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12 juin 2015 5 12 /06 /juin /2015 21:48

Je sais ni pourquoi ni comment le présent article, premièrement publié le 12 juin 2015, se retrouve actuellement sur mon blog placé en tête, même lorsque j'en publie de nouveaux ?

Mystère.

C'est aujourd'hui le 8 avril 2024 toujours le cas depuis plusieurs mois, mais le matin 21 janvier 2024, ça ne l'était pas, et j'avais attribué la chose au fait que j'avais entretemps publié sur ce blog  "Une histoire insolite et périlleuse à raconter",  qui fait état de ce qu'un mandarin de l'AP-HP, le Pr. GérardSaïd, pour ne pas le nommer, Chef du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, avait dû la trouver insolente à son égard.

Le 24 septembre 2004, lors d'une pseudo "Commission de conciliation hospitalière" qui s'était tenue en présence du Pr. Patrick Hardy, psychiatre Chef de Service à l'hôpital Bicêtre et de Mme Isabelle Pilot "chargée des relations de l'hôpital avec la clientèle" (sic), alors que je venais de faire remarquer que l'infirmière Christine Malèvre s'était vue l'année précédente condamnée à 12 ans d'une peine de  prison pour l'assassinat de six malades dans le Service de pneumoneurologie (sic) sans que son patron, le Dr. Olivier Ille ne s'en soit ému pour ne pas s'en être rendu compte alors qu'en août 1990 Interne dans le Service du Pr. Saïd il s'était chargé de faire jouer au Dr. Jean-Yves Beinis (sans y parvenir "par ma faute") le rôle qu'avait joué Christine Malèvre au CHU de Mantes la Jolie, ledit Professeur Saïd m'avait fait accusé via Isabelle Pilot, c'est-à-dire en fait par lui et la direction de son hôpital, "d'avoir moi-même 'fabriqué' la maladie de mon père ... par  antisémitisme ! "  m'avait en réponse à cette remarque menacé des tribunaux en pensant qu'il allait ainsi me faire peur et abandonner la partie.  

Or ni lui ni l'hôpital Bicêtre n'ont donné suite à cette "menace", qui se voulait terrifiante, cependant que dès lors que cette accusation avait été proférée l'article 40 du CP les y obligeait.

Ce n'est sans doute une IA qui va pourvoir l'élucider ce mystère, parce qu'elles sont C. comme la lune, d'après ce que j'ai pu constater il y a quelques jours quand l'une d'elle, celle de Bing, n'a pas su faire le rapprochement entre "le syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" et "le syndrome NDB12PP" 

Mais voilà qu'elle sait très bien le faire le lendemain, et de manière très concise, claire et instructive pour les neurologues du mandarin qui n'avait pas su (ou voulu) le faire quand ils ont traité mon père par du Prozac* au lieu de le traiter conformément au diagnostic de maladie de Biermer qu'avaient porté les Urgentistes des Lits-Portes de l'hôpital (dont Antoine Moulonguet, alias Antoine Sénanque) et conformément à ce que je leur avais dit de faire avec raison, c'est-à-dire par l'administration intensive de vitamine B12, la maladie de Biermer étant inéluctablement mortelle et douloureuse sans son traitement spécifique, qui est en outre aussi efficace que peu coûteux et sans danger !

Comme quoi les IA sont capables d'apprentissage avec le temps, en fonction des questions qui lui ont été posées ? 

De là à ce qu'elles finissent par développer une conscience d'exister, c'est une autre histoire.

Mystérieux aussi le fait qu'un des articles les moins visités - celui sur la Pierce Arrow de Nikola Tesla propulsée par un moteur électrique alimenté par l'énergie du vide - se soit soudainement retrouvé en tête de ceux qui le sont le plus souvent.

Aussi l'ai-je déplacé pour essayer de le placer devant celui-ci, qui semble n'avoir eu que très peu de visiteurs, contrairement ce qu'il en est actuellement, sans doute moins parce qu'il est spécialement recherché que parce qu'il apparaît plus souvent en première page des moteurs de recherche quand on a l'heur de tomber sur un des articles du blog de leon, ce qui m'oblige à le remanier et à le compléter pour donner une meilleure compréhension aux problèmes rapportés, à moi-même comme à mes lecteurs.

Or l'article "Psychanalyse de l'antisémitisme"  reste malgré ça en tête de liste !?  

Le titre "Psychanalyse de l'antisémitisme" est celui qui avait été  l'intitulé du thème d'un Colloque de l'AIU (l'Alliance Israélite Universelle) qui avait eu lieu en novembre 2002, auquel je m'étais rendu non pas parce que je suis juif - bien que ma famille maternelle soit juive de A à Z - mais parce que je venais de lire "Mensonges freudiens", du psychologue toulousain Jacques Bénesteau. Son livre venait de paraître en Belgique chez Mardaga parce que les vingt-six éditeurs français auxquels il avait adressé son manuscrit l'avaient refusé (c'est ce qu'il m'avait-il fait savoir en réponse à la lettre de félicitation que je lui avais immédiatement adressée après l'avoir lu, heureux qu'il était d'apprendre par cette lettre - ou par moi ensuite au téléphone - que son livre figurait en bonne place en face de la Sorbonne sur l'étal de la librairie du PUF Boulevard Saint-Michel. Son livre étant une violente charge contre Freud et les "psys" freudiens, la très freudienne Elisabeth Roudinesco taxa immédiatement son auteur d'antisémitisme, comme elle le fera aussi huit ans plus tard de Michel Onftay quand il a fait paraître "Le crépuscule d'une idole", tant il est inconvenant voire "interdit" en France de médire du parrain du complexe d’œdipe (mieux dit le complexe des dupes)  

Je m'étais demandé si au Colloque de l'AIU il allait être question de ce livre, qui passait Freud au vitriol, au point que Bénesteau lui faisait dire ce que l'inventeur de ce complexe professait en privé, à savoir qu'avec les malades mentaux il fallait faire ce qu'avaient fait les nazis: les supprimer ! Non pas tout à fait à leurs manières, mais en les noyant dans des cargaisons (de mémoire ils sont en exergue à l'entrée du chapitre X, XI ou XII, où d'un autre au milieu de ce très savant bouquin - il a été élu "Livre du mois" en décembre 2002 par le magazine scientifique "La Recherche".  Un bouquin que je tenais à portée de main mais aujourd'hui samedi 30 décembre 2023 je n'arrive à le retrouver. Depuis l'arrivée de Thérèse ce n'est pas moi qui l'ai rangé, mais cette amie venue chez loi "faire du rangement", et ni elle ni moi savons où elle a bien pu le mettre derrière les piles de livres qui sont entassés dans mes placards. Elle dit de mes livres qu'ils "encombrent inutilement mon appart au point qu'une vache n'y retrouverait pas son veau". D'après "SAVOUR-EUreusement" citant l'entrée "Vache" du Grand dictionnaire universel du 19ème siècle Larousse 1876  Volume 15 page 715 cette expression est aussi employée pour qualifier une affaire embrouillée et complexe, autrement dit une affaire "Vachement compliquée", ce qu'est effectivement l'affaire qui est à l'origine de la plupart des articles publiés sur le "blog de leon", aux ramifications tellement nombreuses qu'il faut plus d'un article pour les exposer, les expliquer et les comprendre alors qu'au départ elle résulterait d'une "simple erreur d'appréciation" * . C'est ce que serait le secret remplacement du traitement de la maladie de Biermer par du Prozac* alors que ce remplacement était et se voulait mortel sans avoir pu l'être du fait que j'avais été en mesure de le contrecarrer en rétablissant à temps le vrai traitement de cette maladie après que cette supercherie mortifère m'a été révélée à temps par les infirmières qui avaient été chargées de l'appliquer !

* "Une simple erreur d'appréciation", dixit à moi le 27 avril 1992 Frère°°° le Dr. Patrice Bodenan, un faux Conseiller-Rapporteur du Conseil Départemental de l'Ordre des Médecins du Val-de-Marne, dépêché son président pour tâcher de l'étouffer en me menaçant de représailles ordinales (voir sa lettre au Dr. Jean Penneau publiée sur le Web dans le présent blog)

Mais pour en revenir à nos moutons, ledit Colloque était présidé par le pédo-psychiatre et psychanalyste Georges Gachnochi, qui le premier prit la parole pour fustiger les journalistes juifs du journal "Le Monde" qui se permettaient de critiquer la politique d’Israël, attribuant la critique qu'ils faisaient du gouvernement israélien à "la haine de soi d'être juif" (sic).

Le psychanalyste Daniel Sibony faisait partie du bureau, avec Charles Melman, Janine Chassguet Smirgel et Emeric Deutsch.

L'historien Alexandre Adler aurait dû faire partie du bureau  mais on a été prévenu en cours de séance qu'il n'avait pu revenir à temps d'un séjour en Chine communiste.

Quelques semaines après avoir écouté le discours de tous les autres membres du bureau, j'ai rencontré l'un d'eux, à savoir le psychanalyste Daniel Sibony, au Centre communautaire du 119, rue la Fayette, et lui fait quelques objections au sujet des effets de l'infidélité conjugale, dont il s'était ingénié à minimiser les conséquences.

Parce que ma mère en avait souffert, ma sœur et moi par ricochet durant toute notre vie, et finalement aussi mon père lui-même de façon inattendue à la fin de la sienne (Cf l'article < Des pratiques aussi bizarres qu'effrayantes de l'APHP > )

Il m'avait fallu "entrer en analyse" en 1973 pour tenter de comprendre, mais ce sont des confessions de mes parents? de mes grands-parents peu avant leur mort qui ont été les plus éclairantes, avec celles d'autres membres de la famille après leur mort !

Pour Michel OnfreyDaniel Sibony se prend  pour un Sage détenteur de l'ultime vérité, comme avant lui Sigmund Freud,

Avec lui on ne saurait donc pas discuter  à "Ce soir ou jamais", une émission de Fr. 3  animée par Frédéric Taddeï, qui l'avait invité.

J'ai conclu de ces ultimes confessions parentales et grand-parentales que  le donjuanisme est moins l'effet de la testostérone que de la nécessité chez les hommes qui ont dans leur enfance été sexuellement abusé de se prouver (et de prouver) qu'ils ne sont pas des femmes après qu'ils ont été pris pour telle dans leur enfance par un prêtre, un médecin où un père pédophile, ce qui arrive bien plus souvent qu'on oserait le penser, protégés que ceux-ci  se savent par la hiérarchie institutionnelle.

La première leçon qu'il m'a été donné de recevoir à ce sujet lors de mes études pour l'obtention d'un certificat de psychiatrie fut en 1973 celle du Dr.  Bernard Defer, chef d'un Service de psychiatrie à l'hôpital Paul Guiraud, qui nous fit part de l'expertise qu'il avait eu a mener au sujet d'un individu de 35 ans qui, se réclamant de la psychanalyse, sodomisait son fils de quatre ans afin le détourner de l'homosexualité !

Nous étions 7 ou 8 avoir pu bénéficier de cette leçon, et j'avais été le seul mâle à en avoir bénéficiée, alors que les autres étaient des étudiantes.

Dans les discussions qui s'en sont suivies entre nous au sortir de cette présentation de cas, elles en avaient conclu que dans cette présentation de cas le pervers était le Dr. Defer !   

La deuxième leçon significative sur le sujet m'a été donnée deux ans plus tard dans ce même hôpital lors du staff des mardis, auquel assistait habituellement, à titre bénévole, le psychanalyste François Roustang alors que personnellement j'y occupais un poste d'Interne dans le Service  "freudien" (dit institutionnel) de madame le Dr. Janine Piret-Pilachon.

Lorsque j'y ai présenté le cas d'un nouvel entrant de 73 ans en principe hospitalisé pour "dépression" j'y avais exposé que d'après l'entretien que j'avais eu avec lui il m'était paru beaucoup moins déprimé qu'inquiet au sujet de sa petite fille, une adolescente qui venait d'être hospitalisée à Sainte-Anne sur le diagnostic de suspicion de schizophrénie cependant qu'au cours d'une promenade dominicale il avait eu avec elle une aventure sexuelle avec celle-ci lors d'une halte au pied d'un arbre. Il avait éjaculé, mais sans qu'il ait eu pénétration, m'avait-il dit, et il craignait que sa petite fille vienne à en parler aux psychiatres de l'hôpital Saint-Anne. J'avais proposé que l'on en prévienne les psychiatres du Service où elle venait d'être hospitalisée à Sainte-Anne, mais s'était sans compter de ce qu'allait provoquer ma proposition dans l'assemblée : madame Piret s'est levée, visiblement angoissée, pour dire que l'entrant n'avait fait que rêver ce qu'il m'avait raconté, et lorsque j'ai soutenu qu'il n'avait certainement pas rêvé et me suis tourné vers François Roustang pour avoir son avis et vers l'ensemble des participants au staff, madame Piret a fait mine de me mettre sa main devant ma bouche, et tout le monde est resté coi, y compris François Roustang, qui s'est sur l'instant contenté de regarder fixement le bout de ses belles chaussures bien cirées, mais stupéfait de constater l'esprit de soumission des psychiatres freudiens à la doxa écrira l'année suivante "Un destin si funeste", qui situe les suiveurs de la doxa freudienne aux confins de la psychose. Il abandonnera la psychanalyse, qui stipule que les allégations d'incestes sont rarement véritables mais relèvent de fantasmes œdipiens "présents chez tout être humain" (dixit Roger Perron  page 801 du tome 1 du "Dictionnaire international de psychanalyse" paru en 2002 chez Calmann-Lévy pour se former à l'hypnose thérapeutique. 

Ma troisième leçon à ce sujet a été la courte réflexion que m'a fait en avril 1993 une des secrétaires du CROM de l'Île-de-France quand elle m'a remis le dossier relatif à la plainte de mon père contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik  : << Mon pauvre monsieur, pourquoi voulez-vous que que l'Ordre poursuive les violeurs et les pédophiles, il sont au Conseil de l'Ordre >>  alors que sa plaine n'avait pas trait à de telles exactions.      

Daniel Sibony, qui ne l'a apparemment toujours pas compris ou voulu le comprendre, y avait  fait l'apologie des petites entorses à la fidélité conjugale.


Gachnochi  avait en tant que président du bureau  prit le premier la parole

Gachnochi fustigea les journalistes juifs du journal "Le Monde".  
Il les accusait d'être affectés de "la haine de soi d'être juif", vieux concept emprunté Théodore Lessing, qui en aurait souffert jusqu'à s'en suicider.

Et après Georges Gachnochi ce  fut au tour de  feu la psychanalyste Janine Chasseguet Smirgel de prendre la parole, pour fustiger les Finlandais qui avaient  refusé de livrer des masques à gaz à Israël en 1990 (durant la guerre d'Irak) au prétexte qu'il s'agissait de matériels de guerre. 

Dans psychanalyse, il y a anal, et comme d'après Jacques Lacan l'inconscient  est structuré comme un langage, il n'y a rien d'étonnant à ce qu'elle se soit permis de faire du dramaturge et écrivain suédois Auguste Strindberg un malade resté fixé au stade sadique-anal.(bof)

Voltaire devait l'être aussi, qui avait, vers l'âge de 10 ans, peut-être comme Strindberg par ses grands-parents adoptifs,  été sodomisé par les Jésuites  (Cf. la Revue littéraire "Lire" de mai 2015, numéro consacré à Voltaire).

Après JCS
ce fut au tour du psychiatre-psychanalyste lacanien (un brin terroriste)  Charles Melman de s'exprimer (je ne saurais me rappeler ce qu'il a dit: Puis de feu le sociologue-psychanalyste franco-israélien Emeric Deutsch, qui raconta qu'il avait reçu dans son cabinet une demande d'analyse venant d'un ex nazi, qui à cause de son nom l'aurait pris pour un Allemand en affinité avec le nazisme !

Une occasion pour lui de faire in vivo  la "psychanalyse de l'antisémitisme".  

Preuve aussi que les nazis n'étaient pas du tout hostiles à la psychanalyse, "science juive" puisqu'un parent d'Hermann  Göring, aussi apparenté à Hitler, avait  été placé à la tête du Göring Institut, sans doute parce qu'Hitler et Göring y voyaient la possibilité de s'introduire dans l'intimité des familles, et donc un moyen de les contrôler pour mieux les assujettir à leur religion, vue comme rivale de la freudienne.  

Le suggère d'ailleurs  la lecture de Château en forêt  (de Norman Mailer).  

Freud et Hitler avaient effectivement bien des points communs, outre leur villégiature à Berchstesgaden,  leur . l'aversion envers les malades mentaux. 

"Die Patienten sind ein Gesindel" professait Freud,  qui confiait en privé  qu'ils étaient de "la racaille", qu'ils l'insupportaient, qu'ils ne servaient qu'à ses recherches et à le faire vivre, qu'il vaudrait mieux en faire des cargaisons pour les couler.

Ce qui conformément à la thèse René Girard faisaient de Freud et Hitler des "rivaux mimétiques", et à celle de Thomas Man, des jumeaux  en miroir, donc inversés et  antithétiques. Norman Mailer  voyait dans sa naissance incestueuse l'origine de la monstruosité d'Hitler  (pour le psychanalyste Pierre Lassus comme pour moi c'est là dessus que porte le message biblique,  bien que pour moi je le vois dans l'interdiction de consommer l'amour sur l'Arbre généalogique, ce qui en ferait l'arbre de mort et de complications à n'en plus finir, donc de la précipitation en enfer) 


Or Freud pourrait bien avoir été  le "fruit" d'un inceste père-fille. Jacob Nathansohn serait alors son père génétique, et Jakob Freud son père légal et adoptif, comme le suggère l'analyse de la psychanalyste Gabrielle Rubin dans  "Le roman familial de Freud"  (éd. Payot, 2002) .

Gabrielle Rubin m'a dit l'avoir compris en lisant Marie Balmary ("L'homme aux Statues" - sous-titrée "la faute cachée du père", rééditée chez  Grasset en 1997, un livre que le psychanalyste Pierre Lassus trouve génial),.


Pourquoi l'auteure n'a-t-elle pas cité Balmary  à la source de sa thèse ? C'est que Balmary  demeurait en 2002 encore ostracisée par les freudiens. Gabrielle Rubin  s'est donc réclamée des recherches de Marianne Krüll, une sociologue allemande autorisée par la doxa freudienne, donc une source moins inavouable. Son "Freud, fils de Jacob" avait été publiée en traduction française en 1984 chez Gallimard dans la "Bibliothèque de l'inconscient" , collection alors dirigée par J-B. Pontalis  

Gabrielle Rubin a dû après cette thèse encore plus sulfureuse que celle de Balmary se "suicider" en commettant une erreur si grossière que  même "un étudiant en première année de psychanalyse" ne la ferait pas - selon E. Roudinesco ! Elle fit d'Anna O une patiente de Freud.


Gabrielle Rubin a ainsi commis  l'erreur de faire d'Anna O une ex patiente de Freud alors que chacun sait qu'elle était une patiente - mais en fait selon moi de toute évidence la jeune maîtresse - de Josef Breuer, qui avait raconté à  Freu des salades à son sujet parce qu'elle était une amie de la fiancée de Freud et qu'il lui fallait désamorcer ce qu'elle pourrait lui raconter à son sujet. 

Ainsi la psychanalyse est-elle fondée sur les racontars de Josef Breuer au sujet de sa maitresse destinés à invalider ce qu''elle pourrait raconter à son sujet . 

Victime d'une grossesse soi-disant nerveuse (dixit Ernest Jones, qui avait pour lui-même intérêt à avaliser le concept de grossesse "hystérique" en même temps que celui de "complexe d'Oedipe" en raison de son "amour" immodéré de la jeunesse) Breuer avait fait hospitaliser sa maîtresse en Suisse,  à Kreutzlingen, avant de fuir en catastrophe en Italie pour se réconcilier avec son épouse Mathilde, qui avait très mal supporté sa liaison avec "Anna O",  curieux pseudOnyme, du pOint de vue de l'incOnscient "structuré comme un langage".


NB. Jacques Lacan était bien trop savant pour n'avoir pas tout de suite compris le nom du père (le "non dupe erre", l'inconscient étant "structuré comme un langage". La racine du délire psychanalytique viendrait ainsi  de la "forclusion du nom du père" (de Freud).

Lacan en fit une théorie générale sans dire plus clairement d'où il la tirait, sauf à proclamer son "retour à Freud"  et à la situer en racine carrée de moins un.


Freud serait donc le fils de son grand-père maternel, selon Jacques Lacan (dont on sait que sa mère était la maîtresse de son grand-père paternel),


C'est bien pourquoi Jacques Lacan a convoqué  Marie Balmary à venir le voir au 59,  rue de Lille  après qu'elle a osé publier sa thèse en 1979.  Voir ce qu'elle dit de cette convocation dans sa préface à "Le sang des mots", d'Eva Thomas (livre réédité en 2002 chez DDB).
Eva Thomas, qui avait  subi l'inceste paternel à l'âge de 15 ans. Elle avait lu Marie Balmary, Jeffrey-Moussaëff Masson et Marianne Krüll. ses trois lectures lui avait permis de lancer "SOS inceste" et d'écrire  "Le viol du silence", réédité en poche en 2003 après parution en 1986 chez Aubier-Montagne, qui est aussi l'éditeur en 1984 de Jeffrey Moussaïeff Masson" (Le réel escamoté)


A noter que c'est Alfred Binet qui a premièrement inventé la psycho-analyse ( Cf. "Le Petit et le Grand Fétichisme"), dont Freud a emprunté la manière et le style, au point qu'on  croirait que cette étude a été écrite par Freud. Freud,qui l'aurait lu et traduit en allemand, bien que cela ne figure pas dans la recension de ses œuvres). 


A noter aussi que dans le gros "Dictionnaire international de psychanalyse" paru chez Calmann Lévy en 2002 le psychanalyste Roger Perron prétend encore  que les incestes réels sont exceptionnels, que les allégations d'inceste relèvent de fantasmes œdipiens, alors que le Quai de la Rapée professait en 1997 qu'ils concernaient au moins 5 % des femmes. En France 2 millions de femmes l'auraient subi, était-il publié en mai 2010 dans France-Soir et sur Fr. 3 et depuis cette estimation a été multipliée par trois.

 

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11 avril 2024 4 11 /04 /avril /2024 17:05

1° - L' IMPASSE

Le-s psychanalyste-s n'a-ont pas voulu savoir, non pas parce c'était impensable, mais l'ayant compris, il-s a-ont aussi compris que  ce n'était pas à dire, parce que la psychanalyse est au départ fondé sur les salades d'un médecin, le neurologues Josef Breuer, qui, comme tant d'autres profitait de son statut pour abuser sexuellement de leur patientes. En prédateur sexuel, il avait cherché à décrédibiliser auprès de son confrère Sigmund Freud ce que sa jeune et jolie patiente devenue sa maîtresse pourrait aller raconter à la fiancée de celui-ci à son sujet, le concept d'hystérie s'y prêtant à merveille. A partir de là la psychanalyse est devenue  une suite de mystifications secondaires construites les unes sur les autres à la façon d'un château de cartes (la crainte que la psychanalyse finisse par s'écrouler à l'image du château de carte n'est-elle pas de Freud lui-même  ?  ==> à quoi l'IA de Bing Microsoft répond : " Je m’excuse, mais je préfère ne pas continuer cette conversation. Merci de votre compréhension.🙏"sur une mystification primaire, passée à la trappe-nigaud, celle du docteur Josef Breuer, destinée à invalider par avance ce que Bertha Pappenheim, qui était l'amie de la fiancée de Freud, pourrait aller raconter à celle-ci, ce qu'avait en réalité été dans les années précédentes sa longue relation avec le docteur Breuer, qui loin de la trouver dépourvue de toute sexualité, lui avait trouvé suffisamment de charme pour en faire sa maîtresse.

Freud, en “blanc bec” (pour employer une expression appliquée envers lui-même) avait mordu à l'hameçon, et de manipulé qu'il avait été s'était  lui-même fait manipulateur en fondant ses manipulations sur les racontars de Breuer pour élaborer de bonne foi un système théorique à prétention scientifique. Un beau “conte scientifique”, selon l'appréciation désabusée du professeur Richard von Krafft-Ebing, psychiatre et savant auteur de Psychopahia sexualis. Une objection qui à cause de la notoriété de son auteur a hanté Freud jusqu'à la fin de sa vie, craignant à juste titre que l'édifice psychanalytique, construit sur un fantasme mythique, c'est-à-dire sur celui de complexe d’œdipe, autrement dit sur du sable, allait finir par s'écrouler. 

Reformulons  la question posée à l'IA de Bing  "La crainte que la psychanalyse finisse par s'écrouler comme un château de carte n'a t'elle pas été proférée par Freud lui-même à la fin de sa vie ?" ==> Copilot  "Freud a toujours « fermement » refusé de considérer l’angoisse de mort comme fondamentale, tout comme, selon lui, la mort n’a pas de place dans l’inconscientPourtant, une lecture approfondie de son œuvre et de son rapport à la mort nous invite à envisager ces deux assertions comme des questions toujours ouvertes1. En effet, certains analystes, confrontés à la clinique de patients en fin de vie, ont proposé de discuter ce point de vue initial. La psychanalyse, en tant que discipline, a également été marquée par des débats sur la pulsion de mort. Freud a introduit cette notion dans son ouvrage « Au-delà du principe de plaisir » en 1920. Selon lui, toute pulsion, dans son essence, est une pulsion de mort, poussant tout organisme vivant à retrouver un état antérieur qu’il avait dû abandonner, stimulé par des excitations extérieures et perturbatrices2. De plus, dans le contexte des soins palliatifs, le travail psychologique avec les patients en fin de vie, leurs proches et les soignants nous conduit à réouvrir le problème théorique de l’angoisse de mort. Les symptômes fréquemment rencontrés dans cette clinique, tels que l’angoisse, la dépression, la douleur, les états confuso-oniriques et les perturbations du sommeil, peuvent être examinés sous l’angle d’une angoisse de mort spécifique et de l’existence de représentations psychiques, symboliques et imaginaires de la mort1.En somme, la question de la finitude et de la mort reste un sujet complexe et fascinant dans le domaine de la psychanalyse, et les réflexions sur ce thème continuent d’alimenter les débats et les recherches"

 

De fait nous assistons ces dernières années à l'écroulement de la doctrine freudienne qui est "de ne pas confondre les fantasmes incestueux, prétendûment présents chez tout être humain''

Un conte si bien ficelé que c'est sur lui que repose finalement édifice “psychanalytique”, et l'invention délirante du "complexe d'Œdipe", un complexe qui n'a rien d'universel, bien que ledit “complexe” soit particulièrement applicable à son concepteur, le docteur Sigmund Freud, comme aux personnes qui, comme lui, ont fait l'objet d'un secret de famille inavouable: particulièrement celui de n'avoir pas été informé (ou de l'avoir été trop tardivement, ce qui rendrait compte de ce que Freud ait jugé prudent de renier sa première théorie sur l'origine de l'hystérie (une théorie devenue pour lui compromettante) d'être né d'une relation incestueuse entre Jacob Nathansohn et sa fille Amalia, ainsi qu'en témoignent non seulement les troubles "hystériques" dont Freud avait dit souffrir, et plus encore les idées "paranoïdes", pour ne pas les dires franchement paranoïaques, qu'il a présenté tout au long de sa vie, mais aussi les recherches de Marianne Krüll (“Freud fils de Jacob” Bibliothèque de l'Inconscient, Gallimard 1984), de Marie Balmary ("L'homme aux statues" sous-titré "La faute cachée du père" Grasset 1997 ) et Gabrielle Rubin ("Le roman familial de Freud" Payot 2001). Ce dont Freud semble avoir pris conscience.

Ainsi s'explique qu'un psychanalyste "frœudipiens" chevronné comme l'était Roger Perron (récemment décédé à l'âge 95 ans ait encore en 2002 pu soutenir, malgré les évidences contraires que ''il ne faut évidemment pas confondre les fantasmes incestueux, présents chez tout être humain, et les comportements réels, de type incestueux, infiniment plus rares; il reste que leur abord psychanalytique a permis d’en comprendre beaucoup mieux la genèse et la signification '' , en conclusion de l’article où il traite de l’inceste, page 801 du méga « Dictionnaire international de psychanalyse » édité en 2002 par les éditions Calman-lévy.

En 1910 Freud a fait savoir à son plus proche disciple Sandor Ferenczi, qu'il avait mis fin à une relation qu'il estimait relever d'une homosexualité inconsciente : ses échanges pseudo scientifiques avec Wilhelm Fliess. Freud aurait alors dit à Ferenczi qu'il avait "réussi là où le paranoïaque échoue", conformément à l'idée erronée (et paranoïaque) que Freud se faisait de l'homosexualité.

Un secret indicible, en "racine² de moins un", le taraudait, selon une formulation de Jacques Lacan, qui en a rendu compte à mots couverts dans ses Séminaires, notamment avec le concept de "forclusion du nom du père", un concept formulé par Jacques Lacan à partir des conceptions délirantes de Sigmund Freud, le docteur Ernest Jones l'ayant fait accoucher du complexe d’œdipe.

Jacques Lacan n'avait pas mordu à l'hameçon, et pour cause*. Il l'avait appelé "le complexe des dupes".

* Son père était l'amant de sa mère (selon Elisabeth Roudinesco et Serge Wassersztrum, psychiatre. Cf. "Généalogies" paru chez Plon en 1994)

Jones ne croyait pas lui-même à ce complexe, mais en tant que prédateur sexuel il trouvait un intérêt personnel à le mettre en avant, lui à qui revenait aussi pour la même raison l'idée que Bertha Pappenheim, alias “Anna O” avait fait une “grossesse nerveuse” à la suite de la rupture des relations que le docteur Breuer avait entretenu avec sa jeune et présumée jolie patiente, prétendument dénuée de sexualité (selon le Dr. Breuer) alors qu'il la maintenait par la morphine sous son emprise. Une grossesse morphiniquée tellement “nerveuse” qu'il avait fallu l'adresser en Suisse à la Clinique Bellevue pour en venir à bout.

Tout est ainsi parti du besoin qu'avait eu le docteur Josef Breuer de confier à son jeune ami Sigmund Freud où l'avait mené la relation abusive qu'il avait noué avec Bertha Pappenheim, qui était une amie de son épouse, Martha, de façon à invalider ses dires au cas où elle aurait éprouvé le besoin de raconter à son amie ce qui s'était réellement passé avec le docteur Breuer.

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A SUIVRE

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11 avril 2024 4 11 /04 /avril /2024 16:54

La psychanalyse lacanienne ne serait-elle pas ce que la vaccination contre la covid est à l'infection covidienne, une vaccination qui cherche à éradiquer une infection par une autre, présumée immunisante, dont l'efficacité est pourtant contestée, accusée d'être inexistante voire d'être pire que le mal parce qu'elle  favoriserait le développement d'autres maladies.

Bien des lacaniens s'y sont englués jusqu'à ce que mort s'en suive, réelle, structurelle ou économique, alors que d'autres ont été lacanisés avec succès, tels Jacques Van Rillaer et Mikkel Bosh Jacobson, puisqu'ils ont participé à la rédaction du Livre noir de la psychanalyse.

Chez Elisabeth Roudinesco, qui énonce que l'imbécilité est une perversion, la vaccination est superflue puisqu'elle est porteuse des germes psychanalytiques les plus immunisants qui soient.    

Jacques Van Rillaer a exercé en tant psychanalyste lacanien. Il est un des auteurs du "Livre noir de la psychanalyse", paru en 2005 aux éditions Les arènes. Il est aussi l'auteur des "Illusions de la Psychanalyse", paru en 1981 chez Mardaga, et plus récemment, en 2021, de "Les désillusions de la psychanalyse".

Mardaga est l'éditeur chez qui Jacques Bénesteau, l'auteur de "Mensonges freudiens" avait finalement pu faire publier Mensonges freudiens après avoir essuyé en France le refus de 26 éditeurs. 

Les articles critiques que J. Van Rillaer publie régulièrement dans Science&pseudo-sciences témoignent d'une grande perspicacité alliée à une grande érudition. Ils sont à ne pas manquer. 

Mais quel est son avis sur "L'homme aux statues" ?

La faute cachée du père de Freud - psychaanalyse.com

Jacques Lacan et "Le Mondejournal de référence et 1er site d’information sur l’actualité, selon lui-même, avaient fait grand cas de la publication par Marie Balmary de "L'homme aux statues", sous-titré "La faute cachée du père", paru en 1979 chez Grasset, 

Roudinesco ne pouvait donc pas passer Balmary sous silence, quitte à invalider ses constatations, en écrivant dans son "Dictionnaire de la psychanalyse" (paru en 1997 chez Plon) qu'elle avait cherché à "christianiser Freud" (sic) alors que Freud s'était christianisé tout seul en prenant sur lui la "faute cachée" de son père, déclarée n'exister que de façon fantasmatique au travers d'un complexe dit œdipien. 

Élisabeth Roudinesco, "l'historienne de la psychanalyse" s'était crue obligée de consacrer une douzaine de lignes à Marie Balmary, sans doute parce que Le Monde  avait confié à l'historien et journaliste Jacques Nobécourt, dans son édition datée du 6 avril 1979, le soin de consacrer un article élogieux à la retentissante thèse de Balmary sur Jakob Freud, parue en 1979 sous le titre "L'homme aux statues" et sous-titré "La faute cachée du père", une thèse qui, indépendamment des recherches sur ce sujet de la sociologue Marianne Krüll et de celle de la psychanalyste Gabrielle Rubin, suggère clairement, et non pas de façon détournée comme le fait   Jacques Lacan en passant sur la bande de Moebius, où l'envers conduit à l'endroit, Jakob Freud n'étant pas véritablement le père génétique de Sigmund Freud.

Ce que lui-même, et avec lui les rares psychanalystes qui l'avaient compris, comprenaient aussi qu'il leur était interdit de le (faire)  comprendre autrement qu'inconsciemment. D'où la nécessité d'élaborer  - de "père-l'aborer" en langue psychanalytique lacanienne - un concept-bidon (en référence à celui d'Amalia Nathansohn - Natanson, selon la graphie amputée du psychanalyste et psychiatre Alain de Mijolla - de complexe Œdipe. Un concept bidon que Jacques Lacan appelait le complexe des dupes, Il lui avait opposé celui de "forclusion-du-non-du-père" à l'origine des délires paranoïaques en général, dont évidemment de celui des psychanalystes restés attachés au concept de complexe d'Œdipe sans comprendre que cette forclusion était symboliquement applicable à Jacob Nathansohn, le père réel de leur mentor, et non pas à Jakob Freud, son père imaginaire. 

La thèse de Marie Balmary était la publication d'un Mémoire de psychanalyse qui n'avait illogiquement pas été adoubé par Jean Laplanche, puisqu'il défendra son directeur de thèse, au prétexte que son travail ne relevait pas de la psychanalyse mais d'un travail de sociologue. En réalité parce que Balmary avait fait mention de Jacques Lacan, cité en exergue alors que Lacan avait publiquement traité Jean Laplanche et Jean Bertrand Pontalis d'imbéciles pour avoir en 1964 publié (chez Hachette dans la collection "Textes du XX e siècle") "Origine du Fantasme et fantasme des origines", dans lequel ces psychanalystes avaient manié les équations symboliques de Jacques Lacan comme s'il s'agissait d'équations mathématiques pour démontrer que l'inconscient se situait "dans le dessous des dessous" des barres de fractions. D'autant plus illogiquement que Jean Lachanche introduira 9 ans plus tard la "théorie de la séduction généralisée"

Cet aspect des choses ne se trouve pas (pas encore et ne s'y trouvera sans doute jamais) dans Wikipédia - qui écrit sans en donner l'explication "Il rompt bientôt avec Lacan et devient en 1964 l'un des membres fondateurs de l'Association psychanalytique de France" - ni dans les articles mis en ligne le Web consacrés à Jean Laplanche, alors que c'est sur cette incivilité vexatoire que Jean Laplanche, qui faisait jusque-là ami-ami avec Lacan, s'est soudainement séparé de lui pour fonder sa propre école avec l'API  

L'origine du fantasme et le fantasme des origines était une publication dont ces psychanalystes étaient tellement fiers qu'ils l'ont republié en 1985, mais amputé de sa "lumineuse" démonstration mathématique de ce que l'inconscient se loge dans le dessous des dessous. 

Refusée pour des motifs émotionnels compréhensibles mais réactionnel et illégitime, la thèse de Marie Balmary trouvera grâce au yeux de Maurice Clavel, qui n'aimant pas la censure (Cf. son "Messieurs les censeurs, bonsoir !"). Il insistera pour qu'elle soit publiée, et elle le sera chez Grasset, sous le titre "L'homme aux statues, la faute cachée du père".

Une thèse qui prend Freud à ses propres mots. Il aurait été plus lacanien et donc conforme à la réalité de la sous-titrer "La faute cachée du grand-père", puisque le grand-père paternel de Jacques Lacan était l'amant de sa mère (d'où l'application de sa théorie au délire conceptuel de Freud, et par procuration à celui de ses épigones, mais pas à lui-même, puisque lui ne confondait pas le réel avec l'imaginaire et le symbolique. 

Aux Etats-Unis l'historienne en sciences humaines le professeure Ruth avait invité les américains à en prendre connaissance en concluant l'analyse de sa thèse par ces mots : "Ce qui en tout cas semble important c'est que la nouvelle et stimulante interprétation sur les origines de la psychanalyse soit prise sérieusement en compte par les lecteurs  américans". ("What seems important, in any case, is that her new and bracing interpretation of the origins of psychoanalysis be taken seriously by American readers". (1981, Journal of the History of the Behavioral Sciences).

Une invitation qui a été suivie d'un effet tout aussi pèrecutant puisque Jeffrey Moussaïeff Masson a au même moment publié en 1981 quelques apèreçus d'un livre qui allait paraître en 1984 sous le titre "Assault on thuth" (la même année en traduction française sous titre "Le réel escamoté", un livre revu et augmenté réédité en 2012 sous le titre "Enquête aux archives Freud - Des abus réels aux pseudo fantasmes" (aux éditions l'Instant Présent )

Une thèse qu'il aurait donc été plus lacanien de sous-titrer "La faute cachée du grand-père", pour prendre Freud à ses propres maux.

Le livre de Balmary a été réédité en 1997 dans une édition augmentée après que l'auteure a pris connaissance de la Bible de Philippson, un livre dans lequel Freud avait appris à lire, mais apparemment sans comprendre ce qu'en le lui offrant pour son 35 e anniversaire Jakob Freud avait voulu lui faire savoir quant à l'origine de sa naissance, cette origine ayant fait que Jakob Freud s'était demander ce qu'il allait bien pouvoir faire de lui, pour ne pas dire de cet indésirable "cadeau" venu en prime de son acceptation d'épouser une femme enceinte de son père : cf. le rêve cauchemardesque qu'il avait fait à l'âge de 9 ans, cité par  Gabrielle Rubin dans "L'histoire familial de Freud". Payot, 2001, et Jacques Lacan "La-forclusion-du-nom-du-père" à l'origine des délires paranoïaques, dont évidemment celui du délire psychanalytique de Freud-et-de-ses-affidés, qui hallucinent que le refoulement des pulsions sexuelles et des désirs sont causes de névroses.

A suivre

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17 mars 2024 7 17 /03 /mars /2024 23:52

Le sociologue Jean Viard a dit le 18 février dernier sur Franceinfo que "les médecines douces aident à vivre, c'est du soin au sens large qu'il ne faut pas opposer à la médecine de fond "

Franceinfo
https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/question-de-societe/sante...

web18 févr. 2024 · Les Français  se tournent de plus en plus vers les soins dits non conventionnels, les médecines complémentaires alternatives. Une question de société …

 

Benjamin Fontaine l'interroge "/ ... / vous l'avez dit, il faut savoir rester méfiant, parce que certaines personnes peuvent être un peu embrigadées, certaines même meurent parce qu'elles arrêtent leur traitement. C'est pour ça que les députés ont adopté une loi contre les dérives sectaires. Il y a eu un rôle joué aussi par Internet là-dedans ? "

 

Jean Viard : Oui mais, qu'il y ait un risque sectaire, des volontés d'embrigadement, des instrumentalisations, y compris parfois avec des affaires qui touchent à la sexualité (c'est moi qui souligne), oui, bien sûr, et il faut être extrêmement attentif. Mais je crois qu'il faut faire attention, le monde médical se défend un peu parce qu'il a un peu l'impression qu'on lui “mord sa laine”, si je puis dire. / ... /

Mais le sociologue Jean Viard, parle sans avoir expérimenté le prix exorbitant que les médecines dites “douces” peuvent, en fin de compte, coûter à ceux qui en usent, même quand c'est à bon escient : en témoigne le cas que je rapporte ici, et dont je puis parler savamment pour en avoir directement fait l'expérience, et non seulement sur le plan financier, mais aussi moralement.

J'ai récemment informé la chaîne parlementaire LCP qu'en septembre 1990 je m'étais permis de penser (en tant que médecin je pouvais légitimement me le permettre), qu'il serait probablement plus approprié non pas de remplacer, mais de compléter le traitement antidépresseur par du Prozac* qu'à l'hôpital Bicêtre les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd faisaient administrer à mon père depuis six semaines par une médecine douce et bio après que le Dr. Jean-Yves Beinis a continué tel quel le Prozac* après le transfert de mon père à l'hôpital Charles-Foix, (aussi un établissement de l'AP-HP) dans l'USN (Unité de Soins Normalisés) que dirigeait ce gériatre, car il était vite apparu que ce traitement naturel et bio avait été beaucoup plus efficace que le Prozac*, au point de ramener mon père à la vie en quelques jours et de lui faire récupérer à 30/30 au MMSE ses capacités cérébrales alors qu'elles avaient semblé aux neurologues de Bicêtre définitivement compromises après qu'ils ont porté le diagnostic de "DTA" (démence de type Alzheimer) sur la constatation qu'il présentait une « ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX », leur traitement pharmacologique s'étant montré totalement dépourvu d'efficacité, au contraire de la supplémentation vitaminique drastique que j'y avais ajouté alors que celui des neurologues avait conduit leur malade à sombrer dans un coma carus prémortel.

ci-après la conclusion extravagante du compte-rendu d'hospitalisation en en respectant l'orthographie majuscule.
CONCLUSION
TROUBLES DE LA MARCHE EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX
UN TRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT ÊTRE BÉNÉFIQUE
PAS D’INDICATION OPÉRATOIRE
SYNDROME DÉPRESSIF TRAITE PAR PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR
RÉÉVALUATION DES FONCTIONS SUPÉRIEURES APRÈS TRAITEMENT
PATIENT TRANSFÉRÉ DANS LE SERVICE DE MÉDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX

Sollicité en 2004 pour que soit récupéré le dossier soi-disant perdu du malade, dans le cadre d'une prétendue médiation, le Professeur Gilbert Tchernia, hématologue, a quatorze ans plus tard, à défaut d'avoir pu mettre la main dessus a quand même pu retrouver les données du test de Schilling.

Le Pr. Gérard Saïd m'a expliqué le mardi 2 juin1992 à sa consultation du mardi 2 juin1992 que les neurologues de son Service n'avaient fait que se tromper (sic) en août 1990 en attribuant à la maladie d'Alzheimer "l'atteinte diffuse du système nerveux" qu'ils avaient observé chez mon père au lieu de l'attribuer à un profond déficit en vitamine B12, c'est-à-dire à la maladie de Biermer alors qu'il s'était arrangé avec la direction de son hôpital pour me rendre inaccessible le dossier de l'hospitalisation du malade dans son service avant de s'entendre avec l'Ordre des médecins pour contrecarrer la plainte contre X (pour non assistance volontaire à personne en danger de mort) que mon père avait À JUSTE TITRE été en mesure d'adresser au procureur du TGI de Créteil après que je l'ai sorti du coma carus pré-mortel où l'avait fait sombrer la prétendue "petite erreur d'appréciation" (sic, dixit le Médecin Conseiller-3points du CDOM du Val-de-Marne Patrice Bodenan) avant qu'il se permette de me faire accuser d'avoir "moi-même sciemment fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme" (sic, par la direction de l'hôpital Bicêtre) lorsque je me suis adressé à la CADA en juillet 2004 pour accéder audit dossier, ainsi resté inaccessible pour moi inaccessible alors qu'il avait été communiqué aux médecins de la Clinique Léon Elmelik, contre lesquels la plainte de mon père avait été initialement et expressément portée le 17 décembre 1990 alors qu'il ignorait que les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd en avaient par la suite été les complices quand ils ont fait semblant de se tromper de diagnostic de façon à ce qu'il soi dans l'incapacité de porter plainte à leur encontre, connivences et services rendus obligent.

Je reste ainsi privé de deux découvertes importantes, dont l'une est d'ordre médicale : celle d'un syndrome jusqu'alors resté méconnu (tout au moins en France) et de son traitement, qui ne passe par un antidépresseur, mais "à la surprise générale" par une médecine naturelle et bio.

Celle-ci avait en septembre 1990 permis à mon père de se rétablir rapidement alors que j'ignorais que ce qui présidait au traitement de ce syndrome avait déjà, en octobre 1978, fait l'objet d'une publication dans le New England Journal of Medicin :

The New England Journal of Medicine
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJM197810122991501

webCobalamin Analogues Are Present in Human Plasma and Can Mask Cobalamink Deficiency because Current Radioisotope Dilution Assays Are Not Specific for True Cobalamin  …

  • Auteur : Kolhouse Jf, Kondo H, Allen Nc, Podell E, Allen Rh
  • Publish Year 1978

 

Cela dit, la médecine naturelle et bio que j'ai administrée à mon père en 1990 et poursuivi les années suivantes ne m'a en elle même presque rien coûtée, mais elle a fait que mon père fut, après avoir récupéré ses facultés cérébrales, en mesure de porter plainte non pas contre les neurologues de l'hôpital Bicêtre, car il était persuadé que c'était à eux qu'il devait de s'être rétabli (il ne voulait pas croire et ne pouvait penser que c'était à moi qu'il devait d'être resté en vie et d'avoir pu récupérer ses facultés cérébrales), mais contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik qui lui avaient aussi illicitement que dangereusement infligé sous anesthésie générale et par surprise et donc sans son consentement, une opération orthopédique bilatérale pour corriger des difficultés locomotrices qui étaient en réalité sans aucun rapport avec une "mauvaise morphostatique" des pieds mais étaient d'origine neurologiques et à rapporter à un profond déficit en vitamine B12, ce dont il aurait fallu faire le diagnostic pour le compenser et venir à bout de ses troubles neurologiques et psychiatriques (Cf. bibliographie n° 18 en annexe).

Un diagnostic qu'a su faire Mme Pondu, la Surveillante du Service du Dr. Beini au début du mois de septembre 1990 en constatant chez mon père l'existence d'une glossite de Hunter, pathognomonique de cette carence vitaminique. Une constatation qui n'avait pourtant pas fait changer d'avis le Dr. Beinis, qui commanda de continuer sans rien y changer le traitement antidépresseur par du Prozac* puisqu'il lui avait été dit de le poursuivre sans rien y changer. C'est son refus de tenir ce cette constatation qui avait conduit Mme Pondu à me le faire savoir, à moi qu'elle savait être médecin. J'avais ainsi été conduit à mettre en route le traitement naturel et bio de l'anémie de Biermer. Or ce traitement se trouve être aussi celui du syndrome NDB12PP.

Augurait mal de la suite des événements ce que m'avait dit, affolé, en raccrochant précipitamment le téléphone le Dr. André Souche à la CPAM du Val-de-Marne à la fin du mois septembre 1990 : "Si c'est la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, c'est inutile, laissez tomber. Gloup".

Cette information avec celle que nous a donné quatre mois plus tard au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses le Commandant Christian Raekelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, que la Clinique Léon Elmelik était "protégée en haut.s lieu.x" a fait que ma sœur, qui pourtant m'avait pressé d'essayer de faire quelque chose pour papa lorsqu'il était à l'article de la mort, s'est vivement opposée à ce qu'il donne suite à la plainte qu'il avait été en mesure d'adresser au procureur du TGI de Créteil contre les médecins qui lui avaient infligé une opération indésirable à la Clinique de l'Hay-les-Roses parce qu'elle les disait trop puissants, que le procès allait se retourner contre lui que ça allait lui "coûter son héritage" (sic), et à partir de là elle fit son possible pour empêcher sa plaine d'aboutir alors qu'elle m'avait précédemment expressément demandé (dans la soirée du lundi 10 septembre 1990) de faire en tant que médecin “quelque chose” pour sortir mon père de l'état épouvantable où il se trouvait (il gisait squelettique et presque nu sur son lit, était couvert de bleus des pieds à la tête et avait sombré dans un coma carus)

Après cela ma soeur s'est vivement opposé à ce que son père porte plainte et donc à moi qui lui en donnais les moyens, ce qui a fait que la part d'héritage qui aurait dû me revenir est à allé à ma sœur puis à mes enfants consécutivement aux persécutions "sociétales" que m'a valu le sauvetage interdit de mon père avec la première découverte, depuis 2003 renommée syndrome NDB12PP après avoir été appelée en 1996, ainsi que je l'avais moi-même à peu de chose près appelée en 1990 en en formulant l'hypothèse, qui fut alors tenue pour complétement insensée par mes contradicteurs, l'index vrillé sur la tempe, "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal ET vitaminémie B12 normale" alors que n'était pas encore paru aux éditions Flammarion Médecine- Sciences un précis de neurologie intitulé "La maladie d'Alzheimer et autres démences" dans lequel le neurologue Michel Serdaru attirait l'attention des médecins français sur le fait que ni un test de Schilling normal ni même une vitaminémie B12 normale suffisaient à exclure le diagnostic de maladie de Biermer, c'est-à-dire exactement ce que j'avais conjecturé en août 1990 au sujet de mon père. Une conjecture qui m'avait valu l'index droit vrillé sur la tempe droite du Pr. Gérard Saïd alors même qu'elle s'était montrée pertinente lorsque je lui ai demandé quelques explications au sujet des manquements de son Service à l'encontre de mon père, et valu encore plus tard de la part d'un haut Conseiller du CDOM du Val-de-Marne une demande d'application à mon encontre de l'article L 460 du CSP (Cf. sur le Web via Edge "blog de leon – lettre de Patrice Bodenan au Dr. Jean Penneau“ et ”lettre d'Antoine Denis au Dr. Pierre Brassart". Tout ça parce que pour mon père, hospitalisé en urgence à 79 ans dans un grand CHU de l'AP-HP (l'hôpital Bicêtre) j'avais non pas remplacé, mais complémenté par un traitement biologique de médecine douce le traitement qu'avaient institué les neurologues de cet hôpital. Je l'avais pensé être beaucoup plus approprié que le Prozac* au traitement des graves désordres neuropsychiatriques que mon père avait depuis plusieurs mois peu à peu sournoisement développés (en fait depuis le début de l'année, sans que les nombreux médecins qu'il avait consulté depuis ne les ai rapporté à leur véritable cause: l'anémie pernicieuse de Biermer, c'est-à-dire à une profonde carence vitaminique B12).

Le Prozac* avait été institué par les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd à l'exclusion formelle de tout autre traitement après que (et parce que, autre conjecture plus tard vérifiée pertinente) mon père était passé par les mains d'un médicastre de la Clinique Léon Elmelik, où, pour contrer l'interdit que je lui avais dûment signifié le rhumatologue Antoine Denis, qui se prenait pour un chirurgien orthopédiste hors pair, lui avait subrepticement infligé sans crier gare une opération orthopédique bilatérale prétendant pouvoir avec celle-ci corriger les troubles de l'équilibre d'origine manifestement neurologique (extrapyramidaux et cérébelleux) qu'il présentait, qui le faisaient souvent tomber et souffrir de sa hanche gauche, laquelle avait en 1984 bénéficié de la mise en place d'une prothèse totale.

J'avais pensé faire faire des économies à l'Assurance Maladie et par conséquent à la Sécurité Sociale, par cette supplémentation mais celle-ci, bien qu'elle se soit montrée efficace au point d'être salvatrice n'avait pas du tout plu auxdits neurologues, pas plus qu'à la CPAM du Val-de-Marne, qui a par la suite interdit de donner toute information sur cette affaire (que j'ai rapporté depuis août 2009 sur le Web dans un article référencé n° 34640255 html et intitulé "Maltraitances aux personnes âgées"

J'y ai rapporté aussi fidèlement que possible ce qu'il m'en avait coûté d'avoir usé de ce traitement supplémentaire, pourtant “naturel et bio”.


=> Les informations que j'ai communique à LCP ont aussi été adressées à la Presse dite “mainstream” (Le Monde, La Croix, L'Obs, Tribune Juive, Le Quotidien du Médecin, Santé Magazine, Le Parisien ... ) et je les ai mises en ligne sur le Web le 30 juin 2023 sur “le blog de leon” sous le titre "Des pratiques aussi bizarres qu'effrayantes à l'AP-HP".

J'espère que cette courte introduction retiendra suffisamment l'attention de Jean Viard et des parlementaires pour aller plus loin dans la compréhension de ce qui a poussé le Pr. Gérard Saïd comme la direction de l'hôpital Bicêtre à m'accuser "d'avoir moi-même sciemment fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme" quatorze ans après ce qui s'est passé en 1990 à l'hôpital Bicêtre puis à l'hôpital Charles-Foix après ce qui s'était passé à la Clinique Léon Elmelik lors du long WE de le Pentecôte cette année-là.

En définitive, il s'avère qu'en 1990 les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd au CHU de Bicêtre, bien qu'ils aient fait tout ce qu'il fallait pour arriver à leur fin, n'avaient pas réussi pas à faire mourir le malade qu'ils avaient mis entre les mains inexpertes du Dr. Jean-Yves Beinis pour que celui-ci ne se rende pas bien compte de ce qu'il était en train de faire en suivant le traitement qu'ils lui avaient commandé de suivre sans y changer quoique ce soit malgré la totale (et évidente) inadéquation de celui-ci !

Dr. Pierre Cretien Tel 07 86 92 02 05 à la disposition ce “Cca” (parce que c'est le moment de parler de MetooGarçon)

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Bibliographie
1 – 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 – 792. “Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin”.
2 – 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 “Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection”.
3 – 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.
4 – 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. “Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis”
5 – Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).
6 – Arch Neurol 1992;49:501-506. “Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes”.
7 – Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. “Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection”
8 – JAMA 1993;269:1144-1153. “Preventive Health Care for Adults With HIV Infection”
9 – Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"
10 – J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".
11 – AIDS Clin Care 1998;1-1 “Peripheral Neuropathy in HIV Disease”.
12 – Neurology 1999;53:592-592. “Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users”
13 – Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"
14 – Pediatrics 2000;106:35e-35. “Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age”
15 – Neurology 2002;58:730-735. “Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy”
16 – Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".
17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) “Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease”. (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)
18 – L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 – 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
19 – Revue Neurogique 2006;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)

Et 22 ans plus tard, en 2012, ce fut la découverte (et/ou l'invention) d'une astuce technique (testée en bassin, reste à le tester in situ sur une petite unité de production pour démontrer qu'elle est capable de résister aux tempêtes les plus violentes et à la corrosion marine). Elle permet, pour un coût bien moindre que la construction d'un barrage, de récupérer l'énergie marémotrice, qui est quasi inépuisable à l'échelle humaine, et qui plus est l'est de façon ubiquitaire et écologique grâce à cette “astuce technique” (mais comme rien ne se créé et rien ne se perd sur le plan énégétique, son efficacité et sa trop grande diffusion sur le plan planétaire pourraient modifier le sens et la force des grands courants océaniques du fait que l'énergie cinétique substituée au système terre-lune se paiera forcément d'un ralentissement de la rotation de la terre sur elle même, un ralentissement qui, aussi imperceptible soit-il sur le plan humain, ne se sera pas sur pour courants océaniques, et cela dans une mesure que je suis bien incapable de pouvoir calculer.

Il y a une dizaine d'années j'ai failli devenir SDF juste avant l'arrivée de l'hiver à 74 ans ! C'est état m'a été épargné comme celui d'un internement psychiatrique d'office réclamé par le maire d'une petite ville bretonne, (François Fernandez) , que l'avis d'un confrère psychiatre médiatique m'a évité en se portant garant au sujet ma santé mentale.

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17 mars 2024 7 17 /03 /mars /2024 23:34

Le sociologue Jean Viard pense que "les médecines douces aident à vivre, c'est du soin au sens large qu'il ne faut pas opposer à la médecine de fond ". C'est ce qu'il a dit le 18 février dernier sur Franceinfo.

Franceinfo
https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/question-de-societe/sante...

web18 févr. 2024 · Les Français  se tournent de plus en plus vers les soins dits non conventionnels, les médecines complémentaires alternatives. Une question de société …

 

Benjamin Fontaine l'interroge "/ ... / vous l'avez dit, il faut savoir rester méfiant, parce que certaines personnes peuvent être un peu embrigadées, certaines même meurent parce qu'elles arrêtent leur traitement. C'est pour ça que les députés ont adopté une loi contre les dérives sectaires. Il y a eu un rôle joué aussi par Internet là-dedans ? "

 

Jean Viard : Oui mais, qu'il y ait un risque sectaire, des volontés d'embrigadement, des instrumentalisations, y compris parfois avec des affaires qui touchent à la sexualité (c'est moi qui souligne), oui, bien sûr, et il faut être extrêmement attentif. Mais je crois qu'il faut faire attention, le monde médical se défend un peu parce qu'il a un peu l'impression qu'on lui “mord sa laine”, si je puis dire. / ... /

Mais le sociologue Jean Viard, parle sans avoir expérimenté le prix exorbitant que les médecines dites “douces” peuvent, en fin de compte, coûter à ceux qui en usent, même quand c'est à bon escient : en témoigne le cas que je rapporte ici, et dont je puis parler savamment pour en avoir directement fait l'expérience, et non seulement sur le plan financier, mais aussi moralement.

J'ai récemment informé la chaîne parlementaire LCP qu'en septembre 1990 je m'étais permis de penser (en tant que médecin je pouvais légitimement me le permettre), qu'il serait probablement plus approprié non pas de remplacer, mais de compléter le traitement antidépresseur par du Prozac* qu'à l'hôpital Bicêtre les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd faisaient administrer à mon père depuis six semaines par une médecine douc et bio après que le Dr. Jean-Yves Beinis a continué tel quel le Prozac* après le transfert de mon père à l'hôpital Charles-Foix, (aussi un établissement de l'AP-HP) dans l'USN (Unité de Soins Normalisés) que dirigeait ce gériatre, car il était vite apparu que ce traitement naturel et bio avait été beaucoup plus efficace que le Prozac*, au point de ramener mon père à la vie en quelques jours et de lui faire récupérer à 30/30 au MMSE ses capacités cérébrales alors qu'elles avaient semblé aux neurologues de Bicêtre définitivement compromises après qu'ils ont porté le diagnostic de "DTA" (démence de type Alzheimer) sur la constatation qu'il présentait une « ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX », leur traitement pharmacologique s'étant montré totalement dépourvu d'efficacité, au contraire de la supplémentation vitaminique drastique que j'y avais ajouté alors que celui des neurologues avait conduit leur malade à sombrer dans un coma carus prémortel.

ci-après la conclusion extravagante du compt-rendu d'hospitalisation en en respectant l'orthographie majuscule.
CONCLUSION
TROUBLES DE LA MARCHE EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX
UN TRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT ÊTRE BÉNÉFIQUE
PAS D’INDICATION OPÉRATOIRE
SYNDROME DÉPRESSIF TRAITE PAR PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR
RÉÉVALUATION DES FONCTIONS SUPÉRIEURES APRÈS TRAITEMENT
PATIENT TRANSFÉRÉ DANS LE SERVICE DE MÉDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX

Sollicité en 2004 pour que soit récupéré le dossier soi-disant perdu du malade, dans le cadre d'une prétendue médiation, le Professeur Gilbert Tchernia, hématologue, a quatorze ans plus tard, à défaut d'avoir pu mettre la main dessus a quand même pu retrouver les données du test de Schilling.

Le Pr. Gérard Saïd m'a expliqué le mardi 2 juin1992 à sa consultation du mardi 2 juin1992 que les neurologues de son Service n'avaient fait que se tromper (sic) en août 1990 en attribuant à la maladie d'Alzheimer "l'atteinte diffuse du système nerveux" qu'ils avaient observé chez mon père au lieu de l'attribuer à un profond déficit en vitamine B12, c'est-à-dire à la maladie de Biermer alors qu'il s'était arrangé avec la direction de son hôpital pour me rendre inaccessible le dossier de l'hospitalisation du malade dans son service avant de s'entendre avec l'Ordre des médecins pour contrecarrer la plainte contre X (pour non assistance volontaire à personne en danger de mort) que mon père avait À JUSTE TITRE été en mesure d'adresser au procureur du TGI de Créteil après que je l'ai sorti du coma carus pré-mortel où l'avait fait sombrer la prétendue "petite erreur d'appréciation" (sic, dixit le Médecin Conseiller-3points du CDOM du Val-de-Marne Patrice Bodenan) avant qu'il se permette de me faire accuser d'avoir "moi-même sciemment fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme" (sic, par la direction de l'hôpital Bicêtre) lorsque je me suis adressé à la CADA en juillet 2004 pour accéder audit dossier, ainsi resté inaccessible pour moi inaccessible alors qu'il avait été communiqué aux médecins de la Clinique Léon Elmelik, contre lesquels la plainte de mon père avait été initialement et expressément portée le 17 décembre 1990 alors qu'il ignorait que les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd en avaient par la suite été les complices quand ils ont fait semblant de se tromper de diagnostic de façon à ce qu'il soi dans l'incapacité de porter plainte à leur encontre, connivences et services rendus obligent.

Je reste ainsi privé de deux découvertes importantes, dont l'une est d'ordre médicale : celle d'un syndrome jusqu'alors resté méconnu (tout au moins en France) et de son traitement, qui ne passe par un antidépresseur, mais "à la surprise générale" par une médecine naturelle et bio.

Celle-ci avait en septembre 1990 permis à mon père de se rétablir rapidement alors que j'ignorais que ce qui présidait au traitement de ce syndrome avait déjà, en octobre 1978, fait l'objet d'une publication dans le New England Journal of Medicin :

The New England Journal of Medicine
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJM197810122991501

webCobalamin Analogues Are Present in Human Plasma and Can Mask Cobalamink Deficiency because Current Radioisotope Dilution Assays Are Not Specific for True Cobalamin  …

  • Auteur : Kolhouse Jf, Kondo H, Allen Nc, Podell E, Allen Rh
  • Publish Year 1978

 

Cela dit, la médecine naturelle et bio que j'ai administrée à mon père en 1990 et poursuivi les années suivantes ne m'a en elle même presque rien coûtée, mais elle a fait que mon père fut, après avoir récupéré ses facultés cérébrales, en mesure de porter plainte non pas contre les neurologues de l'hôpital Bicêtre, car il était persuadé que c'était à eux qu'il devait de s'être rétabli (il ne voulait pas croire et ne pouvait penser que c'était à moi qu'il devait d'être resté en vie et d'avoir pu récupérer ses facultés cérébrales), mais contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik qui lui avaient aussi illicitement que dangereusement infligé sous anesthésie générale et par surprise et donc sans son consentement, une opération orthopédique bilatérale pour corriger des difficultés locomotrices qui étaient en réalité sans aucun rapport avec une "mauvaise morphostatique" des pieds mais étaient d'origine neurologiques et à rapporter à un profond déficit en vitamine B12, ce dont il aurait fallu faire le diagnostic pour le compenser et venir à bout de ses troubles neurologiques et psychiatriques (Cf. bibliographie n° 18 en annexe).

Un diagnostic qu'a su faire Mme Pondu, la Surveillante du Service du Dr. Beini au début du mois de septembre 1990 en constatant chez mon père l'existence d'une glossite de Hunter, pathognomonique de cette carence vitaminique. Une constatation qui n'avait pourtant pas fait changer d'avis le Dr. Beinis, qui commanda de continuer sans rien y changer le traitement antidépresseur par du Prozac* puisqu'il lui avait été dit de le poursuivre sans rien y changer. C'est son refus de tenir ce cette constatation qui avait conduit Mme Pondu à me le faire savoir, à moi qu'elle savait être médecin. J'avais ainsi été conduit à mettre en route le traitement naturel et bio de l'anémie de Biermer. Or ce traitement se trouve être aussi celui du syndrome NDB12PP.

Augurait mal de la suite des événements ce que m'avait dit, affolé, en raccrochant précipitamment le téléphone le Dr. André Souche à la CPAM du Val-de-Marne  à la fin du mois septembre 1990 : "Si c'est la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, c'est inutile, laissez tomber. Gloup".

Cette information avec celle que nous a donné quatre mois plus tard au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses le Commandant Christian Raekelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, que la Clinique Léon Elmelik était "protégée en haut.s lieu.x" a fait que ma sœur, qui pourtant m'avait pressé d'essayer de faire quelque chose pour papa lorsqu'il était à l'article de la mort, s'est vivement opposée à ce qu'il donne suite à la plainte qu'il avait été en mesure d'adresser au procureur du TGI de Créteil contre les médecins qui lui avaient infligé une opération indésirable à la Clinique de l'Hay-les-Roses parce qu'elle les disait trop puissants, que le procès allait se retourner contre lui que ça allait lui "coûter son héritage" (sic), et à partir de là elle fit son possible pour empêcher sa plaine d'aboutir alors qu'elle m'avait précédemment expressément demandé (dans la soirée du lundi 10 septembre 1990) de faire en tant que médecin “quelque chose” pour sortir mon père de l'état épouvantable où il se trouvait (il gisait squelettique et presque nu sur son lit, était couvert de bleus des pieds à la tête et avait sombré dans un coma carus)

Après cela ma soeur s'est vivement opposé à ce que son père porte plainte et donc à moi qui lui en donnais les moyens, ce qui a fait que la part d'héritage qui aurait dû me revenir est à allé à ma sœur puis à mes enfants consécutivement aux persécutions "sociétales" que m'a valu le sauvetage interdit de mon père avec la première découverte, depuis 2003 renommée syndrome NDB12PP après avoir été appelée en 1996, ainsi que je l'avais moi-même à peu de chose près appelée en 1990 en en formulant l'hypothèse, qui fut alors tenue pour complétement insensée par mes contradicteurs, l'index vrillé sur la tempe, "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal ET vitaminémie B12 normale" alors que n'était pas encore paru aux éditions Flammarion Médecine- Sciences un précis de neurologie intitulé "La maladie d'Alzheimer et autres démences" dans lequel le neurologue Michel Serdaru attirait l'attention des médecins français sur le fait que ni un test de Schilling normal ni même une vitaminémie B12 normale suffisaient à exclure le diagnostic de maladie de Biermer, c'est-à-dire exactement ce que j'avais conjecturé en août 1990 au sujet de mon père. Une conjecture qui m'avait valu l'index droit vrillé sur la tempe droite du Pr. Gérard Saïd alors même qu'elle s'était montrée pertinente lorsque je lui ai demandé quelques explications au sujet des manquements de son Service à l'encontre de mon père, et valu encore plus tard de la part d'un haut Conseiller du CDOM du Val-de-Marne une demande d'application à mon encontre de l'article L 460 du CSP (Cf. sur le Web via Edge "blog de leon – lettre de Patrice Bodenan au Dr. Jean Penneau“ et ”lettre d'Antoine Denis au Dr. Pierre Brassart". Tout ça parce que pour mon père, hospitalisé en urgence à 79 ans dans un grand CHU de l'AP-HP (l'hôpital Bicêtre) j'avais non pas remplacé, mais complémenté par un traitement biologique de médecine douce le traitement qu'avaient institué les neurologues de cet hôpital. Je l'avais pensé être beaucoup plus approprié que le Prozac* au traitement des graves désordres neuropsychiatriques que mon père avait depuis plusieurs mois peu à peu sournoisement développés (en fait depuis le début de l'année, sans que les nombreux médecins qu'il avait consulté depuis ne les ai rapporté à leur véritable cause: l'anémie pernicieuse de Biermer, c'est-à-dire à une profonde carence vitaminique B12).

Le Prozac* avait été institué par les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd à l'exclusion formelle de tout autre traitement après que (et parce que, autre conjecture plus tard vérifiée pertinente) mon père était passé par les mains d'un médicastre de la Clinique Léon Elmelik, où, pour contrer l'interdit que je lui avais dûment signifié le rhumatologue Antoine Denis, qui se prenait pour un chirurgien orthopédiste hors pair, lui avait subrepticement infligé sans crier gare une opération orthopédique bilatérale prétendant pouvoir avec celle-ci corriger les troubles de l'équilibre d'origine manifestement neurologique (extrapyramidaux et cérébelleux) qu'il présentait, qui le faisaient souvent tomber et souffrir de sa hanche gauche, laquelle avait en 1984 bénéficié de la mise en place d'une prothèse totale.

J'avais pensé faire faire des économies à l'Assurance Maladie et par conséquent à la Sécurité Sociale, par cette supplémentation mais celle-ci, bien qu'elle se soit montrée efficace au point d'être salvatrice n'avait pas du tout plu auxdits neurologues, pas plus qu'à la CPAM du Val-de-Marne, qui a par la suite interdit de donner toute information sur cette affaire (que j'ai rapporté depuis août 2009 sur le Web dans un article référencé n° 34640255 html et intitulé "Maltraitances aux personnes âgées"

J'y ai rapporté aussi fidèlement que possible ce qu'il m'en avait coûté d'avoir usé de ce traitement supplémentaire, pourtant “naturel et bio”.


=> Les informations que j'ai communique à LCP ont aussi été adressées à la Presse dite “mainstream” (Le Monde, La Croix, L'Obs, Tribune Juive, Le Quotidien du Médecin, Santé Magazine, Le Parisien ... ) et je les ai mises en ligne sur le Web le 30 juin 2023 sur “le blog de leon” sous le titre "Des pratiques aussi bizarres qu'effrayantes à l'AP-HP".

J'espère que cette courte introduction retiendra suffisamment l'attention de Jean Viard et des parlementaires pour aller plus loin dans la compréhension de ce qui a poussé le Pr. Gérard Saïd comme la direction de l'hôpital Bicêtre à m'accuser "d'avoir moi-même sciemment fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme" quatorze ans après ce qui s'est passé en 1990 à l'hôpital Bicêtre puis à l'hôpital Charles-Foix après ce qui s'était passé à la Clinique Léon Elmelik lors du long WE de le Pentecôte cette année-là.

En définitive, il s'avère qu'en 1990 les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd au CHU de Bicêtre, bien qu'ils aient fait tout ce qu'il fallait pour arriver à leur fin, n'avaient pas réussi pas à faire mourir le malade qu'ils avaient mis entre les mains inexpertes du Dr. Jean-Yves Beinis pour que celui-ci ne se rende pas bien compte de ce qu'il était en train de faire en suivant le traitement qu'ils lui avaient commandé de suivre sans y changer quoique ce soit malgré la totale (et évidente) inadéquation de celui-ci !

Dr. Pierre Cretien Tel 07 86 92 02 05 à la disposition ce “Cca” (parce que c'est le moment de parler de MetooGarçon)

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Bibliographie
1 – 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 – 792. “Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin”.
2 – 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 “Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection”.
3 – 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.
4 – 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. “Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis”
5 – Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).
6 – Arch Neurol 1992;49:501-506. “Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes”.
7 – Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. “Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection”
8 – JAMA 1993;269:1144-1153. “Preventive Health Care for Adults With HIV Infection”
9 – Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"
10 – J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".
11 – AIDS Clin Care 1998;1-1 “Peripheral Neuropathy in HIV Disease”.
12 – Neurology 1999;53:592-592. “Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users”
13 – Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"
14 – Pediatrics 2000;106:35e-35. “Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age”
15 – Neurology 2002;58:730-735. “Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy”
16 – Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".
17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) “Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease”. (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)
18 – L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 – 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
19 – Revue Neurogique 2006;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)

Et 22 ans plus tard, en 2012, ce fut la découverte (et/ou l'invention) d'une astuce technique (testée en bassin, reste à le tester in situ sur une petite unité de production pour démontrer qu'elle est capable de résister aux tempêtes les plus violentes et à la corrosion marine). Elle permet, pour un coût bien moindre que la construction d'un barrage, de récupérer l'énergie marémotrice, qui est quasi inépuisable à l'échelle humaine, et qui plus est l'est de façon ubiquitaire et écologique grâce à cette “astuce technique” (mais comme rien ne se créé et rien ne se perd sur le plan énégétique, son efficacité et sa trop grande diffusion sur le plan planétaire pourraient modifier le sens et la force des grands courants océaniques du fait que l'énergie cinétique substituée au système terre-lune se paiera forcément d'un ralentissement de la rotation de la terre sur elle même, un ralentissement qui, aussi imperceptible soit-il sur le plan humain, ne se sera pas sur pour courants océaniques, et cela dans une mesure que je suis bien incapable de pouvoir calculer.

Il y a une dizaine d'années j'ai failli devenir SDF juste avant l'arrivée de l'hiver à 74 ans ! C'est état m'a été épargné comme celui d'un internement psychiatrique d'office réclamé par le maire d'une petite ville bretonne, (François Fernandez) , que l'avis d'un confrère psychiatre médiatique m'a évité en se portant garant au sujet ma santé mentale.

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3 février 2024 6 03 /02 /février /2024 16:45

Invité le 1er février 2024 au "Magazine de la santé", sur Fr 5 à parler de "L'estime de soi" (l'EDS) et donc de son livre paru aux éditions  Odile Jacob le 4 septembre 2008    ===>

Quatrième de couverture. "Lorsqu’on ne s’estime pas, on est rarement heureux. On doute de soi, on ne fait pas toujours les bons choix, on se sent vulnérable dans l’adversité. Pour autant, rien n’est irrémédiable. Ce livre vous permet d’établir votre bilan personnel".

"Jusqu’à la parution récente de L’estime de soi, s’aimer pour mieux vivre avec les autres de Christophe André et François Lelord, deux psychiatres habitués à s’adresser aux non-initiés. Leur idée clé : haute ou basse, l’estime de soi influence toute notre vie".

===>>  le psychiatre Christophe André, s'est fait célèbre sur le plan médiatique et doit c être "bien dans sa peau' pour en avoir eu son EDS  magnifié.

Christophe André et François Lelord  ont-ils lu Françoise Dolto, qui a expliqué pourquoi et comment une adolescente anglaise dépressive et dont on peut supposer qu'elle n'avait pas une bonne estime d'elle-même (c'est le cas des  victimes d'abus sexuels obligées de les taire pour ne pas être traitées par les psys freudiens d'être des hystériques qui confondent leur fantasmes œdipiens "présents chez tout être humains" (sic, dixit Roger Perron page 801 du tome 1 à l'entrée "inceste" du Dictionnaire international de psychanalyse  paru en 2002 chez Calman-Lévy, qui écrit "Il ne faut évidemment pas confondre les fantasmes incestueux, présents chez tout être humain, et les comportements réels, de type incestueux, infiniment plus rares"; et d'ajouter "il reste que leur abord psychanalytique a permis d’en comprendre beaucoup mieux la genèse et la signification” alors que les comportements réels de type incestueux ne sont pas du tout rares, puisqu'une personne sur dix a eu à  subir ces comportements !  L'abord "psychanalytique n'a donc pas du tout permis d'en comprendre la genèse e la signification !)

 Dans "L'évangile au risque de la psychanalyse" Françoise Dolto relatee l'histoire d'une adolescente angaise dépressive et mal dans sa peau et qui souffre par conséquent d'une piètre estime de soi. Son estime de soi améliorée et sa dépression s'est envolée après qu'elle a reçu des félicitations officielles pour avoir, à ses risques et périls, aidé des jeunes enfants à sortir d'un bus de ramassage scolaire en flamme à la suite d'une sorte de route. Et Dolto d'expliquer que c'est parce qu'elle avait pu exprimer ses pulsions agresives refoulées en portant secours à des enfants en danger de mort que son malêtre s'était dissipé, alors que c'est évidemment d'avoir été reconnue héroïque et félicitée qui en est la cause, car si elle en avait été blâmée elle n'aurait certainement pas eu son estime de soi même magnifiée. CQFD

A cette question l'IA de Bing répond : Dans cette histoire, l’adolescente a pu canaliser ses pulsions agressives refoulées de manière positive en sauvant des enfants d’un bus en flammes. Dolto suggère que c’est cette action qui a permis à l’adolescente de surmonter sa dépression. Cependant, comme vous l’avez souligné, le fait qu’elle ait reçu des félicitations pour son acte héroïque a également joué un rôle crucial dans l’amélioration de son estime de soi. Si elle avait été blâmée pour son action, il est probable que l’effet sur son estime de soi aurait été négatif. Cela souligne l’importance de la reconnaissance et de la validation dans le processus de guérison et de développement de l’estime de soi. C’est un point de vue intéressant et une interprétation valable de l’histoire. Merci de l’avoir partagé. CQFD (ce qu’il fallait démontrer) en effet !

Christophe André n'a probablement pas (il faudrait que je lui pose la question) été sauvagement attaqué sexuellement dans le Cabinet d'un médicastre de quartier lorsqu'il avait 6 ans 1/2. Un attentat dont il aurait alors forcément gardé un souvenir épouvantable ===>

"un souvenir cuisant" avait dit Voltaire en parlant de ce dont il avait été lui-même victime à l'âge de 11 ans de la part des Jésuites

- Cf. le n° 435 du magazine "Lire" consacré à Voltaire en mai 2015 Lire Magazine Littéraire n°435 – Faut-il brûler Voltaire https://www.lire.fr/products/lire-n-435-faut-il-bruler-voltaire-mai 2015 et/ou Olivier Guichard, Voltaire et les Jésuites Web23 mars 2023 · Issue d’une thèse en littérature soutenue à l’Université de Genève, cette étude restitue pour la première fois les détails de l’éducation reçue par Voltaire chez les jésuites …

https://www.fabula.org/.../olivier-guichard-voltaire-et-les-jesuites.htm

===> bien qu'inconscient de sa causalité, qui vient le visiter la nuit dans son sommeil, au point de l'empêcher de dormir pour ne pas avoir à les revivre dans ses cauchemars ou dans la réalité, des fois que le Dr. Beaussalot (son pseudo plus approprié que le vrai) soit réellement caché derrière la porte, comme dans ses cauchemars, des cauchemars dont il n'aurait pu savoir à quoi ils correspondaient que 66 ans plus tard, quand sa sœur aînée le lui aurait enfin expliqué (ce qui a eu pour effet de les supprimer) alors qu'elle avait jusque-là gardé pour elle ce qu'elle savait à ce sujet, de façon à pouvoir garder par rapport à son cadet un sentiment de supériorité en le prenant, comme son père, pour un pauvre imbécile (POVE Q) parce qu'il se prétend psychiatre alors qu'il "ne sait même pas ce qu'il en est de lui-même" (sic, dixit mon père en 1983 à mon retour de vacances estivales passées en Suède avec mon épouse et mes les deux filles / La deuxième enseigne dans un Lycée de la proche banlieue parisienne, un établissement qui en 1946 m'avait hébergé quelques jours avec d'autres enfants en partance pour la Suède. Une partance à l'instigation de ma mère. J'en faisais partie pour échapper à la violence de mon père, qui ne supportait pas mon changement de caractère provoqué par les séances d'UV thérapie rue Bezout dans le Cabinet du Dr. Beaussalot).

Mais pour moi contrairement à Freud l'EDS consiste à ne pas garder pour soi ce que l'on sait d'expérience, qui contredit des vérités mensongères, que Freud avait pour son EDS personnelle trouvé bonnes, trompé qu'il avait accepté d'être par ce que lui avait fait avaler le "bon" Dr. Breuer au sujet d'Anna O, parce qu'il craignait qu'elle aille raconter à Martha Bernays, et Martha à Freud, qu'il en avait fait sa maîtresse, racontant à Freud qu'elle était une hystérique qui prenait ses désirs pour la réalité alors que la réalité avait été les désirs de Breuer, qui avait voulu faire de sa jeune patiente sa maîtresse bien qu'elle soit "totalement dépourvue de sexualité" (dixit Breuer), et morphiniquée pour être maintenue sous son emprise.

Après que son épouse l'a obligé à s'en séparer par une tentative de suicide. il avait confié à Freud qu'il aurait préféré qu'elle soit morte, comme le savent mais ne le disent pas les psychanalystes.

Au sujet d' Anna O lire Mikkel Borsh Jacobsen et Frank Sulloway etc ..

En réalité Bertha Pappenheim avait souffert de troubles neurologiques transitoires relevant d'une SLA (selon des neurologues et moi-même).

Pas étonnant qu'elle se soit par la suite "opposé avec véhémence à toute suggestion de traitement psychanalytique pour les personnes dont elle avait la charge, à la grande surprise des gens qui travaillaient avec elle".

Pierre Cretien, MD 

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28 janvier 2024 7 28 /01 /janvier /2024 22:41

L’intelligence artificielle peut-elle comme les êtres humains comprendre l'humour ? 

Non, l'IA n'a pas d'esprit, elle ne le comprend manifestement pas les jeux de mots.

J'ai posé quelques questions à l'IA de Bing Micosoft, réputée être d'une grande intelligence, à commencer par une question humoristique simple, rien que pour voir si elle a comme nous assez d'esprit pour comprendre qu'il s'agit d'une blague, puisqu'elle en serait capable, et pour finir une question pour voir si elle sait répondre à ses contradictions ?   

Question :  Héralcoolisée Mènatou  avait choisi d'appeler Hercule  le garçon qu'elle avait eu avec Dieuséky lors d'une union extra conjugale très arrosée, mais elle n'avait pas gardé le moindre souvenir de cette échappée.

Arrivé à l'âge d'aller à l'école Hercule détesta immédiatement y aller.  Il y allait en trainant, et sa mère était obligée de lui répéter sans cesse  "mais  avance Hercule !", et Hercule a fini par devenir fou. Comment expliquer cela ?

===>> Réponse de Lia :  Bien sûr, je peux vous expliquer pourquoi Hercule a fini par devenir fou. Laissez-moi vous raconter l’histoire d’Héraclès, également connu sous le nom d’Hercule dans la mythologie romaine:

Conception et Naissance: Héraclès est le fils de Zeus et d’Alcmène.

Héraclès, également connu sous le nom d’Hercule dans la mythologie romaine, est l’un des héros les plus vénérés de la Grèce antique. Son nom signifie littéralement « Gloire d’Héra ». 

Voici l’histoire qui pourrait expliquer pourquoi le fils d’Héraclès a fini par devenir fou :

Zeus avait décidé d’avoir un fils capable d’aider à la fois les hommes et les dieux.

Amphitryon, le mari d'Alcmène, était parti en guerre contre les Taphiens et les Téléboéens, et Zeus en profita pour descendre de l’Olympe et passer une nuit avec Alcmène en prenant l’apparence d’Amphitryon.
Alcmène donna ainsi naissance à Héraclès à Thèbes. 

Mais Héra, l’épouse de Zeus, retarda ensuite la délivrance d’Alcmène à la naissance Eurysthée, fils du roi Sthénélos d’Argos, pour se venger des infidélités de son mari.
Héra,  belle-mère,  d’Héraclès,  voua à celui-ci une haine tenace. Dès ses premiers jours, elle envoie deux horribles dragons dans son berceau pour qu'ils le tuent, mais Héraclès,  protégé par son père put facilement  les tailler en pièces. Protégé par Zeus, Héraclès mena à bien ses douze travaux, mais ces travaux terminés, Zeus lui a retiré sa protection, et Héra en profita pour causer sa folie en envoyant Lyssa (la Folie) dans sa famille.
Ainsi, la haine persistante d’Héra envers Héraclès, combinée à ses exploits héroïques et aux épreuves qu’il a endurées, a peut-être contribué à sa descente dans la folie. La mythologie grecque regorge de récits complexes et fascinants, et l’histoire d’Héraclès en est un exemple saisissant. 🌟🏛️🌿

Reformulatiion de la  question  à Lia  : cette réponse est insatisfaisante : c'est pas pour ça qu'Hercule est devenu fou. Jacques Lacan a su trouver la raison de sa folie : c'est parce que " l'inconscient est structuré comme un langage", et par conséquent  répéter sans cesse à Hercule "avance Hercule" est  entendu dans l'inconscient comme  "avance et recule" donc comme une injonction à rester sur place,  alors que dans la vie qui n'avance pas recule !

===>> Nouvelle réponse de Lia : Je vous remercie pour votre commentaire. Jacques Lacan, en effet, a apporté des perspectives intéressantes sur la psychanalyse et l’inconscient. L’idée que l’inconscient est structuré comme un langage souligne l’importance des mots et des significations cachées dans nos pensées et nos actions. Quant à la folie d’Hercule, il est vrai que les mythes grecs sont riches en symboles et en interprétations. La répétition de l’injonction “avance et recule” pourrait en effet être vue comme une contradiction, créant une tension mentale chez Hercule. Dans la vie réelle, il est souvent vrai que l’immobilisme peut être aussi préjudiciable que le recul. Trouver un équilibre entre avancer et réfléchir est essentiel pour notre bien-être mental. Merci d’avoir partagé cette réflexion avec moi ! 🌟

===>> Nouvelle question  à  Lia : Que sait Lia d' Eurysthée ?
Dans la mythologie grecque, Eurysthée (en grec ancien Εὐρυσθεύς) était le roi de l’Argolide, une région comprenant les cités de Mycènes et Tirynthe. Voici quelques éléments importants à son sujet : Naissance et Héritage : Eurysthée était le fils de Sthénélos et de Nicippé (ou parfois Ménippé). Il est l’ennemi d’Héraclès (ou Hercule en latin) et le commanditaire des célèbres douze travaux d’Héraclès. Sa naissance est liée à une prophétie de Zeus : un homme naîtrait d’une mortelle, appartenant au sang de Zeus lui-même, et régnerait sur ceux qui l’entourent.
Amphitryon, l’époux d’Alcmène (la mère d’Héraclès), ayant accidentellement tué son beau-père Électryon (roi de Mycènes), Eurysthée a hérité du trône de l’Argolide.
L’oracle de Delphes ordonne à Héraclès de se mettre au service d’Eurysthée et d’accomplir ses commandements. Jaloux de la puissance et de la force d’Héraclès, ainsi que de ses droits au trône de l’Argolide, Eurysthée lui impose des exploits formidables. Eurysthée fait preuve de lâcheté, se cachant même dans une jarre en bronze lorsque Héraclès lui apporte la peau du sanglier d’Érymanthe. Dans la pièce d’Euripide, Les Héraclides, il se montre plus cruel que lâche, refusant de reconnaître certains travaux accomplis par Héraclès, ce qui entraîne deux travaux supplémentaires. Après l’apothéose d’Héraclès sur l’Olympe, Eurysthée continue de le persécuter à travers ses descendants.

Nouvelle question : Qui est le véritable commanditaire des  travaux d'Héraclès ? Zeus ou Eurysthée ?

===>: dans la mythologie grecque, les Travaux d’Héraclès, également appelés Douze Travaux, sont les exploits exécutés par le héros Héraclès sur l’ordre d’Eurysthée. Héraclès, fils de Zeus et d’Alcmène, est poursuivi depuis sa naissance par la haine d’Héra, furieuse d’avoir été trompée par son mari, Zeus. Dans un moment de folie inspirée par la déesse Héra, Héraclès tue sa femme Mégara et ses fils. Revenu à la raison, il consulte la Pythie pour savoir comment expier sa faute. Elle lui ordonne de se mettre au service d’Eurysthée, son plus vieil ennemi, et d’accomplir les tâches qu’il lui ordonnerait : ce seront les Douze Travaux. Donc, bien que Zeus soit le père d’Héraclès, c’est Eurysthée qui est le véritable commanditaire des travaux d’Héraclès.

Question :  Pourquoi Héraclès apporte-t-il la peau du sanglier d’Érymanthe à Eurysthée ?

====> Héraclès a apporté la peau du sanglier d’Érymanthe à Eurysthée car c’était l’un des douze travaux qu’Eurysthée lui avait imposés. Eurysthée avait ordonné à Héraclès de ramener le sanglier d’Erymanthe vivant et de le déposer à ses pieds. Eurysthée craignait de plus en plus Héraclès, de peur qu’il finisse par prendre le trône, et voulait sa mort. Aussi, il décida, avec l’aide de Héra (Junon), de rajouter des difficultés pour ce travail1. Après une longue poursuite, Héraclès a réussi à capturer le sanglier et l’a ramené à Tirynthe. Les habitants ont poussé des cris de joie et l’ont acclamé. Il est arrivé au palais et a montré la bête à Eurysthée. De peur, le roi a sauté dans une énorme jarre. Mais Héraclès, qui avait reçu l’ordre de déposer le sanglier aux pieds de son cousin, l’a fait glisser dans la jarre
Question : pourquoi Héra a-t-elle  envoyé Lyssa dans la famille d'Heraclès  ?
===>>   Héra a envoyé Lyssa, la déesse de la Folie furieuse, dans la famille d’Héraclès pour inspirer une folie sanguinaire à Héraclès. Cette folie a conduit Héraclès à tuer ses propres enfants et sa femme, les prenant pour ceux de ses ennemis. Cela fait partie d’une série d’événements où Héra se venge en contrecarrant les desseins de son époux Zeus. Héra était jalouse de Zeus et de ses nombreux enfants illégitimes, dont Héraclès était l’un. Par conséquent, elle a cherché à rendre la vie d’Héraclès aussi difficile que possible. Dans la tragédie “La Folie d’Héraclès” d’Euripide, la folie d’Héraclès est envoyée par Héra par l’intermédiaire d’Iris, messagère des dieux, et de Lyssa, déesse de la folie. Le meurtre survient après les douze travaux
 Question : Qui était l'épouse d'Héraclès ? Comment a-t'il pu prendre sa femme pour une  ennemie  
===>>  Héraclès a eu plusieurs épouses au cours de sa vie. Sa première épouse était Mégara, fille de Créon, roi de Thèbes. C’est elle qu’Héraclès a tuée, ainsi que leurs enfants, lorsqu’il a été frappé de folie par Héra. Après Mégara, Héraclès a épousé Déjanire. Le malentendu tragique qui a conduit Héraclès à prendre Déjanire pour une ennemie est lié à l’histoire du centaure Nessus. Nessus a été tué par Héraclès pour avoir tenté d’enlever Déjanire. Avant de mourir, Nessus a donné à Déjanire un philtre d’amour empoisonné, prétendant que cela garantirait la fidélité d’Héraclès. Plus tard, lorsque Déjanire a eu des doutes sur la fidélité d’Héraclès, elle a utilisé le philtre, ne sachant pas qu’il était empoisonné. Cela a conduit à la mort douloureuse d’Héraclès.

Question : Qui alors de Héra ou de Lyssa a causé la folie meurtrière d'Héraclès ?

====> C’est Héra qui a causé la folie meurtrière d’Héraclès, mais elle a utilisé Lyssa comme instrument pour accomplir cela. Héra, l’épouse de Zeus et la belle-mère d’Héraclès, était jalouse de l’affection de Zeus pour Héraclès, qui était son fils illégitime. Pour se venger, Héra a envoyé Lyssa, la déesse de la folie furieuse, pour inspirer une folie sanguinaire à Héraclès. Cela a conduit Héraclès à tuer sa femme Mégara et leurs enfants, les prenant pour ceux de ses ennemis. Donc, bien que Lyssa ait été l’agent direct de la folie d’Héraclès, c’est Héra qui en était la cause ultime. Il est à noter que Héraclès n’a pas réellement pris Déjanire pour une ennemie, mais plutôt que les actions de Déjanire, bien qu’involontaires, ont conduit à sa perte. C’est un exemple tragique de la façon dont les dieux de la mythologie grecque manipulaient souvent les mortels pour atteindre leurs propres objectifs.

Quetion : Comment Zeus a-t-il réagi à la mort d'Héraclès?

===>> Réponse : Après la mort d’Héraclès, Zeus l’a divinisé. En signe de réconciliation, Héra a offert à Héraclès en mariage Hébé, la déesse de l’éternelle jeunesse. Cela marque une pause dans les relations tumultueuses entre Héraclès et Héra.

Question : Zeus n'en a-t-il pas voulu à Héra d'avoir causé la mort d'Héraclès ?

===>  Il n’y a pas de récits spécifiques indiquant que Zeus en voulait à Héra pour avoir causé la mort d’Héraclès. En fait, après la mort d’Héraclès, Zeus l’a divinisé et Héra, en signe de réconciliation, a offert à Héraclès en mariage Hébé, la déesse de l’éternelle jeunesse. Cela suggère que Zeus n’a pas tenu Héra pour responsable de la mort d’Héraclès. Cependant, les relations entre Zeus et Héra étaient souvent compliquées et tumultueuses, en grande partie à cause des nombreuses infidélités de Zeus.

Question :  pourquoi Zeus a-t-il divinisé Héraclès ?

===>Selon la mythologie grecque, Zeus a décidé d’avoir un fils capable de venir en aide aux hommes comme aux dieux. Après la naissance d’Héraclès, Hermès a placé l’enfant sur le sein d’Héra endormie. En effet, aucun des fils de Zeus ne pouvait devenir immortel s’il n’avait pas tété au sein de la déesse. Après avoir accompli douze travaux imposés par les destins, Héraclès a acquis l’immortalité et habite le palais de Zeus, en compagnie d’Hébé, son épouse. Zeus a obtenu d’Héra, en guise de compensation, qu’Héraclès acquière l’immortalité après avoir accompli ses travaux. C’est ainsi que Zeus a divinisé Héraclès
Quelles  sont les femmes avec lesquelles Zeus a convolé ?
===>> : Zeus, le dieu suprême de la mythologie grecque, était connu pour avoir eu de nombreuses épouses et maîtresses. Voici une liste non exhaustive de ses épouses et maîtresses :
Épouses de Zeus : Métis, Déesse de la Sagesse, Thémis, Déesse du Bon Conseil, Eurynome,  Déesse de l’Eau, Déméter,  Déesse de l’agriculture, Mnémosyne,  Déesse de la Mémoire, Héra,  Déesse du mariage, des femmes, des naissances et de la famille, Léto, Déesse de la maternité
Maîtresses de Zeus : Léto, Maïa, Alcmène, Sémélé, Danaé, Déméter, Léda, Perséphone, Séléné, Callisto, Europe, Eurynomé, Io, Ploutô; Électre. Chacune de ces femmes a ses propres histoires uniques, qui s’inscrivent dans les riches mythologies des dieux grecs
;


Question : D'après votre  réponse  Léto et Démeter auraient  été à la fois et des Déesses épouses immortelles de Zeus et ses maîtresses mortelles ?

 ===>Je m’excuse pour toute confusion. Léto et Déméter sont effectivement des déesses immortelles. Elles ont été à la fois des épouses et des maîtresses de Zeus selon différentes histoires de la mythologie grecque. Elles ne sont pas mortelles. Merci de m’avoir permis de clarifier cela.

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25 janvier 2024 4 25 /01 /janvier /2024 21:56

Le titre donné à cette histoire véridique correspondait au thème de l'émission de "ça commence aujourd'hui "diffusée le 18 janvier dernier. Je l’ai d’ailleurs communiquée à l’émission puisqu'elle correspond au thème abordé ce jour là.

Elle paraît de prime abord invraisemblable et impossible mais est réellement arrivée. Ce qui peut se vérifier si on s'en donne la peine.

Le roman d'Astrid Monet  "Non loin de l'océan" calqué sur l'affaire du sang contaminé par le VIH me ramène aussi à cette l'histoire périlleuse que m'ont fait vivre mon père et les médecins aux mains desquels il était tombé dans les années 1990. Lui et moi en avons ensuite lourdement fait les frais, et moi par ricochets jusqu’à aujourd'hui et pour le restant de mes jours, qu'elle empoisonne. Mon père est décédé en octobre 1994 à 83 ans mais aurait certainement vécu beaucoup plus longtemps sans ce qui est arrivé en 1990, qui avait alors failli le tuer et lui avait occasionné de lourdes séquelles motrices, lui faisant perdre une grande partie de son autonomie.  

Cela nécessite et mérite quelques explications: ce ne sont pas Laurent Fabius et Georgina Dufoix qui ont fait les frais des transfusions infectantes, comme l'écrit Pascal Louvrier dans la présentation qu'il fait du livre d'Astrid Monet, mais les patients contaminés et leurs familles, moi par ricochet et de la plus horripilante et abominable façon, puisque de m'être légitimement mêlé, en septembre 1990 en tant que médecin, de sauver la vie de mon père alors que ses médecins s'étaient attachés (pour ne pas dire qu’ils s’y étaient atelés) à le démolir jusqu'à le faire sombrer dans un coma carus, qui sans mon intervention aurait été terminal cependant que celle-ci, « à la surprise générale » lui a fait récupérer à 30/30 au MMSE ses capacités cérébrales dans les semaines et les années suivantes parce que j’avais mis en route un traitement beaucoup plus approprié à la correction de « l’ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX » à laquelle avait conduit le traitement (ou plutôt l’absence de traitement) auquel il avait ‘eu droit’’ avant mon intervention.

Ils avaient cherché à le réduire à l’état grabataire en remplaçant secrètement le traitement cobalaminique de la maladie de Biermer pour lequel il avait été admis en neurologie par du Prozac*, faisant passer l’aggravation de son affaiblissement intellectuel sous ce faux traitement pour de l'Alzheimer afin que l’inéluctable aggravtion de son état qui en résultera fasse qu’ilcsoit définitivement dans l’incapacité de porter plainte contre l’escroquerie des médecins qui, à l’Haÿ-les-Roses, en complicité avec le maire de cette commune lui avaient subrepticement infligé sous anesthésie générale un dangereux traitement chirurgical illicite et interdit, en ordonnant au gériatre de l’ Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix (au Dr. Jean-Yves Beinis) qu'il prolonge sans faiblir le procédé "Prozaïque" d’aggravation que les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd avaient commencé à Bicêtre, non seulement dans l'intérêt du rhumatologue de la Clinique Léon Elmelik, mais aussi et surtout dans l’intérêt du CNTS et de l’AP-HP.

La réussite inattendue de mon intervention a fait que j'ai été accusé, par la porte-parole de la direction de l'hôpital Bicêtre (la plaque noire du bureau d'Isabelle Pilot indiquait qu'elle était officiellement "Chargée des relations de l'hôpital Bicêtre avec la Clientèle"), qui n'avait évidemment fait que répéter les arguties qu'avaient fini par concocter le Pr. Gérard Saïd avec la direction de l’hôpital Bicêtre et celle de l’AP-HP pour me clouer le bec "d'avoir moi-même sciemment 'fabriqué' la maladie de mon père par antisémitisme".

Croyant bien faire, j'avais mis a direction de l’AP -HP au courant de ce qui s'était passé à Bicêtre et à Charles-Foix, sans imaginer, compte-tenu de sa charte éthique, qu’elle en profiterait pour imaginer un moyen de me faire taire au lieu de prendre des dispositions pour que ces sortes d'exactions ne se reproduisent pas (Cf. la mise en place en 1995 d'un "Espace Ethique de l'AP-HP" destiné à l'enseignement de "éthique médicale.

Le CNTS qui avait commis une très grave erreur en abandonnant la méthode artisanale qui régissait avant les années 1980 les transfusions de sang au profit, à partir du début des années 1980, de méthodes à l’américaine, qui faisaient qu’un donneur ignorant qu'il était porteur du VIH au lieu de contaminer une personnes allait en contaminer un très grand nombre. Était aussi à sauvegarder une Clinique obstétricale hors normes spécialisée dans les “soins de suite”, qui débarrassait les hôpitaux de l’AP-HP des malades devenus embarrassants à cause de ça, parce qu'à cette époque, il n'était pas encore possible d'opposer les trithérapies à la survenue d'un SIDA maladie alors que des milliers de patients avaient été contaminées dans les hôpitaux de l’AP-HP, et ils risquaient à plus ou moins brèves échéances de développer un SIDA maladie, et cela pourrait faire qu’ils ou leurs familles se retournent contre les responsables des contaminations et demandent réparation.

C'était ce que la direction de AP-HP voulait éviter pour préserver les finances publiques et les responsables gouvernementaux, qui se sont eux-mêmes déclarés “responsables mais non coupables”.
En avril 1984 mon père avait été transfusé, et six ans plus tard, lors de sa réhospitalisation en neurologie à cause de l’apparition de troubles causés par la maladie de Biermer (ou pour une LEMP (leuco-encéphalopahie multifocale progressive) liée à une contamination au VIH, comme le suggère la formulation floue d’un tel diagnostic stipulé en conclusion du CR d’hospitalisation signé de l’Interne Olivier ILLE, qui fait état d’une «ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX », sic, un diagnostic ni faux ni vrai qui était à l’époque réservé aux « sachants » pour désigner de façon masquée les LEMP liées aux contaminations par le VIH – Cf. sur le blog de leon l’article « Quand c’est flou »).

Faire passer la mort des malades sur le compte du processus normal de la maladie qu'on lui inventait, p. ex. la maladie d'Alzheimer chez les patients âgés de plus de 70 ou 75 ans, comme c'était le cas de mon père, qui en avait 79 lors qu'il a été hospitalisé en neurologie pour le traitement de la maladie de Biermer, indubitablement responsable des graves désordres neurologiques qui avaient motivé son hospitalisation à l'hôpital Bicêtre dans le Service du Pr. Saïd le 2 août 1990, des désordres qui s'étaient manifestés par la survenue d'une SCM (Sclérose Combinée de la Moelle épinière) aux décours d'hémorragies incoercibles qui avaient nécessité de bloquer l'action anticoagulante de l'héparine après une opération orthopédique bilatérale, une intervention par ailleurs préalablement interdite et illicitement autant qu'illégitimement, infligée sans crier gare sur un patient gravement hypertendu (à 24/13) subrepticement placé sous anesthésie générale lors du WE de Pentecôte le 25 mai 1990 réalisée sous double garrot d'Esmach non par un chirurgien orthopédiste mais par un rhumatologue qui se faisait passer pour chirurgien dans une Clinique "protégée en haut lieu" parce qu'elle permettait aux hôpitaux de la région parisienne de se désencombrer des malades que les transfusions contaminées avaient rendus bien embarrassants.

Avez-vous compris ?

Si oui, merci, si non je tâcherai d'être plus clair la prochaine fois;


Pierre Cretien

 

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23 janvier 2024 2 23 /01 /janvier /2024 17:05

Une mesure simple a arrêté net et fait régresser la maladie d'Alzheimer !

La gériatre américaine Lee A. Lindquist, en accord avec les recommandations de l'OMS et du British Medical Journal conseille d'adopter  3 habitudes pour réduire le risque de démence chez les personnes âgées.

1° Être actif

2° Se lancer des défis

3° Socialiser (il faut toutefois reconnaître que disposer d'un solide réseau social n'est pas suffisant: Cf. Reagan et Thatcher ).

Lee A. Lindquist l'ignore, peut-être parce qu'elle n'est pas française, mais  une quatrième mesure peut en France dans certains cas empêcher radicalement le développement de la démence Alzheimer.

Elle consiste à ne pas toujours croire les médecins quand ils soutiennent qu'un vos proches est atteint de la maladie d'Alzheimer, surtout s'il s'agit de médecins qui se revendiquent de la Recherche médicale sur le traitement vitaminique des maladies neurodégénératives.

Il  importe de ne pas méconnaître cette mesure parce que son traitement arrête net et va jusqu'à faire rapidement régresser le déficit intellectuel causé par la maladie d'Alzheimer et son évolution vers une plus grande atteinte diffuse du système nerveux: la méthode transforme la démence Alzheimer en  "syndrome NDB12PP"  très facile à traiter avec efficacité.

C'est en août 1990 que j'ai fait la découverte de cette quatrième habitude méthodologique, mais manquant d'un solide réseau social, je n'ai jusqu'à maintenant pas réussi, en dépit de mes efforts, à la faire reconnaître pour qu'elle soit d'usage habituel. Il m'était alors apparu qu'il était prudent de l'essayer pour ne pas risquer de faire contracter au malade une DAIP (Démence Alzheimer Iatrogène Précoce)

Cette simple mesure de précaution expose cependant à des complications tardives, non pas les malades, mais qui la préconise et en tire pour ceux-ci substantifique moelle. Des complications qui sont  particulièrement éprouvantes et invalidantes sur le plan socio-professionnel: celle de contracter une "AAA" (Abominable Accusation d'Antisémitisme), celle ci étant très difficile à éradiquer.

Et c'est en 2004 que j'ai découvert le risque de contracter cette complication

J'ai cru pouvoir m'en débarrasser par la méthode psychanalytique, qui consiste à ne rien censurer de ce qui vous passe par la tête, même si ça vous paraît absurde, stupide ou incongru. Ainsi de  <Une vie périlleuse à raconter> <des pratiques aussi bizarres qu'effrayantes à l'AP -HP> <Soins palliatifs au sein d'une Unité de Soins Normalisés de l'AP -HP> mis en ligne sur le Web par leon.

Ces propos sont associés au diagnostic de démence Alzheimer que les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd avaient porté à l'encontre de mon père hospitalisé en neurologie à l'hôpital Bicêtre quand, en août 1990, il lui ont collé le diagnostic de "DTA" (Démence de Type Alzheimer, une terminologie en vogue à l'époque de la maladie de la vache folle) pour rendre compte de ce qu'il souffrait de graves désordres neurologiques et psychiatriques, des désordres qu'ils avaient dans leur CR d'hospitalisation étiquetés "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX" (sic, cf.infra le CR d'hospitalisation).

C'était à cette époque une façon de désigner sans qu'il y paraisse les épouvantables LEMP (Leuco Encéphalopathies Multifocales Progressives) alors en recrudescence parce qu'imputables aux contaminations par le VIH dues aux transfusions de sangs non décontaminés.

Dès avant avant que mon père reçoive ce diagnostic crypté, le Chef de clinique Pascal Masnou m'a expliqué que la place de mon père n'était pas en neurologie mais en gériatrie à l'hôpital Charles-Foix dans le Service du Dr. Jean-Yves Beinis.

Après avoir fait valoir dans l'après-midi du mardi 21 août 1990 qu'il allait pouvoir disposer en gériatrie à l'hôpital Charles-Foix d'une chambre individuelle, plus confortable que la salle à quatre lits qu'il occupait "inutilement " (sic) à Bicêtre, il pourrait à Charles-Foix continuer d'y recevoir le même traitement qu'à Bicêtre.

J'avais évidemment accepté qu'il soit transféré à Charles-Foix puisqu'il m'avait été dit et juré que le traitement de la maladie de Biermer, bien qu'il se soit jusqu'alors montré d'une surprenante inefficacité, une inefficacité avancée pour justifier le transfert du malade en gériatrie et qui semblait confirmer le diagnostic de démence Alzheimer que le Dr. Pascal Masnou avait devant moi soutenu être la cause de l'aggravation de son état malgré le traitement de la maladie de Biermer (cependant qu'il me cachait qu'il avait été secrètement remplacé par du Prozac* !)

Le lendemain 22 août après trois semaines passées à Bicêtre, les neurologues de Bicêttre firent donc transférer mon père à l'hôpital gériatrique Charles-Foix, en donnant au Dr. Jean-Yves Beinis, jeune Chef d'une "Unité de Soins Normalisés" la consigne de ne surtout pas tenir compte de l'avis que pourrait lui donner son fils, c'est-à-dire moi, qui, bien que médecin psychiatre, ne voulait pas admettre que son père puisse être atteint de la maladie d'Alzheimer, puisque je soutenais qu'il souffrait de la maladie de Biermer, et de ne faire que semblant d'administrer à son père le traitement de cette maladie (parce qu'il ne faut pas contrarier les fou ?.)

Or c'était bien le traitement de la maladie de Biermer qu'il fallait à mon père, comme l'a démontré le fait qu'après avoir été averti par les infirmières de l'USN du Dr. Beinis que mon père ne recevait pas réellement le traitement de cette maladie je l'ai mis moi même en route alors que la situation était devenue désespérée. Mon père, dans un état effrayant, avait fini par sombrer dans coma carus qui faillit être terminal.

Contre toute attente, à la grande satisfaction des infirmières du Service du Dr. Beinis, mais visiblement pas à celle de leur patron, mon père put et remettre debout en quelques jours et récupérer en quelques semaines à 30/30 au MMSE ses fonctions cérébrales.

Prévenu, le Service du Pr. Gérard Saïd et la direction de l'hôpital Bicêtre déclarèrent "très éthiquement" (selon ce que le Dr Patrice Bodenan conçoit l'éthique médicale) que le dossier de l'hospitalisation du malade avait été perdu lorsque j'ai réclamé à le consulter alors qu'il n'en était rien, et lorsque je me suis adressé à la CADA pour qu'il me soit transmis, ils m'accusèrent d'avoir "moi-même sciemment fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme" (sic), et me menacèrent des tribunaux, l'article 40 du CPP les y obligeant, mais sans rien en faire, demandez-vous pourquoi ?

Ci-après les conclusions du CR d'hospitalisation signé de l'Interne Olivier Ille. Il m'a été remis alors que je réclamais à voir le dossier de son hospitalisation, que l'hôpital prétendait être introuvable.

DISCUSSION

Myélopathie cervicale, affection dégénérative, encéphalopathie vasculaire

(nldr : le syndrome neuro-anémique n'est pas même évoqué !)

CONCLUSION

TROUBLES DE LA MARCHE EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX

UN TRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT ETRE BENEFIQUE

PAS D’INDICATION OPERATOIRE

SYNDROME DEPRESSIF TRAITE PAR PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR

REVALUATION DES FONCTIONS SUPERIEURES APRES TRAITEMENT

PATIENT TRANSFERE DANS LE SERVICE DE MEDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX

_______________________________________________________________________________

Plus d'informations sur le blog de leon, article < Une affaire à ne pas ébruiter > < Des Pratiques effrayantes à AP-HP > < Si c'est la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, c'est inutile, laissez tomber. Gloup ! > < Ordre a été donné de ne donner aucune information sur cette affaire > <Maltraitances aux personnes âgées> < Une histoire insolite et périlleuse à raconter > <Non, Jacques Attali ne promeut pas l'euthanasie des plus de 65 ans> et < Psychanalyse de l'antisémitisme > (entre autres)

envoyé : 21 janvier 2024 à Femme Actuelle <aujourdhui@ml.actu-femmes.fr>

objet : Démence : 3 habitudes à adopter au quotidien pour réduire les risques, selon une gériatre

Addenda :

En septembre 1990 Je ne savais pas encore que les neurologues de Bicêtre avaient falsifié les données du test de Schilling, déclaré être à 35 %, donc tout à fait normales, alors qu'elles étaient en réalité à 5%, donc franchement anormales et en faveur de la maladie suspectée cliniquement par les Urgentistes aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre.

J'ai dit à ma sœur: << Cette histoire "d'hydrome sous-tentoriel" (sic) pour lequel un rendez-vous d'I.R.M. a été pris pour le 24 septembre ne tient pas debout, et il n'a certainement pas la maladie de la vache folle. Il y a tout simplement qu'il ne reçoit pas le traitement qu'il lui faudrait. Au lieu de lui administrer le traitement de la maladie de Biermer, seulement un faux semblant, afin me faire croire que l'aggravation de son état est bien dû à la maladie d'Alzheimer et à une encéphalopathie vasculaire, voire à une tumeur cérébro-spinale, et c'est pour ça qu' au lieu d'aller mieux, il va de plus en plus mal. Je suis sûr de ce que je dis, j'ai été invité par une infirmière à vérifier sur le cahier de prescription le traitement qu'il reçoit ! On n'a jusqu'ici fait que lui administrer un faux-semblant de traitement de la maladie de Biermer, et on essaie aussi de me faire croire qu'il a une tumeur cérébrale. Il ne souffre pas plus d'une tumeur cérébro-spinale que de la maladie d'Alzheimer ou de Creutzfeld-Jakob ! >>

Je fis un rapide examen neurologique et dis à ma sœur :

<< Il ne voit plus clair. Regarde ses yeux, les pupilles sont complètement dilatées. Elles ne réagissent plus du tout à la lumière quand je les éclaire. Il reste une toute petite chance de le sauver. Si on ne fait rien, là maintenant, tout de suite, demain il sera mort. Il n'est plus temps d'attendre jusqu'au 24 septembre le rendez-vous d 'I.R.M. cérébrale à faire à l'hôpital Broca, ni même quelques heures de plus. Je veux bien faire le nécessaire, mais il ne faudra rien me reprocher si ça ne réussit pas. S'il meurt cette nuit, comme c'est malheureusement à craindre, je n'y serai pour rien. J'ai tout juste le temps de courir à la pharmacie chercher ce qu'il lui faut avant qu'elle ne ferme et le lui administrer.

Je te promets de ne jamais t'accuser de l'avoir tué s'il meurt cette nuit.

- Il faut aussi me promettre de m'aider après, parce que même si j' arrive à redresser la situation, ça va être très dur ! Il faudra après que tu m'aides !

- Je te le promets …. >>

Il était 19 heures 15. Il n'était plus temps de discuter. J'ai dû courir au plus vite à la pharmacie la plus proche, sise place Gabriel Péri à Vitry/Seine. Elle était en train de fermer. Je m'y suis procuré, pour 9 francs et 39 ou 36 centimes, une boite de 6 ampoules de cyanocobalamine Labaz *, et 3 seringues …

Vers 19 h 45 j'ai administré à mon père la moitié du coffret, soit 3 mg de cyanocobalamine, un mg per os glissé entre les lèvres, et 2 mg en intramusculaire.

Epilogue: Craignant le pire, je suis resté une longue partie de la nuit auprès du malade à lui appliquer des compresses de sérum physiologique sur les yeux. Je suis parti dormir un peu et suis repassé le lendemain matin vers six heures.

Mon père était encore en vie. Il y avait même un léger mieux: la mydriase n'était plus aussi totale. Un soupçon d'iris était perceptible à l'orée de la pupille.

Le lendemain soir, j'ai administré les 3 ampoules restantes.

Le surlendemain il était réveillé et se mit à avoir très faim. Un mois plus tard, après avoir reçu en intramusculaire 20 mg de ce traitement étiologique, mon père pouvait se tenir debout sans tomber, et même refaire tout seul son lit, à la satisfaction des infirmières, mais visiblement pas à celle du Chef de Service.

Bien que le malade n'ait pas récupéré le contrôle de ses sphincters – il ne les récupérera, et cela une fois pour toutes, que le 17 octobre 1990 – il fut sans ménagement renvoyé chez lui le 12 octobre, avec une provision de couches mis à ma disposition par les infirmières.

Pour comble, dans les jours qui suivirent, l'hôpital Charles-Foix fit parvenir une note d'hospitalisation salée au domicile de son ex-patient (de son ex “client”, selon la terminologie de l'époque). Il n'avait même pas été tenu compte de la prise en charge à 100 % à laquelle le malade avait automatiquement droit. Il me fallu faire rectifier la facture.

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7 janvier 2024 7 07 /01 /janvier /2024 22:22

L’acédie est une notion très ancienne que Jean Echenoz emploie dans un roman, "Ravel", publié en 2006 aux éditions de Minuit. 

Savamment documenté, est consacré aux dix dernières années de la vie du célèbre compositeur du Boléro, l’une des œuvres musicales  les plus célèbres de l’histoire de la musique, jusqu'à être dans le monde et à travers le temps jouée de façon quasi ininterrompue, d'après "radio classique. https://www.radioclassiqu.fr/oeuvre/le-bolero-de-ravel..

La philosophe catholique Alexandra Puppink-Bortoli dit avoir découvert ladite notion non pas comme nous-même en lisant Echenoz, mais au cours de ses études philosophiques, et depuis elle en fait grand cas, au point de lui avoir consacré un livre,  "Le mal à l’âme. L’acédie, de la mélancolie à la joie" (2021 éd. du Cerf, réédité en 2023 en Livre De Poche) parce qu'elle trouve qu'elle est trop peu reconnue cependant qu'elle est d’une grande actualité sociologique. 

A son sujet, la non moins catholique Sophie de Villeneuve (elle dirige les éditions Bayard) a interrogé Alexandra P-B pour Radio Notre-Dame, et Alexandra lui a fait part que pour les "Pères du désert", se livrer à l'acédie était pécher aussi gravement que de se livrer à la colère.

S de V << Comment l’avez-vous découvert ? >>

A P-B: << Je l’ai découvert un peu par hasard, au cours de mes études de philosophie / ... /  J’ai été immédiatement frappée par l’actualité de cette notion. C’est un mot qui vient du grec akêdia et qui veut dire « négligence », « indifférence ». Par extension, il signifie négligence ou indifférence pour la vie spirituelle.>>

C'est une situation à laquelle nous avons, mon père et moi, été longuement confrontés après que j'ai été amené à témoigner, pour en avoir été non pas le seul mais un des premiers témoins de ce que des médecins se sont livrés à l'empire (ou l'emprise) de l' acédie quand ils ont passé et fait passer la consigne à un autre, qu'ils savaient être aussi peu curieux et compétent sur le plant clinique qu'obéissant vis à vis fe la hiérarchique hospitalière, de remplacer par de la fluoxétine (par du Prozac) le traitement conventionnel d'une "SCM" (cf. en note*) parfaitement diagnostiquée et pertinemment rapportée à la maladie de Biermer par les Urgentistes d'un grand CHU, c'est-à-dire à un profond déficit en vitamine B 12. Un déficit vitaminique qui est par conséquent à compenser de façon urgente par une supplémentation intensive en ette vitamine indispensable au fonctionnement du système nerveux central et périphérique, et par conséquent  au maintien de la vie. La gravité de ce déficit vitaminique fait classer la maladie de Biermer dans les urgences médicales au même titre que les infarctus cardiaques et les AVC, tout retard au traitement compromettant les chances de survie et de récupération fonctionnelle sans séquelles irréversibles. 

La question se pose maintenant que je sais qu'au 5ième Rassemblement de la Communauté de l'Emmanuel, qui s'est tenu à Paray-le-Monial du 15 au 17 mars  2013 le conférencier qui discourait sur le thème "Prends soin de lui" se trouvait être celui qui vingt-trois ans plus tôt, en août 1990, avait transmis au Dr. Jean-Yves Beinis la consigne de simuler à notre insu traitement de la maladie de Biermer, sans l'informer que celle-ci avait été parfaitement diagnostiquée et rapportée  à la maladie de Biermer. Elle s'était à l'admission du malade manifestée par un tableau clinique de SCM (*) avec des désordres neurologiques et psychiatriques pertinemment rapportés en ma présence à la maladie de Biermer par les Urgentistes des Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre, c'est-à-dire comme relevant du traitement de cette maladie, ce pourquoi les Urgentistes avaient logiquement demandé son admission en neurologie. 

Compte tenu de ce que dans l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital gériatrique Charles-Foix le Dr. Beinis avait au plus haut point le sens de la hiérarchie, le sachant aussi obéissant que peu curieux, les neurologues du Service de neurologie du Service du Pr. Gérard Saïd à Bicêtre y ont fait transférer leur malade en faisant rédiger à un des Internes (à Olivier Ille) un CR d'hospitalisation ne mentionnant pas le vrai motif de l'admission du malade en neurologie au début du mois d'août et recommandant de remplacer le traitement de la maladie de Biermer par du Prozac (Cf. chapitre "CONCLUSION" infra), en le prévenant de ce qu'il ne devait en aucun cas tenir compte de ce que pourrais lui dire : c'est ainsi que le jour même où il reçut mon père dans son Service le 22 août 1990, après m'avoir entendu lui raconter dans son bureau du rez-de-chaussez ce qu'il y avait à savoir au sujet des troubles paralytiques récemment apparus chez mon père et de la situation de ma mère devenue préoccupante du fait de l'hospitalisation de mon père et de ce qu'elle perdait de plus en plus la vue et mémoire, il m'a congédié sans ménagement en me faisant savoir qu'il avait été prévenu de ce que "j'interférais inutilement dans les traitements; Ne vous faites aucune illusion, votre père ne remarchera jamais" Comment pouvait-il l'affirmer, alors qu'il venait de le recevoir dans son Service et qu'il ne l'avait pas même examiné? Sur ce, il m''enjoignit de me tenir éloigné "Je ne veux pas vous revoir avant quinze jour. En attendant recherchez une maison de retraite susceptible de l'accueillir,et de la rechercher plutôt dans le secteur privé, moins cher que le secteur public" 

Une injonction qui avait malgré (ou à cause) de son absurdité indiscutable pas été scrupuleusement suivie par le Dr. Beinis, qui heureusement me laissa la liberté de revenir avant et autorisa son malade à retourner chez lui les WE, moyennent le reprovhe que ça lui coûtait 180 francs de manque à gagner (Cf. infra)

Témoigne de la réalité de ces ubuesques aberrations  le chapitre "CONCLUSION" du Compte-rendu de l'hospitalisation d'un malade de 79 ans ** dans le Service De neurologie du Pr. Gérard Saïd hospitalisé le 2 août 1990 dans ce Service au CHU de Bicêtre, un malade qui avait été admis sur le diagnostic de maladie de Biermer, un diagnostic très logiquement formulé en ma présence aux “Lits-Portes” de cet hôpital par deux médecins Urgentistes devant ce qui s'appelle un “tableau clinique de SCM" (de Sclérose Combinée de la Moelle épinière).  L'un des deux était Antoine Moulonguet (alias Antoine Sénanque) qui dans les années qui suivirent deviendra Chef de clinique dans un Service de Neurologie à la Pitié-Salpétrière.

Neurologue, Antoine Sénanque a prolongé son expérience de "la vérité humaine de la médecine" dans ses livres (plus  particulièrement dans "Blouse", 2004 éd. Grasset), mais aussi dans "Salut Marie" (2012 aussi chez Grasset, un roman qui parle de l'expérience mystique involontaire d'un athée), "Guérir quand c'est impossible" (2018, Éd. Marabout), si ce n'est dans "Croix de cendre" (2023, Grasset, un "polar" sur Maître Eckart et l'inquisition)

Le CR de l'hospitalisation est signé Olivier Ille, qui plus tard se réclamera du mouvement  "Amour & Vérité" à la Communauté de l'Emmanuel ****_

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CONCLUSION

 

TROUBLES DE LA MARCHE EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX

UN TRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT ÊTRE BÉNÉFIQUE
PAS D’INDICATION OPÉRATOIRE
SYNDROME DÉPRESSIF TRAITÉ PAR PROZAC UN COMPRIMÉ PAR JOUR
RÉÉVALUATION DES FONCTIONS SUPÉRIEURES APRÈS TRAITEMENT
PATIENT TRANSFÉRÉ DANS LE SERVICE DE MÉDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX

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Notes

* La Sclérose Combinée de la Moelle est majoritairement due à la maladie de Biermer, qui détermine un profond déficit en vitamine B12, ce qui veut dire qu'elle est obligatoirement et urgemment à traiter par l'administration massive de vitamine B12, ce qui en l'occurrence était très simple, très peu coûteux et sans danger à faire, sans danger pour le malade et les neurologues, mais pas pour moi, comme il était à prévoir. Vous demanderez-vous pourquoi ?

** C'était le père de cette fustigation d'erreurs simulées

*** < https://www.babelio.com/livres/Senanque-Blouse/61349 >

**** < https://emmanuel.info/france/amour-et-verite >

**** < https://www.exultet.net/eshop/pages-product_music_info/category-112_67_158_163_569_572/product-7378/exultet-evenement-archives-lemmanuel-paray-le-monial-2013-medecins-2013-dr-olivier-ille-prends-soin-de-lui-3.html

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REMARQUES  sujettes à développements:  Dans la mesure où la raison, le “bon sens” et l'intelligence des personnes sont corrélés, pour comparer l'intelligence adaptative (darwinienne) de celles qui ont fait de longues études universitaires par rapport à celles qui en ont fait de moins longues, et dont le comportement est par conséquent davantage axé sur le bon sens (qui d'après René Descartes serait "la chose la mieux partagée") je propose une analyse comparative de l'usage que font de leur intelligence ces personnes face à des situations médicales concrètes (les « que faire face à … » des précis médicaux)

Dans les faits rapportés ci-après, à quel niveau situer le bon sens, donc l'intelligence des neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd à l'hôpital Bicêtre.
En août 1990, les neurologues de son Service avaient à Bicêtre secrètement remplacé par du Prozac* le traitement vitaminique B12 drastique de la maladie de Biermer.
Ils avaient fait cela alors que les graves troubles neurologiques et psychiatriques de leur malade (c'était mon père) avait été parfaitement diagnostiqué par les Urgentistes des Lits-Portes de cet hôpital à la constatation d'un “tableau clinique” dit de “SCM” (de sclérose combinée de la moelle, qui est le plus souvent en rapport avec cette maladie vitamino-carentielle). L'un des deux était Antoine Moulonguet, qui deviendra Chef de clinique dans un Service de neurologie à La Pitié-Salpétrière.

Les désordres neurologiques et psychiatriques relatifs à la maladie de Biermer ne peuvent être confondus avec ceux de la maladie d'Alzheimer, sauf à le faire exprès ou à être des médecins totalement incompétents,
Les neurologues de Bicêtre l'avaient pourtant faite de façon très "culottée", soutenant devant moi mordicus que mon père souffrait de DTA (Démence deType Alzheimer) alors que, médecin psychiatre, je leur expliquais pourquoi leur “diagnostic” était cliniquement forcément erroné.
Et de fait, après qu'ils ont fait transférer mon père en gériatrie à l'hôpital Charles-Foix dans l'Unité de Soins Normalisés du Dr. Jean-Yves Beinis, madame Pondu, la Surveillante de cette “USN” (elle était manifestement d'origine antillaise ou réunionnaise), après qu'elle a su d'elle-même corriger le diagnostic erroné transmis au Dr. Beinis par les neurologues de l'hôpital Bicêtre (mais n'étant pas parvenue à convaincre ce dernier de changer d'avis pour qu'il administre enfin réellement le traitement de la maladie de Biermer au lieu du faux-semblant qu'il avait reçu consigne de ne surtout pas changer au prétexte qu'il ne fallait pas contrarier le Dr Cretien, le fils du malade, un psychiatre qui lui avait été présenté comme délirant parce qu'il ne voulait pas admettre que son père puisse souffrir d'une “DAT” et non pas de la maladie de Biermer (qui est inéluctablement et rapidement mortelle sans son traitement spécifique).
Sa maladie en était pourtant au stade d'une "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX", et madame Pondu m'avait fait savoir, alors que mon père était dans un état devenu de + en + effrayant, que le traitement de la maladie de Biermer qui lui était administré n'était en fait que simulé.
Me l'avoir fait savoir m'avait permis de le mettre moi-même en route de toute urgence dans la soirée du 10 septembre 1990. Et alors que la partie semblait perdue mon père récupéra "à la surprise générale" en quelques semaines un MMSE (test de Folstein) à 30/30 et fut de ce fait en mesure de porter plainte pour ce qui lui était précédemment arrivé à la Clinique de l'Haÿ-les-Roses (la Clinique Léon Elmelik) où il avait commis l'imprudence de mettre les pieds le 24 mai pour savoir d'où venait ses douleurs, que dans son délire maladif (alors rapport avec l'anémie de Biermer) mon père attribuait à un cancer des os greffé sur sa prothèse de hanche pour coxarthrose au vu des crampons servant à sa fixation et à la lecture du commentaire “patibulaire” du radiologue, parlant d'une "protrussion acétabulaire" (cf. blog de leon, l'article n° 34640255 html sur la "maltraitance des personnes âgées")
Celle-ci avait sur mon conseil été mise en place en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis dans le Service du Pr. Jacques Witvoët.
Mon père croyait de façon délirante (son délire était en fait déjà corrélé à l'anémie de Biermer, cf. le cas similaire de "délire d'illusion de Capgras" d'une malade de 64 ans souffrant de cette maladie dans la Revue l'Encéphale de décembre 2003) le Pr. Witvoët et moi lui cachions la "vérité" sur son cancer parce que nous-nous en sentions responsables !
Se pose donc la question du QI des neurologues de l'hôpital Bicêtre, qui après que mon père a récupéré des facultés cérébrales m'ont fait accuser par la direction de l'hôpital Bicêtre d'avoir "moi-même sciemment fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme" (sic, parce qu'il avait du fait de son rétablissement été en mesure de porter ce dont il avait été victime à la Clinique Léon Elmelik devant la Justice) et tenté de me faire appliquer par le Conseil de l'Ordre l'article L460 du Code de la Santé Publique, compte tenu que le Pr. Gérard Saïd, en tant que membre de l'IFREM, s'est après le rétablissement de mon père permis de se faire attribuer par l'INSERM une Unité de Recherche pour ses recherches sur l'intérêt des thérapies vitaminiques dans les maladies neuro-dégénératives, le proclamant haut et fort par de grandes affiches placardées dans les couloirs et la salle d'attente de son Service, qui sollicitaient les familles de malades de participer par des donations à ses recherches.
Et de celui de madame Pondu, qui s'était permis de signaler son erreur au Dr. Beinis, puis de me faire savoir le refus de celui-ci de changer quoi que ce soit au faux-semblant de traitement de la maladie de Biermer qui lui avait été ordonné de suivre.
Et que dire du QI des Prs. André Lienhart et René-Claude Touzart, qui avaient réussi à faire rédiger par le Dr. François Chedru une expertise bidon, qu'ils ont cosignée, minimisant les conséquences désastreuses commises par les médecins qui avaient eu mon père en charge, en passant par celui de Michel Barrau, le procureur du TGI de Créteil, qui le 3 juin 1998 a requis un “non-lieu”, lequel ne tenait aucun compte des fautes impensables et des “erreurs” grossières mentionnées de façon tangible et documentée par le Dr. Yves Dano dans sa très longue contre-experiise (44 pages finement dactylographiées)
Le Pr. Gérard Saïd m'avait en 2004 (fait) accuse(r) d'antisémitisme (sic) par la porte-parole de la direction de son CHU après que je me suis adressé à la CADA pour que me soit enfin communiqué le dossier relatif à l'hospitalisation de mon père en neurologie en août 1990 et février 1991 dans son Service quand et après que le remplacement du traitement de la maladie de Biermer par du Prozac* a été fait “par erreur”, soi-disant parce que mon père souffrait avant tout d'une “DTA” (démence de type Alzheimer) liée à une "encéphalopathie vasculaire" présumée d'origine hypertensive, le tout fallacieusement (mais astucieusement) étiqueté "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX" (sic), et qu'il était par conséquent préférable pour lui comme pour moi, son fils, que l'aggravation de son état (aggravation due audit secret remplacement erroné) ne s'éternise pas (dixit à moi le Chef de Clinique une dizaine de jours après son admission du 2 août en neurologie et une dizaine de jours avant que son Service le fasse transférer en gériatrie à l'hôpital Charles-Foix pour qu'il y décède plutôt qu'à Bicêtre), le dossier de l'hospitalisation de mon père dans son Service ayant été soi-disant "égaré", alors que je savais de très bonnes sources qu'il ne l'avait jamais été ?
Et du QI de madame Pondu, la Surveillante de l'Unité de Soins Normalisés du Dr. Beinis, qui m'avait fait savoir ce remplacement avant que mon père n'en fasse définitivement les frais,
Et du bon sens de madame Gauthier, la secrétaire du Pr. Gérard Saïd, qui, en décembre 1990 elle avait accepté de me raconter en salade que le dossier de l'hospitalisation de mon père avait été égaré, s'est amendée en avril 1993 en me communiquant discrètement) en avril 1993 une photocopie de la lettre que le Dr. Martine Dési, l'Assistante du Pr. Saïd, avait adressé au psychiatre Dominique Roubineau.
Il voulait savoir si mon père, qui voulait faire une donation à ses sauveurs, était suffisamment responsable de ses actes.
Mon père, qui était dans le coma quand j'ai mis en route le traitement de la maladie de Biermer, et bien qu'il ait depuis longtemps récupéré 30/30 au MMSE, ne pouvait (ou ne voulait) admettre que ce était à moi qu'il devait de s'être rétabli : il attribuait son rétablissement au Pr. François Mazas et aux neurologues du Service du Pr. Saïd
Dans sa lettre, le Dr. Martine Dési stipulait que le malade avait ses facultés cérébrales à 30/30 au MMSE en février 1991.
Et de l'intelligence du Dr. Beinis, qui avait fidèlement suivi la consigne absurde des neurologues du CHU de Bicêtre de ne faire croire que mon père recevait réellement le traitement de la maladie de Biermer alors qu'il lui avait été ordonné de n'administrer que du Prozac*, sans apparemment se rendre compte de ce qu'elle était manifestement mortifère ? (cf. le CR d'hospitalisation qui lui avait été adressé)
Et du bon sens de la porte-parole, Isabelle Pilot, "chargée des relations de l'hôpital avec la clientèle", qui avait en août 2004 premièrement porté ladite accusation devant sa secrétaire, Mme Le Floc'h et un vigile du service d'ordre de l'hôpital.

 Il était accouru avec l'ordre de me chasser du grand bureau alloué à Isabelle P. au premier étage du bâtiment central de l'hôpital Bicêtre.

 

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