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31 mars 2016 4 31 /03 /mars /2016 23:27

Selon L'Express Entreprise   « il faut être réellement "fêlé" pour imposer un nouveau concept, particulièrement en France où les entrepreneurs sont si mal considérés »

Une "petite" innovation technique permet une plus grande compétitivité économique. Il est possible de la tester in situ, une mise à l'épreuve d'un coût minine, bien qu'au delà de mes possibilités financières.

Mise à contribution elle aurait déjà permis à la France de ne plus avoir besoin de recourir si massivement à l'énergie nucléaire et à d'aussi grandes quantités d'énergies fossiles importées pour faire tourner son industrie.

A moins que ce soit pour ne pas contrarier le tout puissant lobby nucléaire et les très puissants lobbies pétroliers que les précédents ministres ont fait la sourde oreille ?

Vous avez dernièrement déclaré au Journal du dimanche : « Je ne pense pas qu’il y ait plus de comportements délictueux chez nous qu’ailleurs /…/ Il nous manque une panoplie de bonnes mesures pour combattre et prévenir ces pratiques ... »

Ainsi en avait-il déjà été en 1990 à l'AP – HP à propos du traitement de la maladie de mon père, quand j'avais été assez fêlé pour oser proposer aux très savants neurologues du CHU de Bicêtre de le sortir rapidement et à moindre coût de l'état désastreux où il se trouvait après son passage à la Clinique Léon Elmelik, une Clinique où des médecins lui avaient sans crier gare subrepticement infligé une onéreuse et très dangereuse opération orthopédique bilatérale là où ne fallait qu'un traitement médicamenteux des plus simples et bon marché pour venir à bout de ses douleurs neurologiques, douleurs liées non pas à une mauvaise "morphostatique" de ses pieds (sic) mais à un syndrome NDB12PP. Un syndrome alors méconnu dont j'avais non moins follement initié la découverte en parlant d'un «syndrome de carence vitaminiqiue B12 avec test de Schilling normal». Sa normalité était la preuve que je l'étais pas, moi, mais "fêlé", m'avait-on fait savoir de l'index sur la tempe. C'était de ma part surtout ne pas avoir su tenir compte de ce que la Clinique Léon Elmelik était une Clinique dont il fallait à tout prix préserver l'existence parce qu'elle rendait alors de très singuliers services à l'AP – HP et au CNTS, et donc à Laurent Fabius, « responsable mais non coupable » d'un nombre considérable de contaminations par le VIH du temps où il était ministre de la Recherche.

Des "services" que rendra après qu'elle a changé de mains en 1995 le Service de neuro-pneumologie (sic) du CHU de Mantes la Jolie, sous la direction du même Olivier Ille qu'à Bicêtre, avec cette fois non pas le docteur Jean-Yves Beinis, mais Christine Malèvre en tant qu'exécutante fidèle aux ordres d'Olivier Ille

Pas très jolie-jolie mais follement dévouée à son très cher et beau Chef de Service. Un Service où, comme à l'hôpital Charles-Foix, il était bien "normal" de trouver la mort que l'on ne s'y embêtait de savoir ni pourquoi ni comment elle survenait. Il aura fallu que cette idiote de Laurence Kouyoumdjian s'en inquiète pour faire arrêter la machine de mort. Ce pourquoi Laurence K fut priée d'aller se faire voir ailleurs tandis que le beau et méritant Saint-Olivier-Ille a gardé son poste (Cf. au sujet de sa sainteté Olivier Ille son allocution "Prends soin de lui" au 5e Rassemblment du Mouvement Amour & Vérité, qui s'est tenu les 15 et 16 mars 2013 à Paray le Monial)

Croyant à l'attentive attention que vous saurez apporter à ce projet, veuillez agréer, monsieur le ministre des Finances et des Comptes publics, à l'expression de ma très haute Considération

 

                        Pierre Cretien, le 31 mars 2016, 23 heures 53

 

Il ne s'agit donc pas d'un poisson d'avril

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31 mars 2016 4 31 /03 /mars /2016 17:55

Le philosophe-psychanalyste nantais Christophe Meignant a fait éditer chez M-édité une brochure au sujet de la perversion narcissique, dont la problématique est très brièvement abordée.

La brochure est intitulée "Utiliser autrui".

En résumé, les "pervers narcissiques " sont comparables à des montreurs de marionnettes plus ou moins doués dont les marionnettes sont le matériel humain, dont ils se servent, parfois en virtuose, pour réparer les failles de leur méga Ego fêlé ou troué. Et comme le savent les grands skieurs, les jambes cassées ne se recassent jamais au même endroit.

Ils se présentent volontiers comme inspirés par Dieu ou des divinités pour asseoir leur emprise sur les esprits qu’ils manipulent.

L'instrumentalisation des personnes est au fondement de l'esclavagisme, des religions monothéistes et de ses équivalents paradigmatiques que sont le capitalisme et le collectivisme.

Christophe Meignant se réfère essentiellement à des auteurs tels que Sigismund Freud, Jacques Lacan, Bion et P-C. Racamier, qui ont été les premiers à développer le concept de prédation narcissique via la psychanalyse.

Freud, a deux lettres près  s'appelle Fraude
L'inconscient existe puisque  plus d'une centaines d'écoles portent en France le nom de Françoise Dolto.

 

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31 mars 2016 4 31 /03 /mars /2016 17:18

Eric Piermont / AFP : << Le 30 mars, le ministre des finances Michel Sapin présente en conseil des ministres son projet de loi sur la transparence de la vie économique et la lutte contre la corruption.>>

Monsieur le ministre,

                                      Vous avez déclaré au Journal du dimanche : « Je ne pense pas qu’il y ait plus de comportements délictueux chez nous qu’ailleurs /…/ Il nous manque une panoplie de bonnes mesures pour combattre et prévenir ces pratiques ... »

Ce serait donc pour cette raison que, au sein du Gouvernement Hollande, tout comme précédemment avec les ministres Ségolène Royal, Delphine Batho et Philippe Martin, pourtant dûment contactés en 2012 et 2013 parce qu'ils étaient alors premiers concernés - le Chef du Gouvernement Jean-Marc Ayrault leur avait pourtant demandé de s'en préoccuper - vous n'aviez pas non plus voulu répondre à ma proposition de sortir le pays du chômage grâce à une plus grande compétitivité économique.

Elle serait rendue possible par une "petite" innovation technique grosse dans grand avenir.  Je leur avait proposée de la tester in situ, pour pas cher. Elle aurait déjà permis à la France de ne plus avoir besoin de recourir si massivement à l'énergie nucléaire  et à d'aussi grandes  quantités d'énergies fossiles importées pour faire tourner son industrie.

A moins que ce soit pour ne pas contrarier le tout puissant lobby nucléaire et les très puissants lobbies pétroliers que ces ministres à double face ont fait la sourde oreille ?

Ainsi en avait-il déjà été en 1990 à l'AP – HP à propos du traitement de la maladie de mon père,  quand j'avais été assez fêlé pour oser  proposer aux très savants neurologues du CHU de Bicêtre de le sortir rapidement et à moindre coût de l'état désastreux où il se trouvait après son passage à la Clinique Léon Elmelik, une Clinique où des médecins lui avaient sans crier gare subrepticement infligé une onéreuse et très dangereuse opération orthopédique bilatérale là où ne fallait qu'un traitement médicamenteux des plus simples et bon marché pour venir à bout de ses douleurs neurologiques, douleurs liées non pas à une mauvaise "morphostatique" de ses pieds (sic) mais à un syndrome NDB12PP. Un syndrome alors méconnu dont j'avais non moins follement initié la découverte en parlant d'un «syndrome de carence vitaminiqiue B12 avec test de Schilling normal». Sa normalité était la preuve que je l'étais pas, moi, mais "fêlé", m'avait-on fait savoir de l'index sur la tempe. C'était de ma part surtout ne pas avoir su tenir compte de ce que la Clinique Léon Elmelik était une Clinique dont il fallait à tout prix préserver l'existence parce qu'elle rendait alors de très singuliers services à l'AP – HP et au CNTS, et donc à Laurent Fabius, « responsable mais non coupable » d'un nombre considérable de contaminations par le VIH du temps où il était ministre de la Recherche.

Des "services" que rendra après qu'elle a changé de mains en 1995 le Service de neuro-pneumologie (sic) du CHU de Mantes la Jolie, sous la direction du même Olivier Ille qu'à Bicêtre, avec cette fois non pas le docteur Jean-Yves Beinis, mais Christine Malèvre en tant qu'exécutante fidèle aux ordres d'Olivier Ille

Pas très jolie-jolie mais follement dévouée à son très cher et beau Chef de Service. Un Service où, comme à l'hôpital Charles-Foix, il était bien "normal" de trouver la mort que l'on ne s'y embêtait de savoir ni pourquoi ni comment elle survenait. Il aura fallu que cette idiote de Laurence Kouyoumdjian s'en inquiète pour faire arrêter la machine de mort. Ce pourquoi Laurence K fut priée d'aller se faire voir ailleurs tandis que le beau et méritant Saint-Olivier-Ille a gardé son poste  (Cf. au sujet de sa sainteté Olivier Ille son allocution "Prends soin de lui" au 5e Rassemblment du Mouvement Amour & Vérité, qui s'est tenu les 15 et 16 mars 2013 à Paray le Monial

Croyant à l'attentive attention que vous saurez apporter à ce projet, veuillez agréer, monsieur le ministre des Finances et des Comptes publics, à l'expression  de ma très haute Considération 

 

Pierre Cretien, le 31 mars 2016                 

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30 mars 2016 3 30 /03 /mars /2016 00:07

Une loi "hors la loi" permet à l'Ordre des médecins d'imposer, sous peine de persécutions, le silence sur les fautes, mêmes et surtout les plus graves, pour ne pas dire les plus abjectes, commises par des médecins dans l'exercice de leur profession.

C'est une loi omertiste, c'est-à-dire mafieuse, qui permet tous les débordements sexuels exercés sur des enfants, parfois des nourrissons.

Le Parti Socialiste semblait avoir conscience de la malfaisance de l'Ordre, et il en avait promis l’abolition dans le Programme Commun de Gouvernement. Mais arrivé au pouvoir François Mitterrand s'est empressé d'oublier de mettre sa promesse à exécution, sans que grand monde se soit demandé pourquoi. 

Ne serait-ce par égard envers Gabriel Matzneff ?

Et/ou parce que l'Ordre avait de quoi le tenir en respect ?

Pourquoi la Clinique de l'Haÿ-les-Roses était-elle si farouchement "protégée en haut.s-lieu.x" cependant qu'il s'y était passé des choses dignes du bras droit du Dr. Freud ?

Pourquoi Carol Bouquet avait-elle été mise sur écoute à la demande (sur l'ordre) de François Mitterrand ?

Ma consœur Catherine Bonnet a fait l'amère expérience de ce qu'était l'Ordre des Médecins en juin 1998, à qui le Conseil disciplinaire avait infligé une interdiction de trois fois trois ans d'exercice professionnel pour avoir fait trois signalements de viols pédocriminels, en dépit de l'article 40 du CPP, qui fait obligation aux médecins relevant du Service public, et les Conseillers de l'Ordre des Médecins en relèvent puisque l’État a confié à l'Ordre des médecins "mission e Service public" (dixit son président Bernard Glorion)  de signaler aux autorités judiciaires les crimes dont ils ont connaissance dans l'exercice de leur fonction.

En respectant la loi, elle s'était mis en travers de celles du CNOM, une "loi" qu'il faut bien qualifier de mafieuse et providentielle pour la pédophilocratie (2).

Pierre Joxe, ancien ministre, en tant qu'il est avocat et qu'il a pris conscience de ce problème, se consacre maintenant à la défense des enfants et de leurs droits à être respectés. Il était présent à la Table Ronde du 24 février 2011 à l'Institut de criminologie de Paris consacrée aux conséquences de la mystification d'Outreau, Table Ronde courageusement organisée par mon Confrère Gérard Lopez, qui écrit en présentaion << ...... les résultats de la recherche se heurtent aux positions idéologiques et aux réactions émotionnelles largement entretenues par les médias. Les nouveaux masques du déni de la maltraitance infantile - syndrome des faux souvenirs, syndrome d'aliénation parentale, résilience mal interprétée, critique d'une société soi-disant compassionnelle - parviennent à relativiser dans une large mesure le discours scientifique concernant les conséquences personnelles et sociales de la maltraitance infantile. A cet titre le procès dit d'Outreau a des conséquences particulièrement délétères sur le plan sociétal et probablement sur les droits des enfants bien que 12 des 15 enfants aient été reconnus victimes de viols et d'actes de proxénétismes >> .......

Il est à noter que le docteur Lopez a fait l'objet d'une campagne de dénigrement tendant à le faire passer pour "scientologue". La gens médico-pédophilocratique ne recule devant aucun procédé pour essayer de discréditer ses contempteurs : Anne Fournier, déléguée à la lutte contre les dérives sectaires, répétait à l'envie qu'il était "scientologue".

D'autre part, alors qu'il me savait investi dans la lutte contre les mensonges psychanalytiques, le Conseil Départemental de l'Ordre des Médecins du Val-de-Marne s'était arrangé par je ne sais quel truchement de me faire passer pour pédophile et antisémite auprès de ma Consœur Catherine Bonnet.

Celle-ci me demanda par la suite de la pardonner d'y avoir cru (ou de ne m'avoir pas cru lorsque je lui ai rapporté ce que m'avait confié le Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses au sujet des médecins de la Clinique Léon Elmelik, qui, se sachant "protégés en haut.s lieu.x", se permettaient d'y faire tout ce qu'ils voulaient sans risquer de se voir sanctionnés, y compris de violer les femmes en couches (en salle de réveil ?)

En 1996, l'affaire Dutroux battait son plein, qui coïncidait avec du Congrès de Stockholm qui eut lieu en août 1996 – en présence de la Reine de Suède – sur la pédophilie et l'exploitation sexuelle des enfants à des fins commerciales.

Ce qui inquiéta la pédophilocratie ordinale, l'incitant à se mettre plus que jamais sur la défensive.

Catherine Bonnet, Pascal Vivet et Bernard Lemper en firent les frais.

Selon ce que m'avait rapporté Me Annick Dorsner-Dolivet à propos de l'affaire qui nous opposait à des médecins de la Clinique Léon Elmelik, madame Toxé, Juge d'instruction au TGI de Créteil, a prétendu "que les prisons étaient déjà suffisamment pleines et qu'elle ne voulait pas aller pour rien embêter de vieilles gens" pour refuser d'instruire la plainte pour "coups et blessures volontaires et non assistance à personne en péril de mort" que le doyen des Juges d'instruction Serge Portelli lui avait transmise.

Sollicité par l'insistance de Me Dorsner-Dolivet, le parquet confia l'instruction à Madame Bénedicte Scelle, qui accepta d'ouvrir une instruction ... à condition "qu'il soit fait attention à ce que l'affaire ne soit pas ébruitée" (sic), m'a rapporté Me Annick Dorsner-Dolivet au début de l'année 1995 !

Mais la suite a démontré que c'était pas seulement l'Ordre des médecins et les psychanalystes freudiens  qui étaient en France à la botte de la pédophilocratie, mais aussi la Justice !

(On verra l'amorce d'un changement des mentalités dans les années suivantes, quand Vanessa Springora* et Camille Kouchner** pourront chacune faire paraître un livre qui la mettront en cause ("Le consentement"* et "La familia grande"**) sans être, comme l'ont été Jacques Bénesteau et Pierre Lassus, "blacklistées", NDLR le 6 mai 2022)

Les raisons de l'interdiction de Catherine Bonnet étaient sur-motivées : l'Ordre avait eu connaissance de ce qu'elle avait essayée de m'aider en me proposant d'avoir recours à Maître de la Morinerie, avec qui elle collaborait à la Fondation Danan, dans l'affaire qui m'opposait aux médecins de la Clinique Elmelik et à l'Ordre lui-même, c'est-à-dire en fin de compte à toute l'organisation informelle et para-étatique du milieu professionnel.Non seulement la France donne peu de moyens à la justice (elle se situe au trente-septième rang pour la part de financement consacré à la justice) mais il arrive que elle se consacre à la contrer et laisse corruption prospérer (4).

Cet état de chose a fait que mon père, et moi-même par ricochet, avons subi toute une serie d'agressions de la part des médecins de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses et de ses soutiens logistiques, en l'occurrence l'Ordre des médecins et un parquet dirigé par Michel Barrau.

J'ai brièvement rapporté dans ma lettre d'avant hier à madame Delphine Batho, Ministre déléguée à la Justice, et plus longuement sur Internet (site 73331815 html) comment mon père avait failli une première fois laissez sa peau dans la Clinique des Elmelik, et peu après une seconde fois dans le Service du Pr. Gérard Saïd du fait de la communauté d'intérêt qui liait ce Service à la Clinique Emelik (5)

Les neurologues avaient confié à leur Interne l'irresponsabilité de patronner en leur nom, c'est-à-dire au nom de l' INSERM, un compte-rendu mensonger et par suite un traitement mortel à mon père pour amener le Dr. Jean-Yves Beinis à le poursuivre aveuglément, juqu'à ce mort "naturelle" s'en suive, une mort qui se devait de paraître inéluctablement due au génie propre d'une DTA (Démence de Type Alzheimer) imaginaire.

L'Article 40 du Code pénal fait obligation de signaler à l Justice les crimes dont on a connaissance.

En 2004 j'ai été accusé par madame Isabelle Pilot, la sous-directrice de Bicêtre "chargée des relations de l'hôpital avec la clientèle" (dans son bureau et devant témoins) d'avoir moi-même volontairement provoqué la maladie de mon père et d'être antisémite.

Provoquer volontairement une maladie est un crime, donc elle et le Pr. Saïd auraient dû se saisir de cette obligation pour le signaler à la justice. Comme ils ne l'ont pas fait, je suis logiquement fondé à porter plainte contre eux pour non dénonciation de crimes.

Lors de sa déposition devant l'Inspecteur Christian Raeckelboom au commissariat de l'Haÿ-les-Roses, celui-ci nous avait confié que contre la Clinique Elmelik, aucune plainte ne pouvait aboutir, toutes étant systématiquement « bloquées au parquet ». « J'ai là sur mes étagères cent cinquante plaintes pour viols. Aucune n'a pu aboutir. Les actionnaires de la Clinique sont milliardaires. Ils font ce qu'ils veulent. Il sont protégés en haut.s lieu.x ».

La suite prouva que cet Inspecteur avait dit vrai.

La Mairie « socialiste » de l'Haÿ-les-Roses était de longue date accoquinés avec Elmelik, propriétaires de ladite Clinique.

Je fais confiance l'actuel gouvernement, a priori plus réaliste que les précédents pour mettre à plat cette très sale affaire, une affaire qui m'a laissé financièrement quasi exsangue parce que le parquet s'est jusqu'à maintenant efforcé de la cacher sous le tapis et que l'Ordre a fait tout son possible pour me faire "payer cher" la non observation de ses "lois"

Notes

1 Catherine Bonnet "L'enfant cassé - l' inceste et la pédophilie" Albin Michel, 1999, "L'enfance muselée", Ed. Moll, Toulouse, 2007. Le Dr. François Chedru, qui avait rédigé un rapport d'expertise satisfaisant à la loi omertiste de l'Ordre et du milieu médical m'avait ri au nez lorsque je lui avais fais remarquer que son expertise était mensongère tout en m'avouant cyniquement qu'elle l'était effectivement,  puisqu'il ajouta << qu'aucun chirurgien n'aurait accépté d'opérer dans de telles conditions >>, avant de me me conseiller de laisser tomber. << Vous-vous y épuiserez pour rien >> (sic, le 4 juillet 1996 ) cependant que le médecin à protéger, Antoine Denis, n'était pas même chirurgien et que François Chedru avait en main toutes les lettres que m'avait adressé son Confrère Michel Serdaru de 1992 à 1994. Je cite son Confrère Michel Serdaru, avec qui Chedru avait publié des articles dans les journaux médicaux; Il s'était écrié, lorsqu'il a pris connaissance de cas que << même le centième, vous m'entendez, même le centième des fautes qui ont été commises méritent un procès ! Je vous donne le nom d'un bon avocat  (Me Bernfeld) et vais prévenir la Presse. Qui c'est, le docteur Foot ? >>

- C'est le docteur Antoine Denis, à la Clinique Elmelik

Le docteur Serdaru blêmit. Il me tourna le dos et dit "Ah, mais celui-là, il a des relations". Et il ne fut pkus question d'alerter la Presse

2 - Le Colloque du 13 décembre 1997 fut ainsi placé sous la présidence de Bernard Glorion et de Bernard Vatier et organisé par "l’Institut de formation permanente du Barreau de Paris." J'y ai rencontré Emmanuel Hirsch,titulaire de la Chaire d'ensignement de l'éthique médicale de l'AP -HP qui, sans être médecin, à ma stupéfaction m'a tout de suite coupé la parole en me disant "connaître par coeur l'histoire de mon père" lorsque j'ai cherché à lui parler de ce qui lui était arrivé en 1990.

3 - Cf. son intervention et les avertissements du Pr. Breton rapportés dans les Actes 1995 du Collectif Féministe Contre le Viol.

4 - Vincent Le Coq et Laurent Lèguevaque "Manifeste contre les notaires ", Max Milo éditeur, 2011

L'ouvrage émane d'un collectif de notaires qui a pris conscience du rôle de la haute corruption et de son impunité dans la paupérisation et la " fracture sociale " de la France.

5 - La Clinique Elmelik était très appréciée des Services hospitaliers non pour son plateau technique, mais parce qu'elle se chargeait de les débarrasser des malades en fin de vie comme des malades contaminés par le VIH.

6 - L' affaire a ILLICO été classée SANS SUITE à Créteil et porte le n° C 90 361 0032 9, (et non pas C 90 301 0032 9 comme précédemment indiqué d'après un document mal imprimé et difficile à lire)

Remarques

ll n'entrait pourtantpas dans l'intention des médecin-actionnaires de la Clinique Elmelik de tuer mon père, mais de faire du fric. Ils avaient seulement voulu l'escroquer en profitant de sa vulnérabilité psychologique, due à sa maladie, et de sa situation patrimoniale après qu'il s'est confié à Marc Méchain, le maire de l'Hay-les-Roses, un grand ami des Emelik. S'agissant de pervers, ils se permettaient de transgresser tous les interdits. Ils lui avait imposé sans prévenir une double opération orthopédique à visée "esthétique" (sic) . A 79 ans, mon père n'était pas, pour de multiples raisons, toutes plus évidentes les unes que les autres, en état de supporter un acte aussi aussi déplacé que dangereux. L'opérateur, un rhumatologue, n'était statuairement pas habilité à procéder à une telle opération. Mon père fut peu après victime d'une véritable tentative d'assassinat à dans le Service de neurologie tenu par le Pr. Gérard Saïd. Une erreur de diagnostic avait soi-disant été commise alors que l'erreur était impossible à faire. Les infirmières elles-mêmes s'en étaient inquiétées, qui m'avaient demandé de venir contrôler si le traitement qu'On leur disant d'administrer était bien celui qui convdnait avant que leur malade ne trépasse !

D 'où probablement le fait que cette Clinique ait été « protégée en hauts lieux », c'est à dire pour sauvegarder les intérêts du C.N.T.S., responsable de nombreuses contaminations hospitalières lors de transfusions faites dans la première moitié des années 1980, mon père entrant dans cette catégorie pour avoir été transfusé en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis

En le corrigeant de façon drastique, mon père sortit du coma et récupéra ses faculté intekllecteuelles. Il porta l'affaire devant le procureur de la République à Créteil (à l'époque Michel Barrau, grand serviteur de l'État, et du CNTS, et par conséquent protecteur de la Clinique Léon Elmelik. qui servait, avant qu'elle ne soit vendue en 1995 à ce à quoi  servira aussi le service du Pr Gérard Saïd au CHU de Bicêtre puis le Service du docteur Olovier Ille (encore lui) au CHU de Mantes la Jolie en 1997, avec Christine Malèvre dans le rôle du docteur Jean-Yves Beinis.

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29 mars 2016 2 29 /03 /mars /2016 23:33

Ils tiennent à la loi du silence qui protège la pédocriminalité << la seule loi qui soit vraiment respectée en ce pays >> (Sophie Coignard et Alexandre Wickham, L'omertà française, Albin Michel, octobre 1999).

C'est cette loi hors la loi qui permet à l'Ordre des médecins d'imposer, sous peine d'excommunication, le silence sur les fautes, mêmes et surtout les plus criminelles, commises par des médecins dans l'exercice de leur profession.

Cette "loi" autorise tous les débordements, y compris les viols les plus abominables, ceux commis sur les enfants, parfois des nourrissons.

Les Socialistes semblaient avoir pris conscience de la nocivité de l'Ordre. Ils en avaient prévu la dissolution dans leur Programme Commun de Gouvernement, mais ont bien vite "oublié" de mettre le projet à execition une fois arrivés au gouvernement en 1981.

Ma consœur Catherine Bonnet en a aussi fait l'amère expérience en 1999, qui s'était vue signifier une interdiction de trois fois trois ans d'exercice professionnel par le Conseil disciplinaire de l'Ordre des Médecins pour avoir fait trois signalements de viols pédocriminels, c'est-à-dire pour avoir respecté la loi, qui fait obligation de signaler les crimes dont on a connaissance. Mais en respectant la loi, elle s'était mis en travers de celle de l’Ordre des médecins, qu'il faut bien qualifier de mafieuse (2).

Pierre Joxe, ancien ministre, en tant qu'il est avocat et qu'il a pris conscience de ce problème, se consacre maintenant à la défense des enfants et de leurs droits à être respectés. Il était présent à la Table Ronde du 24 février 2011 à l'Institut de criminologie de Paris consacrée aux conséquences de la mystification d'Outreau, Table Ronde courageusement organisée par mon Confrère Gérard Lopez, qui écrit en présentaion << ...... les résultats de la recherche se heurtent aux positions idéologiques et aux réactions émotionnelles largement entretenues par les médias. Les nouveaux masques du déni de la maltraitance infantile - syndrome des faux souvenirs, syndrome d'aliénation parentale, résilience mal interprétée, critique d'une société soi-disant compassionnelle - parviennent à relativiser dans une large mesure le discours scientifique concernant les conséquences personnelles et sociales de la maltraitance infantile. A cet titre le procès dit d'Outreau a des conséquences particulièrement délétères sur le plan sociétal et probablement sur les droits des enfants bien que 12 des 15 enfants aient été reconnus victimes de viols et d'actes de proxénétismes. >> .......

A son texte j'ajouterais que des médecins, parfois des psychiatres et des psychanalystes, ont saisi pour eux-mêmes tout l'intérêt  (Ernest Jones, par exemple, qui a inventé,  pour Freud, le concept de "Complexe d'Oedipe", bien utile pour lui servir d'alibi, comme à ses semblables, ainsi qu'il en a récemment été à Outreau, des théorisations freudiennes. 

Il est à noter que le docteur Lopez a fait l'objet d'une campagne de dénigrement tendant à le faire passer pour "scientologue". La gens médico-pédophilocratique ne recule devant aucun procédé pour essayer de discréditer ses contempteurs : Anne Fournier, déléguée à la lutte contre les dérives sectaires, répétait à l'envie qu'il était "scientologue".

D'autre part, alors qu'il me savait investi dans la lutte contre les mensonges psychanalytiques, l'Ordre s'était arrangé par je ne sais quel truchement de me faire un temps passer pour pédophile et antisémite auprès de Catherine Bonnet. Celle-ci me demanda par la suite de la pardonner d'y avoir cru ! C'était à la fin des années 1990. L'affaire Dutroux battait son plein, qui coïncidait avec du Congrès de Stockholm d'août 1996 sur la pédophilie.

La pédophilocratie ordinale était sur la défensive.

Catherine Bonnet, Pascal Vivet et Bernard Lemper en firent aussi les frais.

A cette époque, les Colloques vertueux et consanguins sur le droit de personnes handicapés ou sur la responsabilité médicale organisés par l'Ordre et le Barreau faisaient florès (2) .

Selon ce que m'avait rapporté maître Annick Dorsner-Dolivet à propos de l'affaire Elmelik,  madame Toxé, juge d'instruction au TGI de Créteil prétendit "que les prisons étaient suffisamment pleines et qu'elle ne voulait pas aller embêter des vieilles personnes " pour refuser d'instruire l'affaire que son doyen, Serge Portelli (3) , lui avait communiquée.

Madame Scelle accepta d'ouvrir .... à condition qu'il soit fait attention "à ce qu'elle ne soit pas "bruitée" !

Les raisons de l'interdiction de Catherine Bonnet étaient sur-motivées : l'Ordre avait eu connaissance de ce qu'elle avait essayée de m'aider en me proposant d'avoir recours à Maître de la Morinerie, avec qui elle collaborait à la Fondation Danan, dans l'affaire qui m'opposait aux médecins de la Clinique Elmelik et à l'Ordre lui-même, c'est-à-dire en fin de compte à toute l'organisation informelle et para-étatique du milieu professionnel.Non seulement la France donne peu de moyens à la justice (elle se situe au trente-septième rang pour la part de financement consacré à la justice) mais il arrive que elle se consacre à la contrer et laisse corruption prospérer (4).

Cet état de chose a fait que mon père, et moi-même par ricochet, avons subi toute une serie d'agressions de la part des médecins de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses et de ses soutiens logistiques, en l'occurrence l'Ordre des médecins et un parquet dirigé par Michel Barrau.

J'ai brièvement rapporté dans ma lettre d'avant hier à madame Delphine Batho, Ministre déléguée à la Justice, et plus longuement sur Internet (site 73331815 html) comment mon père avait failli une première fois laissez sa peau dans la Clinique des Elmelik, et peu après une seconde fois dans le Service du Pr. Gérard Saïd du fait de la communauté d'intérêt qui liait ce Service à la Clinique Emelik (5)

Les neurologues avaient confié à leur Interne l'irresponsabilité de patronner en leur nom, c'est-à-dire au nom de l' INSERM, un compte-rendu mensonger et par suite un traitement mortel à mon père pour amener le Dr. Jean-Yves Beinis à le poursuivre aveuglément, juqu'à ce mort "naturelle" s'en suive, une mort qui se dev

ait de paraître inéluctablement due au génie propre d'une DTA (Démence de Type Alzheimer) imaginaire.

L'Article 40 du Code pénal fait obligation de signaler aux aurorité compétentes les crimes dont on a connaissance. C'est ce qu'avait fait Catherine Bonnet.

En 2004 j'ai été accusé (dans son bureau et devant témoins) par madame Isabelle Pilot, la sous-directrice de Bicêtre chargée des relations de l'hôpital avec la clientèle d'avoir moi-même volontairement provoqué la maladie de mon père et d'être antisémite. Provoquer volontairement une maladie est un crime, donc elle et le Pr. Saïd auraient dû se saisir de cette obligation pour le signaler à la justice. Comme ils ne l'ont pas fait, je suis logiquement fondé à porter plainte contre eux pour non dénonciation de crimes.

Lors de sa déposition devant l 'Inspecteur Christian Raeckelboom au commissariat de l'Haÿ-les-Roses, celui-ci nous avait confié que contre la Clinique Elmelik, aucune plainte ne pouvait aboutir, toutes étant systématiquement « bloquées au parquet ». « J'ai là sur mes étagères cent cinquante plaintes pour viols. Aucune n'a pu aboutir. Les actionnaires de la Clinique sont milliardaires. Ils font ce qu'ils veulent. Il sont protégés en hauts lieux ».

La suite prouva que cet Inspecteur avait dit vrai.

La Mairie « socialiste » de l'Haÿ-les-Roses était de longue date accoquinés avec Elmelik, propriétaires de ladite Clinique.

Je fais confiance l'actuel gouvernement, a priori plus réaliste que les précédents pour mettre à plat cette très sale affaire, une affaire qui m'a laissé financièrement quasi exsangue parce que le parquet s'est jusqu'à maintenant efforcé de la cacher sous le tapis et que l'Ordre a fait tout son possible pour me faire "payer cher" la non observation de ses "lois"

Notes

1 Catherine Bonnet "L'enfant cassé - l' inceste et la pédophilie" Albin Michel, 1999, "L'enfance muselée", Ed. Molls, Toulouse, 2007. Le Dr. François Chedru, qui avait rédigé un rapport d'expertise satisfaisant à la loi omertiste de l'Ordre et du milieu médical m'avait ri au nez lorsque je lui avais fais remarquer que son expertise était mensongère tout en m'avouant cyniquement qu'elle l'était effectivemen puisqu'il ajouta << qu'aucun chirurgien n'aurait accépté d'opérer dans de telles conditions. Toute façon, laissez tomber, vous-vous y épuiserz pour rien >> (sic, le 4 juillet 1996 ) cependant que l'opérateur n'était pas même vraiment chirurgien et que François Chedru. Chedru avait en main toutes les lettres que m'avait adressées son Confrère Michel Serdaru de 1992 à 1994. Je cite son Confrère Michel Serdaru, avec qui Chedru avait publié des articles dans les journaux médicaux; Il s'était écrié, lorsqu'il a pris connaissance de cas que << même le 1 centième, vous m'entendez, même le 1 centième des fautes qui ont été commises méritent un procès, même le centième ! Mais qui est ce docteur Foot, qui est-il ? Je vais vous donner le nom d'un bon avocat et prévenir la Presse. Qui c'est, le docteur Foot ? >>

- C'est le docteur Antoine Denis, à laClinique Elmelik

Le docteur Serdaru blêmit, me ourna le dos et dit "Ah, mais celui-là, il a des relations". Et il ne fut pkus question d'alerter la Presse

2 - Le Colloque du 13 décembre 1997 fut ainsi placé sous la présidence de Bernard Glorion et de Bernard Vatier et organisé par l’Institut de formation permanente du Barreau de Paris.

3 - Cf. son intervention et les avertissements du Pr. Breton rapportés dans les Actes 1995 du Collectif Féministe Contre le Viol.

4 - Vincent Le Coq et Laurent Lèguevaque "Manifeste contre les notaires ", Max Milo éditeur, 2011

L'ouvrage émane d'un collectif de notaires qui a pris conscience du rôle de la haute corruption et de son impunité dans la paupérisation et la " fracture sociale " de la France.

5 - La Clinique Elmelik était très appréciée des Services hospitaliers non pour son plateau technique, mais parce qu'elle se chargeait de les débarrasser des malades en fin de vie comme des malades contaminés par le VIH.

6 - L' affaire a ILLICO été classée SANS SUITE à Créteil et porte le n° C 90 361 0032 9, (et non pas C 90 301 0032 9 comme précédemment indiqué d'après un document mal imprimé et difficile à lire)

Remarques

ll n'entrait pourtantpas dans l'intention des médecin-actionnaires de la Clinique Elmelik de tuer mon père, mais de faire du fric. Ils avaient seulement voulu l'escroquer en profitant de sa vulnérabilité psychologique, due à sa maladie, et de sa situation patrimoniale après qu'il s'est confié à Marc Méchain, le maire de l'Hay-les-Roses, un grand ami des Emelik. S'agissant de pervers, ils se permettaient de transgresser tous les interdits. Ils lui avait imposé sans prévenir une double opération orthopédique à visée "esthétique" (sic) . A 79 ans, mon père n'était pas, pour de multiples raisons, toutes plus évidentes les unes que les autres, en état de supporter un acte aussi aussi déplacé que dangereux. L'opérateur, un rhumatologue, n'était statuairement pas habilité à procéder à une telle opération. Mon père fut peu après victime d'une véritable tentative d'assassinat à dans le Service de neurologie tenu par le Pr. Gérard Saïd. Une erreur de diagnostic avait soi-disant été commise alors que l'erreur était impossible à faire. Les infirmières elles-mêmes s'en étaient inquiétées, qui m'avaient demandé de venir contrôler si le traitement qu'On leur disant d'administrer était bien celui qui convdnait avant que leur malade ne trépasse !

D 'où probablement le fait que cette Clinique ait été « protégée en hauts lieux », c'est à dire pour sauvegarder les intérêts du C.N.T.S., responsable de nombreuses contaminations hospitalières lors de transfusions faites dans la première moitié des années 1980, mon père entrant dans cette catégorie pour avoir été transfusé en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis

En le corrigeant de façon drastique, mon père sortit du coma et récupéra ses faculté intekllecteuelles. Il porta l'affaire devant le procureur de la République à Créteil (à l'époque Michel Barrau, grand serviteur de l'État, et du CNTS, et par conséquent protecteur de la Clinique Léon Elmelik. qui servait, avant qu'elle ne soit vendue en 1995 à ce à quoi servira aussi le service du Pr Gérard Saïd au CHU de Bicêtre et le Service du docteur Olovier Ille (encore lui) au CHU de Mantes la Jolie en 1997, avec Christine Malèvre dans le rôle du docteur Jean-Yves Beinis.

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24 mars 2016 4 24 /03 /mars /2016 12:24

La conférence du Dr. Olivier Ille, sur le thème "Prends soins de lui" au cinquième Rassemblement d'Amour et Vérité, les 15 et 16 mars 2014 à Paray le Monial est une tartuferie des plus parfaites.

Médecin, il m'avait fallu intervenir en septembre 1990 de façon beaucoup plus efficace, écologique et économique que ne le faisait le médecin-chef de l'Unité de Soins dits Normalisés de l'hôpital Charles-Foix pour sortir mon père du coma mortel dans lequel plongé un traitement manifestement (délibérément) inapproprié que lui avait dicté l'Interne du Service de Neurologie du professeur Gérard Saïd à l'hôpital Bicêtre.

Cet Interne qui sera un des conférenciers du Cinquième Rassemblement du Mouvement "Amour & Vérité" des 15 et 16 mars 2013 à Paray le Monial. sur le thème "Prends soins de lui"

D'après Wikipédia "Amour & Vérité" est une association apostolique branche  de La Communauté de l'Emmanuel.

Elle se propose de répondre aux questions que posent l'amour, la sexualité, la vie de famille et la bioéthique. (voir le Net l'article n° 108281777 html et ceux relatifs à l'euthanasie des patients jugés pour des motifs sordides "en fin de vie" et "voué à une inéluctable plus grande aggravation" (selon l'expertise médicale fallacieuse du neurologue François Chedru).

Les actions déstabilisantes dont j'ai été la cible après mon intervention ont interdit, du moins momentanément, espéront-le, la mise en chantier d'un procédé innovant bien plus économique, écologique et efficace que les classiques constructions de barrages pour récupérer l'inépuisable et gigantesque gisement d'énergie que représentent les marées tout le long de la côte atlanque française de Dunkerque à Biarritz (et bien au delà de ces limites)

Les susdites actions ont été pour moi et une Consœur très dommageables : non seulement j'avais, par mon intervention, pu sauver la vie de mon père, mais par là-même été à l'origine de la découverte, ou plutôt de la redécouverte, d'un important syndrome neurologique découvert en 1973 (selon les uns, 1978 selon les autres) mais fâcheusement oublié depuis.

Important non seulement par le grand nombre de malades concernés, mais parce qu'à cette époque il était trop souvent confondu avec la maladie d'Alzheimer, alors que ce syndrome est de même nature que la maladie de Biermer, se traitant pareillement et aussi bien que celle-ci.

Ce syndrome est en outre deux à trois plus fréquent que la maladie de Biermer, qui elle-même touche 3 à 5% des personnes âgées de plus de soixante ans (7% d'après le Pr. Dollfus). Il importe donc de savoir qu'il est accessible à un traitement très simple et économique, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer parce qu'il n'en est qu'une forme clinique, mais trompeuse, puisque contrairement à la maladie de Biermer, ni le test de Schilling ni même une vitaminémie B12 normale ne le met en évidence (d'après le Dr. Michel Serdaru dans "La maladie d'Alzheimer et autres démences", Flammarion Médecine-Sciences, 1991).

Après avoir été dénommé "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal", depuis que la commercialisation du test de Schilling a été abandonnée en 2003, ce syndrome a en France pris le nom de "syndrome NDB12PP", et de "cobalamin malabsorption syndrom" dans les pays anglo-saxonse).

Or c'est l'inattendue résurrection de mon père sous l'effet du traitement de la maladie de Biermer qui a en 1990 mis le feu aux poudres. Elle avait forcé les cliniciens qui avaient cherché à me faire passer pour un fou et un criminel après que mon père a porté plainte, à reconnaître la réalité.

Outre que leurs démarches visaient à nier une réalité dérangeante, avant de me priver de cette découverte et de me déstabiliser, elles ont lourdement sapé ma crédibilité lorsque j'ai voulu, en 2012, faire part aux autorités responsables d'une autre découverte, d'une tout autre nature, puisqu'elle concerne un procédé technique qui permettrait à la France de relancer son économie via la récupération de l'immense et quasi inépuisable potentiel energétique des marées.

Il s'agit d'un procédé qui rend la récupération de cette énergie non seulement possible sur 300 mètres de retenue, comme il en est avec l'usine marémotrice de la Rance, mais sur des centaines de kilomètres, de Dunkerque à Biarritz, pour un côut presque aussi dérisoire à l'échelle du pays que le traitement du syndrome NDB12PP à l'échelle de l'individu.

Le traitement du syndrome NDB12PP ne côute en effet que le prix de deux ou trois paquets de cigarettes, hormis les cas où, comme dans le cas de mon père, tardivement traité, le malade nécessite une assistance médicale au long cours du fait de la perte de son autonomie, perte consécutive aux séquelles motrices engendrées par ce retard, si et quand le malade n'est pas entretemps décédé, ainsi que cela avait failli être le cas pour mon père.

Il ne m'en avait coûté que 9 francs et quelques 39 centimes de cobalamine Labaz* pour sortir mon père du coma et d'un délire spécifique souvent sinon toujours attaché à la maladie de Biermer, un délire par lequel mon père ne me reconnaissait plus comme son véritable fils, mais comme un imposteur attaché à sa disparition, un envoyé du Pr. Vitwoët, qui en avril 1984 lui avait posé une prothèse de hanche, plus 2,5 francs, le prix de trois seringues, cependant qu'il était très chèrement hospitalisé depuis six semaines, dont trois dans un Service de neurologie se réclamant de l'excellence dans le traitement des maladies neurologiques dégénératives, puis de l'INSERM pour ses Recheches sur les possibilités des B vitaminothérapies dans ces affections.

Or si désormais le syndrome NDB12PP est enseigné à la Faculté de Médecine, et donc bien connu des nouvelles générations de médecins, il reste encore largement méconnu de la plupart des médecins généralistes des anciennes générations, voire de certains gériatres ou de certains neurologues, ainsi que j'ai pu m'en rendre compte en me livrant tout dernièrement à un sondage téléphonique. Même les très populaires vulgarisateurs de la médecine que sont Michel Cymès et Marina Carrère d'Encausse, qui animent "Le Magazine de la Santé" sur France 5 n'en ont parler ni daignent en parler pour le faire connaître, malgré maintes invitations à le faire de ma part. Comprenne qui pourra.

Mais l'explication réside sans doute dans le fait que mon père s'en était pris dans sa plainte non pas à Olivier Ille et aux neurologues de Bicêtre qui l'avaient chargé de faire en sorte que le traitement de la maladie de Biermer ne lui soit pas vraiment administré? sauf un faux-semblant, mais aux médecins-actionnaires de la Clinique Léon Elmelik, cette Clinique se vouant à son cash-flow en préservant les intérêts de l'AP - HP et du CNTS, intérêts qui vont de pair avec les siens.

La conférence du Dr. Olivier Ille, sur le thème "Prends soins de lui" au cinquième Rassemblement d'Amour et Vérité, les 15 et 16 mars 2014.à Paray le Monial est donc bien pure tartuferie.

Amour, Mensonges & Vérité Pour en savoir plus consulter sur le Net les articles que le « blog de léon » a consacré à cette affaire, dérivées des dérives de la médecine, de la mystification freudienne et de l'obtusion intellectuelle dont elle est et la cause et l'effet. Lire aussi sur le Net « L'affaire Freud », découverte par le Dr Michel Meignant en 2010 POUR après qu'il a lu ce que Jeffrey Moussaïeff Masson, psychanalyste et professeur de sanscrit, avait découvert lorsqu'il lui fut permis de consulter les « Archives Freud » secrèrement conservées à Washingtown à la Bibibliothèque du Congrès

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24 mars 2016 4 24 /03 /mars /2016 01:26

Médecin, il m'avait fallu intervenir en septembre 1990 de façon beaucoup plus efficace, écologique et économique que ne le faisait le médecin-chef de l'Unité de Soins dits Normalisés de l'hôpital Charles-Foix pour sortir mon père du coma mortel dans lequel plongé un traitement manifestement (et délibérément) inapproprié que lui avait dicté l'Interne du Service de Neurologie du professeur Gérard Saïd à l'hôpital Bicêtre.

Cet Interne deviendra le médecin-Chef du Service de neurologie du CHU de Mantes la Jolie où, sous sa direction, Christine Malèvre se vantera d'avoir commis une trentaine d'euthanasies sans qu'il ne s'en aperçoive. Il aura fallu que ce soit sa collègue Laurence Kouyoumdjian, responsable du secteur consacré à la pneumologie qui le fasse à sa place pour qu'il y soit mis un terme. Ce qui vaudra à celle-ci d'être invitée à aller exercer son art ailleurs que dans ce CHU.

Ille sera en 2013 un des conférenciers du Cinquième Rassemblement du Mouvement "Amour &Vérité" des 15 et 16 mars 2013 à Paray le Monial sur le thème "Prends soins de lui".

D'après Wikipédia "Amour & Vérité" est une association apostolique qui émane de La Communauté de l'Emmanuel. Elle se propose de répondre aux questions que posent l'amour, la sexualité, la vie de famille et la bioéthique.

Cette association devrait donc se préoccuper du sort de la famille des patients qui ont été jugés, pour des motifs sordides, pour ne pas les dire crapuleux, "en fin de vie" parce que "voués à une inéluctable plus grande aggravation", ainsi que l'a expressément stipulé l'expertise médicale du neurologue François Chedru de façon délibérément mensongère dans le cas de mon père - mensongère de son propre aveux - alors qu'il a prêté non seulement le serment d'Hippocrate en tant que médecin mais aussi "assermenté" en tant que médecin expert. Mais en France, où règne la ploutocratie, il n'y a ni contradiction ni mal à cela, bien que ce soit en principe, mais en principe seulement, passible de lourdes condamnations pénales.(voir à ce sujet, sur ce blog l'article n° 108281777 html et ceux relatifs à l'euthanasie)

Les actions déstabilisantes dont j'ai été la cible après mon intervention de la part du Conseil de l'Ordre des médecins et de l'AP - HP responsable de cette entourloupe ont interdit, du moins momentanément j'espère, la mise en chantier d'un procédé innovant bien plus économique, écologique et efficace que les classiques constructions de barrages pour récupérer l'inépuisable et gigantesque gisement d'énergie que représentent les marées tout le long de la côte atlantique française, de Dunkerque à Biarritz (et bien au delà)

Les susdites actions ont été pour moi et une Consœur très dommageables : non seulement j'avais, par mon intervention, pu sauver la vie de mon père, mais par là-même été à l'origine de la découverte, ou plutôt de la redécouverte, d'un important syndrome neurologique découvert en 1973 (selon les uns, 1978 selon les autres) mais fâcheusement oublié depuis.

Important non seulement par le grand nombre de malades concernés, mais parce qu'à cette époque il était trop souvent confondu avec la maladie d'Alzheimer, alors que ce syndrome est de même nature que la maladie de Biermer, se traitant pareillement et aussi bien que celle-ci.

Ce syndrome est en outre deux à trois plus fréquent que la maladie de Biermer, qui elle-même touche 3 à 5% des personnes âgées de plus de soixante ans (7% d'après le Pr. Dollfus). Il importe donc de savoir qu'il est accessible à un traitement très simple et économique, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer parce qu'il n'en est qu'une forme clinique, mais trompeuse, puisque contrairement à la maladie de Biermer, ni le test de Schilling ni même une vitaminémie B12 normale ne le met en évidence (d'après le Dr. Michel Serdaru dans "La maladie d'Alzheimer et autres démences", Flammarion Médecine-Sciences, 1991).

Après avoir été dénommé "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal", depuis que la commercialisation du test de Schilling a été abandonnée en 2003, ce syndrome a en France pris le nom de "syndrome NDB12PP", et de "cobalamin malabsorption syndrom" dans les pays anglo-saxonse).

Or c'est l'inattendue résurrection de mon père sous l'effet du traitement de la maladie de Biermer qui a en 1990 mis le feu aux poudres. Elle avait forcé les cliniciens qui avaient cherché à me faire passer pour un fou et un criminel après que mon père a porté plainte, à reconnaître la réalité.

Outre que leurs démarches visaient à nier une réalité dérangeante, avant de me priver de cette découverte et de me déstabiliser, elles ont lourdement sapé ma crédibilité lorsque j'ai voulu, en 2012, faire part aux autorités responsables d'une autre découverte, d'une tout autre nature, puisqu'elle concerne un procédé technique qui permettrait à la France de relancer son économie via la récupération de l'immense et quasi inépuisable potentiel energétique des marées.

Il s'agit d'un procédé qui rend la récupération de cette énergie non seulement possible sur 300 mètres de retenue, comme il en est avec l'usine marémotrice de la Rance, mais sur des centaines de kilomètres, de Dunkerque à Biarritz, pour un côut presque aussi dérisoire à l'échelle du pays que le traitement du syndrome NDB12PP à l'échelle de l'individu.

Le traitement du syndrome NDB12PP ne côute en effet que le prix de deux ou trois paquets de cigarettes, hormis les cas où, comme dans le cas de mon père, tardivement traité, le malade nécessite une assistance médicale au long cours du fait de la perte de son autonomie, perte consécutive aux séquelles motrices engendrées par ce retard, si et quand le malade n'est pas entretemps décédé, ainsi que cela avait failli être le cas pour mon père.

Il ne m'en avait coûté que 9 francs et quelques 39 centimes de cobalamine Labaz* pour sortir mon père du coma et d'un délire spécifique souvent sinon toujours attaché à la maladie de Biermer, un délire par lequel mon père ne me reconnaissait plus comme son véritable fils, mais comme un imposteur attaché à sa disparition, un envoyé du Pr. Vitwoët, qui en avril 1984 lui avait posé une prothèse de hanche, plus 2,5 francs, le prix de trois seringues, cependant qu'il était très chèrement hospitalisé depuis six semaines, dont trois dans un Service de neurologie se réclamant de l'excellence dans le traitement des maladies neurologiques dégénératives, puis de l'INSERM pour ses Recheches sur les possibilités des B vitaminothérapies dans ces affections.

Or si désormais le syndrome NDB12PP est enseigné à la Faculté de Médecine, et donc bien connu des nouvelles générations de médecins, il reste encore largement méconnu de la plupart des médecins généralistes des anciennes générations, voire de certains gériatres ou de certains neurologues, ainsi que j'ai pu m'en rendre compte en me livrant tout dernièrement à un sondage téléphonique. Même les très populaires vulgarisateurs de la médecine que sont Michel Cymès et Marina Carrère d'Encausse, qui animent "Le Magazine de la Santé" sur France 5 n'en ont parler ni daignent en parler pour le faire connaître, malgré maintes invitations à le faire de ma part. Comprenne qui pourra.

Mais l'explication réside sans doute dans le fait que mon père s'en était pris dans sa plainte non pas à Olivier Ille et aux neurologues de Bicêtre qui l'avaient chargé de faire en sorte que le traitement de la maladie de Biermer ne lui soit pas vraiment administré? sauf un faux-semblant, mais aux médecins-actionnaires de la Clinique Léon Elmelik, cette Clinique se vouant à son cash-flow en préservant les intérêts de l'AP - HP et du CNTS, intérêts qui vont de pair avec les siens.

La conférence du Dr. Olivier Ille, sur le thème "Prends soins de lui" au cinquième Rassemblement d'Amour et Vérité, les 15 et 16 mars 2014.à Paray le Monial est donc une parfaite tartuferie.

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24 mars 2016 4 24 /03 /mars /2016 01:26

Médecin, il m'avait fallu intervenir en septembre 1990 de façon beaucoup plus efficace, écologique et économique que ne le faisait le médecin-chef de l'Unité de Soins dits Normalisés de l'hôpital Charles-Foix pour sortir mon père du coma mortel dans lequel plongé un traitement manifestement (et délibérément) inapproprié que lui avait dicté l'Interne du Service de Neurologie du professeur Gérard Saïd à l'hôpital Bicêtre.

Cet Interne deviendra le médecin-Chef du Service de neurologie du CHU de Mantes la Jolie où, sous sa direction, Christine Malèvre se vantera d'avoir commis une trentaine d'euthanasies sans qu'il ne s'en aperçoive. Il aura fallu que ce soit sa collègue Laurence Kouyoumdjian, responsable du secteur consacré à la pneumologie qui le fasse à sa place pour qu'il y soit mis un terme. Ce qui vaudra à celle-ci d'être invitée à aller exercer son art ailleurs que dans ce CHU.

Ille sera en 2013 un des conférenciers du Cinquième Rassemblement du Mouvement "Amour &Vérité" des 15 et 16 mars 2013 à Paray le Monial sur le thème "Prends soins de lui".

D'après Wikipédia "Amour & Vérité" est une association apostolique qui émane de La Communauté de l'Emmanuel. Elle se propose de répondre aux questions que posent l'amour, la sexualité, la vie de famille et la bioéthique.

Cette association devrait donc se préoccuper du sort de la famille des patients qui ont été jugés, pour des motifs sordides, pour ne pas les dire crapuleux, "en fin de vie" parce que "voués à une inéluctable plus grande aggravation", ainsi que l'a expressément stipulé l'expertise médicale du neurologue François Chedru de façon délibérément mensongère dans le cas de mon père - mensongère de son propre aveux - alors qu'il a prêté non seulement le serment d'Hippocrate en tant que médecin mais aussi "assermenté" en tant que médecin expert. Mais en France, où règne la ploutocratie, il n'y a ni contradiction ni mal à cela, bien que ce soit en principe, mais en principe seulement, passible de lourdes condamnations pénales.(voir à ce sujet, sur ce blog l'article n° 108281777 html et ceux relatifs à l'euthanasie)

Les actions déstabilisantes dont j'ai été la cible après mon intervention de la part du Conseil de l'Ordre des médecins et de l'AP - HP responsable de cette entourloupe ont interdit, du moins momentanément j'espère, la mise en chantier d'un procédé innovant bien plus économique, écologique et efficace que les classiques constructions de barrages pour récupérer l'inépuisable et gigantesque gisement d'énergie que représentent les marées tout le long de la côte atlantique française, de Dunkerque à Biarritz (et bien au delà)

Les susdites actions ont été pour moi et une Consœur très dommageables : non seulement j'avais, par mon intervention, pu sauver la vie de mon père, mais par là-même été à l'origine de la découverte, ou plutôt de la redécouverte, d'un important syndrome neurologique découvert en 1973 (selon les uns, 1978 selon les autres) mais fâcheusement oublié depuis.

Important non seulement par le grand nombre de malades concernés, mais parce qu'à cette époque il était trop souvent confondu avec la maladie d'Alzheimer, alors que ce syndrome est de même nature que la maladie de Biermer, se traitant pareillement et aussi bien que celle-ci.

Ce syndrome est en outre deux à trois plus fréquent que la maladie de Biermer, qui elle-même touche 3 à 5% des personnes âgées de plus de soixante ans (7% d'après le Pr. Dollfus). Il importe donc de savoir qu'il est accessible à un traitement très simple et économique, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer parce qu'il n'en est qu'une forme clinique, mais trompeuse, puisque contrairement à la maladie de Biermer, ni le test de Schilling ni même une vitaminémie B12 normale ne le met en évidence (d'après le Dr. Michel Serdaru dans "La maladie d'Alzheimer et autres démences", Flammarion Médecine-Sciences, 1991).

Après avoir été dénommé "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal", depuis que la commercialisation du test de Schilling a été abandonnée en 2003, ce syndrome a en France pris le nom de "syndrome NDB12PP", et de "cobalamin malabsorption syndrom" dans les pays anglo-saxonse).

Or c'est l'inattendue résurrection de mon père sous l'effet du traitement de la maladie de Biermer qui a en 1990 mis le feu aux poudres. Elle avait forcé les cliniciens qui avaient cherché à me faire passer pour un fou et un criminel après que mon père a porté plainte, à reconnaître la réalité.

Outre que leurs démarches visaient à nier une réalité dérangeante, avant de me priver de cette découverte et de me déstabiliser, elles ont lourdement sapé ma crédibilité lorsque j'ai voulu, en 2012, faire part aux autorités responsables d'une autre découverte, d'une tout autre nature, puisqu'elle concerne un procédé technique qui permettrait à la France de relancer son économie via la récupération de l'immense et quasi inépuisable potentiel energétique des marées.

Il s'agit d'un procédé qui rend la récupération de cette énergie non seulement possible sur 300 mètres de retenue, comme il en est avec l'usine marémotrice de la Rance, mais sur des centaines de kilomètres, de Dunkerque à Biarritz, pour un côut presque aussi dérisoire à l'échelle du pays que le traitement du syndrome NDB12PP à l'échelle de l'individu.

Le traitement du syndrome NDB12PP ne côute en effet que le prix de deux ou trois paquets de cigarettes, hormis les cas où, comme dans le cas de mon père, tardivement traité, le malade nécessite une assistance médicale au long cours du fait de la perte de son autonomie, perte consécutive aux séquelles motrices engendrées par ce retard, si et quand le malade n'est pas entretemps décédé, ainsi que cela avait failli être le cas pour mon père.

Il ne m'en avait coûté que 9 francs et quelques 39 centimes de cobalamine Labaz* pour sortir mon père du coma et d'un délire spécifique souvent sinon toujours attaché à la maladie de Biermer, un délire par lequel mon père ne me reconnaissait plus comme son véritable fils, mais comme un imposteur attaché à sa disparition, un envoyé du Pr. Vitwoët, qui en avril 1984 lui avait posé une prothèse de hanche, plus 2,5 francs, le prix de trois seringues, cependant qu'il était très chèrement hospitalisé depuis six semaines, dont trois dans un Service de neurologie se réclamant de l'excellence dans le traitement des maladies neurologiques dégénératives, puis de l'INSERM pour ses Recheches sur les possibilités des B vitaminothérapies dans ces affections.

Or si désormais le syndrome NDB12PP est enseigné à la Faculté de Médecine, et donc bien connu des nouvelles générations de médecins, il reste encore largement méconnu de la plupart des médecins généralistes des anciennes générations, voire de certains gériatres ou de certains neurologues, ainsi que j'ai pu m'en rendre compte en me livrant tout dernièrement à un sondage téléphonique. Même les très populaires vulgarisateurs de la médecine que sont Michel Cymès et Marina Carrère d'Encausse, qui animent "Le Magazine de la Santé" sur France 5 n'en ont parler ni daignent en parler pour le faire connaître, malgré maintes invitations à le faire de ma part. Comprenne qui pourra.

Mais l'explication réside sans doute dans le fait que mon père s'en était pris dans sa plainte non pas à Olivier Ille et aux neurologues de Bicêtre qui l'avaient chargé de faire en sorte que le traitement de la maladie de Biermer ne lui soit pas vraiment administré? sauf un faux-semblant, mais aux médecins-actionnaires de la Clinique Léon Elmelik, cette Clinique se vouant à son cash-flow en préservant les intérêts de l'AP - HP et du CNTS, intérêts qui vont de pair avec les siens.

La conférence du Dr. Olivier Ille, sur le thème "Prends soins de lui" au cinquième Rassemblement d'Amour et Vérité, les 15 et 16 mars 2014.à Paray le Monial est donc une parfaite tartuferie.

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19 mars 2016 6 19 /03 /mars /2016 16:08

Comment, mais surtout pourquoi les neurologues qui avaient mon père en charge depuis le 2 août 1990 à l'hôpital Bicêtre avaient-ils donner l'ordre au Chef de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix, quand ils l'y ont fait transférer le 22 août, de ne faire que semblant de lui administrer le traitement de la maladie de Biermer, une maladie rapidement mortelle sans son traitement spécifique.

Pourtant, il souffrait réellement et de façon cliniquement manifeste d'un syndrome neuro-anémique, un tableau clinique sévère de sclérose combinée et une glossite de Hunter, une symptômatologie non seulement quasiment synonyme de carence vitaminique B12 décompensée, mais à l'époque considérée être à 80% en rapport avec la maladie de Biermer

Autrement dit, qu'il se soit agi de la maladie de Biermer ou d'une des autres causes plus rares de carence vitaminique B12 telles que celles qui sont énoncées par Hélène Ogier de Baulny dans son excellent traité sur les vitamines publié chez Masson en 1987.

(Masson & Cie.  Les Vitamines : aspects métaboliques, génétiques, nutritionnels et thérapeutiques / sous la direction de Arnold Munnich, Hélène Ogier, Jean-Marie Saudubray, pages 251 à 281, qui n'omet pas de rapporter en bibliographie  Kolhouse & al, New Engl. J. Med.  299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin". 1978 

Les neurologues du CHU Bicêtre avaient ainsi majoré la situation déjà très compliquée qui était alors la mienne. Une situation que m'avait léguée le médecin traitant de ma mère, le Dr. Henri Ximenès, un néphrologue parisien, cependant qu'un psychiatre-psychanalyste s'était déjà mêlé deux ans plus tôt, en février 1988,  d'inciter mon épouse (elle avait été à l'hôpital Sainte-Anne son élève dans les années 1970) de demander le divorce après qu'elle lui a raconté que je l'avais, en 1981, empêché de se soigner cependant qu'elle qu'un ORL de l'hôpital Paul Brousse (le docteur Edmé Deboise était aussi le Trésorier du Conseil de l'Ordre du Val-de-Marne) lui avait à tort fait croire qu'elle risquait une paralysie faciale.

Or j'ai depuis bien des raisons d'avoir une dent contre les membres du Conseil de l'Ordre des médecins, et plus spécialement pour ceux du Val-de-Marne (voir infra pourquoi.)

Le Dr. Deboise l'avait en février 1981 complètement paniquée.

Il lui avait diagnostiqué chez elle une otite chronique, l'avertissant à tort qu'elle risquait une paralysie faciale cependant que je lui avais dit, à raison, qu'elle souffrait d'une otite virale - très douloureuse certes - mais en voie de guérison spontanée.

Depuis cette époque elle avait changé d'attitude envers moi : tout ce que je pouvais dire ou faire devenait stupide à ses yeux, contrairement à ce qu'il en était auparavant. Un exemple parmi bien d'autres: passant en avril 1986 au pied du glacier du Mont-Blanc, que nous avions visité l'an passé, je lui rappelle qu'il s'écoule à la vitesse d'un quart de mètre par jour. Elle me reprends en haussant les épaules, et porte le regard vers le ciel l'air accablée par ma sottise, dodelinant de la tête en signe de pitié. Quelques millimètres par siècle ! s'écria-t-elle. J'eus alors encore le tort d'arrêter la voiture, de me garer et pour me procurer  le depliant à la disposition des touristes qui empruntent le Train du Montenvers. Il y était bien affirmé que le glacier s'écoulaiit à la vitesse que j'avais dite. Ce qui augmenta encore sa pitié : j'attachais de l'importance à ce qui n'en avait aucune !          

Deux ans plus tard? le 13 juillet 1988le docteur Henri Ximenès m'avait non seulement fait savoir qu'il refusait de continuer d' être le médecin de ma mère au prétexte qu'elle était "bonne pour l'hôpital psychiatrique" (sic) !  

Il avait depuis fallu que je m'occupe moi-même du traitement de ma mère. Cela m'avait conduit à rechercher sa dernière ordonnance

D'après celle-ci, il lui avait prescrit un traitement antihypertenseur, un traitement anticholestérolémique, des tranquilisants (du Valium 5* 3/jour et du Laroxyl*.

Or depuis trente-quatre ans ma mère se rendait très régulièrement à son cabinet parisien, situé dans le 17e arrondissement. Mes parents habitant à l'Haÿ-les-Roses depuis 1964, elle devait s'y rendre en prenant d'abord le bus jusqu'à Paris, puis le métro. 

Elle navait pas voulu changer de médecin parce qu'elle avait en lui une confiance aveugle cependant qu'il ne faisait guère que lui renouveler ses ordonnances de tranquillisants, en sus de son traitement antihypertenseur (Aldomet*) et hypocholestérolémiant (Lipavlon*). On peut dire que sa confiance avait quelque chose d'aveugle. Atteinte de cataracte, son acuité visuelle était tombée à un dixième, d'après un bilan ophtamologique fait deux an plus tard, avant qu'elle ne soit opérée de la cataracte à Bicêtre par le Pr. Offret. Ni elle ni le Dr. Ximenès ne semblaient s'être aperçu que sa vue était si basse. 

Il m'avait fallu entretemps lui trouver un successeur moins rejetant et plus commode, en l'occurrence trouvé chez une généraliste exerçant à Cachan, à deux cents mètres de chez elle.

Des traitements qu'il lui avait ordonné, j'avais pU prendre plus précisément connaissance en retouvant toutes ses ordonnances, pieusement conservées qu'elles étaient dans un carton à chaussures.

Dans les premiers temps, dans les années 1950, ma mère avait eu droit à la Vériane Buriat*, au Gardénal*, à la Natisédine * ainsi qu' à l' Equanil*, puis, dans les années 1960, ce fut le tour du Librium*, de l'Atarax*, du Valium 5*, du Lexomil*, du Xanax*, du Tranxène, sans compter les somnifères tel le Rohypnol*, et j'en passe.

Au total 137 grammes de Valium * lui avaient été administrés en 1988.

Plusieurs de ces molécules figuraient souvent sur la même ordonnance. En réalité toute la gamme des benzodiazépines était représentée, histoire sans doute de ne pas toujours reconduire la même ordonnance?

Mais le Valium 5* était depuis qu'il avait paru sur le marché une constante. Ce qui m'avait conduit à penser, ainsi que j'en ai fait part au Professeur François Piette en 1993, lorsque ma mère a été hospitalisée dans son Service, que l'émergence de la maladie d'Alzheimer pouvait avoir un rapport avec la prescription exagérée des benzodiazépines.

Alors qu'il n'était pas psychiatre, dans la dernière de ses ordonnances, le docteur Ximenès s'était permis d'adjoindre à ces tranquilisants du Laroxyl*, une association connue pour être potentiellement "explosive".

Cette adjonction fut effectivement suivie d'état psychotique transitoire, une "bouffée délirante" à travers laquelle l'ex patiente du Dr. Ximenès  sembla (enfin) avoir pris conscience de certaines réalités jusque-là moins conscientes ou plus ou moins volontairement tenues sous silence parce que "inavouables".

Mais j'y pense : ne serait-ce pas parcequ'elle les avaient exprimées que le Dr. Ximenès l'avait rejetée ? Ce qui expliquerait qu'il l'ait soudainement trouvée "bonne pour l'asile psychiatrique", car c'est assez souvent ce qui se produit quand une personne se met à dire ce que l'on préfère ne pas entendre ?

J'avais téléphoné au docteur Henri Ximenès la veille du 14 juillet. En guise de réponse, outre qu'il m'avait dit que ma mère était "bonne pour l'asile", il m'avait fait savoir que j'étais, moi, paranoïaque (sic, d'où le titre de cet article.)

Dont acte. Sans doute le suis-je, mais avouez qu'il y a de quoi l'être. Mais on admet aujourd'hui que tout le monde est peu ou prou "paranoïaque", ainsi que l'avait déjà fait remarquer Schopenhauer en avançant que toutes les théorisations étaient projectives. 

De fait, son diagnostic téléphonique a été confirmé six ans plus tard, dans la lettre qu'adressa le 10 janvier 1994 le Dr. Patrice Bodenan, médecin anesthésiste (Cf. sa carte de visite sur le site 34640255), dépêché par l'Ordre des médecins pour "instruire" (c'est-à-dire pour étouffer)la plainte que mon père avait adressée le 17 décembre 1990 au procureur de Créteil pour non-assistance à personne en danger de mort (voir à  "omerta et ordonnance de non-lieu" sur le Web). Sa  plainte était relative aux très mauvais traitements (au sens strict) dont lui-même avait été cette année-là l'objet de la part des médecins de la Clinique Léon Elmelik, sise à l'Haÿ-les-Roses, cependant qu'il ignorait que cette Clinique était en accointance avec le Service du Pr. Gérard Saïd, spécialement protégée qu'elle était en "hauts lieux" (selon la police au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, qui s'en était ouvert à moi pour s'en plaindre ! ) par ledit procureur (c'est-à-dire par Michel Barrau, c'est-à-dire par l'Etat) pour les "services" qu'elle rendait au CNTS et à l'AP - HP (notamment aux responsables "mais non coupbles" des quelques 25000 contaminations transfusionnels par le VIH .

Le service que cette Clinique rendait alors au CNTS et à l'AP - HP consistait à éliminer discrètement (pour ne pas dire exter'miner) les malades anciennement contaminés par le VIH (contaminés dans les années 1983-84-85) du fait que les transfusions de sang étaient alors quasiment toutes contaminés et contaminantes 
(Cf. docteur Anne-Marie CASTERET "L'affaire du sang", aux éditions La découverte, 1992, mais toujours disponible chez votre libraire. Or mon père en faisait partie(il avait été transfusé en avril 1984).

Ce "service" sera assuré non moins discrètement qu'il ne l'avait été en août 1990 à Bicêtre dans le Service du Pr. Saïd par le même Dr. Olivier Ille, cette fois en 1997 au CHU de Mantes le Jolie après le changement de propriétaires de cette Clinique, survenu en 1995 (elle était à vendre depuis 1990)


1995 est comme par hasard l'année de la création de l'espace éthique de l'AP - HP à l'hôpital Bicêtre, un "espace" créé, d'après "Le Quotidien du Médecin" sous l'autorité du Pr. Gérard Saïd, membre de l'IFREM, et de ce fait considéré comme garant de l'Ethique médicale juive, conjointement (ou concurrentiellement) avec le très catholique Alain Cordier, comme l'est aussi le docteur Olivier Ille.

Dans le Service du CHU de Mantes la Jolie, Christine Malèvre exécutera ses ordres, ordres qu'Olivier Ille avait semblablement en août 1990 obtenu du Dr. Jean-Yves Beinis qu'il les suive à la lettre (manuscrite qu'il lui avait adressée, datée du 22) lorsqu'il fit transférer mon père dans son Unité de Soins dits "Normalisés" (Service appelé USN. Il avait passé la consigne de contituer à ne faire, comme précédemment à Bicêtre, que semblant d'administrer au malade qu'il lui adressait le traitement des carences vitaminiques B12 sévères, à savoir le traitement de la maladie de Biermer, une des principales causes des syndromes neuro-anémiques, dont le syndrome NDB12PP, carences plus ou moins rapidement mortelles lorsqu'elles ne sont pas traitées par une vitaminothérapie B12 drastique, au prétexte que le test de Schilling était à 35%, dont "normal" et la vitaminémie B12 à 225 pmol/ml don elle aussi (pour plus de précisions voir site-Web n° 34640255 et 108081777 html sur les circonstances occultes, et occultées, de la re-découverte en France, initiée par moi en 1990 à l'occasion de ces entourloupes, du syndrome NDB12PP, quand j'ai postulé l'existence du syndrome de carence vitaminique B12 compatible avec un test de Schilling soi-disant normal ET une vitaminémie B12 elle aussi normale (refait six mois plus tard le test de Schlling était à 5% et l'année suivante à 10%.
Cf. aussi sur le Net l'article "L'éthique de l'AP - HP et l'affaire Christine Malèvre"
Comprendre aussi pourquoi le docteur Laurence Kouyoumdjian, qui avait mis fin aux assassinats de malades à Mantes la Jolie ne fut nullement remerciée et honorée mais au contraire "priée" d'aller exercer ailleurs puisqu'elle avait transgressé la sacro-sainte loi du silence. Contrairement au docteur Olivier Ille, qui n'ayant rien vu ni rien signalé, a pu conserver son poste (Cf. supra)
Des (30) assassinats que Christine Malèvre avait entrepris de réaliser pour les beaux yeux son très cher Chef de Service Olivier Ille (Cf."Mes aveux", XO éditions).
En Tartuffe accompli, le docteur Olivier Ille a pris la parole le 15 mars 2013 à Paray Le Monial, au cinquième rassemblement d'Amour & Vérité, dans une conférence hypocritement intitulée "Prends soin de lui", conférence sous l'égide du diocèse de Paris.
Il suffit de composer "Amour & Vérité - prends soin de lui" pour en prendre connaissance
Notes sur la création de l'Espace Ethique de l'AP - HP :

- Création 1995 sous l'impulsion du Pr. Gérard Saïd.
- Fondateurs Alain Cordier, directeur général de l’AP-HP, Didier Sicard, conseiller du directeur,
- Direction de cet "Espace" (paradigme d' Ecart) dit "Ethique" : Emmanuel Hirsch, et Marc Guerrier,

Emmanuel Hirsch, né en 1955, n'est pas médecin, mais parait-il philosophe (Thèse de doctorat "Morale, éthique, la figure médicale" soutenue à Tours en 1988 sous la direction de Francis Kaplan. L'Agence Bibliographique de l'Enseignement Supérieur (ABES) en publie le résumé de la façon suivante : "Observation et analyse de la pratique médicale moderne, confrontée à des situations d'exposition éthique sans précédant (sic) qui posent en pleine post-modernite (resic) - et en l'actualisant - la question morale et ses enjeux. Où se situe la tradition morale médicale, confrontée à une infinités de possibles? Comment réguler les procédures en vigueur tant au plan de la recherche biologique que dans le domaine des conséquences pratiques? Exploration de l'ordre qui se met en place, révolutionnant les conceptions relatives à l'homme, le sens de sa destinée, son devenir."

Ce "résumé" ne vous en bouche-t-il pas un coin ?

Emmanuel Hirsch serait (d'après Wikipédia) le frère de Martin Hirsch, l'actuel directeur de l'AP - HP. Pas plus que le cardinal Barbarin les frères Hirsch ne sont disposés à dénoncer les violences sexuelles et les assassinats de malades commis par les médecins de l'AP - HP. Ne serait-ce pas pourquoi l'AP - HP avait en 1995 confié à Emmanuel Hirsch la charge d'enseigner l'éthique médicale, sachant qu'il est l'acolyte du Pr. Gérard Saïd de par ses relations avec lui au sein de l' IFREM (Institut de Recherches en Ethique Médicale juive), éditeur de la Revue "Médica Judaïca", une Revue présidé par Emmanuel Hirsch. Dans son numéro de mars 1991 (n° 21) cette Revue énonce les principes talmudiques de la Gneeva Daath, énoncés par le JAMA de mai 1989, et rappelés par le Professeur Msika dans ce numéro de Médica Judaïca.

Selon le JAMA (Journal of American Medical Association), la Gneva Daath interdit la tromprerie parce que potentiellemnt létale pour qui en est la cible!

NB : Selon Wikipédia, Emmanuel Hirsch est le frère de Martin Hirsch, l'actuel directeur de l'AP - HP. Il s'est vu confié en 2010 en tant qu'il est le directeur de l'Espace Ethique de l'AP - HP le développement de l’Espace national de Réflexion Ethique sur la Maladie d’Alzheimer (EREMA), et en 2014, l’ EREMA a été désigné pour ouvrir son champ de compétences aux maladies neurologiques dégénératives.

Quand je l'ai rencontré, j'ai eu la surprise de l'entendre dire au sujet de mon père qu'il "connaissait par coeur son histoire" ! A quel titre, et comment pouvait-il "connaître par coeur" son histoire clinique alors qu'il ne l'a jamais rencontré, et qu'il n'est pas médecin ?

Probablement par sa proximité avec le professeur Gérard Saïd, qui m'avait en 2004 menacé de procès en diffamation et fait accuser par la direction de son CHU, via madame Isabelle Pilot, d'avoir "fabriqué" (sic) la maladie de mon père "par antisémitisme" (resic) parce que je m'étais étonné qu'il ait, depuis toujours, déclaré "perdu" le dossier de mon père, pour ne pas avoir à me le communiquer cependant qu'il avait laissé les médecins de la Clinique Léon Elmelik, via le docteur Patrice Bodenan, en prendre connaissance en 1992. Des médecins contre lesquels mon père avait porté plainte en décembre 1990 ! Isabelle Pilot m'avait reproché le mois précédant (en mai 2004) de "ne pas savoir faire le deuil de la mort de mon père (sic). Ce qui avait eu le don de me hérisser le poil étant donné que depuis toujours je trouve que l'expression "faire son deuil" est une sonnerie.

Cette accusation faisait obligation, en vertu de l'article 40 du CPP, à Gérard Saïd comme à la direction de Bicêtre, qui avaient délégué à Isabelle Pilot le soin de me contrer, d'en faire le signalement aux autorités judiciaires.

Pourquoi le Professeur Gérard Saïd la direction du CHU Bicêtre n'ont-ils pas donné suite à leur accusation ?

Pour sa part le Professeur Didier Sicard, auteur de "L'alibi éthique" (Plon 2006) était évidemment alors et depuis longtemps au fait de ce à quoi correspondait ce qui s'était passé à Bicêtre en 1990 dans le Service du Pr. Saïd, tout aussi bien que de ce qui s'était passé en 1997 dans le Service du Dr. Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie. Une affaire à propos de laquelle on pouvait entendre dire que l' "On" n'avait "rien à craindre, puisqu'On "tenait la Médecine, la Presse et la Justice" (de fait, mais "On", qui c'est t'Y ?)

Wikipédia affirme que depuis 1986 Emmanuel Hirsch a été continuellement engagé dans diverses "structures associatives" (l'IFREM ?) en rapport avec l'autisme (l'IFREM , le sida, l'accompagnement en fin de vie et les maladies dégénératives.

Wikipédia oublie de préciser qu'il était aussi membre de l'IFREM et qu'il présidait le "comité scientifique" de la Revue Médica Judaïca.

CQFD

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15 mars 2016 2 15 /03 /mars /2016 18:35

Le diocèse de Lyon pas plus que le CNOM n'a fait régner

la loi du silence habituellement infligée aux enfants victimes d'incestes et de violences pédophilocratiques perpétrées par des prêtres, des médcins ou des psychanalystes.

Pour accéder au refoulé, cause de blocages névrotiques, les psychanalystes freudiens invitent les "analysés" (aussi appelés analysands chez les lacaniens) à associer "librement" tout ce qui leur vient à l'esprit, sans rien censurer, excepté ce qui contrevient à orthodoxie psychanalytique du Complexe d'Oedipe, "pierre angulaire" de la mystique freudienne, soutenue par le psychiatre-psychanalyste Alain de Mijollasur laquelle la mystique et l'exercice de la profession se fondent (j'en parle d'expérience).

La méthode vaut aussi pour accéder au "refoulé" et aux cachotteries de l'Institution freudienne que Jeffrey Moussaïeff Masson avait commencé par mettre à mal dans les années 1980 (Cf., à défaut de pouvoir lire le livre de JM. Masson,  lire Janet Malcolm "Tempête aux archivers Freud" 1986 édité aux P.U.F., et Michel Meignant "L'affaire Freud", sur le Web.

Je conseille donc aux lecteurs de cet article d'essayer l'association de maux Omerta à Viols et à Ordre des Médecins sur son moteur de recherche.

Sur Google, outre que ces termes renvoient à la "scène primitive" (cause du complexe des dupes), ils renvoient en bas de page au site de "L'échappée", qui traite de la "mémoire traumatique".

Ils confirment que l'omerta sur inceste et la pédophilie est intrinsèque aux institutions psychanalytiques restées fidèles à Freud (Cf. 2013 Muriel Salmona  "Le livre noir des violences sexuelles" éd. Dunod)


Lire ces articles serait presque une réponse au problème de l'omerta s'ils pointaient plus précisément la responsabilité des "psychanalystes" freudiens tels Roger Perron et Samuel Lepastier, ou mieux encore celle du Père Tony Anatrella (Cf. Golias news.fr) pour ne citer que ces trois freudiens pas tentés de faire la lumière sur le rôle joué par eux-mêmes et leurs semblables dans la perpétuation du musellement des enfants victimes des "acting" de la pédophilocratie (Cf. aussi  Catherine Bonnet "L'enfance muselée2007 éditions Moll, Toulouse.


Le psychiatre-psychanalyste Pierre Sabourin (Cf. 1990 "La violence impensable" aux éditions Nathan) prétend dénoncer la pédophilocratie alors qu'il s'en fait "inconsciemment" l'instrument et le propagandiste en faisant siennes les arguties (la connaissance des avatars du complexe d'oedipe) que le fumeux docteur Ernest Jones, lui-même amateur de chaires fraiches, avait fabriquées à l'intention de Sigmund Freud.

Jones s'était empressé de le rejoindre depuis le Canada où il s'était exilé pour échapper à la justice de son pays, l'incitant à lui emprunter le concept-alibi (devenu depuis un concept phare-à-minus) des fantasmes œdipiens pour l'appliquer au cas d'Hamlet comme au cas du "petit Hans" ("cas" publié après sa rencontre avec ledit Ernest Jones.)

Jones avait rejoint Freud sitôt qu'il a compris le rôle que celui-ci pourrait jouer en sa faveur comme en faveur de tous les amateurs de tendrons, et parmi eux une grande proportion de psychanalystes (ce qui rend compte de l'interdiction qui encore récemment a frappée, en France, la réedition des recherches de Jeffrey Moussaëff Masson sur le sujet (Cf. "Assault on Truth"), réédition rendu indisponible (Cf."L'affaire Freud" publiée sur le Web par le psychiatre-sexologue Michel Meignant)

Freud, qui avait déjà vendu son âme à la pédophilocratie, s'était empressé de mordre à l'hameçon (à l'âme-çon, par application de langage-ment structuré comme Jacques Lacan) l'appliquant au cas de Hans, le fils de ses amis, le docteur Max Graaf et d'Olga Honig.

(Lacan avait parfaitement compris à quoi correspondait l'équation freudienne, "racine carrée de moins un"; Freud n'avait pas su la résoudre, alors qu'elle transparaît à l'analyse de ses cauchemars comme à l'analyse de sa doctrine, à savoir qu'elle est fonction de son Unbewusst (lire Schopenhauer,  l'Abrégé de psychanalyse et le "Moïse et le monothéisme").

Sigmund Freud avait Olga Honig "en analyse" quand il incita Max Graaf à l'épouser. Freud se mêlait en effet de faire et de défaire à sa guise - à son profit - les mariages (Cf. 2002, Jacques Bénesteau, "Mensonges Freudiens", aux éditions Mardaga.)

L'omerta pédophilocratique, omniprésente depuis Freud, n'existait apparemment pas ou beaucoup moins du temps du marquis de Sade.

Celui-ci avait été embastillé sur la foi des déclarations d'une de ses victimes, une "femme du peuple" (d'après mes souvenirs des écrits biographiques de Gilbert Lely sur le divin marquis.)

En témoigne aussi la liberté laissée par le quotidien "Le Monde" au psychiatre-"psychanalyste" Samuel Lepastier de tenir des propos à l'évidence négationistes sur les violences X subies par les enfants dOutreau (Cf. Marie-Christine Gryson-Dejehansart Outreau, la vérité abusée, Hugo & Cie éditeur, octobre 2009), et de la part de ce même journal, sa position par rapport au père Tony Anatrella, "psychanalyste".

Jacques Arènes, jésuite et lui aussi "psychanalyste", auteur de "Dépasser sa violence" (aux éditions de l’Atelier, 2001), et de "La parole et le secret" (aux éditions Desclée de Brouwer, 2003), avait dans une conférence sur les violences adolescentes évidemment "oublié" de parler du rôle jouer par les prêtres quand ils profitaient de leur fonction de "Père" envers les jeunes paroissiens pour doucereusement satisfaire leurs penchants "pulsionnels" à l'origine des violences de ces jeunes une fois devenus adultes.

Les auteurs de "Spotlight" stipulent que les diocèses catholiques comptent en moyenne 6% de prêtres qui se livrent à la prédation dite "pédophilique".

Ce n'est pas pour moi un "scoop", mais il serait bon aussi que l'on sache qu'une même proportion de médecins s'y livre ...

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