médecins avait monter contre moi ce qui s'appelle en franc-maçonnerie un "chantier" via son Conseiller rapporteur Patrice Bodenan °°°. Lorsque le l'ai rencontré le 27 avril 1992 après qu'il m'a convoqué, il m'avait tendu sa carte de visite et promis en me regardant d’un air pénétrant que l'Ordre des médecins me faire payer cher le fait de ne pas avoir empêché mon père de porter plainte contre les médecins propriétaires-directeurs de la Clinique Léon Elmelik alors que je l'avais laissé se faire hospitaliser dans leur Clinique en mai et juin 1990. Bodenan ne m’avait pas dit qu’il était un ami de mademoiselle Elmelik, et, étant donné ses fonctions au sein du Conseil de l’Ordre du Val-de-Marne, il était évidemment au courant des viols auxquels se livrait son frère le Dr. Jean-Claude Elmelik sur les parturientes.

Bien que le Dr. Bodenan ait tout de suite été désavoué par l'ensemble des Conseillers du Val-de-Marne lorsqu’au printemps 1992 il demanda ma radiation au Conseil, il écrivit le 10 janvier 1994 au président du Conseil Disciplinaire de l'Ordre le Dr. Jean Penneau une lettre manuscrite pour réclamer contre moi l'application de l'article L460 du CSP au prétexte que j'étais un paranoïaque procédurier (sic, Cf. sa lettre sur la Toile www.lettre-du-dr-patrice-bodenan-au-dr-jean-penneau et www.omerta-médicale-blog-de-leon et/ou les sites n° 34640255 et 69970222 html.

Entretemps lui et le Dr. Jean Pouillard trouvèrent le moyen de faire croire à Maître Catherine Scotto-Derouet, qui s’était chargée de soutenir la plainte que mon père avait porté auprès de l’Ordre des médecins comme auprès de la Justice, que j’étais moi radié de mon inscription à l’Ordre des médecins. C’est pourquoi celle-ci, à ma grande stupéfaction, m’avait proposé
l’assistance de Maître Michel Blum, auprès de qui elle exerçait nouvellement après qu’elle a été évincé (le 28 avril 1992) de son précédent Cabinet parisien du dix-septième arrondissement. Elle exerçait dorénavant au 3, rue Villersexel, dans le sixième arrondissement.

Patrice Bodenan signa sa demande d'interdiction "Bod" en asseyant ses principes sur un grand triangle isocèle. .

Ce très éthique Frère°°° sollicita cinq ans plus tard auprès du professeur Christian Hervé, Grand Maître du Grand Orient de France médecin et directeur du Laboratoire d'Ethique Médicale, l'obtention d'un DEA d’Ethique médicale en présentant un Mémoire portant sur les "Problèmes éthiques posés par les commissions de conciliation hospitalières". Bod°°° fut ainsi au début des années 2000 en mesure d’obtenir la présidence du Conseil disciplinaire de l'Ordre régional de l' Île-de-France.

Son Mémoire de DEA a été publié sur la Toile en 1999 mais en a été très récemment retiré, vraisemblablement pour des raisons "éthiques" après qu'il a pris connaissance de ce que j'en pensais. Il y défendait que le devoir d'un directeur d'hôpital était de veiller à l'équilibre financier de son établissement, quand bien même ce serait au détriment des malades. 

On a avec cette affaire la preuve que la France est un pays "de basse intensité démocratique", selon  l'expression d'Antoine Peillon, les réseaux y étant en mesure d'empêcher le fonctionnement de la Justice. Autrement dit l'écart entre la France et la Suède est restée grande - ainsi que l'a déploré dimanche dernier sur France Culture Jean-Claude Delgènes, le fondateur de Technologia, dans une interview que lui a consacré le Grand Orient de France au sujet de la prise en charge du "burn-out".

On voit qu’avec le capitalisme et le libéralisme triomphant il n'y a pas que les grandes firmes comme Volkswagen qui minimisent les réalités en recourant à la supercherie, que les institutions républicaines peuvent participer à la corruption généralisée, qu’elles en perdent leur raison d'être, ainsi que le déplore le père de l'actuelle Ministre des Affaires sociales et de la Santé  le sociologue Alain Touraine dans "Nous, sujets humains", sa dernière livraison (au Seuil).

Partager cet article
Repost0
4 octobre 2015 7 04 /10 /octobre /2015 21:54

La possibilité d'un syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses (syndrome NDB12PP) compatible avec un test Schilling normal et une vitaminémie B12 normale a été indépendamment de moi affirmée par le Dr. Michel Serdaru dans un petit traité collectif consacré à "La maladie d'Alzheimer et autres démences". Il était paru en 1991 chez Flammarion Médecine-Science (note 1*)   

Devant une évidence clinique (un tableau de sclérose combinée + une glossite de Hunter) j'en avais de mon côté et tout à fait indépendamment du Dr. Michel Serdaru  moi-même formulé l'hypothèse en août 1990 après que qu'un test de Schilling et une vitaminémie B12 n'ont pas confirmé le diagnostic d'entrée envisageant très logiquement une maladie de Biermer.

Non seulement je n'avais pas été entendu, mais j'avais été déclaré "dérangé" par lesdits neurologues, qui me firent cette réputation après du Dr. Jean-Yves Beinis lorsqu'ils firent transférer le malade à l'hôpital Charles-Foix dans son Unité de Soins Normalisés. 

 Ils passèrent à ce médecin la consigne de ne surtout pas suivre un avis qu'ils prétendaient insensé.

C'est ainsi que  lorsque mon père a sombré dans le coma je me suis vu dans la nécessité de mettre moi-même ma conjecture à l'épreuve.

J'ai démarré le traitement de la maladie de Biermer vers la mi-septembre alors que mon père, hospitalisé depuis six semaines, avait été diagnostiqué (rediagnostiqué et "mal étiqueté")  "Alzheimer", "encéphalopathie vasculaire" et, en lettres majuscules, en conclusion de leur compte-rendu d'hospitalisation à Bicêtre  "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sCR d'hospitalisation daté du 20 septembre 1990 rédigé par l'Interne Olivier Ille et reproduit sur le site n° 69970777html).

Le malade ne reçut pour tout traitement que du Prozac* et, selon une lettre de transmission manuscrite de l'Interne du Service, le futur patron de Christine Malèvre, 1/2 mg/IM/semaine de cobalamine (prescription non mentionnée dans le CR de sortie bien qu'il ait été  rédigé un mois plus tard) au lieu du traitement que je préconisais, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer, cependant  que l'on me faisait croire qu'il le recevait ...

Jusqu'à ce qu'une infirmière de l' Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix où mon père avait été transféré me dévoile la supercherie !

Son état y avait continué de se dégrader. Il se trouvait dans état neuro-physiologique devenu épouvantable lorsque j'en ai été averti.

Le malade avait fini par plonger dans le coma. Il avait fallu que je me décide instantanément. Avec l'accord de ma soeur j'ai mis  moi-même en route le traitement de la maladie de Biermer.  Bien que les infirmières de son Service lui eurent signalé que le malade présentait une glossite de Hunter pathognomonique des carences vitmaminiques B12 sévère et donc probablement de la maladie de Biermer. Le  Dr. Beinis  n'avait rien voulu changer au traitement du malade alors que maladie de Biermer était à l'époque réputée être à  80% la cause principale des carences vitaminiques B12 sévères, une maladie mortelle lorsqu'elle n'est pas traitée par une supplémentation vitaminique B12 drastique. 

Au prétexte que le test de Schilling était à 35% et la vitaminémie à 225 pg/ml le traitement de la maladie de Biermer ne lui avait donc pas été réellement adminisré jusqu'au 12 septembre 1990 alors qu'il était hospitalisé depuis un mois et demi.

En désespoir  de cause J'avaisdû le mettre moi-même en route.

Contre toute attente, à commencer par la mienne, à la stupéfaction et la panique du patron de l'USN de Charles-Foix  avant que celle-ci ne gagne l'administration de l'AP - HP  le malade réussit à se rétablir et à regagner 30/30 au MMSE en quelques semaines (www.blog de leon - une nuit vitaminée) 

Le rétablissement intellectuel de mon père me valut l'hostilité farouche des neurologues, qui n'eurent cesse de me décrédibiliser auprès de l'Ordre des médecins comme auprès de la Justice, qui abonda dans leur sens via les expertises bidons des Drs André Lienhart, René-Clausde Touzart et François Chedru, nonobsatant la contre-expertise accablante du Dr. Yves Dano, qui révéla en novembre 1997 des transgressions aussi inadmissibles inimaginables, et l'aveu du Dr. Chedru qu'il s'était, à la demande de ses Confrères, livré à la rédaction d'une expertise de complaisance (un aveu qu'il m'avait fait le 4 juillet 1996 lorsque je l'ai rencontré au CHU de Meaux)  

Le très éthique patron du service de neurologie de Bicêtre, le Pr. Gérard Saïd, me fera accuser en 2004 par la direction de son  hôpital, et par conséquent en accord avec la direction de l'AP - HP, évidemment depuis le début au courant de ce qui s'était passé, d'avoir moi-même sciemment  "fafriqué" la maladie de mon père. Il décréta que je l'avais fait pour des motifs inavouables (par "antisémitisme", sic, probablement inspiré par mon nom patronymique !). 

Le Professeur Gérard Saïd faisait partie du Comité éditorial de "Médica Judaïca", une Revue éditée par l'IFREM, un Institut de Formation et de Recherche en Ethique Médicale juive. La Revue était dirigée par son ami  Emmanuel Hirsch, qui sera en 1995 sur se conseils placé à la tête de la Chaire d'enseignement de l'Ethique médicale de l'AP - HP

Je me serais selon le professeur Saïd  rendu coupable d'un Münchhausen, c'est-à-dire d'un crime prémédité. Le Pr. Saïd, la direction de Bicêtre et l'AP - HP auraient donc dû le signaler aux autorités justcières en vertu de l'article 40 du Code de Procédure Pénale, ce crime étant  passible d'une condamnation pénale.

Emmanuel Hirsch, à la tête de l' Espace Ethique de l'AP - HP, n'est pas médecin, ce qui ne l'a pas empêché de me confier qu'il << connaissait par cœur >> (sic) l'histoire clinique de mon père lorsque je lui ai parlé de la monumentale  bavure des neurologues de Bicêtre lors d'un colloque organisé, ô ironie, au Palais de Justice de Paris.  

Il y était question du droit des personnes handicapées et vulnérables (il faudrait que j'en retrouve la date et l'exact intitulé. C'était je crois en 2003).

De son côté l'Ordre des médecins  avait monter contre moi ce qui s'appelle en franc-maçonnerie un "chantier" via son Conseiller rapporteur Patrice Bodenan °°°. Lorsque le l'ai rencontré le 27 avril 1992 après qu'il m'a convoqué, il me tendit sa carte de visite en promettant que l'Ordre "me faire payer cher" le fait de ne pas avoir empêché mon père de porter plainte contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik alors que je l'avais laissé se faire hospitaliser dans cette Clinique en mai et juin 1990. Bien qu'il ait tout de suite été désavoué par l'ensemble des Conseillers du Val-de-Marne en 1992, il écrivit le 10 janvier 1994  au président du Conseil Disciplinaire de l'Ordre le Dr. Jean Penneau une lettre manuscrite pour réclamer contre moi l'application de l'article L460 du CSP au prétexte que j'étais un procédurier paranoïaque (sic, Cf. sa lettre sur la Toile  "lettre du patrice bodenan au Dr. jean penneau". 

<< Le Docteur Pierre CRETIEN est atteint d'un délire de persécution (plaintes multiples auprès des différentes streuctures TGI Creteil CPAM etc )

J'ai donc rendu un avis auprès du Conseil de l'ordre des Medecins du Val de Marne conseillant un rejet pur et simple de la plainte du Docteur Crétien, et la mise en examen de ce dernier pour évaluer son aptitudeà l'exercice de la médecine -
J'appris par la suite la plainte que Pierre cRETIEN avait déposée, à mon encontre une plainte pour partialité, collusion avec la partie adverse, pressions auprès du Conseil départemental deu Val de Marne
J'ai été très étonné de la démarche du de Monsieur Pierre CRETIEN qui ne repose sur aucune base réelle et que je trouve diffamatoire.
Cette démarche rapportée à toutes les démarches de Monsieur le Docteur Pierre CRETIEN Justifie à mon avis l'application d e l ' article L 460
->>

 Patrice Bodenan  signa sa lettre  Bod  en asseyant son nom sur un grand triangle isocèle.

Ce très éthique Frère°°° se fit admettre cinq ans plus tard auprès du profeseur Christian Hervé, médecin directeur du Laboratoire d'Ethique Médicale, Université Paris Descartes, 45, rue des Saints-Pères, 75006 Paris pour solliciter du Grand Maître l'obtention d'un Mémoire de DEA portant sur les "Problèmes éthiques posés par les commissions de conciliation hospitalières". Bod°°°  était ainsi au début des années 2000 en mesure de présider lui-même le Conseil disciplinaire de l'Ordre régional de l' Île-de-France.

 

Son Mémoire de DEA a été publié sur la Toile en 1999 mais en a été très récemment retiré, vraisemblablement pour des raisons "éthiques" après qu'il a pris connaissance de ce que j'en pensais. Il défendait dans son Mémoire que le devoir d'un directeur d'hôpital était veiller à son équilibre financier, quand bien même ce serait au détriment des malades.   

On a avec cette affaire la preuve que la France est une pays "de basse intensité démocratique", selon l'expression d'Antoine Peillon,

Autrement dit que la distance démocratique entre la France et la Suède est restée grande - ainsi que l'a déploré dimache dernier sur France Culture  Jean-Claude Delgènes, le fondateur de Technologia, dans une interview que lui a consacré le Grand Orient de France à propos de la prise en charge du "burn-out". 

Avec  le capitalisme triomphant, les institutions participent la corruption généralisée et perdent leur sens, déplore Alain Touraine dans "Nous, sujets humains ", sa dernière livraison (au Seuil).

 Cf. www.omerta médicale - blog de leon" et/ou les sites n° 69970222 html  

 

Notes 

1* - Rédigé sous la direction  des Prs. Jean-Louis Signoret et Jean-Jacques Hauw ce traité est maintenant épuisé. Il n'est disponible qu'en occasion. J'avais pu le consulter à la bibliothèque du CHU Bicêtre, de laquelle il a disparu, ainsi qu'il en a été de la Revue "Archives of Neurology", qui, à la demande expresse du Professeur Gérad Saïd, a été retirée de ses rayonnages et fait l'objet d'un désabonnement en novembre 1997 au prétexte qu'il s'agissait "d'une très mauvaise Revue" (sic, ce qui n'avait pas empêché le Pr. Saïd de faire par la suite des pieds et des mains pour y faire figurer son nom auprès de celui des Drs. Jacqueline Zittoun et Hèlène Ogier de Baulny à propos des "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert. Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.)   

 

 

Partager cet article
Repost0
3 octobre 2015 6 03 /10 /octobre /2015 13:21

Le concept de "résonance morphique", est à raison réputé n'être pas très scientifique, et même pas du tout scientifique.  

Mais fin octobre 1981 j'avais dans la nuit d'un samedi au dimanche fait rêve qui s'esr vérifé prémonitoire, un rêve qui s'est concrétisé trois jours plus tard. 

Ne s'agit-il pas là d'une expérience qui pourrait répondre au concept de "résonance morphique" défendu par le biologiste et "parapsychologue"  Rupert Sheldrake, un concept que je viens de découvrir. Il n'avait jusqu'à maintenant pas beaucoup retenu mon attention, même si je me suis parfois posé la question de son existence à propos d'autres "expériences", celles-là beaucoup plus fréquentes et partagées : celle des noms que l'on a "sur le bout de la langue".J'en parlerai plus loin. 

L'expérience relatée ci-après est une expérience subjective; Elle n'est évidemment  pas reproductible, mais d'autres que moi certainement en ont fait et en feront de semblables.   

Sauf sur un point le rêve que j'avais fait différait de l'expérience que j'allais vivre trois jours plus tard dans la réalité :  la compagnie aérienne que j'avais dû emprunter pour me rendre de façon imprévue à New-York n'était pas, comme dans mon rêve Air-France parce qu' aucune place n'était dans l'immédiat disponible sur cette Compagnie. J'avais dû faire levoyage sur la Pan American, une Compagnie sur laquelle celui qui était le motif de ce voyage imprévu m'avait conseillé de ne pas emprunter, au prétexte que le personnel navigant y était généralement peu accueillant.

A part cette différence, et la constatation de ce que le personnel navigant de la Panam avait été au contraire très accueillant, tout était à l'identique de ce qu'avais vécu en rêve.

C'était un rêve dont je me souviens d'autant mieux que je l'avais à mon réveil le dimanche matin raconté à mon épouse : comme dans mon rêve, je me suis retrouvé trois jours plus tard à bord d'un Boeing 747 allant à New-York.

Dans la réalité comme dans mon rêve j'y avais pris place près de l'allée centrale, à gauche, dans le fauteuil numéroté 36, un fauteuil situé au niveau du bord de fuite de l'aile gauche de l'appareil. 

Tout au long de mon installation dans l'avion, j'avais l'étrange sentiment d'un déjà-vécu, un déjà-vu qui ne dura pas quelques quelques secondes, comme il m'était arrivé d'en avoir plusieurs fois fait la brève expérience sans pouvoir les rattacher au souvenir d'un rêve, mais à un sentiment de déjà-vécu qui a duré plusieurs longues minutes; un déjà-vécu dans lequel j'anticipais au fur et à mesure ce qui allait se produire et qui se réalisait effectivement. 

Par exemple, lorsque l'hôtesse m'a distribué le ticket indiquant le numéro du fauteil qui m'était dévolu, non seulement je lus qu'il s'agissait du numéro 36, mais celui-ci se trouvait effectivement là où je l'avais occupé en rêve.

Lors de mon embarquement dans l'appareil, quand l'hôtesse m'a distribué l'endroit de mon fauteuil, je me suis fait cette réflexion : << Il ne manquerait plus que le fauteuil n° 36 se trouve là où il se trouvait dans mon rêve >>. Je l'ai dabord cherché le long de l'allée droite de l'appareil pour finalement le trouver à l'emplacement du rêve !

Vérification faite a posteriori, dix-huit ans plus tard, lorsque j'ai raconté le rêve à mon analyste, j'ai eu l'idée d'aller vérifier sur plan la place du siège numéroté 36 sur les Boeing 747. Celle-ci se trouve effectivement située au niveau du bord de fuite de l'aile gauche de l'appareil et au bord de l'allée gauche.

Depuis, je suis persuadé que le sentiment de "déjà-vécu" correspond non pas à un phénomène épileptique, ainsi que le prétendent certains médecins neurologues, mais à des rêves oubliés revécus dans la réalité. Mon analyste prétendit que Freud avait avancé la même explication du phénomène. Je ne sais pas où elle a pu le lire.

Je n'avais pas oublié le mien lorsque j'ai, en toute conscience, revécu en vrai l'épisode que je viens de décrire.

Autre phénomène troublant apparemment en rapport avec ce qui peut être en ralation avec ce rêve : deux jours avant mon embarquement pour New-York, soit le lendemain de mon rêve, à 19 h 30 exactement, j'avais dû me précipiter dans la salle de bain pour vomir alors qu'aucun malaise digestif  n'en avait précédé ni suivi la nécessité. Cette heure correspondait précisément à l'heure à laquelle le médecin légiste avait estimé l'heure de la mort de mon cousin new-yorkais, survenue dans la nuit, à New-York à 1 heure 30 du matin.

C'étais un cousin avec qui j'étais resté très proche. Il avait fait les études que j'étais - selon mes parents - censé devoir faire alors que j'avais fait celles que lui était censé - selon son père - devoir faire (des études médicales). Il venait d'entrer "en analyse", et j'ai quelques raisons de craindre que les interprétations de son analyste après qu'il lui a raconté les difficultés que lui avait causé son père ont été pour quelque chose dans sa mort !

J'aurais dû l'avertir de ce que je savais d'expérience : que la doctrine freudienne est par essence perverse et iatrogène (criminelle). Freud se réjouissait du grand nombre de suicvidés chez ses adeptes, et la remarque vaut pour les analysands de Jacques Lacan, au point qu'il avait été question de l'interdire. 

Coïncidences ou relation de cause effet ? Les révélations de Jeffrey Moussaëff Masson sur Freud et sa fallacieuse doctrine (cf. "Assault on truth" paru en 1984 ) ont été divulguées début octobre 1981 par lNew-York Times. Un journal que mon cousin lisait tous les jours !  

- / -

L'expérience vécue relatée ci-après est contrairement à la précédente tout à fait objectivable parce que vérifiable, documentée, mais celle-ci est bien plus "dérangeante" que la précédente dans la mesure où elle s'est statistiquement vérifiée : ainsi dans l'étiologie des syndromes de carences vitaminiques B12 la prévalence de la maladie de Biermer est passée de 80 % à 30%, la première place revenant au syndrome NDB12PP, en cause dans 60 % des cas.  

Peut-être est-ce parce qu'elle est dérangeante que, malgré son grand intérêt clinique et thérapeutique, jamais, à ma connaissance, les Drs. Marina Carrère d'Encausse et Michel Cimès n'ont fait état de cette découverte dans "Le magazine de la santé - allo docteurs"  bien que je leur en aie fait part.

La redécouverte du syndrome NDB12PP n'aurait été faite que dans "le milieu des années 1990" (sic, Emmanuel Andrès et al. écrivent en 2008  dans "La Presse médicale" : << Le syndrome  NDB12PP est une entité nouvellement décrite qui occupe actuellement une place importante parmi les étiologies des carences en cobalamine notamment chez la personne âgée. Malgré sa fréquence, la NDB12PP reste un diagnostic d’exclusion qui nécessite un raisonnement bien codifié afin de pouvoir éliminer au préalable l’ensemble des autres causes de carence en cobalamine,  notamment la maladie de Biermer. Les causes de la NDB12PP sont diverses et multiples, dont en premier lieu les pathologies gastriques et les médicaments (biguanides et inhibiteurs de la pompe à protons). Le traitement repose sur la prise en charge de la cause et la substitution orale avec des doses qui semblent être moindres que celles requises au cours de la maladie de Biermer. Les études actuelles et les projets futurs tendent à encore mieux caractériser ce syndrome de NDB12PP et à confirmer l’efficacité du traitement par vitamine B12 administrée par la voie orale >> 

Dans les années qui suivirent ce rêve prémonitoire, en août-septembre 1990, je me suis vu, en tant que médecin, dans la nécessité de formuler une hypothèse clinique qui fut tout de suite reçue comme insensée et déclarée telle par les neurologues qui, à l'hôpital Bicêtreavaient mon père en charge.

Ceux-ci avaient non seulement refusé de la mettre en application, mais avaient fait semblant de l'appliquer, jusqu'à ce qu'une infirmière de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix (Service du Dr. Jean-Yves Beinis) où mon père avait été transféré vienne m'en avertir (voir "Une nuit vitaminée" sur le "blog de leon") 

Le fait qu'elle m'ait fait connaître la supercherie en me montrant le cahier des prescriptions médicamenteuses alors qu'il était encore temps non seulement sauva la vie du malade et lui permit de se relever du coma et de se rétablir intellectuellement, mais, selon un parcours imprévu, initia la découverte du "syndrome NDB12PP" (voir ce terme et les sites 69970222 et 10828777 html), parce que, pris de panique, et le Conseil de l'Ordre des médecins et l'AP - HP, agissant tous les deux en protecteurs de la Clinique Léon Elmelik voulurent me soumettre à l'article  L 460 du CSP pour dérangement mental et escroquerie criminelle (je fus accusé - verbalement - d'avoir pour des raisons ignominieuses - par antisémitisme (sic) - intentionnellement "fabriqué" (sic)  la maladie de mon père, autrement dit d'être l'auteur d'un "Münchhausen" c'est-à-dire d'un crime passible d'une condamnation pénale. 

La Clinique Léon Elmelik était "protégée en hauts lieux" parce qu'elle servait à ce à quoi servira,  après son changement de propriétaires en 1995, le Service du Dr. Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie.  

Mon hypothèse s'est donc vérifiée dans les années qui suivirent.  Elle n'était pas insensée, mais au contraire très pertinente puisqu'elle permet désormais de ne plus confondre la maladie d'Alzheimer, qui reste incurable, avec le syndrome depuis 2003 dénommé "syndrome NDB12PP", un syndrome apparenté à la maladie de Biermer et de ce fait éminemment curable avec le traitement dévolu à cette dernière, pourvu qu'il soit administré avant que les dommages neurologiques qu'il occasionne ne deviennent irréversibles et fassent effectivement classer à tort les malades comme atteint une démence due à la maladie d'Alzheimer !

Cela avait été le cas de mon père avant qu'il ne récupère ses fonctions intellectuelles à 30/30 sous l'effet du traitement simple et économique qu'est celui de la maladie de Biermer.

Mon père avait ainsi éété en mesure de récupérer ses facultés mentales pour le prix de deux paquets de cigarettes alors qu'il était hospitalisé en neurologie, avec du Prozac* pour tout traitement, nonobstant l'administration de 1/2 mg/IM: (Cf. 69970222 html)

Son rétablissement me valut les persécutions du Conseil de l'Ordre et du parquet (Cf. "omerta médicale" sur le "blog de léon").

La seconde découverte est plus récente, faite en 2012. Elle  a trait à deux procédés techniques (le STSMC et sa version simplifiée STSMI) qui permettent de récupérer "les pieds sur terre" beaucoup plus écologiquement économiquement et massivement l'énorme potentiel énergétique des marnages que le procédé consistant à construire des barrages.

Validés sur maquettes, ils ne demandent qu'à faire leurs preuves in situ, leur bon fonctionnement ne dépendant aucunement de leur taille. Ils présentes en plus l'avantage de pouvoir s'intégrer au paysage et de pouvoir résister sans problème et par construction aux pires conditions météorologiques.

.........

 

 

Partager cet article
Repost0
29 septembre 2015 2 29 /09 /septembre /2015 16:51

Contrairement à une idée admise, à laquelle le très savant Frank Sulloway a souscrit succombé (Cf. son "Freud, biologist of the mind" traduction française chez Fayard "Freud, biologiste de l'esprit") le complexe d’œdipe n'a pas été "la grande découverte de Freud", mais une invention opportuniste de son épigone Ernest Jones, pour ses besoins personnels.

Ernest Jones aimait la chair fraîche. Il lui fallait un alibi. Il a profité de la notoriété naissante de Freud pour lui en suggérer l'existence et l'encrer (ou l'ancrer) dans son esprit, prétendant que le personnage d'Hamlet en aurait souffert.

Ce prétendu "complexe" eut le succès que l'on sait. Il permet en effet de disculper les pédoclastes - très improprement qualifiés de pédophiles - en muselant la parole des enfants victimes de leurs agissements : preuve en est le commentaire que le psychiatre et "psychanalyste" (sic) freudien orthodoxe Samuel Lepastier a fait paraître dans "Le Monde" du 8 février 2006, au sujet des "enfants d'Outreau", un commentaire que le quatidien "Le Monde" s'est empressé de publier. Ces enfants auraient surtout été "victimes de leur inconscient" (lire Marie Christine Gryson Dejehansart "Outreau, la vérité abusée" Hugo & Cie, octobre 2009).

Chroniqueur à "la Vie", le psychanalyste Jacques Arènes, avait, dans le milieu des années 1990, coprésidé à Corbeil, dans l'Essonne, une conférence-débat sur la prévention des violences des adolescents.

Il ne lui était pas venu à l'esprit que Sigmund Freud et les psychanalystes inféodés à sa doctrine fallacieuse (à ses élucubrations iatrogènes) y étaient pour quelque chose.

Il aurait fallu que je puisse lui expliquer comment et pourquoi le freudisme est gros de violences, parent qu'il est avec l'idéologie d'un autre autre opportuniste, un certain Adolfus  Hitler, qui comme Sigismund Freud fit fortune et le malheur de l'humanité pourdes raisons insconscientes, que Jacques Lacan, bon lecteur de Schopenhauer, avait parfaitement prercé à jour, mais trop  compromettantes pour son égo à être tout de go exposées. 

Freud prônait lui aussi en privé l'élimination physique des fous.

Il confessait en privéque les "fous" (ses patients)  l'insupportaient, qu'ils ne servaient qu'à le faire vivre et à ses recherches, que le mieux serait "d'en faire des cargaisons et de les couler".  Ils "font dégénérer l'humanité" disait aussi d'eux le Dr. Anders Eliasson, un psychiatre Suédois que Auguste Strindberg avait été consulter à Lund. Le Dr. Eliasson était une de ses vieilles connaissances chez qui il avait été chercher refuge à un moment difficile de sa vie.

Que Jacques Arènes lise ou relise Eva Thomas ("Le viol du Silence", ou "Le sang des mots", ou encore Catherine Bonnet "L'enfance muselée", paru en 2007 aux éditions Mols (un éditeur toulousain qui a édité "Silence, on tue les enfants", préfacé par le Pr. Léon Schwarzenberg et postacé par le psychiatre belge Marc Reisinger, qui atteste de la véracité du récit.  

Que Jacques Arènes interroge le Dr. Catherine Bonnet, s'il a l'occasion de se rendre au Vatican et de l'y rencontrer, sur le fait qu'elle m'avait demandé pardon en juin 1999 après qu'elle a fini par comprendre que j'avais cherché non pas à l'empêcher de faire des signalements d'agressions pédoclastiques mais avais été bien intentionné à son égard en cherchant à lui éviter des "ennuis" - c'est-à-dire les violences institutionnelles dont j'avais moi-même fait l'expérience et les frais, violences qui m'ont été ruineuses - quand j'ai été la prévenir, en octobre 1996,  de ce qu'il ne fallait surtout faire des signalements de d'agressions pédoclasiques au conseil de l'Ordre des médecins, celui abritant en son sein et protégeant en fait lesdits pédoclastes, même ceux qui ont fait l'objet d'une condamnation pénale (par exemple à Yffiniac dans les Côtes d'Armor !). 

Que Jacques Arènes se renseigne, qu'il lise le psychanalyste Pierre LASSUS, qui comme moi est bien conscient de ce que le "complexe d’œdipe" est une invention fallacieuse à l'usage des pédoclastes, (Cf. aussi à "ordonnance de non-lieu abusive et omerta médicale" sur http://genocides.over-blog.com, en rapport avec l'affaire qui m'a opposée aux médecins de la Clinique Léon Elmelik, "protégés en hauts" c'est-à-dire par lOrdre des médecins et le parquet malgré, ou plutôt à cause, de ce qui s'y passait) 

Partager cet article
Repost0
23 septembre 2015 3 23 /09 /septembre /2015 00:02

- En août 1990, il m'avait fallu appliquer l'adage que "la clinique prime le laboratoire" pour sortir mon père du coma mortel dans lequel il venait de sombrer.

Il était hospitalisé en neurologie à Bicêtre dans le Service du Professeur Gérard Saïd.

A l'évidence malgré une vitaminémie B12 normale (à 225 pmol/l) et un test de Schilling lui aussi normal (à 35%) mon père souffrait sinon de la maladie de Biermer proprement dite du moins d'une forme apparentée, donc d'un sévère syndrome de carence vitaminique B12.

Une forme depuis 2003 appelée "syndrome NDB12PP".

Or c'était sur la probabilité qu'il souffrait de la maladie de Biermer qu'il avait été admis en neurologie.

Chose étonnante, ce diagnostic, qui paraissait le plus probable à son admission, n'est pas mentionné dans le Compte-Rendu d'hopitalisation alors même que, lors de sa rédaction, l'on avait déjà la preuve rétrospective qu'il s'était bien s'agi d'un syndrome neurologique lié à une carence vitaminique B12 sévère (voir le CRH site n°69970222 html)

Les neurologues de ce CHU s'étaient obstinément refusés à nier l'évidence.  

Le diagostic de probalilité avait été posé aux Lits - Portes de l'hôpital (Service des Urgences du Pr. Passeron

J'ignorais à l'époque que le Dr. Michel Serdaru, un neurologue de l'ex Fédération Française de Neurologie, qui était par conséquent beaucoup plus expérimenté que moi dans ce domaine soutenait lui aussi que ni une vitaminémie B 12 normale ni un test de Schilling normal excluaient la possibilité d'une carence vitaminique B12 sévère, et par conséquent mortelle quand elle est laissée sans traitement, c'est-à-dire sans supplémentation vitaminique B12 drastique.

Je ne connaissais pas le Dr. Serdaru en 1990, mais si je me rappelle bien, il exprima la même idée dans un précis  titrant "La maladie d'Alzheimer et autres démences", précis paru sous le nom des Prs. Jean-Louis Signoret et Jean-Jacques Hauw un an plus tard chez Flammarion Médecine-Science.

Ce prècis a disparu des rayons de la bibliothèque du CHU de Bicêtre, où j'avais pu le consulter, de même que la revue de référence qu'est "Archives of Neurologie", en novembre 1997, à l'instigation du Pr. Saïd, au prétexte que c'était une "très mauvaise revue", dixit).

En vertu de l'adage que la clinique prime le laboratoire, et puisque aucune néoformation gliale n'était à craindre (la passation du test de Schilling n'avait aucunement aggravé l'état neurologique de mon père. Elle avait au contraire amené un léger mieux neurologique l'espace de 2 ou trois jours), j'avais demandé que le traitement de la maladie Biermer lui soit administré (dans la l'anémie pernicieuse, l'autre nom de la maladie de Biermerle test de Schilling, qui implique l'administration d'une dose conséquente de vitamine B12, permet de corriger l'anémie, mais pas le syndrome neurologique.Il aggraverait les symptômes neurologiques en cas de gliome).

Malgré mon argumentation, non seulement ma demande ne fut pas satisfaite, mais les neurologues firent semblant de faire administrer ce traitement à leur malade !

L'état de mon père se détériora dès lors de façon très inquiétante.

Au bout de trois semaines, on m'expliqua que son état ne s'était pas amélioré et qu'il mobilisait indûment (chèrement et inutilement) le lit d'un Service spécialisé. Invoquant une "encéphalopathie vasculaire" (sic) sur fond de maladie d'Alzheimer (diagnostic de "DTA" irrémédiable) les neurologues de l'hôpital Bicêtre firent transférer leur malade à l'hôpital Charles-Foix dans l'Unité de Soins Normalisés du Dr. Jean-Yves Beinis.

Il m'avait été dit que le traitement de la maladie de Biermer allait être continué.

De fait, le Dr. Beinis suivit aveuglément les consignes que les neurologues de l'hôpital Bicêtre lui avaient dictées, c'est-à-dire qu'il continua le simulacre.

Ces consignes furent transmises verbalement, mais aussi dans une lettre manuscrite de leur Interne, le très pieu  et très catholique Olivier Ille (le futur patron de Christine Malèvre au CHU de Mantes la Jolie) fourvoyant le docteur Beinis dans ses indications.

Devant la rapide dégradation de l'état du malade et l'apparition d'une glossite de Hunter, les infirmières de l'Unité de Soins Normailsés du Dr. Beinis comprirent qu'il avait tort et moi raison.

Le Dr. Beinis ne voulant toujours pas, malgré leur signalement, mettre réellement en route le traitement de la maladie de Biermer, elle me le firent subtilement savoir, en me demandant de venir consulter le carnet de prescription.

C'est ainsi que je me suis aperçu que le traitement de la maladie de Biermer n'était pas réellement adminstré, seulement un semblant.

Il était temps que j'en sois averti, parce que mon père sombrait dans le coma, pupilles aréactives et en mydriase totale.

Devant l'urgence de la situation et compte tenu de l'heure tardive, j'ai couru comme un dératé jusqu'à la pharmacie la plus proche pour m'y procurer une boite six ampoules de vitamine B12 injectable, m'autorisant à mettre moi-même en route ce traitement.

Ce qui eut pour effet de rétablir rapidement le malade dans ses fonctions intellectuelles (notées à 30/30 au MMSE au début de l'année suivantes) mais suscita la panique au sein de l'AP - HP comme à l'Ordre des médecins, qui firent alliance pour demander contre moi l'application de l'artcle L 460 du CSP.

Après que mon père a porté plainte contre X pour "non  assistance à personne en péril", copie de la lettre  mortellement trompeuse d'Olivier Ille, récupérée en 1995, a en vain été communiquée au parquet de Créteil (le parquet de Créteil était alors sous l'égide du procureur Michel Barrau. Ljuge d'instruction Eric Halphen dresse le portrait de Michel Barrau dans "Sept ans de solitude", un livre paru chez  Denoël en juin 2002).

That's all for today.

Pour connaître la stupéfiante suite donnée par la justice et l'AP - HP à ces  "erreurs" éhontées, et avoir un apreçu  sur les possibles tenants et aboutissants de ces tricheries criminelles, cf. sur le Web "blog de leon - omerta médicale" ou "syndrome NDB12PP", et/ou le sites n° 34640255 et 69970222 html.

Partager cet article
Repost0
21 septembre 2015 1 21 /09 /septembre /2015 17:22

1990 : Mon père et ma mère avaient tous les deux été "diagnostiqués" Alzheimer. 

A la suite de lourdes erreurs médicales portant sur les diagnostics et les traitements de mes parents, il m'était revenu de m'en occuper seul à partir de cette année-là, qui suivait celle de mon divorce, lui aussi consécutif à l'état de crise où ces erreurs avaient plongé ma famille, qui s'ajoutaient à quelques autres, relatives à mon épouse, qu'un ORL, Conseiller et Trésorier du Conseil de l'Ordre du Val-de-Marne, avait en 1981 affolée pour lui avoir à faux fait croire qu'elle risquait une paralysie faciale cependant que je lui avais à raison dit qu'elle ne risquait rien, que son affection était virale et en voie de guérison, et donc ne nécessitait aucun traitement antibiotique.   

En juillet1988, alors qu'elle avait 74 ans, ma mère venait d'être larguée par son "médecin traitant", le docteur X. qui exerçait à Paris, dans le 17e, 

En sus des prescriptions massives de tranquillisants que depuis des lustres il lui faisait suivre, il avait dans sa dernière ordonnance eu l'idée saugrenue de lui prescrire du Laroxyl*, un mélange connu en psychiatrie pour être explosif. 

De fait, ma mère fit dès lors une riche "bouffée délirante", pour moi très instructive sur le plan anamnestique. 

Le mardi 12  juillet 1988 midi, j'étais sur le point de partir en vacances en Bretagne. 

Alors que je partais, j'ai été appelé par mon père au téléphone. 

Affolé et dépassé il me fit part de ce que ma mère avait probablement la rate éclatée (?!), selon les dires du pharmacien, à qui il venait de demandé conseil (?!)

Habitant Villejuif, je me suis immédiatement rendu chez mes parents. Ils  habitaient à l'Haÿ-les-Roses, à un quart d'heure de chez moi. Arrivé sur place, je me suis tout de suite rendu compte qu'il n'y avait aucune urgence chirurgicale. Il fallait tout de même trouver une solution à cette situation de crise.

'ai téléphoné au Dr. X. Il ne me mit pas du tout au courant de ce qu'il avait nouvellement ajouter du Laroxyl * dans les traitements qu'il lui prescrivait habituellement. Je ne l'ai su que bien plus tard, en 1994, peu avant la mort de mon mère, survenue brutalement et de façon inexpliquée le dimanche 2 octobre 1994, en trouvant dans un placard toutes les ordonnances du Dr. X.  bien rangées dans une boîte à chaussures.  

Le Dr. X me répondit sans ménagement qu'il fallait faire hospitaliser ma mère non pas dans un service de médecine, mais dans un l'hôpital psychiatrique !

Je pris la décision d'emmener ma mère en Bretagne.  

Il m'a alors fallu défaire ma mère des lourds traitements tranquillisants que ce "médecin traitant" lui prescrivait depuis des décennies (depuis plus 35 ans), ma mère suivant scrupuleusement ses prescriptions.

Elle ou mon père avaient non moins scrupuleusement conservé toutes ses ordonnances dans une boite à chaussures, retrouvée après son décès, survenu le 1 septembre 1994 à l'hôpital Charles-Foix après qu'une agression (le fait d'un malade hospitalisé) lui valu une fracture du col du fémur. Cette agression, d'ordre sexuel, l'avait conduite à refuser toute nourriture malgré les soins très attentifs du Dr. Christiane Verny.

D'après ses ordonnances, le Dr. X avait au total prescrit autour 200 grammes de Valium,  en sus des nombreux autres benzodiazépines et sédatifs qu'il lui avait prescrits, souvent concurremment. 

(Natisédine* Equanil*, VérianeBuria* Gardénal* Atarax* Hexomil*etc ... ). prescriptions qui m'ont fait émettre auprès du Professeur François Piette, qui l'avait reçue au CEGAP dans son Service à l'hôpital  Charles-Foix en juin-juillet 1992, que les benzodiazépines avaient sinon provoqué sa maladie du moins en avaient précipité la manifestation (une de ses sœurs est aujourd'hui à 94 ans, apparemment indemne de cette maladie).

Mon père avait quant à lui en août 1990 été  "étiqueté" (sic) Démence de Type Alzheimer (DTA) et promis par les neurologues qui s'en étaient chargé à une "plus grande et inéluctable détérioration" (sic). Sur sur ce pronostic, il fut laissé sans autre traitement que du Prozac*, et dirigé sur l'hôpital Charles-Foix, où il continua à se détériorer très rapidement, jusqu'à sombrer dans le coma trois semaines après son transfert. Les infirmières me firent alors savoir que contrairement ce que leur Chef de Service me faisait croire, le traitement que j'avais demandé qu'il soit lui administré, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer, celui-ci ne lui était pas administré. Je l'ai alors mis en route, ce qui eut pour effet de sortir mon père du coma et lui faire regagner en quelques semaine 30/30 au test de Folstein (au MMSE) et d'initier puis d'actualiser le diagnostic de "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal", rebaptisé "syndrome NDB12PP" depuis l'abandon en 2003 de la commercialisation du test de Schilling, après que les Drs. Patrice Bodenan°°° et Jean Pouillard, deux "hauts" Conseillers de l'Ordre des médecins ont réclamé contre moi l'application de l'article L 460 du Code de la Santé Publique (voir sur http://genocides.over-blog.com et/ou sur le Web le site "ordonnance de non-lieu - omerta médicale".  Lire aussi "La maladie d'Alzheimer et autres démences", de Jean-Jacques Haw et Jean-Louis Signoret  paru en 1991 chez Flammarion Médecine Science, traité dans lequel le Dr. Michel Serdaru signalait que ni un test vde Schilling normal ni même une vitaminémie normale ne suffisait à éliminer le diagnostic de syndrome neuro-anémique !

Partager cet article
Repost0
19 septembre 2015 6 19 /09 /septembre /2015 16:06

Le docteur Gérard Haddad est pour moi un très sympathique Confrère psychiatre et psychanalyste freudien, et "lacanien" (cf. sur le Web  sa "Lettre ouverte à Michel Onfray",  parue en mai 2010 dans la "Chronique des abonnés" du journal "Le Monde")

Gérard Haddad classe Michel Onfray parmi les  "biblioclastes", c'est-à-dire les "démolisseurs de culture".

J'avais eu l'occasion de m'entretenir avec Gérard Haddad  en 2003 ou 2004 à l'Espace Culturel Juif (au 119 de la rue Lafayette à Paris), à l'occasion d'un colloque sur l'antisémitisme.

Gérard Haddad oublie, ou plutôt ignore, la proche parenté de l'idéologie freudienne avec celle de son temps et celle de son fils spirituel, qui n'était autre qu'un dénommé  Adolf Hitler, sinon Adolfus Hitler, ainsi que l'a précisé l'historien Joachim Fest en 1973.

Je n'ai toujours pas le temps de développer, mais je le ferai dès que je l'aurais ...  

Partager cet article
Repost0
14 septembre 2015 1 14 /09 /septembre /2015 17:11

Les propos de Zlatan Ibrahimovic pourraient-ils être à l'origine d'un casus belli entre la France et la Suède ?

Dans mon enfance, en 1946au sortir de la guerre, des enfants de Katrinehom, une petite vile de 16000 habitants, m'avaient demandé pourquoi il y avait eu la guerre entre la France et L'Alllemagne ?

Je ne le savais évidemment pas moi-même - je ne ne pouvais pas avoir lu l'excellent "Les mensonges du troisième Reich", de Serge Cosseron, paru soixante ans plus tard, en 2006, aux éditions France Loisir - mais je m'étais efforcé chercher une explication.

Le l'avais trouvé dans la guerre que se faisaient les partisans des deux équipes de foot de Katrineholm.

Les uns "supportaient"  l'équipe AIK, les autres l'équipe d'un club dont le nom me reviendra peut-être plus tard ... Les invectives des uns contre les autres étaient souvent verbalement violentes, sans pour autant aller jusqu'à de dangereuses bagarres.  

Dans mon adolescence, jai encore passé quelques années à Katrineholm et dans la région de Stockholm, à Södertälje, puis en 1988 à Stockholm, puis quelques mois dans la grande banlieue de Stockholm, à Saltsjöbaden.

Avant comme après j'ai pu recueillir quelques dires à l'origine du titre de cet article, que je n'ai présentement pas le temps de terminer.

Je me propose de le compléter dans les prochains jours , quand j'aurais terminé ce à quoi j'ai à m'occuper (faire comprendre l'intérêt économique qu'il y aurait à supprimer du Conseil de l'Ordre des médecins, comme s'y était engagé les socialistes dans leur programme commun de gouvernement - Cf. René Chiche "Enquête sur les manarins de la médecine", EDITIONS DU MOMENT, avril 2013) et celui de développer un système inédit beaucoup plus performant que la contruction de barrages pour récupérer le gigantestesque potentiel énergétique des marnages. 

Je commencerais par l'anecdote la plus drôle, que tous les parisiens ont expérimentée, drôle mais parfois tragique dans le mesure où un certain nombre y ont laisser leur peau ....

Partager cet article
Repost0