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17 avril 2019 3 17 /04 /avril /2019 14:51

« La révélation d’une information à caractère secret par une personne qui en est dépositaire, soit par état ou profession, soit en raison d’une fonction ou d’une mission temporelle, est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. »

Selon l'article 4 du Code de déontologie médical  « Le secret médical, institué dans l’intérêt des patients (sic), s’impose à tout médecin dans les conditions établies par la loi. Il couvre tout ce qui est venu à la connaissance du médecin dans l’exercice de sa profession, non seulement ce qui lui a été confié, mais aussi ce qu’il a vu, entendu ou compris

Le secret médical est donc une modalité du secret professionnel dont la violation constitue une infraction pénale. Elle est en principe sanctionnée par le Code Pénal en son article 226-13, et non pas en réalité car c' est en fait  une disposition très pratique qui sert à mettre les médecins qui commettent des erreurs, des fautes, des escroqueries, des viols, ou des assassinats ciblés, à l'abri de la Justice ...  pour autant qu'ils appartiennent à l'establishment ou à des réseaux spécialement influents, tels ceux que Me Marie Grimaud a le courage de dénoncer, des réseaux qui font que la France est, de par l'emprise des concepts freudiens sur la psychiatrie française, pour les pédocriminels un eldorado.

De ce que dit la loi à son application un gouffre immense s'interpose

Preuve en est que l'Ordre des médecins et la Justice ont avalisé le fait que le docteur °°° Patrice Bodenan, en tant que Conseiller ordinal se revendiquait - non pas ouvertement mais en interne - de la franc-maçonnerie, a été jusqu'à mettre le dossier d'un malade entre les mains d'un certain docteur Antoine Denis après qu'il se l'est procuré auprès d'un Chef de Service de gériatrie de l'hôpital Charles-Foix, en l'occurrence le docteur Jean-Yves Beinis, patron d'une Unité de Soins Normalisés (sic). Le docteur Beinis le lui avait remis sans discuter, sans réticence aucune puisqu'il se savait en tort, donc que l'Ordre et la Justice soutiendront ses transgressions, puisqu'elles étaient d'une part au profit de la "fine équipe" et d'autre part au bénéfice du CNTS et des "responsables mais non coupables" de dizaines de milliers de contaminations par le VIH     

Le Dr.  Antoine Denis était un rhumatologue membres de la "fine équipe des pieds-nickelés" (voir articles précédents) contre lequel ledit malade avait porté plainte après qu'il a, par miracle réussi, grâce à la vigilance de la Surveillante de ladie USN  (madame Pondu, voir site n° 108281777 html), à sortir du très mauvais trépas (un coma carus terminal) où l'avait plongé les "soins normalisés" ordonnés par docteur Beinis, qui suivait aveuglément les directives, par définition "irréprochables", des neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd.

(voir infra le fac-similé de la Carte de Visite de frère Bod°°°. Elle est surchargée de titres aussi ronflants que creux profonds, et pour l'un d'eux illégitime, et donc usurpé)

Des directives par définition Irréprochables, puisque le Pr. Gérard Saïd était alors membre de l'IFREM, un Institut de Formation et de Recherche en Éthique Médicale, un Institut éditeur de Médica Judaïca, une Revue d'éthique médicale placée sous le haute direction du  philosophe Emmanuel Hirsch, le frère de Martin Hirsch, l'actuel directeur de l'AP - HP.

Fac-similé de la carte de visite que Bodenan °°° nous tendit le 27 avril 1992, en proférant des menaces de représailles ordinales à notre encontre.

Docteur Patrice BODENAN

Anesthésiste  Réanimateur

Chef de service adjoint à l'Hôpital Saint-Camille

Pneumologue attaché à l'Hôtel Dieu de Paris

Expert près des Cours d'Appel de Paris

Membre du Conseil de l'Ordre des Médecins du Val de Marne

Responsable du bureau de Presse

                                        Administrateur du Syndicat des Médecins du Val de Marne                                     

            Hôtel  Dieu de Paris  Tel : 42.34.82.34 (poste 2506) Hôpital  Saint-Camille   Tel : 49.83.10.10. (Bip 34)  

                                          19, route des Gardes        92 190 Meudon  Tel : 46.26.02.73   

J'ai barré réanimateur parce que le professeur Pierrre Huguenard, directeur à Henri Mondor du SAMU du Val-de-Marne, chez qui le Dr. Bodenan avait obtenu sa qualification d'anesthésiste, m'a appris qu'il ne lui avait aucunement accordé ce titre. Bodenan avait donc usurpé cette qualification, et de fait, on s'apercevra qu'il avait surtout appris à endormir les gens. Mais il a vraisemblablement par la suite obtenu la qualification auprès du Pr. Christain Hervé en tant que Frère °°°, ayant réussi à obtenir de lui un DEA d'éthique médicale, un DEA qui lui a permis d'accéder au poste  de président du Conseil disciplinaire au Conseil de l'Ordre d'Île-de-France.   Il en était si fier qu'il l'a mis en ligne sur le Web, jusqu'à ce qu'il s'aperçoive - probablement en me lisant ou en prenant conseil auprès dfe Pr. C. Hervé - que sa manière de concevoir l'éthique était très discutable puisqu'il y spécifiait que le rôle de tout directeur d'établissement hospitalier était avant tout de défendre l'équilibre de ses comptes, quand bien même ce serait au détriment des malades. De ce point de vue il était donc "normal" que ses amis les médecins de la Clinique Léon Elmelik aient imposé à leur malade une opération non pas légitime du point de vue médical mais du point de vue du Cash-flow de leur Clinique, un point de vue qui me sera répété par son Confrère Pierre Brassart, dépêcher par Jean Penneau, le président du Conseil disciplinaire de l'Ordre du Val-de-Marne pour avaliser les épouvantables transgressions que les médecins de la Clinique Léon Elmelik avaient commises à l'encontre de leur client.    

Dans la dernière semaine du mois de septembre 1990, effaré par ce qui était arrivé à mon père - il avait failli perdre la vie après qu'il a eu le malheur de mettre les pieds dans une Clinique du Val-de-Marne - j'ai, en tant que médecin, téléphoné à la DRPS du CPAM du Val-de-Marne (la DRPS est la Direction de Relations ses Professionnels de la Santé).

C'est le docteur André Souche, sous-directeur à la DRPS qui m'a répondu. Il a ainsi le premier de mes 28 informateurs directs concernant cette Clinique (Cf. le site n° 34640255 html Chapitre I A § 1, site bientôt vieux de dix ans).

Je n'avais pas eu le temps de lui dire qu'il s'agissait de la Clinique Léon Elmelik  (une Clinique sise à l'Haÿ-les-Roses) qu'il m'a  tout de suite coupé  la parole, avant même que j'ai le temps de lui exposer le problème au sujet ce qui s'était passé  dans une Clinique du Val-de-Marne.

Il voulait avant tout savoir de qu'elle clinique il s'agissait.

Lorsque je lui ai dit qu'il s'agissait de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, il coupa tout de suite cours à la conversation. Il me dit d'une voix manifestement teintée d'angoisse << Si c'est la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, c'est inutile, laissez tomber >>. Sur ce, il raccrocha immédiatement. Gloup !

J'aurais dans les années suivantes affaire au directeur en titre, le docteur Philippe Garroust, ex médecin d'établissements pénitenciers (aux dires d'un médecin de la SS), qui se montrera tout aussi fermé, mais en conservant un calme olympien,

A l'époque je n'avais jamais entendu parler de l'existence des “Illuminati”.  Mais, avec les nombreuses autres sources informations que j'ai depuis récolté au sujet des Elmelik et de leur Clinique, je me demande si les fantasmes qui tournent autour de leur strange Clinique est du hard rock ou du polochon !?  Mais, coïncidences, aux dernières nouvelles - celles-ci ne datent que du 14 mars 2019,  quand j'ai consulté le Web, et vous pouvez vérifier, les Studios Marvel préparent un film sur les Illuminati, le Doctor Strange, les X-Men et les 4 Fantastiques. Y aurai-t-il un rapport entre eux et "la fine équipe des pieds nickelés" de la Clinique Léon Elmelik ?  Le professeur Jean Debeyre, chirurgien orthopédiste, affectionnait les belles chaussures à ferrures, d'où le nom de l'équipe. 

<< Les 4 Fantastiques, les X-Men et les Avengers feraient équipe pour faire régner la paix dans les différentes galaxies et contrecarrer la Cabale, ou Dark Illuminati, formée par les vilains dont Loki, The Hood, Docteur Fatalis, Emma Frost et Norman Osborn. Voilà qui s'annoncerait palpitant, même si l'information est à prendre avec des pincettes ! La bonne nouvelle, c'est que cela signifierait peut-être qu'Iron Man va survivre à Avengers Endgame.>> https://www.melty.fr › Cinéma › Marvel Studios 

On le voit, ça ne colle pas avec "la fine équipe" de notre histoire, où n'y a que des méchants, à commencer par l'auteur de ce site, dixit le gentil docteur François Chedru le 6 janvier 1996 (voir plus loin).  

Le 21 janvier 1991, le Commandant Christian Rackelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses nous avait tout de suite prévenu (c'était un mardi après-midi), que les plaintes adressées contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik étaient systématiquement "bloquées au parquet".

Disant cela, il avait accompagné ses dires d'un large geste englobant les territoires trouvant derrière son dos, dont tout près et presque immédiatement la mairie de l'Haÿ-les-Roses et la Clinique Léon Elmelik, et, mais beaucoup plus au loin, le TGI de Créteil.

Il avait complété ses dires en nous faisant savoir, en nous priant de ne pas le répéter, que toutes les plaintes pour viol (cent-cinquante, avait-il précisé) qu'il avait eu à enregistrer à l'encontre de son médecin-directeur, le docteur Jean-Claude Elmelik étaient systématiquement "bloquées au parquet".  

L'année suivante, Me Catherine Scotto-Derouet, en se rendant au bureau d'ordre pénal du TGI de Créteil, alors que je m'étais gardé , de crainte de lui faire peur, de lui répéter les dires du Commandant Raeckelboom et ceux du docteur Souche, constata que les très nombreuses plaintes portées à l'encontre des médecins de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, malgré leurs gravités, n'avaient jamais donné lieu à des poursuites. Ce qui prouvait, en avait-elle déduit, qu'ils étaient protégés, qu'il ne fallait donc pas porter plainte au pénal, ce qui ne serait "que pour les em....der",  mais au civil, beaucoup plus intéressant (elles avait évalué les dommages et intérêts à 800.000 francs), parce que ... le docteur Patrice Bodenan, Conseiller ordinal et responsable du Bureau de Presse du Conseil de l'Ordre du Val-de-Marne,  était, à ses dires, "beaucoup trop puissant" (sic).

Le lendemain, le 28 avril, quand j'ai cherché à téléphoner à Me Catherine Scotto-Derouet, au Cabinet de la rue Jouffroy d'Abbans, un de ses confrères me répondit vertement qu'elle n'y était plus, et "qu'on ne voulait plus en tendre parler" (sic).

J'ai mis 6 mois à la retrouver. Elle avait trouvé de quoi exercer son métier au 5 (ou 7) rue Villersexel, dans le Cabinet de Me Michel Bloom, avant que celui-ci  ne déménage pour la rue de Verneuil. Depuis, Me Catherine Scotto (qui n'est plus Derouet) semble s'être installée dans le 9.3, à Noisy-le-Grand, si c'est elle ? 

Persuadée que j'avais été radié du tableau de l'Ordre des médecins, elle me fit savoir que Me Bloom était prêt me défendre contre la décision de l'Ordre (qui donc lui avait avait fait croire que j'étais radié ?) 

L'année suivante (nous sommes en avril 1993) voulant  savoir où en était la plainte que mon père avait adressé à l'Ordre des médecins, la secrétaire qui sortit le dossier relatif à la Clinique Elmelik me dit en me le remettant "Mon pauvre monsieur, pourquoi voulez-vous que l'Ordre des médecins poursuive des violeurs et des pédophiles, ils sont au Conseil de l'Ordre"  alors que la plainte de mon père ne portait aucunement sur des exactions de ce genre. SDur, elle me laissa potasser le dossier mais ne m'autorisa pas à en faire des photocopie si je ne signais au préalable un document stipulant que je m'interdirai d'en faire juridiquement usage ! Je ne signais donc pas cette interdiction.

En avril 1993, faute d'avoir reçu une réponse de la Clinique Elmelik quant à savoir qui avait été l'anesthésiste de l'opération interdite et illicite faite le 25 mai 1990 à la Clinique des Elmelik, j'ai adressé une lettre RAR à la CPAM du Val-de-Marne pour le savoir, et faute de réponse, j'ai téléphoné. C'est une secrétaire qui décrocha le combiné. Elle me dit d'attendre, qu'elle allait se renseigner, et en attendant, j'ai entendu une de ses collègues lui dire "ordre a été donné de ne donner aucune information sur cette affaire". Gloup ! 

Voir la suite dans les textes précédents  (Une pomme de discorde et les précédents, en remontant jusqu'aux premiers, au besoin jusqu'à août 2009 !), auxquels on accède directement en poursuivant la lecture de celui-ci ... au delà des encarts publicitaires ....)

 

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10 avril 2019 3 10 /04 /avril /2019 17:46

Pour  Michel Serres, philosophe et historien des sciences, membre de l'Académie Française, les inventions et les découvertes scientifiques naissent souvent de l'anticonformisme, et l'anticonformisme procède non pas de l'amoralité ou de l'asocialité, mais de l'espièglerie.

C'est pourquoi Michel Serres fait l'éloge de l'espièglerie dans son livre "Morales espiègles", paru le 27 février dernier aux éditions du Pommier "pour chanter les vingts ans" de cette édition, qui se consacre à "comprendre le monde qui nous entoure"

C'est aussi pourquoi il faut comprendre que la  "fabrication" (sic) du syndrome NDB12PP relève de l'espièglerie, et non pas de l'antisémitisme, comme l'ont "espièglement" (ou plutôt malignement) prétendu la direction de l'hôpital Bicêtre et le professeur Gérard Saïd après que les neurologues de son Service en ont raté la découverte.

La compréhension de cette importante découverte concerne d'autant plus les éditions du Pommier que cette découverte, ignoblement qualifiée de  "fabrication antisémite" par les susdits, reste une pomme de discorde entre le médecin - prétendument "antisémite" - qui a été inopinément conduit à mettre l'existence de ce syndrome en évidence et les neurologues du Service du Pr. Saïd, qui n'avaient très bizarrement pas su ou voulu voir la réalité parce qu'ils se fiaient aveuglément au données du test de Schilling. C'était un peu comme si des garagistes prétendaient que les pneus de votre voiture sont normalement gonflés parce que le manomètre qu'ils utilisent indique une pression à 2 kg alors que les pneus sont visiblement dégonflés. 

Le père du susdit malade était tombé dans les pommes (c.-à-d. dans un coma carus) alors qu'il était hospitalisé depuis six semaines. 

Les médecins qui auraient dû lui administrer draStiquement la vitamine B12  pour qu'il puisse se rétablir s'en sont très bizarrement abstenu en passant tout (ex) près à côté du diagnostic de carence vitaminique B12 malgré son évidence clinique et alors même que les urgentistes de l'hôpital avaient su le faire !

Ce qui ne les a pas empêché de solliciter tout de suite après qu'ils ont appris que leur malade s'était rétabli sous l'effet du traitement vitaminique B12 que lui avait administré son fils une promotion de la part de Inserm, et de l'obtenir, et de s'en faire une réclame pour solliciter aussi de la part des familles de contribuer financièrement à leurs travaux de Recherche, par de grandes affiches publicitaires placardées en salle d'attente et les couloirs de leur Service.

Ce qui fait que les circonstances très bizarres de cette découverte étiquetée "fabrication antisémite" par direction de l'hôpital Bicêtre et le professeur Gérard Saïd posent questions : des questions que la Justice s'est empressée de ne pas vouloir poser, posant comme condition à l'ouverture d'une instruction "de ne pas ébruiter l'affaire" sic, dixit Me Annick Dorner-Dolivet, avocat de la partie civile.   

Était-ce pour couvrir leurs propres gravissimes manquements aux commandements les plus élémentaires de la médecine, après ceux tout aussi lourds de conséquences désastreuses perpétrés par les médecins d'une Clinique obstétricale de très mauvaise réputation, que le professeur Gérard Saïd et la direction du CHU de Bicêtre se sont entendus pour faussement déclarer perdu le dossier du malade qui avait manqué de mourir de leurs manquements ?

Après l'avoir déclaré perdu, ils se sont non seulement entendus pour accuser le fils du malade d'avoir lui-même "fabriqué" la maladie de son père par "antisémitisme", mais aussi avec le Conseil de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne pour que lui soit appliqué - sans l'obtenir - l'article L 460 du CSP au prétexte qu'il était atteint d'un délire de persécution (lire à l'article précédent la demande du Dr.Patrice Bodenan adressée au Dr.Jean Penneau, le président du Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins)    

Pourquoi de telles accusations et ces persécutions ?

La question se pose en effet de savoir si ces nouveaux manquements ont été délibérément commis pour couvrir les premiers, ou si c'est une raison encore plus inavouable que la protection des médecins de ladite Clinique qui les avait motivés ? comme le suggère d'autres transgressio, tout aussi délibérées, qui elles ont été entièrement fatales à d'autres malades, telles celles commises au CHU de Mantes la Jolie sous l'égide du même médecin.

Lorsqu'il s'est rendu au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses pour rendre compte de ce qui lui était arrivé, l'ex malade du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, un malade qui avait par "miracle" réussi à échapper à la mort du fait de l'intervention in extremis de son fils, s'est entendu dire par le Principal du Commissariat, le Commandant Christian Raeckelboom, que pour des raisons qui le dépassaient, les plaintes contre las médecins de la Clinique Léon Elmelik étaient systématiquement "bloquées au parquet". Ses médecins actionnaires étaient milliardaires et protégés en haut lieu, avait-il déclaré en guise d'explications. Sa déclaration a par la suite été corroborée par les dires de médecins très informés à leur sujet. Cf. le site 34640255 html 

- / -

Alors que l'article 40 du CPP leur faisait obligation de déclarer leurs accusations, le Pr.Saïd et l’hôpital Bicêtre se sont gardés d'en aviser les autorités judiciaires. Ils en avaient pourtant bien menacé le fils, et cela  devant le Pr. Patrick Hardy, Chef du Service de psychiatrie de l'hôpital Bicêtre, avec qui ils s'étaient préalablement entendus à l'été 2004 pour tâcher de détecter chez le fils du patient les signes d'un dérangement mental.

Il est en effet très inhabituel, donc hors normes, c'est-à-dire à leurs yeux "anormal", d'oser interroger pourquoi et comment un très éthique Chef de Service de l'AP - HP s'est employé à masquer et à couvrir, avec le concours de la direction de son l'hôpital, les fautes intentionnellement mortelles qui ont été commises dans son Service en 1990.

Le manquement à l'article 40 du CPP  n'a ainsi pas empêché en 1997 les assassinats - ils ont alors été déguisés en euthanasies compassionnelles - de nombreux autres malades au CHU de Mantes la Jolie sous l’égide du même docteur Olivier Ille, cette fois avec Christine Malèvre dans le rôle que les intéressés avaient auparavant fait jouer au docteur Jean-Yves Beinis à l'hôpital Charles-Foix en lui prescrivant de ne faire que semblant d'administrer au malade qu'ils lui adressaient le traitement de la maladie de Biermer. 

Lui adressant le malade après 3 semaines d'une vaine hospitalisation en neurologie à Bicêtre, ils le trompèrent sciemment sur la véritable nature de sa maladie e la faisant passer pour une "encéphalopathie vasculaire" compliquant une démence de type Alzheimer, le tout étiqueté "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX", à traiter par le Prozac* (sic, dixit leur compte-rendu d'hospitalisation reproduit en fac-similé à la fin de cet article).

La tromperie des neurologues de l'hôpital Bicêtre avait été savamment montée pour empêcher le docteur Beinis d’en administrer le traitement salvateur, à savoir celui de la maladie de Biermer, alors que cette maladie est mortelle sans son traitement spécifique (le docteur Sandor Ferenczi, le bras droit de Sigmund Freud en est mort en 1933, à une époque où l'on ne disposait pas d'un traitement aussi sûr et efficace que depuis le années 1950).

Les neurologues de l'hôpital Bicêtre savaient pertinemment à quoi s'en tenir concernant la maladie de leur patient puisqu'il avaient déclaré au docteur Beinis qu'il était "de toute façon inéluctablement voué à une plus grande aggravation", ainsi que me l'a ingénument répété le Dr. Beinis lorsqu'il m'a reçu dans son bureau dans l'après-midi du jour de son transfert dans son Service à Charles-Foix.

Les neurologues avaient profité de ce qu'ils savaient le docteur Beinis être suffisamment peu regardant et peu enclin à mettre en question des ordres issus de la hiérarchie, comptant sur sa soumission inconditionnelle à l'autorité, une soumission que dans les années 1960 Stanley Milgram avait montrée présente chez les 3/4 des personnes.

Les neurologues n'avaient cependant pas prévu que le malade allait devoir son salut à madame Pondu, la Surveillante du service du Dr. Beinis, qui sut faire le bon diagnostic en regardant la bouche du malade en tentant de le faire manger. Il présentait manifestement une glossite de Hunter, une glossite spécifique de la maladie de Biermer. Le docteur Beinis refusa cependant de changer quoique ce soit aux ordres qu'il avait reçu et retransmis. Ne voulant pas s'associer à des ordres criminels, madame Pondu fit alors prévenir son fils que les infirmières du Service avaient reçu du docteur Beinis l’ordre de ne pas administrer vraiment au patient le traitement correspondant à son propre diagnostic, mais ostensiblement devant son fils ce qui ne serait qu'un simulacre de ce traitement.

Madame Pondu s'était rendu compte que son propre diagnostic correspondait à celui du fils du malade, un médecin psychiatre qui n'était donc pas aussi déjanté qu'il avait été dit.

Son diagnostic ne faisait que correspondre à celui des médecins urgentistes qui avaient fait hospitaliser le malade en neurologie dans le Service du professeur Saïd, dont alors le docteur Antoine Moulonguet, actuellement neurologue à La Pitié-Salpértrière.

Autre point commun à ces assassinats déguisés tantôt en erreurs de diagnostic, tantôt en euthanasies compassionnelles: les victimes avaient été transfusés à une époque où les transfusions transmettaient le VIH. Autrement dit, ils ciblaient une catégorie particulière de malades, c’est-à-dire que la programmation de ces assassinats répondait à ce qui définit un génocide, un génocide de cause économique, au bénéfice du CNTS et des « responsables mais non coupables » de ces contaminations transfusionnelles. En l'occurrence des responsables gouvernementaux, et par conséquent en France considérés en fait comme irresponsables, du moins à cette époque.

Dans ces affaires d'assassinats de malades Christine Malèvre, bien qu'elle ait été déclarée immature, n’a pas été hospitalisée en psychiatrie, mais a eu droit à une (légère) peine de prison.

Le docteur Olivier Ille ne pouvait pas quant à lui être inquiété par la Jutice.

N'est-il pas  un membre de la Communauté de l'Emmanuel, et n'y a-t-il pas tenu en mars 2013 un discours médical on ne peut plus éthique sur le thème "Prends soin de lui " au sein du mouvement Amour & Vérité ?

La République Française est un État de Droit, celui des Mandarins, qui abrités par le Secret Médical et l'alibi éthique ont le pouvoir de faire ce que bon leur semble.

Emmanuel Hirsch, qui n'est pas médecin, m'a déclaré "connaître par coeur" l'histoire de mon père lorsque j'ai voulu lui en toucher un mot lors d'un colloque sur le droit des personnes vulnérables, un colloque  qui s'était tenu au Palais de Justice en présence du procureur Michel Bot.

Et lorsque j'en ai parlé à Michel Bot, celui-ci m'a expliqué que ce sont les compagnies d'assurances qui interviennent dans les affaires de fautes médicales pour entraver les procédure en faisant pression sur les plaignants et leurs avocats 

NB : le Pr. Saïd était membre de l'IFREM. Il fit mettre en 1995 en place à l'hôpital Bicêtre puis à l'hôpital Saint-Antoine  un "Espace Ethique" (sic) pour l'enseignement de l’éthique médicale, à la tête duquel il fit nommer son ami le philosophe Emmanuel Hirsch, rédacteur en chef de la Revue Medica Judaïca, éditée par l'IFREM (était-ce en prévision de ce qui ne manquerait pas de se produire deux ans plus tard au CHU de Mantes la Jolie  ? )

Madame Agnès Buzyn  en a été avisée décembre dernier par lettre RAR (AR A1 152 454 8557 4) d'une dizaine de pages, mais n’y a pas encore répondue, et n'y répondra sans doute pas, sauf à être relancée.

De fait ces "bavures" mal orchestrées sont embarrassantes pour la Justice comme pour l'AP - HP et les "responsables mais non coupables" des contaminations transfusionnelles dans les années 1980, comme l'était en 1964 pour le ministère des Armées et les services secrets français l'accident de la nationale 7 à Fréjus. Un "accident" qui avait coûté la vie à Jean-Claude Saint-Aubin et à sa passagère.

D’où le titre du site Internet qui traite de cette affaire d’État :   http://genocides.over-blog.com

(CRH du 20 AOÛT 1990 daté du 30 septembre)

MOTIF DE L’HOSPITALISATION

Troubles de la marche

ANTÉCÉDENTS*

HTA essentielle, ancienneté inconnue.
Intervention orthopédique pour orteils en marteau en Avril-Mai 90
Prothèse totale de hanche gauche opérée en 84 pour coxarthrose

HISTOIRE DE LA MALADIE
Se plaint de difficultés à la marche d’installation rapidement progressive au décors de l’intervention orthopédique,
Stable depuis deux mois, la marche est hésitante, la montée des escaliers n’est plus possible, tendance à la rétropulsion et à la chute, le patient étant obligé de se déplacer avec un déambulateur;

EXAMEN CLINIQUE
État général conservé. Apyrexie. Tension fluctuante à l’entrée entre 18/12 et 20/12
La station debout et la marche sont très difficiles petits pas.
Membres inférieurs en hyper-extension. Polygone de sustentation légèrement élargi. Tendance au piétinement et à la rétropulsion.
L’occlusion aggrave l’équilibre (sic)
Au plan neurologique on objective un déficit moteur discret prédominant sur les raccourcisseurs aux membres inférieurs et coté à 4 +.
Aux membres supérieurs les petits muscles des mains interosseux et lombricaux sont discrètement déficitaires à 4. Le tonus est spastique. Les réflexes pyramidaux aux quatre membres, jusqu’en C 4 : Babinski bilatéral.
Au plan de la sensibilité, pas d'astéréognosie. Les troubles prédominent aux membres inférieurs sur la sensibilité proprioceptive. La sensibilité extéroceptive semble normale, bien que fluctuante d'un examen à l'autre et avec une hypo-esthésie au chaud et au froid et à la douleur en chaussette. Il existe une discrète incoordination motrice bien nette aux membres supérieurs avec hypermétrie. L'examen des paires crâniennes est normal en dehors des réflexes du voile abolis. Enfin, il existe depuis deux à trois mois une incontinence sphinctérienne avec mictions impérieuses.

EXAMEN CARDIO-VASCULAIRE: Pouls régulier, pas de souffle cardio-vasculaire. Le reste de l'examen clinique est sans particularité en dehors une tendance dépressive de l'humeur, une critique insuffisante des histoires absurdes chez cet ancien opticien et des capacités d'abstraction qui semblent altérées.Le mini mental est évalué à 25/30.
                                                                                                                                     .../...
DISCUSSION

Myélopathie cervicale, affection dégénérative, encéphalopathie vasculaire.

EXAMENS COMPLÉMENTAIRES
Biologie usuelle normale. Hémogramme, hémostase, vitesse de sédimentation, ionogramme, glycémie, fonctions hépatorénales, fonctions phosphocalciques, électrophorèse des protéines sériques, vitamine B12, pholates sériques, test de SCHILING normaux.(sic) Sérologie syphilitique négative.
Infection urinaire à acinectobacter traitée et stérilisée par NOROXINE
Radiographie rachis cervical et charnière cervico-occipitale : impression basilaire, arthrose cervicale modérée. Scanner cérébral : atrophie cortico-sous-corticale. Aspect de leuco-araïose mais le scanner est de mauvaise qualité, l’analyse de la substance blanche est difficile. Une IRM du rachis cervical avait été proposée pour étayer le diagnostic d'une myélopathie cervicale mais non réalisée devant une peur panique du patient deux jours avant l'examen

CONCLUSION
TROUBLES DE LA MARCHE EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX
UN TRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT ÊTRE BENEFIQUE
PAS D’INDICATION OPÉRATOIRE
SYNDROME DÉPRESSIF TRAITE PAR
PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR
RÉÉVALUATION DES FONCTIONS SUPÉRIEURES APRÈS TRAITEMENT
PATIENT TRANSFÉRÉ DANS LE SERVICE DE MÉDECINE DU
Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX
..............................................................................................................
Le patient avait été hospitalisé parce qu'il avait été pris d'une telle panique que ses voisins avaient dû faire appel à Police Secours, ce qui n'est pas mentionné dans le CR, alors que c'était une donnée fondamentale : le malade avait été admis en neurologie sur le diagnostic de syndrome neuro-anémique lié à la maladie de Biermer porté aux urgences de l'hôpital.

Le diagnostic de syndrome neuro-anémique, bien qu'il ait été cliniquement évident, fut rejeté au prétexte que le test de Schilling était (soi-disant) à 35 %, et la cobalaminémie dans les limites de la normale, quoiqu’à peine supérieure à la limite inférieure de celles-ci. On accusa aussi l’examen hématologique d’être normal, bien que ce soit à la lecture de l' examen de sang que le diagnostic de syndrome neuro-anémique a été porté aux Urgences. A noter aussi qu' aucun myélogramme n’a apparement été réalisé, pas plus qu'un dosage de l'acide méthyl-malonique dans le sang où les urines, ces examens étant selon le Chef de Service indisponibles à Bicêtre.
Dans ce compte-rendu, le test de Schilling "normal" n'est mentionné qu'au titre des examens systématiques alors que problème était central. Plusieurs tests ont certainement été faits, qui n'étaient pas normaux , mais il fallait à tout prix que tout soit "normal" pour avoir un prétexte à ne pas administrer au malade le traitement approprié à son état, Cette falsification explique que
Madame Jeanine Yvart, qui avait réalisé le test de Schilling, est devenue rouge comme une tomate quand j'ai été lui demander des explications. Et aussi le fait que le résultat du test à 5% n'ait pas été rapporté dans le CR relatif à l'hospitalisation de février 1991. CR signé du Dr. Pascal Masnou, qui fit semblant de suivre ma demande de traiter le malade selon le diagnostic clinique et non pas selon les résultats discordant du test de Schilling.

Devant l’évidence qu’il s’agissait d’un syndrome neuro-anémique, j'avais demandé que le malade soit traité conformément au diagnostic porté aux urgences, le test de Schilling s’étant en lui-même montré thérapeutique pendant quelques jours sur le plan neurologique, ce qui excluait en principe la possibilité que les troubles du malade aient été dus à un gliome. Malgré mon avis qu'il ne pouvait en aucun cas s'agir d'une démence de type Alzheimer, le traitement correctif de la maladie de Biermer ne fut pas réalisé. j'ai dû le mettre en route par moi-même à raison de 1 mg/jour en IM à partir du moment où une infirmière, devant l'état alarmant de son malade, m'invita à venir contrôler le traitement qu'elle avait reçu ordre d'administrer. C'est alors que je me suis aperçu que depuis cinq semaines qu'il était hospitalisé il ne recevait qu'un simulacre de traitement (1/2 mg de cyanocobalamine par semaine). Malgré l'état déplorable où se trouvait alors le malade. Il était décharné, les pupilles en mydriase, une mydriase qui devint totale et a-réactive quand il sombra dans le coma.  Il se remit cependant de cet état de façon inattendue et assez spectaculaire à partir du moment ou il fut traité selon le protocole appliqué au traitement de la maladie de Biermer à forme neurologique, à la grande satisfaction des infirmières, mais pas du tout du Chef de Service, qui s'en montra contrarié.

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7 avril 2019 7 07 /04 /avril /2019 15:11

Pour  Michel Serres, philosophe et historien des sciences, membre de l'Académie Française, les inventions et les découvertes scientifiques naissent souvent de l'anticonformisme, et l'anticonformisme procède non pas de l'amoralité ou de l'asocialité, mais de l'espièglerie.

C'est pourquoi Michel Serres fait l'éloge de l'espièglerie dans son livre "Morales espiègles", paru le 27 février dernier aux éditions du Pommier "pour chanter les vingts ans" de cette édition, qui se consacre à "comprendre le monde qui nous entoure"

C'est aussi pourquoi il faut comprendre que la  "fabrication" (sic) du syndrome NDB12PP relève de l'espièglerie, et non pas de l'antisémitisme, comme l'ont "espièglement" (ou plutôt malignement) prétendu la direction de l'hôpital Bicêtre et le professeur Gérard Saïd après que les neurologues de son Service en ont raté la découverte.

La compréhension de cette importante découverte concerne d'autant plus les éditions du Pommier que cette découverte, ignoblement qualifiée de  "fabrication antisémite" par les susdits, reste une pomme de discorde entre le médecin - prétendument "antisémite" - qui a été inopinément conduit à mettre l'existence de ce syndrome en évidence et les neurologues du Service du Pr. Saïd, qui n'avaient très bizarrement pas su ou voulu voir la réalité parce qu'ils se fiaient aveuglément au données du test de Schilling. C'était un peu comme si des garagistes prétendaient que les pneus de votre voiture sont normalement gonflés parce que le manomètre qu'ils utilisent indique une pression à 2 kg alors que les pneus sont visiblement dégonflés. 

Le père du susdit malade était tombé dans les pommes (c.-à-d. dans un coma carus) alors qu'il était hospitalisé depuis six semaines. 

Les médecins qui auraient dû lui administrer draStiquement la vitamine B12  pour qu'il puisse se rétablir s'en sont très bizarrement abstenu en passant tout (ex) près à côté du diagnostic de carence vitaminique B12 malgré son évidence clinique et alors même que les urgentistes de l'hôpital avaient su le faire !

Ce qui ne les a pas empêché de solliciter tout de suite après qu'ils ont appris que leur malade s'était rétabli sous l'effet du traitement vitaminique B12 que lui avait administré son fils une promotion de la part de Inserm, et de l'obtenir, et de s'en faire une réclame pour solliciter aussi de la part des familles de contribuer financièrement à leurs travaux de Recherche, par de grandes affiches publicitaires placardées en salle d'attente et les couloirs de leur Service.

Ce qui fait que les circonstances très bizarres de cette découverte étiquetée "fabrication antisémite" par direction de l'hôpital Bicêtre et le professeur Gérard Saïd posent questions : des questions que la Justice s'est empressée de ne pas vouloir poser, posant comme condition à l'ouverture d'une instruction "de ne pas ébruiter l'affaire" sic, dixit Me Annick Dorner-Dolivet, avocat de la partie civile.   

Était-ce pour couvrir leurs propres gravissimes manquements aux commandements les plus élémentaires de la médecine, après ceux tout aussi lourds de conséquences désastreuses perpétrés par les médecins d'une Clinique obstétricale de très mauvaise réputation, que le professeur Gérard Saïd et la direction du CHU de Bicêtre se sont entendus pour faussement déclarer perdu le dossier du malade qui avait manqué de mourir de leurs manquements ?

Après l'avoir déclaré perdu, ils se sont non seulement entendus pour accuser le fils du malade d'avoir lui-même "fabriqué" la maladie de son père par "antisémitisme", mais aussi avec le Conseil de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne pour que lui soit appliqué - sans l'obtenir - l'article L 460 du CSP au prétexte qu'il était atteint d'un délire de persécution (lire à l'article précédent la demande du Dr.Patrice Bodenan adressée au Dr.Jean Penneau, le président du Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins)    

Pourquoi de telles accusations et ces persécutions ?

La question se pose en effet de savoir si ces nouveaux manquements ont été délibérément commis pour couvrir les premiers, ou si c'est une raison encore plus inavouable que la protection des médecins de ladite Clinique qui les avait motivés ? comme le suggère d'autres transgressio, tout aussi délibérées, qui elles ont été entièrement fatales à d'autres malades, telles celles commises au CHU de Mantes la Jolie sous l'égide du même médecin.

Lorsqu'il s'est rendu au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses pour rendre compte de ce qui lui était arrivé, l'ex malade du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, un malade qui avait par "miracle" réussi à échapper à la mort du fait de l'intervention in extremis de son fils, s'est entendu dire par le Principal du Commissariat, le Commandant Christian Raeckelboom, que pour des raisons qui le dépassaient, les plaintes contre las médecins de la Clinique Léon Elmelik étaient systématiquement "bloquées au parquet". Ses médecins actionnaires étaient milliardaires et protégés en haut lieu, avait-il déclaré en guise d'explications. Sa déclaration a par la suite été corroborée par les dires de médecins très informés à leur sujet. Cf. le site 34640255 html 

- / -

Alors que l'article 40 du CPP leur faisait obligation de déclarer leurs accusations, le Pr.Saïd et l’hôpital Bicêtre se sont gardés d'en aviser les autorités judiciaires. Ils en avaient pourtant bien menacé le fils, et cela  devant le Pr. Patrick Hardy, Chef du Service de psychiatrie de l'hôpital Bicêtre, avec qui ils s'étaient préalablement entendus à l'été 2004 pour tâcher de détecter chez le fils du patient les signes d'un dérangement mental.

Il est en effet très inhabituel, donc hors normes, c'est-à-dire à leurs yeux "anormal", d'oser interroger pourquoi et comment un très éthique Chef de Service de l'AP - HP s'est employé à masquer et à couvrir, avec le concours de la direction de son l'hôpital, les fautes intentionnellement mortelles qui ont été commises dans son Service en 1990.

Le manquement à l'article 40 du CPP  n'a ainsi pas empêché en 1997 les assassinats - ils ont alors été déguisés en euthanasies compassionnelles - de nombreux autres malades au CHU de Mantes la Jolie sous l’égide du même docteur Olivier Ille, cette fois avec Christine Malèvre dans le rôle que les intéressés avaient auparavant fait jouer au docteur Jean-Yves Beinis à l'hôpital Charles-Foix en lui prescrivant de ne faire que semblant d'administrer au malade qu'ils lui adressaient le traitement de la maladie de Biermer. 

Lui adressant le malade après 3 semaines d'une vaine hospitalisation en neurologie à Bicêtre, ils le trompèrent sciemment sur la véritable nature de sa maladie e la faisant passer pour une "encéphalopathie vasculaire" compliquant une démence de type Alzheimer, le tout étiqueté "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX", à traiter par le Prozac* (sic, dixit leur compte-rendu d'hospitalisation reproduit en fac-similé à la fin de cet article).

La tromperie des neurologues de l'hôpital Bicêtre avait été savamment montée pour empêcher le docteur Beinis d’en administrer le traitement salvateur, à savoir celui de la maladie de Biermer, alors que cette maladie est mortelle sans son traitement spécifique (le docteur Sandor Ferenczi, le bras droit de Sigmund Freud en est mort en 1933, à une époque où l'on ne disposait pas d'un traitement aussi sûr et efficace que depuis le années 1950).

Les neurologues de l'hôpital Bicêtre savaient pertinemment à quoi s'en tenir concernant la maladie de leur patient puisqu'il avaient déclaré au docteur Beinis qu'il était "de toute façon inéluctablement voué à une plus grande aggravation", ainsi que me l'a ingénument répété le Dr. Beinis lorsqu'il m'a reçu dans son bureau dans l'après-midi du jour de son transfert dans son Service à Charles-Foix.

Les neurologues avaient profité de ce qu'ils savaient le docteur Beinis être suffisamment peu regardant et peu enclin à mettre en question des ordres issus de la hiérarchie, comptant sur sa soumission inconditionnelle à l'autorité, une soumission que dans les années 1960 Stanley Milgram avait montrée présente chez les 3/4 des personnes.

Les neurologues n'avaient cependant pas prévu que le malade allait devoir son salut à madame Pondu, la Surveillante du service du Dr. Beinis, qui sut faire le bon diagnostic en regardant la bouche du malade en tentant de le faire manger. Il présentait manifestement une glossite de Hunter, une glossite spécifique de la maladie de Biermer. Le docteur Beinis refusa cependant de changer quoique ce soit aux ordres qu'il avait reçu et retransmis. Ne voulant pas s'associer à des ordres criminels, madame Pondu fit alors prévenir son fils que les infirmières du Service avaient reçu du docteur Beinis l’ordre de ne pas administrer vraiment au patient le traitement correspondant à son propre diagnostic, mais ostensiblement devant son fils ce qui ne serait qu'un simulacre de ce traitement.

Madame Pondu s'était rendu compte que son propre diagnostic correspondait à celui du fils du malade, un médecin psychiatre qui n'était donc pas aussi déjanté qu'il avait été dit.

Son diagnostic ne faisait que correspondre à celui des médecins urgentistes qui avaient fait hospitaliser le malade en neurologie dans le Service du professeur Saïd, dont alors le docteur Antoine Moulonguet, actuellement neurologue à La Pitié-Salpértrière.

Autre point commun à ces assassinats déguisés tantôt en erreurs de diagnostic, tantôt en euthanasies compassionnelles: les victimes avaient été transfusés à une époque où les transfusions transmettaient le VIH. Autrement dit, ils ciblaient une catégorie particulière de malades, c’est-à-dire que la programmation de ces assassinats répondait à ce qui définit un génocide, un génocide de cause économique, au bénéfice du CNTS et des « responsables mais non coupables » de ces contaminations transfusionnelles. En l'occurrence des responsables gouvernementaux, et par conséquent en France considérés en fait comme irresponsables, du moins à cette époque.

Dans ces affaires d'assassinats de malades Christine Malèvre, bien qu'elle ait été déclarée immature, n’a pas été hospitalisée en psychiatrie, mais a eu droit à une (légère) peine de prison.

Le docteur Olivier Ille ne pouvait pas quant à lui être inquiété par la Jutice.

N'est-il pas  un membre de la Communauté de l'Emmanuel, et n'y a-t-il pas tenu en mars 2013 un discours médical on ne peut plus éthique sur le thème "Prends soin de lui " au sein du mouvement Amour & Vérité ?

La République Française est un État de Droit, celui des Mandarins, qui abrités par le Secret Médical et l'alibi éthique ont le pouvoir de faire ce que bon leur semble.

Emmanuel Hirsch, qui n'est pas médecin, m'a déclaré "connaître par coeur" l'histoire de mon père lorsque j'ai voulu lui en toucher un mot lors d'un colloque sur le droit des personnes vulnérables, un colloque  qui s'était tenu au Palais de Justice en présence du procureur Michel Bot.

Et lorsque j'en ai parlé à Michel Bot, celui-ci m'a expliqué que ce sont les compagnies d'assurances qui interviennent dans les affaires de fautes médicales pour entraver les procédure en faisant pression sur les plaignants et leurs avocats 

NB : le Pr. Saïd était membre de l'IFREM. Il fit mettre en 1995 en place à l'hôpital Bicêtre puis à l'hôpital Saint-Antoine  un "Espace Ethique" (sic) pour l'enseignement de l’éthique médicale, à la tête duquel il fit nommer son ami le philosophe Emmanuel Hirsch, rédacteur en chef de la Revue Medica Judaïca, éditée par l'IFREM (était-ce en prévision de ce qui ne manquerait pas de se produire deux ans plus tard au CHU de Mantes la Jolie  ? )

Madame Agnès Buzyn  en a été avisée décembre dernier par lettre RAR (AR A1 152 454 8557 4) d'une dizaine de pages, mais n’y a pas encore répondue, et n'y répondra sans doute pas, sauf à être relancée.

De fait ces "bavures" mal orchestrées sont embarrassantes pour la Justice comme pour l'AP - HP et les "responsables mais non coupables" des contaminations transfusionnelles dans les années 1980, comme l'était en 1964 pour le ministère des Armées et les services secrets français l'accident de la nationale 7 à Fréjus. Un "accident" qui avait coûté la vie à Jean-Claude Saint-Aubin et à sa passagère.

D’où le titre du site Internet qui traite de cette affaire d’État :   http://genocides.over-blog.com

(CRH du 20 AOÛT 1990 daté du 30 septembre)

MOTIF DE L’HOSPITALISATION

Troubles de la marche

ANTÉCÉDENTS*

HTA essentielle, ancienneté inconnue.
Intervention orthopédique pour orteils en marteau en Avril-Mai 90
Prothèse totale de hanche gauche opérée en 84 pour coxarthrose

HISTOIRE DE LA MALADIE
Se plaint de difficultés à la marche d’installation rapidement progressive au décors de l’intervention orthopédique,
Stable depuis deux mois, la marche est hésitante, la montée des escaliers n’est plus possible, tendance à la rétropulsion et à la chute, le patient étant obligé de se déplacer avec un déambulateur;

EXAMEN CLINIQUE
État général conservé. Apyrexie. Tension fluctuante à l’entrée entre 18/12 et 20/12
La station debout et la marche sont très difficiles petits pas.
Membres inférieurs en hyper-extension. Polygone de sustentation légèrement élargi. Tendance au piétinement et à la rétropulsion.
L’occlusion aggrave l’équilibre (sic)
Au plan neurologique on objective un déficit moteur discret prédominant sur les raccourcisseurs aux membres inférieurs et coté à 4 +.
Aux membres supérieurs les petits muscles des mains interosseux et lombricaux sont discrètement déficitaires à 4. Le tonus est spastique. Les réflexes pyramidaux aux quatre membres, jusqu’en C 4 : Babinski bilatéral.
Au plan de la sensibilité, pas d'astéréognosie. Les troubles prédominent aux membres inférieurs sur la sensibilité proprioceptive. La sensibilité extéroceptive semble normale, bien que fluctuante d'un examen à l'autre et avec une hypo-esthésie au chaud et au froid et à la douleur en chaussette. Il existe une discrète incoordination motrice bien nette aux membres supérieurs avec hypermétrie. L'examen des paires crâniennes est normal en dehors des réflexes du voile abolis. Enfin, il existe depuis deux à trois mois une incontinence sphinctérienne avec mictions impérieuses.

EXAMEN CARDIO-VASCULAIRE: Pouls régulier, pas de souffle cardio-vasculaire. Le reste de l'examen clinique est sans particularité en dehors une tendance dépressive de l'humeur, une critique insuffisante des histoires absurdes chez cet ancien opticien et des capacités d'abstraction qui semblent altérées.Le mini mental est évalué à 25/30.
                                                                                                                                     .../...
DISCUSSION

Myélopathie cervicale, affection dégénérative, encéphalopathie vasculaire.

EXAMENS COMPLÉMENTAIRES
Biologie usuelle normale. Hémogramme, hémostase, vitesse de sédimentation, ionogramme, glycémie, fonctions hépatorénales, fonctions phosphocalciques, électrophorèse des protéines sériques, vitamine B12, pholates sériques, test de SCHILING normaux.(sic) Sérologie syphilitique négative.
Infection urinaire à acinectobacter traitée et stérilisée par NOROXINE
Radiographie rachis cervical et charnière cervico-occipitale : impression basilaire, arthrose cervicale modérée. Scanner cérébral : atrophie cortico-sous-corticale. Aspect de leuco-araïose mais le scanner est de mauvaise qualité, l’analyse de la substance blanche est difficile. Une IRM du rachis cervical avait été proposée pour étayer le diagnostic d'une myélopathie cervicale mais non réalisée devant une peur panique du patient deux jours avant l'examen

CONCLUSION
TROUBLES DE LA MARCHE EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX
UN TRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT ÊTRE BENEFIQUE
PAS D’INDICATION OPÉRATOIRE
SYNDROME DÉPRESSIF TRAITE PAR
PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR
RÉÉVALUATION DES FONCTIONS SUPÉRIEURES APRÈS TRAITEMENT
PATIENT TRANSFÉRÉ DANS LE SERVICE DE MÉDECINE DU
Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX
..............................................................................................................
Le patient avait été hospitalisé parce qu'il avait été pris d'une telle panique que ses voisins avaient dû faire appel à Police Secours, ce qui n'est pas mentionné dans le CR, alors que c'était une donnée fondamentale : le malade avait été admis en neurologie sur le diagnostic de syndrome neuro-anémique lié à la maladie de Biermer porté aux urgences de l'hôpital.

Le diagnostic de syndrome neuro-anémique, bien qu'il ait été cliniquement évident, fut rejeté au prétexte que le test de Schilling était (soi-disant) à 35 %, et la cobalaminémie dans les limites de la normale, quoiqu’à peine supérieure à la limite inférieure de celles-ci. On accusa aussi l’examen hématologique d’être normal, bien que ce soit à la lecture de l' examen de sang que le diagnostic de syndrome neuro-anémique a été porté aux Urgences. A noter aussi qu' aucun myélogramme n’a apparement été réalisé, pas plus qu'un dosage de l'acide méthyl-malonique dans le sang où les urines, ces examens étant selon le Chef de Service indisponibles à Bicêtre.
Dans ce compte-rendu, le test de Schilling "normal" n'est mentionné qu'au titre des examens systématiques alors que problème était central. Plusieurs tests ont certainement été faits, qui n'étaient pas normaux , mais il fallait à tout prix que tout soit "normal" pour avoir un prétexte à ne pas administrer au malade le traitement approprié à son état, Cette falsification explique que
Madame Jeanine Yvart, qui avait réalisé le test de Schilling, est devenue rouge comme une tomate quand j'ai été lui demander des explications. Et aussi le fait que le résultat du test à 5% n'ait pas été rapporté dans le CR relatif à l'hospitalisation de février 1991. CR signé du Dr. Pascal Masnou, qui fit semblant de suivre ma demande de traiter le malade selon le diagnostic clinique et non pas selon les résultats discordant du test de Schilling.

Devant l’évidence qu’il s’agissait d’un syndrome neuro-anémique, j'avais demandé que le malade soit traité conformément au diagnostic porté aux urgences, le test de Schilling s’étant en lui-même montré thérapeutique pendant quelques jours sur le plan neurologique, ce qui excluait en principe la possibilité que les troubles du malade aient été dus à un gliome. Malgré mon avis qu'il ne pouvait en aucun cas s'agir d'une démence de type Alzheimer, le traitement correctif de la maladie de Biermer ne fut pas réalisé. j'ai dû le mettre en route par moi-même à raison de 1 mg/jour en IM à partir du moment où une infirmière, devant l'état alarmant de son malade, m'invita à venir contrôler le traitement qu'elle avait reçu ordre d'administrer. C'est alors que je me suis aperçu que depuis cinq semaines qu'il était hospitalisé il ne recevait qu'un simulacre de traitement (1/2 mg de cyanocobalamine par semaine). Malgré l'état déplorable où se trouvait alors le malade. Il était décharné, les pupilles en mydriase, une mydriase qui devint totale et a-réactive quand il sombra dans le coma.  Il se remit cependant de cet état de façon inattendue et assez spectaculaire à partir du moment ou il fut traité selon le protocole appliqué au traitement de la maladie de Biermer à forme neurologique, à la grande satisfaction des infirmières, mais pas du tout du Chef de Service, qui s'en montra contrarié.

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29 mars 2019 5 29 /03 /mars /2019 14:03

Dans le reportage de Sylvie Meyer diffusé hier soir sur Public Sénat au sujet de l'enfance violée, une grande place a été faite pour en parler à la compétence Muriel Salmona, psychiatre et auteure du "Livre noir des violences sexuelles" (Dunod 2013). 

Si avec Salmona il a été dit que les médecins ne sont pas "bien formés" au diagnostic des troubles consécutifs aux incestes et à la reconnaissance de la gravité des troubles psychologiques, de type dissociatif et psychosomatiques, que génère la pédo-prédation, qu'elle soit incestueuse ou non, on s'est bien gardé de dire que le déni de réalité a été sciemment inventé et institué  par Sigmund Freud et Ernest Jones, et que ce déni a lourdement aggravé les troubles psychosomatiques et dissociatifs des victimes, ainsi que l'a montre sur les écrans cinématographiques français reportage filmé de Sophie Robert "Le phallus et le néant", dans lequel est pointé la sconnerie abyssale des psychanalystes qui se réclament de Sigmund Freud et de Jacques Lacan

N.B. les sots sont définis en psychiatrie comme des beaux parleurs qui s'écoutent jargonner doctement des stupidités érigées en oracles par des gourous ego centrés, tel p. ex. Jacques Lacan avec son aphorisme choc "L'inconscient est structuré comme un langage", un slogan auquel on peut faire dire tout est n'importe quoi : la psychanalyste Catherine Millot déplore la disparition de François Balmès en deux mille-0nze dimensions en ces termes :  << François Balmès est un lecteur irrem­plaçable de Lacan. Il est peut-être son commentateur le plus rigoureux, car il affronte sans faillir le nœud de contradic­tions auquel l’enseignement de Lacan nous confronte.Tout au long de son enseignement, celui-ci, en effet, se contredit : que ce soit à dix ans de distance, d’une année sur l’autre, ou encore, et le plus souvent, dans la même phrase. Ses lecteurs déroutés furent souvent conduits à la recherche d’une simpli­fication pour sortir des impasses logiques qu’ils rencon­traient. Mais, comme François Balmès le montre, ce ne peut être qu’au prix d’une déperdition et d’une réduction qui nous font manquer le sens de sa démarche. >>

François Balmès a p. ex. essayé de répondre à la question qui lui avait été posée en 2003 au Collège de philosophie par un auditeur : << Comment Lacan concevrait-il aujourd'hui l'inconscient maintenant que l'on sait que l'espace à non pas quatre, mais onze dimensions ? >>
François Balmès entreprit de répondre à ce terrible questionnement, mais après une dizaine de minutes, il s'y est noyé. Il ne se rappelait plus la question à laquelle il répondait. Mais rien d'étonnant à cela, puisqu' il y a chez Lacan, comme en physique quantique, des variables cachées, dont les origines incestueuses de son producteur.  Elles se retrouvent dans sa production.  
François Balmès n'avait manifestement pas compris que Lacan l'avait retrouvée, la sienne aidant. 

Tant et si bien que poor Bernard This  (psychiatre lacanoïdien décédé en 2006), SigISmund Freud aurait développé un cancer de la bouche pour avoir troqué son prénom Sigismund pour le germaniser en Sigmund, l'amputant des lettres I et S sans avoir pris conscience qu'elles se vengeraient de cette forclusion en lacanienne:  Mund c'est en allemand la bouche, et Tot, la mort. Freud a ainsi intitulé un de ses plus fumeux texte ToteM und tabou che.

Cf. sur ce blog les articles <Le cancer de la bouche structuré comme un langage>

Un raisonnement qui tient debout: Hitler à perdu sa guerre de conquête en déclarant la guerre aux États-Unis, c'est-à-dire à l'US army, puisque pour le déjudaïser et le germaniser il avait amputé son prénom des lettres U et S. Humiliées les lettres se sont vengées !   

Non seulement il résulte de ces absconcités  que les médecins français n'ont pas été "bien formés", mais qu'ils ont été déformés à ne surtout pas les reconnaître, puisque de nombreux psychiatres et psychanalystes freudiens qui tiennent le haut du pavé leur ont appris qu'il s'agissait non de réalités mais de "fantasmes œdipiens", ainsi qu'en témoigne, entre autres, les commentaires "autorisés" du psychiatre et "psychanalyste" Samuel Sabatier.  Des commentaires que le journal "Le Monde" a fait paraître au sujet des enfants d'Outreau en février 2006. Le professeur Samuel Lepastier y écrit noir sur blanc que ces enfants ont surtout été victimes de leur "inconscient œdipien" ce "grand absent" (sic, "Le Monde des idées" du 7 février 2006, qui titre "L'inconscient, le grand absent, par Samuel Lepastier").    

<< Depuis vingt-cinq ans, la lutte contre la pédophilie nie l'apport de Freud. C'est pourquoi les experts ont confondu fantasmes sexuels et réalités
Le scandale du procès d'Outreau ne résulte pas seulement de l'inexpérience d'un magistrat débutant. Pendant toute la durée de l'instruction, son point de vue a été partagé par des associations de défense des enfants comme par une fraction notable des services sociaux spécialisés, tandis que plusieurs médias, en accord avec la majorité de l'opinion publique, ont donné un écho favorable à la procédure. Enfin, par leurs affirmations péremptoires lors des audiences comme par leur influence scientifique, les experts médico-psychologiques ont fourni les indices concordants sur lesquels le juge a appuyé sa conviction intime. Ainsi, la faillite observée est celle des conceptions psychopathologiques qui animent la lutte contre la pédophilie depuis un quart de siècle environ.
En 1980, dans sa troisième édition, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-III) de l'Association américaine de psychiatrie a renoncé aux conceptions psychanalytiques pour privilégier une approche athéorique, plus favorable à la chimiothérapie. En 1984, Jeffrey M. Masson, linguiste de formation, a soutenu que Freud avait renoncé, en 1897, à sa théorie initiale plaçant la séduction sexuelle subie dans l'enfance comme premier facteur étiologique des troubles psychiques de l'adulte. La théorie psychanalytique n'était donc que mensonge (Jeffrey M. Masson., The Assault of the Truth : Freud's Suppression of the Seduction Theory, New York, Farrar, Straus & Giroux, 1984).
Dès lors, aux Etats-Unis, des patients adultes ont évoqué, le plus souvent sous hypnose, des scènes de séduction de leur enfance. Des tribunaux ont considéré que la "mémoire retrouvée" (recovered memory) valait preuve et des abuseurs supposés, les pères le plus souvent, ont été condamnés. La fréquence du syndrome de la "mémoire retrouvée" a conduit à postuler que nombre d'enfants avaient été abusés puis à rechercher les faits corroborant cette assertion. Parallèlement, chez les patients adultes, par un phénomène de contagion propagé par les médias, les récits se sont enrichis pour aboutir à des abus rituels sataniques (satanic ritual abuses) au cours desquels des enfants auraient été abusés et torturés jusqu'à la mort, les restes étant enterrés dans des charniers.
Avec l'affaire Dutroux, l'idée de l'abus rituel satanique s'est implantée en Europe en se laïcisant : des hommes puissants et influents, unis au sein de "réseaux" aux ramifications infinies, partagent des plaisirs criminels. En France, à plusieurs reprises, ont été signalés, avec une grande imprécision, des charniers d'enfants qui n'ont jamais été retrouvés. Initialement, l'instruction d'Outreau avait d'ailleurs pour ambition de mettre enfin au jour, à partir de la misère sociale, des relations complexes remontant à des puissants pervers. En janvier 2002, des pelleteuses ont même été utilisées, leur action est restée vaine.
Les experts médico-psychologiques d'Outreau, loin d'être insuffisamment formés, sont, au contraire, des spécialistes éminents. L'un, titulaire d'une chaire, est créateur d'un diplôme d'université de criminologie, l'autre est professeur de pédopsychiatrie et chef de service des hôpitaux.
Enfin, lorsqu'une troisième a déclaré avoir mené son expertise à partir de critères universitaires parmi les plus récents, elle dit la vérité. Toutefois, ces spécialistes ont été aveuglés par leur méconnaissance revendiquée du psychisme inconscient, tel qu'il est appréhendé par l'expérience psychanalytique.
Il y a plus d'un siècle, Freud avait constaté l'absence totale d'indices permettant de distinguer la vérité du fantasme. Cependant, loin de considérer ses patients comme des affabulateurs, il a distingué la "vérité matérielle" (qui pourrait relever d'une condamnation pénale) de la "vérité historique" (qui structure l'histoire du sujet). Il en conclut à l'existence de pulsions sexuelles dès la plus tendre enfance dont la manifestation la plus aboutie constituait le complexe d'Œdipe. Enfin, il a considéré que le fantasme de séduction sexuelle était originaire, autrement dit qu'il pouvait être retrouvé chez tout le monde.
La volonté de bannir la vie psychique inconsciente dans la psychiatrie athéorique conduit à une cascade de conséquences. Et l'affaire d'Outreau, procès en sorcellerie des sociétés postmodernes, restera un outil pour analyser le passage d'angoisses individuelles aux inquiétudes collectives. Elle nous a montré, à partir du fantasme de séduction sexuelle, le premier degré des théories du complot
>>

Et "Le Monde" d'accepter de publier ses inepties professorales. 

"Le Monde" a ensuite mis du temps à faire amende honorable en consacrant, en 2015, à un article à l'œuvre Muriel Salmona.

Lepastier a parfois été invité sur les plateaux de LCP à pérorer à "Droit de suite". Il dénonce le livre de J.M. Masson parce que Masson montre la duplicité de Freud et des psychanalystes. Le livre e Masson, qui fut un "best-seller" aux USA et un peu partout dans le monde, ne risque pas d'être beaucoup lu en France. Il a été mis à l'index par le lobby psychanalytique. Les lecteurs qui voudraient y accéder peuvent toutefois faire appel au site du psychiatre Michel Meignant, "L'affaire Freud", qui en fait intelligemment la recension. Le Dr Meignant propose un DVD pour pallier au fait qu'il est devenu difficile de se procurer le livre de Masson.  

Si dans les articles que Muriel Salmona a mis en ligne sur le Net elle ne se prive pas de dire tout le mal qu'elle pense de Sigmund Freud et de ses théories négationnistes, puisque celles-ci ont sciemment contribué à ce déni de réalité, elle se garde de répéter à l'antenne la grande responsabilité de Freud et de ses adeptes dans la perpétuation de ce monstrueux déni, de peur de ...  ?   ... de peur d'être accusée d'antisémitisme ! ainsi je l'ai moi-même été pour des raisons analogues en 2004, par le Pr. Gérard Saïd et l'hôpital Bicêtre,  pour avoir en 1990 à l'hôpital Bicêtre contré le pseudo diagnostic mortifère des neurologues du Service du professeur Gérard Saïd (Cf. mon article précédent sur la découverte du syndrome NDB12PP, un syndrome neurologique apparenté à la maladie de Biermer que les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient, en1990, sciemment confondu avec la maladie d'Alzheimer, qui ne connaît pas de traitement réellement efficace, alors que le syndrome NDB12PP, qui est mortel sans son traitement spécifiquese traite de façon aussi simple et efficace que la maladie de Biermer parce ce syndrome n'en est qu'une variante, c'est-à-dire une forme clinique. 

Au sujet du déni de réalité de l'inceste on s'est bien gardé,  au cours de l'émission d'hier soir, de citer l'article du docteur Samuel Lepastie, ainsi que celui que le psychanalyste très freudien Roger Perron a consacré à l'inceste dans "Le dictionnaire international de psychanalyse", paru en 2002 chez Calmann-Lévy, par lequel ce psychanalyste conclut:

"Il ne faut évidemment pas confondre les fantasmes incestueux, présents en tout être humain, et les comportements réels de type incestueux, infiniment plus rares; il reste que leur abord psychanalytique a permis d'en comprendre beaucoup mieux la genèse et la signification" (sic)  

Je ne sais si dans la nouvelle édition de ce "dictionnaire international de psychanalyse", parue en 2005 chez Hachette, l'article de Roger Perron a été maintenu tel quel ?

Lorsque je me suis rendu il y a 6 mois à la librairie "Le divan" à Paris, une librairie se consacrant à la diffusion d'ouvrages psychanalytiques, il n'y figurait pas: un comble, pour un dictionnaire de psychanalyse qui se veut "international"

Conclusion : il y a bel et bien en France,  "l'eldorado des pédocriminels" selon l'expression de Me Marie Grimaud, une culture délibérée du déni de réalité de l'inceste chez les "psys" puisqu'ils l'ont professée, avec beaucoup de succès, tels p. ex. les susdits "psychanalystes" (le docteur Samuel Lepastier et Roger Perron, entre autres "psys" patentés), avec Elizabeth Loftus pour parfaire leur douteux "travaux". Les "psychanalystes" ne veulent pas tenir compte de ce que le déni de réalité freudien et son édifice théorique reposent essentiellement sur le souvenir de "désirs  incestueux" que le petit Sigismund Freud disait avoir eu très précocement, à l'âge de 2 ans 1/2, d'avoir vu sa mère "nudam", des "désirs incestueux" qui en avaient résultés, et par conséquent la peur de représailles paternelles qu'il avait alors été impuissant à contrer, d'où le surgissement  chez lui comme chez tous les enfants "normaux" d'un "complexe de castration" par la suite baptisé "complexe d’œdipe" sur les conseils intéressés d'Ernest Jones, un médecin anglais poursuivi dans son pays pour détournement de mineur. CQFD l'intérêt de ce "concept" .  

Tous ces "psys" devraient logiquement en rendre compte devant la "Justice" française, voire être hospitalisés en psychiatrie.

Mais un délire, à partir du moment où il est collectif, perd son statut de délire, m'avait expliqué le Dr. Sven Follin, Chef de Service à l'hôpital Saint-Anne, au sujet de Freud et de ses zélotes.

De fait, 70 % des Allemands ont paraît-il partagé et soutenu le délire hitlerien. Aurait-il fallu les hospitaliser en psychiatrie, et en tant que malades mentaux le faire subir le sort qu'Hitler leur a fait subir ?

Soit dit en passant : Sigmund Freud confessait en privé que les "fous" n'étaient que de la canaille, et que "le mieux" serait d'en faire des cargaisons pour les couler.

Mais ça ferait beaucoup trop de monde. Ce n'est donc pas près d'arriver, celle-ci ayant souvent eu recours à l'expertise de ce genre de psychiatres et de psychanalystes pour débouter et invalider les plaintes de très nombreuses victimes de prédateurs sexuels.             

Freud et Hitler ne partageait pas seulement ces conceptions, et pour cause ...  Elisabeth Roudinesco, dans son "Dictionnaire amoureux de la psychanalyse", confesse que Freud avait sans doute été le psycho-thérapeute  d'A.H., sauf qu'elle doit se tromper sur l'âge qu'avait Hitler lorsque Freud a été amené à devenir son thérapeute. C'était en 1908, et non pas dans l'enfance d'Hitler.

Hitler lui en fut reconnaissant, qui lui fit parvenir, via Anton Sauerwald, un officier SS, un sauf-conduit pour que lui et sa fille puissent quitter l'Autriche sans encombre après l'annexion de l'Autriche au IIIe Reich en mars 1938. 

Éliette Abécassis en a fait tout un roman "Un secret du docteur Freud", paru en 2014 chez Flammarion, en inventant une "belle" vraie-fausse explication pour faire plaisir à sa maman, psychanalyste freudienne, ulcérée qu'un auteur puisse avoir porté atteinte à la réputation de son gagne-pain.

Mais comment peut-on savoir que Freud a été le psychothérapeute d'Adolf Hitler.

On le doit à la psychanalyse, qui est une science si puissante qu'elle révèle ce qui est systématiquement censuré. Elle inscrit "en creux" l'information à travers la censure, ainsi que l'ont montré à la même époque J. M. Masson dans son livre "Assault on truth", et un peu avant lui Marie Balmary dans "L"homme aux statues" (Grasset 1979, réédité en1997). 

De même que le nez reste invisible au regard de son propriétaire (sauf s'il a le nez de Pinocchio ou de Cyrano de Bergerac,  ou s'il se regarde dans un miroir), les informations censurées par Freud et par Hitler ne sont visibles qu'en lumière rasante, qui fait ressortir l'omniprésence de manques, des manques aussi signifiants que les manques relatifs à l'inceste et à la pédophilie signalés par Masson et Balmary dans leur analyse des textes de Freud.     

 

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24 mars 2019 7 24 /03 /mars /2019 23:29

Avertissement : cet article prolonge en fait l'article précédent de ce blog sur la (prétendue) fabrication (par le méchant Dr. C., c'est-à-dire par moi) d'une grave maladie contagieuse * du système nerveux à l'hôpital Bicêtre en 1990.

En 1997 des malades du Service du neurologue Olivier Ille sont en effet morts au CHU de Mantes la Jolie,mais seule Christine Malèvre, trop zélée à appliquer ses directives, a été écrouée, parce qu'elle s'était fait remarquer en dépassant les quotas admissibles, d'autant qu'elle exécutrait euthanasiait aussi des malades qui n'avaient pas à l'être (du secret point de vue de l'AP - HP et des commanditaires.)

L'associée du Dr. Olivier IlleLaurence Kouyoumdjian, n'était manifestement pas dans la confidence pour s'être permis de signaler ses agissements.

Laurence Kouyoumdjian avait simplement et déontologiquement pensé qu'il était de son devoir de signaler les excès de cette infirmière sans savoir que celle-ci les devait à son collègue.

Son signalement fut évidemment très mal reçu par la direction de son CHU, c'est-à-dire par les commanditaires, c'est-à-dire par les "bénéficiaires", c'est-à-dire par le CNTS et la direction de l'AP - HP. 

Le Dr. Olivier Ille, qui n'avait rien signalé, et pour cause, a ainsi pu garder son poste au CHU de Mantes la Jolie alors que son excellente collègue a sans ménagement été priée d'aller ailleurs alors qu'elle aurait dû être promue à la Légion d'Honneur, où à tout le moins, à l'instar de Mamadou Cassama l'année dernièreêtre félicitée, et non pas reléguée.

Quant à mon article mis en ligne hier, il est à lire au second degré .

L'accusation d'antisémitisme dont j'ai été l'objet de la part de la direction de l'hôpital Bicêtre en 2004 relève du même principe phénoménologique (du même processus)

 Il s'agit en fait de "fake news manufacturing", c'est-à-dire de fabrications,  perverses et "savantes", d'embrouilles médico-judiciaires inventées et réalisées en juillet 2004 par la direction de l'hôpital Bicêtre ET le Pr. Gérard Saïd (en fait par la direction de l'AP - HP) pour laver le Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre de s'être permis d'avoir fait en août 1990 ce qu'a continué de faire en 1997 le docteur Olivier Ille, l'ex Interne du Service de neurologie du CHU de Bicêtre, une fois installé à la direction de son propre Service de neurologie au CHU de Mantes la Jolie.

Le docteur Ille y fit alors jouer à son infirmière Christine Malèvre le rôle qu'il avait déjà fait jouer au docteur Jean-Yves Beinis à l'hôpital Charles-Foix en lui adressant un des malades de son Service. Il lui avait recommandé de ne surtout pas réellement appliquer le traitement nécessaire à sa survie après l'avoir abusé quant à la véritable nature des très graves troubles neurologiques qu'il présentait, sachant très bien qu'il n'allait pas faire l'effort d'y regarder ce plus près. 

C'est aussi pourquoi lors du procès de Christine Malèvre la Justice s'était bien gardée d'interroger le Dr. Olivier Ille par rapport à son propre rôle dans ces assassinats déguisés en erreurs "vénielles" de diagnostic et de traitement au CHU de Bicêtre  et en euthanasies au CHU de Mantes la Jolie, et seule Christine Malèvre fut mise en cause, pour n'être que modérément condamnée à une peine d'emprisonnement alors qu'elle aurait dû être hospitalisée en psychiatrie, puisqu'elle a été déclarée immature par le parquet de Versailles.

Mais on est en France, un pays où l'opacité et l'embrouille sont des principes culturels, sinon de secondes natures inscrites dans les gènes de certains médecins et de magistrats.  

Mon père était en effet un malade qu'il s'agissait d'éliminer le plus discrètement possible pour des raisons "spécifiques", c'est-à-dire économiques, car il avait été transfusé en avril 1984 à une époque où les transfusions étaient contaminées par le VIH, donc au profit du CNTS et de l'AP - HP et des membres du gouvernement dit socialiste de François Mitterrand, qui en 1999 seront jugés "responsables mais non coupables " de ces contaminations.

Le gouvernement prendra d'ailleurs la précaution de décréter irrecevables après 2003 les plaintes relatives à ces contaminations.  

Les neurologues du Service du Pr. Saïd, conformément à ces dispositions, avaient fait semblant d'administrer à leur malade le traitement nécessaire à son sauvetage alors qu'il avait été hospitalisé en neurologie sur le diagnostic de syndrome neuro-anémique, un diagnostic très correctement posé par les Médecins Urgentistes aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre, dont alors le docteur Antoine Moulonguet, neurologue, exerçant actuellement à l'Hôpital Universitaire de la Salpétrière.

Ils ne pouvaient ignorer que le diagnostic de syndrome neuro-anémique posé aux Lits-Portes était inéluctablement mortel à brève échéance si on ne lui opposait pas le plus rapidement possible une vitaminothérapie B12 drastique, c'est-à-dire le traitement de la maladie de Biermer et de ce qui s'appellera plus tard le syndrome NDB12PP, qui est une forme clinique de la maladie de Biermer.   

L'article que cet article prolonge peut être lu en poursuivant la lecture de celui-ci.

L'actuelle ministre de la Santé madame Agnès Buzin n'a pas encore répondu à la lettre RAR que je lui ai adressée le 12 décembre dernier à ce sujet (lettre AR 1A 152 454 8557 4) 

- / -

* Une maladie neurologique Contagieuse, non pas au sens biologique du terme, mais au sens sociologique, dans la mesure où sa découverte "accidentelle" a semé la panique à l'hôpital Bicêtre, qui a tout fait pour occulter les circonstances  - c'est-à-dire les pernicieuses embrouilles - qui ont (qui avaient) préludé à sa mise en évidence par le méchant Dr. C.. Une panique qui est ensuite remontée jusqu'à la direction de l'AP - HP, puis au ministère de la santé lorsque Claude Evin en avait la charge, pour atteindre celui du ministère de la Justice, qui s'est à son tour arrangé par ses propres embrouilles pour étouffer un scandale très indigne, c.-à-d. digne, de lui, au dépens du méchant Dr. C. . 

- / -

Je me souviens, et pour cause, de ce que le 13 juillet 1988 vers 13 heures quand j'ai reçu un appel affolé de mon père. Il me demandait de téléphoner de tout urgence au médecin de ma mère, le  Dr. X.  alors que je partais de chez moi à Villejuif pour aller passer, comme à mon habitude depuis les années 1960, quelques jours en Bretagne - depuis ces années-là c'était au Cap Fréhel - mais cette fois-ci c'était pour aller habiter une longère construite sur les bords de la Rance, dont la sœur de ma mère avait depuis quelques années acheté et fait rénover la partie centrale. Peut-être l'avait-elle achetée par fidélité à ses origines bretonnes (ses arrières grands-parents portaient un nom typiquement breton, alors que le sien, plus oriental, ne l'est pas du tout)

Mon père s'était premièrement adressé à son pharmacien pour savoir quoi faire au sujet de ma mère. Il l'a disait était très agitée et agressive.

Le pharmacien auquel il s'était adressé lui avait dit qu'une "rupture de la rate" était peut-être en cause, donc de contacter son  "médecin traitant", le Dr. X.  Ce qu'il avait fait en lui téléphonant.

Le Dr X. lui avait répondu que le cas de ma mère relevait avant tout de la psychiatrie, et donc de s'adresser à un psychiatre ou de la faire hospitaliser en psychiatrie.

Mes parents habitaient à l'Haÿ-les-Roses et moi - qui suis psychiatre - pas très loin, à Villejuif, à une centaine de mètres de l'hôpital psychiatrique Paul Guiraud.

Je téléphonai au Dr X.  et m'entendis dire ce qu'il avait déjà dit à mon père, que ma mère était folle.

En partance pour Dinard je passai donc tout d’abord par l'Haÿ-les-Roses voire ce qui se passait, pour constater que ma mère ne souffrait nullement d'une "rupture de la rate" pas plus que d'une crise de coliques néphrétiques, un genre de coliques qui aurait pu expliquer son état d'agitation. Mais surtout elle tenait des propos surprenants, voire stupéfiants, accusant mon père non seulement de vouloir sa mort, mais de vouloir la tuer ! 

Le Dr. X, qui n'était pas psychiatre, mais néphrologue, s'était aventuré à lui prescrire du Laroryl * alors que depuis plus de 30 ans il lui prescrivait larga manu toutes sortes de tranquillisants.

Ce jour-là j'ai trouvé chez mes parents en ouvrant l'armoire de leur chambre toutes ses ordonnances soigneusement conservées depuis des dizaines d’années dans une boîte à chaussures. Depuis le Gardénal* et l'Equanil* des premières prescriptions du Dr. X. jusqu'au Valium 5 x 3/j et Laroxyl* des dernières en passant par la Vériane Buriat*, le Librium *, l'Atarax*, le Tranxène*, le Xanax*, le Léxomil*, le Rohypnol * (et j'en passe) d'ailleurs souvent associés au Valium 5*.

C'est ainsi que je me suis demandé en 1993, quand ma mère a été hospitalisée dans le Service du Pr. François Piette, si cette salade de tranquillisants n'avait rien à voir avec la survenue de la maladie d'Alzheimer ? A l'époque elle allait encore relativement bien ... améliorée m'avait-elle semblé par l'arrêt définitif des tranquillisants, l'aide d'une garde malade et la prescription de Dépakine.  Elle était souriante, n'était plus agitée ni agressive, et elle avait été capable, sous ma dictée, d'écrire sans hésitation un texte d'une page sans faire de fautes, et de compter facilement de 1 à 20 à l'envers. Mais le choses se sont vite gâtée. Ma sœur voyait d'un très mauvais œil la venue de gardes-malades. Elle en avait déjà fait renvoyer une, Mlle S. H.,  au prétexte qu'elle intoxiquait ses parents en se permettant de fumer une cigarette après le repas, en réalité parce qu'il fallait la payer aux dépens de "son héritage" (sic). De même pour la suivante, ce qui avait déclenché l'hospitalisation de mes parents à Charles-Foix dans le Service du Pr. Piette, une hospitalisation qui avait provoqué l'ire de mon père, furieux de se voir mélangé avec des "vieux", comme si lui ne l'était pas.

Depuis qu'il s'était rétabli en 1990  - il croyait devoir son rétablissement au Pr. Saïd et au Pr Mazas, à qui il voulait faire une grosse donation - il se croyait "indestructible", selon sa propre expression, et il avait, à ma grande honte, et surtout à son détriment, provoqué un horrible clash. Non seulement entre lui et ma mère, que le Pr. Piette avait eu l'imprudence de faire hospitaliser dans la même chambre, mais entre lui-même et le Pr.Pïette, en prêtant à celui-ci des noms d'oiseaux.  Un clash qui le conduira a être, sur décision judiciaire provoquée par le Service du Dr.Lapenne, à être obligé d'intégrer une maison de retraite de l'Eure, où il manquera de peu passer sa dernière heure suite a une infection broncho-pulmnaire consécutive a un alitement forcé sous traitement neuroleptique incapacitant. Non corrigé par un anti parkinsonsonien, les neuroleptiques seront chez lui en outre responsables de dyskinésies faciales incoercibles. 

Il ne pesait plus que 39 kg quand je l'ai ramené chez lui en décembre 1993, après seulement trois mois de ce régime, contre précédemment 53 kg. (ce qui correspond parait-il en moyenne au temps de la survie après placement en maison de retraite ?) 

Ma mère avait entre-temps intégré le Service du Dr.Lapenne à l'hôpital Paul Guiraud, où il lui est arrivé ce qui                    

L'association du Valium* avec le Laroxyl* est bien connue en psychiatrie pour favoriser la survenue de "bouffées délirantes", et ma mère était bel et bien en proie à une bouffée délirante, probablement survenue parce que le docteur X venait dernièrement d'associer du Laroxyl * au Valium 5*. 

Comme j'allais rendre visite à une de ses sœurs qui avait une maison de campagne en Bretagne près de Dinard, je pris sur le champ la décision d'expliquer à celle-ci la situation. Je lui ai demandé si elle voulais bien que je prenne ma mère avec moi avant de partir. Ce que tout de suite qu'elle bien sûr accepta.

C'est ainsi que j'ai dû commencer à sevrer de ses "tranquillisants".

Je me suis alors rendu compte que ma mère était probablement aussi victime de la maladie d'Alzheimer. Un diagnostic qui se verra confirmé par la suite à l'hôpital Charles-Foix, dans le Service du Pr. François Piette, le jour même ou le lendemain de l'ouverture du CEGAP, au début du mois de janvier 1992, et vérifiée après sa mort, survenue en septembre 1994 à l'hôpital Charles-Foix dans le Service du Pr. Jean-Pierre Bouchon où elle fut admise après qu’elle a été victime d’une fracture du col du fémur survenue au cours d’une tentative de viol à l’hôpital Paul Guiraud, de la part d’un malade, qui trouvait ma mère "jolie". Ledit malade me le disait à chaque fois que je passais devant lui quand j'allais rendre visite à ma mère, mais le Chef du Service où ces choses sont arrivées, bien embarrassé, fit semblant de ne pas le savoir. Ce qui n'avait rien d'étonnant, est-ce la peine de le dire, car il était rarement présent dans son Service, prenant la peine de passer tout son temps à rédiger des expertises, mais je ne sais si, comme madame Gryson dans ses expertises pour les enfants d'Outreau, il les faisait au prix du salaire d'une femme de ménage ?

Mon père aurait épousé ma mère en 1936 parce qu'elle ressemblait, à ses dires - rétrospectifs ou pas - à une Star du cinéma américain de cette époque, en l'occurrence à Rita Hayworth (parce qu'en 1936 Rita Hayworth n'était encore qu'une starlette de cinéma de série B).

Une Star qui, comme ma mère, a fini sa vie tristement sinon prématurément après avoir contracté la même maladie.    

Entre-temps (entre 1988 et 1994) mon père est lui aussi passé par des jours affreusement difficiles, après que les médecins de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses lui ont, le WE du 25  mai 1990,  subrepticement infligé malgré mon interdiction et celle de son cardiologue le docteur Joseph Heller, une opération orthopédique bilatérale pour corriger des troubles neurologiques et psychiatriques qu’il avait développés. Une cancérophobie illégitime, c'est-à-dire délirante et en rapport avec un délire de Capgras, lui-même en rapport avec une carence vitaminique B12 profonde, si ce n'est avec la maladie de Biermer proprement dite, un genre de délire lié à cette carence qui, après avoir été fabriquée à l'hôpital Bicêtre en 1990 par le méchant Dr. C. deviendra épidémique et prendra en 2003 le nom de "syndrome NDB12PP" sur la proposition des Drs. E. Andrès & al., Internistes des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg)

Les troubles neurologiques et psychiatriques de mon père avaient été la raison première de son hospitalisation d'urgence aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre.

Ses troubles étaient non pas en rapport avec une "mauvaise morphostatique" (sic) de ses pieds, comme les médecins de la Clinique Elmelik l'avaient prétendu pour placer indûment une opération de double alignement des orteils, mais en rapport avec un syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling  normal (le test refait à ma demande était en fait à 5 %, et non mensongèrement à 35 %, et donc nullement « normal »  comme on avait voulu me faire croire, donc - en admettant qu’il aurait vraiment été à 35 % -  en rapport un type de carence connu depuis 2003 en France sous le nom de syndrome NDB12PP, parce que le traitement de la maladie de Biermer, qu’il m’avait fallu moi-même administrer de toute urgence alors qu’il avait sombré dans un coma carus et qu'il était en passe de mourir, s’était vite montré efficace,  cependant qu’il était hospitalisé depuis trois semaines sans l’avoir reçu dans le Service gériatrique du Dr. Jean-Yves Beinis  après être passé par le Service de neurologie du Pr. Gérard Saïd au CHU de Bicêtre durant également trois semaines sans l'avoir davantage reçu, si ce n'est que le temps de passer le test de Schilling dans les premiers jours d'août 1990 puisque ce test se fait en délivrant 1 mg de vitamine B 12, une dose qui s'était transitoirement montré suffisamment efficace pour confirmer le diagnostic de présomption de carence vitaminique B12 posé dans la soirée du 31 juillet 1990 au Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre par les Urgentistes.

Un diagnostic dont les neurologues ont non seulement pas voulu tenir compte, mais ont tout fait pour l'étouffer tout en faisant semblant d'en appliquer le traitement, jusqu'à commander au docteur Beinis de faire comme eux semblant de l'appliquer !

La résurrection de mon père sous l'effet du traitement effectif  de ce traitement avait plongé dans la panique les médecins qui lui avaient refusé ce traitement au prétexte que le test de Schilling était à 35 %, puis la direction de l’hôpital Bicêtre,  avant que la panique ne gagne la direction de l’AP – HP et celle du ministère de la Santé

Cf. ci-après l'article précédent sur la "fabrication" intentionnelle - "par antisémitisme" (sic) - de la maladie neurologique de mon père,  et les articles plus explicites sur les raisons de l'embrouille des neurologues de Bicêtre,  suivie de celle du parquet de Créteil sous l'égide de Michel Barra dans le  "blog de leon - pierre cretien" sur http.//genocides.over-blog.com

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23 mars 2019 6 23 /03 /mars /2019 17:27

La direction du CHU de Bicêtre a, en 2004, fini par découvrir qu'en 1990 un médecin psychiatre avait, par antisémitisme, intentionnellement fabriqué une dangereuse maladie, qui n'est  heureusement pas contagieuse, contrairement à ce qu’énonce le titre provoquant de cet article, mais en oubliant de dénoncer les faits aux autorités judiciaires, allez savoir pourquoi ? C'est ce qui est ci-après révélé alors que l'article 40 du CPP l'y obligeait !

L'article paru sous le titre "Des pratiques aussi bizarres qu'effrayantes" mis en ligne le 30 juin 2023 tente de préciser en les expliquant les motivations secrètes et a priori incroyables des mystifications à visées mortifères, mais ratées du fait d'un imprévu, opérées par les neurologues de l'hôpital Bicêtre en août 1990. S'agissant d'une embrouille faite à dessein pour égarer la Justice, l'affaire est compliquée à exposer alors qu'en fait la Justice était partie prenante, comme l'a montré sept ans plus tard, en 1997, ce qui s'est passé au CHU de Mantes la Jolie avec Christine Malèvre jouant le même rôle qu'avait joué en 1990 le Dr. Jean-Yves Beinis sous les directives du même Olivier Ille, devenu entretemps un Chef de Service aussi intouchable pour les mêmes raisons que le Pr. Gérard Saïd.  Le ton ironique de cet article n'est sans doute pas le mieux adapter pour traiter d'une affaire aussi lourde dans ses implications. Mais bon ! Cf. aussi l'article "Si c'est la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, c'est inutile, laissez tomber. Gloup".

A l'instigation du Pr. Gérard Saïd, neurologue et premier témoin de cette fabrication , l'AP - HP a en 1995 nommé le Pr. de philosophie Emmanuel Hirsch pour enseigner l'éthique médicale à l'hôpital Bicêtre.

Cette initiative a quelque temps plus tard donné lieu à l'ouverture non pas d'une enquête mais à l'hôpital Saint-Louis d'un "Espace Ethique de l'AP -HP"spécialement dédié à l'enseignement de l'éthique médicale dans le prolongement de celle enseignée par l'Institut de Formation er de Recherche en Éthique Médicale juive (l'IFREM) qui sous la direction du professeur de philosophie Emmanuel Hirsch  éditait la Revue Médica Judaïca, aujourd'hui disparue.

Bien que E. Hirsch ne soit pas médecin, il connaissait par cœur l'histoire du cobaye qui avait été la première victime de cette fabrication antisémite. Il peut par conséquent témoigner des faits sans être tenu par le Secret Médical puisqu'il s'agit d'une affaire criminelle.

Un Secret derrière lequel les autres témoins de cette fabrication pourraient se retrancher pour s'éviter d'avoir à répondre aux questions que des journalistes  pourraient leur poser sur cette affaire, qui n'est pas sans rapport avec les assassinats de malades qui ont eu lieu par la suite au CHU de Mantes la Jolie, pour lesquels seule Christine Malèvre a eu à répondre et a fait l'objet d'une condamnation pénale de 12 ans pour s'être vantée de l'assassinat de 30 malades, ramenés à 6 assassinats par le TGI de Versailles et une condamnation ramenée à 4 ans avec les remises de peine.

Philippe Pignarre, chargé d'enseignement à Paris VIII, avait en 2001 dans son livre "Comment la dépression est devenue une épidémie" (aux éditions "La découverte") montré comment les grands laboratoires pharmaceutiques cherchaient à amener les médecins à prescrire de plus en plus les médicaments qu'ils fabriquent en décrivant et en inventant de nouvelles formes de dépressions dites "masquées" à partir de symptômes suffisamment vagues et non vraiment spécifiques mais présentés comme tels. Des "dépressions" par conséquent fabriquées et plus ou moins fictives, donc inventées non pas pour le bien des personnes mais pour pousser à la consommation des produits qu'ils mettent sur le marché.   

Le CHU de Bicêtre s'est aperçu en 2004 qu'en 1990 un médecin, le Dr. C., avait fabriqué une maladie, celle-ci non pas fictive et faite pour enrichir des laboratoires pharmaceutiques, mais bien réelle, pour provoquer chez les personnes âgées une mort affreuse par une atteinte diffuse de leur système nerveux sans que l'on sache les secourir faute d'en connaître le traitement, qu'il était alors le seul à connaître.

Le nom de ce sinistre médecin aura cependant été révélé par le Dr. Patrice Bodenan, un Conseiller du CDOM du Val-de-Marne, qui est courageusement intervenu auprès du Conseil disciplinaire de l'Ordre pour empêcher ce criminel de nuire à l'excellente réputation des médecins de la Clinique Léon Elmelik et du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre (Cf. infra sa demande circonstanciée auprès du Pr. Jean Penneau). 

Le Dr. François Chedru, commis en expertise en décembre 1995 pour éclairer la Justice, se montrera assez magnanime pour dire du Dr. C. qu'il n'était qu'un "méchant". Non pas dans son expertise, mais en privé, aux Confrères qui désiraient savoir ce qu’il en avait été de son intervention auprès de madame Scelle dans l'instruction de cette affaire. Il s'y était malheureusement dérogé, car son expertise reposait essentiellement sur les dires du Pr. René-Claude Touzard, une relation des actionnaires de la Clinique Elmelik, et du Pr. André Lienhart, comme le Dr. Edith Elmelik, anesthésiste des hôpitaux, et non pas sur les documents factuels qui lui avaient été communiqués.   

 

Le Dr. Chedru a par la suite été l’invité du Pr. Olivier Lyon-Caen, qui l’avait invité à s'exprimer sur France-Culture le 13 septembre 2011 à l'émission "avec ou sans rendez-vous".  Le Pr. Lyon-Caen était, comme tous les membres de la Fédération Française de Neurologie, très au courant de cette affaire, sinon depuis le début, au moins depuis 1997.

 

www.franceculture.fr/emissions/avec-ou-sans-rendez-vous )

Le Dr. Patrice Bodenan était heureusement très "influent au Palais", selon Me Annick Dorsner-Dolivet et Me Catherine Scotto-Derouet, qui s'étaient aventurées à essayer de défendre le Dr. C. avant d'en apprendre la perversité et la grande dangerosité via l'Ordre des médecins, intervenu  à temps pour les en avertir (dès le 28 avril 1992). On sait en effet combien l'Ordre des Médecins se préoccupe de faire respecter l'éthique de la déontologie médicale à ses affiliés, l'essentiel étant d'n préserver l'image. Mais le Dr. C. avait été formé en Suède, un pays qui, contrairement au nôtre, cultive très dangereusement la transparence.

Sa dangerosité est en effet ce dont le Pr. Gérard Saïd et la direction de l'hôpital Bicêtre ont fini par découvrir en juillet 2004 quand la CADA leur a demandé de rechercher le dossier d'un malade qu'ils disaient avoir perdu. 

En 2004, c'est-à-dire un an après la condamnation de l'infirmière Christine Malèvre à une peine d'emprisonnement pour l'assassinat compassionnel de malades dans le Service de neurologie du Dr. Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie, et donc quatorze ans après que ledit Dr. C., (il se disait psychiatre) a eu la scélératesse de fabriquer cette effroyable entité, on ne sait pas comment, mais le Pr. Gérard Saïd et la direction de l'hôpital ont fini par comprendre pourquoi: ce n'était évidemment pas comme avec Christine Malèvre par compassion, puisque cette affection devait faire énormément souffrir ses victimes avant de les achever, mais par antisémitisme !  

Inédite et donc sans traitement connu, l'affection était à sa création potentiellement mortelle. C'est ainsi qu'elle avait failli être fatale au patient de 79 ans qui avait servi de cobaye à ce sinistre médecin. Ses souffrances ont été exposées au site intitulé "Théorie du complot, mythes et réalités", mis en ligne le 18 juillet 2012, à une époque où le débat autour de l'euthanasie faisait l'actualité des journaux. Il porte le n° 108281777 html.       

Le pire est que sa fabrication s'est, dans les années suivantes, montrée non seulement dévastatrice, mais contagieuse et épidémique, jusqu'à affecter des milliers de malades (selon les estimations des nutritionnistes entre 20 et 30 % des personnes âgées de plus d'une soixantaine d'années).

Mais heureusement pour celles-ci, un traitement simple et efficace a fini par être découvert vers le milieu des années 1990, qui permet de juguler l'épidémie, pourvu que l' ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX que provoque cette affection soit rapportée à sa véritable cause, et non pas attribuée à la maladie d'Alzheimer où à une encéphalopathie vasculaire irréversible, et donc laissée sans traitement efficace, comme ce fut le cas avec le premier malade.

Paranoïaque, ledit médecin l'avait fabriqué par antisémitisme. Non que le malade qui avait servi de cobaye pour la diffuser ait été juif, arabe ou israélite, mais il était alors hospitalisé en neurologie dans le Service du professeur Gérard Saïd après qu'il a subi une opération orthopédique à la Clinique Léon Elmelik pour remédier à ses troubles neurologiques, ce qui suggère qu'elle aurait été fabriquée avant même son hospitalisation à Bicêtre, mais cela est nullement incompatible avec l’intentionnalité antisémite de sa fabrication.

La Clinique Léon Elmelik était en effet bien connue des neurologues de l'hôpital Bicêtre, puisque ceux-ci pouvaient, le cas échéant, y adresser en "soins de suite" des malades en phase terminale ou devenus encombrants, aussi bien sinon mieux qu'à l'hôpital Charles-Foix, un hôpital gériatrique et une Clinique où terminer ses jours pouvait paraître plus dans l'ordre des choses que dans un Service de pointe tel qu'était celui du Pr. Gérard Saïd, un Service dont l'excellence fera qu'il sera en 1992 labellisé Inserm pour ses recherches sur l'intérêt des vitaminothérapies dans le traitement et la prévention des affections neurologiques, et particulièrement celle dudit malade.  

Créés en 1992, les Centres d'Investigation Clinique de l’Inserm offrent aux cliniciens les ressources nécessaires pour transférer au profit des malades les résultats de la recherche fondamentale.

Témoigne de ce que l'intérêt des malades était la priorité du Pr. Saïd le fait qu'il cherchait à imposer à madame Jeannine Yvart, Cheffe du Service de médecine nucléaire de l'hôpital Bicêtre, qui s'y refusait, le test Dicopac*, en remplacement du test de Schilling, pour gagner 24 heures dans le diagnostic de la maladie de Biermer, cette maladie faisant partie des urgences médicales, tout retard au diagnostic étant préjudiciable à réversibilité des troubles neurologiques voire pouvant se solder par la mort des malades qu'elle affecte.  

Ledit médecin est ou était paranoïaque, ainsi que l'avait très courageusement pointé le Dr. Patrice Bodenan dans sa lettre du 10 janvier 1994, par laquelle il avait demandé au président du Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins que lui soit appliqué l'article  L 460 du CSP  : cf. le fac-similé de la lettre manuscrite signée BOD. Médecin anesthésiste se réclamant à tort de la réanimation, sa signature y surplombe un grand triangle isocèle aplati, soulignant ainsi son appartenance à la franc-maçonnerie, et donc la grande pertinence de sa demande. Le Dr. Patrice Bodenan était très "influent au Palais", selon Me Annick Dorsner-Dolivet et Me Catherine Scotto-Derouet.

<<Monsieur le Secrétaire Général,
J'ai été chargé d'instruire initialement une plainte du Docteur Pierre CHRETIEN contre le Docteur Denis chirurgien exerçant au centre chirurgical de La Haÿ les Roses 94 -
J'ai donc reçu le Docteur CRETIEN Pierre et son père à l'hôpital Saint-Camille
J'ai aussi contacté et reçu et Docteur DENIS et la responsable de la Clinique (Mme le Docteur ELMELIK ) ainsi que le Professeur Debeyre.
A l'évidence notre confrère le Docteur Pierre Cretien n'est pas fondé à  poursuivre le Docteur DENIS professionnel réputé et parfaitement
irréprochable pour les faits invoqués par lui. Le Docteur Pierre CRETIEN est atteint d'un délire de persécution plaintes multiples auprès des différentes     structures TGI Creteil CPAM etc _ )                                        
J'ai donc rendu un avis auprès du Conseil de l'ordre des Médecins du Val de Marne conseillant un rejet pur et simple de la plainte du Docteur Crétien , et la mise en examen de ce dernier pour évaluer son aptitude à l'exercice de la médecine - 
J'appris par la suite que Pierre CRETIEN avait déposée à mon encontre une plainte pour partialité, collusion avec la partie adverse, pressions,  auprès du Conseil départemental de l'Ordre du Val-de-Marne
J'ai été très étonné de la démarche de Monsieur Pierre CRETIEN qui ne repose sur aucune base réelle et que je trouve diffamatoire
Cette démarche rapportée à toutes les démarches de Monsieur le Docteur Pierre CRETIEN justifie à mon avis l'application de l'article L 460 du CSP
Je vous prie d' agréer monsieur le secrétaire Général mes salutations   respectueuses et distinguées >>.       

                    lettre signée BOD trônant sur un large triangle isocèle   

 

Se méfiant de la dangerosité des paranoïaques, le président du Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins n'a malheureusement pas osé donner suite à sa demande.

Lors de son application sur le cobaye cette fabrication n'était par définition  qu'une maladie orpheline, mais des années plus tard elle s'est étendue à un nombre considérable de malades, jusqu'à affecter 20 à 40 % de la population dite du troisième âge, ainsi que l'ont découvert, vers le milieu des années 1990, les Drs. Emmanuel Andrès & al., Internistes des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg. Ils l'ont alors nommée, conformément à leurs constatations, "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal", et quelques années plus tard, en 2003, quand la commercialisation du test de Schilling a été abandonnée, syndrome NDB12PP.

Mais en 1990, déroutés par cette nouvelle entité nosologique, les neurologues de l'hôpital Bicêtre n'avaient pas su la traiter de façon adéquate, bien qu'ils auraient pu, si seulement ils avaient bien voulu tenir compte du diagnostic de présomption de maladie de Biermer qu'avaient formulé les Urgentistes à l'admission du malade aux Lits-Portes de leur hôpital. Ils avaient refusé de prendre ce diagnostic en considération, arguant que la vitaminémie B12 et le test de Schilling étaient dans les normes cependant qu'il était depuis 12 ans connu qu'une telle normalité ne l'excluait pas nécessairement (1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med.  299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".)

Dans sa paranoïa, le psychiatre l'avait fabriquée à la seule fin de mettre les neurologues en échec, c'est-à-dire afin de les ridiculiser, autrement dit par antisémitisme, car le Pr. Saïd était un membre éminent de l'IFREM, l'Institut de Formation et de Recherche d' Éthique Médicale juive, un Institut qui éditait Médica Judaïca, une revue d'Éthique médicale dirigée par le philosophe Emmanuel Hirsch, l'actuel titulaire de la Chaire d'enseignement d'éthique médicale de l'AP - HP, une Chaire fondée en 1995 au CHU de Bicêtre à l'initiative du Professeur Gérard Saïd, une relation proche dudit philosophe (voir en note*).

Avant son changement de main en 1995, la Clinique Elmelik pouvait servir  à ce à quoi allait servir en 1997 le Service de neuro-pneumologie du CHU de Mantes la Jolie quand le Dr. Olivier Ille y est devenu Chef de Service.

En 1990, Olivier Ille n'était encore qu'un Interne dans le Service du Pr. Saïd. Il avait alors été chargé de transmettre au docteur Jean-Yves Beinis, gériatre et Chef de Service à l'hôpital Charles-Foix, le meilleur moyen de traiter l'énigmatique atteinte diffuse qui affectait le système nerveux dudit malade: il lui avait recommandé de se méfier de l'avis du Dr. C. et de ne faire que semblant de lui administrer le traitement de la maladie de Biermer, un traitement a priori inutile voire toxique pour le malade.

Comme il a été précisé par E. Andrès & al., on ne s'est rendu compte que "dans le milieu des années 1990" que l'atteinte diffuse du système nerveux de ces malades était causée par une non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses. En 2003, la commercialisation du test de Schilling a été abandonnée, et le nom de "syndrome ce carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" qui avait été donné à cette nouvelle entité nosologique a changé pour prendre celui de syndrome NDB12PP)

Les neurologues de Bicêtre avaient vraiment cru devoir attribuer l'atteinte diffuse du système nerveux de leur malade à la maladie Alzheimer compliquant une encéphalopathie vasculaire, deux pathologies contre lesquelles on ne pouvait pas faire grand chose. Ils n'avaient de ce fait pas su lui opposer un autre traitement que le Prozac *, et ils pensaient que leur malade était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation", ainsi que l'a en 1996 très objectivement rapporté le neurologue François Chedru dans son expertise. De fait le malade était décédé  le 2 octobre 1994 à l'hôpital Charles-Foix.  Dans ces conditions, les neurologues n'avaient pas jugé utile que lui soit prescrit un traitement contre son hypertension, bien que l'encéphalopathie vasculaire qu'ils avaient pu détecter en 1990 à la scanographie ne pouvait en principe qu'en être la conséquence..    

La dénomination atteinte diffuse du système nerveux faisait que l'on pouvait en 1990  aussi bien ranger cette atteinte comme relevant de l'effroyable mais très rare LEMP, (Leuco-Encéphalie Multifocale Progressive), une maladie contre laquelle il n'y a rien à faire.  

Les LEMP sont en effet des affections démyélinisantes du système nerveux dues à un polyomavirus, un virus qui s'installe le plus souvent consécutivement à une immunodépression provoquée par le VIH où par des traitements immunosuppresseurs. Et les LEMP  ne connaissent pas de traitement efficace. Les malades de LEMP finissent habituellement leur vie dans un état de marasme épouvantable. Il est exclu qu'une LEMP ait été volontairement provoquée en 1990 par le natalizumab, le mavenclad ou le Tecfidera* puisque ces médicaments n'avaient pas cours à cette époque, mais possiblement par bien d'autres immunosuppresseurs, il n'en manquait pas, ou par le VIH, puisque le malade avait été transfusé en avril 1984 lors du placement d'une prothèse de hanche réalisée à l'hôpital Saint-Louis, c'est-à-dire à une époque où quasiment toutes les transfusions de sang transmettaient le VIH. Mais puisque c'était sur les conseils de son fils  que le malade avait été opéré, on est en droit de se demander si ce n'était pas dans l'intention de provoquer une LEMP qu'il l'avait été ? 

La vitaminothérapie B12 aurait permis quelques fois d'enrayer le cours des LEMP, mais cela a été fortement contesté en 2006 par le docteur Antoine Moulignier, du Service de Neurologie de la Fondation Adolphe Rotschild, cf. Revue Neurologique 2006;162 (1):22-42."Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH". 

L'atteinte du système nerveux de la victime avait été d'une extrême gravité. En l'absence d'un traitement plus effectif que le Prozac*, la maladie avait manqué d'emporter le patient,  les neurologues n'ayant pas su quoi faire d'autre devant un cas si dramatiquement déroutant, cf. leur compte-rendu  d'hospitalisation, signé de l'Interne (Olivier Ille) 

(Son CRH ne préconise pour tout traitement que du Prozac* et un traitement antispastique !

CONCLUSION  << TROUBLES DE LA MARCHE EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX
UN TRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT ÊTRE BÉNÉFIQUE
PAS D' INDICATION OPÉRATOIRE
SYNDROME DÉPRESSIF TRAITE PAR PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR
RÉÉVALUATION DES FONCTIONS SUPÉRIEURES APRES TRAITEMENT
PATIENT TRANSFÉRÉ DANS LE SERVICE DE MÉDECINE DU  Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX .>> (voir ce CRH dans son intégralité en fin d'article)

Le CRH porte comme motif d'hospitalisation "Troubles de la marche", alors que le malade avait été hospitalisé d'urgence pour des troubles d'ordre neuro-psychiatriques, une attaque de panique qui avait inquiété les voisins du malade, qui avaient fait appel à Police-Secours, qui avait fait  au SAMU 94, qui avait conduit le malade aux Urgences du CHU de Bicêtre.

Les conclusions du CRH sont signées de l'Interne,  Olivier Ille, qui deviendra quelques années plus tard au CHU de Mantes la Jolie  le Chef du Service dans lequel bien des malades seront envoyés ad patres (une trentaine selon les premiers dires de  Christine Malèvre, avant qu'elle ne s'aperçoive qu'il ne fallait surtout pas s'en vanter et n'avoue que quatre "euthanasies".)

Celui qui avait fabriqué cette maladie devait évidemment  savoir quel autre traitement que du Prozac* il fallait administrer au malade pour qu'il puisse se rétablir. Or il ne l'a administré qu'au dernier moment, au moment où le malade sombra dans un coma carus. Il était alors en passe de mourir. Le traitement qu'il lui administra fit qu'il put rapidement se rétablir alors qu'il paraissait être inéluctablement voué à une plus grande aggravation, et donc à une fin prochaine, ce pourquoi d'ailleurs les neurologues de l'hôpital Bicêtre  l'avait fait transférer en gériatrie à l'hôpital Charles-Foix. Sa résurrection y fut évidemment mal très vécue par les neurologues de Bicêtre, par le docteur Jean-Yves Beinis, par la direction de l'hôpital Bicêtre  et celle de l'AP - HP, qui à l'initiative du Pr. Saïd mit en place en 1995 à l'hôpital Bicêtre, et un peu plus tard à l'hôpital Saint-Louis, un Espace dédié l'enseignement de l’Éthique Médicale, un enseignement que l'AP -HP,  suivant les conseils du Pr. Saïd, confia à un professeur de philosophie, Emmanuel Hirsch, le Rédacteur en Chef de Médica Judaïca. 

La mystification était à l'évidence antisémite : pour preuve, comme Michel Onfrey, son auteur avait aussi beaucoup cherché à démolir l’œuvre et la réputation du grand savant plein de bonté et d'abnégation qu'avait été le professeur Sigmund Freud. Après qu'il en a été averti, le docteur Patrice Bodenan, un ami du Dr. Edith Elmelik, franc-maçon et responsable du Bureau de Presse du Conseil de l'Ordre départemental du Val-de-Marne, s'est, à juste titre, entendu avec le Pr. Saïd pour réclamer contre lui au Conseil Disciplinaire, alors présidé par le Dr. Jean Penneau, l'application de l'article L 460 du CSP et sa radiation du tableau de l'Ordre des Médecins www.lettre du docteur bodenan au docteur penneau       

Heureusement pour ces malades, on sait maintenant comment les traiter. Le professeur Emmanuel Andrès, médecin nutritionniste des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, a fini par trouver la cause de la maladie, et donc le remède adéquat, en l'occurrence très simple, puisque c'est celui de la maladie de Biermer, à savoir la vitamine B12 à forte dose. Il suffit maintenant de le savoir pour éviter aux malades qu'ils développent une atteinte diffuse du système nerveux et finissent leur vie de façon épouvantablement atroce.  

Traitée par cet antidote au moment où son père était en passe de mourir dans un état épouvantable, celui-ci put se rétablir. La maladie ne l'avait pas tué mais administré trop tardivement l'antidote n'avait pu éviter qu'il s'en sorte sans rester lourdement handicapé sur le plan moteur.

Heureusement pour le malade, avant de s'aggraver très sévèrement, il avait,été transféré à l'hôpital Charles-Foix dans l'Unité de Soins Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis, où la Surveillante, madame Pondu, s'aperçut en essayant de le faire manger qu'il avait développé une glossite de Hunter, que son état de dégradation très avancée était donc dû à une profonde carence vitaminique B12, ce qui permit ou plutôt obligea le criminel qui avait  fabriqué la maladie d'en enrayer le cours, six semaines après son hospitalisation à Bicêtre, ce qui lui valut de s'attirer beaucoup plus la sympathie des infirmières du Service que le Dr. docteur Beinis.  

Les neurologues de l'hôpital Bicêtre ont ainsi été en 1990 avec le docteur Jean-Yves Beinis  les premiers témoins de cette fabrication, mais ils ont eu le tort de ne pas oser la porter devant les autorités judiciaires, puisque cette omission s'est traduite par d'autres tentatives, qui furent celles-là malheureusement fatales à une flopée de malades, une trentaine selon les premières déclarations d'une infirmière répondant au nom de Christine Malèvre

Celle-ci a accepté d'en faire les frais en purgeant quatre ans d'emprisonnement en lieu et place du médecin responsable de ces exitus provoqués, déguisés en euthanasies.

Le docteur Laurence Kouyoumdjian, l'associée du docteur Olivier Ille, avait réussi à faire cesser en les signalant, alors que le docteur Olivier Ille ne s'était aperçu de rien. Il avait pourtant déjà été témoin, en août 1990, lorsqu'il était Interne dans le Service du professeur Saïd, de ce que son malade, le père du susdit criminel, avait par miracle de peu pu échapper à la mort grâce au signalement de madame Pondu.      

Victime de cette mystification antisémite, le professeur Gérard Saïd, Chef du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, n'en a découvert le caractère criminel qu'après-coup, en 2004, lorsque le criminel, un psychiatre manifestement déjanté, a eu le toupet de demander à la CADA la communication du dossier de son père; un dossier auquel le Pr. Saïd et l'hôpital Bicêtre lui avaient interdit l'accès. Ils le disaient perdu. On peut les comprendre. 

Mais pourquoi le Professeur Gérard Saïd, Olivier Ille  et l'hôpital Bicêtre n'ont-ils pas signaler aux autorités judiciaires cette fabrication cependant que l'article 40 du CPP leur imposait de la dénoncer ?

Était-ce parce que, en tant que victimes d'une escroquerie, ils ont eu honte de s'être laissé berner, où était-ce parce ce qu'en 2004 il y avait prescription ?

* Après avoir organisé un Grand Débat sur "l'avancée en âge, une chance pour la société", E. Hirsch. organise pour la journée du 11 mars 2019, à l'Espace Éthique d'Île-de-France un Colloque où sera abordé le problème  "des manquements à l'intégrité scientifique", et à nouveau à la mairie du IVe arrondissement, pour la soirée 14 mars prochain, de 18h30 à 21h, un Grand Débat sur "les droits des personnes en situation de vulnérabilité".

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20 février 2019 3 20 /02 /février /2019 23:34

Dans l'après-midi du 31 juillet 1990, revenant de Dinard sur la route de Paris j'avais emprunté la nationale 12.

Arrivé à Verneuil-sur-Arve, pris dans les embouteillages, j'avais bifurqué et suivi la route de Bison-Futé.

Sur cette déviation, arrivé à Brezolles, je fis une pause pour satisfaire un besoin naturel contre un arbre, et, fatigué, j'en avais profité pour faire un petit somme dans la voiture.

C'est alors que des extra-terrestres à l'aspect tout à fait humain frappèrent sur le pare-brise et m'invitèrent à venir voir leur machine volante. Je n'avais pas remarqué qu'elle s’était posée en contre-bas dans la clairière derrière les arbres quand j'avais satisfait mon besoin. Je ne sais pourquoi les ET tenaient absolument à me montrer le fonctionnement de leur machine.

Avant d'y pénétrer, je remarquai que l'engin, en forme de gros champignon, était immatriculé à sa base. De façon surprenante, il l’était avec des chiffres arabes et des lettres de l’alphabet romain.

Il était immatriculé FAKE A K A 6 E HIP HIP 2 BOU

J'étais perplexe. A quoi pouvait bien correspondre cette immatriculation arc-en-ciel et scatologique ? 

Je l'ai noté après avoir pris la peine de le mémoriser, ce qui ne m'avait pas posé de problème. C'était plus facile à retenir que de mémoriser le numéro de téléphone du Père Noël, ce que je n'avais jamais réussi à faire malgré l'intérêt qu'il y avait à le savoir par cœur.

Ce n'est que des années plus tard, c'est-à-dire maintenant, que j'ai compris: c'était m'avertir que des emmerdements m'attendaient et que j'allais en voir de toutes les couleurs !

Les ET me firent savoir que leur champignon volant tirait son énergie des fluctuations énergétiques d'une composition "musicale" créée par une machinerie placée en son centre, une machinerie qui ressemblait à un grand orgue de forme conique placé sur un socle en rotation, chaque rangée instrumentale inclinée vers l’extérieur tournait en sens inverse les unes par rapport aux autres et avec une vitesse différente. Cette solution technique me parut immédiatement logique.

Après avoir regagné ma voiture où je m'étais assoupi une vingtaine de minutes, reprenant mes esprits, j’ai redémarré et continué ma route pour retomber dans les embouteillages peu avant d’arriver à Dreux.

Je ne tardai pas à vérifier le soir même que cette rencontre me porterait la poisse pour des années (Cf. ce qui m'est ensuite arrivé aux précédents articles de ce blog, à commencer par celui daté d'août 2009, qui est immatriculé 34640255html. Il a trait à la maltraitance des personnes âgées et vulnérables.  Je l'avais mis en ligne avant de savoir que j'avais, en 1990, quelques semaines après ma rencontre avec des ETen fait été l'initiateur de la redécouverte du syndrome NDB12PP, un syndrome neurologique jusqu'alors ignoré de la plupart des cliniciens.

Des recherches réalisés par internistes des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg (Emmanuel Andrès & al.) en ont attribué la découverte à Doscherholmen, un gastroentérologue des États-Unis  qui, dans les années 1970, n'avait pas réussi à le faire connaître de ses contemporains bien qu'il en ait fait publication.

Emmanuel Andrès & al. l'avaient en 2003, depuis l'abandon du test de Schilling, qui servait jusque-là à le définir, rebaptisé "syndrome NDB12PP" (en remplacement de leur appellation précédente  "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal ").

Le docteur Michel Serdaru, de la FFN, dans "La maladie d'Alzheimer et autres démences" un ouvrage collectif publié chez Flammarion Médecine-Sciences, avait attiré l'attention des lecteurs sur le fait que ni un test de Schilling normal ni même une vitaminémie B12 normale ne suffisait à éliminer le diagnostic de maladie de Biermer. Aussi avait-il été très intéressé lorsque je lui ai présenté mon père en 1992, qui avait réussi, en quelques semaines après la mise en route du traitement de la maladie de Biermer, à regagner 30/30 au MMSE (contre 22/30 le 22 août 1990 sur un diagnostic d' "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX" (sic), une atteinte contre laquellle en guise de traitement du Prozac* avait été ordonné, assortie d'une interdiction, signifiée au docteur Jean-Yves Beinis, de suivre mon avis, qui était de traiter l'atteinte du malade comme si elle était liée à la maladie de Biermer, et donc de la même façon que celle-ci, son traitement étant très simple et peu coûteux, parce que j'avais remarqué que le test de Schilling, bien qu'il ait été déclaré être à 35 %, et donc normal, avait l'espace de quelques jours, apporté un léger mieux à l'état neurologique du malade, alors que ce test se termine obligatoirement par l'administration d'un milligramme de Vitamine B12, une dose relativement conséquente sur le plan clinique pour normaliser l'anémie inhérente à la maladie de Biermer et tout en étant capable d'apporter une légère amélioration au syndrome neurologique, et non pas de l'aggraver, comme cela aurait été le cas s'il s'était agi d'un syndrome neurologique en rapport avec un myélome cérébro-spinal

Le 12 septembre 1990 il m'avait fallu, alors que je n'en avais pas du tout connaissance, puisqu'il n'a été redécouvert que "dans le milieu des années 1990" (dixit E. Andrès & al.dans leurs publications sur le sdujet), en faire moi-même l'hypothèse pour tenter de sauver, à la demande de ma sœur - c'était dans la soirée du 12 septembre 1990 - la vie de mon père, qui, au terme d'une hospitalisation de six semaines, avait fini par sombrer dans un coma carus faute d'avoir reçu de ses médecins, les neurologues de l'hôpital Bicêtre épaulés par le docteur Jean-Yves Beinis, gériatre à l'hôpital Charles-Foix, le traitement approprié à son état, . Cf. sur la Toile l'article n° 108281777 html intitulé "Théorie du complot, mythe ou réalité ?", un article qui renvoie à celui que l'on peut trouver au numéro 34640255html consacré à la maltraitance des personnes âgées dans certaines Cliniques et certains Services de l'AP - HP, telle la Clinique Léon Elmelik à l'Haÿ-les-Roses, le Service de neurologie du Pr. Gérard Saïd à Bicêtre et le Service de pneumo-neurologie du Dr.Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie, où un grand nombre de malades ont été "euthanasiés" par l'infirmière Christine Malèvre (en août 1990 Olivier Ille était Interne dans le Service du Pr. Gérard Saïd. C'est lui qui s'était alors occupé de transmettre au Dr. Jean-Yves Beinis la consigne de ne faire que semblant d'administrer au malade qu'il lui adressait, à savoir à mon père, le traitement de la maladie de Biermer, en oubliant de tenir compte de ce qu'en gériatrie les infirmières pouvaient être capables de reconnaître la maladie de Biermer cette maladie affectant très souvent les personnes âgées, et donc capables de ne pas vouloir suivre des consignes qu'elles savent mortifères, cf. article 108281777html déjà cité)        

Revenons-en à l'après-midi du 31 juillet 1990, alors que revenais en voiture de quelques jours passés à Dinard.

J'avais emprunté la nationale 12 pour aller à Paris avec l'intention de passer par l'Haÿ-les-Roses pour rendre visite à mes parents, qui a l'époque avaient de sérieux problèmes de santé. Ma mère perdait la mémoire et ne se rendait même plus compte qu'elle perdait aussi la vue et mon père souffrait depuis plusieurs mois d'un syndrome neurologique et psychiatrique (ledit syndrome, à la fois neurologique et psychiatrique, était resté jusque-là méconnu  des cliniviens). Les médicastres de la Clinique Léon Elmelik, la Clinique de sa Commune, avaient profité de ce qu'il perdait la tête pour l'opérer, soi-disant pour remédier à ses difficultés à marcher. En réalité pour booster le chiffre d'affaire de leur Clinique, qui était alors à vendre. 

La maladie qui en empêchait mon père de marcher sans tomber est maintenant reconnue, en France, depuis2003, sous le nom de syndrome NDB12PP.

L' état psychique de mon père rendait depuis des mois les relations avec lui très difficiles: victime du délire d'illusion de Capgras, il avait la conviction que je n'étais pas son véritable fils  et me prenait pour imposteur qui cherchait à le dépouiller de ses biens.  Il m'avait été impossible de le décider à aller consulter un psychiatre. Je n'avais pu que le décider à aller consulter un pneumologue, car il faisait souvent des fausses routes alimentaires, qui provoquaient des quintes de toux incoercibles. Des fausses routes que j'attribuais au petit syndrome parkinsonien qu'il présentait alors;  

Il était aussi en proie à des douleurs. Il les attribuait à un cancer des os.  Il croyait qu'elles étaient la conséquence d'une opération orthopédique que je lui avais conseillé de faire-faire à l'hôpital Saint-Louis, et il n'avait maintenant plus du tout confiance en moi quand je lui expliquai que ce qu'il croyait voir sur les images radiologiques n'était pas un cancer mais l'image des crampons de sa prothèse. Il avait pour son malheur préféré aller prendre l'avis d'un médecin de la Clinique Léon Elmelik, une Clinique qui travaillait en intelligence avec le maire Marc Méchain

L'Haÿ-les-Roses était depuis 1989, depuis la mort inopinée de PierreTabanou,  administré par son premier adjoint, Marc Méchain.

Pierre Tabanou était mort à la Clinique Léon Elmelik, où il avait été transporte, victime d'infarctus du myocarde. Ce n'avait pas été une bonne idée, me confiera plus tard Patick Sève, en 1993 devenu  le successeur de Marc Méchain.

Je ne sais pourquoi Méchain a été démis de ses fonctions en 1993. A la médiathèque de l'Haÿ-les-Roses les numéros de "L'Haÿ-les-Roses notre Ville" relatifs à sa mandature ont curieusement tous été soustraits à la curiosité des lecteurs.  

Sans que je le sache encore, le nouveau maire, sous l'étiquette du "socialisme", était en 1990 en train de chercher à me plumer.

Marc Méchain  savait pouvoir tirer profit de son intimité avec les riches médecins actionnaires de la Clinique Léon Elmelik, une Clinique qui savait elle-même pouvoir tirer profit de ce qu'elle se savait "protégée en hauts-lieux" par l'Ordre des médecins, par la direction de l'AP - HP et par Michel Barrau, c'est-à-dire par la Justice, c'est-à-dire par l’État (de non-droit) usuel de l'Establishment français.

Cf. < genocides.over-blog.com/2016/03/a-ne-pas-l-ebruiter.html. >  et < autour-de-l'incendie-de-la-mairie-l'haÿ-les-roses/clinique-leon-elmelik > 

Quoi qu'il en soit dès mon réveil je ne crus plus comme je l'avais fait au principe de fonctionnement du dispositif que les ET m'avaient montré, ce en vertu les lois élémentaires de la physique, dans un système clos autant que dans un système ouvert, même si dans ce cas il peut à première vue sembler plausible. 

Comme le procédé pouvait paraître "logique" pour un profane, j'en ai parlé à un étudiant (l'ami d'une cousine) qui préparait polytechnique. Il n'y avait pas vu de contradiction (ou fait semblant de ne pas voir), si bien que le m'étais lancé,  à partir de la mécanique d'un aspirateur,  dans la fabrication d'un modèle fonctionnant sur le principe (fallacieux) du dispositif que des ET m'avaient fait visiter en rêve.

Après l'avoir construit, j'ai placé l'engin sur une balance en guise de dynamomètre, pour constater que, évidemment, le dispositif ne générait aucune force de lévitation.

Un autre effet observé était cependant intéressant dans la mesure où il pourrait être exploitable sur le plan ferroviaire ... pour concurrencer à moindre coût le Maglev des Japonais et des Chinois.  

En attendant j'ai d'autres chats à fouetter: faire connaître un procédé qui permet de récupérer bien plus massivement et économiquement (et écologiquement) l'énergie des marées que ne le font les barrages actuels, tel celui de l'usine marémotrice construit dans les années 1960 dans la baie de la Rance (celui-ci génèrent 240 mégawatts quand son fonctionnement n'est pas interrompu par l'ensablement ou d'autres empêchements).

Il s'agit d'un procédé séquentiel indirect et à mémoire (le STSMi), qui ne nécessite quasiment aucun entretien parce qu'il est naturellement insensible à la corrosion marine, à l'ensablement comme à l'abri des tempêtes.

Il peut fonctionner très discrètement au sein des mers sur des milliers de kilomètres tout au long de la côte de l'océan atlantique. Il fonctionne à l'instar du muscle cardiaque au sein de la cage thoracique, (je suis médecin), à la différence près qu'il est possible d'en multiplier le nombre, de Dunkerque à Biarritz, parce qu'il est peu coûteux et modulable à souhait.

Il permettrait à la France, si Elle voulait bien l'exploiter, d'économiser chaque année des dizaines de milliards de dollars inutilement dépensés à importer du pétrole, et au monde de moins polluer la planète.

Mais sa mise en exploitation ne ferait évidemment pas les affaires des lobbies pétroliers et des tenants du nucléaire.

Son seul défaut, s'il est mis en service à l'échelle planétaire, sera d'augmenter sensiblement l'éloignement de l'orbite de la lune autour de la terre, de plus d'un mètre par an au lieu de 3,8 cm, comme actuellement, puisque l'énergie prélevée se fera au dépens de l'énergie cinétique de la lune.

Ce sera la rançon de son efficacité.   

CQFD  

NB : le fonctionnement du TGV maglevien n'aura pas grand chose à voir avec celui-ci si ce n'est qu'il fonctionnera avec le courant électrique que pourra lui fournir le STSMi.    

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13 février 2019 3 13 /02 /février /2019 16:07

Médica Judaïca est une Revue médicale éditée par l'IFREM (Institut de Formation et de Recherche d'Ethique Médicale juive), une institution à laquelle participent (ou participaient) plus d'une centaine de médecins.

Son organigramme et la liste des médecins adhérents, dont le professeur Gérard Saïd (Cf. infra) n'est plus accessible sur Internet depuis plusieurs années (depuis 2012 ou 2013). Est-ce parce que l'IFREM n'existe plus ?

Si on cherche Médica Judaïca sur le Web on trouve seulement le que n° 91, daté du 1 février 2005 , est disponible chez Rakuten*, société de commerce en ligne.

Le nom du docteur Patrice Bodenan ne figurait pas dans l' organigramme de l'IFREM bien que son Mémoire de DEA d'éthique médicale, daté de 1999 ait pour thème "Les Problèmes l'Ethiques posés par les Commissions de Conciliation Hospsitalières".  

Bodenan°°°  y stipule très éthiquement que le rôle d'un Chef d'établissement hospitalier est d'en assurer l'équilibre financier, quand bien même ce serait au détriment des malades.

A ma connaissance le docteur Bodenan°°° n'est pas juif. Il se réclame seulement de son appartenance à la franc-maçonnerie.  Il prend soin de signer ses lettres  Bod°°° quand il les adresse à un franc-maçon. C'est en tout cas ce qu'il avait cru bon de faire quand il s'est adressé au président du Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins d'Île-de-France le Dr. Jean Penneau le 10 janvier 1994 pour réclamer que me soit appliqué l'article L 460 de CSP (Code de la Santé Publique)

genocide.over-blog.com/lettre-dr-patrice-bodenan-au-dr-jean-penneau

parce que je m'étais permis de signaler à l'Ordre des médecins du Val-de-Marne les exactions chirurgicales commises par le docteur Antoine Denis, et que je n'avais donc pas respecté l'omerta que l'Ordre départemental du Val-de-Marne faisait régner sur les exactions médicales chirurgicales et sexuelles que se permettaient de commettre ses amis les médecins propriétaires de la Clinique Léon Elmelik, ce qui d'après Patrice Bod °°° est manifestement faire preuve de paranoïa. Pour protéger son amie Edith Elmelik (il l'a connue à Henri Mondor lors de ses années de formation à anesthésie dans le Service du professeur Pierrre Huguenard, qui lui avait accordé le titre d'anesthésiste, mais non celui de réanimateur. Le Pr Huguenard le lui avait refusé mais il se l'était auto attribué  sur ses Cartes de Visites en 1992. genocide.over-blog.com/viols-en-milieu-médical 

Le Mémoire de DEA d'éthique médicale du Patrice Bod°°° est patronné par un franc-maçon notoire, le professeur Christian Hervé, chef du Laboratoire d'Ethique Médicale et de Médecine Légale, 45, rue des Saints-Pères à Paris  (Université René Descartes)

Tout démontre que le professeur Gérard Saïd, qui était  nécessairement au courant de leurs exactions, s'était associé à lui pour que me soit appliqué ledit article L 460 du CSP : quand je l'ai interrogé en 1991 pour savoir comment il se faisait que le dossier de l'hospitalisation de mon père dans son Service était déclaré perdu et pourquoi il m'avait fallu intervenir pour sauver la vie de mon père - en septembre 1990 après son transfert en gériatrie à l'hôpital Charles-Foix - en lui administrant moi-même in extremis le traitement de la maladie de Biermer, le traitement que les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient fait semblant de lui administrer (alors que le diagnostic de cette maladie avait été posé, et que c'était la raison même de son hospitalisation en neurologie à Bicêtre), il m'avait en guise de réponse dit d'aller consulter un psychiatre et avait accompagner ses dires en vissant son index sur la tempe ipsi latérale).   

Que l'on soit juif ou non, force est de constater que l'on se fait facilement accuser  d’antisémitisme lors de différends avec des personnes réputées appartenir à la communauté juive, surtout si le différend mérité d'être porté devant les autorités judiciaires, ou si seulement on a des critiques à formuler contre un auteur juif.

C'est l'accusation qui a été portée par le docteur Georges Gachnochi à l'encontre des journalistes du journal "Le Monde" lors d'un Colloque consacré à la "psychanalyse de l'antisémitisme" qui s'est tenu à l'Alliance Israélite Universelle (AIU) un dimanche de la mi-novembre 2002.

C’est ce qui m'est arrivé en 2004 de la part de la direction de l'hôpital Bicêtre après que je me suis adressé à la CADA  (Commission d'Accès aux Documents Administratifs) pour avoir enfin accès au dossier médical de mon père, soit-disant "perdu"? et à Michel Onfray en 2010, de la part d'Elisabeth Roudinesco, "l'historienne de la psychanalyse" après (et même avant) qu'il ne publie "La chute d'une idole". E. Roudinesco avait donc dû été en mesure de lire son livre avant qu'il ne paraisse. Comme quoi à l'instar du docteur Alain de Mijolla, elle se charge (ou est chargée par le lobby psychanalytique) de veiller au grain de folie très lucratif introduit dans la psychiatrie française par la doctrine débilitante - cocaïno-délirante et égocentrée du tristement célèbre docteur Sigmund Freud (voir à ce sujet au cinéma le film de Sophie Robert "Le Phallus et le Néant" que de rares salles de cinéma ont actuellement le courage de projeter).

Mais qu'est-ce qui m'avait fait accuser d'être "antisémite" ?

Mon nom patronymique y était-il pour quelque chose ?

Ou étaient-ce mes critiques formulées à l'encontre du système délirant et pathogène de Herr Professor Sigmund Freud ?

Peut-être un peu, mais surtout parce que faute d'un traitement correctement administré par ses médecins mon père avait failli décéder à la suite de son  hospitalisation à la Clinique Léon Elmelik et à l'hôpital Bicêtre dans le Service du professeur Gérard Saïd, et ensuite dans le Service du docteur Jean-Yves Beinis, où les neurologues de Bicêtre l'avaient fait transférer (par mesure d'économies, m'avait-on expliqué avant son transfert, puisqu'au lieu de se rétablir son état ne cessait de se dégrader).  C'était sans espoir m'avait-il été expliqué par le Chef de clinique, le docteur Pascal Masnou, qui m'expliqua que mon père souffrait "en réalité" d'une démence sénile de type Alzheimer  (une "DTA") greffée sur une "encéphalopathie vasculaire". Le tout sera baptisé "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (dixit le compte-rendu d'hospitalisation, rapporté ci- après en note).

De fait, après son transfert à l'hôpital Charles-Foix sans le Service du docteur Jean-Yves Beinis mon père sombra dans un coma carus.

Il manqua de peu de ne pas en sortir vivant. Il en avait gradé de lourdes séquelles motrices, ce qui l'avait privé de son autonomie.

Il avait pu malgré cela récupérer à 30/30 ses capacités intellectuelles  et avait porté porté plainte, car j'avais été en mesure d'intervenir à temps grâce à ses infirmières, qui m'avaient montré que le traitement que ses médecins lui faisaient suivre était erroné (était "bidon").

La direction de l'hôpital responsable du Service responsable, c'est-à-dire la direction de l'AP  HP,  trouva en 2004 un moyen censé me clouer le bec : c'était moi qui avais en 1990, par "antisémitisme", sciemment "fabriqué" la maladie de mon père (sic).

Une accusation qui aurait dû conduire l'hôpital Bicêtre, l'AP - HP et le professeur Saïd à porter l'affaire devant les autorités judiciaires en vertu de l'article 40 du CPP

Pour en revenir à "Médica Judaïca", le professeur Gérard Saïd et l'AP - HP ont appelé son rédacteur en chef, le philosophe Emmanuel Hirsch et non pas un médecin, à enseigner l'éthique médicale au sein de l'AP - HP.   

On en aura une idée en poursuivant la lecture de cet article dans les articles précédents. Il suffit de poursuivre la lecture de celui-ci au delà de la courte bibliographie suivante)

BIBLIOGRAPHIE

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med.  299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

On savait donc en 1978 qe'un test de Schilling NORMAL était insuffisant pour récuser ler diagnostic de maladie de Biermer.

! 2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78  "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".
3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson  "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.
4 -  1988  J. Lindebaum &  al. N. Engl. J. of Med.  "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"
5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 metabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).
6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".
7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"
8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"
9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"
10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".  
11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".
12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"
13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"
14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"
15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"
16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".
17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)
18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
19 - Revue Neurogique 2006;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)

20 - Editions La découverte : Anne-Marie Casteret "L'affaire du sang"  1992

http://genocides.over-blog.com/article-une-atteinte-diffuse-du-systeme-energivore-111316303.html/Leuco-encéphalopathie multifocale progressive (LEMP),

http://genocides.over-blog.com/article-complications-psychiatriques-des-carences-cobalaminiques-69970222.htm

http://genocides.over-blog.com/article-la-reconstruction-de-la-mairie-de-l-ha-les-roses-124849927.htm http://genocides.over-blog.com/article-une-affaire-classee-secret-d-etat-90572776.html

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12 février 2019 2 12 /02 /février /2019 17:22

En novembre 2002, lors d'un colloque de l'AIU (Alliance Israélite Universelle) consacré à la psychanalyse de l'antisémitisme, le docteur Georges Gachnochi, pédo-psychiatre et psychanalyste, ouvrit la séance  en fustigeant les journalistes du journal "Le Monde". Il attribuait les critiques que ses journalistes avaient formulés à l'encontre de la politique expansionniste du gouvernement israélien à la "Haine de Soi d'être juif".

Quand on a un différend avec des personnes réputées appartenir à la communauté juive, que l'on soit juif ou non, on fait facilement, si ce n’est systématiquement, l’objet de l’accusation d’antisémitisme.

C’est ce qui m'est arrivé en 2004 de la part de la direction de l'hôpital Bicêtre après que je me suis adressé à la CADA  (Commission d'Accès aux Documents Administratifs) pour avoir enfin accès au dossier médicale de mon père, comme à Michel Onfray en 2010 de la part d'Elisabeth Roudinesco, "l'historienne de la psychanalyse" après (et même avant) qu'il ne publie "La chute d'une idole" (E. Roudinesco avait donc dû pouvoir lire son livre avant qu'il ne paraisse, comme quoi tout comme le docteur Alain de Mijolla, elle se ou est chargée par le lobby freudien de veiller au grain de folie lucrative introduit dans la psychiatrie française par la doctrine débilitante - cocaïno-délirante et projective - du tristement célèbre docteur Sigmund Freud.) 

Faute d'un traitement correctement administré lors de son hospitalisation mon pèrel avait sombré dans un coma carus. Il avait failli ne pas sen sortir vivant et en avait gradé de lourdes séquelles motrices, ce qui l'avait privé de son autonomie. Il avait porté plainte, et comme j'avais été en mesure d'intervenir à temps grâce à ses infirmières, qui m'avaient montré que le traitement que ses médecins lui faisaient suivre était erroné, j'ai été taxé d'antisémitisme.

Pourquoi ? 

J‘avais moi-même de façon abjecte précédemment - en 2004 - fait l’objet de cette accusation de la part de la direction d'hôpital Bicêtre, qui m'a accusé d’avoir, par antisémitisme sciemment fabriqué (sic) la maladie pour laquelle mon père avait été hospitalisé à Bicêtre en août 1990.

A propos du livre de Delphine Horvilleur "Réflexions sur la question antisémite" j’invite la rédaction du Magazine "Elle", Médiapart, Anticor, l’auteure de ces réflexions sur l'antisémitisme, mais aussi les divers journaux et magazines que j'ai déjà informé sur ce qui était passé à l'hôpital Charles-Foix et à l'hôpital Bicêtre, dont madame Agnès Buzyn, Ministre des Solidarité et de la Santé, à se pencher sur les circonstances qui ont en 2004 fait porter cette accusation d’antisémitisme à mon encontre.

La direction de l’hôpital Bicêtre l’avait portée après que je me suis adressé à la C.A.D.A. (Commission d’Accès aux Documents Administratifs) pour que soit enfin donné suite à ma demande de pouvoir consulter le dossier d’hospitalisation de mon père aux Lits-Portes de l’hôpital Bicêtre (du 31 juillet au 2 août 1990) comme dans le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd du 2 au 22 août 1990, avant son transfert à l’hôpital Charles-Foix dans le Service gériatrique du docteur Jean-Yves Beinis (du 22 août au 12 octobre.)

C’est en effet un dossier que la direction de l’hôpital Bicêtre et le Service du professeur Gérard Saïd ont toujours, c’est-à-dire depuis que j’avais demandé à le consulter en 1991, prétendu être perdu (Je sais de bonne source qu’il ne l’a jamais été).

Non seulement le docteur François Chedru m’avat affirmé le 4 juillet 1996 qu’il avait pu le consulter en janvier 1996 après que madame Bénédicte Scelle, Juge d’instruction au TGI de Créteil, l’a chargé d’expertise, mais les médecins de la Clinique Léon Elmelik, contre lesquels mon père avait à juste titre porté plainte pour « coups et blessures volontaires et non assistance à personne en danger » avaient aussi pu le consulter ! Ils avaient pu le consulter, et même faire une copie de celui du docteur Jean-Yves Beinis.

Le docteur Antoine Denis, le pseudo chirurgien de la Clinique Léon Elmelik contre qui mon père avait axé sa plainte avait été jusqu’à se permettre de déposer au Conseil Régional de l’Ordre des médecins de l'Île-de-France la copie du cahier des observations cliniques faites à Charles-Foix dans le Service du docteur Beinis, tout comme il avait manifestement pu consulter le dossier de mon père à l’hôpital Bicêtre, puisqu’il y avait puisé des informations qui ne pouvaient que provenir d’une lettre que j’avais adressé au professeur Saïd en mars 1991.

J'ai en décembre dernier fait connaître, par courrier RAR (AR 1A 152 454 8557 4) , à madame Agnès Buzyn, cette ignoble accusation, lui précisant que j’avais été accusé d’avoir "sciemment fabriqué“ (sic) la maladie de mon père par ”antisémitisme" !

La communication du dossier d’hospitalisation de mon père m’avait été refusé au prétexte, controuvé, qu’il avait été perdu cependant qu’il avait été communiqué aux médecins de la Clinique Léon Elmelik, une Clinique obstétricale dans laquelle mon père venait de subir, à l’âge de 79 ans, de façon impromptue et ‘‘à l’insu de son plein gré ’’, alors qu’il n’était manifestement pas en état de la subir, une opération orthopédique bilatérale illicitement réalisée un rhumatologue qui se prétendait et se prenait pour un chirurgien orthopédiste ‘‘de renommée internationale’’ (sic, dixit le docteur Antoine Denis lui-même, et le docteure Edith Ellmelik, la propriétaire de cette Clinique, sise à l’Haÿ-les-Roses.)

La Clinique Elmelik était une Clinique dans laquelle le docteur Jean-Claude Elmelik – le frère du docteure Edith Elmelik - se permettait – selon la police de cette Commune, de violer impunément les accouchées en salle de réveil. -Cf. www.34640255 html Chap. II § 5.)

A l’Haÿ-les-Roses, « tout le monde » à la Mairie comme à la Sécurité Sociale était au courant, ainsi qu’à la CPAM du Val-de-Marne la DRPS (Direction des Relations avec les Professions de Santé), Cf. Chap. 1 § 1 les déclarations du Dr. André Souche.

Mon père étant devenu invalide après son opération, je l’avais accompagné le 23 janvier 1991 lorsqu’il a déposé sa plainte au Commissariat de l’Haÿ-les-Roses.

Le Commandant Christian Raeckelboom, m’avait alors fait une déclaration qui allait dans le même sens que celle du docteur Souche : << J'aimerais que pour une fois cette affaire aboutisse. Je n'ai en principe pas à vous le dire, ne le répétez pas, mais j'ai sur mes étagères cent cinquante (sic) plaintes pour viols. Aucune n'a pu aboutir. Les actionnaires de la Clinique sont protégés en hauts lieux, ils sont milliardaires. Ils peuvent faire et font ce qu'ils veulent. Les plaintes contre eux sont toutes systématiquement bloquées au parquet >> .)

Mon père avait, à juste titre, porté plainte contre X à leur encontre pour « coups et blessures volontaires et non assistance à personne en péril »;

Il aurait pu vivre comme son frère jusqu'à 90 ans mais sans doute miné par les conséquences des mauvais traitements qu'il avait subi il est décédé inopinément de cause inconnue à l'hôpital Charles-Foix dans l'après-midi du dimanche le 2 octobre 1994 alors qu'il était porté sortant pour le lendemain.

Malgré ma demande aucune recherche sur la cause de sa mort n'a été faite cependant que le même Service s’était permis le mois précédent de se livrer à l’autopsie de ma mère. Elle était pourtant décédée dans le même Service d’une cause parfaitement connue.

Dans la soirée du 12 septembre 1990 il m'avait fallu intervenir pour empêcher mon père de mourir alors qu'il était hospitalisé depuis six semaines. Les neurologues du Service du professeur Saïd qui l'avaient eu en charge, à l’hôpital Bicêtre -du 2 août 1990 au 22 août 1990), et le docteur Jean-Yves Beinis les trois semaines suivantes à l’hôpital Charles-Foix, n'avaient fait que semblant de lui administrer le traitement de la maladie de Biemer cependant que cette maladie avait été diagnostiquée devant moi dès l'admission du malade par les Urgentistes aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre dans la soirée du mercredi 31 juillet 1990 au retour des examens sanguins fait en urgence comme au vu de l'examen neurologique.

Ces examens étaient caractéristiques de cette maladie, très fréquente, et mortelle si elle n'est pas traitée à temps par une vitaminothérapie B12 selon un protocole depuis longtemps bien établi.

Mon père présentait alors ce qu'en médecine on appelle un "tableau de sclérose combinée de la moelle", caractéristique des syndromes neuro-anémiques, la maladie de Biermer étant, avec le syndrome de Non Dissociation de la vitamine B12 de ses Protéines Porteuses (syndrome NDB12PP) la cause principale de ces syndromes (le NDB12PP est deux à trois plus fréquent que la maladie de Biermer, mais n'avait alors pas encore été individualisé. Il ne le sera "qu'au milieu des années 1990" après que la résurrection inattendue de mon père sous l'effet du traitement de la maladie de Biermer a semé la panique au plus haut sommet de la direction de l'AP – HP comme au ministère responsable des contaminations par le VIH lors de la première moitié des années 1980, c'est-à-dire à l'époque où le Ministère de la Recherche, était occupé par Laurent Fabius et celui de la Santé par Claude Evin.)

Mon père avait été adressé le 22 août au Dr. Jean-Yves Beinis à l'hôpital Charles-Foix. Son état continua de s'y détériorer, mais apprenant que j'étais médecin, Mme Pondu, la Surveillante de ce Service, m'invita à venir vérifier si le traitement qu'elle avait à administrer était correct.

C'est ainsi que je me suis aperçu qu'il ne l'était pas du tout : au lieu de recevoir comme promis et comme il aurait fallu 1mg/IM/jour de vitamine B12, mon père ne recevait que 1/2 mg/semaine, une dose tout à fait insuffisante pour venir à bout d'un grave tableau de sclérose combinée dû à la maladie de Biermer comme au syndrome NDB12PP .

La symptomatologie du syndrome NDB12PP est superposables à celle de la maladie de Biermer parce que ce syndrome est comme celle-ci causé par un déficit cobalaminique.

Mais à cette époque, ce syndrome n'avait pas encore été individualisé. Faute d'avoir reçu le traitement adéquat, mon père en était arrivé au stade terminal de sa maladie.

Devant l'urgence de la situation, j'avais dû intervenir in extremis pour instaurer le traitement de la maladfe de Biermer. Contre toute attente j'avais réussi à redresser la situation.

L'erreur avait soi-disant été due à un test de schilling jugé normal et une cobalaminémie elle aussi considérée dans les limites de la normale.

Ces tests avaient été réalisés à Bicêtre devant  un syndrome clinique évoquant fortement une maladie de Biermer (tableau neurologique de sclérose combinée et glossite de Hunter).  

J'avais jugé de mon devoir de médecin de prévenir mes confrères qu'il ne fallait pas se fier à un test de Schilling normal et une vitaminémie B12 elle aussi normale pour éliminer automatiquement le diagnostic de syndrome neuro-anémique.

En premier lieu en février 1991 dans une lettre au Pr. Gérard Saïd, responsable du Service neurologie au CHU de Bicêtre parce que c'était à partir d'une erreur de diagnostic faite dans son Service (en son absence) que l'erreur avait été communiquée à l'hôpital Charles-Foix par l'Interne Olivier Ille.

Il m'avait fallu intervenir pour administrer à mon père le traitement nécessaire à sa survie alors qu'il venait de sombrer dans coma carus et était tout près de mourir.

J'avais aussi fait part des ces faits, important à connaître pour prévenir les récidives, au Pr .Yves Najean à l'hôpital. Saint-Louis, au Dr. Jacqueline Zittoun à Henri Mondor, au professeur François Piette, alors en charge du CEGAP à l'hôpital Charles-Foix, et au Dr. Michel Serdaru, un des meilleurs neurologues de la FFN.

A cause d'un test de Schilling "normal" sa maladie avait été confondue avec une démence de type Alzheimer (DTA) alors qu'il s'était agi d'un syndrome qui maintenant s'appelle le syndrome NDB12PP après s'être appelé, jusqu'en 2003, syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal.

Je fus peu après (en 2004) accusé par la direction de l'hôpital responsable de cette confusion d'avoir moi-même "fabriqué" la maladie de mon père par "antisémitisme" (sic).

Une accusation aussi abjecte que malveillante et destructrice. (voir au site internet n° 108281777 html « Théorie de complot, mythe ou réalité » alors que j'ai toujours été hanté par les exactions antisémites des nazis, d'autant que né avant la guerre dans le service du Dr. Lévy-Solal àl'hôpital Saint-Antoine j'aurais moi-même pu en pâtir si Churchill, Roosewelt et les soldats soviétiques n'avaient mis fin aux prétentions d'Adolf Hitler.

On peut me joindre au 07 86 92 02 05.

 

 

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7 janvier 2019 1 07 /01 /janvier /2019 14:05

Pas plus que l'Ordre des médecins, l'Eglise catholique ne peut être accusée de s'être montrée, avec Mgr Philipe Barabarin, coupable de « non-dénonciation d’agressions sexuelles sur mineurs de 15 ans »

En effet, lorsque je me suis rendu le 23 janvier 1991 au Commissariat de l'Hay-les Roses témoigner avec mon père de ce qui s'était passé de très scabreux à la Clinique Léon Elmelik, le Principal, le Commandant Christian Raeckelboom, m'a averti que toutes les plaintes à l'encontre de ses médecins étaient systématiquement "bloquées au parquet".

Deux ans plus tard, lorsque je me suis rendu au Conseil Régional de l'Ordre des médecins de l'Île-de-France, la secrétaire qui sortit le dossier intitulé "Clinique Elmelik" me dit, en me le remettant : « Mon pauvre monsieur (sic) pourquoi voulez-vous que l'Ordre des médecins poursuive des violeurs et des pédophiles, ils sont au Conseil de l'Ordre » alors même que l'objet de la plainte de mon père adressée à l'Ordre contre les X médecins qui l'avaient abusé portait sur des coups et blessures volontaires et une non-assistance à personne en péril de mort.

Contexte : Il m'avait fallu dans la soirée du 12 septembre 1990, intervenir, pour tenter de sauver la vie de mon père, alors que, considéré par les neurologues de l’hôpital Bicêtre comme « inéluctablement voué à une plus grande aggravation » (sic),  il avait été laissé sans véritablement recevoir le traitement qu'imposait son état. Il avait ainsi fini par sombrer dans un coma carus alors qu'il était hospitalisé depuis six semaines, dont trois semaines en neurologie au CHU de Bicêtre dans le Service du professeur Gérard Saïd. Il avait ensuite été transféré à l'hôpital gériatrique Charles-Foix dans l'Unité de Soins Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis.

Les neurologues, l'ayant déclaré "inéluctablement voué à une plus grande aggravation" (bis) estimaient qu'il occupait inutilement un coûteux lit de spécialité.  Il y avait en fait été envoyé pour y finir ses jours, car lorsque le docteur Beinis me reçut dans son bureau du rez-de chaussée dans l'après-midi du 22 août, après lui avoir posé la question de la poursuite du traitement de la maladie de Biermer celui-ci me fit vertement savoir que mon père jamais ne remarcherait, qu'il ne voulais pas me revoir avoir avant 15 jours, et qu'au lieu d'interférer avec les traitements, je ferais mieux de chercher pour lui une maison de retraite dans le privé, moins cher que secteur public.  

Le problème, c'est que le diagnostic de syndrome neuro-anémique  avait immédiatement été porté aux Lits-Portes (c.-à-d. aux Urgences) de l'hôpital Bicêtre, et que la cause de loin la plus fréquente de ce très fréquent syndrome est, avec la maladie de Biermer, le syndrome NDB12PP, une forme clinique de la maladie de Biermer.  

Or  la maladie de Biermer et le ND12PP ne vouent nullement les personnes à une "inéluctable plus grande aggravation", pourvu qu'elles reçoivent sans tarder le traitement très simple et parfaitement codifié de la maladie de Bierme.

Or au lieu de lui administrer le traitement de ces mortelles affections, qui se traitent facilement en administrant le plus rapidement possible de la vitamine B12 à doses drastiques selon un protocole thérapeutique depuis longtemps codifié, les neurologues de Bicêtre n'ont fait que semblant de le lui administrer avant de passer au docteur Beinis, lors de son transfert à Charles-Foix, qui eut lieu le 22 août, la consigne de continuer à ne faire comme eux que semblant de le lui administrer. 

Une consigne que le docteur Beinis s'empressa de suivre sans la discuter.

Mais le 5 septembre 1990 madame Pondu, la Surveillante de son Service, constata,  en essayant de le faire manger, que le malade présentait la glossite caractéristique des carences vitaminique B12 sévères. Elle sut ainsi faire le diagnostic de la cause  de son aggravant, la maladie de Biermer affectant très souvent les personnes âgées. Cf. http://genocides.over-blog.com/2016/09/petits-pots-pour-bebes-pour-sauver-la-vie-des-vieux.html

Madame Pondu ne voulut pas s'associer à ce qui lui paraissait être un ordre criminel, car, bien qu'elle lui en ait fait le signalement, le docteur Beinis ne voulut rien changer aux consignes que lui avaient donné les neurologues de Bicêtre.

Me sachant médecin, elle se décida à m'en aviser quelques jours plus tard. Ce qui me permit d'intervenir juste à temps, alors que le malade était en passe de mourir Cf.  article-theorie-du-complot-mythes-et-realites-108281777 html...

C'est ainsi que, contre toute attente, y compris la mienne, tellement son état était devenu catastrophique, mon père put se rétablir et récupérer ses facultés intellectuelles alors qu'il avait été déclaré par les neurologues de l'hôpital Bicêtre être atteint d'une démence sénile irrécupérable baptisée "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX" (sic) déclarée "inéluctablement vouée à une plus grande aggravation" (ter).

Sa résurrection sous l'effet du traitement de la maladie de Biermer sema la panique chez les neurologues de l'hôpital Bicêtre avant d'atteindre la haute direction de l'AP - HP, qui dès lors fit tout ce qui était en son pouvoir pour masquer les fautes de ses médecins: le Pr. Gérard Saïd et l'hôpital Bicêtre m'accusèrent en 2004 d'avoir moi-même "fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme" (sic),

Cette accusation, la croyaient-il vraiment fondée ? 

Si oui, cela les obligeaient à en faire la déclaration aux autorités judiciaires en vertu de l'article 40 du CPP, ce que que ni l'hôpital ni le professeur Saïd ne firent, bien qu'ils m'en aient fait la promesse le 24 septembre 2004, devant le professeur Patrick Hardy, appelé en renfort.

Allez savoir pourquoi ?

La Clinique était-elle "protégée en haut-lieu" parce qu’elle servait à l’élimination physique des malades qui avaient été malencontreusement transfusés à l’époque où les transfusions de sang étaient empoisonnées par le VIH (cas de mon père) ou parce qu'elle servait au docteur Jean-Claude Elmelik à assouvir ses pulsions ?

Ou est-ce parce qu'ils savaient que la Clinique était "protégée en haut lieu" que ses médecins pouvaient tout se permettre ?  

Quand elle a changé de propriétaires en 1995 c’est le Service de neuro-pneumologie du CHU de Mantes la Jolie, dirigé par le très pieux  docteur Olivier Ille (encore  lui) qui a pris le relais, avec cette fois Christine Malèvre dans le rôle qu’il avait fait joué au docteur Jean-Yves Beinis à l’hôpital Charles-Foix.

C'est ainsi qu'il m'est revenu de faire chèrement les frais de ces bavures;

Pour en savoirplus cf. la lettre RAR (AR 1A 152 454 8557 4) que j’ai adressé le 14 décembre dernier à madame Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé : je lui ai fait savoir qu’en matière de Solidarités je n’ai connu que celles dont ont profité ceux qui avaient attenté à la vie de mon père en 1990.

Ma lettre RAR ne fera que la trentième adressée aux autorités responsables concernées. Celle-ci  n'a pas encore reçu de réponse.

Ainsi va la France, c'est-à-dire  pas très bien.

Conclusion : pas plus que  l'Ordre des médecins, l'Eglise catholique ne sera pas accusée de s'être montrée, avec Mgr Philipe Barabarin, coupable de  non-dénonciation d’agressions sexuelles sur mineurs de 15 ans;

Pierre Cretien

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